RM2CT1A0C–. Verzámeling van uitgekórene zin-spreuken, en zinnebeeldige print-vercieringen : eertyds, op bevel van den aller doorlugtigsten keizer der Russen, Peter Alexis, of de Gróte, getékent en gesnéden : en nu op nieus verrykt : met agthondert en veertig byschriften in verzen . ISEL, aanko-mende en njpe VRUGTEN.Nova femper, grandia femper. Graudes produ^ions^ de touter faifons. ^u alleii yditw anhamcutJe iintJ erttiacijfcnc ƒrucötc Maak dat geen jaar-gety uws lévens zy te dugten,Maar geev in elk faiiben, kleine en volwalTe vrugten. ^66. Een ETEN-KORF. Nulli fecretum patet. Nul iien pénétre Ie fecret
RM2CEMFFR–. Le Monde moderne. s encore que le premier soiroù vous maviez fait si complètementoublier linterprète pour ne me faire songerquau rôle qui sincarnait en vous. Jadmi-rais le superbe isolement dans lequel vousvous mainteniez... Nul bruit de la sallene vous marquait que vos efforts étaientcompris et appréciés. Vous jouiez touteseule, perdue dans votre rêve, vivant lavie de torture de lenfant royal, sans voussoucier de lopinion de tous ces gens quine se souciaient que devons, et dun cœurplein de reconnaissance, je vous envoyaismon hommage fidèle, à vous qui, depuistoujours, en dépit de lenvie bas
RM2CP0BYX–. Dévises héroiqves et emblèmes . Viftoire derniers CESTpourquoyenvn dialogue E-piâetePhilofophe, interrogé parlEmpereur Adrian pourquoy Ton cou-ronnoit vn Mort, luy refpondi^que ce-ftoiten figne & tefmoignage quileftoitefchappéj&auoit pafle outre les çra-uaux,combats, miferes & pauuretés decette vie. Le dire de Soloneft notahje& véritable, que nul ne le peut dire heu-reuxauant ledecez* m REVISES Spes alterd vit*.. TT) o vu ne defgoufter par vn fafcEeuxJL déboire les fpedateurs de ces deuxDeuifès précédentes qui reprefèntet la H E R OIQJ/ES, 335 tin où il faut que coût pafie : en voicy v-ne pl
RM2CDKAXJ–. Biographie universelle ancienne et moderne, ou, Histoire, par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes : Ouvrage entièrement neuf . e il est envoyé par Apol-lon et ÎNeplune pour ravager les cam- CÉY pagnes troycnnes, en punition de laperfidie de Laomédon. Andromèdelui est livrée la première fois 5 Hé-sione dut être sa proie la deuxième.Dans lun et lautre cas, Cétos esttué. Nul doute pourtant quon nedoive pas distinguer deux Célos. Despeuplades qui navaient ensemb
RM2CE7T6B–. Gazette des beaux-arts . urelle, quon voit à la vitrine de quelquesmarchands destampes. Notre pays est fâcheux pour lart, avec ses petitsgoûts de propreté, dajustage minutieux, de brillante fadeur, ou ses fai-blesses pour le bruyant, la mise en scène, lextravagant, le tour de main,le truqué et le tripoté à outrance. Nul endroit nétait meilleur pour direces choses, que ce recueil important et écouté, où lon aime, où loncélèbre à si juste titre, lart sérieux et élevé. Après avoir fait, le matin,notre prière devant Léonard de Vinci, sachons retrouver, laprès-midi,parmi nos contemporains, ceux q
RM2CRXMKC–. Emblemes d'Alciat : en latin et francois vers povr vers . Capra luptt non/ponte meo nnne vhtl* UfU,guôd mnlè pajhrisprouida cura ht y et. Creuerit ille fimnl,?nea mepefî -vbera pafccP*Jmprobitas nuïïo fietUtur olfecptio* A X CI A. S-TVLTITIA. 9f Plerique eos, à quibiu perdeniur, alunt.Sur celui qui procure mal a foymefme»PROSOPOPEIE. A grand regret ie Cfcieure vn loup allai clefMais mon palïeur le nourrir le delecle,Quand creU fera,il faudra quil me mangeîFar nul bien fatclmauueftie nefe change.Plusieurs nourrifsêtceux,par lefijuelsils kiàx de-firuiSs. Fatuita*.. Alirar:> r-ejero quod car
RM2CP8T29–. Histoire naturelle des oiseaux . 4e/. X.E IROCGE-GORGE . du Rouge-gorge. 299 îong denviron neuf pouces ; le géiîerqui eft mufculeux , eft précédé dunedilatation de Tœfophage^ îe cœcum efttrès-petit, & quelquefois nul dans cer-tains individus. En automne, ces oifeauxfont très-gras, leur chair eft dun goûtplus fin que celui de la meilleuregrive dont elle a îe fumet, fe nour-riffant des mêmes fruits > <k fur-toutdes alifes,. NvJ 300 Bijloire Naturelle * LA GORGE-BLEUE {a). Par la proportion des formes, par lagrandeur & la figure entière, la gorge- * Voye les-planches enluminées, n° 361,
RM2CEKKGB–. Les antiquités d'Herculanum : avec leurs explications en françois. a tunique, ferméescomme avec des boutons. Ces fortes de boucles ou agraffes ,,fiiula, étoient ordinairement dor ou dargent. Planche CV. Cette belle Statue en demi-bofle, compagne de h précé-dente , na aucun attribut propre à en faire reconnoître le fujet,La fimplicité de la draperie qui lailTe ce beau jeune homitvea moi ié nul, & <es brodequins appartenoient au coftume dunDieu ou d*un Héros. Ceft peut-être Apollon : Q^uod vefiemdeorfum ciiiHus, é crinitus iffkt. La noblelTe de fon maintien& la douceur de fa phyfiononiie ,
RM2CPE4FK–. Emblemata sacra : hoc est, decades quinque emblematum ex sacra scriptura, de dulcissimo nomine & cruce Jesu Christi, figuris aeneis incisorum ... . anet. Xüo Hcfcr f)änbt ^ugrcifftTfS ift/jiOaiiimptDas (bat f^r ab.ftm )U bitn andern ta ae^rift/ Sap.iyii. Ils content le cours de la vie, comme unefoyrc &difent quil fault gaigner comm on peult j mefmes de chofe mefchant«. la fojyla loyaulte du inoridc esl dcchaßec-,Tüiis vivent de raptne,& n a qui sen repenf-,Cbafcuny veult gaigneri& nul ne s j refem,De i offcnce de Dieu, ne dame mtereßee, Contanolaconverfatione della vita ordinara per guada-g
RM2CPJHK4–. L'ame amante de son Dieu, représentée dans les emblemes de Hermannus Hugo, et dans ceux d'Othon Vaenius sur l'amour divin. Avec des figures nouvelles accompagnées de vers qui en font l'application aux dispositions les plus essentielles de la vie intérieure . ve doux,Attachée à la croix des mains de mon cher Maître! Je penfe dune autre façon :Qiie le tourment eft délectable !Vous mavez enfeigné cette haute leçon,Quici bas hors la croix nul bien neft eftimable- Heureux, lorfque par vous nous fommes atta-chésSur ce bois , fource de la vie ,Bois qui détruit tous nos péchés ,Et nous procure un fo
RM2CGH70B–. Les Français peints par eux-mêmes . dart théâtral, et son plus grand regret est denavoir jamais pu, pendant sa longue carrière, faire con-n aissance avec un seul artiste dramatique. Il était ii sonbureau depuis huit heures du matin jusquà cinq heuresdu soir; puis venait le diner. Et pendant la soirée cesniessieurs de la Comédie étaient sur les planches. Donc,nul moyen de rapprochement pendant la semaine. Res-tait le dimanche: mais M. Michonneau avait à un degréextraordinaire la faiblesse de la pêche à la ligne, et ilconsacrait ses loisirs hebdomadaires à parcourir, unfrêle roseau â la main,
RM2CNNKRD–. Contes roses . lier défense expresse à quiconquepouvait parler ou écrire de se souvenir de la princesse Blanche-Rose ;nul ne devait prononcer ou tracer son nom sous peine de prison perpé-tuelle, et la mort attendait limprudent qui oserait rappeler son exis-tence ou ses malheurs en présence du jeune prince. Quinze années passèrent. Le fils du roi, qui sappelait Bel-Azur à cause de la nuance de sesyeux aussi clairs et profonds quun ciel dété sans nuages, grandissaitet prenait de la force. Cétait un beau cavalier, svelte comme un lierreet robuste comme un chêne; il excellait en tous les exercic
RM2CP54PX–. Le pegme de Pierre Covstav . rte que nul neft eftirné fage entre lesnotres,sil ne sadonne entièrement à a*maffer ÔC acquérir. Pourtant bien a propos ÔC pour nos meurs afsés eommo*dément, Hofiode difoit , auicurdhuy.le ne veus être iufle entre les hommcs,nique mon fïlz le (oit : puis eue ceft chofemauuaife dêtre homme de bien, ÔC quele plus méchant a le meilleur Car fi ceuxqui donnent tout à la vertu (ont réputéshersdufens: fi ceux qui méprifent ksbiens,fclz : fi ceux qui neftiment pourriens les chofes externes fans ceruelle : ficeux qui mefurent la tranquillité à lavertu ôC non par le profit
RM2CRYDAY–. Devises heroiques, et emblemes . Nul ne Tavoit lié. ll/è trotCve de U monnaye antique, hatueen CHiyre, o;^ tro;;;^f ati nom i^ugufle Ce- E iiij 8S Devises fitY^eiu reyers de laquelle eJllaD eyijè duCro - crodileyenchctinê a La Palmç.^ auec tinjcriptio. Col. ncm. /£/<r/î,Colligauitnemo, corne ^fOuUntpojiihlefaire entendre ledit ^ugu- Jle j au il ny auott aucun auantlui^qui eujl iamaû aîachélEgipte a fa ^iBoireXEgifte^ dy-ie pour autant, que cefl le pais arrosé du Nilifleuue reprefentéparle Crocodile, lequel je trouve en icelui^ & non ailleurs. DaHan- uge^en ladite monnqye^ ejlposéle Crocod
RM2CDJAD5–. Le théâtre de Mr. de Pradon . ACTE ty HIPPOLYTE. MI. ACTE IIL SCENE PREMIERE, ARICIE, PHEDRE. PHEDRE. OUy> je romps avec vous pour un fointrop tiJe.le;Que vous avois-je fait pour meftreûcmelle ,Lors qu2 voitre barbare & funefte amitiéVous rend ncxoriWe à force de pitié ?Jeftois heureufemenc tombee cvanoiiye ,Mes mortelles douleurs alloient nnirmavie,Seule & fins nul fecours , preftc à finir moa fort,Dans cet afreux (bmmeil jenvilâgeois la mort,Enfin fans mouvement en proye à ma foi- blefle ,Par un dernier foûpir jëtoufois ma tendrcffc,Quand vos cruels fecours font venus marra- cherLa douc
RM2CNMJ8K–. L'Arche de N . Cocorico! voici lheureDu réveil clair et joyeux.Allons ! frottez-vous les ) eux !Oue nul au lit ne demeure. Les ours grognent étonnes,De toute cette fanfare.Tumulte. On crie, on seffare,Les marmottes font un nez !. Saluts. — Tiens! bonjour, ma chère! — Madame, avez-vous dormi? — Ouel temps fait-il, mon ami? — Mais il pleut, il pleut, bergère! — Écoutez le raflafla Que fait aux carreaux la pluie.Le ciel est couvert de suie.Vous vouliez de leau, voilà. — Joli temps pour la grenouille,Un vrai temps diluvien !Nentendez-vous pas, lancien.Laverse au toit qui gargouille?
RM2CP6K77–. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . r eftCinchs. qUam Tringa : non apud Idcus folùm, &fluuios, fed vitam etiam apud mare truducit.Et dautant quil eft oyfeau habitant es lieux aquatiques, eftant de petite corpulence,affez hault enïambé, il à bonne partie des cuïffcs toutes nues, & noires. Il hâteplus en leau, que la Becafsine. Il eft aufsi prins au rechargeouër. Ceft vn oyfeaudaufsi bonne grâce que nul autre. Il hante toufiours les riuieres, & fent quelquechofe de bon,qui recrée les fcns,& qui retire a
RM2CDF803–. Clarisse Harlowe. Traduction nouvelle et seule complète . A GENÈVE;Chez PAUL BARDE, Imprimeur-Libraire; .1788, ??•aMalHMMl»a«MMMi**a A MONSIEUR, FRÈRE DU ROI. MONSEIGNEUR, Nul écrivain ami des mœurs n^a surpasséce tableau de la vertu aux prises avec levice y cette histoire de la société et du cœurhumain dans les évènemens vrais ou feintsdune seule famille. Quoique la scène et lespersonnages soient placés dans la vie com^-mune , la nature et le cœur y sont au fondles mimes quauprès du trône y et les Prin-ces ne sont vraiment heureux que par lesmimes sentimens qui font le bonheur deriiomme de
RM2CHM70E–. Les Français peints par eux-mêmes . uette/s sevlement .... la bataille dAusterlitz. « On comprend les plaintes des mourants et des blessés, lexaltation de larmée, les cris dela victoire, el le tumulte des ennemis en déroute. »Plus loin se montre un véritible sauvage, un roi desCaraÏDcs, fait prisonnier par un fameux narigateurfrançais, dans lile de Saint-Vincent, et mis aux fers eudépit de laxiome : nul nest esclave en France. Ce per-sonne mérite dêtre vu, car la majorité de ses collèguesa été obligée peu à peu de rentrer dans le monde civi-lisé. Le dernier des Mobieans est garçon marchand d
RM2CPXJ0R–. Quinti Horatii Flacci emblemata imaginibus in æs incis, notisq́; illustrata . Cen/%m lufï nae futcUcn fraeuen DîagDt/jaacttjpeertfcen os gíjelucfctgíj atljt/ «en ijeeft ín tploegOsn meer binaglieli. Nul arrefte contant,au but de fa fortune,Ainfx le boeuf ialtitx du faperbe poulaia f 11 pigre-BuelramÀ la fella, e il frent¡i il Catullo l /ratto e il giogo brama,Ilfoldare cbiftenta, e diuten meno,li mercad.mre fortunato chiama,Quefti di mille cure, e diguaipitno,■■■La vita del ¡oldaioniutdta, & ama»Il dottor loda i be ft hualm la Corte;Nejftm eontenttviuedi ¡uà forte. .Le tourcau voudroit auoir
RM2CF6MD5–. Recueil de consultations de M. Roland-François Waymel du Parcq. t nul, ne pouvoit paffer pour un titrecoloré y & lon voit en effet que le fyftême de Lotter ,cité dans la deuxième des deux Confultations en faveur duditLenglet, qui ont été ici repréfentées en copie, ajoute ces mots,modo habeat titulum , ce que navoit pas ledit Lenglet ; &ceft dans le même efprit que parlent Garcias & Navarrus ,pareillement cités, quod qui habet legitimum titulum poteritpojfejjionem continuare : le défaut de lOrdinaire, au préfentcas , étant intrinfëque, ne peut avoir donné lieu à une pof-ièfîion , au lieu que
RM2CD99T7–. Gérard Terborch . eilleux, parmi tantdautres portraits non moins importants. Nul douteque ce soit celui du peintre. Mais que fût-il advenusi aucun document sérieux ne lavait indiqué? Sansdoute eût-il fallu le ranger au nombre des portraitsanonymes de lartiste ; et lon ne se serait pas faitfaute de retrouver les traits du maître dans lune deces effigies que, faute dintérêt ou par simple bonsens, lon néglige maintenant didentifier— Na-t-onpas longtemps admiré le visage de Frans Hais dansle Portrait dun coîiple, du musée dAmsterdam,signé par ce peintre ? A la vérité, la classification de lœuvre
RM2CPTH7T–. Le Centre de l'amour : decouvert soubs divers emblesmes galans et facetieux . Sunf aultcorumplûrtmr ^^viJAi^ccm. ^o^cvi |jTibft man Sunî ek aiî Satan ^eè ?^^^ < ^o^ ^«f ffuffrr/ cm.^ incfrttt TTUn ;MûniMis ecce carrare ^ ^ -i)<rm<mcb-m<l( rtttfb^rTîontiftirrtf . Mottachumßofrri ûvtitnes ■- j ,/^rt/;fJe juge bien à cette boucheQue vous eftcs en bon eftat.Quand la playe a la lèvre faine,Le Chirurgien doit faire eftatQue la gueriibn cft prochaine.Courage, en moins dune lèmaincVotre nul fe refermera ;r Aprez^eslavemens rcceus imc douzaine ■■■ Ma Syringuc vous guérira. Cfo3. ^ufa.r(
RM2CP6E0C–. Emblemes, ov, Devises chrestiennes . Les pîonmers du ?nonde mefprifez^Ont mntfapé cefte grand forterejfc^De Babjlon^ ^fes appuis hrifel^Glu^elle va cheotr^pourpetit que la prejfc^Le vent d!enhaut, qui contrj^eUeJe drejfe.Sortez^ enfansy voicy le feu qui^uient^T^our confumer ell/^ qui la fouettent.Sans que iamais en nul temps fe redrejfe. Le ^. BMBtEME CHRESTIEN 2.4. Le cheual maigr/^en quelque^art au il aillesjQetrouue point de la mouch/allégeance^Et le mefchant^combien quilfe trauailleyJe peut fuir la trejîufte vengeance^^e T)ieufur luj :, parfoll/outrecuidance:En tom lieux donc ilfefent
RM2CPMRPY–. Iconologie, tirée de divers auteurs : ouvrage utile aux gens de lettres, aux poëtes, aux artistes, & généralement à tous les amateurs des beaux-arts . AVEUGLEMENT de refprit. OT a figure qui charadérife ce fujet fe repréfente aumilieu dune prairie, dont elle confidere avec at-tention lherbe & les fleurs, lesquelle font allufives auxdélices de la terre, qui réjouiiTent lame & loccupentfans nul profit. Selon les Egyptiens la taupe eliremblê-me qui lui convient. Au deffus de fa tête efl: un nuage épais qui empê-che un rayon de lumière de pénétrer jufqu a elle & de1 éclairer. FRANÇOISE. 51. AUDA
RM2CPWHGJ–. La doctrine des moeurs : tiree de la philosophie des stoiques: representee en cent tableaux. Et expliquee en cent discours pour l'instruction de la ieunesse. Au Roy . Linnocence efl vn mur dairain, Que nul effort ne peut détruire.Le cceur ou lon la, voit reluire^Ayant njn poMuoir fouuerainyNe voit rien qui luy puijje nuire. Pp LA DOCTRINE DES MOEVRS. EXPLICATION BV TREIZIESME TABLEAV.. L eft vray , la véritable lagefle ncft pas ennemie de lavéritable gloire. Elle ne sattache point fi fort à la con-noiflfance quelle a de foy, quelle ne faflc beaucoup decas de la voix publique. Pour nous Ietef
RM2CDKJ3E–. Revue de l'art chrétien . toire de lasainte Lance, pp. 14 et 15. Sainte-Chapelle un certain nombre de re-liques, parmi lesquelles se trouve un frag-ment de la Couronne dépines, relate quellesfurent simplement tirées de la châsse desreliques (). Ne semble-t-il pas naturel dèslors dadmettre que les épines, dailleursdune nature bien différente de la couronnede joncs, étaient conservées à part, et quepour les distribuer, nul besoin ne fut douvrir 1. Morand (Le chan.j, Hisl. de la Sainte-Chapelle. 96 WitWt tic rart chrétien. le reliquaire où se trouvait renfermée lacouronne de joncs ? Mais reste
RM2CPEMT5–. De godlievende ziel vertoont in zinnebeelden . Tl CUi il, cjuia incciaiicj nttué proumaatiu esê,■ iac/iu: i cutfi nuL^iéuïiiLcus fédar; tnuctum. van H. H u g o. 39 XXXVIII. Ik elendig menfcb! wie zal my verloffen uit betlichaam dezes doots. Rom. VII. 24. DE doot heefc my omvat, k ben in den doot be-floten. Och, myelendige! wie redt en lofc me er uit?Want, zoo deesbangc bant nogh naeuwer om myfluit,Srcrve ik aen hartewce. Wat heeft my lang ver-drotenDat worftlen met my zelf $ die ftryt van vleefch engeelt!O onweerftaenbre Macht! o groote wonderwerker!Ontferm u over my, en help me uit dezen ke
RM2CNK6M9–. Nouvelles histoires sur de vieux proverbes; . ue nul se le sçauroit penser, Toujours prest à recommencer, Quy se veult garder bien se garde, Et quil soit toujours sur sa garde ! Eloy ferma sa porte au nez de Lucifer. En entrant à létable le lendemain matin, Eloy fut surprisde voir que deux de ses bœufs, les plus robustes, qui, laveille encore étaient pleins de vie, gisaient par terre, lamen-tablement... Ils étaient morts !... Eloy se désespéra un moment, pleura, puis reprit ledessus. Cétait un homme énergique, il fît enfouir les deuxpauvres bêtes et se rendit aux champs. Là un autre malheur
RM2CP6200–. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . Tmn en ïrtnçqys.. » fywms àwSn><fi}D.àm fi tSi «wSw ri(U-nu. ArifUib.S.cap.j. Et de fait Rachats que nul autre,dot ayons cognoiflance,napproche mieux à cefteVfmf defcription,quelefufditTfcr^«enAriftote:difons quil eftplus comun partoutuodH T4 qIeScnn,&eftquelquepeupIusgrofTet,&auecfoniauIne apparoift plus brun,c eft a dire que le deflus de fa tefte,du dos,quelque plume de fa queue,& les grof-fes pennes des adles font vn peu plus colorées quelles ne font au Ser
RM2CNNBGT–. Le beau chateau; . a ««u /£ s«îs «w èord <?w /ac... LA BARQUE Je sais au bord du lac dans une anse tranquilleune barque oubliée au milieu des roseaux ;deux amarres de fer la tiennent immobilemais nul ne vient en détacher les lourds anneaux. Les vagues alentour arrêtent leur sillage ; elle dort, balançant des nids et du soleil, elle dort... et tout proche un saule au long feuillage humide, frissonnant, recouvre son sommeil. Naguère un batelier la conduisait sur londe.Vers lhorizon, très loin là-bas, il sen allaitet retirait gaîment, penché sur leau profonde,les poissons prisonniers au creu
RM2CEGXT2–. Questions sur l'encyclopedie. & qui par-làcouvrit lItalie dopprobre, lorfque Galilée la couvraitde gloire. Les erreurs de Defcartes font :1°. Davoir imaginé trois élémeris qui nétaient nul-lement évidens, après avoir dit quil ne fallait riencroire fans évidence. a°. Davoir dit quil y a toujours également demouvement dans la nature , ce qui efl démontré faux.3*^. Que la lumière ne vient point du foleil &quelle eft tranfmife à nos yeux en un inftant, démon-tré faux par des expériences de i^c-^/Tier, de Molineux&? de Bradley, & m.ême par la fimple expérience duj prifme^ I 4°. Davoir admis le pl
RM2CD88FT–. Les seins dans l'histoire . ts et auxmalades : ,.. Il faut ])ien du lait aux enfants — Dites-vous. Sans nul doute,Pour quils soient beaux et triompliants, Ne meurent pas en route. Mais on voit un tas de feignants Et de galactophiles,De grabataires répugnants Empoisonnant les villes, Qui ne se gorgent que de lait, Sous le prétexte AagueQue cest un aliment complet. Le diable les ineague ! Car ces gens-là boivent la part Qui reviendrait aux gosses ;Cest doù viennent pour la plupart Ces butyreux négoces. liemarquez bien, pauvres flapis, Que cette honnête vacheNa quun certain nombre de pis, A moi
RM2CE3N0K–. Gazette des beaux-arts . LA COLONNE DORIQUIÎ. (Gravure extraite de louvrage de M. Chipioz. 198 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. pas au fond et pourraient être aisément supprimées. Que M. Gliipiez en effet admette,avec Vitruve, avec Hittorff, avec tout le monde, lorigine toute nationale des disposi-tions essentielles du temple grec, quil consente à en chercher le premier type dansles constructions en bois des peuplades primitives de lHellade, cela ne lempêchera nul- B EPHESD B. i F ^ CXXXII^A L 3E dune des colonnes déphèsi(Gravure extraite de louTrage de M. Chipiez.) lement daffirmer que, dans larchi
RM2CDG96R–. Gazette des beaux-arts . par M. I.oharivel-Duroctier. 38 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. présente des surfaces vides, on se bâte dy plaquer un ornement banal,et nul artiste ne réclame le droit de mettre à la place une idée. Cest queles idées nous font défaut, et le bas-relief, plus encore que la statuaire,vit par la puissance de lidée. LAbolition de lesclavage de M. Chabaud,. par M. Chatrousse.I Sculpture médaillée. ) remplit assez bien les conditions du genre. Ce nest pas un tableau etcest une composition suffisamment expressive pour représenter le sujet.La Leçon danatomie et la Leçon de clinique d
RM2CPPY20–. Emblematum sacrorum prima[-secunda] pars : das ist, fünfftzig geistlicher in Kupffer gestochener Emblematum ausz der H. Schrifft von dem süssen Namen vnd Creutz Jesu Christi, erster[-ander] Theyl . via tuta maner. I XDo i^iefet J)4n&t Jugreiffens ifî/^a iiimpt t>as (Sut fehr a&.Aîm ^ic bem andern ba gebrifl / ^ Ils content le cours de la vie, comme unefoyrc ôcdiCcquii fault gaigner comm on peult j mcfmesde chofè mefchante. la fcyja loyaulte du monde esi dechaßeeTom vivent de rapine,& n a qui s en repentyChafcuny veult gaigner:, & nul ne sj refent.De ï ojfence de Dieu, ne dame intereßee.
RM2CE67MB–. Premier livre d'Amadis de Gaule; . auoirrait CheualierleDamoyfel,& tâts-cn in forma,quil fut auer-ty que les Damoyfellesde la Royne le pourroientmieux fçauoir que nul autre: partant leur pria le luydire,ce quelles firent. Or pourra le Damoyie^rcfpodit le Roy, fe venter, quil a trouué en vous plus d-*courtoy fie quen moy:mais ce qui me faifoit différereitoit, pource quil me fembloit encore^ trop icônepour porter ce fais. Durant ce propos Agraies entre-tenoitla Damoyfelle,qui luy auoic aporte larmec,&lettres,de la part dVne Dame, quil aymoic grande-ment:de laquelle lhiltoire fera cy après ment
RM2CGGHTD–. L'art religieux du XIIIe siècle en France : étude sur l'iconographie du moyen age et sur ses sources d'inspiration . 1 it; 90. — Larbre de Jessé (vitrail de Chartres .(Daprès la monographie de Lassus.) LE MIROIR HISTORIQ1 11 l/ANCIEN TESTAMENT Lerreur vient de loin, puisquun fabliau du mm siècle met en scène un vilainqui montre du doigt Pépin et Charlemagne à la façade «le Notre-Dame, pen-dant quon lin coupe sa bourse par derrière. Nul doute que lauteur du fabliau. Kig. 91. - Jésus-Chrisl cl les dons lu Saint-Espril (Le MansDaprrs Huchet ne lût mieux renseigné que le vilain, dont il a voulu
RM2CP4YFD–. Le pegme de Pierre Covstav . f> les hiftoires témoignent de Sy Ha le pluscruel des hommes.Car ayant en la guer*reciuile défait Marius, gonflé delà vi*cxoire5ilfe maintint de forte en fa dicta*ture ,qu il nomit.aucune cruauté quilnexerçat . Et aufsi le iour qui aprèstant de labeurs luy promettoit repos,futplus calamiteux que nul autre.Car ladictature laifsée,il fut tant tourmenté dedouleurs de cors , que fans doute vncmort fi lamentable effaça la félicité de favie pafsée: Marcus Crafïus ayant la Su*rie pour prouinceyvint en Ierufalem viUle lors abondante en toutes richefTes , ÔCla voila to
RM2CP79CX–. Histoire naturelle des oiseaux . es qui le fuppofe encoreplus -, les carefïes tendres, les mouvementdoux, les baifers timides, qui ne de-viennent intimes & preffans quau mo-ment de jouir -, ce moment même ra-mené quelques inftans après par de nou-veaux defîrs, de nouvelles approcheségalement nuancées, également fenties ;un feu toujours durable, un goût tou-jours confiant, & pour plus grand bienencore la- puilTance dy fatisfaire fanscelle : nulle humeur 3 nul dégoût, nullequerelle i tout le temps de la vie em-ployé au fer vice de lamour & au foinde (es fruits -, toutes les fonctions péniblesé
RM2CRPY8R–. Radium; la radioactivité et les radiations, les sciences qui s'y rattachent et leurs applications . le. ,39 inllr. (tii (ilillriiiliM (c irstill.il en rlioisiss;nil les (liS deux ciiiirliis nul lIr (ililcdurs il.iri?. dis condilidlis valeurs de c et de n Icllis (|iri>n rabscncf de cmiiaiil iiliiilii|iiis, li iJiucniii-s cIiiiil s|iii|ilitMriil 11 iliiil iniiir la charijc indiiilc produise uiic diMalimi —lu. la cuiirlic A à laide dune leiiille daluniiiiiiiiii (|iii Lerreur i|iii i-ésidlc du lail i|iie laïuiiille ne dévie |ir(iilnisail un déidaeeuienl de la eiuirlie didiiisalidii pas imiiié
RM2CP7AFA–. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . nous apportent enFrance,autrement nous nen auriôs aucûs.Ceft vn oyfeau bon à touts vols : car il Naturelne refufe ïamais nen,& eft plus hardi que nul autre oyfeau de proye.Cefte efpece ddAigle,dit Pline,eft ouuriere de prendre les oyfeaux de riuierexar elle les lafle tât /* f°qu a la fin font contraints de fe rendre ,nepouantsplus faire le plongeon :carencorqueles oyfeaux de nuierefoyétduids à fe plonger,fi eft-ce quils fe laflentà la fin, & fe noyent comme les autr
RM2CP18JC–. Les vrais povrtraits des hommes illvstres en piete et doctrine : dv trauail desquels Diev s'est serui en ces derniers temps, pour remettre sus la vraye Religion en diuers pays de la chrestienté : auec les descriptions de leur vie & de leurs faits plus memorables : plvs, qvaranteqvatre emblemes chrestiens . célébrant ta mémoire honnorable, par les versqui senfuiuent. ■. O terre.ouun tonfein.e/fdn rofes ^ lu, i^fin que MeUnchthon(qm na eu de fin aage Homme de cœurflttt hlanc m deflmdoux courage) Tievofe mollement entre fieun de tel fris ^ Que nul/ûitieune ou vieil,frofosfafc/peux nefinne ^celm
RM2CNNF0W–. Legendes Valaisannes . VI LE SABBAT Il y avait, dans un petit hameau de la commune dHérémence,une femme mariée qui abandonnait mystérieusement la maison, tousles samedis, sans que nul ne pût sexpliquer la cause de ces disparitionssubites et périodiques. Las de navoir jamais pu surprendre le départ de sa femme, lemari, un nommé Gourdin, qui voulait en avoir le cœur net, lui demandaun jour comment il se faisait que tous les samedis soirs elle désertaitle domicile conjugal sans avertir persontie. Pour toute réponse, la paysanne invita son époux à la suivre, luipromettant quil naurait pas à sen
RM2CH7K24–. Quatre siècles . s sentiments en lisant les pages quivont suivre, vous saurez que votre père a beaucoup pensé àvous en les écrivant. Vous apprendrez dans ces lignes les débuts modestes dela race dont vous êtes issus ; vous verrez, dune générationà la suivante, les individus sélever peu à peu par leur in-telligence et leur travail ; vous y lirez le culte du devoir,Vhorreur du mensonge, et, au-dessus de tout, lamour deDieu qui seul fait les maisons bénies. Si vous jy trouvezquelque chose qui vous semble un motif de vous enorgueillir,n oubliez pas ce proverbe ancien : Nul nest noble si de cœar
RM2CE3MH2–. Gazette des beaux-arts . a avec elle deux cents flo-rins et fit le mariage qui eut lieu le14 juillet dans la 1494= année. » Cest^/ sans nul doute vers les premierstemps de cette union quil faut placerun cioquis avec cette courte et affectueuse inscription : « Mon Agnès » {Alber-Une). La jeune femme vient de sendormiraccoudée sur une table; elle est vêtue de larobe quotidienne avec le tablier de la ménagère. Le tout nest que som-mairement indiqué par quelques traits de plume, et lintérêt du croquisest surtout dans les deux mots qui laccompagnent. De la même époqueest une série de dessins inté
RM2CPX06W–. La doctrine des moeurs : tiree de la philosophie des stoiques: representee en cent tableaux. Et expliquee en cent discours pour l'instruction de la ieunesse. Au Roy . on de donner, elle na nul befoindvn inftrumenr, qui ne fert quà ceux, qui veulent partager auec les au-tres, les biens quils poffedenf. Quant à la prodigalité, elle fait vne bienhaute déclaration quelle na que faire de ce que fon ennemie luy prc-ientejpource quelle eft naturellement fi magnanime, quelle ne conteny ne mefure. Mais nous luy pouuons reprocher auec iuftice, quauheu deftre naturellement magnanime, elle eft par la co
RM2CE8396–. Gazette des beaux-arts . sino ac auri et argent! ac aliis rébus necessariis pro municione et ornamento duorumlibrorum, nec non pro factura unius scrignii sive taxiae ad reponendum unum rctabulum, quosidem s. d. n. ad prefœtum ill. d, regem dono mittit. Pour achever cette démonstration il resterait à confronter linventaire de Nicolas Vavec celui de Sixte IV, dressé par Platina. Nul doute quon ny trouverait la plupart desmanuscrits laissés par le premier de ces papes. Mais un pareil examen demanderait beau-coup du temps, et cette étude, je le crains bien, nest que trop longue déjà. Peut-être l
RM2CEFMK8–. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. e le loiier interrompt fon fommcil.Quelquefois célébrant fa lumière féconde ,Dun regard attentif il le fuit dans fon cours,Admire en lui lame du monde ;Toujours chantant, & fe plaignant toujoursQuà ce quil fent nul terme ne réponde. 11 peiflt tantôt le celefle flambeauVainement aflîégé par les fombres nuages,Et bien-tot vainqueur des oragesRcparoilTant encor plus beau. Il fait Hymne fur Hymne , en remplit la Contrée;Tout accourt à fk voix, & chacun lécoutant,Beniiïbit la puifTance en Tes vers célébrée ,Tafldis que du plaiiîr de la voir adorée Le
RM2CE3KRT–. Bulletin de la Société botanique de Genève . re, ni surcarotte. La fermentation du moût de vin est précédée de la formation dunvoile très dense et daspect mat et farineux. La température limite pourla formation du voile est la suivante : 330 340 après deux jours voile très dense37 » » » taches isolées 4-0 » » » prestiue nul Au bout de trois jours à la température du laboratoire, ce voileremonte très fortement sur les bords. La fermentation nest pas très active et nous a donné 3,3 7o envolume. Nous navons observé c|ue la fermentation du glucose et du fructosepar cette levure. Par labsence d
RM2CEJ605–. Sceaux armoríes des Pays-Bas et des pays avoisinants (Belgique--Royaume des Pays-Bas--Luxembourg--Allemagne--France) recueil historique et héraldique. ig. 1. *?*;fv,*û:-<fe. ^. >1. XV1II. -s. 1 et -3. Sneaii ot >rel (le Wolpluird de Btirssele, clievalieriliVi, 12J.i)- ilr l;i -llllclhhiml il. Nul ,-.i.lr,Mlrilrii l.hMl .,,K (Ir ||,iM. (,. : mv Iric cl i-iil !> I !.. ; iMininr ilr llr . hiliit (M. tir l.;illr) Miii Aniinaii, Baeiist. Haertleghem, Es-selen, Guillenioix. Haamstetle, Juliers,Leizy, Liniburg. Lisy, Thouars, Veeu). îrabautere. .Iran il, HmUandi-ir, cciMAiii (!.■
RM2CNN86G–. Legendes Bretonnes . — Bel ami, dit Tristan, je nai dautre soutienque vous en cette terre de Basse-Bretagne. Vousle voyez, nul na su guérir ma blessure et ma mortest proche. Cependant Iseult ma bien-aiméesaurait bien trouver le remède souverain, si jepouvais la mander auprès de moi. Je vous en supplie, mon doux ami, partez àla cour du roi Marc et portez à la reine monmessage. Dites-lui que je vais mourir si elle neme secourt et que ma vie espère en elle... Comme Tristan se lamente, Kaherdin acceptede tenter Taventure qui doit rendre la vie à sonami quil chérit tendrement. — Pour vous guérir,
RM2CNKT9X–. Plume et poil . paud va pondre ses œufs dans Feau,et ses enfants commencent par être destêtards. Pardon, pardon ! cest la Crapaudequi va pondre; cest comme les poules. LeCrapaud, comme le Coq, se contente dechanter et dêtre beau. Il est vrai quil nepousse guère quune note, malgré sa voixaimable, et nul panache de plumes nornesa croupe. Il vit de très longues années en captivité,et sapprivoise sans peine. Il vient quand onle siffle, et mange dans la main. Cela vous prouve déjà quil nest pas veni-meux, comme on le croit trop souvent. Demême si les paysans laccusent daller lanuit, dans les étab
RM2CEGC3B–. Mémoires de Messire de Comines-- : contenans l'histoire des rois Loui XI et Charles VIII, depuis l'an 1464 jusqu'en 1498. ejfai-res à une fi grande entreprife leur defailloient ; carle Roy efioit très-jeune, foibleperfonne ,. plein defonvouloir , peu accompagne de fâges gens , ne de boniChefs , &* n^avoit nul argent contante Car avat^tque partir ils empruntèrent cent mille Francs de la* SauIyAn- Banque de Soli * à Gcnnes , à gros intereji pournal. de Gen-f^;^/^ de foire en foire ^ ^ en plufieurs autres lieuXyîîfnoYuftf^ fo»2»?eyV diray après. Ils navoyent ne tentes, ne pa-«iano. villons, ^ f
RM2CE06GR–. L'âme d'un peuple africain. Les Bambara, leur vie psychique, éthique, sociale, religieuse . l sest marie»; « aye boli fourou gosi il a frappe, scelleson mariage avec le boli-2: «nS ha fourouboloma furo3 flr, voicimon cadeau de noces»; «a ta boli konio /:<ru, les noces de sonboli ont eu lieu.» La valeur dun gnd, et quiconque en possede peut desormaisen fabriquer, varie entre HO et 40 lies. Si lon compte les cadeauxdonnes au fabricant et a son etat-major, les chiens, les chevres, lesnoix de kola ofterts en sacrifice le jour de sa reception. la bieredes noces enfin, son prix depasse saus nul
RM2CPCTTW–. La doctrine des moevrs, tiree de la philosophie des stoiques, representee en cent tableavx et expliqvee en cent discovrs pour l'instruction de la ieunesse . Linnocence efi i)n mur dairain 9Que nul effort ne peut détruire.Le cœur où lon la, voit reluire,Ayant *vn fouuoir Jouuerain,Ne voit rien qui luy pttijfe nuire. pP LA DOCTRINE DES MOEVRS. EXPLICATION DV TREIZIESME TABLEAV.. L eft vray , la véritable fageffe neft pas ennemie de lavéritable gloire. Elle ne sattache point fi fort à la con-noiflance quelle a de foy, quelle ne falTe beaucoup decas de la voix publique. Pour nous le tefmoigner v
RM2CEJW8E–. Le Monde moderne. commandement du directeur de réta-blissement. Larticle 3 de la loi porte que nul nepourra être officier des haras sil nareçu un diplôme attestant quil a satis-fait aux examens de sortie de lIù-ole. Les différents directeurs qui se sontsuccédé au Pin, depuis le baron deBonneval, sont : Comte de Bony . . I s;{-.>-183.$ Baron de Coctdihuel. 1833-1835 Perrot de Tiiamberg. 1833-1839 Strubberg lS.3;t-1810 (layot l8fiMSt3 DeLespinats 1813-1817 Ilonël I817-18,)(» De Cormetle I8.)0-1S»)| Comte de la Iloussaye. 1801-1870 Comte de Pardieu. . 1870-1879Comte de (îaiiay. . 1879 De la
RM2CDFF37–. Gazette des beaux-arts . nt faveur ; on verrait, sans nul doute, renaître les luttes animéesqui, après avoir produit notre école actuelle, prépareraient celle delavenir. Cest au prix de ces miracles, quun mot peut accomplir, que la Francereprendra sa véritable place et sa suprématie dans lart. Exciter les ou-vriers à sinstruire, forcer les industriels à des sacrifices dont la masse dupublic ne leur tiendrait nul compte, ce serait se débattre dans le vide; LES BEAUX-ARTS ET LINDUSTRIE. 515 ce que demandent les hommes de talent et de génie, ce sont des juges.Or, ces juges se formeront seulemen
RM2CP9M74–. Recueil d'emblêmes, devises, medailles, et figures hieroglyphiques : au nombre de plus de douze cent, avec leurs explications, accompagné de plus de deux mille chiffres fleuronnez simples, doubles & triples, d'une maniere nouvelle & fort curieuse pour tous les noms imaginable : avec les tenants, supports, & cimiers servans aux ornemens des armes ... . es.j. Un Chardon ou un Hou. Nul ne sy frote. 6. Une Couronne de Laurier. A lImmortalité. 7. Une Kouc de mouUn dans leau. Agit dum agitur. Elle agic pendant quelle cft agitée. 8. Un Flambeau renverfé qui séteint. G^t fne alit extinguit. Q j me n
RM2CP67TK–. Emblemes, ov, Devises chrestiennes . Larhr/on cognoit volontiers parle fruiEt^on ou mauuaisy cen eft le tefmoignage.Et thommjcauj^t par tœuure qutl produit^Tant contrefaict o^ue (oit lefien langage,DeChriJlmettant la fentenc/en vjageyLarbre mauuais il faut aupié couper y6tmettr/aufeu,Atnfi (homme malfagc^Et endurcij par droit faut extirper. Cefi E M BLEME CHRESTIEN 6. Ce fi innocent mettantfon cœur a Dieu^JA(^ nul fouet de tout/autre richeffe:6n luj au^i prefomftion ri a lieu:Qar haut au ciel efi toute fa liejfe.Plujîeurs icy errent par leur rudejfcyTrenans les fotspour les pour es deBrit.S
RM2CDBTE5–. Paris à table . PARIS A TABLE. 7Les provinces qui lenvironnent lui toiiniissent des légumes ;il en vient de plus de vingt myriamètres à la ronde : il met àcontribution toute la contrée française. La Provence est saserre chaude ; la Touraine est son jardin ; la Normandie élèveet engraisse son bétail ; les troupeaux quil destine a sa tablepaissent dans les prés vigoureux que sale leau de la mer, etsur les crêtes aromatiques des Ardennes : il pêche dans lestrois mers ; il est riche, plus que nul autre, de fleuves, de ri-vières, de lacs et détangs; dans ses eaux, il possède les pois-sons les pl
RM2CNK874–. La belle au bois dormant . is sortsur moi, mais nétendez pas votre haine jusquà cetteenfant. A ce déchirant appel tous les assistants se mirent à pleurertandis que la vieille fée marmottait des mots incompréhen-sibles entre ses dents. Alors le Roi se dressant soudainementsaisit la poignée de son épée, mais avant quil ait eu letemps de la tirer hors du fourreau une autre voix arrêta songeste. Laissez votre épée, O Roi ! Ne commettez pas un acteirréparable. Nul mortel ne peut frapper une fée sans enêtre puni. Rassurez-vous pour votre fille, elle ne mourrapas. Alors apparut la douzième fée qui
RM2CEM5T8–. Le Monde moderne. I.K M i: riiiMMiI.lTAIN Di: lAKI:. Les fouilations de la ■ i-^ la Liberté île lancienne Bastille, mises à ilojoavert par le tracdu Métropolitain. Les ouvriers qui tr;i(,-;iieiit la voie sou-terraine du Métropolitain ont rencontréune imposante masse de maçonnerie quia été bientôt reconnue comme la sub-struction dune des tours de la Bastille.Pour sen rendre compte, il a sufti de sereporter au tracé en grès qui figure surle trottoir de la rue Saint-Antoine afiiide perpétuer la mémoire de lempla-cement quoccupait la fameuse forte-i-esse. Sans nul doute, on se trouvait enprésenc
RM2CDJM6W–. Les seins dans l'histoire . belles nymphes, court-vêtues, aux mamel-les accentuées. J^a y-*oe.s/r, nous venons de le voir, nest parée que de sasublime nudité; faut-il donc sétonner si la Déclamation, qui lamet en valeur, ne porte un voile que sur les bras ? telle est celle deGhapu, a lOpéra. La JJajtse ne saurait être gênée par nul vêtement dans ses ébatschorégraphiques : ainsi la conçue Carpeaux, conformément à latradition, dans son groupe célèbre. La pudibonderie des disciplesde Basile sen trouva offusquée : une nuit de 18G9, la hanche dunedes danseuses fut souillée dune tache dencre, et l
RM2CNPY6Y–. Un Enfant Gate . CHAPITRE VI Larrivée. Pendant que sor^ oncle et sa tante se dirigeaientvers Rennes, lun en maugréant, lautre en jubi-lant, Léopold poursuivait son chemin vers laNormandie. Un peu troublé par le sans-façonavec lequel Choucroute lavait arraché de dessusune pyramide de caisses quil se plaisait à esca-lader, il avait fait très-sagement une heure dechemin de fer, examinant du coin de lœil laphysionomie de son gardien. Cétait au demeu-rant la meilleure physionomie du monde, et 94 UN ENFANT GÂTÉ. Léopold jugea quil ny avait nul danger à semontrer ce quil était. Aussi fit-il le rest
RM2CR1PEF–. Emblemes nouveaux; esquels le cours de ce monde est depeint et representé par certaines figures, desquelles le sens est expliqué par rimes ... Premieremente en allemand & maintenent en françois .. . A Messieurs Jattes, & Je an de rs a r i, propresfrères>Mar chants >mes treshonoris- &favorables Oncles >falut. Es sieurs & tres-honorés Oncles.Comme nul de nous neftnay pourfoy mefme feulement5ains quelapa-trie requiert une bonne partie de no-ftreviejesparens ont droid: à une au-tre non moindre, joint que le tout de noftre vie fedoibt rapporter à la gloire de Dieu,qui Fadonnée,&quilaco
RM2CDDCWD–. Mémoires sur le siècle de Louis XIV et la régence; . MÉMOIRES LOUIS DE SAINT-SBION (1675-1755) .*0 I lon connaissait dans le détail les premières annéesde Saint-Simon, nul doute que son rôle politique sentrouvât éclairé, ainsi que le caractère de son œuTe.Mais il vivait à une époque où le mémorialiste était sobre deconfidences sur sa vie intime et ne songeait pas encore àinterroger pour autrui ses souvenirs denfance et de jeunesse. Par ce quil nous en laisse entendre et le peu quon ensaisit dautre part, lenfance et la jeunesse de Saint-Simonnous apparaissent sinon tristes, du moins bien gra
RM2CDX524–. Histoire de Lyon : depuis sa fondation jusqu'a nos jours . yen quidemandait audience, le brave Lyonnais, irrité delinsulte de ce valet, tire son épée et lui coupe lamain. Tout ce quon put faire pour sauver lhon-neur du pape, fut dengager le citoyen à en fairequelques légères excuses r. On voit à quel pointle clergé sétait rendu respectable. Le pape nembrassait pas moins dans toutes lescirconstances la querelle des bourgeois contre leschanoines ; par cela même larchevêque Aimerydevint un personnage entièrement nul : il se dé-mit de son archevêché entre les mains du pontife,et se retira à labb
RM2CR1F16–. La philosophie des images : composée d'un ample recueil de devises, & du jugement de tous les ouvrages qui ont êté faits sur cette matiere . La Conïlellation dHercule. EXANT LATIS LABORIBVS. ^pres tant de travaux je jouis du repos. XVI I.La Conftellationdu verfeur d eau. CELESTES EFFVNDET OPES. )es dons du Ciel il répand labondance»* „V J11. Au Ballet des quatre Saifons dancélan 1623. Le Chevalier de la Caniculeportoit cette Conftellation avec ce mot. 4E î>IV ARDENTE NEPIVFEDELE. Nul neft plus ardent, ny plus fidèle. %<%& Recueil de plujîeurs DeVifesl LXIX. LXX. Aux Cérémonies faites à
RM2CDXWYK–. Kermaria; idylle d'armorique en trois épisodes, précédée d'un prologue. Poème de P.B. Gheusi. Partition chant et piano réduite par l'auteur . Ouicloiica vu lltiinabKrcvf - riant jnutices or - gut.sso.Kii inl . lis? i>I()ins lont. Les FEMMES,sup.Mstitieu>Hm.-nt ^^•?4 ? rWr I-- f r w-rFf n^ r r r r Par les ft* d da lis w nd les nul mor-tcl^ SHii;nturou ma.Culitr. nif ^h^ ? j J j J j-^^-m^nrj j j J j J Parles fe o da . les ve iicl . les nul innrJtI^ sciiineurou ma.
RM2CRYCP7–. Iconologie tirée de divers auteurs. Ouvrage utile aux gens de lettres, aux poëtes, aux artistes, & généralement à tous les amateurs des beaux-arts . AVEUGL.EMENT de Tefyrit.Tj* a figure qui charadterife ce fujet fe reprefente au milieu d*une prairie, dont elle confidere avec at-tention rherbe & les fieurs, lesquolle font allufives auxdelices de la terre, qui rejouiflent Tame & Toccupentfans nul profit. Selon les Egyptiens la taupe efiremble-me qui lui convient. Au deffus de fa tete eft un nuage epais qui empe-che un rayon de lumiere de penetrer jufqua elle & deleclairer. tsssaHoua F R A N C
RM2CEF69C–. Collection des Goncourt; dessins, aquarelles et pastels du 18e siècle. toganet habillés de pelisses aux manches fendues des dolmans. Lavis à lencre de Chine. Signé : C. de Wailly, 1776. (H., 0,48. — L., 0,72.) WATTEAU (ANTOINE) (c Le grand, Foriginal, rinimitable dessinateur de lÉcole fran-« çaise !... Cest de la sanguine qui contient de la pourpre, cest duM crayon noir qui a un velouté à nul autre pareil; et cela mélangé« de craie, avec la pratique savante et spirituelle de lartiste,« devient, sur du papier chamois, de la chair blonde et rose. » (Ed. de Goncourt.) j40. — Figure du Prinieiii
RM2CNK6MT–. Nouvelles histoires sur de vieux proverbes; . LE DIABLE ENNUYÉ 89. compter si loin et quant aux automobiles elles neussent puy rouler par la bonne raison quelles nétaient pas inventées.Les pauvres étaient là, comme partout, ceux qui nont nifeu, ni lieu. Le plus riche de lendroit cétait incontestablementEloy. Nul ne possédait daussi belles têtes debétail, nul navait, dans ses granges, de plusbelles récoltes. Eloy vivait heureux avec safemme, ses fils et sa fille Nicole. Nicole, de lavis de tous, était la plusbelle fille du pays, et, chose plus rare, elleétait aussi bonne que jolie et tout le
RM2CJ443W–. Notice de la sculpture antique du Musée Impérial du Louvre . , en avait reconnu!a destination : « le piidestal dun des hermès a dû porter aussi« une inscriplion; mais les caractères en sont tellement dégradés,quil ma été impossible de les déchiffrer. » Nul doute, ce piédestal,rencontré à côté de la statue, est le même dont M. de Marcellus dé-clara plus tard ignorer la prùveii.ince. Daprts M. de Ciarac (p. 49),« linscription arrivait juste dans lalignement de la surface anté-rieure de lancienne plinthe et sajustait exactement par derrière etde côté avec ses fractures. « En voici, du re-te, le
RM2CP306E–. Les emblemes de l'amour humain . I> 3 34 EMBLEMATA RES IMMODERATA CVPIûO EST, ^akat Anor peJe menfuram ^ at-f, domanth frena ^ bunçTrulla lupaia modus ^ lex, retm.ick monent.Properc. E>ra(, qui finem befani qucerit Anoris.Verus Amor nullum nouit haberc moJum, Amor non ha mifura.Frenile mifure Jfmor dijfo/ue^e Vieta,T,Nul iicn,nulle loy narrt/icr-Tlba voi.Quil naillepourfuinanicoufioursfon defir Col.i;Ç ItuIparfait Amour ne fçaicpoint de mtfure. VIR. A M O R V M* ft. 3* EMBLEMATA VIRTVTIS RADIX AMOR. Plato. Anima immerfa corpori, Amoris expcrgifcitur ftimulis: Si hinc primi ad honeita i
RM2CPA74M–. Devises heroiques, et emblemes . Nul ny perd quautre ny gaigne. Si yn Serpent ne mangeoit lautre iamaisne deniendroit Dragon, ^infi les Riches &*pwljans, croifent au dommage Jautruy. Pifceis vn fepe minutes magnumcorn eft vtabeisenerat, Accipiter di*fbitVarron. H E B. O I Q^V E S. Confiiio firmata Dei. m. K Affilié du çonftil de Dieu, VEpee couronnée, enfemhle deusfleurs de Eno. ^Lis, relui/ans iadis en Venfàgne de la Pucelie Moftrdet.a Orléans, ejî >n perpétuel monirnent de ladefenJè&*prote£lion de France, Si les Romains ont faitjt grand cas dV^Me Cierge délie qui fefau^a elle mefmem
RM2CNK97F–. Nouvelles histoires sur de vieux proverbes; . )répaiant à partirdemain au [)etitjour i)our un long, long voyage, vientte faireses adieux?... » Marcel est rassuré: — Oli 1 petite amie, que je voudrais partir avec toi !... — ()ui ten empêche ? — Hclas ! je nai ])oint d ailes et je ne ])ouriais lesuivre! — Enfant !... ^< as-tu pas à ta disposition ton cerf-volantsuperbe qui te servira de monture?.,. iens ! Tu ne sais pasieconduire... oler?...Maiscest très sinn)le, il suffit de péné- DU CENT A LHEURE 63 trer un petit secret que nul humain ne connaît, mais que jete dévoilerai, moi !... Tu v
RM2CEPGWD–. Les types de Paris. roites, en chi-veux ou enchapeaux, robes moulan-tes, tailles frajjiles, lesseins haut nichés, les pe-tites se tiennent fixes, les3F kj^ eux sur le chef de ren- contre, comme des canta-trices (|ui vont chauler auprès diin piano, comme des demoiselles de con-frérie, dans une é.jjlise. Elles ne CDiiuaisseiil jiasles unies ipiCllesont sous les yeux. Ces points noirs,ces baires, ces si.;;nes, c (>st pour elles lanyajje de myslerc, comme un alpha-IhI iMCduipiciiiusihle, (lu ces creusenu-nts dhicro{;lyphes dans la pierre(|u elles nul pu oir el loucher, dans la salle bassi;
RM2CENY0B–. Les raisons des forces mouuantes auec diuerses machines tant vtilles que plaisantes : aus quelles sont adioints plusieurs desseings de grotes et fontaines. quel va.fleau ne peut faire nul effecl, dautant quil natirera leau Ta-enia ïambe B. du fifon B. non plus que la hauteur, comme eft ledit vaifleauAencores quil contienne autant deau ou plus que ledit fifon, fi eft-ce que ladite eau, nésefleueraplushaut,que lefpefleur ou hauteur dudit vaifleau. THEORESME II H Leau ne peut monter par/on propre moyen; fi ce neïl bas que fin niveau. pour defcendre j plus WÊmm E fécond moyen de faire monter lea
RM2CEWMG4–. Regles des cinq ordres d'architecture de Vignole : ouvrage dans lequel on donne : une idée de la géometrie, les définitions des figures géométriques nécessaires à l'étude de l'architecture, la formation des ordres, rigoureusement démontrée, dans l'origine de l'architecture ... : enfin, les notions nécessaires sur les ordres appellés accessoires. les toiTJs ci-exix ( om.lesNlclie^S t-iz;::::C±z:a--. fanil.TzètiZ.jfe/ J-/,t./ar,/,ll^ iiii .1 .<?!,//• 02IRUKS nKSXrCHES qiAl{KE.S,c-nUl^I.^VnîKS, . /y - et vies VoTltes eu I^erceAll . ltl. îd Fi^ 1 Oiula-e des Iiïten.enrs*irdesNidxes Qiiarees
RM2CE547X–. Premier livre d'Amadis de Gaule; . Z m. ie VQOi. LE PREM 1ER LIVRE E vous ay cv deuant narré Iayfe Seplaifir queut le bô royLifuart pourles nouuellesque Ion auoit aportéesala cour de la conualefcence dA-madis & de GalaorrcV pour plus lafaireparoiítre,c6clud de teñirá leurárriuéeeftat magnifique oCroyal,plus que nul de fesanteceííeurs euít onques fait en la grand Bretaigne:tellement quen peu de iours la cour augmenta àmerueilles.Ce que voyát Oliuas lequel (comme iaynaçucres recité)efloit venu exprès fe plaindre du la-fche tour quiuoit fait le Duc de Briftoye, ayant faitmourir en trahifon fon
RM2CNMXEX–. Strasbourg; . — Je te crois,vieux frère! reponditsimplement lofficier. — Dailleurs, ajouta une reli-gieuse, nous les retiendrions de force )). Et le vieux, rajeuni de quarante-huit ans,éclata de rire, comme un conscrit. Après le défilé, le général Gouraud nous dit :« Jamais on na rien vu daussi beau ». Et il ajoutait à voix basse : « Si jai pu faire quelque chose de bon dans ma vie de soldat, cette journéemen récompense mille fois pour une. » Le général avait dit aux Alsaciens : « Quand on sonnera au drapeau, il y aura sans nul doute une grande émotion.. STRASBOURG. 37 Cette sonnerie mémeut
RM2CHTK42–. Les Français peints par eux-mêmes . INTRODUCTION Il faut liifii toujours que les écrivains dune époquerendent au puldic ce que le publie leur a prêté, et lé-crivain nest jamais si heiueux et si populaire que lors-que le public lui a beaucoup demandé, et lorsquil lui abeaucoup rendu. Plus ses emprunts sont nombreux, etplus il est lui-même un homme de génie. Cest là luni-que raison qui a fait de Molière le premier poêle dumonde; car nul plus que lui na emprunté à lhumainenature ses vices, ses ridicules, ses passions, ses haines,ses amours, ileureuscmeni pour les emprunteurs à ve-nir que, si le
RM2CEEAKM–. La Henriade : divers autres poemes, et toutes les piéces relatives à l'épopée. pourra être préféré àAIoîito dans ce cas particulier. Iî eft vrai que fi Alon^o eft dans un feul endroit fu-périeur à Homère , iî eft dans tout le refte au deffous dumoindre des poètes. On eft étonné de le voir tomber iîbas après avoir pris un vol M haut. Il y a fans doutebeaucoup de feu dans fes batailles, mais nulle invention,nul plan , point de variété dans les defcriptïons, pointdunité dans le defîîn. Ce poërne eft plus fauvage queles nattons qui en font le fujet. Vers la fin de louvrage ,lauteur, qui eft un d
RM2CH85M1–. L'été à Bade . Manheim. — Place du Vieux-Marche.. génie de notre temps, Victor Hugo, a fait un livre admirable.Il a conquis par les armes de lintelligence, de la pensée, de lapoésie et du style, le fleuve qui a subi tant de fortunes diverses,qui a si souvent changé de maîtres dans les hasards de la guerre,dans le choc des batailles et dans lescamotage des traités diplo-matiques. Plus solide et plus durable, la conquête littérairerésiste à ces mobiles destins; nul ne dépossédera lécrivain vic- létk a rade. 15 226 LÉTÉ A BADE. torieux ; le monument quil a élevé sur le Rhin na rien à redoute
RM2CRPK9X–. Oeuvres de Pierre Curie : publiées par les soins de la Société française de physique . 2 t b2 — a2 = o(figure i, courbe III), on a (5) a = a0e-*(n- &£). Pour b2 — a2 -< o (figure i, courbe IV), on a a = oL0e-at - (6) /a2—62 ■ja^ — b l y/a* — b2 V«*-6»« Pour on a la droite (7) a = oc0. Si lon suppose que lamortissement, dabord nul, prend suc-cessivement des valeurs de plus en plus grandes, on réalisera suc-cessivement tous les types de mouvement, dont quelques-uns sontreprésentés figure î : le mouvement, dabord représenté par unesinusoïde (courbe I), devient oscillatoire avec amplitudes s
RM2CT37G1–. Iconologie tirée de divers auteurs : ouvrage utile aux gens de lettres, aux poëtes, aux artistes, & généralement à tous les amateurs des beaux arts . e portata fo-pra una nube , tenendo un gran vafo,dal quale verfa della rugiada fopra unglobo terre/ire. Ha un occhio aperto , eraggiante fui petto, per indicare che nul-la è a lei nafeofto. Tom. 111. L i 84 ICONOLOGIE. PRU DE N C E. ÌJ Es attributs ordinaires font le mi-roir , & le (erpent. Les anciens yaioutoient deux faces, lune ieune, Selautre vieille, comme à Janus , vou-lant fïgnifier que cette veitu sacqnicrepar la confi dération du paffé
RM2CT1H83–. Deuises heroiques et morales . À tefte royale, pîuficiirs cœurs. A naijfance efi augufie ç£ ma race royale,A mon illufire fang nul autre ne se-gale y ïayde la maie fié ïefprit & la douceur*Devn cœur*. ïtf DEVISES LE Phénix naift de la cendre defon père bruflcau Soleil 5 èc de cette cendre encore chaudeluy vient cette inclination folaire, qui luy fait aimerle Soleil, & fe tourner à fa lumière dés quil a lesyeux ouuers ÔC les aifles libres. Ce fymbolc eft no-ble &C royal,, & reprefente aflez naturellement lin-clination que le Roy, encore enfant, a eue après le feuRoy fon Père,pour vne Perfonne
RM2CNXH7Y–. Histoire naturelle des oiseaux . I^E IIOUGK -GOKGK. au Rouge-gorge. 299 long d environ neuf pouces , le géfierqui eft mufculeux, eft précédé dunedilatation de Tœfoph^ge, le cœcum efttrès-petit, & quelquefois nul dans ccr-»tains individus. En automne, ces oifeauxfont très-gras, leur chair eft dun goûtplus fin que celui de la meilleuregrive dont elle a le fumet, fe nour-riffant d^s mêmes fruits, & fur-toutdes alifes.. N v] 3.0 0 Hijîoire Nature lie LA GORGEBLEUE(a). Par la proportion des formes, par lagrandeur & la figure entière , îa gorge- * Kove?îes planches enluminées, n.^ 361, fig. 2,îa g
RM2CNNKR6–. Contes roses . vaient point entendu parler dune princesse prisonnière. Mais nul ne le pouvait renseigner. Or, un jour quil traversait un bois touffu, il aperçut soudain au-dessus de lui, sur la haute branche dun if, un oiseau au plumage sibrillant quil sarrêta pour le contempler. Il était gros comme unpigeon, avait des plumes bleu azur et, sur la tête, une aigrette cha-toyante qui semblait dor et de diamants. Le jeune prince saisit son arbalète et mit en joue cet oiseau singu-lier. Mais au moment quil allait tirer, la bête tourna vers lui son œilde saphir, et une voix humaine sortit de son b
RM2CPYPJ1–. Zinnebeelden, getrokken uit Horatius Flaccus . CONSCIBNTIA MTLLB TKSTES, Linnocence eft un mur dairain ,Que nul effort ne peut détruire.Le cœur où lon la voit reluire ,Ayant un pouvoir fouverain jNe voit rien qui luy puifîè nuire. G z HO- 52 ZINNEBEELDEN HONESTE ET PUBLIC E. Ltb. I. fffft ï6. ^^ ^^^^ ^.^.g ^ ^^ ^^j.^ ^^ ^^^^ audis. 27. D A E D B Y N Â E M. Men zie uw wandel van naby ,Die ruftig leefr met open deuren; Maek darter niers te vinden zyDat los gerucht kan quaÜjk keuren. De vrome weet van geen verdriet,Al loert de faem met Argus oogen : Het geen er oit van hem gefchiet ,Mag de onde
RM2CP61YT–. L'histoire de la natvre des oyseavx : avec levrs descriptions, & naïfs portraicts retirez du natvrel, escrite en sept livres . Piuome 354 LIVRE VII. DE LA NATVRE Vefaip- & tels autres. Le Chardôneret cft de moindre corpulence que lePinfon. Il pôur-cW*L r0it bien cftrC miS Cn comParaifon ^e grofleur au Tarin.U eft loy fillon de la plusncm.0 k<^e couleur que nul autre que nous ayons en France. On le nourriftencagepour fon plaifant chanter.Il y à afles bonnes enfeignes pour le fçauoir cognoiftredauec les autres : ceft quil neft iamais fans auoir du rouge deflbus le front, & lagorge.ll a. au
RM2CE02M7–. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . r jufqUaûx nuesPorter limpie en vn moment,Ses bras couuroient toute la terre,Il ne craignoit vent ni tonnerre,Dans lexcès de fà vanité ;Mais aulfi jay veu que.la foudre, S Va. LE PSEAV.ME XXXVI. X2.J Laccablant tout dvn coup, la Ci bien mis en poudre»Quil neft de fa grandeur nul veftige refté» Donc il faut encore le dire, Mortels, commandez à vos fens, Du Seigneur reuerez lempire, Faites gloire deftre innocens i Le refped de la loy celefte A la mort eft ce qui nous refte, i Ceft ce qui nous fuit au cercueil, Auec le pécheur au contrair
RM2CEFP57–. Oeuvres, dédiées à S.A.S.M. le duc d'Orléans. nfans. O la péfànte Croix , Dit Monfieur delà Martiniere ,( Car le nom de Martin étoit cru de trois doigts ; ) Quel fardeau que des Domeftiques !ParefTeux, ne craignant ni menaces, ni coups ,Voleurs, traîtres, menteurs, & médifans iniques,Ilrmangent notre pain & fe mocquent de nous. Ah ! dit le Père de famille ,Parlez-moi des Enfins ; voilà le vrai chngrin. L I V R E V. $Gf Ils ne valent tous rien , autant garçon que fille ,Lune ell une coquette , & lautre un libertin. Nul refpeâ , nulle obéïflance ;yiousnous tuons pour eux , point de reconnoil^T
RM2CPMJGK–. Iconologie, tirée de divers auteurs : ouvrage utile aux gens de lettres, aux poëtes, aux artistes, & généralement à tous les amateurs des beaux-arts . DERïSïON. Urj^lle eft ordinairement leifec de la ntechanceté,dune ignorance groffiere, & de la fuperbe;ainfi on la peint coëffée de quelques plumes de paon,tirant la langue, & fefant les cornes avec fes doigts.Elle a une efpece de manteau de peau de hérififon,pour marquer qu elle eft piquante & na dautre fa-tisfaftion que celle de blefler le prochain fans nul |égard. Lane en adion de braire , fur lequel ellesappuye, eft un emblème dont les anc
RM2CP2N3W–. Ornithologie, ou, Méthode contenant la division des oiseaux en ordres, sections, genres, especes & leurs variétés : a laquelle on a joint une description exacte de chaque espece, avec les citations des auteurs qui en ont traité, les noms quils leur ont donnés, ceux que leur ont donnés les différentes nations, & les noms vulgaires . a . Crrand Tur/i^ecni iucjieiey. Tmri.FI.Tl.XI.. 1. Flari^eoîv ay Go7y& rou^e a . Gn^arul Plort^ecnt ézc/ieie. ORDO XXII. ORDRE XXII. A F E s LES OISEAUX •J)igLtis trihiis anticîs, membranis integris interfé con-nexis, digito pojlico nul-lo : cruribiis circa corp
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