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Annexes THESE - Bibliothèques de l'Université de Lorraine

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Université Nancy 2<br />

Ecole Doctorale Langage, Temps, Société<br />

––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––<br />

N° attribué par la bibliothèque<br />

<strong>Annexes</strong><br />

<strong>THESE</strong><br />

Pour obtenir le gra<strong>de</strong> <strong>de</strong> Docteur d’Université <strong>de</strong> Nancy 2<br />

Doctorat nouveau régime<br />

Discipline Sciences <strong>de</strong> l’Information et <strong>de</strong> la Communication<br />

Présentée et soutenue publiquement<br />

par<br />

Séverine CALAIS<br />

Sous la direction <strong>de</strong> Messieurs les Professeurs<br />

Roger VIRY-BABEL (†)<br />

et Eric SCHMULEVITCH<br />

Année 2006-2007


Sommaire<br />

Dossier La Gran<strong>de</strong> Illusion page 3<br />

Scène coupée <strong>de</strong> La Marseillaise page 22<br />

Nomenclature <strong>de</strong>s personnages page 24<br />

Bibliographie page 38<br />

Ouvrages sur Jean Renoir page 39<br />

Ouvrages <strong>de</strong> Jean Renoir page 41<br />

Romans <strong>de</strong> Jean Renoir page 42<br />

Autour <strong>de</strong> Jean Renoir page 43<br />

Romans, pièces <strong>de</strong> théâtre et scéarii originaux page 47<br />

Périodiques page 49<br />

Presses page 74<br />

Dictionnaires page 80<br />

Thèses page 82<br />

divers page 83<br />

Documents sonores page 86<br />

Documents visuels page 88<br />

Crédit photographique page 328<br />

2


Dossier La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

Les pages suivantes sont extraites <strong>de</strong> l’ouvrage : Jean Renoir, Correspondance 1913- 1978,<br />

éd. Plon, Paris, 19 , p. à<br />

Jean Renoir entreprend le tournage <strong>de</strong> « La Gran<strong>de</strong> illusion ». La première a lieu le 4 juin à<br />

Paris. Il est alors accusé <strong>de</strong> plagiat par Jean <strong>de</strong>s Vallières, auteur <strong>de</strong> « Kavalier<br />

Scharnhorst », publié en 1931 par les éditions Albin Michel :<br />

3


A Louis Aragon 25 juin 1937<br />

Paris<br />

Mon cher Aragon,<br />

Il m’arrive une chose un peu embêtante. Je m’excuse <strong>de</strong> t’en parler mais c’est parce qu’il<br />

s’agit, je crois, d’une tentative plus générale qu’un simple chantage.<br />

J’ai fait La Gran<strong>de</strong> Illusion avec <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> camara<strong>de</strong>s qui m’ont raconté leur captivité.<br />

Leur récit m’a ému et avec Spaak nous en avons tiré un scénario. Spaak d’ailleurs <strong>de</strong> son<br />

côté, avait <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> son frère, le ministre belge, qui a été prisonnier pendant la guerre.<br />

Les journaux <strong>de</strong> droite : Candi<strong>de</strong>, Action française, etc. ont constaté le succès <strong>de</strong> ce film mais avec<br />

<strong>de</strong>s réticences, tout au moins avec un certain étonnement <strong>de</strong> voir un individu qu’ils<br />

considèrent comme dangereux révolutionnaire, abor<strong>de</strong>r un sujet national et lui donner une<br />

forme pouvant satisfaire la majorité <strong>de</strong>s spectateurs <strong>de</strong> toute opinion.<br />

Dans certains <strong>de</strong> ces journaux ( je crois que c’est dans un article du jeune Fayard) on avait<br />

vaguement fait allusion au fait que j’avais, peut-être, puisé ma documentation dans un<br />

bouquin d’un ami <strong>de</strong> Fayard qui s‘appelle Desvallières. Cette allusion m’avait semblé très<br />

ridicule car le bouquin <strong>de</strong> Desvallières (Le Cavalier Scharnorst) est un bouquin assez haineux,<br />

dans lequel on parle <strong>de</strong> « boches », écrit dans un esprit <strong>de</strong> nationalisme étroit et désagréable.<br />

Or, j’ai fait tout mon possible pour faire un film qui, tout en étant national, serait absolument<br />

internationaliste.<br />

Naturellement, certaines histoires que raconte Desvallières, je les raconte aussi et cela pour la<br />

bonne raison que ce sont <strong>de</strong>s histoires vraies et que ces histoires vraies ont été répétées à <strong>de</strong>s<br />

dizaines d’exemplaires dans les camps <strong>de</strong> prisonniers qui se ressemblaient beaucoup entre<br />

eux.<br />

Maintenant, la menace se précise et ce Desvallières arrive en m’attaquant <strong>de</strong> plagiat. Je vais<br />

naturellement me défendre et mes producteurs sont décidés à l’attaquer ainsi que son éditeur,<br />

Albin Michel, pour chantage.<br />

Les faits incriminés sont <strong>de</strong>s faits exacts, par conséquent du domaine public, et M.<br />

Desvallières n’a aucune raison <strong>de</strong> les revendiquer exclusivement, pas plus que les prisonniers<br />

à qui ces aventures sont arrivées et qui me les ont contées.<br />

Je crois que tu comprends la menace :<br />

1- M. Desvallières qui est un ancien prisonnier considère que tout ce qui touche aux prisonniers<br />

<strong>de</strong> guerre lui appartient.<br />

2- Ses amis <strong>de</strong> Candi<strong>de</strong>, Gringoire, L’Action française sont trop heureux <strong>de</strong> le soutenir dans son<br />

action tendant à prouver qu’un auteur classé à gauche ne peut pas, sans aller le leur voler,<br />

pondre un sujet national.<br />

En somme, une fois <strong>de</strong> plus, il s’agit d’insinuer que tout ce qui est national (La Marseillaise, le<br />

soldat inconnu, les prisonniers <strong>de</strong> guerre en l’occurrence) appartient exclusivement aux<br />

fascistes.<br />

Mon cher Ami, je ne sais pas ce que va <strong>de</strong>venir cette affaire mais, le cas échéant, j’irai te<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong>r conseil.<br />

Dix mille choses à ta femme et à bientôt.<br />

Jean Renoir.<br />

4


A Me Rappoport 29 juin 1937<br />

Paris<br />

Cher Maître,<br />

Voici le petit travail que vous m’avez <strong>de</strong>mandé.<br />

Comme témoins, je n’ai trouvé jusqu’ici que plusieurs membres <strong>de</strong> la ligue <strong>de</strong>s Evadés, mais<br />

je pense que, étant donné le sérieux <strong>de</strong> cette Ligue leur témoignage sera d’excellent poids.<br />

Plusieurs <strong>de</strong> ces messieurs sont disposés à affirmer qu’ils ont connu notre scénario avant qu’il<br />

soit tourné, qu’ils l’ont critiqué, qu’ils nous ont amené à y établir d’heureuses modifications et<br />

que, pendant cette collaboration, ils n’ont pas pensé un seul instant à une concurrence envers<br />

le Kavalier Scharnhorst.<br />

L’auteur <strong>de</strong> ce livre, M. Desvallières, faisant partie <strong>de</strong> cette Ligue, ces messieurs n’auraient<br />

pas manqué <strong>de</strong> signaler la chose s’ils avaient pensé que la sortie <strong>de</strong> ce film puisse nuire aux<br />

intérêts <strong>de</strong> leur camara<strong>de</strong>.<br />

Veuillez agréer, Cher Maître, l’assurance <strong>de</strong> mes sentiments distingués.<br />

Jean Renoir.<br />

A André Hirschmann 2 juillet 1937<br />

Cher ami,<br />

Je relève dans Paris-Soir du 25 juin <strong>de</strong>rnier, l’écho suivant :<br />

« Quatre films français viennent d’être interdits par la censure yougoslave et ce sont : Marthe<br />

Richard, La Gran<strong>de</strong> Illusion, L’Homme à abattre, Soeurs d’armes, sans doute parce que ces quatre<br />

productions traitent <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> guerre et du contre-espionnage. »<br />

Bien qu’il soit un peu tard pour répondre peut-être pourrait-on :<br />

1- Dire que La Gran<strong>de</strong> Illusion n’a rien à voir avec un film <strong>de</strong> contre-espionnage.<br />

2- Si cette décision <strong>de</strong> la censure yougoslave est fausse, démentir.<br />

Je me permets <strong>de</strong> vous écrire ainsi parce que je pense qu’il est toujours bon <strong>de</strong> profiter <strong>de</strong> toute<br />

occasion pour parler d’un film dans les journaux.<br />

Croyez, Cher Ami, à mes sentiments les meilleurs.<br />

A Maître Rapaport 10juillet 1937<br />

Cher Maître,<br />

J’ai pu joindre M. Etevenon <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés <strong>de</strong> Guerre. Il me communique un article<br />

qu’il a écrit sur La Gran<strong>de</strong> Illusion et qui prouve que dans le milieu <strong>de</strong>s évadés <strong>de</strong> guerre, on ne<br />

considère pas que La Gran<strong>de</strong> Illusion est un plagiat du Kavalier Scharnhorst. Je vous communique<br />

ci-joint cet article, dont j’ai gardé un double, <strong>de</strong> manière à ce que vous l’ayez avant lundi. M.<br />

Etevenon m’a également remis plusieurs exemplaires du journal L’évadé qui peuvent vous être<br />

utiles.<br />

Il n’est pas sûr, étant employé dans une gran<strong>de</strong> administration, <strong>de</strong> pouvoir venir lui-même<br />

mardi matin. Mais il me <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> lui téléphoner du lieu <strong>de</strong> l’arbitrage et peut-être pourrat-il<br />

nous rejoindre vers 11 heures, si l’arbitrage n’est pas terminé.<br />

M. Bunau-Varilla, qui nous a donné d’autres détails sur sa propre évasion, viendra<br />

témoigner.<br />

Je n’ai pas pu joindre le colonel Pinsard qui est en manœuvres, mais M. Gaut, l’ancien officier<br />

qui me l’a présenté et qui a été témoin <strong>de</strong> nos conversations, viendra témoigner et pourra<br />

5


donner une idée très exacte du récit <strong>de</strong> Pinsard qui constitue la trame principale du film La<br />

Gran<strong>de</strong> Illusion.<br />

J’écris également à M. Aget, évadé <strong>de</strong> guerre, qui est à Paris et qui nous a donné d’autres<br />

renseignements en même temps qu’il nous a mis en rapport avec La Ligue <strong>de</strong>s Evadés. Je ne<br />

sais encore s’il pourra venir témoigner.<br />

Croyez, Cher Maître, à mes sentiments distingués.<br />

Jean Renoir.<br />

A Monsieur Edouard Aget 10 juillet 1937<br />

Paris IX<br />

Cher Monsieur Aget,<br />

Avez-vous reçu ma lettre vous conseillant <strong>de</strong> vous mettre en rapport directement avec M.<br />

Rolmer père ? Croyez-moi, si ce n’est déjà fait, vous <strong>de</strong>vriez lui parler <strong>de</strong> votre séance. [...]<br />

Ce n’est pas seulement pour ça que je vous écris, mais aussi parce que nous allons avoir un<br />

arbitrage <strong>de</strong> notre différend avec MM. Albin Michel et Desvallières.<br />

Je crois que vous êtes au courant ? Spaak m’a dit que Gabin vous en avait parlé. La chose est<br />

très simple : Ces messieurs pensent que nous avons puisé les détails <strong>de</strong> notre film dans le<br />

livre Kavalier Scharnhorst. Nous voulons prouver notre bonne foi en affirmant que nous avons<br />

puisé nos renseignements non pas dans un livre, mais à <strong>de</strong>s sources absolument directes. J’ai<br />

déjà avec moi le meilleur témoin <strong>de</strong> l’histoire qui est le colonel Pinsard lui-même, dont j’ai à<br />

peu près suivi l’histoire dans La Gran<strong>de</strong> Illusion.<br />

Ne pourriez-vous nous faire l’amitié <strong>de</strong> venir dire que nous avons été en rapport avec vous et<br />

ensuite, par votre intermédiaire, avec plusieurs membres <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés et que vousmême<br />

et ces messieurs avez eu, avec nous, <strong>de</strong>s conversations sur la vie <strong>de</strong>s prisonniers alliés<br />

en Allemagne pendant la guerre ? Cela ajouterait au témoignage <strong>de</strong> Pinsard.<br />

Le plus étonné <strong>de</strong> cette ridicule affaire, c’est Pinsard car tous ces officiers qui voient le film,<br />

lui disent constamment : « Mon colonel, on vient <strong>de</strong> vous voir sur l’écran .»<br />

Je comprends le sentiment <strong>de</strong> Desvallières qui croit que la sortie <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> Illusion va lui<br />

empêcher <strong>de</strong> vendre les droits du livre Kavalier Scharnhorst pour le cinéma. Mais il a tort car il y<br />

a dans son livre très riche, <strong>de</strong> quoi faire une bonne <strong>de</strong>mi-douzaine <strong>de</strong> films très différents <strong>de</strong> La<br />

Gran<strong>de</strong> Illusion.<br />

Il a tort également car son action peut faire supposer que ce qu’il a raconté est inventé. Nous<br />

nous trouvons tout simplement entre plusieurs auteurs, les uns d’un film, les autres <strong>de</strong> livres,<br />

qui avons basé notre travail sur le récit <strong>de</strong> faits authentiques et qui, parce qu’ils sont<br />

authentiques appartiennent au domaine public. La vie <strong>de</strong>s prisonniers <strong>de</strong> guerre n’appartient<br />

pas plus à Desvallières qu’à d’Harcourt, qu’à Bastaing ou qu’à bien d’autres qui ont raconté<br />

leurs propres aventures ou celles <strong>de</strong> leurs camara<strong>de</strong>s. Elle appartient à l’Histoire.<br />

Je m’excuse, cher monsieur Aget, <strong>de</strong> ces longues digressions. C’est pour vous dire que Spaak<br />

et moi serions fort heureux si vous pouviez quitter un instant vos affaires, ce qui ne doit pas<br />

être facile, et dire aux arbitres <strong>de</strong> ce différend ce que vous savez <strong>de</strong> tout cela.<br />

Cet arbitrage aura lieu mardi 13 juillet à 9h30 du matin, à la société <strong>de</strong>s auteurs, 9 rue Ballu,<br />

Paris IXe. Si vous ne pouviez pas venir, ne pourriez-vous pas m’envoyer une lettre qui vous<br />

remplacerait ? Cela ne vaudrait pas votre présence mais vous êtes tellement occupé que cela<br />

vous sera peut-être trop difficile <strong>de</strong> vous déranger.<br />

En vous remerciant à l’avance, je vous prie <strong>de</strong> croire, cher Monsieur Aget, à mes sentiments<br />

les meilleurs.<br />

Jean Renoir.<br />

6


Jean Renoir reçoit dans une lettre le détail <strong>de</strong> ces griefs.<br />

A Albin Michel et Jean Des Vallières Juin 1937<br />

Meudon-Bellevue<br />

ORIGINES DES SCENES DE LA GRANDE ILLUSION MISES EN<br />

CAUSE PAR MM. ALBIN MICHEL ET DES VALLIERES<br />

Dans le livre origine<br />

1.Un avion Français est abattu.<br />

La pilote est reçu par les officiers allemands<br />

(fait très exceptionnel). Il y déjeune<br />

2. Il s‘étonne qu’un <strong>de</strong>s officiers allemands<br />

parle couramment le français ; celui-ci lui<br />

répond qu’il était mécano chez Blériot<br />

1. Fait raconté à<br />

Charles Spaack par<br />

Fonck,<br />

Hervitaux et Gerlich,<br />

aviateurs <strong>de</strong> la guerre<br />

avec lesquels il était<br />

entré en rapport pour<br />

étudier les possibilités<br />

d’un film sur l’aviation<br />

<strong>de</strong> chasse pendant la<br />

guerre.<br />

2. A propos <strong>de</strong> ce point,<br />

il me faut répondre en<br />

invoquant le sujet<br />

général du film La<br />

Gran<strong>de</strong> Illusion. Ce film<br />

n’a pas pour but<br />

principal <strong>de</strong> décrire la<br />

vie <strong>de</strong>s prisonniers<br />

français dans les camps<br />

allemands pendant la<br />

guerre.Il est une<br />

confrontation entre<br />

hommes <strong>de</strong> catégories<br />

différentes. Le milieu<br />

<strong>de</strong>s camps <strong>de</strong><br />

prisonniers pendant la<br />

guerre, nous a paru un<br />

excellent révélateur <strong>de</strong>s<br />

caractères ainsi<br />

présentés. Le prési<strong>de</strong>nt<br />

<strong>de</strong> la « Ligue <strong>de</strong>s<br />

Evadés <strong>de</strong> Guerre » M.<br />

7


Richard et une<br />

commission d’évadés<br />

<strong>de</strong> guerre, avec qui nous<br />

avons eu une<br />

importante conférence<br />

avant <strong>de</strong> commencer le<br />

film, le savent bien car<br />

nous sommes tombés<br />

d’accord avec eux sur le<br />

fait que les scènes, qui<br />

plus tard permettraient<br />

au commandant von<br />

Rauffenstein et au<br />

capitaine <strong>de</strong> Boëldieu <strong>de</strong><br />

se mesurer, ne<br />

trouveraient pas place<br />

dans un récit purement<br />

documentaire <strong>de</strong> la vie<br />

<strong>de</strong>s prisonniers. Mais<br />

que étant donné la<br />

nature du film, à savoir<br />

cet étalonnage <strong>de</strong><br />

différents types<br />

d’humanité à une<br />

certaine époque, ils ont<br />

considéré que cette<br />

scène était parfaitement<br />

plaçable dans le film.<br />

En conséquence,<br />

lorsqu’il s’est agi <strong>de</strong><br />

présenter dans la<br />

popote alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong>s<br />

types opposés et réunis<br />

par groupes, il nous a<br />

fallu trouver un<br />

contraste au caractère<br />

<strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux officiers, à la<br />

fois nobles et <strong>de</strong> carrière<br />

[ mention en marge :<br />

point incriminé]. Etant<br />

donné que nous étions<br />

dans l’aviation, il était<br />

fatal que nous tablions,<br />

<strong>de</strong> l’autre côté <strong>de</strong><br />

l’échelle, sur <strong>de</strong>ux<br />

anciens mécanos. Et,<br />

étant donné que dans<br />

un film français, il faut<br />

bien trouver <strong>de</strong>s<br />

prétextes pour faire<br />

parler les acteurs dans<br />

une langue<br />

8


3. Chacun <strong>de</strong>s officiers allemands<br />

parle <strong>de</strong>s avions français qu’il a <strong>de</strong>scendus<br />

4.Transfert à l’intérieur <strong>de</strong> l’Allemagne,<br />

fouilles...<br />

compréhensible aux<br />

spectateurs, nous avons<br />

imaginé que l’Allemand<br />

avait travaillé en<br />

France. Je dois dire que<br />

<strong>de</strong> nombreux faits<br />

analogues m’ont été<br />

rapportés et que,<br />

personnellement<br />

prisonnier <strong>de</strong>s<br />

Allemands pendant<br />

trois semaines à<br />

l’époque <strong>de</strong> la bataille<br />

<strong>de</strong> la Marne, j’ai vu<br />

dans la salle d’hôpital<br />

d’Amiens où j’étais<br />

soigné, <strong>de</strong>ux anciens<br />

mécaniciens, l’un<br />

français, l’autre<br />

allemand, s’apercevoir<br />

qu’ils avaient travaillé<br />

dans la même usine en<br />

France sans se<br />

connaître, et échanger<br />

<strong>de</strong>s souvenirs<br />

communs. Je doute que<br />

ce fait soit isolé et je ne<br />

pense pas que son récit<br />

puisse constituer un<br />

monopole.<br />

3. Mémoires <strong>de</strong> l’as <strong>de</strong><br />

guerre allemand Von<br />

Richthoffen (dans le<br />

film, il s’agit d’une<br />

couronne à l’honneur<br />

d’un équipage français<br />

<strong>de</strong>scendu)<br />

4. Environ une<br />

cinquantaine <strong>de</strong> récits<br />

d’une cinquantaine <strong>de</strong><br />

camara<strong>de</strong>s ayant été<br />

prisonniers. Plus<br />

particulièrement le récit<br />

<strong>de</strong> M.Buno-Varilla<br />

9


5. Une série <strong>de</strong> camps et <strong>de</strong> chambres, parmi<br />

les types : un acteur <strong>de</strong> l’Odéon, un ingénieur<br />

<strong>de</strong>s ponts et chaussées, un Russe avec qui un<br />

<strong>de</strong>s français tourne dans la cour, un type <strong>de</strong><br />

Parigot, etc<br />

6.Construction d’un souterrain pour<br />

s’éva<strong>de</strong>r(sous la direction <strong>de</strong> l’ingénieur)<br />

5.Nous ne pouvions<br />

tout <strong>de</strong> même pas en ce<br />

qui concerne l’acteur,<br />

mettre personnellement<br />

notre camara<strong>de</strong><br />

Maurice Chevalier. En<br />

ce qui concerne les<br />

autres professions, leur<br />

adoption s’est faite à la<br />

suite <strong>de</strong> mille<br />

conversations avec <strong>de</strong>s<br />

camara<strong>de</strong>s ayant vécu<br />

cette vie. Et en tenant<br />

compte <strong>de</strong> la<br />

composition habituelle<br />

du cadre <strong>de</strong>s officiers<br />

dans tous les pays du<br />

mon<strong>de</strong>. En plus, il n’y a<br />

pas <strong>de</strong> Russe dans notre<br />

chambrée. Nous en<br />

situons dans le camp <strong>de</strong><br />

prisonniers parce que<br />

nous aurions été<br />

inexacts en montrant<br />

un camp <strong>de</strong> prisonniers<br />

sans Russes. En ce qui<br />

concerne le mari<br />

trompé, j’aime mieux<br />

croire pour l’honneur<br />

<strong>de</strong>s épouses françaises,<br />

que cette exception<br />

rarissime est une pure<br />

invention <strong>de</strong> l’esprit <strong>de</strong><br />

M. <strong>de</strong>s Vallières et du<br />

nôtre.<br />

6. Récit formel du<br />

colonel Pinsard et<br />

lecture du livre si<br />

documenté du<br />

lieutenant Bastain<br />

10


7. Trappe dans le plancher du gymnase 7. Voir 6<br />

(dans le film plancher d’une chambre)<br />

8. Description du travail <strong>de</strong> l’étouffement 8. Voir 6<br />

dans la sape. Le projet découvert échouera<br />

(dans le film : Le projet échouera par suite<br />

du changement <strong>de</strong> camp)<br />

9. Scènes <strong>de</strong> la distribution<br />

<strong>de</strong>s paquets, <strong>de</strong> leur éventrement.<br />

10. Scènes du théâtre au camp, dans un<br />

camp où il y a une majorité d’Anglais et<br />

où quelques-uns <strong>de</strong> ceux-ci s’exhibent en girls.<br />

11. Changement <strong>de</strong> camps successifs<br />

avec évasions diverses qui amènent les<br />

récidivistes dans un camp <strong>de</strong> force spécial<br />

d’où ils ne pourront s’éva<strong>de</strong>r.<br />

« Mes dix évasions ». A<br />

propos <strong>de</strong> ce livre,<br />

j’en profite pour dire<br />

combien sa lecture nous<br />

a été précieuse pour la<br />

préparation <strong>de</strong> notre<br />

travail.<br />

9. Rapporté par M.<br />

Aget, ancien prisonnier<br />

<strong>de</strong> guerre qui dans son<br />

camp <strong>de</strong> concentration<br />

était chargé d’ai<strong>de</strong>r le<br />

sous-officier<br />

responsable <strong>de</strong> la<br />

distribution <strong>de</strong>s<br />

paquets.<br />

10. Récit <strong>de</strong> M. Spaak,<br />

ministre <strong>de</strong>s Affaires<br />

étrangères <strong>de</strong> Belgique,<br />

frère du coauteur et<br />

prisonnier pendant la<br />

guerre.<br />

11. Voir tous les récits<br />

<strong>de</strong> tous les prisonniers<br />

<strong>de</strong> guerre.<br />

11


12. Notation ou <strong>de</strong>scription <strong>de</strong>s diverses<br />

sortes d’évasions qui ont amené là-bas les<br />

officiers prisonniers : En soldat allemand,<br />

en femme, dans du linge sale. ( dans le film :<br />

rappel fait au cours <strong>de</strong> la réception par le<br />

commandant)<br />

13. La forteresse du K.S a été seule <strong>de</strong><br />

son espèce en Allemagne, créée spécialement<br />

pour mater les mauvaises têtes et les<br />

récidivistes <strong>de</strong> l’évasion.<br />

12. Genre <strong>de</strong> réception<br />

plusieurs fois cité par<br />

<strong>de</strong>s prisonniers,<br />

notamment par M.<br />

Buno-Varilla. Voir<br />

également le livre du<br />

lieutenant Bastin. Les<br />

tentatives d’évasion<br />

citées dans cette scène<br />

sont analogues à <strong>de</strong>s<br />

cas célèbres et cités par<br />

tout le mon<strong>de</strong>. Dans<br />

cette scène nous en<br />

mentionnons plusieurs<br />

autres.<br />

13. Cette analogie<br />

vient sans doute du fait<br />

que ce type <strong>de</strong> camp <strong>de</strong><br />

représailles a<br />

véritablement existé en<br />

Allemagne et qu’il est<br />

bien connu <strong>de</strong> tous les<br />

prisonniers. D’ailleurs,<br />

la forteresse du film si<br />

elle est également<br />

<strong>de</strong>stinée à servir <strong>de</strong><br />

camp <strong>de</strong> représailles n’a<br />

aucun rapport avec le<br />

« Kavalier<br />

Scharnhorst ». Elle<br />

ressemblerait plutôt à<br />

un château du sud <strong>de</strong><br />

l’Allemagne dont nous<br />

ont parlé plusieurs<br />

prisonniers. Tandis que<br />

si je ne me trompe le<br />

« Kavalier<br />

Scharnhorst » était<br />

12


14. Nouvelles fouilles 14. Voir 4.<br />

15. Le commandant du camp évoque<br />

Montmartre et les petites cocottes.<br />

16. Il est chargé <strong>de</strong> bijoux avec<br />

une coquetterie voyante <strong>de</strong> mauvais aloi.<br />

plutôt un fort à la<br />

Vauban.<br />

15. Récit <strong>de</strong> mon ami<br />

personnel, le capitaine<br />

<strong>de</strong> Uhlands Alfred<br />

Flechtein qui,<br />

rencontrant en Belgique<br />

<strong>de</strong>s prisonniers français<br />

leur a tout <strong>de</strong> suite<br />

<strong>de</strong>mandé <strong>de</strong>s nouvelles<br />

<strong>de</strong> Maxim’s.<br />

16. Le costume du<br />

commandant von<br />

Rauffenstein ( que je<br />

trouve personnellement<br />

d’un goût excellent) a<br />

été composé par M. von<br />

Stroheim sur une<br />

documentation précise :<br />

1) sur ses souvenirs<br />

personnels d’ancien<br />

officier Autrichien ; 2)<br />

sur les mémoires <strong>de</strong> l’as<br />

allemand von<br />

Richttofein. La chaîne<br />

qu’il porte au bras<br />

appartient<br />

personnellement à M.<br />

von Stroheim. Lorsqu’il<br />

était officier, il en<br />

portait déjà une<br />

analogue.<br />

13


17. Un type en vue, un entomologiste, étudie<br />

les papillons (dans le film : un humaniste<br />

traduit Pindare)<br />

18. Attitu<strong>de</strong> fron<strong>de</strong>use et rebelle <strong>de</strong>s officiers<br />

qui ne songent qu’à berner leurs gardiens et à<br />

préparer <strong>de</strong>s évasions<br />

.<br />

19. Episo<strong>de</strong> du début d’incendie allumé par les<br />

officiers et <strong>de</strong> l’alerte <strong>de</strong> la gar<strong>de</strong> boche<br />

20. Organisation <strong>de</strong> chahuts monstre avec<br />

caisses, casseroles et tout ce qui peut<br />

faire du bruit pour lasser les Allemands.<br />

Plusieurs évasions.<br />

17. Souvenir <strong>de</strong> mon<br />

cousin Edmond Renoir,<br />

professeur au lycée <strong>de</strong><br />

Versailles qui n’a pas<br />

été prisonnier mais qui,<br />

pendant toutes les<br />

circonstances <strong>de</strong> la<br />

guerre, n’a cessé <strong>de</strong><br />

traduire <strong>de</strong>s auteurs<br />

encore plus secret que<br />

Pindare.<br />

18. Comment en<br />

serait-il autrement ?<br />

19. Cet épiso<strong>de</strong> m’a été<br />

raconté par le<br />

docteur.Ze<strong>de</strong>rbaum,<br />

ancien mé<strong>de</strong>cin-major<br />

<strong>de</strong> l’armée Russe. De<br />

plus, dans notre film, il<br />

n’y a pas <strong>de</strong> gar<strong>de</strong><br />

« boche », il y a une<br />

gar<strong>de</strong> alleman<strong>de</strong> ce qui<br />

n’a aucun rapport et<br />

marque la différence<br />

profon<strong>de</strong> du livre et du<br />

film.<br />

20.<br />

Histoire<br />

authentique, racontée<br />

par plusieurs évadés et<br />

14


21. Cette même suite chronologique <strong>de</strong>s<br />

faits dans le livre et le film montre que le<br />

second, etc<br />

22. Exemple, l’effet du mot « verboten » ;<br />

l’étonnement que les Allemands ne<br />

pillent pas davantage les conserves.<br />

La réflexion « c’est mon <strong>de</strong>voir » <strong>de</strong><br />

l’Allemand qui moleste les officiers.<br />

23. Des types divers d’officiers qui se livrent<br />

à <strong>de</strong> petits travaux, étudient les cartes.<br />

Les mêmes scènes <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong>s camps, appels,<br />

cuisine, cloches <strong>de</strong>s villes sonnant les victoires<br />

(effet sur les prisonniers), même tableau <strong>de</strong>s<br />

approuvée par les<br />

Représentants <strong>de</strong> la<br />

Ligue <strong>de</strong>s Evadés. Nous<br />

avons posé à ces<br />

messieurs la question :<br />

Les récits <strong>de</strong> ces évadés<br />

sont-ils exagérés et<br />

cette provocation estelle<br />

vraisemblable dans<br />

la situation <strong>de</strong> notre<br />

film ? Ils nous ont<br />

répondu favorablement.<br />

21. Comment la suite<br />

chronologique <strong>de</strong>s faits<br />

marquant la vie d’un<br />

officier prisonnier serait<br />

elle très différente <strong>de</strong> la<br />

suite chronologique <strong>de</strong>s<br />

faits marquants la vie<br />

<strong>de</strong> tous les autres<br />

prisonniers ?<br />

22. Pour « verboten »,<br />

récit du frère <strong>de</strong> M.<br />

Matras, opérateur du<br />

film. Pour le<br />

reste,documentation <strong>de</strong><br />

M. Koch, ancien<br />

lieutenant d’artillerie <strong>de</strong><br />

l’armée alleman<strong>de</strong>,<br />

Collaborateur du film<br />

en ce qui concerne<br />

l’atmosphère<br />

alleman<strong>de</strong>.<br />

15


préparations d’évasion, du désœuvrement et<br />

la fébrilité <strong>de</strong>s officiers, pendant les <strong>de</strong>rnières heures,<br />

les inci<strong>de</strong>nts d’évasion, etc.<br />

CONCLUSION<br />

23. Je ne puis citer<br />

exactement l’origine <strong>de</strong>s<br />

informations citées cicontre.<br />

Je pense qu’à<br />

peu près tous les évadés<br />

<strong>de</strong> guerre consultés<br />

nous les ont données.<br />

Nos principales sources sont : le récit du colonel Pinsard, le récit <strong>de</strong> M. Aget, le récit <strong>de</strong> M.<br />

Buno-Varilla, le récit <strong>de</strong> M. Spaak frère du coauteur, le récit <strong>de</strong> M. Gau<strong>de</strong>t et les récits <strong>de</strong>s<br />

membres <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s évadés qui ont bien voulu nous faire l’amitié <strong>de</strong> contrôler notre<br />

travail et qui nous ont permis, par leur récits, <strong>de</strong> réaliser dans ce film, une atmosphère<br />

suffisamment exacte pour que M. <strong>de</strong>s Vallières y retrouve <strong>de</strong>s détails qu’il a vécus.<br />

Parmi ces messieurs, qu’il me soit permis <strong>de</strong> citer M. Etevenon qui a poussé la complaisance<br />

jusqu’à nous fournir <strong>de</strong>s notes écrites dans lesquelles nous avons puisé abondamment et je<br />

dois ajouter que, sur les conseils du Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés M. Richard, nous nous<br />

sommes servis du livre du lieutenant Bastin « Mes dix évasions », pour contrôler l’exactitu<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong> tous les faits présentés dans le film.<br />

De plus, pendant toute l’écriture du scénario, la tournaison du film, et son montage, nous<br />

avons eu la collaboration constante <strong>de</strong> M. Karl Koch, ancien lieutenant <strong>de</strong> l’armée alleman<strong>de</strong><br />

qui nous a fourni tous les éléments nécessaires à la reconstitution exacte <strong>de</strong> l’atmosphère<br />

alleman<strong>de</strong> pendant la guerre.<br />

Je pense qu’à défaut d’autres personnes pouvant témoigner <strong>de</strong> notre bonne foi, il suffirait <strong>de</strong><br />

citer l’un <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés ayant bien voulu étudier avec nous, point par<br />

point, notre découpage, travail à la suite duquel nous avons été amenés à faire pas mal <strong>de</strong><br />

modifications donnant au film une certaine authenticité. Ce sont d’ailleurs ces messieurs qui<br />

nous ont conseillé <strong>de</strong> lire le Kavalier Scharnhorst <strong>de</strong> M. <strong>de</strong>s Vallières, livre que ni Spaak, ni moi<br />

ne connaissions. Nous l’avons parcouru par acquit <strong>de</strong> conscience mais quelles que soient les<br />

coïnci<strong>de</strong>nces relevées par MM. Albin Michel et <strong>de</strong>s Vallières, j’affirme que tous les faits<br />

incriminés ont été puisés ailleurs.<br />

De plus, comme je l’ai dit plus haut, je répète que notre film n’est pas un film sur les évasions.<br />

Si cela était, nous lui aurions donné une exactitu<strong>de</strong> documentaire plus gran<strong>de</strong>. C’est l’histoire<br />

d’un conflit entre hommes et nous avons situé cette action dans le cadre <strong>de</strong>s prisons<br />

alleman<strong>de</strong>s pendant la guerre. Par respect pour les hommes qui ont souffert dans ces prisons,<br />

nous avons voulu que ce cadre soit reconstitué avec le plus d’exactitu<strong>de</strong> possible. De là notre<br />

grand désir <strong>de</strong> documentation et nos enquêtes nous amenant finalement à la connaissance<br />

d’événements semblables à ceux relatés par M. <strong>de</strong>s Vallières.<br />

Il ne faut pas oublier que cette vie <strong>de</strong>s prisonniers <strong>de</strong> guerre a été une vie extrêmement limitée<br />

et que les témoins que nous avons interrogés ont vécu sans doute quelques fois les mêmes<br />

expériences que M. <strong>de</strong>s Vallières.<br />

16


Florilège critique<br />

La Gran<strong>de</strong> Illusion vue par l’extrême droite en<br />

1937<br />

Le titre, jusqu’à la fin, reste en suspens sur nos têtes, gros <strong>de</strong> menaçantes<br />

niaiseries du catéchisme international. Rien ne vient. Ce titre reste une énigme.<br />

Quelle est cette gran<strong>de</strong> illusion ? La Patrie ? Mais ce film est fort patriotique, à<br />

sa manière. La fraternité <strong>de</strong>s hommes ? Dans l’absolu, nous serions tout à fait<br />

<strong>de</strong> l’avis <strong>de</strong> M. Jean Renoir. Dans l’humble réalité, il nous montre au contraire<br />

une solidarité magnifique <strong>de</strong>s êtres les plus différents par le sang, la langue, le<br />

rang, et que réunit une même infortune. Je ne vois pas que ce sentiment soit<br />

« Illusoire », grâce aux dieux !<br />

L’ « illusion » serait encore celle que la guerre <strong>de</strong> 1914-1918 <strong>de</strong>vrait être la <strong>de</strong>rnière ? Si M.<br />

Renoir considère avec amertume que c’était une gran<strong>de</strong> naïveté <strong>de</strong> le croire, nous sommes<br />

entièrement <strong>de</strong> son avis. […]<br />

Un <strong>de</strong>s officiers du film est le juif Rosenthal, né à Vienne d’une mère juive polonaise et d’un<br />

père juif hongrois. Antisémite convaincu, d’instinct et j’espère <strong>de</strong> raison, je suis enchanté que<br />

M. Renoir ait donné à ce juif un beau rôle. Je n’ignore pas que c’est là sans doute que l’auteur<br />

montre le bout <strong>de</strong> l’oreille. Mais je ne doute pas non plus que ce Rosenthal embarrasse force<br />

juifs ! Rosenthal est un valeureux soldat. Oui, cela est arrivé à <strong>de</strong>s juifs. […] Oui, mais<br />

comptons les Rosenthal. Nous pouvons dormir tranquilles. Ce ne sont pas ces braves<br />

qu’Israël invoquera jamais ! Ils sont trop peu.<br />

Si bien que M. Renoir sert parfaitement la cause anti-juive, en amenant les spectateurs à<br />

réfléchir sur un petit problème qui appartient à la plus élémentaire arithmétique.<br />

J’ajoute que Rosenthal explique pourquoi il se bat : « Nous sommes riches. Nous avons trois châteaux<br />

en Touraine, cinq fermes en Poitou. On peut bien se faire trouer la peau pour conserver ça. » Propos qui<br />

entraîneraient <strong>de</strong>s commentaires dépassant par malheur mon cadre.<br />

C’est en tout cas un piquant éloge <strong>de</strong> la propriété par le « marxiste » (?) Renoir.<br />

Au fond, si une idée se dégage avec force du film <strong>de</strong> M. Renoir, c’est celle-ci. L’homme, en<br />

faisant la guerre, obéit à <strong>de</strong>s lois qui le dépassent, et qui sont pourtant inscrites dans sa<br />

nature. Nier la guerre, c’est nier l’homme, c’est le pacifisme utopique qui nous a toujours ici<br />

fait lever les épaules. […] Inutile ou nécessaire, la guerre, le plus tragique signe <strong>de</strong><br />

l’imperfection humaine, hausse au-<strong>de</strong>ssus d’eux-mêmes ceux qui en sont dignes, un Boeldieu,<br />

un Rauffenstein, un Maréchal, un Rosenthal. Sans la guerre Boeldieu et Rauffenstein eussent<br />

été d’élégants désœuvrés, <strong>de</strong>s cavaliers distingués, Maréchal un petit mécano vivant entre<br />

son apéritif et sa bicyclette, Rosenthal un vulgaire trafiquant d’argent. La guerre en a fait non<br />

seulement <strong>de</strong>s braves, mais <strong>de</strong>s êtres d’une humanité infiniment riches et noble.<br />

François Vinneuil, L’Action Française, 11 juin 1937.<br />

17


La Gran<strong>de</strong> Illusion vue par la résistance en 1946<br />

Nous attendions, nous regardions. Et tout <strong>de</strong> suite un malaise presque douloureux nous<br />

étreignit qui, peu à peu, malgré nous, malgré Renoir, malgré la beauté <strong>de</strong>s images ou à cause<br />

d’elle se changeait en stupeur, en méfiance, en refus d’être ému par cette sensibilité qui, jadis,<br />

fut valable et qui n’est plus maintenant que suspecte.<br />

Il y a, entre La Gran<strong>de</strong> Illusion <strong>de</strong> 1937 et cette reprise <strong>de</strong> 1946, tout l’enfer dont l’Allemagne,<br />

l’Allemagne nazie bien sûr, mais l’Allemagne quand même, est responsable.<br />

Qu’on nous excuse mais nous ne sommes pas <strong>de</strong>s saints, ni <strong>de</strong> simples critiques d’art …<br />

Quand une œuvre se présente sous le signe <strong>de</strong> la guerre et <strong>de</strong> la paix, <strong>de</strong> la mort et <strong>de</strong> la<br />

souffrance, <strong>de</strong> la dignité et <strong>de</strong> la liberté, quand un film prend pour théorie quelques gran<strong>de</strong>s<br />

idées qui touchent au <strong>de</strong>stin même <strong>de</strong> l’homme, c’est lui qui nous contraint à débor<strong>de</strong>r le plan<br />

<strong>de</strong> l’art.<br />

La Gran<strong>de</strong> illusion se passe entre Allemands et Français, pendant la guerre <strong>de</strong> 1914. Or, <strong>de</strong>puis,<br />

les rapports entre les Allemands et le reste du mon<strong>de</strong>, entre les « occupants » allemands et les<br />

Français par exemple appartiennent au domaine du crime et du châtiment. Et ce film nous<br />

ramène à la chevalerie, voire à la bergerie sentimentale. Vraiment, c’est trop nous <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r.<br />

Et comme le public n’a point le pouvoir d’abstraction nécessaire pour contrôler son émotion<br />

ou son plaisir, nous disons tout net que La Gran<strong>de</strong> illusion n’est pas un spectacle à offrir à un<br />

peuple qui n’a plus connu l’Allemagne que par la Gestapo, les SS, les fusilla<strong>de</strong>s d’otages, les<br />

supplices, les déportations et les fours crématoires.<br />

Personnellement – et nous sommes j’espère beaucoup dans ce cas – quand Erich Von<br />

Stroheim, noble officier allemand, accueille avec une parfaite urbanité son collègue français,<br />

prisonnier, le noble capitaine Boeldieu, Pierre Fresnay, quand sur le plan <strong>de</strong> l’honneur<br />

militaire, ces <strong>de</strong>ux aristocrates se comprennent et se congratulent, nous pension<br />

immédiatement à la manière dont la police alleman<strong>de</strong> accueillait les Français résistants.<br />

Quand le vainqueur et le vaincu dînent ensemble, nous songeons à ces baignoires où <strong>de</strong><br />

dignes officiers SS faisaient suffoquer nos camara<strong>de</strong>s pour les faire avouer.<br />

Quand un <strong>de</strong>s braves soldats allemands du films console Jean Gabin dans sa cellule, nous<br />

songeons aux assomma<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s détenus politiques dans les cellules <strong>de</strong> Pétain et d’Hitler<br />

pendant les années <strong>de</strong> ténèbres.<br />

Quand les <strong>de</strong>ux prisonniers français évadés trouvent bon souper, bon gîte et le reste chez cette<br />

brave paysanne alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong> Dita Parlo, quand ils font sauter la fillette alleman<strong>de</strong> dans leurs<br />

bras, je pense à mon ami Pierre, un héros, un martyr <strong>de</strong> la Résistance qui, évadé <strong>de</strong><br />

Buchenwald fut rendu aux SS par <strong>de</strong>s paysans allemands.<br />

Quand on nous attendrit sur les yeux bleus, les blauen augen <strong>de</strong> la charmante fillette, je songe à<br />

tous les yeux bleus, noirs ou gris, à tous les yeux hagards <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> petits enfants juifs,<br />

jetés avec leurs parents dans les fours d’Auschwitz et <strong>de</strong> Dachau.<br />

Quand dans un dialogue choisi l’officier français et l’officier allemand font assaut <strong>de</strong> beaux<br />

sentiments, je pense à tous nos grands civils martyrs qui tombèrent sous le feu <strong>de</strong>s pelotons,<br />

qui furent écartelés, roués, déchiquetés parce que les nobles officiers français et allemands<br />

semblables au Boeldieu et au Rauffenstien <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> illusion, unis dans un même amour du<br />

sport hippique et <strong>de</strong> l’ordre nouveau, avaient jugé plus raisonnable, dans l’honneur et la<br />

dignité, d’oublier leurs divergences pour défendre ensemble leur caste et l’Europe hitlérienne.<br />

Pauvre Renoir, et pauvres nous, il y a dix ans, qui avions cru qu’on pouvait lutter contre la<br />

guerre <strong>de</strong>s fascismes par les appels à la fraternité ! Il faut laisser les illusions dans les<br />

tombeaux et les charniers qu’elles ont ouverts. On ne peut empêcher d’être ce qui a été, et<br />

Hitler, et la montée du nazisme dans le mon<strong>de</strong>, et la carence <strong>de</strong>s pacifiques démocraties<br />

<strong>de</strong>vant l’horreur faisant tache d’huile, et la funeste lâcheté <strong>de</strong> Munich, et la défaite, et Vichy,<br />

et la Résistance, et la Victoire. L’écran du mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>puis dix ans nous a donné tant<br />

18


d’occasions <strong>de</strong> fureur et <strong>de</strong> pleur que la force envoûtante du cinéma ne peut plus maintenant<br />

s’exercer qu’à cette échelle et que dans ce climat (voyez par exemple la série <strong>de</strong>s Capra :<br />

Pourquoi nous combattons).<br />

Rien à faire. Notre optique a été bouleversée, comme bien d’autres choses dans le mon<strong>de</strong>. Il y<br />

a eu trop <strong>de</strong> sang pour que nous puissions, déjà, supporter aujourd’hui l’eau <strong>de</strong> rose, la tisane<br />

et l’opium d’un film comme La Gran<strong>de</strong> illusion. Ce n’est point le rêve mais le cauchemar qui a<br />

hanté <strong>de</strong>puis Hitler la gran<strong>de</strong> insomnie du mon<strong>de</strong>. Qu’y pouvons-nous ?<br />

Et nous, qu’y pouvons-nous ? Répéteront en écho les gens qui ont eu l’étrange idée <strong>de</strong><br />

présenter à grand vacarme ce film inopportun ? L’œuvre d’art, diront-ils, ne gar<strong>de</strong>-t-elle point<br />

toute sa valeur ? Les images ne dont-elles pas saisissantes, excellents les acteurs, plein <strong>de</strong><br />

saveur et <strong>de</strong> force le documentaire sur la vie <strong>de</strong>s captifs ? Les auteurs <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

pouvaient-il prévoir que dix ans après…<br />

D’abord, dès 1937, il y avait Hitler <strong>de</strong>puis quatre ans en Allemagne. Et si nous luttions<br />

désespérément pour la paix, nous ne la concevions que par l’effort, il faut bien dire<br />

révolutionnaire, <strong>de</strong>s travailleurs <strong>de</strong> tous le pays : c’est vrai, nous acceptions mal l’idée <strong>de</strong> la<br />

guerre, nous espérions en la conscience internationale ; mais nous savions déjà que le peuple<br />

allemand se laissait emporter par l’hystérie géante du nazisme. Nous savions que<br />

pourrissaient déjà dans les camps <strong>de</strong>s sociaux-démocrates, <strong>de</strong>s communistes, <strong>de</strong>s opposants,<br />

<strong>de</strong>s juifs, que nous ne mêlions pas à la tourbe <strong>de</strong>s possédés. Si à l’époque même où fut conçu<br />

et tourné ce film, on avait par lui fait appel à l’union <strong>de</strong> toutes les forces <strong>de</strong> paix et <strong>de</strong> révolte,<br />

si, au lieu <strong>de</strong> cette fraternisation louche entre militaires <strong>de</strong> carrière, on avait marqué la<br />

solidarité <strong>de</strong> tous les révoltés et <strong>de</strong> toutes les opprimés, alors, oui, peut-être, même<br />

aujourd’hui, malgré les illusions perdues et l’affreuse expérience, un tel spectacle eût été<br />

tolérable.<br />

Tel qu’il est, il n’est plus que prime à toutes les collaborations diffuses, à toutes les<br />

concessions, à tous les abandons : il justifie ceux qui pensaient qu’on pouvait « quand même<br />

s’entendre ». Il contient en germe tous les poisons qui infectèrent le mon<strong>de</strong> ; sous ses paroles<br />

et ses images qui veulent chanter la vie, bat en sourdine la marche funèbre <strong>de</strong> l’humanité,<br />

s’ouvre la danse macabre <strong>de</strong> l’univers.<br />

Nous, ici, qui sommes pour la liberté totale <strong>de</strong> l’art et contre toutes les censures, nous disons<br />

que le film ne peut toucher qu’avec mille précautions à toutes ces plaies ouvertes. L’image <strong>de</strong><br />

cinéma a <strong>de</strong>s capacités d’envoûtement et d’hypnose telle qu’elle supprime le sens critique <strong>de</strong>s<br />

foules, qu’elle vous limite à l’immédiat, au présent.<br />

n° 62, 4 septembre 1946, article <strong>de</strong> Georges Altman : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> 1937, p. 5.<br />

19


La Gran<strong>de</strong> Illusion selon Marc Ferro<br />

Observons-en quelques aspects.<br />

* La représentation <strong>de</strong>s juifs. En 1937, à l’heure <strong>de</strong> la campagne antisémite menée contre<br />

Léon Blum et le Front populaire, le film apparut comme une réponse aux calomnies <strong>de</strong><br />

Gringoire et <strong>de</strong>s publications maurrassiennes ; le Juif Rosenthal a fait la guerre comme tous les<br />

Français, il n’a pas cherché à s’embusquer ; il partage généreusement le contenu <strong>de</strong> ses colis<br />

avec ses camara<strong>de</strong>s prisonniers ; il partage aussi leur courage. La séquence <strong>de</strong> l’algara<strong>de</strong> avec<br />

Gabin est ressentie comme une scène d’exorcisme : instinctivement antisémite, le Français<br />

prend conscience <strong>de</strong> la nature <strong>de</strong> ses pulsions ; il domine et comprend que son antisémitisme<br />

ne repose sur rien. Dans le climat <strong>de</strong> 1937 ce film satisfait pleinement les victimes du<br />

racisme. L’antisémite Goebbels ne s’y trompe pas qui coupe précisément les scènes sur les<br />

Juifs.<br />

Avec le recul, la représentation du Juif apparaît <strong>de</strong> façon différente. Tous les traits attribués à<br />

Rosenthal en font un être à part : il est seul à recevoir <strong>de</strong>s colis, du courrier, à pouvoir<br />

distribuer <strong>de</strong>s cigarettes, il déclare défendre la patrie pour sauver ses biens ; se vante d’avoir<br />

une famille qui est <strong>de</strong>venue plus riche en une génération, bref, son patriotisme est loin d’être<br />

désintéressé. Les changements aménagés dans les dialogues se disputent la prime <strong>de</strong><br />

l’antisémitisme : « Lui, sportif ? », lance un poilu, « il est né à Jérusalem », dans une première<br />

version ; et dans une autre : « Ta patrie, t’en as pas, tu es né à Jérusalem. » Un prisonnier<br />

commente : « Il est <strong>de</strong> vieille noblesse bretonne, quoi », une plaisanterie qui revivifie une<br />

polémique <strong>de</strong> 1936 : « Un Juif vaut-il bien un Breton ? » Enfin, dans une scène coupée après la<br />

guerre, Rosenthal donne du chocolat à une sentinelle alleman<strong>de</strong> : « Tout est pourri », commente<br />

un autre prisonnier. Pour lui, comme pour le spectateur, c’est le Juif qui collabore avec les<br />

Allemands alors que, toujours hautain, le capitaine aristocrate refuse les avances <strong>de</strong> von<br />

Rauffentein. Une <strong>de</strong>rnière phrase révèle la profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> l’antisémitisme en France : « Je<br />

commence à m’habituer aux gentillesses <strong>de</strong> Rosenthal », commente l’instituteur, dans cette<br />

étonnante complicité du dialogue avec la société qui le produit.<br />

* Les observations concernant les Allemands et les Anglais sont également révélatrices <strong>de</strong><br />

l’idéologie latente du film. Les Allemands sont représentés comme <strong>de</strong>s êtres animés d’une<br />

réelle humanité : la sentinelle dit « bonsoir » aux prisonniers, le geôlier offre son harmonica à<br />

Maréchal ; les femmes alleman<strong>de</strong>s plaignent ces jeunes hommes qui s’entraînent avant <strong>de</strong><br />

partir pour le front ; von Rauffenstein manifeste humour et noblesse. « Les geôliers sont<br />

honnêtes », observe l’instituteur, répétant, avant 1940, ce que les Français dirent <strong>de</strong>s<br />

Allemands durant les premiers mois <strong>de</strong> l’Occupation.<br />

Les scènes où les Anglais apparaissent ne sont qu’une seule fois à leur avantage ; lorsque<br />

ceux-ci interrompent leur représentation costumée, retirent perruques, se mettent au gar<strong>de</strong>-àvous<br />

pour chanter La Marseillaise et célébrer la victoire <strong>de</strong> Verdun. Toutes les autres notations<br />

sont négatives : l’arrivée <strong>de</strong>s prisonniers anglais avec leurs raquettes (pour eux la guerre est<br />

comme un sport, ce ne sont pas <strong>de</strong> « vrais » soldats) ; totale absence <strong>de</strong> communication avec<br />

les Anglais alors qu’il y en a avec les Russes. Homosexualité suggérée, alors que les<br />

Français, viril, « couche » au début et à la fin du film. Fait caractéristique : l’aristocrate <strong>de</strong><br />

Boeldieu, qui sait utiliser la langue anglaise comme un co<strong>de</strong> aristocratique pour s’entretenir<br />

avec von Rauffenstein « oublie » qu’il sait l’anglais quand il <strong>de</strong>vrait dire à ses compagnons et<br />

alliés également prisonniers qu’un souterrain est creusé dans le cantonnement. Or les<br />

Français s’interrogent : doivent-ils ou non confier ce secret aux Anglais, comme si l’Anglais<br />

20


n’était pas l’allié, comme si l’Anglais n’était pas un allié sûr ? Une ambiguïté révélatrice, trois<br />

ans avant Vichy.<br />

D’autres traits apparaissent dans ce film qui, sans que l’auteur le sache, sans que l’auteur le<br />

veuille, complètent le modèle d’une apologie virtuelle en faveur <strong>de</strong> Vichy : l’hostilité et le<br />

mépris envers les intellectuels, chez les Français comme chez les Allemands ; le ressentiment<br />

contre la femme, volage et impure, qui ne respecte pas les valeurs familiales.<br />

En 1946, par un retournement <strong>de</strong> sens assez extraordinaire le film est reconnu comme une<br />

invitation à la collaboration, dont il assumerait tous les poncifs. Jean Renoir coupe la scène<br />

d’amour avec Dita Parlo que Goebbels voulait également couper mais pour d’autres raisons.<br />

En 1946, cette scène illustre l’image <strong>de</strong> la « bonne » Allemagne ; elle complète également celle<br />

du Français cavaleur, <strong>de</strong>ux images insupportables au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> l’Occupation et <strong>de</strong> la<br />

Résistance. En 1937, Jean Renoir avait déjà coupé une partie <strong>de</strong> la réplique <strong>de</strong> Boeldieu, qui,<br />

entendant défiler les soldats allemands, disait : « Le bruit <strong>de</strong>s pas, c’est le même dans toutes<br />

les armées du mon<strong>de</strong>. » Ce <strong>de</strong>rnier sanglot internationaliste est inadmissible en 1946 où l’on<br />

ne peut accepter l’i<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong> la botte française et <strong>de</strong> la botte nazie. Il l’était déjà en 1937<br />

quand les Français pressentent, au travers <strong>de</strong> la défaite que ce film annonce (la France y est<br />

vaincue, seul le Français débrouillard est vainqueur), que la botte alleman<strong>de</strong>, à cette date,<br />

déjà représente autre chose qu’une armée. Dans le film les bonnes intentions<br />

internationalistes <strong>de</strong> Renoir n’ont plus guère <strong>de</strong> réalité ni <strong>de</strong> substance.<br />

Marc Ferro, Cinéma et Histoire, éd. Denoël Gauthier, Paris, 1977.<br />

21


Scène coupée <strong>de</strong> La Marseillaise<br />

22


Entrevue entre Roe<strong>de</strong>rer et la Reine<br />

Roe<strong>de</strong>rer : Madame je voudrais prier Votre Majesté d’écouter les conseils que me dicte mon<br />

<strong>de</strong>voir <strong>de</strong> Premier Magistrat du Département chargé d’assurer une tranquillité publique qui<br />

me semble hélas compromise. Il reste un moyen d’éviter les évènements somme toute assez<br />

désagréables … c’est que le Roi fasse savoir au peuple qu’il abandonne la défense du château<br />

et qu’il se rend avec sa famille à l’Assemblée Nationale.<br />

La Reine : Vous proposez au Roi d’abdiquer le matin même <strong>de</strong> la victoire ? !<br />

Roe<strong>de</strong>rer : Votre confiance est très gran<strong>de</strong> Madame. Malheureusement, en face elle ne l’est pas<br />

moins.<br />

La Reine : Monsieur, il y a ici <strong>de</strong>s forces. Il est temps <strong>de</strong> savoir qui l’emportera du Roi ou <strong>de</strong> la<br />

faction.<br />

Roe<strong>de</strong>rer : Cette faction dont vous parlez et dont tout le mon<strong>de</strong> parle est un animal étrange et<br />

bien difficile à dépister. Pour vous, il est dans la rue, pour la majorité <strong>de</strong>s Français il se niche<br />

dans les couloirs du palais<br />

La Reine : Ah ! Vraiment ?<br />

Roe<strong>de</strong>rer : Toutes ces lettres que vous brûlez, et je vous félicite <strong>de</strong> cette précaution, Votre<br />

Majesté les a reçues soit <strong>de</strong> ses parents d’Autriche, soit <strong>de</strong> ses amis les émigrés, et elle les<br />

considère comme une correspondance <strong>de</strong> famille… le peuple les considèrerait comme un<br />

témoignage d’intelligence avec l’ennemi.<br />

La Reine : Monsieur Roe<strong>de</strong>rer, <strong>de</strong>puis trois ans je suis habituée à subir bien <strong>de</strong>s insolences.<br />

Mais je crois que la vôtre dépasse les autres <strong>de</strong> plusieurs coudées. Je <strong>de</strong>vrais vous faire fusiller<br />

sur le champ. Mais je remets cela à <strong>de</strong>main après la victoire.<br />

Roe<strong>de</strong>rer : Bien Madame. En attendant cette issue fatale, je me tiendrai à l’intérieur du château<br />

et j’y resterai tout à votre disposition.<br />

23


Nomenclature <strong>de</strong>s<br />

personnages<br />

24


STATURE IMPOSANTE<br />

STATURE<br />

GRAND, FORT ET BETE<br />

Albert le contremaître (Toni) ; le chrono (la Vie est à Nous) ; Schumacher (la Règle du Jeu) ;<br />

Lanlaire (le Journal d’une Femme <strong>de</strong> Chambre) ; Ducasse (Chotard et Compagnie) ; Mufflot (Tire au<br />

Flanc).<br />

GRAND, BETE MAIS INTELLIGENT (manipulateur)<br />

Bor<strong>de</strong>nave (Nana); Von Keller (Vivre Libre)<br />

STATURE PETITE ET MAIGRE<br />

PETIT DIABLE ENERGIQUE<br />

Capitaine Mauger (le Journal…) ; Marceau (la Règle…); Pecqueux (la Bête Humaine)<br />

FIDELE, TRAVAILLEUR, NAIF<br />

André (le Roi d’Yvetot); Pater (le Caporal Epinglé) ; Lange (le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange); Toni ; Tonin<br />

(la Vie…)<br />

INTELLIGENT ET ENERGIQUE<br />

Sorel (Vivre Libre) ; Dubois D’Ombelles (Tire au Flanc)<br />

LE BON GROS<br />

SERVIABLE, GENTIL<br />

Maître Joly (le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier); Lestingois (Boudu Sauvé <strong>de</strong>s Eaux) ; Muffat (Nana);<br />

Gustave (la Cireuse Electrique) ; Duvallier (Yvetot)<br />

NAIF MAIS ATTENDRISSANT<br />

Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne) ; l’Inspecteur (les Bas-Fonds) ; Albert Lory (Vivre Libre)<br />

LES « PROCHES » DE RENOIR<br />

Danglard (French Cancan) ; le Curé (Déjeuner sur l’Herbe) ; Maigret (la Nuit du Carrefour);<br />

Bovary (Madame Bovary) ; Louis XVI (la Marseillaise ); Octave (la Règle…)<br />

25


EMPLOI<br />

CHEF/PATRON<br />

Batala (le Crime…) ;le PDG (la Vie…) ; le Directeur (la Vie…)<br />

PETIT CHEF<br />

Albert (Toni) ; le Chrono (la Vie…); Roubaud (la Bête…) ; le Gérant (le Dernier Réveillon)<br />

COMMERCANT<br />

Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne) ; Madame Dufour(Partie <strong>de</strong> Campagne) ; Chotard ; Madame<br />

Chotard ; Lheureux (Madame Bovary) ; Homais (Madame Bovary) ; Père Poulain (Partie <strong>de</strong><br />

Campagne)<br />

TRAVAILLEUR INTELLECTUEL<br />

André (vétérinaire dans Yvetot) ; Sorel (Vivre Libre) ; Maître Joly (le Testament) ; Albert Lory (Vivre<br />

Libre) ; Bovary ; Homais (Bovary); Maurice Legrand (la Chienne); Louise Martin (Vivre Libre) ;<br />

Cor<strong>de</strong>lier ; Séverin (le Testament) ; Etienne Alexis (le Déjeuner…); Gustave (la Cireuse…)<br />

TRAVAILLEUR MANUEL<br />

Pecqueux (la Bête…) ; Toni ; Tonin (la Vie…); Fernand (Toni) ; Justin Crépoix (la Fille <strong>de</strong><br />

l’Eau) ; Devers (l’Homme du Sud) ; Valentine (le Crime…) ; Estelle (le Crime…); Lantier (la<br />

Bête…) ; Tim (l’Homme du Sud); Sam Tucker (l’Homme du Sud); Paulo (French Cancan); Eve (la<br />

Femme sur la Plage); Maréchal (la Gran<strong>de</strong> Illusion)<br />

MILITAIRE/POLICIER<br />

Ducasse (Chotard) ; Von Keller (Vivre Libre) ; Capitaine Mauger (le Journal…) ; l’Inspecteur (les<br />

Bas-Fonds) ; Maigret ; Caporal Bourrache (Tire au Flanc) ; Colonel Brochard (Tire au Flanc) ;<br />

Scott Burnett (La Femme…) ; Capitaine John (le Fleuve) ; Général Rollan (Elena et les Hommes) ;<br />

Felipe (le Carrosse d’Or)<br />

ARTISTE<br />

Danglard (French Cancan) ; l’acteur (les bas-Fonds) ; Julien Collinet (Chotard) ; André Jurieu (la<br />

Règle…) ; Tod Butler (la Femme…) ; Camilla (le Carrosse…) ; Ramon (le Carrosse…) ;<br />

Lola (French Cancan) ; Nini (French Cancan) ; Caruso (Caporal…)<br />

POURCENTAGE DE FEMMES AU TRAVAIL<br />

Sur 62 femmes, 30 travaillent soit 48%<br />

Mais si on considère que les femmes qui travaillent en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong> chez elle, en enlevant Titine<br />

(le Déjeuner…), Josefa (Toni), et Erika (le Caporal…) qui ai<strong>de</strong>nt simplement sa mère, on obtient :<br />

42% dont 16% sont <strong>de</strong>s domestiques auquel on peut inclure Natacha (les Bas-Fonds)<br />

26


Anne-Marie (Boudu) ; Camilla (le Carrosse…); Catherine ; Celestine (le Journal…) ; Marie<br />

Chotard ; Henriette Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne) ; Edith (le Crime…) ; Elsa (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ;<br />

Erika (le Caporal…) ; Estelle (le Crime…) ; Eve (la Femme…) ; Karen (la Petite Marchan<strong>de</strong><br />

d’Allumettes) ; Lola (French Cancan) ; Valentine (le Crime…) ; Virginie (la Fille…) ; Louise (le<br />

Journal…) ; Lulu (la Chienne) ; Marie (Toni) ; Josefa (Toni) ; Marie-Charlotte (le Déjeuner…) ;<br />

Louise Martin (Vivre Libre) ; Nan (le Fleuve) ; Nana ; Natacha (les Bas-Fonds) ; Nini (French<br />

Cancan) ; Paulette (Yvetot) ; Rose (On Purge Bébé) ; Lisette (la Règle…) ; Titine (le Déjeuner…) ;<br />

Nona (L’Homme du Sud)<br />

27


CLASSE SOCIALE<br />

ARISTOCRATE<br />

Comte Muffat(Nana) ; Comte <strong>de</strong> Van<strong>de</strong>uvres (Nana) ; François <strong>de</strong> Baynes (le Tournoi) ; Isabelle<br />

De Ginori (le Tournoi) ; Henri <strong>de</strong> Rogier (le Tournoi) ; Boeldieu (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Rauffenstein<br />

(la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Marie-Antoinette (la Marseillaise) ; Louis XVI (la Marseillaise) ; Christine <strong>de</strong><br />

la Chesnaye (la Règle…) ; Robert <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; Geneviève <strong>de</strong> Marras (la<br />

Règle…) ; le Vice-Roi (le Carrosse…) ; le Prince Alexandre (French Cancan) ; Henri <strong>de</strong><br />

Chevincourt -(Elena…); Elena ; Comtesse Marie-Charlotte (le Déjeuner…) ; le Baron (au début<br />

<strong>de</strong>s Bas-Fonds)<br />

DOMESTIQUE<br />

Catherine ; Joseph Turlot (Tire au Flanc) ; Rose (On Purge…) ; Anne-Marie (Boudu); Lisette (la<br />

Règle…) ; Schumacher (la Règle…) ; Corneille (la Règle…) ; Marceau (la Règle…) ; Louise (le<br />

Journal…) ; Célestine (le Journal…) ; Joseph (le Journal…) ; Nan (le Fleuve) ; Désiré (le<br />

Testament…) ; Paulette (Yvetot)<br />

BOURGEOIS/PETIT BOURGEOIS<br />

Madame Laisné (Catherine) ; Georges Mallet (Catherine) ; Edith Mallet (Catherine) ; Maurice<br />

Laisné (Catherine) ; Georges Raynal (la Fille…); Père Raynal (la Fille…) ; Chouilloux (On<br />

Purge…) ; Madame Chouilloux (On Purge…) ; Truchet (On Purge…) ; Anna Lestingois (Boudu)<br />

; Edouard Lestingois (Boudu) ; Rodolphe Boulanger (Bovary) ; Georges Lanlaire (le Journal…) ;<br />

Madame Lanlaire (le Journal…) ; Monsieur Lanlaire (le Journal…) ; Gontran (le Réveillon) ;<br />

Rosenthal (la Gran<strong>de</strong> Illusion)<br />

MARGINAUX<br />

PROSTITUE ET ASSIMILE<br />

Bel Adolphe (Nana) ; Nana ; Dédé (la Chienne) ; Lulu (la Chienne).<br />

AUTRES<br />

Le Furet (la Fille…) ; Boudu ; Maurice Legrand (fin <strong>de</strong> la Chienne) ; Pépel (les Bas-Fonds) ; le<br />

Baron (les Bas-Fonds) ; l’acteur (les Bas-Fonds) ; Cabuche (la Bête…) ; Marceau (la Règle…) ;<br />

Opale (le Testament…) ; le Clochard (le Réveillon) ; la Clochar<strong>de</strong> (le Réveillon)<br />

28


LES FEMMES<br />

Pour cette partie sur les femmes il est intéressant <strong>de</strong> reprendre la classification <strong>de</strong> Roger Viry-<br />

Babel dans Image <strong>de</strong> la femme chez Jean Renoir, reprise elle-même <strong>de</strong> la déclinaison <strong>de</strong> Roland<br />

Barthe dans le roman-photo.<br />

EPOUSES ET MERES<br />

LES EPOUSES ADMIRABLES<br />

Elles sont dévouées à leur mari même si ce <strong>de</strong>rnier n’est pas d’une fidélité exemplaire.<br />

Victoire Pecqueux et Philomène (la Bête Humaine)<br />

La clochar<strong>de</strong> (le Dernier Réveillon) qui fait travailler son imagination pour que l’ordinaire soit un<br />

peu plus acceptable.<br />

La mère d’Erika (le Caporal) sert la main du prisonnier français. Elle n’est pas dupe <strong>de</strong>s<br />

sentiments qui l’unissent à sa fille. Elle dépasse les contingences historiques pour ne voir dans<br />

le prisonnier qu’un homme « comme les autres »<br />

Elsa (la Gran<strong>de</strong> Illusion) et Frida (le Caporal…). Le personnage <strong>de</strong> Frida serait en quelques sorte<br />

une suite <strong>de</strong> Elsa si maréchal était resté en Allemagne ou s’il revient à la fin <strong>de</strong> la guerre.<br />

Les mères et les épouses peuvent être aussi quelque fois l’égal <strong>de</strong> l’homme. : Nona (l’Homme du<br />

Sud) qui est en quelque sorte la version Américaine <strong>de</strong> Ninette (la Vie est à Nous) toutes <strong>de</strong>ux<br />

ont confiance dans les capacités <strong>de</strong> leur ami<br />

Dans le Fleuve le personnage <strong>de</strong> la Mère est un personnage positif <strong>de</strong> l’épouse. Elle n’a pas <strong>de</strong><br />

nom. On l’appelle « la mère » qui est en fait sa fonction première puisqu’elle a cinq filles et un<br />

garçon et à la fin elle met au mon<strong>de</strong> un sixième enfant. Elle est plus qu’une mère puisqu’elle<br />

est aussi la confi<strong>de</strong>nte d’Harriet. Mais contrairement à Juliette Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne), elle<br />

assume parfaitement sa fonction référentielle pour une fille qui arrive dans une pério<strong>de</strong><br />

transitoire et qui se pose <strong>de</strong>s questions sur elle-même.<br />

Il y a aussi la bonne ménagère qui est abordé <strong>de</strong> façon extrême et caricaturale dans la Cireuse<br />

Electrique. avec Emilie<br />

LES EPOUSES VOLAGES<br />

La référence en ce domaine est sans conteste Emma Bovary. Vassilia (les Bas-Fonds), Séverine<br />

(la Bête Humaine), Christine (la Règle du Jeu) et Peggy (la Femme sur la Plage) ne sont que <strong>de</strong>s<br />

variations du personnage flaubertien. Elles ont toutes un mari plus âgés. Leur désir sexuel<br />

n’est pas satisfait dans le mariage. Elles l’assouvissent donc naturellement avec un amant.<br />

LES EPOUSES COMIQUES<br />

Certaines sont à la limite du grotesque : Edith Mallet (Catherine) qui se fait conter fleurette par<br />

le sous-préfet avec sa poésie <strong>de</strong> bas-étage. Mais aussi Clémence Chouilloux (On purge Bébé),<br />

Emma Lestingois (Boudu) et Madame Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne). Ce sont en quelque sorte <strong>de</strong>s<br />

caricatures <strong>de</strong> Madame Bovary. Elle vivent dans un univers <strong>de</strong> conventions où il y a ce qui se<br />

fait et ce qui ne se fait pas. Leur seul souci est celui <strong>de</strong> la respectabilité, <strong>de</strong> la soumission aux<br />

règles du jeu <strong>de</strong> l’ordre bourgeois.<br />

Si elles transgressent cet ordre un retour très vite à la normale est nécessaire. Or une seule<br />

échappe à ce retour à l’ordre: Isabelle Duvallier (et Nini) (Yvetot).<br />

29


LES MAL MARIEES<br />

Ce sont les épouses victimes <strong>de</strong> leur mariage qui n’ont ni la chance d’être volages, ni<br />

l’intelligence nécessaire pour être révoltées.<br />

Elles n’ont pas su s’adapter à son nouvel état d’épouse, comme celles qui n’ont pas su apporter<br />

une réponse satisfaisante au désir <strong>de</strong> son mari : tel est le cas <strong>de</strong> la première Madame Bovary ;<br />

qui n’apparaît que pour mourir dans la secon<strong>de</strong> séquence. Renoir dresse un constat<br />

impitoyable <strong>de</strong> cette femme : « Il vous a épousée parce que je le lui ai dit. Mais je regrette bien<br />

<strong>de</strong> l’avoir chargé d’une hari<strong>de</strong>lle dont les harnais ne valent pas la peau ».<br />

Certaines heureusement sont abordées <strong>de</strong> façon plus comiques comme Adèle Legrand (la<br />

Chienne)avec son accumulation <strong>de</strong> défauts et Emilie (la Cireuse…).<br />

Pour d’autres le <strong>de</strong>stin est plus tragique comme Henriette (Partie <strong>de</strong> Campagne) ou Marie (Toni)<br />

En montrant que le passage <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong> jeune fille à celui d’épouse n’est pas obligatoirement<br />

synonyme d’accession au bonheur, Renoir porte un jugement sur le système social, nuancé il<br />

est vrai par les images <strong>de</strong> bonheur conjugal dans certaines autres œuvres.<br />

LES MERES ABUSIVES<br />

Les <strong>de</strong>ux principales sont Emma Lory (Vivre Libre) et Madame Lanlaire (le Journal…)<br />

Les autres mères sont <strong>de</strong>s déclinaison en mo<strong>de</strong> mineur <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux femmes.<br />

Elles surprotègent leur enfant et provoque <strong>de</strong>s drames. Elles ont <strong>de</strong>s enfants handicapés :<br />

Albert Lory est un quinquagénaire peureux et lâche, incapable <strong>de</strong> surmonter ses angoisses et<br />

Georges Lanlaire est tuberculeux. Ces handicaps augmentent la dépendance <strong>de</strong> l’enfant vis à<br />

vis <strong>de</strong> la mère.<br />

PROSTITUEE ET MONDAINES<br />

PROSTITUEES<br />

Ce sont presque toujours <strong>de</strong> braves filles soumises à la volonté <strong>de</strong> « maquereaux » dont Renoir<br />

noircit le portrait : Pierre Philippe (Catherine), Georges Flamant (la Chienne), Jean-Marc<br />

Tennberg (French Cancan).<br />

Ils sont « sapés comme <strong>de</strong>s milords », les filles qu’ils exploitent ne brillent pas par leur<br />

intelligence qui ont le désir d’une vie confortable avec leur amant <strong>de</strong> cœur.<br />

Notons entre autre Rosa la Rose (Elena) et Nastia (les Bas-Fonds) dont la vie est un rêve<br />

littéraire, qui la rend un peu à part <strong>de</strong>s autres.<br />

LES FEMMES ENTRETENUES<br />

La différence entre la femme entretenue et la prostituée est une question <strong>de</strong> sentiment : la<br />

« maîtresse » est la femme qu’on n’épouse pas ou qu’on ne peut épouser, à une époque où le<br />

divorce n’est pas une pratique aussi courante qu’aujourd’hui. Elle es aussi la femme qui<br />

permet, à l’homme marié, <strong>de</strong> satisfaire sans risque, ses exigences sexuelles.(la Belle Abbesse<br />

dans French Cancan et Geneviève dans la Règle du Jeu).<br />

Ces femmes n’ont pas la sympathie démesurée <strong>de</strong> Renoir.<br />

Ce qui attache ces femmes à leurs amants, c’est la certitu<strong>de</strong> d’atteindre, grâce à eux, un<br />

niveau <strong>de</strong> reconnaissance aux yeux du mon<strong>de</strong> : Paulette Escoffier (Elena) qui s’accroche à son<br />

Général <strong>de</strong> peur qu’il ne s’envole ou les <strong>de</strong>ux femmes du Dernier réveillon, celle qui a mal aux<br />

<strong>de</strong>nts et celle qui veut faire du cinéma, qui s’entichent <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux jeunes oisifs uniquement pour<br />

30


leur argent et pour le statut qu’ils leur confèrent en les emmenant dans <strong>de</strong>s restaurants<br />

chics.<br />

Quelques personnage <strong>de</strong> cette série échappent aux piques <strong>de</strong> Renoir : ce sont les femmes<br />

issues du peuple.<br />

Elles ont fidèles à l’homme qu’elles aiment même si ce <strong>de</strong>rnier profite d’elles : Philomène (la<br />

Bête Humaine) et Edith (le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange)<br />

Mais il existe une femme « libre » dont on ne se sert pas mais plutôt qui se sert <strong>de</strong>s hommes au<br />

gré <strong>de</strong> sa fantaisie, sans pour autant les asservir, sinon par la beauté, c’est Elena.<br />

NOURRICES ET BONNES<br />

Il existe un seul personnage <strong>de</strong> nourrice dans l’œuvre <strong>de</strong> Renoir, c’est Nan (le Fleuve).<br />

La nourrice est donc plus qu’une confi<strong>de</strong>nte, elle est celle qui fait admettre la réalité <strong>de</strong>s faits,<br />

qui gomme les rugosités <strong>de</strong> caractère, qui suggère <strong>de</strong>s modifications <strong>de</strong> comportement.<br />

Les autres personnages <strong>de</strong> bonnes ou <strong>de</strong> servantes : Georgette (Tire au Flanc) materne Jean<br />

Dubois D’Ombelles et lui évite <strong>de</strong> sombrer dans le désespoir lorsqu’il se rend comte que sa<br />

fiancée s’intéresse à un autre homme et Paulette (Yvetot) se jette aux pieds <strong>de</strong> Duvallier pour<br />

l’empêcher <strong>de</strong> rentrer dans la chambre qui abrite le couple adultère.<br />

Les amours ancillaires seraient donc une aspiration à un retour à l’état <strong>de</strong> nature pour le<br />

partenaire bourgeois : le sentiment <strong>de</strong> « déchéance » s’explique par une recherche <strong>de</strong> plus <strong>de</strong><br />

naturel, <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> simplicité dans les rapports humains. Les domestiques, venus souvent <strong>de</strong><br />

leur campagne, pas encore « pollués » par la vie urbaine et ses conventions sont, pour les<br />

bourgeois, les <strong>de</strong>rniers dépositaires <strong>de</strong>s secrets d’une conduite naturelle : Lestingois avec<br />

Anne-Marie (Boudu) qui opère une séduction par la parole tout comme Alexis sur Nénette (le<br />

Déjeuner sur l’herbe).<br />

Deux personnages <strong>de</strong> bonnes apportent dans l’œuvre <strong>de</strong> Renoir une forme <strong>de</strong> révolte et<br />

d’indépendance : Lisette (la Règle du Jeu) et Célestine (le Journal…)<br />

Une <strong>de</strong>s toutes premières servantes <strong>de</strong> Renoir ne possédait pas une positivité que l’on<br />

retrouvera systématiquement par la suite, c’est Zoé (Nana) témoin <strong>de</strong>s turpitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> Nana mais<br />

un témoin cruel.<br />

LA MERE ABSENTE<br />

Catherine ; Virginie (la Fille…) ; Karen (la Marchan<strong>de</strong>…) ; Ben Ragan (l’Etang Tragique) ;<br />

Natacha (les BasFonds) ; Louise Martin (Vivre Libre) ; Paul (Vivre libre) ; Nénette (le Déjeuner…) ;<br />

Julie Keefer (l’Etang…)<br />

IMAGE DE LA MERE NEGATIVE<br />

Julie Follavoine (On Purge…) ; Emma Bovary ; Emma Lory (Vivre Libre) ; la Reine (la<br />

Marseillaise) ; Madame Dufour (Partie…) ; la Grand-mère (Partie…) ; Mère <strong>de</strong> Nini (French<br />

Cancan) ; Grand-Ma (l’Homme…) ; Elsa (trop fragile dans la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Nona (id dans<br />

l’Homme…) ; Mère du fleuve (trop absente) ; Mère d’Erika (représente le mal dans le<br />

Caporal…) ; Titine (le Déjeuner…)<br />

31


SEXE<br />

FEMININ<br />

Sur 193 personnages :<br />

62 sont <strong>de</strong>s femmes<br />

soit 32%<br />

sans compter la mort qui est plus un concept.<br />

MASCULIN<br />

Sur 193 personnages :<br />

130 sont <strong>de</strong>s hommes<br />

soit 67%<br />

32


ONOMASTIQUE<br />

(étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s noms propres)<br />

PAR FONCTION UNIQUEMENT<br />

L’Acteur (les Bas-Fonds) ; le Baron (les Bas-Fonds) ; le Chrono (la Vie…) ; Caporal ; le<br />

Clochard (le Réveillon) ; la Clochar<strong>de</strong> (le Réveillon) ; le Curé (le Déjeuner…) ; le Directeur (la<br />

Vie…) ; le Gérant (le Réveillon) ; la Grand-Mère (Partie…) ; l’Inspecteur (les Bas-Fonds) ; le Jeune<br />

Homme (la Marchan<strong>de</strong>…) ; le Soldat (la Marchan<strong>de</strong>…) ; la Mort (la Marchan<strong>de</strong>…) ; le PDG (la<br />

Vie…) ; le Policier (la Marchan<strong>de</strong>…) ; le Sous-Préfet (Catherine) ; Grand-Ma (l’Homme.)<br />

FONCTION SUIVIE DU NOM<br />

L’Abbé Bournisien (Bovary) ; Caporal Bourrache (Tire au Flanc) ; Colonel Brochard (Tire au<br />

Flanc) ; le Docteur Cor<strong>de</strong>lier ; le Notaire Maître Joly (le Testament…) ; le Major Von Keller<br />

(Vivre Libre) ; l’Inspecteur Maigret ; le Capitaine Mauger (le Journal…) ; le Comte<br />

Muffat (Nana) ; le Général Rollan (Elena) ; le Docteur Séverin (le Testament…) ; le Professeur<br />

Sorel(Vivre Libre) ; le Comte <strong>de</strong> Van<strong>de</strong>uvres (Nana) ; le Professeur Alexis (le Déjeuner…)<br />

La plupart du temps on ne connaît même pas le prénom <strong>de</strong> ces personnages.<br />

FONCTION SUIVIE DU PRENOM<br />

Le Prince Alexandre (French Cancan) ; le Vice-Roi Ferdinand (le Carrosse…) ; le Capitaine<br />

John (le Fleuve) ; la Reine Marie-Antoinette (la Marseillaise) ; le Roi Louis XVI (la Marseillaise) ;<br />

la Comtesse Marie-Charlotte (le Déjeuner…) .<br />

SURNOM<br />

Le Baron (les bas-Fonds) ; le Bel Adolphe (Catherine) ; Ballochet (le Caporal…) ; Cabuche (la<br />

Bête…) ; Caruso (le Caporal…) ; Dédé (la Chienne) ; la Fouine (la Fille…) ; la Belle Abbesse<br />

(French Cancan) ; Lulu (la Chienne) ; Nana ; Nénette (le Déjeuner…) ; Ninette (la Vie…) ; Nino (le<br />

Déjeuner…) ; Nini (French Cancan) ; Pater(le Caporal…) ; Paulo (French Cancan) ; Penche-à-<br />

Gauche (le Caporal…) ; Pépel (les Bas-Fonds) ; Ritou (le Déjeuner…) ; Titine (le Déjeuner…) ;<br />

Toni ; Toto (On Purge…) ; Boudu<br />

PRENOM<br />

Adèle (la Chienne) ; Albert (Toni) ; Anatole(Partie…) ; André (Yvetot) ; Anne-Marie (Boudu) ;<br />

Camilla (le Carrosse...); Catherine ; Célestine (le Journal…) ; Désiré (le Testament…) ; Edith (le<br />

Crime…) ; Eléna ; Elsa (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Emilie (la Cireuse…) ; Erika (le Caporal…) ; Estelle (le<br />

Crime…) ; Eve (la Femme…) ; Felipe (le Carrosse…) ; Fernand (Toni) ; Gontran (le Réveillon) ;<br />

Gustave (la Cireuse…) ; Harriet (le Fleuve) ; Henri (Partie…) ; Hippolyte (Bovary) ; Jeff (la Fille…)<br />

; Josefa (Toni) ; Joseph (le Journal…) ; Jules (la Cireuse…) ; Karen (la Marchan<strong>de</strong>…) ; Léon (Bovary)<br />

; Louise (le Journal…) ; Lucas (les Bas-Fonds) ; Marie (Toni) ; Mélanie (le Fleuve) ; Nan (le Fleuve) ;<br />

Natacha (les Bas-Fonds) ; Paulette (Yvetot) ; Philippe (La vie…) ; Ramon (le Carrosse…) ; René (la<br />

Vie…) ; Rodolphe (Partie…) ; Rose (On Purge…) ; Tim (l’Homme…) ; Tonin (la Vie…) ; Valentine<br />

(le Crime…) ; Valérie (le Fleuve) ; Vassilia (les Bas-Fonds) ; Virginie (la Fille…)<br />

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NOMS<br />

Batala (le Crime…) ; Boeldieu (la Gran<strong>de</strong> Illusion); Bor<strong>de</strong>nave (Nana) ; Chouilloux (On Purge…) ;<br />

Corneille (la Règle…) ; Danglard (French Cancan) ; Devers(l’Homme…) ; Guillaume(le Caporal...)<br />

; Kostilev (les Bas-Fonds) ; Madame Lanlaire (le Journal…) ; Lheureux (Bovary) ; Marceau (la<br />

Règle…) ; Maréchal (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Mufflot (Tire au Flanc) ; Pecqeux (la Bête…) ;<br />

Poulain (Partie…) ; Von Rauffenstein (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Boudu ; Pépel (les Bas-Fonds) ; Père<br />

Raynal (la Fille…) ; Rosenthal (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Roubaud (la Bête…) ; Madame Laisné<br />

(Catherine)<br />

NOMS ET PRENOMS<br />

Carl An<strong>de</strong>rsen (la Nuit…) ; Else An<strong>de</strong>rsen (la Nuit…) ; Honoré Arnaud (la Marseillaise) ;<br />

François <strong>de</strong> Baynes (le Tournoi) ; Jean-Joseph Bomier (la Marseillaise) ; Rodolphe Boulanger<br />

(Bovary) ; Charles Bovary ; Emma Bovary ; Scott Burnett (la Femme…) ; Peggy Butler (la<br />

Femme…) ; Tod Butler (la Femme…) ; Christine <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; Robert <strong>de</strong> la<br />

Chesnaye (la Règle…) ; Henri <strong>de</strong> Chevincourt (Elena) ; François Chotard ; Marie Chotard ;<br />

Reine Chotard ; Clémence Chouilloux (On Purge…) ; Julien Collinet (Chotard) ; Justin<br />

Crepoix (la Fille…) ; Jean Dubois D’Ombelles (Tire au Flanc) ; Edmond Ducasse (Chotard) ;<br />

Cyprien Dufour (Partie…) ; Henriette Dufour (Partie…) ; Juliette Dufour (Partie…) ; Hippolyte<br />

Dupieu (le Caporal...) ; Edmond Duvallier (Yvetot) ; Isabelle Duvallier (Yvetot) ; Bastien<br />

Follavoine (On Purge…) ; Julie Follavoine (On Purge…) ; Isabelle <strong>de</strong> Ginori (le Tournoi) ; Georges<br />

Hugon (Nana) ; André Jurieu (la Règle…) ; Julie Keefer (l’Etang…) ; Tom Keefer (l’Etang…) ;<br />

Maurice Laisné (Catherine) ; Georges Lambert (Vivre Libre) ; Amédé Lange (le Crime…) ;<br />

Charles Lanlaire (le Journal…) ; Georges Lanlaire (le Journal…) ; Jacques Lantier (la Bête..) ;<br />

Maurice Legrand (la Chienne) ; Emma Lestingois (Boudu) ; Edouard Lestingois (Boudu) ; Albert<br />

Lory (Vivre Libre) ; Emma Lory (Vivre Libre) ; Mabel McKenzie (l’Etang…) ; Edith<br />

Mallet (Catherine) ; Georges Mallet (Catherine) ; Geneviève <strong>de</strong> Marras (la Règle…) ; Louise<br />

Martin(Vivre Libre) ; Paul Martin (Vivre Libre) ; Ben Ragan (l’Etang…) ; Thursday<br />

Ragan (l’Etang…) ; Georges Raynal (la Fille…) ; Henri <strong>de</strong> Rogier (le Tournoi) ; Séverine<br />

Roubaud (la Bête…) ; Edouard Schumacher (la Règle…) ; Lisette Schumacher (la Règle…) ;<br />

Horace Truchet (On Purge...) ; Nona Tucker (l’Homme…) ; Sam Tucker (l’Homme…) ; Joseph<br />

Turlot (Tire au Flanc)<br />

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STATISTIQUES SUR LES COUPLES<br />

Sur 84 couples :<br />

63 sont illégitimes<br />

soit 75%<br />

et 31 sont légitimes<br />

soit 37%<br />

Remarquons que les couples mariés sont tous malheureux ou l’un <strong>de</strong>s membres est adultère<br />

sauf peut-être Nona et Sam Tucker (l’Homme…) .<br />

Dans les couples illégitimes nous avons les non mariés mais unis mais aussi les adultères<br />

parfois l’un <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux facteurs peut même avoir plusieurs partenaires<br />

Pour Renoir un couple heureux est peut-être un couple qui change<br />

COUPLES MARIES<br />

Adèle et Maurice Legrand (la Chienne) ; Albert et Josefa (Toni) ; Anatole et Henriette (Partie…)<br />

; Boudu et Anne-Marie ; Charles et Emma Bovary ; Tod et Peggy Butler (la Femme…) ;<br />

Christine et Robert <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; François et Marie Chotard ; Reine Chotard<br />

et Julien Collinet ; Clémence et Monsieur Chouilloux (On Purge…) ; Cyprien et Juliette<br />

Dufour (Partie…) ; Edmond et Isabelle Duvallier (Yvetot) ; Emilie et Gustave (la Cireuse…) ;<br />

Emilie et Jules (la Cireuse…) ; Bastien et Julie Follavoine (On Purge…) ; Kostilev et Vassilia (les<br />

Bas-Fonds) ; Charles et Madame Lanlaire (le Journal…) ; Emma et Edouard Lestingois (Boudu) ;<br />

Louis XVI et Marie-Antoinette (la Marseillaise) ; Edith et Georges Mallet (Catherine) ; Ninette et<br />

René (la Vie…) ; Pecqueux et ses nombreuses femmes (la Bête…) ; Thursday Ragan et sa<br />

nouvelle femme (l’Etang…) ; Père et Mère Raynal (la Fille…) ; Ritou et Titine (le Déjeuner…) ;<br />

Séverine et Roubaud (la Bête…) ; Edouard et Lisette Schumacher (la Règle….) ; Toni et Marie ;<br />

Sam et Nona Tucker (l’Homme…) ; Joseph Turlot et la petite servante (Tire au Flanc) ; Jean<br />

Dubois d’Ombelles et sa femme (Tire au Flanc).<br />

COUPLES ILLEGITIMES OU NON MARIES<br />

Alexis et Nénette (le Déjeuner…) ; Carl et Else An<strong>de</strong>rsen (la Nuit…) ; André et Isabelle<br />

Duvallier (Yvetot) ; Anne-Marie et Edouard Lestingois (Boudu) ; Batala et Edith (le Crime…) ;<br />

François <strong>de</strong> Baynes et Isabelle <strong>de</strong> Ginori (le Tournoi) ; Boudu et Madame Lestingois ; Rodolphe<br />

Boulanger et Emma Bovary ; Emma Bovary et Léon ; Scott Burnett et Peggy Butler (la<br />

Femme…) ; Camilla et Félipe (le Carrosse…) ; Camilla et Ramon (le Carrosse…) ; Camilla et le<br />

Vice-Roi (le Carrosse…) ; Caporal et Erika ; Catherine et Monsieur Mallet ; Célestine et<br />

Georges Lanlaire (le Journal…) ; Robert <strong>de</strong> la Chesnaye et Geneviève <strong>de</strong> Marras (la Règle…) ;<br />

Chistine <strong>de</strong> la Chesnaye et Jurieu (la Règle…) ; Christine <strong>de</strong> la Chesnaye et Octave(la Règle…) ;<br />

Henri <strong>de</strong> Chevincourt et Eléna ; Clémence Chouilloux et Horace Truchet (On Purge…) ;<br />

Danglard et Lola (French Cancan) ; Danglard et Nini (French Cancan) ; Dédé et Lulu (la Chienne) ;<br />

Henriette et Henri (Partie…) ; Juliette Dufour et Rodolphe (Partie…) ; Eléna et le Général<br />

Rollan ; Elsa et Maréchal (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Estelle et Batala (le Crime…) ; Eve et Scott<br />

Burnett (la Femme…) ; Isabelle <strong>de</strong> Ginori et Henri <strong>de</strong> Rogier (le Tournoi) ; Nana et Georges<br />

Hugon ; l’Inspecteur et Natacha (les Bas-Fonds) ; Capitaine John et Valérie (le Fleuve) ; Joseph<br />

et Madame Lanlaire (le Journal…) ; Julie Keefer et Ben Ragan (l’Etang…) ; Catherine et<br />

Maurice Laisné ; Georges Lambert et Louise Martin (Vivre Libre) ; Amédé Lange et<br />

35


Valentine ; Jacques Lantier et Séverine (la Bête…) ; Maurice Legrand et Lulu (la Chienne)<br />

; Albert Lory et Louise Martin (Vivre Libre) ; Mabel McKenzie et Ben Ragan (l’Etang…) ;<br />

Marceau et Lisette Schumacher (la Règle…) ; Marie-Charlotte et Etienne Alexis (le Déjeuner…) ;<br />

Nana et le Comte Muffat ; Natacha et Pépel (les Bas-Fonds) ; Nini et Danglard (French Cancan) ;<br />

Paulo et Nini (French Cancan) ; Pépel et Vassilia (les Bas-Fonds) ; Nana et le Comte <strong>de</strong><br />

Van<strong>de</strong>uvres ; Virginie et Georges Raynal (la Fille…) ; Pecqueux (la Bête…)<br />

COUPLES MARIES SANS ENFANTS<br />

Adèle et Maurice Legrand (la Chienne) ; Anatole et Henriette (Partie…) ; Boudu et Anne-Marie ;<br />

Peggy et Tod Butler (la Femme…) ; Robert et Christine <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; Reine<br />

Chotard et Julien Collinet ; Chouilloux et Clémence Chouilloux (On Purge…) ; Edmond et<br />

Isabelle Duvallier (Yvetot) ; Emilie et Gustave (la Cireuse…) ; Emilie et Jules (la Cireuse…) ;<br />

Kostilev et Vassilia (les Bas-Fonds) ; Emma et Edouard Lestingois (Boudu) ; Georges et Edith<br />

Mallet (Catherine) ; Ninette et René (la Vie…) ; Roubaud et Séverine (la Bête…) ; Schumacher et<br />

Lisette (la Règle…) ; Toni et Marie ; Joseph Turlot (Tire au Flanc) ; Jean Dubois d’ombelles (Tire<br />

au Flanc)<br />

Remarquons que mis à part Joseph Turlot et Jean Dubois d’ombelles qui se marient en fin <strong>de</strong><br />

film donc la suite logique sera les enfants, les autres couples sont tous <strong>de</strong>s couples à<br />

problèmes : ne s’enten<strong>de</strong>nt pas ou se trompent.<br />

36


STATISTIQUES COUPLES SANS ENFANTS<br />

Sur 31 couples mariés :<br />

19 n’ont pas d’enfants<br />

soit 61%<br />

D’ailleurs dans toute l’œuvre <strong>de</strong> Renoir il n’est pas ou peu question d’enfant jeune. Dans le<br />

Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange ,Renoir va même jusqu’à faire dire à Valentine, l’un <strong>de</strong> ses<br />

personnages : « Enceinte c’est tout <strong>de</strong> même moins grave qu’une jambe cassée »<br />

A part Toto (On Purge…) , Bogey (le Fleuve) et les petits pantins <strong>de</strong> la Comedia <strong>de</strong>ll’arte (le<br />

Carrosse…) il n’en est pas question sauf dans le dialogue entre Christine et Lisette (la Règle…)<br />

Celles qui ont <strong>de</strong>s enfants sont en général <strong>de</strong> mauvaise mère (cf partie sur les femmes).<br />

37


Bibliographie<br />

38


Ouvrages sur Jean Renoir et ses films<br />

L’Amour du cinéma<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac, éd. Albin Michel, Paris, 1954, 336 p<br />

dont chapitre 5 consacré à Jean Renoir, p.86 à 105<br />

Jean Renoir<br />

d’Armand-Jean Cauliez, éd. Universitaires, Paris, 1962, 189 p.<br />

Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Pierre Leprohon, éd. Cinéma d’aujourd’hui, Seghers, Paris, 1967, 188 p.<br />

Renoir 1938 ou Renoir pour rien ?<br />

<strong>de</strong> François Poulle, éd. du Cerf, Paris, 1969, 170 p.<br />

Jean Renoir la double méprise<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. Les Editeurs français réunis, Paris, 1980, 150 p.<br />

Jean Renoir l’insurgé<br />

<strong>de</strong> Daniel Serceau, éd. Le Sycomore, Paris, 1981, 266 p.<br />

Jean Renoir, la sagesse du plaisir<br />

<strong>de</strong> Daniel Serceau, éd. du Cerf, coll. Septième art, Paris, 1985, 448 p.<br />

Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Celia Bertin, éd. du Rocher, Paris, 2005, 482 p.<br />

Entretiens et propos<br />

propos recueillis par Jacques Rivette, éd. Ramsay, Paris, 1986, 165 p.<br />

Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Pierre Haffner, éd. Mirages/cinéma, Paris, 1987, 159 p.<br />

Jean Renoir<br />

d’André Bazin, éd. Gérard Lebovici, Paris, 1989, 285 p.<br />

Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Maurice Bessy et Clau<strong>de</strong> Beylie, éd. Pygmalion, Paris, 1989, 319 p.<br />

Films/textes/références : Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, éd. Presses universitaires, Nancy, 1989, 133 p.<br />

Jean Renoir : La Marseillaise<br />

Textes inédits présents par Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. CNC, Paris, 1989, 70 p. Cette édition limitée<br />

à 1000 exemplaires hors commerce a été offerte à Monsieur Viry-Babel par le CNC à<br />

l’occasion <strong>de</strong> l’ouverture <strong>de</strong> l’année du Bicentenaire <strong>de</strong> la Révolution Française et <strong>de</strong> la<br />

Déclaration <strong>de</strong>s Droits <strong>de</strong> l’Homme.<br />

39


Jean Renoir, l’eau et la terre<br />

<strong>de</strong> Franck Curot, étu<strong>de</strong>s cinématographiques 170-178, éd. Lettres mo<strong>de</strong>rnes Minard, Paris,<br />

1990.<br />

Jean Renoir : La Règle du jeu<br />

<strong>de</strong> Pierre Guislain, éd. Hatier image par image, Paris, 1990, 192 p<br />

La Règle du jeu<br />

<strong>de</strong> Francis Vanoye, éd. Nathan synopsis, Paris, 1992, 126 p.<br />

Jean Renoir, cinéaste<br />

<strong>de</strong> Célia Bertin, éd. Découvertes Gallimard, Paris, 1994, 144 p<br />

Jean Renoir, le désir du mon<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong> Guy Cavagnac, éd. Société <strong>de</strong>s découvertes, Paris, 1994, 159 p.<br />

La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

d’Olivier Curchod, éd. Nathan synopsis, Paris, 1994, 128 p.<br />

Le Jeu et la règle<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, éd. Ramsay poche cinéma, Paris, 1994, 191 p.<br />

Partie <strong>de</strong> campagne<br />

synopsis d’Olivier Curchod, éd. Nathan, Paris, 1995, 127 p.<br />

La Règle du jeu : scénario original <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

d’Olivier Curchod et Christopher Faulkner, éd. Nathan cinéma, Paris, 1999, 381 p.<br />

Cahiers Jean Renoir : Renoir en France n° 1<br />

sous la direction <strong>de</strong> Franck Curot, centre d’étu<strong>de</strong> du 20eme siècle, publication <strong>de</strong> l’université<br />

Paul-Valery, Montpellier III, 1999, 331 p.<br />

Jean Renoir, une vie en oeuvres<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, éd. Grasset, Paris, 2005, 464 p.<br />

40


Ouvrages <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Les Ecrits 1926-1971<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd Belfond les bâtisseurs du 20eme siècle, Paris, 1974, 309 p.<br />

Le Passé vivant<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Cahiers du cinéma, Paris,1989, 126 p.<br />

Ma vie et mes films<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1987, 279 p.<br />

La Règle du jeu<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Livre <strong>de</strong> poche bac 2000, Paris, 1999, 284 p.<br />

Pierre Auguste Renoir, mon père<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Gallimard, Paris, 1959, 506 p.<br />

Les Lettres d’Amérique<br />

Recueils <strong>de</strong> lettres <strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Presses <strong>de</strong> la renaissance, Paris, 1984, 358 p.<br />

Correspondances 1913-1978<br />

Recueils <strong>de</strong> lettres <strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Plon, Paris, 1998, 578 p.<br />

41


Romans <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Les Cahiers du capitaine Georges<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Folio Gallimard, Paris, 1966, 318 p.<br />

Le Cœur à l’aise<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1978, 195 p.<br />

Julienne et son amour / en avant Rosalie<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Henri Veyrier, Paris, 1978, 180 p.<br />

Le Crime <strong>de</strong> l’Anglais<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1979, 144 p.<br />

Geneviève<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1979, 95 p.<br />

42


Autour <strong>de</strong> Renoir<br />

Le Film <strong>de</strong> ma vie<br />

<strong>de</strong> René Lefèvre, éd. Gallimard, Paris, 1937, 220 p.<br />

Eric Von Stroheim<br />

<strong>de</strong> Freddy Buache, éd. Seghers, collection cinéma d’aujourd’hui, Paris, 1972, 176 p.<br />

Souvenirs pour <strong>de</strong>main<br />

<strong>de</strong> Jean-Louis Barrault, éd. Seuil, Paris, 1972, 384 p.<br />

Raconte pas ta vie<br />

<strong>de</strong> Marcel Duhamel, éd. Mercure <strong>de</strong> France, Paris, 1973, 621 p.<br />

Dix ans avec Louis Jouvet<br />

<strong>de</strong> Leo Lapara, éd. France-Empire, Paris, 1975, 316 p.<br />

Histoires <strong>de</strong> ma vie<br />

<strong>de</strong> Jean Marais, éd. Albin Michel, Paris, 1975, 315 p.<br />

Dialogues égoïstes<br />

<strong>de</strong> Michel Piccoli, éd. Olivier Orban, Paris, 1976, 272 p.<br />

Gabin<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur et André Bernard, éd. PAC, collection Têtes d’Affiche, Paris, 1976, 240 p.<br />

Charles Spaak, mon mari<br />

<strong>de</strong> Janine Spaak, éd. France-Empire, Paris, 1977, 288 p.<br />

Jean Gabin<br />

<strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Missiaen et Jacques Siclier, éd. Henri Veyrier, Paris, 1977, 262 p.<br />

728 jours avec Michel Simon<br />

<strong>de</strong> Jeanne Carré, éd. France-Empire, Paris, 1978, 307 p.<br />

Les éperons <strong>de</strong> la liberté<br />

<strong>de</strong> Paul Meurisse, éd. Robert Laffont, Paris, 1979, 288 p.<br />

Les Derniers trombones<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Dauphin, éd. Jean-Clau<strong>de</strong> Simoën, Paris, 1979, 190 p.<br />

Ingrid Bergman, ma vie<br />

d’Ingrid Bergman et Alan Burgess, éd. Fayard, Paris, 1980, 598 p.<br />

Le Temps dévoré<br />

<strong>de</strong> Denise Tual, éd. Fayard, Paris, 1980, 305 p.<br />

Fernan<strong>de</strong>l<br />

<strong>de</strong> Jean Jelot-Blanc, éd. Alain Lefèvre, Paris, 1981, 255 p.<br />

43


Jujube<br />

<strong>de</strong> Juliette Gréco, éd. Stock, Paris, 1982, 253 p.<br />

André Bazin<br />

<strong>de</strong> Dudley Andrews, éd. <strong>de</strong> l’étoile, Paris, 1983, 235 p.<br />

Saisir le présent<br />

<strong>de</strong> Jean-Louis Barrault, éd. Robert Laffont, Paris, 1984, 233 p.<br />

La Rage dans le cœur<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara, éd. Veyrier, Paris, 1984, 624 p.<br />

Eric Von Stroheim<br />

<strong>de</strong> Maurice Bessy, éd. Pygmalion/Gérard Watelet, Paris, 1984, 207 p.<br />

Robert Le Vigan le mal aimé du cinéma<br />

<strong>de</strong> Hervé Le Boterf, éd. France-Empire, Paris, 1986, 250 p.<br />

Ingrid Bergman, le mythe et la vie<br />

<strong>de</strong> Laurence Leamer, éd. Perrin, collection Terres <strong>de</strong>s Femmes, Paris, 1986, 332 p.<br />

Cinémamémoires<br />

<strong>de</strong> Pierre Braunberger, éd. Centre National Georges Pompidou, Paris, 1987, 263 p.<br />

Les fourgons du malheur : mes années avec Jacques Prévert<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara, éd. Carrère, Paris, 1987, 551 p.<br />

Gabin<br />

d’André Brunelin, éd. Robert Laffont, Paris, 1987, 632 p.<br />

En marge du cinéma français<br />

<strong>de</strong> Jacques B.Brunius, éd. L’Age d’homme, Paris, 1987, 148 p.<br />

Michel Simon<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. Edilig, Paris, 1987, 172 p.<br />

Jules Berry, le joueur<br />

<strong>de</strong> Henri Marc, éd. France empire, Paris, 1988, 173 p.<br />

Le Cinéma français : <strong>de</strong> Renoir à Godard<br />

<strong>de</strong> Pierre Maillot, éd. MA, Paris, 1988, 326 p.<br />

Michel Simon ou le roman d’un jouisseur<br />

<strong>de</strong> Jean-Marc Loubier, éd. Ramsay cinéma, Paris, 1989, 452 p.<br />

On ne danse plus la java chez Bébert<br />

d’Andrex, éd. Presses <strong>de</strong> la Renaissance, Paris, 1989, 334 p.<br />

Simenon au cinéma<br />

textes réunis par Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. Hatier, Paris, 1991, 127 p.<br />

C’est court, la vie<br />

<strong>de</strong> Paulette Dubost, éd. Flammarion, Paris, 1992, 232 p.<br />

44


Jean Gabin, anatomie d’un mythe<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur et Ginette Vincen<strong>de</strong>au, éd. Nathan université, Paris, 1993, 255 p.<br />

Animal doué <strong>de</strong> bonheur<br />

<strong>de</strong> Françoise Arnoul et Jean-Louis Mingalon, éd. Belfond, Paris, 1995, 246 p.<br />

Ingrid Bergman<br />

<strong>de</strong> Donald Spoto, éd. Presses <strong>de</strong> la Cité, Paris, 1997, 456 p.<br />

Pierre Brasseur l’éternel milliardaire<br />

<strong>de</strong> Jean-Marc Loubier, éd. Bartillot, Paris, 1997, 330 p.<br />

Jacques Prévert inventaire d’une vie<br />

<strong>de</strong> Bernard Chardère, éd. Gallimard, collection Découvertes, Paris, 1997, 128 p.<br />

Célébrités d’Essoyes : le village qui a conquis Renoir<br />

<strong>de</strong> Bernard Pharisien, éd. Nemont éditeur, Paris, 1998<br />

Je suis le badaud <strong>de</strong> moi-même<br />

<strong>de</strong> Jean Carmet, éd. Plon, Paris, 1999, 222 p.<br />

Jean-Louis Barrault, le théâtre total<br />

<strong>de</strong> Paul-Louis Mignon, éd. Du Rocher, Paris, 1999, 363 p.<br />

Jean Marais, l’enfant terrible<br />

<strong>de</strong> Henry-Jean Servat, éd. Albin Michel, Paris, 1999, 98 p.<br />

Jacques Prévert<br />

d’Yves Courrière, éd. Gallimard, Paris, 2000, 719 p.<br />

Le Cinéma <strong>de</strong>s années 30 par ceux qui l’ont fait<br />

<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 246 p., tome 1 : les début du parlant 1929-<br />

1934.<br />

Le cinéma <strong>de</strong>s années 30 par ceux qui l’ont fait<br />

<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 209 p., tome 2 : l’après-guerre 1935-1939.<br />

Le cinéma <strong>de</strong>s années 40 par ceux qui l’ont fait<br />

<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 197 p., tome 3 : le cinéma <strong>de</strong> l’occupation 1940-<br />

1944.<br />

Le cinéma <strong>de</strong>s années 40 par ceux qui l’ont fait<br />

<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 244 p., tome 4 : le cinéma d’après-guerre 1945-<br />

1950..<br />

Le cinéma <strong>de</strong>s années 50 par ceux qui l’ont fait<br />

<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 273 p., tome 5 : la qualité française 1953-<br />

1957.<br />

Portraits sans retouches : 1945-1955<br />

<strong>de</strong> Françoise Giroud, éd. Folio Gallimard, Paris, 2001, 427 p.<br />

45


Ce semblant <strong>de</strong> journal<br />

<strong>de</strong> Jean Carmet, éd. Plon, Paris, 2001, 238 p.<br />

Jacques Becker<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Naumann, Collection Ciné-Regards, éd. Bifi/Durante, Paris, 2001, 253 p.<br />

Le cinéma <strong>de</strong> Jacques Prévert<br />

<strong>de</strong> Bernard Chardère, éd. Le Castor astral, Paris, 2001, 397 p.<br />

La véritable Ingrid Bergman<br />

<strong>de</strong> Bertrand Meyer-Stabley, éd. Pygmalion, Paris, 2002, 375 p.<br />

Mémoires d’une fripouille<br />

<strong>de</strong> Georges San<strong>de</strong>rs, éd. P.U.F., Paris, 2004, 362 p.<br />

A mes amours<br />

<strong>de</strong> Jean-Pierre Cassel, éd. Stock, Paris, 2004, 287 p.<br />

46


Romans, pièces <strong>de</strong> théâtre et scénarii<br />

originaux autour <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Docteur Jekyll et Mister Hy<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong> R.L. Stevenson, éd. La Bruyère, Paris, 1951, 155 p.<br />

Le Caporal épinglé<br />

<strong>de</strong> Jacques Perret, éd. Gallimard, Paris, 1960, 506 p.<br />

Terres <strong>de</strong>s hommes<br />

d’Antoine <strong>de</strong> Saint-Exupéry, éd. Gallimard, Paris, 1963, 243 p.<br />

La Nuit du carrefour<br />

<strong>de</strong> Georges Simenon, éd. Pocket, Paris, 1976, 184 p.<br />

Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre<br />

d’Octave Mirbeau, éd. Pocket, Paris, 1982, 311 p.<br />

Le Fleuve<br />

<strong>de</strong> Rumer God<strong>de</strong>n, éd. Albin Michel, Paris, 1989, 194 p.<br />

Comme il vous plaira<br />

<strong>de</strong> William Shakespeare, éd. Actes-Sud, Paris, 1990, 87 p<br />

Les Contes<br />

d’Hans Christian An<strong>de</strong>rsen, éd. Gallimard, Paris, 1992, 476 p.<br />

Nana<br />

d’Emile Zola, éd. Les classiques français, Paris, 1993, 413 p.<br />

Madame Bovary<br />

<strong>de</strong> Gustave Flaubert, éd. Les classiques français, Paris, 1993, 351 p.<br />

Les Caprices <strong>de</strong> Marianne<br />

d’Alfred <strong>de</strong> Musset, éd. Librio Flammarion, Paris, 1994, 95 p.<br />

Une Partie <strong>de</strong> campagne<br />

<strong>de</strong> Guy <strong>de</strong> Maupassant, éd. Librio Flammarion, Paris, 1994, 95 p.<br />

La Bête humaine<br />

d’Emile Zola, éd. les classiques français, Paris, 1995, 347 p.<br />

On purge bébé<br />

<strong>de</strong> Georges Fey<strong>de</strong>au, éd. Les classiques français, Paris, 1995, 153 p.<br />

Les Bas-fonds<br />

<strong>de</strong> Maxime Gorki, éd. L’Arche, Paris, 1995, 96 p.<br />

Le Carrosse du Saint Sacrement<br />

<strong>de</strong> Prosper Merimée, éd. Mercure <strong>de</strong> France, Paris, 1998, 59 p.<br />

47


La Mariage <strong>de</strong> Figaro<br />

<strong>de</strong> Beaumarchais, éd. Librairie générale française, Paris, 1999, 240 p.<br />

48


Périodiques cinématographiques<br />

Amis du Film et <strong>de</strong> la Télévision<br />

Mensuel.<br />

Crée par Jean <strong>de</strong> Bongnie, Amis du Film et <strong>de</strong> la Télévision est un magazine mensuel d’informations<br />

accordant autant d’importance aux <strong>de</strong>ux médias que sont le cinéma et la télévision auxquels s’ajoutera une<br />

rubrique « chanson ». C’est l’organe <strong>de</strong> presse du Centre Catholique Cinématographique (CCAC) : « chargé<br />

<strong>de</strong> promouvoir et <strong>de</strong> coordonner toutes les initiatives catholiques dans le domaine du film »<br />

(numéro 137, octobre 1967, p. 50).<br />

n° 116, janvier 1966, article <strong>de</strong> « Happy Feet » : Clau<strong>de</strong> Rich, p. 13.<br />

n° 117, février 1966, article Jean Damas : le film du mois à la télévision : le Déjeuner sur l’Herbe, pp.<br />

39-40.<br />

n° 149, octobre 1968, article <strong>de</strong> « Happy Feet » : Michel Simon, p. 11.<br />

Anthologie du cinéma<br />

Mensuel puis bimestriel. Changement <strong>de</strong> format à partir du numéro 91.<br />

Supplément <strong>de</strong> la prestigieuse revue l’Avant-Scène du Cinéma, dont sa spécificité ne souffre aucune<br />

équivalence en France et à l’étranger. Ensemble clos <strong>de</strong> 110 fascicules reliés en 11 tomes indépendants publiés<br />

<strong>de</strong> 1965 à 1983, cette collection unique <strong>de</strong> monographies trouve son originalité dans le fait d’avoir consacré<br />

chacun <strong>de</strong> ses numéros à un réalisateur ou un acteur dont l’œuvre est décrite et analysée par <strong>de</strong>s spécialistes<br />

(Maurice Bessy, Jean Mitry, Raymond Chirat, Henri Agel et Clau<strong>de</strong> Beylie).<br />

n° 44, avril 1969, article <strong>de</strong> Roger Régent : Louis Jouvet, pp. 161 à 216.<br />

n° 68, mai-juin 1972, article d’Oliver Barrot : Jules Berry, pp. 409 à 456.<br />

n° 90, octobre 1976, article <strong>de</strong> Henri Agel : Pierre Fresnay, pp. 481 à 536.<br />

Archives<br />

Bimestriel irrégulier.<br />

Un constat d’échec en matière <strong>de</strong> recherche cinématographique sert d’éditorial au premier numéro <strong>de</strong> la revue<br />

Archive, publication <strong>de</strong>s Cahiers <strong>de</strong> la Cinémathèque. Si le premier fascicule est un outil <strong>de</strong> référence, les<br />

<strong>de</strong>ux suivants qui serviront <strong>de</strong> revue <strong>de</strong> presse au festival Confrontation sont considérés comme un<br />

« supplément gratuit réservé aux abonnés <strong>de</strong>s Cahiers <strong>de</strong> la Cinémathèque ». La publication<br />

prend son véritable envol à partir du numéro 5 (changement <strong>de</strong> format à partir <strong>de</strong> ce numéro). Archives<br />

s’i<strong>de</strong>ntifie à <strong>de</strong>s dossiers-documents au service <strong>de</strong> l’histoire <strong>de</strong>s premiers temps du cinéma et s’applique à<br />

redécouvrir les aspects déterminants du muet notamment à travers quelques personnalités connues ou méconnues,<br />

leurs œuvres et quelques mouvements ou événements qui ont fait date sans oublier la technique.<br />

n° 34-35, octobre-novembre 1990, dossier établi par Pierre Guérin, numéro exclusivement<br />

dédiée à Nadia Sibirskaïa<br />

n° 70, février 1997, article <strong>de</strong> Franck Priot : La Gran<strong>de</strong> illusion, histoire du film en 10 chapitres, pp. 3<br />

à 13.<br />

et article <strong>de</strong> Guy Cavagnac : sur <strong>de</strong>ux plans <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 14 à 20.<br />

article <strong>de</strong> Raymond Bor<strong>de</strong> : La Gran<strong>de</strong> illusion retrouvée, p. 21<br />

49


article <strong>de</strong> Jacques Choukroun : A propos du premier projet <strong>de</strong> production <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong><br />

illusion, pp. 24 à 26.<br />

article <strong>de</strong> Michelle Aubert : La Gran<strong>de</strong> illusion, histoire d’une restauration, pp. 27-28.<br />

Arts<br />

Hebdomadaire.<br />

Héritière <strong>de</strong> la Gazette <strong>de</strong>s Beaux-Arts (née en 1859), la revue Arts, fondée à la Libération s’impose<br />

comme une tribune majeure <strong>de</strong> l’activité artistique, culturelle et intellectuelle <strong>de</strong> l’après-guerre. Délibérément<br />

apolitique, à la fois journal d’information sur l’actualité <strong>de</strong>s spectacles et lieu <strong>de</strong> débat, elle ouvre ses colonnes<br />

aux grands noms <strong>de</strong> la littérature, <strong>de</strong> l’histoire <strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong>s différentes disciplines scientifiques. Le cinéma y<br />

tient sa place dès l’origine, mais sa gran<strong>de</strong> pério<strong>de</strong> sera celle <strong>de</strong>s ténors <strong>de</strong> la Nouvelle Vague.<br />

n° 496, 29 décembre 1954, article <strong>de</strong> François Truffaut : Le Carrosse d’or, p. 3.<br />

n° 572, 13 juin 1956, article <strong>de</strong> François.Truffaut. : Toni <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 5.<br />

n° 583, 19 septembre 1956, article d’Eric Rohmer : Eléna et les hommes, p. 5.<br />

n° 1002, 21 avril 1965, article <strong>de</strong> Paul Gilles : La Règle du jeu : un chef-d’œuvre restauré, p.4.<br />

L’Avant-Scène Cinéma<br />

Mensuel puis bimensuel (<strong>de</strong> 1976 à 1983).<br />

Prestigieuse publication ayant obtenu au Festival <strong>de</strong> Venise une « plaquette Lion <strong>de</strong> Saint-Marc », la plus haute<br />

récompense décernée à un périodique par le Jury <strong>de</strong> la Xeme Exposition Internationale du Livre et du Périodique<br />

Cinématographique, l’Avant-Scène Cinéma doit son succès au parti pris <strong>de</strong> présenter <strong>de</strong>s films sous forme <strong>de</strong><br />

découpages intégraux avec les dialogues complets. L’Avant-Scène Cinéma a également publié un<br />

supplément, l’Anthologie du Cinéma, série <strong>de</strong> 110 monographies d’acteurs ou <strong>de</strong> réalisateurs sous forme <strong>de</strong><br />

fascicules reliés. A noter le premier contact avec la télévision en février 1983 (n° 301) et le découpage d’un<br />

téléfilm : l ‘homme qui aimait <strong>de</strong>ux femmes.<br />

n° 6, 15 juillet 1961, découpage du film : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier.<br />

n° 21, 15 décembre 1962, découpage du film : Partie <strong>de</strong> campagne.<br />

n° 44, 1 er janvier 1965, découpage du film : La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />

n° 52, 1 er octobre 1965, découpage du film : La Règle du jeu.<br />

n° 99, janvier 1970, découpage du film : La Vie est à nous.<br />

n° 162, octobre 1975, découpage du film : La Chienne<br />

n° 215, 1 er novembre 1978, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : in memorian Robert Le Vigan, pp. 23 à 40<br />

dont témoignage <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 33.<br />

n° 223, 1 er mars 1979, article d’auteur inconnu : nécrologie, p. 7<br />

n° 237, 1 er décembre 1979, article d’auteur inconnu : un séminaire <strong>de</strong> Jean Renoir à Florence, p. 57.<br />

n° 243, 1 er mars 1980, dossier <strong>de</strong> Thierry Génin : Robert Ryan, p. 25 à 35, dont article sur La<br />

Femme sur la plage, p. 28<br />

n° 251-252, juillet 1980, spécial Jean Renoir<br />

n° 383-384, juillet-août 1989, découpage du film : La Marseillaise.<br />

n° 544, septembre 2005 : French Cancan (découpage du film pp. 27 à 79)<br />

et article <strong>de</strong> Michel Boujot : la complainte <strong>de</strong> butte, p. 1<br />

article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : un cinéaste insaisissable, pp. 2 à 6<br />

article d’auteurs divers : éloges <strong>de</strong> French Cancan, pp.7 à 12<br />

article d’Yves Alion : entretien avec Françoise Arnoul, pp. 13 à 16<br />

article d’Isabelle Singer : la représentation théâtrale chez Renoir, pp. 16 à 20<br />

article <strong>de</strong> Laurent Aknin : Jean Gabin comédien, pp. 24 à 26<br />

50


L’Avant-Scène Théâtre<br />

n° 597, 1 er novembre 1976 : découpage <strong>de</strong> la pièce : Carola.<br />

Les Cahiers <strong>de</strong> la Cinémathèque<br />

Trimestriel, irrégulier<br />

Histoire scientifique et critique historique restent les motivations premières à l’origine <strong>de</strong> la fondation <strong>de</strong> cette<br />

incontournable et prestigieuse revue d’histoire du cinéma comme le rappelle Marcel Oms dans l’éditorial du<br />

premier numéro : « Nous voulons appréhen<strong>de</strong>r le cinéma sous tous les angles, soucieux d’écrire<br />

l’Histoire et d’écrire pour l’Histoire… »<br />

Cette volumineuse publication consacre chaque numéro à une problématique <strong>de</strong> l’histoire du cinéma tout en<br />

réhabilitant <strong>de</strong>s figures connues ou méconnues du septième art.<br />

n° 18-19, printemps 1976, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 37<br />

à 63<br />

n° 50, article : La petite bourgeoisie dans le cinéma français<br />

article <strong>de</strong> José Baldizzone et Francis Desbarats : L’âge d’or <strong>de</strong> la petite bourgeoise,<br />

pp.5 à 10 (dont la Bête Humaine, p. 9 et Boudu, pp. 6 à 9).<br />

article <strong>de</strong> Samuel Lachize : Paris, réceptacle <strong>de</strong> la petite bourgeoisie, pp. 11 à 16 (dont<br />

La Nuit du carrefour, p. 14, French Cancan, p. 16 et La Marseillaise, p. 16).<br />

article <strong>de</strong> Francis Desbarats : le Cinéma français et la question <strong>de</strong> la petite bourgeoisie,<br />

quelles distances, quels consensus ? pp. 29 à 47 (dont Boudu, pp. 29-30-37-40 et La Bête humaine, pp.<br />

31-34-37-43).<br />

article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>tte Peyrusse : Notes sur le petit bourgeois méridional, pp. 48 à 52<br />

(dont Chotard, p. 49, La Marseillaise, p. 51 et Toni, p. 51).<br />

article <strong>de</strong> Pascla Ory : Présence paradoxale <strong>de</strong> la petite bourgeoisie dans l’œuvre <strong>de</strong> Jean<br />

Grémillon, pp. 57 à 61 (dont Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange, p. 61).<br />

article <strong>de</strong> Marcel Oms : Monsieur Coccinelle <strong>de</strong> Bernard-Deschamps, pp. 63 à 66<br />

(dont La Bête humaine, p. 66).<br />

article <strong>de</strong> Beate Rabbe : Une ascension vers la mort, Corps à cœur, pp. 73 à 77 (dont<br />

Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, pp. 73-76 et La Règle du jeu, p. 76).<br />

article <strong>de</strong> Jean-Louis Olive : De Jacques Fey<strong>de</strong>r à Etienne Chatiliez, aperçus sur une<br />

« middle class » à la française, pp. 79 à 87 (dont La Bête humaine, p. 80 et Boudu, p. 80).<br />

Cahiers du cinéma (les)<br />

Mensuel.<br />

Considérés comme une <strong>de</strong>s revues <strong>de</strong> référence dans les milieux cinéphiles, Les Cahiers du Cinéma sous leur<br />

fameuse couverture jaune, sont fondés en avril 1951 par un noyau <strong>de</strong> critiques, Lo Duca, André Bazin et<br />

Jacques Doniol-Valcroze avec le soutien financier <strong>de</strong> Léoni<strong>de</strong> Keigel (1904-1957). Durant les premières<br />

années, la revue suit une ligne éditoriale sans gran<strong>de</strong> modification où l’analyse <strong>de</strong>s films occupe le <strong>de</strong>vant <strong>de</strong> la<br />

scène, sous la plume <strong>de</strong> Lo Duca, Bazin, Doniol-Valcroze, bientôt rejoints par les « Jeunes Turcs » <strong>de</strong> la<br />

critique que sont Truffaut, Rivette, Chabrol et Rohmer.<br />

Quelques numéros spéciaux consacrés à différents sujets émailleront le caractère pertinent <strong>de</strong> la diversité.<br />

On retiendra parmi les orientations et modifications qui ponctueront la vie <strong>de</strong>s Cahiers, les dates suivantes :<br />

1963 : nouvelle direction rédactionnelle à partir <strong>de</strong> juillet 1963 avec notamment : Douchet, Godard, Kast,<br />

Labarthe et Moullet.<br />

1964/1967 : changement <strong>de</strong> format, <strong>de</strong> couverture, <strong>de</strong> mise en page et <strong>de</strong> caractères d’imprimerie avec le<br />

numéro 160 (novembre 1964) puis en septembre1972 avec le numéro 241 (abandon <strong>de</strong> l’illustration <strong>de</strong><br />

couverture, sobriété <strong>de</strong> la mise en page). Une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> crise idéologique et financière succé<strong>de</strong>ra.<br />

51


1978/1989 : nouveaux changements conséquents à partir <strong>de</strong> février 1978 avec le numéro 285 et à partir <strong>de</strong><br />

novembre 1989 (numéro 425) couverture et maquette refondées.<br />

n° 6, octobre-novembre 1951, article <strong>de</strong> Lo Duca : Venise ou le cinéma au fil <strong>de</strong> l’eau, pp. 35-36<br />

n° 8, janvier 1952, article <strong>de</strong> Jean Renoir : On me <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, pp. 5 à 8.<br />

et article d’André Bazin : Renoir français, pp. 9 à 29.<br />

article <strong>de</strong> Jean Renoir : Quelque chose m’est arrivé, pp. 31-32.<br />

article <strong>de</strong> Maurice Scherer : Renoir américain, pp. 33 à 40.<br />

article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Renoir : Problèmes d’opérateur ou écrire pour ne rien dire, pp. 41 à<br />

43.<br />

article <strong>de</strong> Michel Mayoux : Renoir parmi nous, pp. 44 à 47<br />

article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : entretien avec Jean Renoir, pp. 48 à 52.<br />

article <strong>de</strong> Maurice Scherer : La robe bleue d’Harriet (Le Fleuve), pp. 62 à 64<br />

n° 78, Noël 1957, numéro exclusivement dédié à Jean Renoir<br />

n° 21, mars 1953, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : Camilla, pp. 44 à 46<br />

n° 26, août-septembre 1953, article <strong>de</strong> Maurice Scherer : De trois films et d’une certaine école, pp.<br />

18 à 25<br />

n° 31, janvier 1954, article <strong>de</strong> François Truffaut : Une certaine tendance du cinéma français, pp. 15 à<br />

28.<br />

n° 34, avril 1954, article <strong>de</strong> Jacques Rivette et François Truffaut : Entretien avec Jean Renoir,<br />

pp.3 à 22<br />

n° 35, mai 1954, article <strong>de</strong> Jacques Rivette et François Truffaut : Entretien avec Jean Renoir fin,<br />

pp. 14 à 30<br />

n° 38, août-septembre 1954, article <strong>de</strong> Louis Mollion : Mes rêves, pp. 1 à 9<br />

et article <strong>de</strong> Phillipe Demonsablon : A propos du Carrosse d’or, pp. 16 à 19<br />

n° 41, décembre 1954, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : Petit journal intime du cinéma, p. 16<br />

n° 42, décembre 1954, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze et François Truffaut (enquête sur la<br />

censure et l’érotisme) : Jean Renoir, le public a horreur <strong>de</strong> ça, pp. 48-49<br />

n° 43, janvier 1955, article <strong>de</strong> Pierre Kast : Petit journal intime du cinéma, p. 38<br />

n° 54, Noël 1955, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Enquête sur Hollywood, p.79<br />

n° 60, 1956, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Toni et le classicisme, pp. 1 à 3<br />

n° 47, mai 1955, article d’André Bazin : Portrait d’Auguste Renoir (French Cancan), pp. 35 à 38<br />

n° 48, juin 1955, articles d’André Bazin, Jacques Doniol-Valcroze, Clau<strong>de</strong> Chabrol et Jean-<br />

José Richer : Ephéméri<strong>de</strong> cannois (French Cancan), pp. 15-16<br />

n° 58, avril 1956, article <strong>de</strong> François Truffaut : La photo du mois (Eléna et les hommes), p. 32<br />

n° 62, août-septembre 1956, article d’André Bazin : Le petit journal du cinéma : un préjugé qui me<br />

coûtait cher (Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre), pp. 35-36<br />

n° 64, novembre 1956, article d’Eric Rohmer : Les singes et Venus (Eléna et les hommes), pp. 37<br />

à 40<br />

n° 66, Noël 1956, article <strong>de</strong> Louis Marcorelles : Jean Renoir acteur, p. 54<br />

n° 67, janvier 1957, article <strong>de</strong> Charles Bitsch : La Fille <strong>de</strong> l’eau, p. 33<br />

n° 71, mai 1957, fiche sur Jean Renoir dans la partie : Soixante metteurs-en-scène français rédigés par<br />

l’équipe <strong>de</strong>s Cahiers du Cinéma, p. 62<br />

n° 73, juillet 1957, article <strong>de</strong> Charles Bitsch : Eléna et les imbéciles, p. 30<br />

n° 76, novembre 1957, article d’André Bazin : Le Grand couteau, p. 40<br />

n° 78, Noël 1957, numéro exclusivement dédié à Jean Renoir<br />

n° 80, février 1958, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Renoir le constructeur, pp. 1 à 8<br />

et article d’André Martin : Contribution à un Renoir général, pp. 42-43<br />

n° 82, avril 1958, article <strong>de</strong> Jean Cocteau, Julien Duvivier, Marcel L’Herbier, Carlo Rim,<br />

Léoni<strong>de</strong> Moguy, Michel Boisrond, Yves Allégret et Henri Calef : Hommage à Jean Renoir par sept<br />

réalisateurs, pp. 48-49<br />

n° 87, septembre 1958, article d’André Bazin : La vente <strong>de</strong>s Collettes, p. 50<br />

52


n° 89, novembre 1958, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Où est la liberté (La Gran<strong>de</strong> illusion), pp. 56 à<br />

58<br />

n° 91, janvier 1959, article <strong>de</strong> Jean Renoir : André Bazin, p. 34<br />

n° 95, mai 1959, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Spiero : Jean Renoir tourne Le docteur Cor<strong>de</strong>lier, pp. 28 à 36<br />

n° 97, juillet 1959, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Spiero : Renoir continue…, pp. 39-40<br />

n° 100, octobre 1959, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Pourquoi ai-je tourné Cor<strong>de</strong>lier ? pp. 23 à 26<br />

et article <strong>de</strong> Michel Mayoux : Hors festival, pp. 75-76<br />

n° 102, décembre 1959, article d’Eric Rohmer : Jeunesse <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 1 à 7<br />

n° 106, avril 1960, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Au-revoir Jacques, pp. 2-3<br />

n° 123, septembre 1961, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Un testament olographe (Le Testament du<br />

docteur Cor<strong>de</strong>lier), pp. 32 à 42<br />

n° 131, juillet 1962, article <strong>de</strong> Jean Douchet : Naissance d’un soleil (Le Caporal épinglé), pp. 36 à<br />

42<br />

n° 135, septembre 1962, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : La vie est un songe (Swamp water), pp 59 à 61<br />

n° 155, mai 1964, article <strong>de</strong> Jean-Louis Noames : Jean Renoir, propos rompus, pp. 22 à 30<br />

n° 180, juillet 1966, article <strong>de</strong> Michel Delahaye et Jean-André Fieschi : Mes prochains films, pp.<br />

36 à 47<br />

n° 186, janvier 1967, article d’André S.Labarthe et Jacques Rivette : Renoir le patron, pp. 22 à<br />

27<br />

n° 196, décembre 1967, article <strong>de</strong> Michel Delahaye et Jean Narboni : La marche <strong>de</strong> l’idée :<br />

entretien avec Jean Renoir, pp. 12 à 22 et pp. 66-68<br />

et article <strong>de</strong> Jean-Louis Comolli : Des migrations exemplaires, pp. 24 à 27.<br />

n° 200-201, avril-mai1968, article <strong>de</strong> Michel Delahaye : C’est la révolution (crème <strong>de</strong> beauté), pp.<br />

32 à 42<br />

n° 208, janvier 1969, article <strong>de</strong> Satyajit Ray : Renoir à Calcutta, pp. 40 à 45<br />

n° 218, mars 1970, article <strong>de</strong> Pascal Bonitzer, Jean-Louis Comolli, Serge Daney, Jean<br />

Narboni et J.P. Oudart : La Vie est à nous, film militant, pp. 41 à 51.<br />

n° 278, juillet 1977, article <strong>de</strong> Jean-Louis Comolli : Un corps en trop, pp. 5 à 16<br />

n° 297, février 1979, article <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Biette : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, pp. 59-60<br />

n° 299, avril 1979, article <strong>de</strong> Jean-Louis Comolli : en revoyant Une Partie <strong>de</strong> campagne, pp. 39-40<br />

n° 306, décembre 1979, article <strong>de</strong> Dominique Villain : Hommage à Renoir à Florence, p. 65<br />

n° 479, mai 1994, article <strong>de</strong> Joël Magny : Partie <strong>de</strong> campagne, <strong>de</strong>uxième ! pp. 120 à 124<br />

n° 482, juillet-août 1994, article <strong>de</strong> Thierry Jousse : Renoir vivant, p. 5<br />

et article : Tout Renoir, chaque film <strong>de</strong> Renoir est étudié par un critique ou par<br />

un réalisateur, pp. 42 à 81<br />

n° 483, septembre 1994, article <strong>de</strong> Bruno Podaly<strong>de</strong>s : La goutte d’eau qui fait débor<strong>de</strong>r le vase, pp.<br />

12-13<br />

n° 489, mars 1995, article <strong>de</strong> Joël Magny : Renoir en quête d’un mon<strong>de</strong> nouveau, p. 8<br />

n° 500, mars 1996, article <strong>de</strong> Martin Scorsese : Ma cinéphilie, p. 62<br />

Cinea-Ciné pour tous<br />

Bimensuel puis mensuel. Fusion <strong>de</strong> Cinéa (1921-1923) et <strong>de</strong> Ciné pour tous (1919-1922).<br />

Jean Te<strong>de</strong>sco P. Henry tentent <strong>de</strong> faire survivre l’esprit <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> époque <strong>de</strong> Cinéa après le départ <strong>de</strong> son<br />

créateur Louis Delluc qui meurt en 1924. Avec sa présentation luxueuse, ses enquêtes, ses étu<strong>de</strong>s critiques, ses<br />

numéros spéciaux, Cinéa-Ciné pour tous <strong>de</strong>meure l’une <strong>de</strong>s seules revues artistiques <strong>de</strong> l’époque mais<br />

succombe finalement à la concurrence <strong>de</strong>s grands magazines illustrés tels que Cinémon<strong>de</strong> ou Pour vous.<br />

n° 34, 1 er avril 1925, article d’auteur inconnu : Nos portraits, Catherine Hessling, pp. 24-25.<br />

n° 52, 1 er janvier 1926, article <strong>de</strong> Robert Trevise : Monsieur Jean Renoir tourne Nana, p. 26<br />

n° 54, 1 er février 1926, article d’Edmond Epardaud : Nana, pp. 12-13.<br />

n° 55, 15 février 1926, article d’auteur inconnu : Nana est terminée, p. 23.<br />

53


n° 59, 15 avril 1926, article <strong>de</strong> Marcel Zahar et Daniel Burret : Une visite à Jean Renoir, pp. 14-<br />

15.<br />

n° 60, 1 er mai 1926, article d’Edmond Epardaud : Nana, pp. 13 à 16.<br />

Cinéma…<br />

Mensuel puis périodique à parution variable.<br />

Ce titre porte un millésime abrégé (Cinéma 55) changeant chaque année. Changement <strong>de</strong> format et <strong>de</strong> formule<br />

à partir du numéro 217 (janvier 1977).<br />

Cinéma doit sa naissance en novembre 1954 et son essor à la puissante Fédération Française <strong>de</strong>s Ciné-Clubs<br />

(créée le 12 juillet 1945) et au développement sans précé<strong>de</strong>nt du mouvement « ciné-club » au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> la<br />

Libération. Avec un réseau <strong>de</strong> 180 associations et près <strong>de</strong> soixante mille adhérents, la revue <strong>de</strong>vient un organe<br />

central <strong>de</strong> référence et <strong>de</strong> propagation <strong>de</strong> la culture cinématographique populaire. Aucun aspect du cinéma ne lui<br />

échappe. De novembre 1954 à décembre 1976, la publication suit une ligne rédactionnelle cohérente sans<br />

modifications déterminantes. Dès janvier 1977 sans changer fondamentalement cette politique, Cinéma<br />

approfondit une réflexion en direction d’un « cinéma <strong>de</strong> recherche » et porte l’accent sur <strong>de</strong> nouveaux pôles<br />

d’attraction dont bénéficiera en premier lieu le cinéma français sous le double aspect <strong>de</strong> dossiers historiques et <strong>de</strong><br />

chroniques d’actualités. Les <strong>de</strong>ux décennies suivantes orchestrent inexorablement une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> déclin. Les<br />

changements fréquents <strong>de</strong> format et <strong>de</strong> périodicité nuisent fortement à la qualité <strong>de</strong> la revue qui voit son contenu<br />

s’amoindrir sans jamais retrouver son prestige d’antan. Toutefois, en décembre 1996, un nouveau départ semble<br />

être pris bénéficiant au fond (contenu plus étoffé) et à la forme (couverture couleur, aération <strong>de</strong> la mise en page).<br />

n° 2, décembre 1954, Dossier Jean Renoir, pp. 29 à 45<br />

et article <strong>de</strong> Jean Renoir : A bâtons rompus, pp. 30 à 34<br />

article <strong>de</strong> Pierre Kast : Le nez <strong>de</strong> la Belle Abbesse, pp. 36 à 38<br />

article d’André G. Brunelin : Sur le plateau, pp. 39 à 45.<br />

n° 7, novembre 1955, article <strong>de</strong> René Fauchois : Réconciliation autour <strong>de</strong> Boudu, pp. 71-72<br />

n° 12, octobre-novembre 1956, article d’André Bazin : Renoir vu par André Bazin, pp. 5 à 8<br />

n° 26, avril 1958, article <strong>de</strong> Marcel Achard : La Marseillaise rouge <strong>de</strong> Monsieur Renoir, p. 71<br />

n° 27, ami 1958, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Renoir le déraciné, pp. 117 à 122<br />

n° 31, novembre 1958, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : La Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 111 à 113<br />

n° 33, février 1959, article d’auteur inconnu: Toni, pp. 131 à 138<br />

n° 38, juillet 1959, article <strong>de</strong> Michel Delahaye : Renoir, pp. 31 à 36<br />

n° 42, janvier 1960, article <strong>de</strong> René Gilson : Le Déjeuner sur l’herbe, pp. 116 à 118<br />

n° 43, février 1960, article d’André Brunelin : Histoire d’une malédiction, pp. 36 à 64<br />

n° 48, juillet 1960, article d’André Brunelin : Jacques Becker ou la trace <strong>de</strong> l’homme, pp. 87 à 111.<br />

n° 51, novembre-décembre 1960, article <strong>de</strong> Roger Andrey : Jean Renoir fait son « testament », pp.<br />

106 à 112<br />

n° 57, juin 1961, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Nana, p. 61<br />

n° 62, janvier 1962, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange, p. 93<br />

et article <strong>de</strong> Pierre Billard : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, pp. 107 à 109<br />

n° 63, février 1962, article <strong>de</strong> Marcel Martin : La Règle du jeu, p. 122<br />

n° 65, avril 1962, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Le Fleuve, p. 95<br />

n° 68, juillet-août 1962, article <strong>de</strong> Pierre Billard : Le Caporal épinglé, pp. 133-134<br />

n° 116, mai 1967, retranscription d’une conversation entre Jean Renoir, André S. Labarthe et<br />

Janine Bazin : Cinéaste <strong>de</strong> notre temps, pp. 30 à 48 (Renoir à cœur ouvert)<br />

n° 117, juin 1967, suite <strong>de</strong> la retranscription <strong>de</strong> la conversation entre Jean Renoir, André S.<br />

Labarthe et Janine Bazin : Cinéastes <strong>de</strong> notre temps, pp. 90 à 104 (Renoir à cœur ouvert)<br />

n° 122, janvier 1968, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : La Marseillaise 30 ans après, pp. 102 à 105<br />

n° 124, mars 1968, article <strong>de</strong> Roger Grelier : Dialogue avec une salle, pp. 20 à 24<br />

n° 140, novembre 1969, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Jean Renoir ou La Règle du jeu, pp. 40 à 53<br />

n° 141, décembre 1969, article <strong>de</strong> Marcel Martin : La Vie est à nous, pp. 110-111<br />

54


n° 146, mai 1970, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : La légen<strong>de</strong> <strong>de</strong> Boudu, pp. 51 à 54<br />

n° 163, février 1972, article <strong>de</strong> Patrick Sery : Le Fleuve, pp. 151-152<br />

n° 201-202, septembre-octobre 1975, article <strong>de</strong> Jean Roy : Jean Renoir, La Chienne, pp. 216 à<br />

231<br />

n° 234, juin 1978, article <strong>de</strong> Jean Roy : Renoir, l’IFACC et nous, pp. 33 à 46<br />

n° 240, décembre 1978, article <strong>de</strong> Jean Roy : Renoir trois pério<strong>de</strong>s, pp. 114-115.<br />

n° 241, janvier 1979, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Jean Renoir la partie immergée <strong>de</strong> l’iceberg, pp. 63<br />

à 65<br />

n° 244, avril 1979, article <strong>de</strong> Jean Roy : Au numéro 1273 <strong>de</strong> Leona Drive, pp. 10 à 11<br />

et article <strong>de</strong> Joël Magny : Renoir et les dogmes, pp. 13 à 19<br />

article d’Eric Rohmer : Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 20 à 24<br />

article <strong>de</strong> Jean Douchet : Un cadre éclaté, pp. 25 à 30<br />

article <strong>de</strong> Paul Vecchiali : A l’abri du risque, pp. 31 à 33<br />

n° 247-248, juillet-août 1979, article <strong>de</strong> Daniel Serceau : Renoir et l’Europe du Déjeuner, p. 94<br />

n° 257, mai 1980, article <strong>de</strong> Joël Magny : French Cancan, p. 111<br />

n° 292, avril 1983, article <strong>de</strong> Joël magny : Tire au flanc, p. 69.<br />

n° 293, mai 1983, article <strong>de</strong> Joël Magny : Le Déjeuner sur l’herbe, p. 62 ; Le Caporal épinglé, p. 63 ;<br />

La Chienne, p. 62 ; Boudu, pp. 63-64.<br />

n° 307-308, juillet-août 1984, article <strong>de</strong> Daniel Serceau : A propos <strong>de</strong>s lettres d’Amérique et du Fleuve<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 44-45<br />

n° 313, janvier 1985, article <strong>de</strong> Joël Magny : Le Fleuve, p. I<br />

et article d’Alain Carbonnier : Le Carrosse d’or, p. 38<br />

n° 315, mars 1985, articles <strong>de</strong> Joël Magny : Le Fleuve, p. IV ; L’Homme du Sud, p. IV ; Le Petit<br />

théâtre, pp. V-VI et Toni, p. VI<br />

n° 317, mai 1985, article d’Alain Carbonnier : Eléna et les hommes, pp. III-IV<br />

n° 300, décembre 1983, article d’Yvette Cazaux : Les Bas-fonds, p. 45<br />

n° 305, mai 1984, article <strong>de</strong> D.R. : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 32<br />

n° 357, juin 1986, article <strong>de</strong> Fabrice Revault d’Allonnet : La Vie est à nous, p. 3<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Le cinéma face au Front Populaire, pp 8 à 10.<br />

Cinéma d’Aujourd’hui<br />

Bimestriel (irrégulier). Changement <strong>de</strong> format à partir du numéro 14 (automne 1979).<br />

De 1962 à 1974, Cinéma d’Aujourd’hui représente une collection <strong>de</strong> monographies paraissant aux éditions<br />

Seghers sous la direction <strong>de</strong> Pierre Lherminier qui, en 1975, redonne vie à Cinéma d’Aujourd’hui, après<br />

l’absorption <strong>de</strong> Seghers par le groupe Robert Laffont, sous la forme cette fois d’une revue. Chaque cahier, telle<br />

figure la nouvelle forme, est entièrement consacré à une personnalité du septième art ou à un sujet précis. Outre<br />

l’abondance et la qualité <strong>de</strong>s textes aux signatures remarquées, filmographies et bibliographies constituent<br />

désormais autant d’outils <strong>de</strong> références appréciés et reconnus.<br />

n° 2, mai-juin 1975, numéro exclusivement dédié à Jean Renoir : le spectacle, la vie.<br />

Cinémagazine<br />

Hebdomadaire paraît tous les vendredis, puis mensuel. Absorbe en 1925 la Revue Cinématographique,<br />

Photo-Pratique et le Film.<br />

Sur fond <strong>de</strong> couverture orange, puis rouge, Cinémagazine publie son premier numéro le 21 janvier 1921 et<br />

connaîtra jusqu’à sa disparition en 1935, trois moments importants. Hebdomadaire <strong>de</strong> 1921 à 1929, pério<strong>de</strong><br />

la plus fécon<strong>de</strong> au cours <strong>de</strong> laquelle la revue, organe <strong>de</strong> l’association <strong>de</strong>s « Amis du Cinéma », rejoint le rang <strong>de</strong>s<br />

publications les plus populaires <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres, puis mensuel <strong>de</strong> 1930 à 1934 dans une version<br />

d’inspiration américaine et à nouveau hebdomadaire <strong>de</strong> 1934 à 1935 sous la direction d’André Tinchant qui<br />

55


succè<strong>de</strong> à Jean Pascal. Il serait hasar<strong>de</strong>ux <strong>de</strong> vouloir définir le genre auquel pourrait appartenir<br />

Cinémagazine tant les domaines sont nombreux. Durant les neuf premières années, la revue propose aussi<br />

bien à ses lecteurs <strong>de</strong>s textes d’une gran<strong>de</strong> qualité que <strong>de</strong>s romans-cinémas, <strong>de</strong>s enquêtes auprès <strong>de</strong>s exploitants <strong>de</strong><br />

salles, <strong>de</strong>s metteurs en scène ou scénaristes confiant leurs projets à la rédaction, <strong>de</strong>s informations réservées aux<br />

professionnels, les inévitables jeux-concours fort appréciés du grand public sans oublier les comptes-rendus <strong>de</strong><br />

projection faisant office <strong>de</strong> critiques <strong>de</strong> films et les portraits <strong>de</strong> stars ou <strong>de</strong> grands réalisateurs sous forme <strong>de</strong><br />

biographies illustrées. On relèvera également l’importance accordée aux innovations et inventions techniques du<br />

cinéma parfois au service <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s causes (propagan<strong>de</strong> médicale, enseignement, progrès <strong>de</strong>s sciences) et à<br />

l’action <strong>de</strong> correspondants dans les villes <strong>de</strong> France et à l’étranger qui a accru la diffusion <strong>de</strong> la revue. Au début<br />

<strong>de</strong>s années 30, Cinémagazine abor<strong>de</strong> un luxueux revirement où l’effort est porté sur la qualité <strong>de</strong> la mise en<br />

page et l’iconographie mais s’appauvrira dans une nouvelle formule hebdomadaire à la veille <strong>de</strong> sa disparition.<br />

n° 52, 25 décembre 1925, article d’Henri Gaillard : Jean Renoir tourne Nana, pp. 589-590<br />

n° 11, novembre 1932, article <strong>de</strong> Jean Valois : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux<br />

n° 19, 17 mai 1926, article <strong>de</strong> A.T. : Nana, pp. 296 à 298<br />

n° 21, 21 mai 1926, article <strong>de</strong> Lucien Farnay : Le scénario <strong>de</strong> Nana, l’interprétation, la réalisation, pp.<br />

383 à 388<br />

n° 32-33, 12-19 août 1927, article d’auteur inconnu : Marquitta, p. 303<br />

n° 46, 18 novembre 1927, article <strong>de</strong> Georges Dupont : Une Vie sans joie, p. 310<br />

Cinémathèque<br />

Semestriel.<br />

Volumineuse revue d’histoire et <strong>de</strong> théorie du cinéma, Cinémathèque relève le défi d’explorer les pans du<br />

septième art passés à la trappe, sous-estimés ou dont il ne reste qu’une vision lacunaire et d’élargir le champ <strong>de</strong><br />

réflexion à la lumière <strong>de</strong> nouvelles investigations. Pour cela la revue met en place une méthodologie historique<br />

rigoureuse qui laisse peu <strong>de</strong> place à l’improvisation vers laquelle convergent les étu<strong>de</strong>s parfois très pointues <strong>de</strong><br />

spécialistes. Un soin particulier est apporté à la mise en page, l’iconographie et surtout aux comptes-rendus<br />

détaillés <strong>de</strong>s ouvrages parus. Dans un soucis <strong>de</strong> (re)découverte, Cinémathèque ouvre ses colonnes à la<br />

présentation <strong>de</strong> collection <strong>de</strong> documents peu courants.<br />

n° 1, mai 1992, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La production <strong>de</strong> Toni, pp. 45 à 59<br />

n° 2, novembre 1992, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La production <strong>de</strong> Toni II, pp. 84 à 97<br />

n 3, printemps-été 1993, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La production <strong>de</strong> Toni III, pp. 36 à 46<br />

n° 5, printemps 1994, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La robe sans couture, la dame, le patron, pp. 142 à<br />

153<br />

n° 10, automne 1996, article d’Annie Mottet : La Bête humaine : un historique <strong>de</strong> la production. pp.<br />

66 à 72.<br />

Cinématographe<br />

Bimestriel puis mensuel à partir <strong>de</strong> janvier 1977. Changement <strong>de</strong> format en décembre 1985.<br />

Nouveau venu au début <strong>de</strong>s années soixante-dix, Cinématographe veut mettre à nu, non seulement les formes<br />

que revêt le cinéma, les écritures qu’il utilise, les procédés qu’il emploie mais aussi les problèmes qu’il pose, les<br />

sentiments qu’il fait naître. Plusieurs rubriques se partagent l’actualité cinématographique et portent un regard<br />

sur les salles <strong>de</strong> cinéma, les relations entre le septième art et d’autres médias, et les cinémas étrangers. Dès 1975<br />

et surtout à partir <strong>de</strong> 1977, sous la direction <strong>de</strong> Jacques Fieschi, les dossiers et les numéros spéciaux occupent<br />

une place <strong>de</strong> plus en plus importante au détriment <strong>de</strong> quelques rubriques qui disparaissent. La revue abor<strong>de</strong> un<br />

tournant en novembre 1978 : pagination doublée (plus <strong>de</strong> cent pages), changement <strong>de</strong> formule, augmentation du<br />

tirage et <strong>de</strong> la diffusion, développement d’une politique <strong>de</strong>s dossiers en corrélation avec d’autres disciplines<br />

56


(théâtre, télévision). En décembre 1985, une refonte <strong>de</strong> la revue voit la suppression <strong>de</strong>s dossiers, qui faisaient sa<br />

notoriété, au profit <strong>de</strong> l’actualité cinématographique, toujours plus envahissante.<br />

n° 46, avril 1979, article <strong>de</strong> Christian Oddos et François Troger : Entretien inédits avec Jean<br />

Renoir, pp. 2 à 8<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : A la recherche d’un style, pp. 9 à 15<br />

article <strong>de</strong> Nino Frank : Notre Renoir, pp. 16 à 19<br />

article <strong>de</strong> Mireille Latil Le Dantec : Nature et théâtre, pp. 20 à 24.<br />

article <strong>de</strong> Jacques Fieschi : Citoyen Renoir, pp. 25 à 27<br />

article <strong>de</strong> Philippe Carcassonne : L’éloge et le hasard, pp. 28 à 30.<br />

article d’Emmanuel Decaux : Jean sans terre, pp. 31 à 34<br />

article <strong>de</strong> Bruno Villien : Jean Renoir, romancier, pp. 35 à 37.<br />

article <strong>de</strong> Philippe Carcassonne et Renaud Bezombes : Entretien avec Clau<strong>de</strong><br />

Renoir, pp. 38 à 41<br />

article d’Emmanuel Decaux : Entretien avec Dalio, pp. 42 à 44.<br />

Cinémon<strong>de</strong><br />

Hebdomadaire puis mensuel.<br />

Remarquablement illustré (impression en Sépia), Cinémon<strong>de</strong> <strong>de</strong>meure le magazine <strong>de</strong> cinéma le plus<br />

populaire <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres, avec le plus fort tirage <strong>de</strong> l’époque. De sa fondation en 1928 jusqu’en 1940,<br />

Cinémon<strong>de</strong> connaît ses heures <strong>de</strong> gloire durant lesquelles quelques personnalités du mon<strong>de</strong> cinématographique<br />

prêtent volontiers leurs concours. A ses débuts, la revue joue sur la qualité <strong>de</strong> sa mise en page et surtout sur la<br />

diversité <strong>de</strong> ses rubriques captivant un large public. Après six ans d’interruption (<strong>de</strong> 1940 à 1946), la revue<br />

reparaît avec le numéro 607 sous la direction <strong>de</strong> Maurice Bessy et J.P. Mauclaire, puis absorbe Cinévogue et<br />

Cinévie en février 1949, puis Pour Tous et Jeudi Cinéma. Malgré tous ces mouvements, Cinémon<strong>de</strong><br />

rebaptisé le Nouveau Cinémon<strong>de</strong>, ne retrouvera jamais sa qualité et ses marques d’avant-guerre et disparaît<br />

en 1971.<br />

n° 13, 17 janvier 1929, article d’André Sarrouy : De nos correspondants… Alger (le Bled), p. 255.<br />

n° 170, 21 janvier 1932, article <strong>de</strong> P.L. : Jean Renoir entreprend un film policier avec Pierre Renoir<br />

comme acteur (la Nuit du carrefour), p. 42.<br />

n° 184, 28 avril 1932, article d’Odile Combier : La Nuit du carrefour, pp. 338-339.<br />

n° 185, 8 mai 1932, article <strong>de</strong> Julien Sorel : Sur les écrans <strong>de</strong> Paris, la Nuit du carrefour, p. 359.<br />

n° 204, 15 septembre 1932, article <strong>de</strong> Jean Mery : Jean Renoir et Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 749.<br />

n° 209, 20 octobre 1932, article d’Odile Combier : L’aventure pitoyable, sentimentale, amusante <strong>de</strong><br />

Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, pp. 845-846.<br />

n° 210, 27 octobre 1932, article <strong>de</strong> Julien Sorel : Sur les écrans <strong>de</strong> Paris, Boudu Sauvé <strong>de</strong>s eaux, p.<br />

879.<br />

n° 426, 17 décembre 1936, article d’Odile Combier : Et d’abord allons au cinéma, les Bas-fonds, p.<br />

974.<br />

n° 434, 11 février 1937, article <strong>de</strong> Marc Farnese : Les Bas-fonds, pp. 130 à 132.<br />

n° 436, 25 février 1937, article <strong>de</strong> Georges Fronval : On tourne dans la neige, placi<strong>de</strong> et serein Jean<br />

Renoir, p. 166.<br />

n° 450, 3 juin 1937, article <strong>de</strong> Georges Fronval : Au cœur <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 502-503.<br />

n° 451, 10 juin 1937, article d’Odile Combier : Voici le meilleur film <strong>de</strong> ma carrière déclare Dita<br />

Parlo, p. 517.<br />

n° 465, 16 septembre 1937, article d’auteur inconnu : La Marseillaise verse <strong>de</strong> l’héroïsme au cœur <strong>de</strong>s<br />

citadins, p. 816.<br />

n° 472, 4 novembre 1937, article <strong>de</strong> M.B. : La Gran<strong>de</strong> illusion interdite en Italie, une décision<br />

surprenante, p. 956.<br />

57


n° 480, 30 décembre 1937, article <strong>de</strong> Fernand-Albert Millaud : Les quatre naissances <strong>de</strong> la<br />

Marseillaise, pp. 1190-1191.<br />

n° 481, 6 janvier 1938, article d’auteur inconnu : La Marseillaise, un film d’actualité par Jean<br />

Renoir, p. 13.<br />

n° 482, 13 janvier 1938, article <strong>de</strong> Robert Burnaud : Louis Jouvet comte <strong>de</strong> Roe<strong>de</strong>rer, p. 28.<br />

n° 483, 20 janvier 1938, article <strong>de</strong> Jean Rimbaud : C’est une révolte ? Non sire, c’est une révolution,<br />

pp. 50-51.<br />

n° 487, 17 février 1938, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : La Marseillaise, p. 122.<br />

n° 531, 21 décembre 1938, article <strong>de</strong> Pierre Leprohon : Autour <strong>de</strong> La Bête humaine, pp. 1164-<br />

1165.<br />

n° 532, 28 décembre 1938, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : La foire aux films, La Bête humaine, p. 1192.<br />

n° 543, 15 mars 1939, article d’Odile Combier : Jean Renoir et le graphophone, p. 11.<br />

n° 546, 5 avril 1939, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : En Sologne, Jean Renoir fusil en main obéit à la Règle<br />

du jeu, pp. 12-13.<br />

n° 552, 17 mai 1939, article <strong>de</strong> Jacques Berland : Renoir contre Renoir, p. 17.<br />

n° 557, 21 juin 1939, article d’auteur inconnu : Drame chez les serviteurs, chez les maîtres, pp. 4-5.<br />

n° 560, 12 juillet 1939, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : La Règle du jeu, p. 20.<br />

n° 683, 2 septembre 1947, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : Je suis un individualiste mais pas un petit<br />

bourgeois, pp. 10-11.<br />

Ciné-Miroir<br />

Bimensuel puis hebdomadaire à partir du numéro 133 (21 octobre 1927).<br />

Edité par le Petit Parisien et dirigé par Jean Vignaud, Ciné-Miroir est entièrement consacré à ses débuts au<br />

récit d’un film puis se diversifie et <strong>de</strong>viendra un grand magazine échotier hebdomadaire. En 1930, la revue est<br />

tirée à cent dix milles exemplaires. Vendu exceptionnellement 25 centimes, le premier numéro paraît le premier<br />

mai 1922 sur 16 pages grand format (34 x 24 centimètres) illustré <strong>de</strong> nombreuses photos. Du numéro 1 au<br />

numéro 971 du 18 juin 1953, Ciné-Miroir conserve sensiblement la même présentation, le même format qu’à<br />

ses débuts avec une unité d’ensemble impressionnante. Pendant la <strong>de</strong>uxième guerre, la publication est interdite<br />

par les Allemands (7 juin 1943). La crise du papier oblige la revue à différer sa parution au 5 juillet 1946<br />

date à laquelle paraît le numéro 793 <strong>de</strong> Ciné-Miroir après six ans d’interruption. 19 lignes seulement pour<br />

saluer l’événement. Le nouveau rédacteur en chef est jusqu’en 1950 René Manevy rédacteur <strong>de</strong> Ciné-Miroir<br />

<strong>de</strong>puis 1922 et chef <strong>de</strong> la rubrique cinéma du Petit Parisien. Du numéro 972 au numéro 978, Ciné-<br />

Miroir <strong>de</strong>venu Ciné-Miroir Magazine tente une nouvelle formule sur 24 pages grand format. Mais c’est le<br />

début <strong>de</strong> la fin. Une courte interruption, puis Ciné-Miroir reparaît sur 16 pages avant <strong>de</strong> disparaître<br />

définitivement, victime <strong>de</strong> l’insolente santé <strong>de</strong> Cinémon<strong>de</strong> et <strong>de</strong> la distribution en France d’un nouveau et<br />

redoutable rival : Ciné-Revue jusqu’alors diffusé exclusivement en Belgique.<br />

n° 71, 1 avril 1925, article <strong>de</strong> René Jeanne : Catherine Hessling, p. 111.<br />

n° 73, 1 mai 1925, article <strong>de</strong> R. d. M. : Un nouveaux metteur en scène : Jean Renoir, p. 150.<br />

n° 87, 1 décembre 1925, article <strong>de</strong> Jean Camera : On tourne Nana, p. 362.<br />

n° 90, 15 janvier 1926, article d’auteur inconnu : Une reconstitution du second empire : Monsieur Jean<br />

Renoir réalise Nana, p. 21.<br />

n° 96, 15 avril 1926, article <strong>de</strong> Ben Markson : En tournant Nana, p. 127.<br />

n° 97, 1 mai 1926, article d’auteur inconnu : Nana, pp. 136-137.<br />

n° 100, 15 juin 1926, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Pourquoi j’ai réalisé Nana, p. 179.<br />

n° 102, 15 juillet 1926, article <strong>de</strong> Pierre Lestringuez : Jean Renoir et Douglas Fairbanks bavar<strong>de</strong>nt,<br />

p. 214.<br />

n° 106, 15 septembre 1926, article <strong>de</strong> Jean Camera : On tourne Charleston, p. 274.<br />

n° 116, 15 février 1927, article <strong>de</strong> Jean Camera : On tourne Marquitta, p. 58.<br />

n° 128, 16 août 1927, article d’auteur inconu : résumé <strong>de</strong> Marquitta, p. 252<br />

n° 140, 9 décembre 1927, article d’Albine Léger : Une Vie sans joie p. 450.<br />

58


n° 145, 13 janvier 1928, article <strong>de</strong> Henriette Janne : Les innovations <strong>de</strong> Jean Renoir : le réalisateur <strong>de</strong><br />

La Petite fille aux allumettes, p. 43.<br />

n° 152, 2 mars 1928, article d’auteur inconnu : Les films <strong>de</strong> <strong>de</strong>main, La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes,<br />

p. 154.<br />

n° 192, 7 décembre 1928, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> Tire-au-flanc, pp. 792-793.<br />

n° 201, 8 février 1929, article d’auteur inconnu : résumé du Tournoi, pp. 84 à 86.<br />

n° 203, 22 février 1929, article d’auteur inconnu : L’esprit sportif dans Le Tournoi, p. 123.<br />

n° 242, 22 novembre1929, résumé du film le Bled, p.763<br />

n° 243, 29 novembre 1929, article d’auteur inconnu : le Bled, p. 763.<br />

n° 323, 12 juin 1931, article d’auteur inconnu : Enrique Rivero, p. 388.<br />

n° 331, 7 août 1931, article d’auteur inconnu : On purge bébé, p. 514.<br />

n° 349, 11 décembre 1931, article d’auteur inconnu, résumé <strong>de</strong> La Chienne, p. 796.<br />

n° 356, 29 janvier 1932, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Doré : Florelle, p. 67.<br />

n° 358, 12 février 1932, article d’auteur inconnu : René Lefèvre, p. 108.<br />

n° 370, 6 mai 1932, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> La Nuit du carrefour, pp. 307-308.<br />

n° 371, 6 mai 1932, article d’auteur inconnu : la Nuit du carrefour, p. 307.<br />

n° 372, 20 mai 1932, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Doré : Florelle chante, p. 332.<br />

n° 374, 30 juin 1932, article <strong>de</strong> Jacques Bernier : Jean Angelo, p. 363.<br />

n° 379, 8 juillet 1932, article d’auteur inconnu : une jolie silhouette : Paulette Dubost, p. 446.<br />

n° 394, 21 octobre 1932, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> Boudu, p. 690.<br />

n° 398, 18 novembre 1932, article d’Antoine <strong>de</strong> Courson : Une interview <strong>de</strong> Michel Simon : Boudu<br />

c’est moi !, p. 756.<br />

n° 446, 20 octobre 1933, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bernier : Madame Bovary, p. 659.<br />

n° 460, 26 janvier 1934, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> Madame Bovary, pp. 52-53.<br />

n° 612, 25 décembre 1936, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong>s Bas-fonds, p. 823.<br />

n° 636, 11 juin 1937, article d’auteur inconnu résumé <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 384-385.<br />

n° 637, 18 juin 1937, article <strong>de</strong> Remy Garrigues : Le rêve <strong>de</strong> Gabin, p. 395.<br />

n° 638, 25 juin 1937, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bernier : Pierre Fresnay, le brillant officier <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong><br />

illusion, p. 411.<br />

n° 651, 24 septembre 1937, article <strong>de</strong> Françoise Holbane : Jean Renoir tourne La Marseillaise, film<br />

dédié au glorieux peuple <strong>de</strong> France, p. 622.<br />

n° 667, 14 janvier 1938, article <strong>de</strong> Remy Garrigues : Les succès <strong>de</strong> Dita Parlo, p. 19<br />

et article d’auteur inconnu : : recette <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 26<br />

article <strong>de</strong> Jean Maurinay : Lise Delamare, reine infortunée, p. 30.<br />

n° 668, 21 janvier 1938, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bernier : Pierre Renoir <strong>de</strong>vient roi, p. 35.<br />

n° 701, 9 septembre 1938, article <strong>de</strong> Georges Fronval : Jean Gabin a tourné au Havre au milieu <strong>de</strong>s<br />

locomotives d’importantes scènes <strong>de</strong> La Bête humaine, p. 574.<br />

n° 710, 11 novembre 1938, article <strong>de</strong> Françoise Holbane : Jean Gabin, Carette sont heureux d’être<br />

les gars <strong>de</strong> la machine dans La Bête humaine, p. 718.<br />

n° 724, 17 février 1939, article d’auteur inconnu : Quinze ans après, Paulette Dubost, p. 106.<br />

n° 898, 6 juillet 1948, article d’auteur inconnu : résumé du Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre, p. 5<br />

n° 957, 12 mars 1954, article <strong>de</strong> Pierre Lagar<strong>de</strong> : Le Carrosse d’or, p. 4.<br />

Cinéopse<br />

Mensuel puis bimestriel. Sous-titre : organe mensuel <strong>de</strong> l’industrie cinématographique, la photographie,<br />

l’électricité, l’optique.<br />

Fondé en septembre 1919 par Georges-Michel Coissac, qui la dirigera jusqu’en 1946, Cinéopse se distingue<br />

à ses débuts par le luxe <strong>de</strong> sa mise en page (publicités pleine page <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s firmes, illustrées <strong>de</strong> photographies<br />

<strong>de</strong> films ou d’appareils <strong>de</strong> projection), et surtout par la qualité <strong>de</strong> ses articles portant sur différents aspects du<br />

cinéma : bilans annuels <strong>de</strong>s films français accompagnés <strong>de</strong> réflexions <strong>de</strong> cinéastes, <strong>de</strong> scientifiques, d’artistes,<br />

d’hommes politique ; étu<strong>de</strong>s générales sur l’introduction du cinéma dans différents milieux (armée, enseignement,<br />

59


mé<strong>de</strong>cine, agriculture, œuvres religieuses) ou l’utilisation <strong>de</strong> certains films (documentaire, film amateur) ;<br />

portraits <strong>de</strong> personnalités du septième art ; étu<strong>de</strong>s techniques, documentaires officiels (loi, décrets). Organe<br />

mensuel, le Cinéopse suit l’actualité cinématographique avec une critique <strong>de</strong> la production française et<br />

étrangère et propose <strong>de</strong>s textes plus détaillés pour certains films. Après une pério<strong>de</strong> d’interruption <strong>de</strong> septembre<br />

1939 à février 1946, le Cinéopse reparaît dans une version allégée sous la direction <strong>de</strong> Pierre Souillac, mais<br />

toujours fidèle à ses premières rubriques. Il cesse <strong>de</strong> paraître définitivement en 1967 (numéro 466).<br />

n° 100, 1 er décembre 1927, article <strong>de</strong> Pierre Souillac : Une vie sans joie, pp. 1047-1048.<br />

Ciné-Revue<br />

Hebdomadaire.<br />

Fondé en Belgique par J. Van Cottom et J. Leempoel au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> la première guerre mondiale, Ciné-<br />

Revue pourrait se définir comme un magazine échotier du cinéma à diffusion populaire. Aux chroniques<br />

alimentées par les confi<strong>de</strong>nces, potins et indiscrétions notamment <strong>de</strong>s stars hollywoodiennes, s’ajoutent quelques<br />

rubriques où sont présentés les nouveaux films sous forme <strong>de</strong> récit illustré, <strong>de</strong>s portraits d’acteurs, quelques<br />

articles <strong>de</strong> fond et comptes-rendus <strong>de</strong> festivals. Interrompue pendant la guerre, la revue renaît le 13 octobre<br />

1944. A la fin <strong>de</strong>s années 50, la télévision entre en scène : variation sur le titre <strong>de</strong> la publication à partir du 23<br />

janvier 1959 (Ciné-Télé-Revue), mention <strong>de</strong>s programmes <strong>de</strong> la télévision française, belge et<br />

luxembourgeoise, comptes-rendus d’émission. Les années 60 et 70 voient l’explosion <strong>de</strong> la couleur et <strong>de</strong>s posters<br />

<strong>de</strong> ve<strong>de</strong>ttes féminines <strong>de</strong> plus en plus dénudées. On retiendra la rubrique bio-filmographique <strong>de</strong> J.Van Cottom<br />

« les immortels du cinéma » ressuscitant quelques gran<strong>de</strong>s figures du cinéma ou <strong>de</strong>s acteurs inconnus que<br />

l’on retrouvera dans la publication <strong>de</strong> volumineux numéros hors-série. Changement <strong>de</strong> format à partir <strong>de</strong> 1984.<br />

n° 15, 10 avril 1975, article <strong>de</strong> J.Cotton : Jean Renoir, le cœur, le charme et le génie, pp. 24 à 27.<br />

Commune<br />

n° 35, juillet 1936, dialogue « non prononcé » entre Jean Renoir et Henri Jeanson : comment on<br />

fait un film, pp. 1312 à 1321.<br />

Ecran<br />

Mensuel.<br />

En guise d’éditorial à la création <strong>de</strong> Ecran, l’équipe rédactionnelle qui regroupe les dissi<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> la Revue du<br />

Cinéma (J.A. Gili, M. Martin, G. Hennebelle, C. Beylie), lance un manifeste où sont défendus les principes<br />

d’indépendance, d’information critique et <strong>de</strong> pluralisme idéologique et esthétique, largement développés dans le<br />

second numéro. Au sommaire <strong>de</strong> chaque mensuel, on retrouve une abondante critique <strong>de</strong> l’actualité sous forme<br />

d’entretiens, <strong>de</strong> chroniques <strong>de</strong> tournage, d’analyses filmiques, <strong>de</strong> comptes-rendus <strong>de</strong> festivals et <strong>de</strong>s dossiers<br />

consacrés à l’étu<strong>de</strong> d’un thème, d’une personnalité ou d’une œuvre. Après vingt numéros publiés aux éditions B<br />

and B, la revue change d’éditeur (l’Atalante s’entoure <strong>de</strong> nouveaux collaborateurs G. Braucourt, O.Barrot, J.<br />

Dormachi) et procè<strong>de</strong> à <strong>de</strong>s changements (augmentation d la pagination, nouvelle présentation aérée). On notera<br />

à partir du numéro 65 le dictionnaire <strong>de</strong>s interprètes du cinéma mondial (<strong>de</strong>puis 1945) sous forme <strong>de</strong> fiches<br />

détachables. En juin 1978, le premier numéro <strong>de</strong> Cinémaction voit le jour et est intégré dans la publication<br />

d’un numéro hors-série d’Ecran. Après huit années d’indépendance, Ecran fusionne avec la Revue du<br />

Cinéma, Image et Son (janvier 1980) éditée par la puissante Ligue française <strong>de</strong> d’enseignement.<br />

n° 1, janvier 1972, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Une lettre <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 4.<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Le <strong>de</strong>uxième souffle, Le Fleuve, pp. 78-79.<br />

n° 31, décembre 1974, dossier <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur et Clau<strong>de</strong> Beylie : Le grand cinéma <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir, pp. 26 à 36.<br />

60


30 à 32.<br />

dont article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Renoir tel qu’en lui-même, pp. 26 à 30.<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Auteur <strong>de</strong> films (à propos <strong>de</strong> La Bête humaine), pp.<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Avant que le ri<strong>de</strong>au ne tombe (à propos du Petit<br />

théâtre), pp. 32 à 36.<br />

L’Ecran Français<br />

Hebdomadaire.<br />

Après 18 mois <strong>de</strong> clan<strong>de</strong>stinité (1943-1944) sous l’Occupation, où la revue, intégrée aux Lettres<br />

Françaises, paraît sous une forme ronéotypée puis imprimée, l’Ecran Français, fondé par Jacques Decour<br />

(fusillé par les Allemands), sort officiellement le 4 juillet 1945 et porte la mention « troisième année ». De ces<br />

années difficiles se consoli<strong>de</strong>ra l’esprit <strong>de</strong> combativité <strong>de</strong> la revue. L’Ecran Français doit sa notoriété <strong>de</strong><br />

meilleur hebdo <strong>de</strong> l’après-guerre, à la collaboration <strong>de</strong> bien <strong>de</strong>s personnalités (Alexandre Astruc, André Bazin,<br />

J.G. Auriol, Jean-Charles Tacchella, Jean-Paul Sartre, André Malraux, Georges Sadoul). Dès les premiers<br />

numéros, articles <strong>de</strong> fond, informations corporatives dont une rubrique régulière consacrée à la défense du<br />

mouvement ciné-clubs, critiques <strong>de</strong> films, étu<strong>de</strong>s détaillées <strong>de</strong> films, chroniques <strong>de</strong> tournages, portraits d’artistes<br />

composent l’ossature <strong>de</strong> la publication. Après plusieurs modifications <strong>de</strong> mise en pages au début <strong>de</strong> l’année<br />

1946, L’Ecran Français s’unit en mars 1947 à Paris-Cinéma qui figurera en sous-titre dès le numéro 91<br />

et gagne <strong>de</strong> nouvelles signatures (Barjavel, Spaak). Soucieux <strong>de</strong> défendre le cinéma français, le journal amorce fin<br />

1947 et tout au long <strong>de</strong> l’année 1948, un tournant politique décisif. Les difficultés surgissent. Une pério<strong>de</strong><br />

financière périlleuse contraint la publication à imprimer une nouvelle formule plutôt médiocre dès mars 1948<br />

(numéro 141) et ce jusqu’en mai 1950, et à chercher l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Lettres Françaises. Dans le contexte <strong>de</strong> la<br />

guerre froi<strong>de</strong>, la politique rédactionnelle se radicalise sous l’influence du Parti Communiste Français, dont il<br />

<strong>de</strong>vient un instrument <strong>de</strong> propagan<strong>de</strong> dans le domaine du cinéma. Le départ <strong>de</strong> Bazin entre autres, en 1950<br />

signe le déclin du journal qui sera rapi<strong>de</strong>ment réintégré aux Lettres Françaises <strong>de</strong> mars 1952 à février 1953.<br />

n° 3, 18 juillet 1945, article d’auteur inconnu : Les films que l’on ne verra jamais, pp. 8-9.<br />

n° 15, 10 octobre 1945, article <strong>de</strong> Jean-Charles Tacchella : La Règle du jeu, p. 6.<br />

n° 20, 14 novembre 1945, article d’auteur inconnu : joue-t-on La Règle du jeu ? p. 2.<br />

n° 27, 3 janvier 1946, article d’auteur inconnu : Visite à Jean Renoir, pp. 12-13.<br />

n° 36, 6 mars 1946, article d’auteur inconnu : Et Renoir provoque <strong>de</strong>s remous (à propos <strong>de</strong><br />

L’Homme du Sud), p. 4.<br />

n° 38, 21 mars 1946, article <strong>de</strong> Paul Gilson : Un film direct sorti d’une toile <strong>de</strong> Renoir, p. 5.<br />

n° 50, 12 juin 1946, article <strong>de</strong> Léo Sauvage : Sylvia Bataille, pp. 6-7.<br />

n° 53, 3 juillet 1946, article d’auteur inconnu : Renoir va refaire Madame Bovary, p. 4.<br />

n° 55, 17 juillet 1946, article d’André Bazin : La résistance française à l’usage <strong>de</strong>s Chinois (Vivre<br />

libre), p. 7.<br />

n° 62, 4 septembre 1946, article <strong>de</strong> Georges Altman : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> 1937, p. 5.<br />

n° 74, 26 novembre 1946, article <strong>de</strong> José Zen<strong>de</strong>l : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 18.<br />

n° 77, 17 décembre 1946, article <strong>de</strong> Jean Vidal : Une Partie <strong>de</strong> campagne, un chef d’œuvre inachevé, p.<br />

8.<br />

n° 86, 18 février 1947, article d’auteur inconnu : La Gran<strong>de</strong> illusion n’est pas pour l’Alsace, p. 3.<br />

n° 141, 9 mars 1948, article <strong>de</strong> Jean Nery : Les Bas-fonds <strong>de</strong> Gorki à Gorki… en passant par Jean<br />

Renoir, p. 11.<br />

n° 155, 15 juin 1948, article d’André Bazin : Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre, une suite manquée à<br />

La Règle du jeu, p. 13.<br />

n° 157, 29 juin 1948, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Barrot : La Femme sur la plage, une atmosphère <strong>de</strong><br />

perversion… sans grand chose <strong>de</strong>dans, p. 13.<br />

n° 159, 13 juillet 1948, article <strong>de</strong> Jean-Charles Tacchella : Jean Renoir, p. 2.<br />

n° 199, 19 avril 1949, article <strong>de</strong> Michel Favier-Ledoux : Pour l’amour d’un petit lapin, La Règle du<br />

jeu s’effiloche, p. 4.<br />

61


n° 230, 28 novembre 1949, article d’André Bazin : L’auteur <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion n’a pas perdu<br />

confiance dans la liberté <strong>de</strong> création, p. 6.<br />

n° 257, 5 juin 1950, article <strong>de</strong> Roger Boussinot : L’Homme du Sud, Renoir le truculent, p. 7.<br />

n° 262, 10 juillet 1950, article <strong>de</strong> Jacques Krier : Après the River son premier film en couleur donnerat-on<br />

à Jean Renoir l’occasion <strong>de</strong> tourner en France ?, p. 17.<br />

n° 306, 16 mai 1951, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Daire : Le public américain ne croit plus au « star system », p.<br />

24.<br />

n° 317, 1 août 1951, article <strong>de</strong> Jean-Charles Tacchella : Un <strong>de</strong>s meilleurs clients <strong>de</strong> l’avion Paris-<br />

Rome : Jean Renoir, p. 3.<br />

n °339, 9 janvier 1952, article <strong>de</strong> Jean-Roger Caussimon : Jean Renoir ne pourra pas réaliser Le<br />

Carrosse d’or dans sa langue maternelle, pp. 10-11.<br />

n° 347, 5 mars 1952, article d’auteur inconnu : Jean Renoir et le goût américain, p 6.<br />

L’Express<br />

n° 958, 17-23 novembre 1969, article <strong>de</strong> Pierre Billard :Les hiers qui chantent : La Vie est à nous, p.<br />

121.<br />

n° 1264, 29 septembre au 5 octobre 1975, article <strong>de</strong> F.F. : La Chienne, p. 3.<br />

Le Film Français<br />

Hebdomadaire.<br />

Fondé le 8 décembre 1944 par Jean-Placi<strong>de</strong> Mauclaire, Jean Tarri<strong>de</strong> et Jean-Bernard Derosne, dans un<br />

contexte <strong>de</strong> crise, le Film Français <strong>de</strong>vient rapi<strong>de</strong>ment la revue professionnelle <strong>de</strong> référence, couvrant toutes les<br />

branches <strong>de</strong> l’industrie cinématographique française. Baptisé Journal Corporatif du Cinéma à ses débuts,<br />

ce <strong>de</strong>rnier rend compte <strong>de</strong> la lente réorganisation du cinéma français à laquelle il contribue, au len<strong>de</strong>main du<br />

conflit et traite <strong>de</strong> nombreux sujets : portraits <strong>de</strong> réalisateurs, d’acteurs, <strong>de</strong> techniciens, informations juridiques,<br />

fiscales, économiques, sociales, syndicales, techniques, communiqués officiels, échos <strong>de</strong> tournage, activités <strong>de</strong>s<br />

studios et laboratoires, programmes <strong>de</strong>s salles parisiennes, fiches techniques <strong>de</strong>s nouveaux films. En <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s<br />

chroniques spécialisées réservées à la production et à l’exploitation, la revue s’intéresse aux documentaires, aux<br />

films <strong>de</strong> format réduit, aux <strong>de</strong>ssins animés, à la situation <strong>de</strong>s cinémas étrangers et suit notamment l’évolution <strong>de</strong>s<br />

nouvelles technologies <strong>de</strong> l’audiovisuel. Parmi les étapes importantes qui jalonnent la vie du journal, on retiendra<br />

l’arrivée <strong>de</strong> Maurice Bessy, nommé directeur en janvier 1946, la publication du premier numéro en septembre<br />

1947, consacré au Festival <strong>de</strong> Cannes avec la parution d’un Bulletin quotidien qui ouvre une luxueuse série <strong>de</strong><br />

numéros spéciaux sur l’évolution du cinéma français et étranger. Le 11 mars 1966 (numéro 1135) le Film<br />

Français fusionne avec la Cinématographie Française, titre qui figurera jusqu’en avril 1974 (numéro<br />

1529) avant <strong>de</strong> disparaître <strong>de</strong> la page <strong>de</strong> couverture. Après quelques modifications au début <strong>de</strong>s années 70, le<br />

Film Français abor<strong>de</strong> un tournant en août 1975 (numéro 1589) en optant pour une rationalisation <strong>de</strong> la<br />

publication et <strong>de</strong> l’information, marquée par un format rétréci. Le 30 décembre 1977 (numéro 1705) la revue<br />

passe à un format agrandi. En 1983, le Film Français fusionne avec Cinéma <strong>de</strong> France, puis, choisit en<br />

janvier 1995, une nouvelle formule et maquette sur laquelle il continue <strong>de</strong> travailler.<br />

n° 604, 6 janvier 1956, article d’auteur inconnu : Production française 1955-1956, Eléna et les<br />

hommes, p. 6.<br />

n° 2283, 2 février 1990, article <strong>de</strong> Sophie Dacbert : L’âge d’or du cinéma présente le nouveau Crime <strong>de</strong><br />

monsieur Lange, p. 17.<br />

Focale<br />

Sous-titre : revue d’histoire et <strong>de</strong> théorie du cinéma et <strong>de</strong> la télévision annuel.<br />

62


Annoncé prématurément comme une publication semestrielle <strong>de</strong>s Presses Universitaires <strong>de</strong> Nancy, Focales ne<br />

connaîtra qu’une brève existence <strong>de</strong> quatre numéros parus <strong>de</strong> 1992 à 1996, mais honorera la recherche<br />

théorique sur le plan locale et régional menée notamment au sein <strong>de</strong> l’IECA <strong>de</strong> Nancy. Sur une centaine <strong>de</strong> pages<br />

environ, chaque volume abor<strong>de</strong> une étu<strong>de</strong> précise avec une double approche historique et sémiologique sans écarter<br />

d’autres champs d’investigation (sociologie, pédagogie).<br />

n° 1, éd. Presses universitaires <strong>de</strong> Nancy, Nancy, 1992, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : Spectacle<br />

et spectateur dans French Cancan, pp. 31 à 46.<br />

n° 4, éd. Presses universitaires <strong>de</strong> Nancy, Nancy, 1996, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : un espace<br />

encadré chez Renoir, pp. 35 à 46.<br />

Le Français aujourd’hui : revue <strong>de</strong> l’association française <strong>de</strong>s enseignants <strong>de</strong><br />

français<br />

n° 82, juin 1988, article <strong>de</strong> Jean-Loup Bourget : Double accueil à La Marseillaise, pp. 19-20.<br />

et fiche <strong>de</strong> Jacques Chevallier : La Marseillaise, pp. 19-20.<br />

Futur<br />

n° 13, 23 juillet 1936, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Schnerb : La France aux Français, pp. 10 à 13.<br />

Image et Son<br />

Mensuel.<br />

Après six ans <strong>de</strong> parution (1946-1951) UFOCEL Informations, abor<strong>de</strong> un tournant, et plai<strong>de</strong> pour un<br />

titre moins hermétique Image et Son. Revendiquant sans relâche sa laïcité et son militantisme, la revue<br />

poursuit ses activités antérieures au service notamment du mouvement ciné-club. « Organe <strong>de</strong> la Ligue<br />

Française <strong>de</strong> l’Enseignement rappelle M.C. Lebrun (numéros 46-47 p. 2) il s’efforcera par sa<br />

présentation et son esprit, d’affirmer sur le plan <strong>de</strong> l’éducation populaire audiovisuelle la<br />

polyvalence <strong>de</strong> nos groupements et la qualité <strong>de</strong> notre action. » La publication, est conçue comme un<br />

véritable instrument <strong>de</strong> connaissance, <strong>de</strong> réflexion autour du septième art, et <strong>de</strong> diffusion <strong>de</strong> la culture<br />

cinématographique à laquelle collaborent régulièrement bien <strong>de</strong>s spécialistes (B. Amengual, Jean Mitry). La<br />

spécificité tient sans doute dans l’insertion <strong>de</strong>s précieuses fiches filmographiques <strong>de</strong> l’IDHEC qui apportent une<br />

documentation irremplaçable sur chaque œuvre étudiée et les fameuses « saison cinématographique »<br />

constituant aujourd’hui <strong>de</strong>s outils <strong>de</strong> référence. Image et Son suit <strong>de</strong> près l’évolution <strong>de</strong>s ciné-clubs, informe ses<br />

lecteurs <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> la Fédération UFOCEL et <strong>de</strong>s expériences cinématographiques en milieu scolaire, abor<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong> nombreux sujets (Court-métrage, <strong>de</strong>ssins animés) et consacre plusieurs dossiers à la télévision. Avec le numéro<br />

165-166 (septembre-octobre 1963) la publication choisit un format plus rétréci et augmente sa pagination<br />

avant d’opter en 1969 pour une nouvelle formule sous le titre la Revue du Cinéma.<br />

n° 57-58, novembre-décembre 1952, article <strong>de</strong> Jean Chevallier : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, pp.<br />

9-10.<br />

et article <strong>de</strong> F. Laurent : La Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 17-18.<br />

article <strong>de</strong> Jean Chevallier : La Marseillaise, pp. 19-20.<br />

n° 83, juin 1955, article <strong>de</strong> J.Chevallier : French Cancan, pp. 11-12.<br />

n° 184, mai 1965, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux : <strong>de</strong> Fauchois à Renoir, pp. 49 à<br />

56.<br />

63


La Lettre du Cinéma<br />

Trimestriel.<br />

Nouveau venu dans le paysage mouvementé <strong>de</strong>s revues <strong>de</strong> cinéma <strong>de</strong>s années 90, la Lettre du Cinéma impose<br />

rapi<strong>de</strong>ment et avec une gran<strong>de</strong> originalité ses marques <strong>de</strong> différence. A commencer par l’équipe rédactionnelle<br />

diversifiée, composée entre autres <strong>de</strong> jeunes professionnels à l’origine <strong>de</strong> l’organisation du Prix Georges et Rita<br />

Sadoul parmi lesquels, Hervé le Roux, Jean-Louis Comolli, Eva Truffaut… Dans l’éditorial du second<br />

numéro, Julien Husson insiste bien sur la volonté <strong>de</strong> « découvrir, montrer et soutenir la distribution <strong>de</strong><br />

premiers films inédits du mon<strong>de</strong> entier » en prenant ses distances vis-à-vis <strong>de</strong> l’actualité journalistique.<br />

La Lettre du Cinéma s’immisce également dans les conditions <strong>de</strong> production, <strong>de</strong> distribution, d’exploitation<br />

et <strong>de</strong> diffusion <strong>de</strong>s œuvres qui restent souvent l’apanage <strong>de</strong> certaines revues professionnelles. Cette position parfois<br />

polémique, débouche immanquablement sur quelques interrogations relatives à la fonction critique du cinéma, du<br />

rôle <strong>de</strong>s femmes dont certaines cinéastes comme Jane Campion ou Catherine Breillat bousculent <strong>de</strong>s idées reçues,<br />

et à la dimension politique du septième art. Sur près d’une centaine <strong>de</strong> pages, la Lettre du Cinéma instaure<br />

bien plus qu’une relation épistolaire avec ses subtiles analyses critiques, prises <strong>de</strong> position, tables ron<strong>de</strong>s,<br />

réflexions autour <strong>de</strong> quelques questions épineuses, mais aussi ses notules chroniques et billets.<br />

n° 22, avril/mai/juin 2003, article <strong>de</strong> Michel Delahaye : Promena<strong>de</strong>s et circonstances, pp.46 à 57.<br />

Le Mensuel du Cinéma<br />

Mensuel.<br />

En septembre 1992, la mythique Revue du Cinéma cesse <strong>de</strong> paraître. Deux mois seulement après, l’ancienne<br />

équipe rédactionnelle trouve en la personne <strong>de</strong> Mario Renucci, un nouvel éditeur qui relance la publication sous<br />

le titre le Mensuel du Cinéma. L’aventure sera <strong>de</strong> courte durée et s’achève en 1994. Avec une mise en page<br />

et une iconographie soignées, la revue place l’actualité cinématographique au centre <strong>de</strong> ses préoccupations.<br />

Chaque sortie <strong>de</strong> film important fait l’objet d’une étu<strong>de</strong> détaillée comprenant une analyse et un entretien. Des<br />

dossiers apportent une documentation sur un sujet précis (guerre froi<strong>de</strong> et cinéma européen) ou une personnalité.<br />

D’autres rubriques fournissent quelques informations (vidéo, festivals). Le Mensuel du Cinéma a publié<br />

également <strong>de</strong>s Saisons 1992-1993.<br />

n° 18, juin 1994, article <strong>de</strong> Bernard Benoliel : Autour d’Une Partie <strong>de</strong> campagne, pp. 66 à 68.<br />

1895 : Bulletin <strong>de</strong> l’Association Française <strong>de</strong> Recherche sur l’Histoire du Cinéma<br />

n° 30, octobre 2000, article d’Olivier Curchod : Version courtes, versions longues : les cicatrices <strong>de</strong> La<br />

Règle du jeu, p.99 à 106.<br />

Mon Film<br />

Hebdomadaire puis mensuel.<br />

Mon Film appartient au même titre que Ciné-Miroir, Mon Cinéma et le Film Complet (qu’il absorbe<br />

d’ailleurs en 1958) à la veine <strong>de</strong>s grands magazines populaires <strong>de</strong> cinéma <strong>de</strong>s années 20 avec la particularité<br />

toutefois <strong>de</strong> couvrir une pério<strong>de</strong> étonnamment plus longue (1924-1967). A l’instar <strong>de</strong> ses confrères, Mon Film<br />

sacrifie à la mo<strong>de</strong> très prisée <strong>de</strong>s « films racontés » et réitère un contenu rédactionnel que l’on retrouve dans bien<br />

<strong>de</strong>s publications : portraits <strong>de</strong> ve<strong>de</strong>ttes, chroniques anecdotiques <strong>de</strong> stars, coin <strong>de</strong>s lecteurs, échos et nouvelles,<br />

textes sur les techniques du cinéma, présentation <strong>de</strong> films, notules sur la vie corporative. Une <strong>de</strong>s particularité<br />

tient sans doute dans ce « dictionnaire alphabétique du cinéma français ». En 1946, une nouvelle série voit le<br />

jour. La collection d’après-guerre (la revue ne paraît pas <strong>de</strong> 1938 à 1945) est résolument tournée vers le film<br />

raconté qui évoluera vers le photo-roman jusqu’à la disparition <strong>de</strong> la revue en 1967. Chaque numéro étant<br />

64


consacré au récit d’une adaptation cinématographique, la revue a abandonné en partie ses autres rubriques qui<br />

avaient gagné avant guerre une certaine considération.<br />

n° 355, 10 juin 1953, article d’auteur inconnu : film raconté le Carrosse d’or, pp. 3 à 14.<br />

Positif<br />

Mensuel.<br />

Dès sa naissance à Lyon en mai 1952 sous la direction <strong>de</strong> Bernard Chardère, Positif revendique ar<strong>de</strong>mment<br />

son indépendance malgré les sérieuses difficultés <strong>de</strong> parution régulières <strong>de</strong>s premiers temps et affiche une volonté<br />

<strong>de</strong> se forger une réputation parmi les tenants du titre (Cahiers du Cinéma, Sight and Sound, Bianco e<br />

Nero). En marge <strong>de</strong> l’actualité cinématographique, Positif se définit à ses débuts comme une revue en quête<br />

d’auteurs et défend Autant-Lara, Bunuel, Kurosawa, Huston, Brooks puis Clouzot, Fellini et Antonioni. En<br />

quelques années, aux éditions Fasquelle puis au Terrain Vague avec la complicité d’Eric Losfeld, la publication<br />

étoffe son contenu, consacre plusieurs numéros au cinéma espagnol, américain, italien et livre diverses analyses et<br />

étu<strong>de</strong>s critiques auxquelles collaborent régulièrement Raymond Bor<strong>de</strong>, R. Benayoun, B. Amengual. De sa<br />

création jusqu’en 1974 (numéro 155) Positif ne connaîtra pas moins <strong>de</strong> quatre éditeurs. A cette date, la revue<br />

change <strong>de</strong> format et <strong>de</strong> mise en page et procè<strong>de</strong> au renouvellement <strong>de</strong> son comité <strong>de</strong> rédaction. Au début <strong>de</strong>s années<br />

90 (numéro 359, janvier 1991), la société <strong>de</strong>s rédacteurs <strong>de</strong> Positif <strong>de</strong>vient propriétaire du titre <strong>de</strong> la revue et<br />

propose à ses lecteurs une formule nouvelle (qualité d’impression, agencement <strong>de</strong> rubriques, augmentation <strong>de</strong> la<br />

pagination). Cette exigence <strong>de</strong> qualité est toujours <strong>de</strong> mise lors <strong>de</strong> l’association avec les éditions P.O.L. à partir<br />

<strong>de</strong> mai 1991 (numéro 363) puis avec les éditions J.M. Place. Nouveau format à partir <strong>de</strong> mai 1996 (numéro<br />

423).<br />

n° 2, juin 1952, article <strong>de</strong> Pierre-Yves Chanut : Bengal Story, le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 13 à 17.<br />

n° 6, mars-avril 1953, article <strong>de</strong> Hector Williams : Lettre sur le Carrosse d’or, pp. 34 à 36.<br />

n° 10, juillet-août 1954, article <strong>de</strong> Guy Jacob : Jacques Prévert, auteur <strong>de</strong> films, pp. 60 à 68.<br />

n° 14-15, novembre 1955, article <strong>de</strong> Bernard Chardère : French Cancan, pp. 6 à 8.<br />

n° 31, novembre 1959, article <strong>de</strong> Louis Seguin : 39 metteurs en scène <strong>de</strong> la XXe Nostra, pp. 35 à 44<br />

(concernant Renoir, p. 40).<br />

n° 93, mars 1968, article <strong>de</strong> Michel Ciment : A propos <strong>de</strong> La Marseillaise, pp. 1 à 4.<br />

et article <strong>de</strong> Bernard Cohn : Trente ans après La Marseillaise, pp. 6 à 9.<br />

n° 113, février 1970, article <strong>de</strong> Goffredo Fofi : La Vie est à nous, pp. 43 à 47.<br />

n° 115, avril 1970, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Lettre <strong>de</strong> lecteur (la Vie est à nous), p. 72.<br />

n° 136, mars 1972, article <strong>de</strong> Gérard Legrand : Les livres (Jean Renoir d’André Bazin), pp. 78-<br />

79.<br />

n° 152-153, juillet-août 1973, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Renoir par Renoir, pp. 70 à 75.<br />

n° 173, septembre 1975, article <strong>de</strong> Roland Stragliatri : Portraits <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 5 à 8.<br />

et article <strong>de</strong> Jeannine Ciment : Jean Renoir, La Chienne, pp. 9 à 11.<br />

article <strong>de</strong> Jacques B.Brunius : En marge <strong>de</strong> La Chienne, pp. 12 à 14.<br />

article <strong>de</strong> Michel Ciment : Entretien avec Jean Renoir sur La Bête humaine, pp. 15 à<br />

21.<br />

article <strong>de</strong> Pierre Sicard : Jean Renoir, p. 22.<br />

article <strong>de</strong> Michel Sineux : Ecrits et récrits, Renoir par lui-même, pp. 23 à 25.<br />

article <strong>de</strong> Michel Ciment : Tout le mon<strong>de</strong> a ses raisons, pp. 26 à 35.<br />

n° 239, février 1981, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Jeancolas : Les livres (Jean Renoir la double méprise<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur), p. 73.<br />

n° 244-245, juillet-août 1981, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthome : Entretien avec Max Douy (La<br />

Règle du jeu et La Bête humaine), pp. 2 à 12.<br />

n° 246, septembre 1981, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthome : Entretien avec Max Douy (French<br />

Cancan), pp. 22 à 35.<br />

n° 254-255, mai 1982, article <strong>de</strong> Christian Viviani : French Cancan, pp. 54-55.<br />

65


n° 257-258, juillet-août 1982, article <strong>de</strong> Barthélémy Amengual : Renoir réaliste, la connaissance par<br />

la ressemblance, pp. 28 à 34.<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : La Règle du jeu inédits, pp. 35 à 50.<br />

n° 266, avril 1983, article <strong>de</strong> Frank Curot : Griffith, Renoir et le traitement <strong>de</strong> l’espace filmique, pp. 37<br />

à 41.<br />

n° 283, septembre 1984, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Jeancolas : Les livres : (Lettres d’Amérique <strong>de</strong><br />

Jean Renoir), p. 75.<br />

n° 338, avril 1989, article <strong>de</strong> Michel Ciment : Notes <strong>de</strong> lecture (livres <strong>de</strong> Roger Viry-Babel,<br />

Clau<strong>de</strong> Bessy et Clau<strong>de</strong> Beylie), pp. 76-77.<br />

n° 341-342, juillet-août 1989, article <strong>de</strong> Gérard Legrand : Révolution française, combats avec tes<br />

défenseurs (La Marseillaise), pp. 8 à 11.<br />

n° 375-376, mai 1992, article <strong>de</strong> Jean A.Gili : La Règle du jeu, p. 31.<br />

et article <strong>de</strong> Pascal Pernod : Notes <strong>de</strong> lecture (l’eau et la terre dans les films <strong>de</strong><br />

Jean Renoir <strong>de</strong> Frank Curot), p. 159.<br />

n° 393, novembre 1993, article <strong>de</strong> Mike Leigh : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 10.<br />

n° 395, janvier 1994, article d’Alain Masson : La Gran<strong>de</strong> illusion, fenêtres, pp. 70 à 72.<br />

n° 401-402, juillet-août 1994, article <strong>de</strong> Gérard Legrand : Feuillets pour mon Renoir, pp. 86 à 90.<br />

et article d’Alain Masson : Le Fleuve, le serpent dans le jardin, pp. 91 à 94.<br />

article <strong>de</strong> Bertrand Asscher : A la recherche <strong>de</strong> monsieur Octave, <strong>de</strong> la Règle du jeu à un<br />

mariage, pp. 95 à 98.<br />

n° 408, février 1995, article d’Olivier Curchod : Autour <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne, l’omniprésence <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir, pp. 82-83.<br />

article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthome : Voir un peu d’herbe avant <strong>de</strong> mourir, Prévert et sa<br />

Partie <strong>de</strong> campagne, pp. 84 à 89.<br />

article <strong>de</strong> Jean-Pierre Pagliano : Entretien avec Sylvia Bataille, il y a <strong>de</strong>s moments où un<br />

acteur est visité, pp. 90 à 93.<br />

article <strong>de</strong> Jean-Pierre Jeancolas : Géraniums (la Gran<strong>de</strong> illusion et La Chienne),<br />

pp. 94-95.<br />

n° 420, février 1996, article d’Alain Masson : Note <strong>de</strong> lecture (Partie <strong>de</strong> campagne d’Olivier<br />

Curchod), p. 64.<br />

n° 459, mai 1999, article d’Olivier Curchod : Ecole et cinéma, <strong>de</strong>main peut-être (La Règle du jeu),<br />

pp. 62-63.<br />

n° 460, juin 1999, article d’Olivier Curchod : Fragments <strong>de</strong> vies en toutes lettres, correspondances : cher<br />

Jean Renoir <strong>de</strong> Saint-Exupéry, pp. 69 à 71.<br />

n° 461-462, juillet-août 1999, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthomé : Notes <strong>de</strong> lecture (La Règle du jeu<br />

<strong>de</strong> Curchod et Faulkner), pp. 164-165.<br />

n° 499, septembre 2002, article <strong>de</strong> Curt Courant : Chef opérateur dans l’âge d’or du cinéma, pp. 58<br />

à 60 (La Bête humaine, p. 60).<br />

Pour Vous<br />

Hebdomadaire.<br />

Considéré comme l’un <strong>de</strong>s plus importants et luxueux magazines populaires <strong>de</strong> cinéma <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres<br />

créé peu <strong>de</strong> temps après Cinémon<strong>de</strong> et patronné par l’Intransigeant, un grand quotidien, Pour Vous<br />

propose à ses abonnées en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s rubriques traditionnelles (confi<strong>de</strong>nces et échos <strong>de</strong> stars, films racontés) un<br />

ensemble <strong>de</strong> textes signés L. Wahl, J.G. Auriol, R. Lehmann, N. Frank, P. Veber, D. Daix et R. Régent<br />

touchant notamment les coulisses du septième art (techniques <strong>de</strong> tournage, entretiens et portraits d’acteurs, propos<br />

<strong>de</strong> réalisateur). Quelques personnalités apportent parfois leur collaboration P. Morand, B. Cendrars, P. Mac<br />

Orlan. Les critiques <strong>de</strong> films nouveaux restent la rubrique la plus développée. Pour Vous présente également les<br />

films diffusés sur les principales villes <strong>de</strong> France.<br />

n° 3, 6 décembre 1928, article d’auteur inconnu: Ne dites plus metteur en scène dites auteur, p.3<br />

66


et article d’auteur inconnu : Tire-au-flanc, p. 6<br />

n° 4, 13 décembre 1928, article d’auteur inconnu : Le Tournoi à Bruxelles, p. 6<br />

n° 5, 20 décembre 1928, article <strong>de</strong> Louis Delapre : La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes, p.10<br />

n° 16, 7 mars 1929, article <strong>de</strong> Paul Saffor : les Français prennent Alger, p. 14<br />

n° 18, 21 mars 1929, article d’auteur inconnu : Tire-au-flanc, p. 5<br />

n° 26, 16 mai 1929, article d’auteur inconnu : Le Bled, pp. 6 et 15<br />

n° 43, 5 septembre 1929, article d’auteur inconnu : Le Bled, p. 5<br />

n° 59, 2 janvier 1930, article d’auteur inconnu : Le Tournoi, p. 5<br />

n° 66, 20 février 1930, article d’auteur inconnu : La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes, p. 5<br />

n° 107, 4 décembre 1930, article d’auteur inconnu : Nana, p. 4<br />

n° 137, 2 juillet 1931, article <strong>de</strong> Nino Frank : On purge bébé, p. 5<br />

n° 149, 24 septembre 1931, article d’auteur inconnu : La Chienne, p. 5<br />

n° 158, 26 novembre 1931, article <strong>de</strong> René Lehmann : La Chienne, p. 2<br />

n° 163, 4 février 1932, article <strong>de</strong> J.Vidal : La Chienne, p. 5<br />

n° 168, 4 février 1932, article <strong>de</strong> Jean Vidal : La Chienne, p. 12<br />

n° 180, 28 mars 1932, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Vermorel : Pierre Renoir vient <strong>de</strong> débuter à l’écran, p. 4<br />

et article <strong>de</strong> Jean Barreyre : La Nuit du carrefour, p. 7<br />

n° 207, 3 novembre 1932, article d’auteur inconnu : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 14<br />

n° 209, 17 novembre 1932, article <strong>de</strong> René Bizet : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 4<br />

n° 223, 23 février 1933, article d’auteur inconnu : Chotard et compagnie, p. 6<br />

n° 241, 29 juin 1933, article <strong>de</strong> Roger Regent : Chotard et compagnie, pp. 4-5<br />

n° 251, 7 septembre 1933, article <strong>de</strong> J.G.Auriol : On tourne Madame Bovary, p. 14<br />

n° 252, 14 septembre 1933, article <strong>de</strong> Benjamin Fainsilber : Jean Renoir met à l’écran Madame<br />

Bovary, p. 9<br />

n° 268, 4 janvier 1934, article d’auteur inconnu : Madame Bovary, p. 5<br />

n° 270, 18 janvier 1934, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : Madame Bovary, p. 9<br />

n° 321, 10 janvier 1935, article d’auteur inconnu : avec Toni aux Martigues, p 14<br />

n° 326, 28 février 1935, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : Toni, p. 4<br />

n° 363, 31 octobre 1935, article d’auteur inconnu : la couleur et le relief : Jean Renoir, p. 2<br />

et article <strong>de</strong> Thérèse Delree : l’imprimerie au studio : Jean Renoir tourne sur la cour,<br />

pp. 10-11<br />

n° 375, 23 janvier 1936, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 4<br />

n° 410, 28 septembre 1936, article d’auteur inconnu : dans Les Bas-fonds avec Jean Renoir, p. 11<br />

n° 422, 17 décembre 1936, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : une eau forte à la Gorki, les Bas-fonds, p. 4<br />

n° 431, 18 février 1937, article <strong>de</strong> Marguerite Bussot : au Haut-Koenigsbourg avec Jean Renoir et les<br />

interprètes <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 11<br />

n° 448, 17 juin 1937, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : un beau film français : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 5<br />

n° 453, 22 juillet 1937, article <strong>de</strong> J.P.Barrot : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 14<br />

n° 456, 12 août 1937, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Jean Renoir parle <strong>de</strong> La Marseillaise son prochain film,<br />

p. 10<br />

n° 461, 16 septembre 1937, article <strong>de</strong> Françoise Holbane : Aux armes citoyens, p. 7<br />

n° 483, 16 février 1937, article <strong>de</strong> Serge Veber : La Marseillaise, p. 4<br />

n° 488, 23 mars 1938, article <strong>de</strong> J.P.Barrot : La Marseillaise, p. 14<br />

n° 511, 31 août 1938, article <strong>de</strong> Nino Frank : on tourne La Bête humaine au Havre, p. 10<br />

n° 528, 28 décembre 1938, article <strong>de</strong> Serge Veber : La Bête humaine, p. 6<br />

n° 530, 11 janvier 1939, article <strong>de</strong> différents abonnés : La parole est aux spectateurs : La Bête<br />

humaine, p. 13<br />

n° 532, 25 janvier 1939, article <strong>de</strong> Marguerite Bussot : Propos <strong>de</strong> Jean Renoir (La Règle du jeu),<br />

pp. 2-3<br />

n° 533, 1 er janvier 1939, article <strong>de</strong> Serge Veber : Crimes sans châtiment (La Bête humaine), p 2<br />

n° 538, 8 mars 1939, article <strong>de</strong> Marguerite Bussot : Où Jean Renoir metteur-en-scène nous présente<br />

Jean Renoir interprète <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 9<br />

67


n° 541, 29 mars 1939, article <strong>de</strong> N.F.: Dans les paysages <strong>de</strong> la Sologne : une chasse aux images avec<br />

Jean Renoir et les interprètes <strong>de</strong> La Règle du jeu, pp. 42-43<br />

n° 545, 26 avril 1939, article <strong>de</strong> Lucienne Escoube : Le film français à l’honneur à Londres (La Bête<br />

humaine), p. 6<br />

n° 547, 10 mai 1939, article <strong>de</strong> N.F. : Les <strong>de</strong>rnières prises <strong>de</strong> vues <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 11<br />

n° 549, 24 mai 1939, article : comment est née La Règle du jeu, pp. 4-5<br />

n° 555, 5 juillet 1939, article <strong>de</strong> M.J.C. : A travers la presse américaines <strong>de</strong>ux mots sur La Bête humaine,<br />

p. 7<br />

n° 556, 12 juillet 1939, article <strong>de</strong> Nino Frank : La Règle du jeu, p. 6<br />

n° 557, 19 juillet 1939, article d’auteur inconnu : Jean Renoir va tourner La Tosca : on aura tout vu !,<br />

p. 7<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Eloin : Notre scénario romance : La Règle du jeu, p. 12<br />

n° 558, 26 juillet 1939, article <strong>de</strong> René Bizet : le <strong>de</strong>stin du cinéma : se renouveler ou mourir, p. 2<br />

Première<br />

Mensuel.<br />

Première doit son existence au succès sportif d’une équipe <strong>de</strong> football <strong>de</strong> Saint-Etienne. Marc Esposito en<br />

rappelle l’historique dans le numéro du dixième anniversaire (juillet 1985). A la naissance <strong>de</strong> ce magazine à<br />

grand tirage, se situe une volonté un tant soit peu paradoxale <strong>de</strong> « miser sur un cinéma <strong>de</strong> qualité qui<br />

touche le grand public », conclut J.P. Frimbois dans l’éditorial du premier numéro. Il est vrai que<br />

Première ne cessera <strong>de</strong> défendre un cinéma occulté par la frange cinéphile <strong>de</strong> la critique privilégiant les sorties à<br />

grand succès, et surtout une politique <strong>de</strong>s acteurs largement médiatisée à ses débuts par Michel Drucker.<br />

Richement illustrée, Première porte donc l’accent sur plusieurs dossiers critiques <strong>de</strong> films à chaque numéro où<br />

s’illustrent quelques ve<strong>de</strong>ttes.<br />

n° 26, mars 1979, article <strong>de</strong> François Guérif et Pascal Merigeau : Nostalgies : Jean Renoir, p. 79 à<br />

75.<br />

Premier Plan<br />

Mensuel puis parution irrégulière.<br />

Collection <strong>de</strong> fascicules fondée par Bernard Chardère en 1959 après son départ <strong>de</strong> Positif, Premier Plan<br />

confie à un spécialiste l’étu<strong>de</strong> d’un grand cinéaste et <strong>de</strong> son œuvre, d’un acteur ou d’un aspect du cinéma<br />

(Nouvelle vague, jeune cinéma hongrois, Frankenstein). La formule maintes fois réitérée <strong>de</strong>puis, s’étoffe à partir<br />

du numéro 13 (Luis Bunuel) pour constituer <strong>de</strong> véritables monographies <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> cent pages.<br />

n° 22-23-24, mai 1962, Spécial Jean Renoir, 405p.<br />

article <strong>de</strong> Bernard Chardère : Présentation, p. 2 à 4<br />

article <strong>de</strong> Jean Renoir : Jean Renoir parle…, p. 7 à 25<br />

article d’Alexandre Minaux : Jean Renoir au sommet <strong>de</strong> son art, p. 29 à 31<br />

article <strong>de</strong> Roger Leenhardt : Jean Renoir et la tradition française, p. 32 à 36<br />

article <strong>de</strong> Maurice Sherer : Renoir Américain, p. 37<br />

article <strong>de</strong> Jérôme Canard : Jean Renoir ou La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 38 à 40<br />

article <strong>de</strong> Clémente Cartier : le jouet <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 41 à 43<br />

article <strong>de</strong> Marcel Oms : Renoir, revu et rectifié, p. 44 à 51<br />

article collectif : tous ses films (<strong>de</strong> La Fille <strong>de</strong> l’eau au Caporal épinglé), p. 55 à<br />

405<br />

68


Radio-Cinéma-Télévision<br />

Hebdomadaire.<br />

Au début <strong>de</strong>s années 50, trois organes catholiques (la vie Catholique illustrée, Témoignage Chrétien et<br />

les Editions du Cerf) unissent leurs efforts pour lancer un nouveau magazine Radio-Cinéma-Télévision.<br />

D’un premier abord austère, malgré une iconographie développée, la revue affirme l’intention <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir le journal<br />

<strong>de</strong> cinéma et <strong>de</strong> radio d’un très large public avec une mission d’éducation populaire et propose à chaque numéro,<br />

analyses détaillées <strong>de</strong> films, programmes complets <strong>de</strong> la radio et critiques d’émissions télévisées. Si les<br />

programmes radio occupent la moitié <strong>de</strong> la publication, cinéma et télévision ne sont pas pour autant déconsidérés.<br />

J.L. Tallenay, chroniqueur <strong>de</strong> la Revue Internationale <strong>de</strong> Cinéma mais aussi rédacteur en chef cinéma et<br />

cofondateur du Journal avec Y. Froment-Coste et ses collaborateurs signent <strong>de</strong> nombreux textes à propos d’un<br />

aspect du septième art, d’un acteur, d’un cinéaste, d’un grand film à l’affiche ou <strong>de</strong>s nouveautés à l’écran,<br />

emprunts parfois <strong>de</strong> pédagogie moralisante ou <strong>de</strong> volonté <strong>de</strong> gui<strong>de</strong>r le spectateur. R. Leprohon, H. Agel, C. Ford,<br />

A. Bazin et bien d’autres apporteront régulièrement leur contribution. La revue rend compte également <strong>de</strong><br />

l’évolution technologique <strong>de</strong> la télévision encore à ses balbutiements. Animé d’un esprit militantiste durant ses dix<br />

années d’existence Radio-Cinéma-Télévision laisse l’héritage d’une revue pluridisciplinaire qui rend ses<br />

lettres <strong>de</strong> noblesse à la critique dont Télérama poursuivra dignement la mission à partir <strong>de</strong> 1960 notamment<br />

en direction <strong>de</strong> la télévision (<strong>de</strong>vient Télérama à partir du numéro 559).<br />

n° 22, 18 juin 1950, article <strong>de</strong> Jean Queval : L’Homme du Sud : excellente rentrée <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />

pp.4-5<br />

n° 102, 30 décembre 1951, article <strong>de</strong> J.L.Tallenay : Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir : un grand film poétique<br />

et humain, p. 32<br />

n° 165, 15 mars 1953, article <strong>de</strong> J.D’Yvoire : Le Carrosse d’or, film franco-italien <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

souffre <strong>de</strong> quelques cahots sur une route glorieuse, pp.4-5<br />

et article <strong>de</strong> Jean Renoir : Je n’ai pas tourné mon film au Pérou, p. 5<br />

n° 349, 23 septembre 1956, article <strong>de</strong> Jean D’Yvoire : Eléna et les hommes, p. 44<br />

et article <strong>de</strong> « Ulysse » : Jean Renoir envisage <strong>de</strong> remonter la Gran<strong>de</strong> illusion, p. 38<br />

n° 401, 22 septembre 1957, article d’auteur inconnu : A propos d’Eléna et les hommes : une<br />

philosophie <strong>de</strong> la vie dans l’œuvre <strong>de</strong> Renoir, pp.39-40<br />

n° 460, 9 novembre 1958, article <strong>de</strong> Gilbert Salachas : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />

p. 7<br />

n° 511, 1 er novembre 1959, article <strong>de</strong> Pierre Cardinal : Gros plan sur Jean Renoir, pp. 47-48<br />

n° 530, 13 mars 1960, article d’auteur inconnu : Le Carrosse d’or, pp.47-48<br />

La Revue du Cinéma<br />

Mensuel.<br />

L’histoire bibliographique <strong>de</strong> la Revue du Cinéma s’inscrit sur un <strong>de</strong>mi siècle <strong>de</strong> parution. UFOCEL<br />

Information (1946-1951), puis Image et Son (1951-1969) date à partir <strong>de</strong> laquelle le titre la Revue<br />

du Cinéma <strong>de</strong>vient le titre principal et s’affiche en page <strong>de</strong> couverture (Image et Son en sous-titre) F.<br />

Chevassu dans le numéro d’avril 1969, justifie cette modification par un souci <strong>de</strong> clarté, sans filiation avec la<br />

fameuse revue <strong>de</strong> Jean-Georges Auriol. La Revue du Cinéma reste fidèle à la politique rédactionnelle<br />

d’Image et Son et affiche toujours cet esprit <strong>de</strong> militantisme, d’ouverture et <strong>de</strong> pluralisme critiques soutenu par<br />

le puissant réseau <strong>de</strong> ciné-clubs affiliés à la fédération UFOCEL. Chaque numéro consacre un bon tiers <strong>de</strong> ses<br />

pages aux sorties <strong>de</strong> films, propose <strong>de</strong>s entretiens et <strong>de</strong>s comptes-rendus <strong>de</strong> manifestations, s’intéresse aux cinéma<br />

<strong>de</strong>s minorités ethniques et présente régulièrement un dossier spécial important sur un grand cinéaste ou un thème.<br />

On n’oubliera pas les outils incontournables que sont <strong>de</strong>venus les Saisons Cinématographiques (publiées<br />

<strong>de</strong>puis 1957) qui répertorie chaque année la production française (analyses <strong>de</strong> longs métrages, bilan annuel<br />

d’activité, in<strong>de</strong>x, bibliographie, table), la programmation Ufoleis-Citevox et recueil <strong>de</strong> fiches filmographiques.<br />

En janvier 1980, la Revue du Cinéma est tiré à quarante mille exemplaires et ne peut espérer meilleure<br />

opportunité pour fusionner avec Ecran dont le titre figurera désormais en page <strong>de</strong> couverture. Après quelques<br />

69


modifications <strong>de</strong> présentation, la Revue du Cinéma joue son <strong>de</strong>rnier acte en septembre 1992. On retrouvera<br />

l’équipe rédactionnelle dans un nouveau titre : le Mensuel du Cinéma.<br />

n° 258, mars 1972, article <strong>de</strong> Raymond Lefèvre : Le Fleuve, pp.12-121<br />

n° 265, novembre 1972, article <strong>de</strong> Jean-Jacques Dupuich : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 120 à 122<br />

n° 268, février 1973, différents articles <strong>de</strong> Jean Renoir regroupé sous le titre : propos 1935-<br />

1939, p. 2 à 7<br />

et article <strong>de</strong> Louis Aragon : Jean Renoir et le Parti Communiste français (1936-1939),<br />

p.9 à 17<br />

article <strong>de</strong> C.G. : La Marseillaise, Jean Renoir et la critique en 1938, p.20 à 23<br />

ensemble <strong>de</strong> plusieurs critiques G. Cravenne, Lucien Rebatet, Georges Sadoul,<br />

Henri Jeanson, Pierre Autre, Aragon réuni sous le titre : le tournage <strong>de</strong> La Marseillaise, p.24 à 38<br />

ensemble d’articles <strong>de</strong> divers auteurs : La Marseillaise et la critique, p.39 à 63<br />

ensemble d’articles <strong>de</strong> Marcel Achard, Henri Jeanson, Jean Renoir : La<br />

Marseillaise, p. 64 à 71<br />

ensemble d’articles <strong>de</strong> Louis Debray, Marcel Lapierre, Henri Jeanson : La<br />

conférence <strong>de</strong> presse du 7 juillet 1938, p.72 à 78<br />

n° 282, mars 1974, dossier <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : La Règle du jeu et la critique en 1939, p .49 à 75<br />

n° 296, mai 1975, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Jean Renoir <strong>de</strong> Nana à La Gran<strong>de</strong> illusion, textes <strong>de</strong><br />

Renoir regroupés par thème : l’élément humain, vérité extérieure et vérité intérieure, du muet<br />

au parlant et différents témoignages <strong>de</strong> Charles Blavette, Jean Gabin et Charles Spaak, p.17 à<br />

38<br />

n° 315, mars 1977, dossier <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur, p.19 à 48<br />

La Marseillaise, p.23 à 25<br />

La Bête humaine, p.26 à 29<br />

C’est la jeunesse qui fait le succès <strong>de</strong>s films, p.30<br />

La France a-t-elle une mission ?, p .31<br />

Aujourd’hui le salut du cinéma est dans la CGT, p .32 à 36<br />

Sur Renoir Américain, p. 41 à 44<br />

Résumé du scénario <strong>de</strong> La Marseillaise, p. 37 à 40<br />

Conversation entre Jean Renoir et Henri Jeanson : comment on fait un film, p.45 à 48<br />

n° 359, mars 1981, article <strong>de</strong> Gérard Lenne : La Marseillaise et Le Prési<strong>de</strong>nt, relécture politique <strong>de</strong><br />

<strong>de</strong>ux films français, p.75 à 89.<br />

n° 368 bis hors série, article <strong>de</strong> Jacqueline Lajeunesse : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p.23 à 27<br />

n° 453, octobre 1989, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Paroles sans musiques, chansons inédites <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir retrouvées par Clau<strong>de</strong> Gauteur, p.70 à 72<br />

Synopsis<br />

Trimestriel puis bimestriel.<br />

Pari réussi pour cette revue spécialisée lancée à l’automne 1998. Synopsis occupe le créneau peu facile <strong>de</strong><br />

l’écriture audiovisuelle appliquée à différents médias (cinéma, télévision, publicité et édition). Sur plus d’une<br />

centaine <strong>de</strong> pages, Synopsis consacre d’importants dossiers au petit écran, surtout lorsqu’il s’agit d’adaptation à<br />

grands succès (le Comte <strong>de</strong> Monte-Cristo <strong>de</strong> J. Dayan), brosse le portrait <strong>de</strong> nouveaux scénaristes (B.<br />

Renucci, M. Sadler) et propose quelques analyses autour du scénario et <strong>de</strong>s productions, sans oublier l’actualité<br />

(tournages, projets, téléfilms, séries). La rubrique cinéma revisite les classiques du septième art (La Règle du<br />

jeu <strong>de</strong> Renoir) ou <strong>de</strong> la littérature ( Emile Zola, Guy <strong>de</strong> Maupassant) à la lumière <strong>de</strong> l’écriture scénaristique et<br />

propose <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s (remake, effets spéciaux), reportages, entretiens et comptes-rendus <strong>de</strong> festivals. Les analyses <strong>de</strong><br />

scénario <strong>de</strong> films appréhendées sous divers angles (narratologie, axes dramatiques, personnages) occupent bien<br />

entendu une place importante. Synopsis explore également les mécanismes <strong>de</strong> l’écriture publicitaire avec <strong>de</strong>s<br />

extraits <strong>de</strong> story-board et délivre diverses informations dans le domaine <strong>de</strong> l’édition, <strong>de</strong>s multimédias et <strong>de</strong> la<br />

formation.<br />

70


n° 2, printemps 1999, dossier Jean Renoir/La Règle du jeu, p.44 à 59<br />

article d’auteur inconnu : le jeu se dérègle, p.44 à 53<br />

article <strong>de</strong> Michel Eltchaninoff : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe la guerre du jeu, pp.54-55<br />

article <strong>de</strong> Michel Eltchaninoff : entretien avec Angelo Rinaldi (auteur <strong>de</strong> roman et<br />

critique littéraire au Nouvel Observateur) : <strong>de</strong> l’importance <strong>de</strong>s petits lapins, p.56 à 59.<br />

Télé-Ciné<br />

Mensuel (irrégulier).<br />

Organe <strong>de</strong> presse <strong>de</strong> la puissante Fédération loisirs et Culture Cinématographique (FLECC),<br />

mouvement d’inspiration catholique, Télé-Ciné s’adresse avant tout aux a<strong>de</strong>ptes <strong>de</strong>s ciné-clubs. D’une mo<strong>de</strong>ste<br />

brochure dactylographiée, la revue évolue en quelques années vers une publication <strong>de</strong> qualité qui trouve son<br />

originalité dans le recueil <strong>de</strong> plusieurs fiches filmographiques relativement complètes (générique, résumé, analyses,<br />

commentaires divers) auxquelles collaborent G. Salachas, H. Colpi, C.J. Philippe, H. Alekan, J. Collet et<br />

C.M. Tremois. Débordant le cadre <strong>de</strong> la critique pédagogique, Télé-Ciné propose également <strong>de</strong>s textes <strong>de</strong> fonds<br />

sur le cinéma, puis sur la télévision et la radio signés H. Agel, J. D’Yvoire, E. Oger et J. Mitry, ainsi que<br />

différentes étu<strong>de</strong>s (production, écoles, festivals, cinémas nationaux) et numéros spéciaux consacrés à un ou<br />

plusieurs cinéastes. A partir <strong>de</strong> 1950, la revue adopte un nouveau format plus maniable. En janvier 1968<br />

Téléciné (en un seul mot) choisit un format à l’italienne et structure distinctement trois rubriques (cinéma,<br />

télévision, livres). Après une année <strong>de</strong> silence en 1972, une nouvelle équipe, parmi lesquels figurent D. Serceau et<br />

J. Magny (futur rédacteur en chef), sous la direction <strong>de</strong> C. Gault, reprend la publication.<br />

n° 50, juillet-août 1955, fiche n°250, établie par Jean Collet : French Cancan, p.11 à 20<br />

n° 61, novembre 1956, fiche n°284, établie par Pierre Miran<strong>de</strong> : Eléna et les hommes, p.18 à 24<br />

n° 98, octobre 1961, fiche n°388, établie par Henri-Georges Cauliez : La Marseillaise, p.15 à 20<br />

n° 100, décembre 1961, plusieurs « opinions hâtives » sur le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier,<br />

pp.39-40<br />

n° 106, août-septembre 1962, article <strong>de</strong> Jean d’Yvoire : Le Caporal épinglé, p. 45<br />

n° 210, juillet-août 1976, article <strong>de</strong> Joël Magny : La Chienne, pp.28-29<br />

n° 213, décembre 1976, article <strong>de</strong> Robert Allezaud : La Règle du jeu, p.15<br />

n° 217, avril 1977, article <strong>de</strong> Joël Magny : notes sur <strong>de</strong>ux films <strong>de</strong> Jean Renoir (Partie <strong>de</strong> campagne<br />

et Les Bas-fonds), pp23-24<br />

Télérama<br />

Hebdomadaire.<br />

Le 25 septembre 1960 paraît le <strong>de</strong>rnier numéro (558) <strong>de</strong> Radio-Cinéma-Télévision, qui adopte à partir<br />

du 2 octobre, un nouveau titre : Télérama. Animé d’un esprit militantiste durant ses six années d’existence<br />

(1950-1960) Radio-Cinéma-Télévision, d’obédience politique, laisse l’héritage d’une revue<br />

pluridisciplinaire oeuvrant sans relâche pour la défense d’une télévision <strong>de</strong> qualité. Télérama poursuit<br />

dignement les missions, tant en direction du petit écran que du cinéma et <strong>de</strong> la radio sans oublier l’actualité<br />

culturelle qui ne cessera d’occuper une place grandissante. Au cours <strong>de</strong>s années 60, malgré l’apparition <strong>de</strong> la<br />

couleur en couverture, la revue donne l’impression d’une mise en page austère. Toutefois, elle propose à chaque<br />

numéro un contenu non négligeable : programme télé et radio, dossiers et enquêtes, critiques d’émissions télévisées,<br />

chroniques techniques et sélection <strong>de</strong> disques. La rubrique cinéma n’est pas en reste : analyse détaillée d’un grand<br />

film, portraits <strong>de</strong> cinéastes, d’acteurs, chroniques <strong>de</strong> tournages, comptes-rendus <strong>de</strong> festivals, films racontés,<br />

résumés et commentaires <strong>de</strong>s nouveautés accompagnés d’appréciations morales <strong>de</strong> la Centrale Catholique du<br />

Cinéma. Durant une longue pério<strong>de</strong>, C.M. Tremois, J. Siclier, M. Huret, G. Salachas et J. Collet apporteront<br />

régulièrement leur collaboration. Tout au long <strong>de</strong>s décennies suivantes la revue ne cessera <strong>de</strong> développer <strong>de</strong><br />

nouvelles rubriques, d’étoffer son contenu, d’établir une correspondance avec les lecteurs toujours plus nombreux,<br />

71


d’adopter et d’améliorer la maquette du journal et surtout <strong>de</strong> débattre <strong>de</strong> l’actualité politique, culturelle et sociale.<br />

En février 1973, Télérama absorbe la Semaine Radio-Télé. Le numéro 2000 (11 mai 1988) retrace les<br />

trente-huit premières années <strong>de</strong>puis le fondation <strong>de</strong> Radio-Cinéma-Télévision. Parti d’une mo<strong>de</strong>ste parution<br />

en 1950, Télérama est <strong>de</strong>venue un véritable journal indépendant et engagé qui en mai 2000 (numéro 2625)<br />

propose à ses abonnés, un nouveau regard sur la télévision (envahie par le câble et les satellites) et la vie<br />

culturelle en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s feux médiatiques.<br />

n° 647, 10 juin 1962, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Un clochard philosophe : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p.15<br />

et article <strong>de</strong> Jean d’Yvoire : Le Caporal épinglé, p.59<br />

n° 653, 22 juillet 1962, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe : L’Etang tragique, p.53<br />

n° 724, 1 er décembre 1963, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p.16<br />

n° 776, 29 novembre 1964, article <strong>de</strong> Jean Collet : Le Déjeuner sur l’herbe, pp.63-64<br />

n° 838, 6 février 1966, article <strong>de</strong> J.Collet : l’Etang tragique, pp.79-80<br />

n° 916, 6 août 1967, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Boudu le clochard se livre à toutes les fantaisies <strong>de</strong> sa<br />

riche nature, p.29 à 31<br />

n° 928, 29 octobre 1967, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, p.54 à 57<br />

n° 940, 21 janvier 1968, article d’Emile Ca<strong>de</strong>au : Renoir au soleil <strong>de</strong>s « Colettes », pp.8-9<br />

et article <strong>de</strong> Jean Collet : French Cancan, pp.56-57<br />

n° 954, 28 avril 1968, article <strong>de</strong> Jean Collet : La Bête humaine, pp.16-17<br />

et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Marie Tremois : Dominique Labourier, pp.20-21<br />

n° 1174, 16 juillet 1972, article <strong>de</strong> Gérard Lenne : La Règle du jeu, pp.16-17<br />

et article <strong>de</strong> Jacques Meillant : La Règle du jeu, p. 39<br />

article <strong>de</strong> Gilles Marceau : La Gran<strong>de</strong> illusion, p.44 à 46<br />

n° 1768, 30 novembre 1983, article <strong>de</strong> Joshka Schidlow : Marcel Dalio, <strong>de</strong>s seconds rôles <strong>de</strong> premier<br />

plan, p.29<br />

et article <strong>de</strong> Jean Wagner : Les Bas-fonds <strong>de</strong> Gorki à Charlot, p.35<br />

n° 1790, 5 mai 1984, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Marie Tremois : Le Fleuve : renaissances au bord du Gange,<br />

pp.20-21<br />

n° 1835, 16 mars 1985, article <strong>de</strong> Fabienne Pascaud : Catherine Rouvel, pp.25-26<br />

et article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir, p.105<br />

n° 1898, 31 mai 1986, article <strong>de</strong> Gilbert Salachas : La Vie est à nous, p.48<br />

n° 2051, 6 mai 1989, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe : Le regard libre (La Chienne), pp.60-61<br />

et article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Les Bas-fonds, p.134<br />

n° 2309, 16 avril 1994, article <strong>de</strong> Philippe Piazzo : Le Fleuve, p.27<br />

n° 2485, 30 août 1997, article d’Aurélien Ferenczi : La Vie est à nous, p.84<br />

Hors-série, septembre 2005, La toile en mouvement : Renoir père et fils.<br />

Trafic<br />

Trimestriel.<br />

Surprenante revue que Trafic, qui dès son premier numéro en 1991, livre une nouvelle approche du cinéma sur<br />

un extrait, en guise d’ouverture, du Journal Cinéphile <strong>de</strong> Serge Daney, rédacteur en chef, figure emblématique<br />

<strong>de</strong>s Cahiers du Cinéma. L’esprit littéraire, esthétique et intimiste <strong>de</strong>s débuts donnera le ton à cette<br />

publication qui ouvre largement ses pages à <strong>de</strong>s textes <strong>de</strong> différente nature (poèmes, carnets <strong>de</strong> tournage,<br />

correspondance, extraits <strong>de</strong> scénario, dialogues, projets, pensées, traductions) auxquels R. Bellour, J C. Biette,<br />

J.L. Godard, B. Eisenschitz, J. Douchet, L. Moullet, P. Bonitzer, J.L. Comolli, prêtent régulièrement leur<br />

plume. A cette vision contemporaine du septième art qui va parfois à l’encontre <strong>de</strong>s idées reçues (manifeste contre<br />

le centenaire du cinéma <strong>de</strong> Jonas Mekas), il faut saluer cette volonté d’y associer la réédition <strong>de</strong> textes peu<br />

courants <strong>de</strong> certains cinéastes (Lettres <strong>de</strong> guerre <strong>de</strong> F.W. Murnau, la caméra-stylo d’A. Astruc, Mémo<br />

à la Universal d’O. Welles).<br />

n° 11, été 1994, article d’Alain Fleisher : en remontant Renoir, p.47 à 60<br />

72


et article d’Alain Bergala : un érotique du filmage, p.61 à 74<br />

article d‘Alexandre Astruc : Sylvia Bataille, mon interprète, pp75-76<br />

n° 12, automne 1994, article <strong>de</strong> Jacques Bontemps : Renoir et Bresson dans le texte, p.50 à 63<br />

n° 24, hiver 1997, article <strong>de</strong> Shiguéhiko Hasumi : L’arbre mort et le jeu <strong>de</strong> la flûte, p.75 à 83<br />

et article d’Alain Renoir : Jean Renoir, conteur d’histoires, p.84 à 89<br />

article <strong>de</strong> Hans Myer : Figaro 1939 (à propos <strong>de</strong> La Règle du jeu), p.90 à 93<br />

article <strong>de</strong> Janet Bergstrom : le compromis du rêve : Renoir et La Femme sur la plage,<br />

p.94 à 110<br />

article <strong>de</strong> Jean Douchet : les fenêtres <strong>de</strong> chez Renoir, p.111 à 118<br />

Vertigo<br />

Semestriel (irrégulier).<br />

Publié par Avancées cinématographiques (association fondée en 1983 par Antoine <strong>de</strong> Baecque, à l’Ecole<br />

Normale Supérieure <strong>de</strong> Fontenay-Saint-Cloud), Vertigo entend multiplier les approches complémentaires sans<br />

pour autant « sacrifier l’objet (le film) à la théorie (sémiologique, historique, psychanalytique) » et<br />

défendre « une réflexion <strong>de</strong> qualité sur le cinéma, ses formes et son histoire ». La revue se partage en<br />

<strong>de</strong>ux rubriques essentielles : la première « champ » réunit un ensemble <strong>de</strong> textes sur un thème donné, la secon<strong>de</strong><br />

« hors-champ » propose <strong>de</strong>s analyses portant sur un film, une œuvre, un réalisateur, <strong>de</strong>s entretiens et <strong>de</strong>s<br />

informations diverses (comptes-rendus <strong>de</strong> festivals, notes <strong>de</strong> lecture, rencontres). Vertigo entretient un réseau<br />

important <strong>de</strong> correspondants français et étrangers parmi lesquels figurent A. <strong>de</strong> Baecque, R. Bellour, J. Douchet,<br />

J. Collet, M. Esteve, M. Marie, C. Metz, F. Vanoye, A. Samueli, F. Buache, A. Gaudreault, P. Verstraten et<br />

F. Casetti.<br />

n° 4, 1989, article <strong>de</strong> Michèle Lagny : La Marseillaise, pour une révolution permanente, p.46 à 52<br />

et article <strong>de</strong> Pierre Serna : A table, citoyens ! la nourriture et les mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> consommation<br />

dans La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir, p.53 à 60<br />

article <strong>de</strong> Thierry Fremaux : La Marseillaise, une carrière lyonnaise étu<strong>de</strong> d’impact,<br />

p.61 à 69<br />

article <strong>de</strong> Chantal Thomas : Images <strong>de</strong> Marie-Antoinette : van Dyke, Renoir, Delannoy,<br />

p.77 à 81<br />

n° 15, 1996, article d’Oliver Curchod : Jean Renoir au four et au moulin, p.36 à 40<br />

et article <strong>de</strong> Jean-Paul Fargier : Ciné Jekyll et télé Hy<strong>de</strong>, présence <strong>de</strong> Renoir, Lewis et<br />

Moretti dans le déplacement d’un mythe, p.51 à 55<br />

article <strong>de</strong> Philippe Delesalle : une petite étincelle <strong>de</strong> vie : entretien avec Jean Renoir,<br />

propos recueilli le 25 octobre 1967, p.151 à 158<br />

n° 19, 1999, article d’Olivier Curchod : Ballet tragique à Brinon-sur-Sauldre : 16 morts : la chasse <strong>de</strong><br />

La Règle du jeu, p.66 à 73<br />

n° 21, 2001, article <strong>de</strong> Janet Bergstrom : renouer : French Cancan ou le retour <strong>de</strong> Jean Renoir en<br />

France, p.157 à 166<br />

73


PRESSE<br />

L’Action Française<br />

2 octobre 1936, article <strong>de</strong> François Vinneuil : La Vie est à nous, p. 4.<br />

11 juin 1937, article <strong>de</strong> François Vinneuil, : La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

n° 42,1938, article <strong>de</strong> François Vinneuil : La Marseillaise, p. 4.<br />

n° 119, 29 avril 1938, article <strong>de</strong> François Vinneuil : A propos <strong>de</strong> La Marseillaise, p. 4.<br />

L’Aurore<br />

13 septembre 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Garson : Eléna et les hommes.<br />

30 septembre 1975, article <strong>de</strong> Guy Teisseire : La Chienne cruelle bouffonnerie signée Renoir.<br />

Le Canard Enchaîné<br />

29 octobre 1958, article <strong>de</strong> Michel Duran : Pas <strong>de</strong> prescription pour Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 7.<br />

28 avril 1965, article <strong>de</strong> Jean-Paul Grousset : La Règle du jeu (25 ans après) toujours jeune, p. 7.<br />

16 mai 1984, article <strong>de</strong> J.P.G.: Le Fleuve, p. 7.<br />

Candi<strong>de</strong><br />

5 avril 1939, article <strong>de</strong> J. Barreyre : La Règle du jeu.<br />

Combat<br />

21 décembre 1946, article <strong>de</strong> Denis Marion : Un film qui aurait pu être muet (Partie <strong>de</strong><br />

campagne).<br />

26 février 1953, article <strong>de</strong> R.M. Arlaud : Le Carrosse d’or.<br />

29-30 novembre 1969, article <strong>de</strong> Michel Perez : Extrêmement fort et émouvant (La Vie est à nous).<br />

La Croix<br />

6 mai 1955, article <strong>de</strong> Jean Rochereau : French Cancan.<br />

1 er septembre 1956, article <strong>de</strong> Jean Rochereau : Ce sujet était-il comique ?<br />

septembre 1956, article d’Yves L’Her. : Une certaine joie <strong>de</strong> vivre.<br />

2 avril 1965, article <strong>de</strong> Henry Rabine : La Règle du jeu.<br />

et article du même auteur : Un film <strong>de</strong> 25 ans, mais toujours d’une insolente jeunesse.<br />

La Défense<br />

27 décembre 1946, article <strong>de</strong> Robert Blondini : Un chef-d’œuvre inachevé <strong>de</strong> Jean Renoir : Partie <strong>de</strong><br />

campagne.<br />

Les Dernières nouvelles d’Alsace<br />

n° 263, 7 novembre 1958, article <strong>de</strong> Jean T.Henches : La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />

Epoque<br />

25 décembre 1941, article <strong>de</strong> Henri Gérard : Une Partie <strong>de</strong> campagne.<br />

74


L’Evénement du Jeudi<br />

n° 236, 11-17 mai 1989, article <strong>de</strong> Michel Boujut : Renoir dans les terrains vagues (Les Bas-fonds),<br />

p. 148.<br />

Le Figaro<br />

16 juillet 1946, article <strong>de</strong> J.J. Gautier : Vivre libre.<br />

3 août 1968, article <strong>de</strong> Pierre Mazars : Reprise <strong>de</strong> La Bête humaine.<br />

18 septembre 1975, article <strong>de</strong> Renaud Matignon : Jeunesse <strong>de</strong> Renoir (La Chienne).<br />

n° 12028, 6 mai 1983, article <strong>de</strong> Jacques Richard : La Chienne, p. 27.<br />

n° 12346, 14 mai 1984, article <strong>de</strong> Jacques Richard : Lange et… le démon, p. 34.<br />

n° 13094, 6 octobre 1986, article <strong>de</strong> Henri-François Rey : Revoir Boudu-Simon, p. 29I<br />

Le Figaro Littéraire<br />

22 septembre 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac : Un superbe Renoir.<br />

6 octobre 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac : Retour sur Eléna.<br />

France Nouvelle<br />

28 avril 1965, article d’Albert Cervoni : La Règle du jeu.<br />

France Observateur<br />

7 juin 1956, article d’André Bazin : Toni <strong>de</strong> Renoir.<br />

30 octobre 1958, article d’André Bazin : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange.<br />

France Soir<br />

28 février 1953, article d’A. Lang : Le Carrosse d’or.<br />

Franc-Tireur<br />

13 juillet 1946, article <strong>de</strong> P. Laroche : Vivre libre.<br />

2 juin 1950, article <strong>de</strong> Jean Nery : L’Homme du Sud, Renoir retrouvé.<br />

et article : L’Homme du Sud est un mirage.<br />

Gringoire<br />

n° 557, 13 juillet 1939, article <strong>de</strong> Georges Champeaux : Le Règle du jeu, p. 15.<br />

L’Humanité<br />

16 juin 1937, article <strong>de</strong> Louis Cheronnet : La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />

6 novembre 1946, article <strong>de</strong> P.G. : Vivre libre.<br />

22 avril 1965, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : Nous l’attendions <strong>de</strong>puis 26 ans : La Règle du jeu.<br />

27 avril 1965, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : Prélu<strong>de</strong> à la mort d’un mon<strong>de</strong> : La Règle du jeu.<br />

3 janvier 1969, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : La Vie est à nous le plus inconnu <strong>de</strong>s films <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

6 janvier 1969, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : La Vie est à nous : un moment <strong>de</strong> l’histoire.<br />

21 juillet 1972, article <strong>de</strong> François Maurin : Jean Renoir au sommet <strong>de</strong> son talent : La Règle du jeu.<br />

17 mai 1976, article d’Albert Cervoni : La Bête humaine.<br />

10 novembre 1984, article d’Albert Cervoni : Tourné en 1937 La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

75


Mai 2006, numéro hors-série : 22 cinéastes d’aujourd’hui : Jean Renoir et nous…<br />

L’Intransigeant<br />

20 décembre 1924, article <strong>de</strong> Jean Wahl : La Fille <strong>de</strong> l’eau.<br />

Le Journal du Dimanche<br />

28 juillet 1946, article <strong>de</strong> R. Jarry : Vivre libre.<br />

Libération<br />

21 octobre 1975, article <strong>de</strong> Jacques Doyon : La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

25 février 1980, article <strong>de</strong> Louella Interim : La Bête humaine <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

6 mai 1983, article <strong>de</strong> Doudou Waintrop : La Chienne.<br />

16 juillet 1984, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Thibaudat : Dido Renoir dans la maison <strong>de</strong> Jean.<br />

1<br />

76<br />

er mars 1985, article <strong>de</strong> JFB : Jean Renoir au fil du Fleuve.<br />

15 mars 1985, article <strong>de</strong> L.S. : Renoir, USA.<br />

19 mai 1988, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le jeune Renoir, p. 34.<br />

7-8 mars 1992, article d‘Edouard Waintrop : Renoir, roulez carrosse, p. 36.<br />

4 mai 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Beau comme un Renoir, p. 45.<br />

13 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, baisers coupés, p. 25.<br />

14-15 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Jean fils d’Auguste, p. 27.<br />

17 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, Simon et cie, p. 36.<br />

18 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, la gran<strong>de</strong> illusion politique, p. 38.<br />

19 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir dans le jeu hollywoodien, p. 44.<br />

20 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, l’aficionado s’en est allé, p. 32.<br />

22 mai 1994, article <strong>de</strong> Mathieu Lindon : Cartier-Renoir, p. 23.<br />

29 août 1994 article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Un aimable inventaire <strong>de</strong> l’univers Renoir, p. 36.<br />

13 septembre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Toni, la vie en noir et blanc, p. 37.<br />

19 septembre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Rivette et Renoir vont en bateau, p. 45.<br />

21 septembre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Boudu, ou <strong>de</strong> désordre incarné, p. 45.<br />

5 octobre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le petit jeu <strong>de</strong> l’amour et du pouvoir, façon Renoir, p. 61.<br />

11 janvier 1995, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : 3 styles pour un même film ou la virtuosité <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />

La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 53.<br />

7 mars 1995, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Caporal épinglé, p. 49.<br />

21 mars 1995, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Quand Jean Renoir célébrait la terre dans le Sud profond <strong>de</strong>s<br />

Etats-Unis : L’Homme du Sud, p. 49.<br />

26 septembre 1995, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : La Partie <strong>de</strong> campagne : la gran<strong>de</strong> désillusion, p. 8.<br />

19 février 1996, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Bête humaine, p 43.<br />

14 septembre 1996, article <strong>de</strong> Frédéric Bonnaud : La Règle du jeu, p. 39.<br />

25 octobre 1996, article <strong>de</strong> Marie-Dominique Arrighi et Anne Boulay : French Cancan, p. 39.<br />

14 février 1997, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 31.<br />

28 avril 1997, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre, p. 39.<br />

14 mai 1997, article d’Anne Boulay et Laurent Rigoulet : Cannes, p. 4.<br />

27 octobre 1997, article d’Isabelle Potel : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Renoir en version originale, précédé d’un<br />

plateau spécial : la vraie Gran<strong>de</strong> illusion, p. 41.<br />

28 février 1998, article <strong>de</strong> Noël Herpe : Partie <strong>de</strong> campagne, p. 43.<br />

2 mars 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 43.<br />

28 mai 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 37.<br />

11 juillet 1998, article d’Olivier Nicklaus : La Bête humaine, p. 43.<br />

9 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Toni, p. 39.<br />

10 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 39.<br />

11 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 43.


18 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Chienne, p. 39.<br />

11 novembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Carrosse d’or, p. 35.<br />

25 décembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 30.<br />

22 avril 1999, article <strong>de</strong> Claire Devarrieux : En 1945, Saint-Exupéry se met <strong>de</strong>vant un gramophone<br />

enregistreur pour raconter à Jean Renoir Terre <strong>de</strong>s Hommes, p. 4.<br />

21 septembre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Règle du jeu, p. 50.<br />

14 octobre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Eléna et les hommes, p. 42.<br />

29 novembre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Les Bas-fonds, p. 42.<br />

13 décembre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Madame Bovary, p. 42.<br />

15 décembre 1999, article d’Anne-Marie Fevre : Dynastie Renoir, une affaire d’hommes portrait <strong>de</strong><br />

famille : Les Renoir ou l’esprit <strong>de</strong> famille, p. 46.<br />

6 avril 2000, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Carrosse d’or, p. 42.<br />

9 juin 2000, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 50.<br />

28 juillet 2000, article d’Edouard Waintrop : Un rare Renoir, p. 34.<br />

13 septembre 2000, article <strong>de</strong> Sonya Faure : Le patron à Hollywood, p. 46.<br />

1 février 2001, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Bête humaine, p. 46.<br />

4 mai 2001, article <strong>de</strong> Samuel Douhaire : La Bête humaine, p. 23.<br />

11 octobre 2001, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Carrosse d’or, p. 42.<br />

29 octobre 2001, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 38.<br />

16 novembre 2001, article <strong>de</strong> Gérard Lefort : Renoir, la fête humaine, p. 38.<br />

18 avril 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Chienne, p. 38.<br />

5 juin 2002, article d’Isabelle Potel : La Nuit du carrefour, p. 42.<br />

12 juin 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Règle du jeu, p. 42.<br />

21 septembre 2002, article d’Isabelle Potel : Renoir en son miroir, p. 49.<br />

23 septembre 2002, article d’Isabelle Potel : La Bête humaine, p. 38.<br />

27 septembre 2002, article d’Isabelle Potel : Nana, p. 46.<br />

23 octobre 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Toni, p. 34.<br />

4 décembre 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Caporal épinglé, p. 38.<br />

21 février 2003, article <strong>de</strong> Samuel Douhaire : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 35.<br />

12 mars 2003, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 34.<br />

Le Mon<strong>de</strong><br />

3 juin 1950, article <strong>de</strong> Henry Magnan : L’Homme du Sud, p. 8.<br />

22 décembre 1951, article <strong>de</strong> Christine <strong>de</strong> Rivoyre : Le Fleuve, p. 8.<br />

4 mars 1953, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Carrosse d’or… Comedia all’improviso, p. 9.<br />

4 mai 1955, article <strong>de</strong> henry Magnan : French Cancan, p. 12.<br />

8-9 mai 1955, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : French Cancan à la sauvette ou les occasions perdues, p.<br />

10.<br />

2 juin 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Sarraute : Toni <strong>de</strong> Jean Renoir à La Pago<strong>de</strong>, p. 12.<br />

15 septembre 1956, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Eléna et les hommes, p 8.<br />

1<br />

77<br />

er novembre 1958, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Reprise du Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 12.<br />

14 novembre 1959, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Déjeuner sur l’herbe, p. 13.<br />

18 novembre 1961, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 15.<br />

22 novembre 1961, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 10.<br />

31 mai 1962, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Caporal épinglé, p. 12.<br />

27 avril 1965, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Reprise <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 15.<br />

19-20 décembre 1971, article <strong>de</strong> Louis Marcorelles : Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 13.<br />

15-16 septembre 1974, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Un hommage à Grand Ecran, les 80 ans <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir, p. 11.<br />

8 août 1976, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le réalisme <strong>de</strong> La Chienne, p. 12.<br />

14 février 1979, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le prophète du cinéma mo<strong>de</strong>rne : Jean Renoir est mort,<br />

p. 1 à 15.


27 juillet 1987, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Jean Renoir en liberté surveillée (Le Testament du<br />

docteur Cor<strong>de</strong>lier), p. 7.<br />

25 juin 1990, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Aziza : Partie <strong>de</strong> campagne, p. 13.<br />

20 janvier 1992, article <strong>de</strong> Jean-Louis Mingalon : Toni : les prémices du néoréalisme, p. 21.<br />

22 juin 1998, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Scènes <strong>de</strong> chasse en Sologne, p. 7.<br />

13 août 1998, article <strong>de</strong> Jacques Man<strong>de</strong>baud : Quand Jean Renoir formulait son « art poétique » avec<br />

Flaubert, p. 18.<br />

2 novembre 1998, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Renoir burlesque (Tire-au-flanc), p. 22.<br />

8 février 1999, article <strong>de</strong> Jean-François Rauger : Le caporal <strong>de</strong> la liberté, p. 37.<br />

27 décembre 1999, article d’Olivier Curchod : La débâcle <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 8.<br />

8 mai 2000, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 32.<br />

30 octobre 2000, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : French Cancan, p. 32.<br />

7 février 2001, article <strong>de</strong> Jean-François Rauger : Simenon, maître du noir, p. 30.<br />

11 juin 2001, article <strong>de</strong> Jean-François Rauger : Affinités naturalistes (La Bête humaine), p. 38.<br />

13 août 2001, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 30.<br />

17 janvier 2002, article <strong>de</strong> Laurent Delmas : Du mauvais usage <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 17.<br />

21 septembre 2002, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Carnassière cocotte (Nana), p. 25.<br />

Le Nouvel observateur<br />

22 avril 1965, article <strong>de</strong> Michel Cournot : Nos jours en partage.<br />

et article du même auteur : 26 ans <strong>de</strong> malheurs : La Règle du jeu.<br />

3-9 novembre 1969, article <strong>de</strong> Jean-Louis Bory : La réalité politique du bonheur (La Vie est à<br />

nous).<br />

L’Observateur<br />

1 er juin 1950, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : L’Homme du Sud.<br />

5 mars 1953, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : Le Carrosse d’or.<br />

27 septembre 1956, article d’André Bazin : Eléna.<br />

Pariscope<br />

26 novembre 1975, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : La Chienne et l’ambiguïté créatrice.<br />

Le Parisien<br />

14 septembre 1956, article <strong>de</strong> Jacqueline Michel : Eléna et les hommes : La femme et les pantins.<br />

15 juin 1966, article d’Eric Leguebe : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux.<br />

Paris-Presse<br />

5 mars 1953, article <strong>de</strong> M. Favalelli : Le Carrosse d’or.<br />

21 octobre 1958, article <strong>de</strong> Michel Aubriant : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange.<br />

Politique Hebdo<br />

23 septembre 1975, article <strong>de</strong> H.D. : La Chienne mélo-rétro.<br />

Populaire<br />

18 janvier 1947, article <strong>de</strong> Jacques Rives : Partie <strong>de</strong> campagne.<br />

78


Le Quotidien <strong>de</strong> Paris<br />

25 septembre 1975, article <strong>de</strong> Henri Chapier : La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir, le génie <strong>de</strong>s précurseurs.<br />

17 octobre 1975, article <strong>de</strong> Michel Perez : Le Petit Théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir : <strong>de</strong>s souvenirs émus et <strong>de</strong>s<br />

citations souriantes.<br />

14 mai 1984, article <strong>de</strong> Guy Teisseire : Chère crapule, cher Jules.<br />

Le Soir <strong>de</strong> Bruxelles<br />

3 septembre 1965, article <strong>de</strong> M.V. : Une Partie <strong>de</strong> campagne.<br />

Valeurs actuelles<br />

27 octobre 1975, article <strong>de</strong> M.M. : Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

79


Dictionnaires et encyclopédies<br />

Histoire encyclopédique du cinéma<br />

éd. Robert Laffont, Paris, 1947.<br />

Histoire du cinéma<br />

<strong>de</strong> Robert Brasillach, Paris, 1954.<br />

Dictionnaire du cinéma et <strong>de</strong> la télévision<br />

<strong>de</strong> Maurice Bessy et Jean-Louis Chardans, éd. Jean-Jacques Pauvert, Paris, 1971, 4 volumes.<br />

Histoire du cinéma<br />

<strong>de</strong> Jean Mitry, éd. Universitaires Jean-Pierre Delarge, Paris 1980.<br />

La Gran<strong>de</strong> histoire illustrée du septième art<br />

collectif, éd. Atlas, Paris, 1982.<br />

Dictionnaire du cinéma français<br />

éd. Larousse, Paris, 1987.<br />

Dictionnaire <strong>de</strong>s personnages du cinéma<br />

<strong>de</strong> Gilles Horvilleux, éd Bordas, Paris, 1988.<br />

L’Encyclopédie du cinéma<br />

<strong>de</strong> Robert Boussinot, éd. Bordas, Paris, 1989.<br />

Gui<strong>de</strong> <strong>de</strong>s films<br />

<strong>de</strong> Jean Tulard, éd. Robert Laffont, Paris, 1990, 2 volumes.<br />

Dictionnaire du cinéma : les réalisateurs<br />

<strong>de</strong> Jean Tulard, éd. Robert Laffont, Paris, 1992.<br />

Dictionnaire du cinéma : les films<br />

<strong>de</strong> Jacques Lourcelles, éd. Robert Laffont, Paris, 1992.<br />

50 ans <strong>de</strong> cinéma américain<br />

<strong>de</strong> Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier, éd. Nathan omnibus, Paris, 1995.<br />

Dictionnaire du cinéma<br />

<strong>de</strong> J.L. Passek, éd. Larousse, Paris, 1995.<br />

Dictionnaire du cinéma : les réalisateurs 1895-1995<br />

<strong>de</strong> G. Scholler, éd. Laffont, Paris, 1995.<br />

Le Cinéma français<br />

<strong>de</strong> Pierre Maillot, éd. M.A. éditions, Paris, 1998.<br />

Dictionnaire du cinéma : les acteurs<br />

<strong>de</strong> Jean Tulard, éd. Robert Laffont, Paris, 1999.<br />

80


Le Siècle du cinéma<br />

<strong>de</strong> Vincent Pinel, éd. Larousse, Paris, 2000.<br />

Dictionnaire mondial <strong>de</strong>s films<br />

sous la direction <strong>de</strong> Bernard Rapp et Jean-Clau<strong>de</strong> Lamy, éd. Larousse, Paris, 2000.<br />

81


Thèses et autres travaux universitaires<br />

Dossier Jean Renoir<br />

certificat d’histoire du cinéma, <strong>de</strong> Roger Viry-Babel, Nancy II, 1973.<br />

Le Caporal Epinglé <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

mémoire <strong>de</strong> Maîtrise <strong>de</strong> Daniel Strosser, Nancy II, 1977.<br />

L’Espace filmique <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

thèse <strong>de</strong> doctorat d’état <strong>de</strong> Franck Curot, Paris I, 1986<br />

Les Images <strong>de</strong> la femme dans l’œuvre <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

thèse <strong>de</strong> doctorat d’état <strong>de</strong> Roger Viry-Babel, Nancy II, 1988<br />

Les Miroirs du Crédit dans la poésie balzacienne<br />

thèse <strong>de</strong> doctorat d’Alexandre Péraud, Bor<strong>de</strong>aux III, 2001 sous la direction <strong>de</strong> Jean-Louis<br />

Cabanes.<br />

La Bible <strong>de</strong> Zola : mythocritique <strong>de</strong>s Rougon-Macquart<br />

Thèse <strong>de</strong> doctorat <strong>de</strong> Célia Plantureux-Anfray, Paris Sorbonne, 2001.<br />

82


Divers<br />

L’art d’inventer les personnages<br />

<strong>de</strong> Georges Polti, éd. Montaigne, Paris, 1930, 312 p.<br />

Bagatelles pour un massacre<br />

<strong>de</strong> Louis Ferdinand Celine, éd. Denoël, Paris, 1937, 379 p. 9 e édition<br />

Concernant La Gran<strong>de</strong> illusion : <strong>de</strong> p. 268 à p. 274.<br />

Les Mémoires <strong>de</strong> Maigret<br />

<strong>de</strong> Georges Simenon, éd. Presse <strong>de</strong> la cité, Paris, 1951, 189 p.<br />

Esthétiques et psychologie du cinéma<br />

<strong>de</strong> Jean Mitry, éd. Universitaires, Paris, 1963, 2 volumes<br />

Les structures, 426 p.<br />

Les formes, 466 p.<br />

La Naissance <strong>de</strong> la tragédie<br />

<strong>de</strong> Friedrich Nietzsche, éd. Gallimard, Paris, 1975, 191 p.<br />

Les Films <strong>de</strong> ma vie<br />

<strong>de</strong> François Truffaut, éd. Flammarion, Paris, 1975, 360 p.<br />

Cinéma et Histoire<br />

<strong>de</strong> Marc Ferro, éd. Denoël Gauthier, Paris, 1977, 180 p.<br />

Les malédictions du cinéma français : une histoire du cinéma parlant 1928-1978<br />

<strong>de</strong> Francis Courta<strong>de</strong>, éd. Alain Moreau Bibliothèque <strong>de</strong>s médias, Paris, 1978, 410 p.<br />

La Musique du film<br />

d’Alain Lacombe et Clau<strong>de</strong> Ro<strong>de</strong>, éd. Francis Van De Vel<strong>de</strong>, Paris, 1979, 516 p.<br />

Histoire <strong>de</strong>s passions françaises<br />

<strong>de</strong> Théodore Zeldin, 2 tomes, éd. Point Seuil, Paris, 1980, 483 p.<br />

Les scénaristes au travail<br />

<strong>de</strong> Christain Salé, éd. Hatier, Paris, 1981, 124 p.<br />

Au Bonheur <strong>de</strong>s Dames<br />

d’Emile Zola, éd.Fasquelle, Paris, 1984, 512 p.<br />

La politique <strong>de</strong>s auteurs : entretiens avec dix cinéastes<br />

oeuvres collectives, éd. Cahiers du cinéma, Paris, 1984, 128 p.<br />

L’Ombre <strong>de</strong> Dionysos<br />

<strong>de</strong> Michel Maffesoli, éd. Librairie <strong>de</strong>s Méridiens, Paris, 1985, 246 p.<br />

Le cinéma ou l’homme imaginaire : essai d’anthropologie sociologique<br />

d’Edgar Morin, éd. De Minuit, Paris, 1985, 250 p.<br />

83


Le Plaisir <strong>de</strong>s yeux<br />

<strong>de</strong> François Truffaut, éd. Flammarion, Paris, 1987, 280 p.<br />

L’Inquiétante étrangeté<br />

<strong>de</strong> Freud, éd. Hatier, coll. Profil philosophie, Paris, 1987, 80 p.<br />

La Construction du personnage<br />

<strong>de</strong> Constantin Stanislavsky, éd. Pygmalion, Paris, 1988, 332 p.<br />

Travellings du rail<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, éd. Denoël, Paris, 1989, 263 p.<br />

L’Enonciation impersonnelle ou le site du film<br />

<strong>de</strong> Christian Metz, éd. Meridiens Klincksieck, Paris, 1991, 228 p.<br />

Le Signifiant imaginaire<br />

<strong>de</strong> Christian Metz, éd. Christian Bourgeois éditeur, Paris, 1993, 371 p.<br />

Fritz Lang : la mise en scène<br />

ouvrage collectif, éd. Cinémathèque Française, Paris, 1993, 503 p.<br />

Le cinéma français vu par…<br />

ouvrage collectif, éd. La Documentation française, Paris, 1994, 367 p.<br />

Phénoménologie <strong>de</strong> la perception<br />

<strong>de</strong> Maurice Merleau-ponty, éd. Gallimard, Paris, 1995, 531 p.<br />

L’Usine aux images<br />

<strong>de</strong> Ricciotto Canudo, éd. Séguier et Arte éditions, Paris, 1995, 382 p.<br />

La Critique <strong>de</strong> cinéma en France<br />

sous la direction <strong>de</strong> Michel Ciment et Jacques Zimmer, éd. Ramsay Cinéma, Paris, 1997,<br />

423p.<br />

La formation <strong>de</strong> l’acteur<br />

<strong>de</strong> Constantin Stanislavsky, éd. Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1998, 309 p.<br />

L’art du comédien<br />

<strong>de</strong> Bertold Brecht, éd. L’Arche, Paris, 1999, 249 p.<br />

Décrire à l’écran<br />

d’André Gardies, éd. Meridiens Klincksieck, Paris, 1999, 190 p.<br />

Créer <strong>de</strong>s personnages inoubliables<br />

<strong>de</strong> Linda Seger, éd. Dixit, Paris, 1999, 231 p.<br />

Faire <strong>de</strong>s films<br />

<strong>de</strong> James Blue, éd. Carré Ciné n° 31, Paris, 1999, 27 p.<br />

L’Ecole <strong>de</strong>s femmes<br />

<strong>de</strong> Molière, éd. Librio, Paris, 1999, 96 p.<br />

84


Vive le cinéma français ! petite anthologie <strong>de</strong>s Cahiers du Cinéma<br />

ouvrage collectif, éd. Cahiers du Cinéma, Paris, 2001, 251 p.<br />

La Mythologie<br />

d’Edith Hamilton, éd. Marabout, Belgique, 2004, 445 p.<br />

Le Récit Audiovisuel<br />

<strong>de</strong> Pierre Beylot, éd. Armand Colin, collection Cinéma, Paris, 2005, 242 p.<br />

85


Documents sonores<br />

86


Jean Renoir et Vénus<br />

Disque 33 tours, Véga, 1956, présentation <strong>de</strong> Eléna et les hommes, Musique <strong>de</strong> Joseph Kosma.<br />

Pour tout vous dire<br />

entretien <strong>de</strong> Jean Renoir par Jean Serge. 15 émissions d’entretiens enregistrées du 21 mai au 4<br />

juin 1958 pour RTF, diffusées du 17 octobre au 30 janvier 1959 :<br />

Notre siècle (20mn 10 sec)<br />

Les émissions d’Amérique (20 mn)<br />

Le théâtre, Orvet (20 mn)<br />

1914, la blessure, La Gran<strong>de</strong> illusion (20 mn)<br />

L’aviation (20 mn)<br />

Ses débuts, passions, le cinéma (20 mn 15 sec)<br />

Son père (première partie) (20 mn)<br />

Son père (secon<strong>de</strong> partie) (19 mn 50 sec)<br />

Monet (20 mn 35 sec)<br />

La joie <strong>de</strong> vivre d’Auguste (20 mn)<br />

Essoyes, les Collettes (20 mn)<br />

Maillol, Cézanne (19 mn 50 sec)<br />

Les <strong>de</strong>rnières années (19 mn 53 sec)<br />

Sa mort (20 mn)<br />

Portrait <strong>de</strong> Jean Marais<br />

<strong>de</strong> Xavier Pestuggia, éd. Livraphone-vox libri, 1997.<br />

87


Documents visuels<br />

88


Titre propre<br />

Eléna et les hommes<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises.<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 06 min 03 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

89


Titre propre<br />

Le Carrosse d’or<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 08 min 36 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

90


Titre propre<br />

Le Fleuve<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 07 min 30 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

91


Titre propre<br />

L’Homme du Sud<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF),<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 06 min 05 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

92


Titre propre<br />

La Règle du jeu<br />

Titre collection<br />

Jean renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF),<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 06 min 13 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

93


Titre propre<br />

La Bête humaine<br />

Titre collection<br />

Jean renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 06 min 03S sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

94


Titre propre<br />

Une Partie <strong>de</strong> campagne<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 05 min 30 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

95


Titre propre<br />

Les Bas-fonds<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 05 min 30 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

96


Titre propre<br />

Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 04 min 49 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

97


Titre propre<br />

Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 02 min 48 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

98


Titre propre<br />

La Nuit du carrefour<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 02 min 32 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

99


Titre propre<br />

Nana<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 01 min 42 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

100


Titre propre<br />

Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre<br />

Titre collection<br />

Présentation du film <strong>de</strong> Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 03 min 52 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

101


Titre propre<br />

La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

Titre collection<br />

Présentation du film <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Durée : 00 h 02 min 07 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

102


Titre propre<br />

Françoise Arnoul<br />

Titre collection<br />

Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : François Chalais ; Commentateur : François Chalais ; Participant : Françoise Arnoul, Henri<br />

Verneuil<br />

Résumé<br />

François Chalais reçoit dans le studio <strong>de</strong> l'hôtel Miramar Françoise Arnoul, qui est venue accompagnée par<br />

Henri Verneuil.<br />

- François Chalais est <strong>de</strong> dos face à une Françoise Arnoul très souriante. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> ironiquement pourquoi<br />

les acteurs français bou<strong>de</strong>nt Cannes, elle répond fermement qu'ils aimeraient venir mais sont presque tous en<br />

tournage. Jean Gabin doit rejoindre le festival dans quelques jours. François Chalais lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> son emploi du<br />

temps <strong>de</strong>puis son arrivée, reportage sur la façon <strong>de</strong> défaire ses valises, puis projection, puis souper, puis lecture <strong>de</strong><br />

son prochain rôle pour un film avec Gabin Des gens sans importance. Le film se déroule dans le milieu <strong>de</strong>s routiers et<br />

raconte une très belle histoire d'amour impossible.<br />

- François Chalais l'interroge ensuite sur les « fanfreluches », allusion au film <strong>de</strong> Renoir French<br />

Cancan. Françoise Arnoul raconte avoir passé trois mois extraordinaires aux côtés <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir, « c'est un climat très particulier, Jean Renoir travaille avant tout pour ses acteurs, il<br />

oublie la technique pour eux ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision<br />

française (ORTF), 1955<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/05/1955<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

103


Titre propre<br />

Reflets <strong>de</strong> Cannes : émission du 7 mai 1955<br />

Titre collection<br />

Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />

Générique et auteurs<br />

Commentateur : François Chalais ; Participant : André Cayatte, Paul Grimaul, Fernand Léger, Carlo Rim,<br />

Françoise Arnoul, Jean Renoir, Louis Chavance, Gene Kelly, Grace Kelly<br />

Résumé<br />

Date <strong>de</strong> diffusion : 07/05/1955<br />

Durée master INA : 08 min<br />

Durée master remonté : 07 min 22 sec<br />

10 :00 :00 : générique : 4 cartons :<br />

La télévision française présente<br />

Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />

<strong>de</strong> François Chalais<br />

10 :00 :15 Emission du 07/05/1955 réalisée par Jacques Planche et Igor Barrère<br />

10:01:33 : Réunion <strong>de</strong>s « créateurs » <strong>de</strong> films à Antibes<br />

10:02:20 : fin sujet<br />

10:02 :21 : Déjeuner <strong>de</strong> célébrités<br />

10:03:43 : fin sujet<br />

10:03:44 : Projection <strong>de</strong> French Cancan <strong>de</strong> J. Renoir<br />

10:05:11 : fin sujet<br />

10:05:12 : Sujet : Gene Kelly<br />

10:06:27 : fin sujet<br />

10:06:28 : Soirée <strong>de</strong> gala<br />

10:07:16 : fin émission<br />

10:07 :17 : générique ( 1 carton)<br />

Direction artistique <strong>de</strong> la restauration : Mei Chen Chalais<br />

Collaborateur artistique : Dominique Maillet<br />

Assisté <strong>de</strong> Frédéric Kastler et Laurence Faucheux<br />

Moyens techniques VDM<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Bry sur Marne : INA, 2002<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/05/1955<br />

Heure : 07 h 05M min 19 sec<br />

Canal : INA<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Institut National Audiovisuel<br />

104


Titre propre<br />

Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

La joie <strong>de</strong> vivre<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean Vernier ; Présentateur : O<strong>de</strong>tte Laure, Henri Spa<strong>de</strong> ; Interprète : Juliette Gréco, Paul<br />

Meurisse, Jean Renoir, Paulette Dubost, Simone Simon, Clau<strong>de</strong> Genia, Daniel Gelin, Cora Vaucaire, René<br />

Lefèvre, Maurice Baquet, Joseph Kosma, Germaine Montero, Jean Renoir , Jean Serge, Georges Van Parys,<br />

Clau<strong>de</strong> Grandjean, Paul Meurisse, Paulette Dubost, Maurice Baquet, René Lefèvre<br />

Résumé<br />

Emission consacrée à Jean Renoir, vu plus particulièrement dans sa dimension <strong>de</strong> metteur en scène :<br />

interviews sur différents moments <strong>de</strong> bonheur <strong>de</strong> sa carrière à travers l'évocation du tournage <strong>de</strong> ses films et<br />

interprétations <strong>de</strong> scènes <strong>de</strong> certains films par les acteurs <strong>de</strong>s films qui rejouent sous la direction <strong>de</strong> Renoir .<br />

- Henri Spa<strong>de</strong> accueille Jean Renoir<br />

- Juliette Greco chante accompagnée au piano A la belle étoile, chanson du film Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange; paroles<br />

<strong>de</strong> Prévert et musique <strong>de</strong> Cosma.<br />

- Longue Interview <strong>de</strong> Renoir par Henri Spa<strong>de</strong> : son amour <strong>de</strong>s acteurs, la direction <strong>de</strong>s acteurs au cinéma et au<br />

théâtre : « le métier <strong>de</strong> metteur en scène consiste à ai<strong>de</strong>r l'acteur à se trouver lui-même »<br />

- O<strong>de</strong>tte Laure présente le décor reconstitué d'une scène du Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange. Les acteurs du film, René<br />

Lefèvre et Maurice Baquet interprètent, sous la direction <strong>de</strong> Renoir , la scène en question<br />

- Accompagnée par Joseph Cosma (?) au piano, Germaine Montero chante l'air <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne. Jean<br />

Renoir explique pourquoi il n'y avait pas <strong>de</strong> paroles sur la musique composée par Cosma.<br />

- Autre décor réconstitué du film Toni : <strong>de</strong>s acteurs (dont Charles Blavette et Andrex) jouent une scène, Renoir les<br />

dirigeant.<br />

- Interview <strong>de</strong> Renoir : à propos <strong>de</strong> son séjour aux Etats Unis, du cinéma et du théâtre, <strong>de</strong> sa vocation d'écrivain<br />

« se sent <strong>de</strong> plus en plus écrivain » ; évoque la pièce <strong>de</strong> Shakespeare, Jules Cesar, qu'il a mis en scène et à ce propos<br />

parle « d'heures enchanteresses »<br />

- Paul Meurisse qui jouait Brutus dans la pièce, rejoue une scène sur les indications <strong>de</strong> Renoir<br />

- Démonstration d'un tournage <strong>de</strong> scène en gros plan : Simone Simon qui jouait dans La Bête humaine interprète<br />

une scène. Renoir lui donne la réplique (à la place <strong>de</strong> Gabin), la dirige et s'intéresse au cadre, discute avec<br />

l'opérateur.<br />

- Henri Spa<strong>de</strong> accueille Georges Van Parys, compositeur <strong>de</strong> la musique <strong>de</strong> French Cancan et Clau<strong>de</strong> Grandjean<br />

qui a signé les chorégraphies ; discussion avec Renoir qui dit qu'il ne souhaitait pas pour son film <strong>de</strong><br />

reconstitution, qu'il a préféré se servir <strong>de</strong>s airs en vogue à l'époque pour être « exact spirituellement » ; discussions sur<br />

la danse du « Cancan ».<br />

- Renoir retrouve Paulette Dubost et reprend son rôle d'Octave pour interpréter avec elle une scène <strong>de</strong> La Règle<br />

du jeu. Film dont Renoir gar<strong>de</strong> le meilleur souvenir (« ...et les p'tits lapins! »)<br />

- Court entretien avec Jean Serge, metteur en scène <strong>de</strong> la pièce Le Grand couteau dont Renoir est l'auteur (d'après<br />

une pièce <strong>de</strong> Clifford O<strong>de</strong>ts). Puis, Daniel Gelin et une Clau<strong>de</strong> Gelia en jouent une scène<br />

- Cora Vaucaire interprète La Complainte <strong>de</strong> la Butte, chanson du film French Cancan, dont Renoir a écrit les paroles<br />

- L'émission se termine sur une danse <strong>de</strong> French Cancan réglé par Clau<strong>de</strong> Grandjean et Geoges Van Parys.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/11/1957<br />

Durée : 01 h 20 min 33 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

105


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Juliette Gréco "Miarka"<br />

Titre propre<br />

2cole <strong>de</strong>s ve<strong>de</strong>ttes : émission du 18 novembre 1957<br />

Titre collection<br />

Ecole <strong>de</strong>s ve<strong>de</strong>ttes<br />

Générique et auteurs<br />

Compositeur musique préexistante : Joseph Kosma ; Présentateur : Aimée Mortimer ; Réalisateur : Marcel<br />

Cravenne ; Interprète : Juliette Gréco ; Participant : Bachir Toure<br />

Résumé<br />

Intermè<strong>de</strong> : Juliette Gréco rejoint Aimée Mortimer et Bachir Toure dont elle est la marraine (artistique). Le<br />

jeune chanteur sénégalais, marié à une berruyère (native <strong>de</strong> Bourges) lui raconte son parcours (étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> droits<br />

jusqu'à la comédie et la chanson) et montre une photo <strong>de</strong> son fils Karim. A sa <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, Juliette Gréco<br />

chante Miarka (du film Eléna et les hommes"<strong>de</strong> Jean Renoir )<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 18/11/1957<br />

Heure : 20 h 30 min 00 sec<br />

Durée : 00 h 06 min 25 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

106


Titre propre<br />

Fernand Ledoux<br />

Titre collection<br />

Gros plan<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Christophe Averty<br />

Résumé<br />

- Fernand Ledoux dans son appartement – l'objectif <strong>de</strong> la caméra, l'impu<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la caméra – la passion pour<br />

l'acteur vient-elle <strong>de</strong> la tristesse <strong>de</strong> la réalite <strong>de</strong> la vie - mais n'est-ce pas une déformation <strong>de</strong> ce métier :<br />

l'accessoire prend le pas sur l'essentiel<br />

- Evoque Nicole Ladmiral (ses photos) - le facteur hasard dans le métier d'acteur – les dons – une publicité<br />

tapageuse – beaucoup <strong>de</strong> talents méconnus<br />

- Si on montrait les gens qui ne réussissent pas, ce serait plus instructif<br />

- Extrait <strong>de</strong> Goupi mains rouges, <strong>de</strong> Jacques Becker<br />

- La chance d'un film : être accepté par le public - l'importance <strong>de</strong> la production : les 36 situations dramatiques<br />

- Le réalisme du cinéma, l'importance <strong>de</strong> l'accessoire mais il y a d'autres possibilités : la convention – <strong>de</strong>ux êtres<br />

me touchent :<br />

--- Charlot, un type <strong>de</strong> personnage construit d'après une convention, une déformation <strong>de</strong> la réalité sublimé par<br />

l'aspect intérieur - la déformation voulue<br />

--- René Clair <strong>de</strong> 14 juillet, du million : les escaliers <strong>de</strong> Montmartre non <strong>de</strong> la réalité mais <strong>de</strong> notre réalité<br />

--- Extrait <strong>de</strong>s Visiteurs du soir, <strong>de</strong> Marcel Carné<br />

- Fernand Ledoux fait une critique <strong>de</strong> ce film<br />

- Le drame <strong>de</strong> la couleur – le cinéma casse l'harmonie – une suggestion personnelle : partir du camaïeu et<br />

amener <strong>de</strong> temps en temps un ton essentiel<br />

- Auguste Renoir et Jean Renoir : Auguste faisait son métier avec quelques pinceaux et <strong>de</strong>s<br />

couleurs, le nombre d'intermédiaires par lesquels Jean doit passer pour créer quelque chose<br />

--- Extrait <strong>de</strong> Pattes Blanches, <strong>de</strong> Jean Grémillon<br />

- La diversité <strong>de</strong>s fonctions <strong>de</strong> l'acteur – y-a-t-il insincérité ?, impu<strong>de</strong>ur, l'inconscience ? – le jeu chez les enfants<br />

et chez les acteurs : <strong>de</strong>s adolescents qui ne veulent pas vieillir, <strong>de</strong>s naïfs – il y a trop <strong>de</strong> cérébralité, trop<br />

d'intellectualisme <strong>de</strong>puis quelque temps – la naïveté d'un certain public<br />

--- Extrait <strong>de</strong>s Hommes en blanc, <strong>de</strong> Ralph Habib<br />

- Tous les rôles joués, que reste-t-il d'une carrière ? le contact avec le public au théâtre, au cinéma l'acteur n'est<br />

pas présent : le public reçoit<br />

--- Si on voyait la Jocon<strong>de</strong> s'animer – l'art a besoin <strong>de</strong> s'arrêter – il faut que l'acteur ne se croit pas définitif.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 26/04/1958<br />

Durée : 00 h 31 min 50 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

107


Titre propre<br />

Interview <strong>de</strong> Jean Renoir à l’occasion <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

Titre collection<br />

JT 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean Renoir<br />

Résumé<br />

C'est avec une émotion, une joie d'autant plus gran<strong>de</strong> que Jean Renoir représente son film La Gran<strong>de</strong> illusion que<br />

le sujet lui semble tout à fait d'actualités et qu'il est montré dans sa version originale : Renoir explique qu'après la<br />

libération, le film (datant <strong>de</strong> 1937) avait été représenté au public avec <strong>de</strong>s coupures et que récemment, les services<br />

cinématographiques américains ont retrouvé, avec d'autres negatifs <strong>de</strong> films saisis par les nazis, un negatif intact<br />

du film à partir duquel on a tiré une copie excellente ; le son (d'origine, sans trucages) est même, selon Renoir,<br />

meilleur, plus naturel.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/10/1958<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

108


Titre propre<br />

Cinépanorama : émission du 29 novembre 1958<br />

Titre collection<br />

Cinépanorama<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean Bescont ; Présentateur : France Roche, François Chalais ; Participant : Papouf, Henri<br />

Verneuil, Franck Fernan<strong>de</strong>l, Gino Cervi, Clau<strong>de</strong> Barma, Martine Carol<br />

Résumé<br />

Par une fenêtre, Papoufqui est en compagnie <strong>de</strong> France Roche tire à la fron<strong>de</strong> sur Fernan<strong>de</strong>l en contrebas. Il<br />

joue dans Le Grand chef d'Henri Verneuil et parle <strong>de</strong> ce qu'il trouve drôle dans le film. Sa maman lui fait<br />

apprendre son texte. Il raconte comment il a été engagé pour le film : le producteur l'a trouvé « du tonnerre ». Il<br />

parle <strong>de</strong> son rôle (il est kidnappé).<br />

Séquence muette <strong>de</strong> tournage du film sous la direction d'Henri Verneuil.<br />

Henri Verneuil sort d'une maison et arrive sur le plateau où François Chalais l'interviewe sur l'avenir du cinéma<br />

français, la vague <strong>de</strong>s jeunes qui arrivent. Henri Verneuil évoque ses débuts, 10 ans plus tôt avec La Table aux<br />

crevés pour lequel Fernan<strong>de</strong>l lui a donné sa chance en acceptant d'y jouer. Il raconte comment il a connu<br />

Fernan<strong>de</strong>l.<br />

Séquence <strong>de</strong> tournage muette avec Papouf et Fernan<strong>de</strong>l.<br />

Fernan<strong>de</strong>l <strong>de</strong>scend un escalier au pied duquel l'attend France Roche pour l'interviewer, sur le thème du comique<br />

vu par un comique. Qu'est-ce qui lui fait accepter un rôle ? Il explique comment il rend une scène drôle et fait<br />

une démonstration en remontant puis <strong>de</strong>scendant l'escalier <strong>de</strong> manière comique. Il s'est fixé <strong>de</strong>s limites : le public<br />

n'accepterait pas <strong>de</strong> le voir tuer, commettre une mauvaise action, mourir. Toutefois, dans Le Grand chef, il enlève<br />

un enfant.<br />

Gino Cervi, son partenaire dans le film <strong>de</strong>scend à son tour l'escalier au pied duquel il rejoint Fernan<strong>de</strong>l et France<br />

Roche. Il explique comment il kidnappe l'enfant dans le film et fernan<strong>de</strong>l comment ils sont punis. Fernan<strong>de</strong>l<br />

termine par une bouta<strong>de</strong> sur Gino Cervi, son ennemi dans Don Camillo.<br />

François Chalais interviewe Clau<strong>de</strong> Barma sur Croquemitoufle, un film qu'il réalise pour le cinéma et sur son<br />

passage <strong>de</strong> la télévision au cinéma : au cinéma, ce que l'on fait reste. Apporte-t-il la télévision au cinéma comme<br />

dans le film Douze hommes en colère ? Non, pour lui, il y a une différence entre télévision et cinéma.<br />

François Chalais interviewe Martine Carol, assise sur son lit : elle est guérie, elle est bien, elle ne veut pas parler<br />

du reste. François Chalais évoque Berlin, où « elle n'était pas dans son assiette ». Elle y tournait un film avec Robert<br />

Aldrich. François Chalais a un coquillage entre les mains et Martine Carol va chercher un coquillage qu'elle a<br />

ramené <strong>de</strong> Tahiti pour le montrer. Elle parle <strong>de</strong> Tahiti où elle est allée, ce qu'elle y a découvert : « on y fait le<br />

point avec soi-même, le cinéma n'est pas tout dans la vie ». Elle se sent reposée, calme. Elle va faire 3 films, dont<br />

un avec Aldrich. Elle parle <strong>de</strong>s metteurs en scène connus qui l'ont aidée (<strong>de</strong> Sica, Cocteau,<br />

Renoir). Elle est très émue. François Chalais lui fait remarquer que c'est agréable <strong>de</strong> l'interviewer. Elle est<br />

contente <strong>de</strong> pouvoir s'exprimer dans une interview car ce qu'on lit dans les journaux sur sa vie privée est faux.<br />

On lui fait dire <strong>de</strong>s choses insensées. Elle parle <strong>de</strong> ses rapports avec les journalistes, <strong>de</strong> sa solitu<strong>de</strong>.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 29/11/1958<br />

Durée : 00 h 25 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

109


Titre propre<br />

Plaisir <strong>de</strong>s arts : émission du 25 mai 1959<br />

Titre collection<br />

Plaisir <strong>de</strong>s arts<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Michel Mitrani ; Producteur : Jean-Luc Dejean ; Producteur : Jacques Floran, Fouchet, Max Pol ;<br />

Participant : Fouchet, Max Pol<br />

Résumé<br />

- Cérémonie <strong>de</strong> mariage dans une église <strong>de</strong> Menton dont les murs sont décorés par Cocteau. Cocteau et Jean<br />

Renoir s'entretiennent à propos <strong>de</strong> ces fresques.<br />

- Reportage sur le futur musée <strong>de</strong> Biot près d'Antibes qui abritera les oeuvres <strong>de</strong> Fernand Léger. Interview <strong>de</strong> la<br />

veuve <strong>de</strong> Fernand Léger, nombreux tableaux commentés.<br />

- Interview <strong>de</strong> René Clair dans son atelier <strong>de</strong> Saint Tropez. Quelques plans <strong>de</strong> vacanciers sur le port. René Clair<br />

s'entretient avec André Dunoyer <strong>de</strong> Segonzac, conservateur du Musée <strong>de</strong> St Tropez. Celui-ci parle <strong>de</strong>s peintres<br />

dont les oeuvres figurent dans le musée. Divers tableaux.<br />

- Reportage sur les potiers <strong>de</strong> Vallauris. Plans <strong>de</strong> femmes décorant <strong>de</strong>s plats, <strong>de</strong>s assiettes.<br />

-Jean Giono à Manosque évoque <strong>de</strong>s personnages - <strong>de</strong>s peintres souvent - qui vivent en Haute Provence et dont<br />

il s'est inspiré dans ses romans. Reportage sur ces personnages, tableaux <strong>de</strong> paysages provençaux.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 25/05/1959<br />

Heure : 22 h 05 min 00 sec<br />

Durée : 00 h 40 min 16 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

110


-Titre collection<br />

Cinépanorama<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean Bescont ; Producteur : François Chalais, Frédéric Rossif ; Présentateur : Pierre Dumayet,<br />

François Chalais, Jean Renoir, France Roche ; Participant : Catherine Rouvel, Danièle Gaubert<br />

Résumé<br />

A Cagnes, les oliviers dans la propriété <strong>de</strong>s Colettes où vécut Auguste Renoir : la maison. Off, musique (piano) et<br />

commentaire <strong>de</strong> François Chalais. Rencontre avec Jean Renoir qui <strong>de</strong>scend les marches du perron <strong>de</strong> la vieille<br />

<strong>de</strong>meure paternelle. où il est venu tourner son film Le Déjeuner sur l'herbe. Il parle <strong>de</strong>s oliviers du parc, très beaux,<br />

très rares et très vieux et raconte leur histoire. Ses parents ont acheté la propriété pour que ces oliviers ne soient<br />

pas transformés en ronds <strong>de</strong> serviette. Il parle <strong>de</strong> l'atelier <strong>de</strong> son père et <strong>de</strong> ses parents. Son père était paralysé par<br />

les rhumatismes. Sa mère s'occupait <strong>de</strong>s activités agricoles <strong>de</strong> la propriété (fabrication d'huile d'olive). Son père<br />

aimait cette ambiance <strong>de</strong> travail. Avait-il conscience <strong>de</strong> la valeur <strong>de</strong> son père ? Son père était très simple, mais il<br />

recevait <strong>de</strong>s visiteurs du mon<strong>de</strong> entier. Les enfants se doutaient qu'il était important. Il rappelle la façon <strong>de</strong><br />

peindre <strong>de</strong> son père qui évitait l'enrichissement <strong>de</strong> sa palette. Jean Renoir parle ensuite <strong>de</strong> son film Le Déjeuner sur<br />

l'herbe qu'il qualifie <strong>de</strong> bouffonnerie contre le progrès scientifique. Il a étudié Jean Rostand. C'est un film sur la<br />

fécondation artificielle, un sujet énorme. Son père était méfiant vis-à-vis du progrès scientifique.<br />

Catherine Rouvel, interprète du film, arrive en courant dans le parc et s'assoit dans l'herbe (off, commentaire <strong>de</strong><br />

F. Chalais). François Chalais l'interviewe : sa rencontre avec Jean Renoir a-t-elle été l'évènement le plus<br />

important <strong>de</strong> sa vie ? Elle raconte cette rencontre (à la cinémathèque). Elle a perdu son accent du midi. François<br />

Chalais lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> le reprendre pour l'interview. Elle essaie. Est-ce dangereux <strong>de</strong> débuter avec un grand<br />

metteur en scène ?<br />

Séquence muette <strong>de</strong> tournage du film en extérieur, dans le parc <strong>de</strong> la propriété, avec les acteurs, les techniciens et<br />

Jean Renoir . Off, musique et commentaire <strong>de</strong> François Chalais sur la technique <strong>de</strong> tournage. Séquence sonore<br />

du tournage : Jean Renoir donne <strong>de</strong>s instructions. On voit les cameramans au travail.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/07/1959<br />

Durée : 00 h 26 min 15 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

111


Titre propre<br />

Film <strong>de</strong> Jean renoir : Le Déjeuner sur l’herbe<br />

Titre collection<br />

JT 13 heures<br />

Résumé<br />

Jean Renoir tournant une scène (en intérieur) du Déjeuner sur l'herbe. Avec Paul Meurisse.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 02/08/1959<br />

Durée : 00 h 03 min 54 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

112


Titre propre<br />

Les ve<strong>de</strong>ttes du festival <strong>de</strong> Venise<br />

Titre collection<br />

Les actualités françaises<br />

Résumé<br />

Festival <strong>de</strong> Venise : starlettes sur la plage, photographes. Plans <strong>de</strong> Folco Fulli, <strong>de</strong> Jean Renoir, souriant et<br />

détendu, <strong>de</strong> Vittorio <strong>de</strong> Sica signant <strong>de</strong>s autographes, <strong>de</strong> François Truffaut et <strong>de</strong> Roberto Rossellini .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Rome: Luce nuova (LUCENUOVA)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Echanges internationaux<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/09/1959<br />

Durée : 00 h 00 min 45 sec<br />

Canal : Circuit Actualites Francaises<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Actualités françaises<br />

113


Titre propre<br />

Discorama : émission du 20 novembre 1959<br />

Titre collection<br />

Discorama<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean Kerchbron ; Producteur : Pierre Brive, Denise Glaser ; Auteur oeuvre préexistante : Jean<br />

Canolle ; Présentateur : Jean Desailly ; Interprète : Nicole Louvier, Catherine Rouvel, Jacques Fabbri, Sophie<br />

Desmarets, Clau<strong>de</strong> Pieplu, Michel Descombey, Michel Magne, Nicole Louvier ; Participant : Jean Renoir,<br />

Joseph Kosma<br />

Résumé<br />

Nicole louvier est interviewée par Jean Desailly.<br />

- - Jean Renoir est interviewé à propos <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> son film Le Déjeuner sur l'herbe. Joseph Kosma parle <strong>de</strong> la<br />

musique du film et <strong>de</strong> d'autres musiques.<br />

- -Extrait du film Le Déjeuner sur l'herbe où l'on voit Catherine Rouvel nue prendre un bain.<br />

- - Interview <strong>de</strong> Michel Magne par Jean Dessailly.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/11/1959<br />

Durée : 00 h 26 min 15 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

114


Titre propre<br />

Le testament du docteir Cor<strong>de</strong>lier<br />

Titre collection<br />

Présentation du film <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/01/1961<br />

Durée : 00 h 01 min 45 sec<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

115


Titre propre<br />

Discorama : émission du 24 février 1961<br />

Titre collection<br />

Discorama<br />

Générique et auteurs<br />

Interprète : John Williams, Suzanne Lafaye, Raymond Ama<strong>de</strong> ; Réalisateur : Jean Bescont ; Producteur : Denise<br />

Glaser ; Auteur oeuvre préexistante : Jacques Offenbach<br />

Résumé<br />

Film 16 mm : montage sur Francisco Goya.<br />

- - Extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir Le Carrosse d'or.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/02/1961<br />

Durée : 00 h 28 min 53 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

116


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Georges Simenon et sa femme au Festival <strong>de</strong> Cannes<br />

Titre propre<br />

Festival pour un festival<br />

Titre collection<br />

Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : François Chalais ; Commentateur : François Chalais<br />

Résumé<br />

Georges Simenon, accompagné <strong>de</strong> sa femme Denise et Jean Renoir sont présents au Festival <strong>de</strong> Cannes pour<br />

apporter leur soutien à l'institution face aux opposants <strong>de</strong> la Nouvelle vague, représentés entre autre par François<br />

Truffaut.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/05/1961<br />

Durée : 00 h 00 min 10 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

117


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Figures <strong>de</strong> la Nouvelle vague<br />

Titre propre<br />

Festival pour un festival<br />

Titre collection<br />

Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />

Générique et auteurs<br />

Commentateur : François Chalais<br />

Résumé<br />

Différents plans <strong>de</strong> Georges Simenon, Jean Renoir, François Truffaut, Robert Hossein, Louis malle,<br />

Edouard Molinaro, Jacques Doniol-Valcroze, Clau<strong>de</strong> Chabrol notamment<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/05/1961<br />

Durée : 00 h 00 min 28 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

118


Titre propre<br />

Interview <strong>de</strong> Renoir sur “Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier”<br />

Titre collection<br />

JT 20 heures<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Mario Beunat ; Participant : Jean Renoir<br />

Résumé<br />

Jean Renoir parle <strong>de</strong> ce qu'il a réalisé <strong>de</strong>puis son film Le Déjeuner sur l'herbe (1959) : il parle <strong>de</strong>s cours qu'il a donnés<br />

dans les universités américaines, du livre qu'il vient d'écrire sur son père. Il s'occupe actuellement <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong><br />

son film Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier ; film produit par l'ORTF, ce qui lui a donné <strong>de</strong>s moyens techniques<br />

appréciables. Renoir parle <strong>de</strong> son prochain film, Le Caporal épinglé. A ce propos, Renoir dit que la puissance du<br />

moment n'est plus à l'argent, que le mon<strong>de</strong> appartient aux organisateurs. L'organisation risque d'être dans les<br />

années à venir un tyran pire que l'argent.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 23/05/1961<br />

Durée : 00 h 04 min 10 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

119


Titre propre<br />

Paul Vialar : l’homme <strong>de</strong> chasse<br />

Titre collection<br />

Carte blanche à<br />

Générique et auteurs<br />

Producteur : Jacques Floran ; Producteur : Paul Vialar<br />

Résumé<br />

- « Carte blanche à Paul Vialar » : L'homme <strong>de</strong> chasse, une émission <strong>de</strong> Paul Vialar et Jacques Floran, réalisée par<br />

Jean Christophe Averty<br />

- Sa passion pour la chasse a inspiré à Paul Vialar <strong>de</strong>s romans qui ont connu un grand succès, comme La Gran<strong>de</strong><br />

Meute et Le Fusil à <strong>de</strong>ux coups. Le prochain livre qu'il publiera en novembre est intitulé L'Homme <strong>de</strong> chasse et lui<br />

servira <strong>de</strong> thème pour cette « carte blanche ».<br />

- Paul Vialar pense, en effet, qu'il est difficile d'expliquer ce qu'est la chasse, si ce n'est pas une histoire.<br />

- Séquence du film <strong>de</strong> Jean Renoir La Partie <strong>de</strong> campagne<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 04/11/1961<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

120


Titre propre<br />

Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : le cinéma et la parole<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy ; Participant : Jean Renoir, Jacques Rivette<br />

Résumé<br />

Jean Renoir, interviewé par Jacques Rivette sur <strong>de</strong>s questions techniques <strong>de</strong> cinéma, comme l'utilisation <strong>de</strong><br />

caméras multiples, en vient à donner son point <strong>de</strong> vue sur <strong>de</strong>s choses propres à son art <strong>de</strong> cinéaste, sur ce qu'est<br />

et <strong>de</strong>vrait être le cinéma selon lui et sur l'art en général.<br />

Il parle plus particulièrement <strong>de</strong> la sincérité <strong>de</strong> jeu qu'il essaye d'obtenir <strong>de</strong>s acteurs. Déplore qu'on donne<br />

actuellement trop d'importance aux histoires et pas assez à la forme : on obtient <strong>de</strong>s histoires variées mais avec<br />

<strong>de</strong>s expressions fausses. Il pose la question <strong>de</strong> créer un nouveau cinéma qui ne « triche » pas, qui soit honnête. Il<br />

parle du travail sur le texte ; il évoque le cinéma muet (la force hypnotique du cinéma muet, les « grands<br />

animaux » que sont les acteurs du cinéma muet) ; parle <strong>de</strong> l'évolution <strong>de</strong>s techniques au cinéma et <strong>de</strong> leur<br />

conséquences sur l'art cinématographique. Cet entretien fait partie d'une série d'émissions réalisées par Jean-<br />

Marie Col<strong>de</strong>fy sur Jean Renoir .<br />

Quelques photos <strong>de</strong> films dans les génériques <strong>de</strong> début et <strong>de</strong> fin.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/11/1961<br />

Durée : 00 h 23 min 00 sec<br />

Heure : 23 h 01 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

121


Titre propre<br />

Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : les progrès <strong>de</strong> la technique<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/11/1961<br />

Durée : 00 h 03 min 04 sec<br />

Heure : 22 h 28 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

122


Titre propre<br />

Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : les progrès <strong>de</strong> la technique<br />

Notes du titre<br />

Entretiens avec Jean Renoir : secon<strong>de</strong> partie<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy ; Participant : Jean Renoir, Jacques Rivette<br />

Résumé<br />

Jacques Rivette s'entretient avec Jean Renoir <strong>de</strong>s progrès <strong>de</strong> la technique qui aboutissent à un réalisme <strong>de</strong> plus en<br />

plus poussé dans les arts en général et au cinéma. Ce réalisme qui, d'après Renoir, n'est rien d'autre qu'une<br />

imitation <strong>de</strong> plus en plus parfaite <strong>de</strong> la nature, aboutit souvent à <strong>de</strong>s oeuvres ennuyeuses. Cette perfection<br />

technique nuit aussi à l'esthétique ; Renoir dit que les objets usels dans les pério<strong>de</strong>s <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> technologie sont<br />

laids ; mais le vrai artiste doit s'adapter aux conditions <strong>de</strong> travail mo<strong>de</strong>rnes en les maîtrisant. Il cite son père,<br />

Auguste Renoir, et sa théorie du « bouchon » sur l'eau qui ne peut que se laisser entraîner par les courants mais<br />

reste libre <strong>de</strong> choisir, <strong>de</strong> suivre le « courant qui lui convient le mieux ». Selon Renoir , s'il reste un domaine en France<br />

où l'on gar<strong>de</strong> « le sens <strong>de</strong> ce qui ne s'explique pas », c'est celui <strong>de</strong> la cuisine. Si la technique, l'intelligence explique tout,<br />

le grand cuisinier, lui, procè<strong>de</strong> avec les sens. On en revient à la gran<strong>de</strong> question <strong>de</strong> l'intelligence et <strong>de</strong>s sens.<br />

Cet entretien fait partie d'une série d'émissions réalisées par Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy sur Jean Renoir .<br />

Quelques photos <strong>de</strong> films dans les génériques <strong>de</strong> début et <strong>de</strong> fin.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/11/1961<br />

Durée : 00 h 25 min 30 sec<br />

Heure : 22 h 28 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

123


Titre propre<br />

Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : le retour au naturel<br />

Notes du titre<br />

Entretiens avec Jean Renoir : troisième et <strong>de</strong>rnière partie<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy ; Journaliste : Jacques Rivette ; Participant : Jean Renoir<br />

Résumé<br />

Jean Renoir, interrogé sur la notion <strong>de</strong> progrès technologique – qui touche tous les domaines, y compris celui du<br />

cinéma – en vient à redéfinir ce qu'est l'art cinématographique, la fonction <strong>de</strong> l'artiste et ce que peut être l'essence<br />

<strong>de</strong> l'art.<br />

Il rappelle que le cinématographe est un art à la fois basé sur l'observation <strong>de</strong>s mouvements humains et sur la<br />

connaissance <strong>de</strong>s idées générales : le détail d'une photo <strong>de</strong> Cartier Bresson vous donne une idée <strong>de</strong> la vie à<br />

Madrid et même une idée <strong>de</strong>s problèmes economiques et sociaux <strong>de</strong> l'Espagne. L'utilisation <strong>de</strong> techniques trés<br />

évoluées peut vous faire perdre <strong>de</strong> vue les idées générales ; elle peut aussi vous en rapprocher.<br />

Le cinéma doit avant tout être basé sur le respect <strong>de</strong> la réalité extérieure. Cette réalité extérieure n'est pas encore<br />

épuisée. Avec cette réalité extérieure, on peut atteindre à une réalité poétique ; cette réalité poétique pourrait être<br />

un résumé <strong>de</strong>s sentiments qui animent un être humain.<br />

La fonction <strong>de</strong> l'artiste, c'est d'ouvrir <strong>de</strong>s fenêtres : Cezanne ouvre une fenêtre sur <strong>de</strong>s joueurs <strong>de</strong> cartes ; il révèle<br />

ainsi une vérité, quelquechose que le spectateur n'avait pas vu. Cette révélation tue l'ennemi numéro 1 <strong>de</strong> ce<br />

siècle, qui est l'ennui. Elle est l'occasion d'avoir une conversation amicale avec le spectateur. Ce contexte amical<br />

est essentiel à l'art. La préoccupation essentielle étant <strong>de</strong> communiquer avec le public.<br />

Seule la personnalité compte ; la perfection ne compte pas.<br />

Cet entretien fait partie d'une série d'émissions réalisées par Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy sur Jean Renoir .<br />

Quelques photos <strong>de</strong> films dans les génériques <strong>de</strong> début et <strong>de</strong> fin.<br />

Interviewé par Jacques Rivette<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />

(ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/11/1961<br />

Durée : 00 h 25 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 18 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

124


Titre propre<br />

Cinépanorama : émission du 16 juin 1962<br />

Titre collection<br />

Cinépanorama<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : François Chalais ; Producteur : François Chalais, Frédéric Rossif ; Présentateur : François Chalais ;<br />

Participant : Jean Schmidt, Catherine Rouvel, Jean Marais<br />

Résumé<br />

François Chalais interviewe Catherine Rouvel dans le camp <strong>de</strong> gitans : elle raconte comment<br />

elle a rencontré Jean Renoir à la cinémathèque et son émotion lors <strong>de</strong> cette rencontre. (Elle a<br />

ensuite tourné avec lui Le Déjeuner sur l'herbe). Elle a eu un enfant, ce qui lui a pris beaucoup <strong>de</strong> temps.<br />

Elle a voulu faire du théâtre pour mieux apprendre son métier. Au festival <strong>de</strong> Venise, elle a été harcelée par les<br />

photographes alors qu'elle voulait simplement se baigner et n'a pas pu. Elle a eu du mal à se déshabiller<br />

pour Le Déjeuner sur l'herbe. Elle pense être une actrice passionnée. Elle a le trac. Elle explique comment<br />

elle travaille chez elle, avec un magnétophone, puis elle parle <strong>de</strong> son rôle dans Kriss romani. Elle serait capable <strong>de</strong><br />

pleurer si François Chalais le lui <strong>de</strong>mandait : il ne serait pas nécessaire <strong>de</strong> trop insister. Sur la fin <strong>de</strong> l'interview,<br />

quelques plans d'un montreur d'ours gitan, avec son animal.<br />

Une séquence <strong>de</strong> présentation accompagnée <strong>de</strong> musique et du commentaire off <strong>de</strong> François Chalais montre la<br />

maison et le jardin <strong>de</strong> Jean Marais à Marnes-la-Coquette, puis l'acteur sort <strong>de</strong> chez lui et va s'asseoir au bord <strong>de</strong><br />

sa piscine. Il vient <strong>de</strong> tourner Les Mystères <strong>de</strong> Paris d'André Hunebelle.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/06/1962<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

125


Titre propre<br />

Gustave Flaubert<br />

Titre collection<br />

Les bonnes adresses du passé<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Roland Bernard ; Producteur : Jean-Jacques Bloch<br />

Résumé<br />

- Travelling avant sur le château : générique en surimpression – zoom sur le château - estampes : calèche - carte<br />

routière actuelle - différentes estampes <strong>de</strong> Croisset et portraits <strong>de</strong> Gustave Flaubert - rives <strong>de</strong> la Seine - paysages<br />

<strong>de</strong> Canteleu – gros plan <strong>de</strong> vigne vierge sur un mur - banc dans jardin - maison <strong>de</strong> Gustave Flaubert - rivière<br />

-Jean-jacques Bloch interviewe Madame Dupicq, conservatrice, dans le jardin <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong> Gustave Flaubert:<br />

fait l'historique <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong> Gustave Flaubert avant son arrivée à Croisset - photo <strong>de</strong> l'hôtel Dieu <strong>de</strong> Rouen où<br />

son père fut chirurgien - écuries <strong>de</strong> son ancienne maison et fenêtre <strong>de</strong> sa chambre<br />

- Estampes : Ernest Chevallier (son ami) - document : lettre manuscrite écrite par Gustave Flaubert à son ami -<br />

portrait <strong>de</strong> Gustave Flaubert, adolescent - estampe : Trouville - portrait <strong>de</strong> Madame Schlesinger (l'inspiratrice <strong>de</strong><br />

L’Education sentimentale)<br />

- Jean-Jacques Bloch et Madame Dupicq parcourent l'allée <strong>de</strong>s tilleuls surnommée par Gustave Flaubert son<br />

« gueuloir » - ouvrent la porte du pavillon - aquarelle représentant Le cabinet <strong>de</strong> travail <strong>de</strong> Gustave Flaubert – gros plan<br />

<strong>de</strong> son fauteuil <strong>de</strong> cuir - aquarelle : paysage <strong>de</strong> Croisset - film : même paysage aujourd'hui<br />

- Madame Dupicq parle <strong>de</strong> louise Colet - portrait <strong>de</strong> Louise Colet - portrait <strong>de</strong> Maxime du Camp (son<br />

compagnon <strong>de</strong> voyage) – divers plans d'un fusil ayant appartenu à Gustave Flaubert<br />

- Estampe : révolution <strong>de</strong> 48 - dédicace <strong>de</strong> Gustave Flaubert à sa mère pour Madame Bovary - feuilles manuscrites<br />

<strong>de</strong> Madame Bovary (nombreuses ratures) - plan <strong>de</strong> La Revue <strong>de</strong> Paris où Madame Bovary a paru en feuilleton<br />

--- Extrait du film <strong>de</strong> Renoir Madame Bovary (avec F. Fabre et Valentine Tessier)<br />

--- Extrait du film <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Barma Madame Bovary (avec Luce Feyrer et Yves Vincent)<br />

-Jean-Jacques Bloch referme l'exemplaire <strong>de</strong> Madame Bovary - portrait <strong>de</strong> maître Senart qui défendit gustave<br />

Flaubert pour le procès <strong>de</strong> Madame Bovary - photo <strong>de</strong> Gustave Flaubert et caricatures<br />

--- Extrait <strong>de</strong> film Salambo<br />

- Vue d'une stèle qui vient <strong>de</strong> Tunisie, offerte à Gustave Flaubert – gros plan du pupitre qui lui a appartenu et<br />

sur lequel il a travaillé - différentes illustrations <strong>de</strong> Dunoyer <strong>de</strong> Segonzac pour L'Education sentimentale – gros plan<br />

d'un vieil album <strong>de</strong> photos - on le feuillette - Madame Dupicq parle <strong>de</strong> Bouvard et Pécuchet et <strong>de</strong>s Trois contes - vue<br />

<strong>de</strong> l'édition populaire « d'un coeur simple »<br />

--- Extrait du film télévisé réalisé par Bescont Un coeur simple<br />

- gros plan d'un perroquet empaillé, cher à Gustave Flaubert - illustrations <strong>de</strong> Bouvard et Pécuchet – gros plan<br />

d'encrier, d'étui <strong>de</strong> verre contenant <strong>de</strong>s plumes <strong>de</strong> paon - presse-papier - coupe-papier - montre en or - pipe - pot<br />

à tabac (tous ces objets ont appartenu à Gustave Flaubert). - différentes photos <strong>de</strong> Gustave Flaubert.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/07/1962<br />

Durée : 00h 30 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

126


Titre propre<br />

Madame Bovary<br />

Titre collection<br />

Jean Renoir vous présente<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/08/1962<br />

Durée : 00 h 04 min 25 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

127


Titre propre<br />

Le cinéma : <strong>de</strong>uxième partie<br />

Titre collection<br />

Mille neuf cent soixate cinq soixante dix soixante quinze.<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Guy Labourasse ; Producteur : Jacques Bloch Morhange<br />

Résumé<br />

- Extrait d'un film <strong>de</strong> Jaques Doniol-Valcroze dans le parc : défend le nouveau cinéma contre le cinéma<br />

« commercial », le cinéma doit <strong>de</strong>venir <strong>de</strong> plus en plus du cinéma d'auteur, son admiration pour Renoir,<br />

Alain Resnais, François Truffaut.<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Princesse <strong>de</strong> Clèves <strong>de</strong> Jean Delannoy - interview <strong>de</strong> Jean Delannoy dans le fauteuil <strong>de</strong> cinéma : il<br />

faut aller plus loin dans la profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s thèmes, fait <strong>de</strong>s reproches à la nouvelle vague qui oublie le public<br />

- Extrait du Repos du guerrier <strong>de</strong> Roger Vadim<br />

- Interview <strong>de</strong> Christine Rochefort : est assez pessimiste sur l'évolution du cinéma - ses espoirs : françois Truffaut,<br />

Alain Resnais, Robert Enrico, Clau<strong>de</strong> Chabrol, Bunuel, Antonioni.<br />

- Cours <strong>de</strong> l'IDHEC : tableau noir, cours <strong>de</strong> prises <strong>de</strong> vue, montage - interview <strong>de</strong> R. Tessoneau (administrateur<br />

<strong>de</strong> l'IDHEC) - école forme aussi bien pour la télévision que pour le cinéma<br />

- Interview <strong>de</strong> jacques Bergier : interrogé sur l'avenir du cinéma, fait <strong>de</strong>s prévisions.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/10/1962<br />

Durée : 00 h 39 min 24 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

128


Titre propre<br />

Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> l’écran : émission du 27 octobre 1963<br />

Titre collection<br />

Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> l’écran<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Dominique Rety<br />

Résumé<br />

- Joseph Kosma : au piano chez lui - interviewa par Nohain (off) : parle <strong>de</strong> sa carrière, <strong>de</strong> sa<br />

collaboration avec Jean Renoir - parle <strong>de</strong> l'origine <strong>de</strong>s Feuilles mortes - partitions <strong>de</strong> Feuilles mortes en plusieurs<br />

langues - différentes photos <strong>de</strong> L'Amour electronique<br />

- Affiche Bonsoir Madame Pinson Saint-Martin - chien qui nous conduit à la loge <strong>de</strong> jane Sourza, animatrice <strong>de</strong><br />

Bonnes Nouvelles - interviewée par Anne-Marie Carrière dans sa loge : parle <strong>de</strong> ses débuts - arrivée <strong>de</strong> Raymond<br />

Souplex intervient, parlent <strong>de</strong> l'émission Sur le banc et du film tiré <strong>de</strong> l'émission évoquent petites histoires relatives<br />

au tournage<br />

- Photos <strong>de</strong>s réalisations <strong>de</strong> René Lucot - interview <strong>de</strong> René Lucot par Pierre Sain<strong>de</strong>richin - font allusion à<br />

l'interview <strong>de</strong> Christophe Averty sur les réalisateurs "en cravate" - l'interview se déroule chez René Lucot, déclare<br />

aimer avant tout le direct - est heureux <strong>de</strong>s possibilités que lui offre la télévision<br />

- Interview <strong>de</strong> Jacqueline Huet chez elle par André Leclerc - parle du film q'elle vient <strong>de</strong> tourner - extrait du<br />

Crime du docteur Chardin - suite <strong>de</strong> l'interview : travelling sur ses jambes - travelling sur ses chemisiers<br />

- Affiche Spotnicks - chacun filmé dans ses activités - hôtel d'Albert à Paris, ou ils <strong>de</strong>scen<strong>de</strong>nt (vue extérieure) - les<br />

Spotnicks dans leurs costumes se bala<strong>de</strong>nt dans les rues <strong>de</strong> Paris ; donnent un concert gratuit dans le square<br />

Montholon - foule (gros plan) – Pierre Louis essayant <strong>de</strong> se faire un chemin dans la foule<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 27/10/1963<br />

Durée : 00 h 33 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

129


Titre propre<br />

Le temps <strong>de</strong> la chance : émission du 20 janvier 1964<br />

Titre collection<br />

Le temps <strong>de</strong> la chance<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Aimée Mortimer ; Interprète : Jean Valtay, Jacqueline François, Catherine Samie, Jacques Brel,<br />

Monette Loza, Robert Etcheverry ; Participant : Jean Valtay, Jacqueline François ; Chorégraphe : Jean<br />

Robinson ; Réalisateur : Jean-Pierre Marchand ; Auteur oeuvre préexistante : Charles Vildrac, Jean Renoir<br />

Résumé<br />

- Monette Loza avec Robert Etcheverry interprètent une scène d'Orvet <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/01/1964<br />

Durée : 00 h 52 min 31 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

130


Titre propre<br />

L’étang tragique <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

présentation<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/06/1965<br />

Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

131


Titre propre<br />

La Règle du jeu<br />

Titre collection<br />

Les écrans <strong>de</strong> la ville<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Pierre-André Boutang, Philippe Collin ; Participant : Jean Gaborit,<br />

Jacques Durand<br />

Résumé<br />

L'émission Les Ecrans <strong>de</strong> la ville est consacrée au film <strong>de</strong> Jean Renoir La Règle du jeu qui, très mal accueilli à sa sortie<br />

en 1939, ne fut diffusé dans son intégralité qu'en 1965, grâce au travail, notamment, <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux cinéphiles.<br />

- Diverses photos du film.<br />

- Extraits d'un entretien réalisé par Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy et Janine Bazin pour la télévision où Renoir parle <strong>de</strong> son<br />

film : « ... c'est, <strong>de</strong> tous mes films, celui qui a eu le plus gros insuccès... », à cause du très mauvais accueil fait au film, il en a<br />

lui-même coupé <strong>de</strong>s passages. Il ne manque qu'une courte scène qu'il considère sans intérêt.<br />

- Interview <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux cinéphiles, Jean Gaborit et Jacques Durand, qui ont remonté le film : après avoir convaincu<br />

le producteur du film <strong>de</strong> leur donner toutes les copies du film, ils ont retrouvé 20 minutes <strong>de</strong> documents inédits<br />

(photo d'une scène) que Renoir a pu, par la suite, intégrer à la première version. Jean Gaborit parle <strong>de</strong><br />

l'extraordinaire mo<strong>de</strong>rnité <strong>de</strong> ce « chef-d'oeuvre maudit » : audaces formelles, jeu du personnage <strong>de</strong> meneur <strong>de</strong><br />

jeu (Octave) joué par Jean Renoir<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/06/1965<br />

Durée : 00 h 15 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 00<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

132


Titre propre<br />

Dim dam dom : émission du 24 septembre 1965<br />

Titre collection<br />

Dim dam dom<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Geneviève Bujold ; Réalisateur : Jean-Pierre Spiero ; Producteur : Daisy <strong>de</strong> Galard<br />

Résumé<br />

Présentation <strong>de</strong> Geneviève Bujold qui tourne La Guerre est finie sous la direction d'Alain Resnais.<br />

- 1) – La Mo<strong>de</strong> chasse <strong>de</strong> Jean Christophe Averty et Nicole Marchand<br />

Différents modèles <strong>de</strong> Dior,Scherrer.<br />

2) Mapie <strong>de</strong> Toulouse lautrec : La Sala<strong>de</strong> <strong>de</strong> lièvre réalisation <strong>de</strong> Raoul Sangla<br />

Durant l'énoncé <strong>de</strong> la recette différents plans <strong>de</strong> La Règle du jeu <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- 3) – surveiller les yeux <strong>de</strong> vos enfants : illustration par <strong>de</strong>ssins<br />

- 4) - Orly réalisation <strong>de</strong> Pierre Mignot<br />

--- Le hall - raquettes <strong>de</strong> tennis, enfants, etc... le tout très rapi<strong>de</strong> - différents visages <strong>de</strong> femmes - les retrouvailles :<br />

enfants embrassant les parents - femmes embrassant maris - Orly arrivées et départs.<br />

- 5) – Beauté : la coupe <strong>de</strong>s cheveux géométrique <strong>de</strong> Maurice Frydland et Janine Alaux<br />

--- Chez Jacques Dessange : Valérie Lagrange, France Angla<strong>de</strong> et Macha Meril<br />

- 6) banc d’essai : les fourchettes : Fourchettes à eau <strong>de</strong> vie, à fondue, à homard, à pommes <strong>de</strong> terre, à horsd'oeuvre,<br />

à asperges, à feu <strong>de</strong> bois<br />

- 7) – Sylvi Vartan par Raoul Sangla,Catherine Laporte et Clau<strong>de</strong> Lanzmann<br />

--- Interview <strong>de</strong> Sylvie Vartan à propos <strong>de</strong> l'affaire <strong>de</strong> prêt à porter qu'elle lance - s'exprime difficilement -<br />

présentation <strong>de</strong> modèles <strong>de</strong> sa collection - entre temps on la voit chanter Je ne peux plus me passer <strong>de</strong> toi<br />

- 8) – Courrier du cœur <strong>de</strong> Marcelle Segal par Raoul Sangla<br />

- 9) – le yoga : par Jean Christophe Averty et Nicole Marchand<br />

--- Professeur Eva Ruchpaul donnant leçons et se livrant elle-même à ce sport.Yoga signifie joindre,d'où joug.<br />

- 10) – la rentrée <strong>de</strong>s classes par J. Hallan et Jean Pierre Marchand<br />

--- Petit garçon,Antoine,5 ans, traversant le Luxembourg, seul, cartable au dos - interview d'un jeune garçon :<br />

veut être vétérinaire - <strong>de</strong>ux enfants, une fillette et un jeune garçon dialoguant .Off Frère Jacques.<br />

- 11) – le pense malin : Différents gadgets et conseils en vue <strong>de</strong> l'hiver<br />

- 12) – comment s’habiller sous la pluie par Pierre Koralnik et Nicole Marchand<br />

--- Les danseuses <strong>de</strong> Barbara Pierce en cirés blancs et bottes blanches sur la terrasse du Palais <strong>de</strong> Chaillot, puis<br />

dans les rues <strong>de</strong> Paris se livrant à un ballet insolite .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/09/1965<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

133


Titre propre<br />

Spécial Hollywood<br />

Titre collection<br />

Nos cousins d’Amérique<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Jacques Sallebert ; Réalisateur : Jacques Sallebert<br />

Résumé<br />

Jacques Sallebert présente l'émission<br />

- Il est allé voir, à Hollywood, <strong>de</strong>s Français<br />

- La signature dans le ciment du trottoir <strong>de</strong> Hollywood Boulevard <strong>de</strong>vant le théâtre chinois<br />

- Maisons <strong>de</strong> ve<strong>de</strong>ttes - travelling sur les maisons <strong>de</strong> : Jayne Mansfield, Charles Boyer, Kirk Douglas, Louis<br />

Jourdan, etc...<br />

- Le fils <strong>de</strong> Louis Jourdan patinant à roulettes<br />

- Interview <strong>de</strong> Jean Renoir dans son jardin, il a fait <strong>de</strong>s films - il donne <strong>de</strong>s cours d'art<br />

dramatique dans les Universités américaines<br />

- Peu <strong>de</strong> Français y ont réussi, mais c'est seulement parce que le métier du spectacle est très<br />

difficile<br />

- Il explique la différence du travail <strong>de</strong> cinéma au USA et en France : aux USA le grand patron est<br />

le producteur, en France c'est le réalisateur<br />

- A Malibu, Roger Vadim, metteur en scène débutant aux USA, interviewé dans sa villa<br />

- Une salle <strong>de</strong> bâtiment où se distribuent les in<strong>de</strong>mnités <strong>de</strong> chômage - vue <strong>de</strong> Sunset Boulevard, la nuit<br />

- Lucien Martin, acteur sans contrat, dans le restaurant Napoléon où il a trouvé à s'employer - tenter sa chance aux<br />

USA et faire fortune, c'est différent<br />

- L'annuaire <strong>de</strong>s comédiens<br />

- Les actrices (jeunes filles) s'installent au Sindro Club - la salle <strong>de</strong> restaurant<br />

- Une belle voiture s'avance dans un jardin très beau, en sort Suzanne Sybelle jeune actrice dont le 2ème métier<br />

est agent immobilier - interview<br />

- Interview <strong>de</strong> Maria Gomez dans un jardin, elle est étendue dans un fauteuil<br />

- Interview <strong>de</strong> Françoise Ruggieri, modéliste<br />

- Corinne Calvet avec son fils - sa peinture - interviewée dans son salon<br />

- Maurice Jarre et sa femme Dany Saval dans leur maison Hollywoodienne - travelling <strong>de</strong>puis l'intérieur <strong>de</strong> la<br />

maison vers le jardin et la piscine - DanySaval a fait Boeing-boeing le premier <strong>de</strong> ses six films - ils sont très contents<br />

<strong>de</strong> leur vie<br />

- Vue générale <strong>de</strong> Hollywood, d'un boulevard.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/10/1965<br />

Durée : 00 h 24 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

134


Titre propre<br />

Erich Von Stroheim<br />

Titre collection<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Robert Valey ; Producteur : Jeanine Bazin, André-Sylvain Labarthe ; Participant : Denis Marion,<br />

René Clair, Gloria Swanson, Jean Renoir, Michel Arnaud, Louis Chavance, Jean Delannoy, Jean Boyer<br />

Résumé<br />

- Denis Marionouvre l'émission, parle <strong>de</strong> von Stroheim<br />

- panoramic sur la carte <strong>de</strong> Vienne - Vienne : bus dans la rue (Vienne 1965) - vieux documents filmés : François<br />

Joseph - défilés militaires - calvados et chars fleuris<br />

- plan sur l'acte <strong>de</strong> naissance d'E. Oswald Stroheim<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Veuve joyeuse (1924) - extrait <strong>de</strong> La Danse <strong>de</strong> mort (1946) - E. von Stroheim sous la direction <strong>de</strong><br />

Marcel Cravenne<br />

- Extrait <strong>de</strong> Hollywood à la gran<strong>de</strong> époque<br />

- Chaplin, von Stroheim (signature du contrat <strong>de</strong>s "Acteurs associés")<br />

- René Clair parle <strong>de</strong> von Stroheim<br />

- Extrait <strong>de</strong> Queen Kelly (1928) - ce film a marqué la fin <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> von Stroheim<br />

- Gloria Swanson (en anglais, sous-titre français), productrice-ve<strong>de</strong>tte <strong>de</strong> Queen Kelly - parle du plaisir qu'elle avait<br />

à travailler sous les ordres <strong>de</strong> von Stroheim - suite <strong>de</strong> l'extrait <strong>de</strong> Queen Kelly<br />

- Gloria Swanson parle du film et comment le tournage en a été interrompu<br />

- Bourse <strong>de</strong> New York (1929 : les cours s'effondrent)<br />

- René Clair parle <strong>de</strong> l'influence désastreuse et restrictive <strong>de</strong>s producteurs sur l'esprit créateur <strong>de</strong>s organisateurs<br />

- Edmond T. Gréville, réalisateur parle <strong>de</strong> la suite <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> Von Stroheim, <strong>de</strong>venu interprète<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Renpir<br />

-Jean Renoir , dans un jardin, parle <strong>de</strong> son interprète<br />

- Extrait <strong>de</strong> Folies <strong>de</strong> femmes (1921)<br />

- Extrait <strong>de</strong> Queen Kelly (fin)<br />

- Gloria Swanson à nouveau, parle <strong>de</strong> Stroheim et <strong>de</strong> son rôle dans Sunset Boulevard<br />

-Jean Renoir, Jean Boyer, René Clair, parlent <strong>de</strong> l'esprit grand seigneur <strong>de</strong> Von Stroheim<br />

- Denis Marion parle <strong>de</strong> la classe <strong>de</strong> Von Stroheim - la démystification <strong>de</strong> ses origines ne fait que lui donner plus<br />

<strong>de</strong> valeur dans la manière dont il interprétait <strong>de</strong>s rôles d'officiers et d'aristocrates<br />

- Ferme <strong>de</strong> Maurepas, propriété <strong>de</strong> von Stroheim - son bureau où il écrivait ses mémoires - photos - extrait <strong>de</strong>s<br />

Rapaces (1923).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/10/1965<br />

Durée : 01 h 30 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

135


Titre propre<br />

François Truffaut ou l’esprit critique<br />

Titre collection<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Pierre Chartier ; Producteur : Jeanine Bazin, Jean-Pierre Chartier, André Labarthe ;<br />

Participant : François Truffaut, Jean-Pierre Léaud, Albert Rémy<br />

Résumé<br />

Rencontre avec le cinéaste François Truffaut<br />

- François Truffaut sur son balcon à la Muette - Clau<strong>de</strong> <strong>de</strong> Givray évoque les souvenirs <strong>de</strong> François Truffaut et<br />

nous donne quelques points <strong>de</strong> la biographie <strong>de</strong> François Truffaut (plan d'une salle <strong>de</strong> cinéma pleine et extérieur<br />

du cinéma)<br />

- Exemplaire <strong>de</strong>s Cahiers du cinéma et <strong>de</strong>s Arts<br />

- François Truffaut nous parle <strong>de</strong>s films qu'il a aimés et <strong>de</strong> ses films : Les Mistons (extrait), Les 400 Coups (extrait),<br />

Tirez sur le pianiste, Jules et Jim<br />

- Recherche <strong>de</strong> sincérité - travail réaliste avec les enfants - réaction critique à une situation<br />

- Comment ont commencé Les 400 coups<br />

- Interview d'Albert Remy au sujet <strong>de</strong> la direction d'acteurs<br />

- Interview <strong>de</strong> Jean-Pierre Léaud : pleins <strong>de</strong> détails réels - les indications <strong>de</strong> travail<br />

- François Truffaut en salle <strong>de</strong> projection<br />

- François Truffaut nous donne <strong>de</strong>s exemples d'après ses films (extraits chaque fois) et les souvenirs <strong>de</strong>s grands<br />

films qui l'ont aidé<br />

- Albert Remy : présentation à Cannes <strong>de</strong>s 400 coups / Photo<br />

- L'Amour a vingt ans - interview <strong>de</strong> JP Léaud<br />

- Analyse du film par Truffaut sur exemple La Sagesse du metteur en scène avec la durée<br />

- Tirez sur le pianiste<br />

- Point <strong>de</strong> départ : policier - Truffaut déteste<br />

- Extrait du film - il se sentait très mal à l'aise - n'aime pas les gangsters<br />

- Truffaut part toujours d'exemples, extraits du film<br />

- Jules et Jim - extrait du film<br />

- Il parle <strong>de</strong> son travail avec les acteurs, en particulier avec Jeanne Moreau<br />

- Le truquage invisible<br />

- La Peau douce - extrait du film<br />

- Truffaut n'aime pas les scènes d'amour - explication <strong>de</strong> la durée fictive et <strong>de</strong> la durée réelle - dit avoir peint <strong>de</strong>s<br />

gens entêtés / explique qu'il s'i<strong>de</strong>ntifie aux gens faibles<br />

- Hitchcock - Bresson - Renoir : sur les trois théories, il exerce son sens critique.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 02/12/1965<br />

Durée : 01 h 04 min 00 sec<br />

Heure : 20 h 51<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

136


Titre propre<br />

Cinéma : émission du 23 avril 1966<br />

Titre collection<br />

Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Colette Djidou ; Producteur : François Chalais, Frédéric Rossif ; Participant : Anna Karina,<br />

Michèle Arnaud, Serge Gainsbourg, Robert Bresson, Milos Forman<br />

Résumé<br />

- 1) Qui êtes-vous Anna Karenine ?<br />

--- Extraits d'Une femme est une femme et <strong>de</strong> Vivre sa vie <strong>de</strong> Jean-Luc Godard - interview d’Anna Karina – Gros Plan :<br />

explique comment elle a du se débrouiller en arrivant à Paris - interview – Gros Plan <strong>de</strong> Catherine Harle :<br />

explique comment elle a engagé Anna Karina pour poser <strong>de</strong>s photos - photo d’Anna Karina posant dans<br />

différentes robes - Anna jouant au golf miniature - Moment <strong>de</strong> complicité entre Anna Karina et Jean-Clau<strong>de</strong><br />

Brialy. Ce <strong>de</strong>rnier dresse son portrait, parle <strong>de</strong> son caractère « mystérieux ». Ils s'embrassent – Anna Karina dans<br />

la campagne « Jamais, je ne t'ai dit que je t'aimerai toujours » - voix d’Anna Karina - diverses photos et expressions<br />

d’anna Karin – « on finit toujours par ressembler un peu à son rôle », dit-elle - une scène jouée par Anna Karina et Brialy<br />

- elle continue sa confi<strong>de</strong>nce – Gros Plan <strong>de</strong> face - elle parle <strong>de</strong> Jean-Luc Godard qui a beaucoup compté pour<br />

elle, au point <strong>de</strong> vue humain, et il lui a appris tout ce qu'elle sait <strong>de</strong> son métier - extrait d'Une femme est une femme -<br />

elle parle <strong>de</strong>s films qu'elle a tournés avec Jean-Luc Godard (5 sur 17), ceux qu'elle préfère – Anna Karina dans un couloir<br />

roulant <strong>de</strong> métro - tournage <strong>de</strong> la séquence - elle chante Rien - elle tourne une comédie musicale avec Koralnik, musique<br />

<strong>de</strong> Serge Gainsbourg : Anna - elle chante dans cette comédie – Michele Arnaud donne son opinion sur Anna<br />

Karina - interview <strong>de</strong> Gainsbourg, sur Anna Karina - elle a une gamme très étendue <strong>de</strong> moyens : voix,<br />

sensualité, expression<br />

- 2) Au hasard Balthazar : 7eme film <strong>de</strong> Robert Bresson N<br />

--- Visite <strong>de</strong> Robert Bresson chez lui - interview - séquence du film (Un petit âne brutalisé) - il dit comment lui est<br />

venue l'idée <strong>de</strong> faire un film avec un âne - certains se souviennent <strong>de</strong> La Fontaine (leçon aux humains) - séquence<br />

du film - l'âne suit la même courbe <strong>de</strong> la vie qu'un homme - s'y mêlant, les vices symbolisées par son maître : c'est<br />

l'âne souffrant <strong>de</strong>s vices <strong>de</strong> l'humanité - séquence du film : les personnages, la jeune fille et l'âne - il dit comment<br />

il dirige ses acteurs, en cherchant à éliminer les intonations <strong>de</strong> théâtre, pour faire vrai - il a employé tous ses<br />

moyens pour arriver à exprimer ce qu'il veut<br />

3) Avant-première : presse point <strong>de</strong> Hubert Cornfield avec Robert daring et Sydney Poitier<br />

Extrait du film<br />

- 4) Milos Forman<br />

--- Jeune cinéaste tchèque, interview : comment est-il venu au cinéma ? - <strong>de</strong>ux films : L'As <strong>de</strong> Pique et Les Amours<br />

d'une blon<strong>de</strong> - les acteurs sont souvent non professionnels - pourquoi il les a choisis plutôt que <strong>de</strong>s professionnels ? -<br />

ces <strong>de</strong>ux films traitent <strong>de</strong> problèmes d'adolescente - c'est un âge passionnant, touchant, ainsi que les relations<br />

entre les générations - quels cinéastes, préférez-vous ? « J'adore Renoir, Godard..., les cinéastes anglais<br />

mo<strong>de</strong>rnes » - il préfère les films <strong>de</strong> coeur plutôt que les films à thèse - il préfère bâtir son film sur une musique et<br />

non adapter une musique au film.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 23/04/1966<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

137


Titre propre<br />

Lectures pour tous : émission du 18 mai 1966<br />

Titre collection<br />

Lectures pour tous<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Dumayet, Pierre Desgraupes, Max-Pol Fouchet ; Participant : Pierre Pflimlin, Alain<br />

Prévost, Ephraïm Grenadou, Jean Renoir, Pierre-Henri Simon ; Réalisateur : Jean Bertho ; Producteur : Pierre<br />

Desgraupes, Pierre Dumayet<br />

Résumé<br />

Pierre Desgraupes interviewe le prési<strong>de</strong>nt Pierre Pflimlin pour le livre L'Europe communautaire qu'il a écrit avec<br />

Raymond Legrand Lane. Il fait le bilan du marché commun à la veille <strong>de</strong> l'abolition <strong>de</strong>s barrières douanières et<br />

parle <strong>de</strong> ce qui reste encore à construire pour l'Europe <strong>de</strong>s six.<br />

Pierre Dumayet interviewe Ephraïm Grenadou et Alain Prevost pour le livre Grenadou, paysan français. Alain<br />

Prévost a élaboré ce livre a partir d'enregistrements bi-hebdomadaires d'Ephraïm Grenadou. Ephraïm Grenadou<br />

parle <strong>de</strong> différents évènements <strong>de</strong> sa vie, évoquant notamment sa participation à la guerre <strong>de</strong> 1914-18.<br />

Pierre Desgraupes interviewe Jean Renoir au sujet <strong>de</strong> son livre Les Cahiers du Capitaine<br />

Georges. Jean Renoir parle du personnage et explique pourquoi il a écrit ce livre.<br />

Pierre Dumayet interviewe Pierre-Henri Simon pour son livre Ce que je crois.<br />

Max Pol Fouchet parle du livre Combien ? <strong>de</strong> Burt Blechman.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 18/05/1966<br />

Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

138


Titre propre<br />

Vente <strong>de</strong> toiles à Galliera<br />

Titre collection<br />

JT 13 heures<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Michel Isal, Adam Saulnier ; Participant : Jean Renoir<br />

Résumé<br />

Vente <strong>de</strong> tableaux d'Auguste Renoir au Palais Galliera.<br />

- Peintures <strong>de</strong> Renoir<br />

- interview <strong>de</strong> Jean Renoir par Adam Saulnier : les toiles présentes appartiennent selon lui à la<br />

meilleure pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> l'art <strong>de</strong> son père ; il y décèle une sûreté extraordinaire ; pense que l'oeuvre<br />

<strong>de</strong> son père est basée sur l'amour et que c'est pour cela qu'on l'aime.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision<br />

française (ORTF),<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/06/1966<br />

Durée : 00 h 03 min 12 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

139


Titre propre<br />

Gallimard<br />

Titre collection<br />

Lire<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Daniel Costelle ; Producteur : Daniel Costelle, Jean-Pierre Lajourna<strong>de</strong>, Bernard Cwagenbaum<br />

Résumé<br />

Reportage sur la maison d'édition Gallimard puis sur un coktail auquel sont invités une foule <strong>de</strong><br />

personnalités du milieu littéraire dont: Gaston et Clau<strong>de</strong>, Robert et Pierrre Gallimard, Raymond Aron,<br />

André Mauroy, Clara Malraux et René <strong>de</strong> Obaldia, Anne Philippe, Jean Renoir, Jean Cau, Paul Guimard,<br />

Daniel Boulanger, Clau<strong>de</strong> Roy, Jean-Louis Bory , H.P. <strong>de</strong> Mandiargues, Guillevic, Jean Paulhan, Michel Leiris,<br />

et une foule d'autres invités non i<strong>de</strong>ntifiés.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/07/1966<br />

Durée : 00 h 33M min 00 sec<br />

Heure : 20 h 59<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

140


Titre propre<br />

Bibliothèque <strong>de</strong> poche : émission du 14 septembre 1966<br />

Titre collection<br />

Bibliothèque <strong>de</strong> poche<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Yannick Bellon ; Producteur : Michel Polac ; Participant : Jean Renoir, Jean-Louis Bory, Albert<br />

Simonin<br />

Résumé<br />

- interview : <strong>de</strong> passants sur le petit nombre <strong>de</strong> personnes qui lisent : 58 % <strong>de</strong> français ne lisent jamais un livre, 42<br />

% en lisent - dans un grand magasin, interview <strong>de</strong> gens sur ce qu'ils lisent, et s'ils lisent <strong>de</strong>s livres - étagère<br />

d'exposition <strong>de</strong> livres<br />

- Les livres <strong>de</strong> ma vie : Jean Renoir<br />

--- Interview <strong>de</strong> Jean Renoir chez lui - <strong>de</strong>ux auteurs, An<strong>de</strong>rsen et Dumas Père – Gros Plan et Plan<br />

cravate <strong>de</strong> Jean Renoir riant et sérieux - pour lui, An<strong>de</strong>rsen va avec Dante, Rabelais,<br />

Shakespeare, Stendhal - il cite divers contes d'An<strong>de</strong>rsen - pour lui An<strong>de</strong>rsen est un auteur<br />

d'étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> moeurs - il parle <strong>de</strong> Dostoievski, dont il préfère Grouchenka, puis <strong>de</strong> Stendhal et <strong>de</strong><br />

La Chartreuse <strong>de</strong> Parme - il parle <strong>de</strong> Fourest dont il lit un passage, puis <strong>de</strong> L.F. Céline - il parle<br />

<strong>de</strong> Dante et <strong>de</strong> La Divine comédie<br />

- un best-seller <strong>de</strong>s années 20 : La Garçonne <strong>de</strong> Victor Margueritte<br />

--- Jean-Louis Bory parle <strong>de</strong> Victor Margueritte, et du scandale qui a provoqué la parution <strong>de</strong> son ouvrage –<br />

--- Paul Poiret, le couturier - <strong>de</strong>s illustrations <strong>de</strong> mo<strong>de</strong> : 1900-1922 mo<strong>de</strong>rnes – Victor Margueritte dans la<br />

"Garçonne" peint la société issue <strong>de</strong> la guerre - évolution <strong>de</strong> la condition <strong>de</strong> la femme : entre « Bovarysme » et<br />

« Beauvoirisme », (Simone <strong>de</strong> Beauvoir), la garçonne a fait le pont<br />

- le policier <strong>de</strong> poche : avec Albert Simonin<br />

--- Sur une île déserte, il emporterait Splen<strong>de</strong>ur et misère <strong>de</strong>s courtisanes <strong>de</strong> Balzac, puis <strong>de</strong>s Simenon, et toute l'oeuvre<br />

<strong>de</strong> Pierre Very dont surtout : Monsieur Marcel <strong>de</strong>s Pompes Funèbres, il le raconte - travelling dans les salles d'une gare<br />

déserte<br />

- les livres du mois :<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />

Françaises (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 14/09/1966<br />

Durée : 00 h 35 min 45 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

141


Titre propre<br />

Jean Renoir, le patron : <strong>de</strong>uxième partie, portrait <strong>de</strong> Jean Renoir par Michel Simon<br />

Titre collection<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />

Participant : Jean Renoir, Michel Simon<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/01/1967<br />

Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

142


Titre propre<br />

Jean Renoir, le patron (1) : la recherche du relatif<br />

Titre collection<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />

Participant : Jean Renoir, Pierre Braunberger, Charles Blavette, Catherine Rouvel<br />

Résumé<br />

Première partie d'un film <strong>de</strong> Jacques Rivette consacré à Jean Renoir , intitulé Jean Renoir, le patron, tourné au<br />

printemps 1966. De nombreux extraits <strong>de</strong> films jalonnent cet entretien où Renoir s'explique sur son art <strong>de</strong><br />

cinéaste. Extraits <strong>de</strong>s films suivants :<br />

Toni, Nana,La Chienne, Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange, La Partie <strong>de</strong> campagne, Un déjeuner sur l'herbe, Les Bas-fonds, La Bête<br />

humaine.<br />

- Long extrait <strong>de</strong> Toni.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Nana : dans le rôle <strong>de</strong> Nana, Catherine Hessling - interview <strong>de</strong> Pierre Braunberger, ami <strong>de</strong> Renoir et<br />

producteur du film - Jean Renoir parle du culte du film américain qu'ils avaient au moment <strong>de</strong> Nana et parle du<br />

cinéma français à cette époque, plutôt médiocre et qui se voulait « artistique » (mot que Renoir haïssait), et<br />

auquel il rêvait d'insuffler quelque chose du cinéma américain- autre extrait - Jean Renoir dit qu'il en vient à<br />

penser que le motif principal d'un film importe peu ; qu'il suffit d'un cadre à l'intérieur duquel on peut être libre<br />

et innover.<br />

- Extrait du film La Chienne avec Michel Simon (cinéma parlant) - Jean Renoir : avec ce film il espérait dépasser<br />

les Américains grâce à Michel Simon- la voix <strong>de</strong> Michel Simon a été le moteur du film - parle <strong>de</strong>s voix et <strong>de</strong><br />

l'intonation - parle <strong>de</strong> l'emploi du plan long : croit que lorsqu'un comédien est parti, il ne faut pas qu'il soit<br />

interrompu pour <strong>de</strong>s raisons techniques; parle <strong>de</strong> l'influence <strong>de</strong>s débuts du cinéma parlant, sans mixageut il était<br />

influencé par le début du parlant, sans mixage.<br />

- Extraits <strong>de</strong> Toni avec Charles Blavette - interview <strong>de</strong> Charles Blavette sur son rôle - interview <strong>de</strong> Pierre Gaut,<br />

producteur <strong>de</strong> Toni, <strong>de</strong> Renoir et <strong>de</strong> sa femme et <strong>de</strong> Blavette, réunis dans un jardin à Cologne<br />

- Extraits du film Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange avec Jules Berry et René Lefèvre - Jean Renoir parle du décor du film,<br />

qui leur a donné quelques difficultés ; difficultés nécessaires pour l'inspiration - ce que représente pour lui la<br />

technique.<br />

- Extraits <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne avec Jeanne Marken et Sylvia Bataille : assis au bord <strong>de</strong> l'eau, au bord <strong>de</strong> la<br />

Marne, Renoir fait la comparaison entre la peinture et le cinéma : le peintre est privilégié à cause d'une certaine<br />

pauvreté <strong>de</strong> moyens (techniques) ; il est appelé à creuser plus profondément. La profusion, la magnificence <strong>de</strong>s<br />

moyens techniques au cinéma, peuvent être un handicap.<br />

- Extraits du Déjeuner sur l'herbe avec Catherine Rouvel : Jean Renoir et Catherine Rouvel évoquent leur rencontre<br />

à la Cinémathèque <strong>de</strong> la rue d'Ulm et le tournage, avec un système <strong>de</strong> marques ausol - Renoir en est tout à fait<br />

revenu.<br />

- Extraits <strong>de</strong>s Bas-Fonds avec Vladimir Sokoloff, Louis Jouvet, Jean Gabin - Jean Renoir parle <strong>de</strong> l'ennui <strong>de</strong> la<br />

société mo<strong>de</strong>rne, <strong>de</strong> la solitu<strong>de</strong><br />

- Extraits <strong>de</strong> La Bête humaine avec Simone Simon, Jean Gabin, Fernand Ledoux et Julien Carette.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 18/01/1967<br />

Durée : 01 h 34 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

143


Titre propre<br />

Jean Renoir, le patron (3) : la règle et l’exception<br />

Titre collection<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />

Participant : Jean Renoir, Marcel Dalio<br />

Résumé<br />

La Régle et l'exception est le titre <strong>de</strong> la troisième partie d'un film <strong>de</strong> Jacques Rivette sur Jean Renoir - intitulé Jean<br />

Renoir, le patron - dans laquelle Renoir s'explique sur son art en analysant <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> La Règle du jeu ;<br />

il revient aussi sur son film La Marseillaise dont on voit aussi <strong>de</strong>s extraits.<br />

- Plans du château <strong>de</strong> la Ferté Saint Aubin où Renoir a tourné La Règle du jeu. En off, Renoir parle <strong>de</strong><br />

l'importance du moment où il a tourné ce film (en 1939) ; moment où il était « troublé par l'état d'esprit d'une partie <strong>de</strong><br />

la société française, anglaise et mondiale ». Il a justement préféré ne pas parler <strong>de</strong> la situation et raconter une histoire<br />

légère (s'inspirer <strong>de</strong> Beaumarchais), pour mieux faire ressortir cet état d'esprit.<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu / c'est la perception d'une idée « générale » qui pousse Renoir à réaliser un film ; et<br />

c'est souvent une petite idée d'intrigue (secondaire) qui va véhiculer cette idée générale<br />

- Extrait du film / pour Renoir , il n'y a pas vraiment <strong>de</strong> centre dans ce film, il s'agit plutôt un ensemble<br />

particulier<br />

- Extrait / Renoir parle avec Marcel Dalio qui jouait le rôle du Marquis <strong>de</strong> la Cheyniest, « un personnage flui<strong>de</strong> qui<br />

ne sait pas très bien ce qu'il veut... un personnage sans but, donc intéressant... ce qui est mortel à notre époque, c'est <strong>de</strong> suivre un<br />

plan ».<br />

- Autres extraits du film / Renoir interviewé par Rivette parle <strong>de</strong>s personnages, <strong>de</strong> celui <strong>de</strong> Christine en<br />

particulier. Parle du plan avec la lorgnette (pendant la chasse) à partir duquel le film « avance ». Parle <strong>de</strong> hasard<br />

et d'improvisation, <strong>de</strong> société sentimentale qui ferme les yeux sur le mon<strong>de</strong> qui les entoure. Il dit que son ambtion<br />

pour ce film était d'illustrer cette phrase « Nous dansons sur un volcan »...<br />

- Extrait (la mort <strong>de</strong> Jurieux) / Renoir explique que toute la scène <strong>de</strong> la chasse prépare le "sacrifice" <strong>de</strong> cet<br />

homme innocent dans un mon<strong>de</strong> romantique et pourri. « Le mon<strong>de</strong> ancien, et le mon<strong>de</strong> mo<strong>de</strong>rne, encore plus, tue, dans<br />

l'espoir que le mon<strong>de</strong> pourra continuer tel qu'il est »<br />

- Extrait <strong>de</strong> la chasse (tirs <strong>de</strong> lapins)<br />

-Renoir à propos <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Louis XVI dans son film La Marseillaise (1937), ce qu'elle symbolise / extrait du<br />

film / les personnages <strong>de</strong> Louis XVI et <strong>de</strong> Marie-Antoinette sont « décalés »<br />

- Autre extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu / Renoir dit qu'il croit à la fatalité ; les hommes ni bons ni mauvais, jouets <strong>de</strong> la<br />

<strong>de</strong>stinée. On ne peut, malgré tout, rester simple témoin <strong>de</strong>s évènements et il faut s'engager ; ce qu'il a fait, à sa<br />

manière à lui, à travers les personnages <strong>de</strong> ses films<br />

- Autres extraits <strong>de</strong> La Marseillaise / pour Renoir l'environnement est primordial : c'est ce qu'il voit autour <strong>de</strong> lui<br />

qui détermine ses réactions<br />

- Coupures <strong>de</strong> journaux parlant <strong>de</strong>s nouveaux projets <strong>de</strong> Renoir (cf Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir, son <strong>de</strong>rnier film) :<br />

Renoir explique ce qu'il entend par révolution, ce qu'il pense <strong>de</strong>s révolutions / autres coupures <strong>de</strong> jounaux (1966)<br />

à propos du « renvoi <strong>de</strong> Renoir aux Etats Unis »<br />

- Autre extrait <strong>de</strong> La Marseillaise sur le thème <strong>de</strong> la révolution et <strong>de</strong> la liberté.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/02/1967<br />

Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

144


Titre propre<br />

Yves Montand<br />

Titre collection<br />

Septième art, septième case<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant : Dominique Rabourdin (candidat) ; Réalisateur : Pierre Maho ;<br />

Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

- Monsieur Dominique Rabourdin, Monsieur Patureau<br />

- Extraits <strong>de</strong>s films :<br />

--- Le Déjeuner sur l'herbe <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Les Portes <strong>de</strong> la nuit <strong>de</strong> Marcel Carné<br />

- Yves Montand parle <strong>de</strong> son <strong>de</strong>rnier film Grand prix, <strong>de</strong> John Frankenheimer - il pose une question à Monsieur<br />

Patureau, qui gagne - nouveau concurrent : Monsieur Dufour, ajusteur<br />

- Extrait du film : Eclairage intime d’Ivan Passer.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/03/1967<br />

Durée : 00 h 31 min 30 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

145


Titre propre<br />

Gilbert bécaud ou Mosieur 100 000 volts<br />

Titre collection<br />

Le temps <strong>de</strong>s chansons<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Pierre Tchernia, Jacques Audollent ; Producteur : René Rouzaud<br />

Résumé<br />

5eme époque 1953-1954 :<br />

- Jacques Verriers chante Mon pote <strong>de</strong> gitan<br />

- Gloria Lasso Dolorès<br />

- Dario Moreno Oh que Mambo<br />

- Francis Lemarque : Toi tu ne ressembles à personne<br />

- Edith Piaf L'Accordéoniste<br />

- Propos <strong>de</strong> Frédéric Pottecher et Lucien Barnier<br />

- Mouloudji chante Un jour tu verras<br />

- Cora Vaucaire chante La Complainte <strong>de</strong> la Butte<br />

- Docteur Schweitzer, prix Nobel <strong>de</strong> la paix<br />

- Jacques Thibaut, violoniste, durant un concert, interprète une Danse espagnole <strong>de</strong> Granadas<br />

- Chez Dior, défilé <strong>de</strong> mannequins (en voix off Tire tire l'aiguille par Léo Marjane)<br />

- Françoise Sagan (banc titre)<br />

- Séquences <strong>de</strong> la guerre d'Indochine<br />

- Colette, l'écrivain, parle avec Jean Cocteau<br />

- Philippe Clay chante le Danseur <strong>de</strong> Charleston<br />

- Nicole Louvier Toile d'araignée<br />

- Poiret et Serrault - sketch - le prix littéraire<br />

- Extrait du film French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Gilbert Bécaud chante Viens danser, L'Orange.<br />

Informations <strong>de</strong> production : Producteurs<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 25/03/1967<br />

Durée : 00 h 47 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

146


Titre propre<br />

Edouard Molinaro<br />

Titre collection<br />

Septième art, septième case<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Pierre Maho ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

- Deux concurrents : monsieur Patureau, Monsieur Stéveno<br />

- Deuxième manche : trois cases à 0 pour Monsieur Patureau<br />

- Extraits <strong>de</strong> films :<br />

--- Les Anges aux figures sales <strong>de</strong> Michael Curtiz<br />

--- Paris au mois d'août <strong>de</strong> Pierre Granier-Deferre<br />

--- Le Vol du rapi<strong>de</strong><br />

--- Le Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- L'invité du jour : Edouard Molinaro<br />

- Arsenic et vieilles <strong>de</strong>ntelles <strong>de</strong> Frank Capra<br />

- Ca<strong>de</strong>t Rousselle d’André Hunebelle<br />

- Monsieur Stéveno gagne la <strong>de</strong>uxième manche.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/04/1967<br />

Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

147


Titre propre<br />

Les Bas-fonds : Débat<br />

Titre collection<br />

Thèmes et variations du cinéma<br />

Notes du titre<br />

Les Bas-fonds <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Pierre Chartie ; Producteur : Armand Panigel ; Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant :<br />

Armand Panigel, Sacha Pitoeff, André Barsacq, Pierre Debauche<br />

Résumé<br />

En prélu<strong>de</strong> à une émission consacrée aux adaptations théâtrales et cinématographiques <strong>de</strong>s<br />

oeuvres littéraires Russes, Pierre Tchernia présente une interview <strong>de</strong> Jean Renoir faisant<br />

partie d'une série d'entretiens réalisés pour la télévision dans lesquels Jean Renoir parle <strong>de</strong> ses<br />

principaux films. Jean Renoir parle ici <strong>de</strong> la genèse, du tournage <strong>de</strong> son film Les Bas-fonds,<br />

adapté d'une pièce <strong>de</strong> Gorki. Après diffusion <strong>de</strong> ce document, Armand Panigel anime un débat<br />

autour <strong>de</strong> cette adaptation <strong>de</strong> l'oeuvre <strong>de</strong> Gorki. Participent au débat : Sacha Pitoeff, André<br />

Barsacq, metteurs en scène <strong>de</strong> théâtre, Pierre Debauche, metteur en scène, M. Kazinski,<br />

conseiller culturel à l'ambassa<strong>de</strong> soviétique.<br />

Les invités discutent ensuite <strong>de</strong> diverses adaptations théâtrales d'oeuvres littéraires russes (photos <strong>de</strong> décors,<br />

extraits <strong>de</strong> pièces <strong>de</strong> théâtre) puis <strong>de</strong> diverses adaptations cinématographiques d'oeuvres littéraires russes (extraits<br />

<strong>de</strong> film comme Crimes et châtiments <strong>de</strong> Georges Lampin avec Jean Gabin, Le Joueur <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara avec<br />

Gérard Philippe...)<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 25/09/1967<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

148


Titre propre<br />

Jacques Becker<br />

Titre collection<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Brigitte Auber, Nicole Courcel, Clau<strong>de</strong> Dauphin, Daniel Gelin, Jose Giovanni, Françoise Giroud,<br />

Clau<strong>de</strong> Luter, Micheline Presle, Maurice Ronet, Simone Signoret, François Truffaut, Lino Ventura, Anne<br />

Vernon ; Réalisateur : Clau<strong>de</strong> <strong>de</strong> Givray ; Producteur : Jeanine Bazin, André Sylvain Labarthe<br />

Résumé<br />

- Témoignages sur Jacques Becker (1906-1960) par : Brigitte Auber, Nicole Courcel, Clau<strong>de</strong> Dauphin, Daniel<br />

Gélin, José Giovanni, Françoise Giroud, Maurice griffe, Clau<strong>de</strong> Luter, Raymond Meunier, Marc Michel,<br />

Micheline Presle, Marguerite Renoir , Maurice Ronet, Simone Signoret, Albert Simonin, François Truffaut,<br />

Lino Ventura, Anne Vernon<br />

- Emission découpée en <strong>de</strong>ux parties :<br />

--- 1°) - Paris 1925 une génération d'après-guerre<br />

--- 2°) - Paris 1946, une nouvelle génération d'après guerre<br />

- Extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong> Jean Renoir où Becker interprète un rôle :<br />

--- Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (1932)<br />

--- La Gran<strong>de</strong> illusion (1937)<br />

- Extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong> Jacques Becker :<br />

--- Goupi mains rouges<br />

--- Ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> juillet<br />

--- Edouard et Caroline<br />

--- Casque d'or<br />

--- Touchez pas au grisbi<br />

--- Le Trou.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/11/1967<br />

Durée : 01 h 15 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

149


Louis Lumière<br />

d’Eric Rohmer, 1968, 20 mn, présentation avec Henri Langlois et Jean Renoir sur les qualités <strong>de</strong> metteur en<br />

scène, émission rediffusée sur TF1 pour le cinquantenaire <strong>de</strong> la Cinémathèque Française.<br />

Titre propre<br />

Auguste Renoir<br />

Titre collection<br />

Les bonnes adresses du passé<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Roland Bernard<br />

Résumé<br />

- C'est à Cagnes dans la propriété « Les Colettes » où a vécu une partie <strong>de</strong> sa vie et où est mort Auguste Renoir,<br />

que seront évoquées la vie et l'oeuvre du peintre<br />

- Né à Limoges, en 1841, il travaille d'abord comme décorateur <strong>de</strong> porcelaine et d'éventails - en 1862, il se lie<br />

avec Monet, Sisley et Bazille - portraits <strong>de</strong> Sisley, Bazille, Monet, peintures d’Eugène Delacroix<br />

- Henri Peruchot, historiographe <strong>de</strong>s peintres (décédé aujourd'hui) parle Auguste Renoir et <strong>de</strong>s Impressionnistes -<br />

tableaux : le déjeuner sur l'herbe, Olympia - portraits <strong>de</strong> Pissaro, Manet - divers portraits faits par Auguste Renoir -<br />

tableaux : La Loge, Le Bal du moulin <strong>de</strong> la Galette, Impressions au soleil levant et d'autres - le modèle préféré d’Auguste<br />

Renoir : sa femme - divers portraits d'elle et <strong>de</strong> ses trois fils ainsi que Gabrielle, un <strong>de</strong>s modèles qui revient le plus<br />

souvent sur ses toiles<br />

- Cagnes-sur-Mer : la plage, le village - Hôtel Savournin où il séjourne - Cros <strong>de</strong> Cagnes - la chapelle Notre-Dame<br />

<strong>de</strong> la Protection - Les Baigneuses - portraits d’Auguste Renoir<br />

- Clau<strong>de</strong> Renoir , dit « Coco », le <strong>de</strong>rnier enfant d’Auguste Renoir, est interviewé dans son atelier <strong>de</strong> céramique -<br />

portraits <strong>de</strong> « Coco », enfant - la végétation luxuriante méditerranéenne - les fleurs, les arbres - long plan - extrait<br />

d'un vieux film où l'on voit Auguste Renoir sur son fauteuil roulant - interview <strong>de</strong> Ma<strong>de</strong>leine Bruno qui fut,<br />

pendant 20 ans, un <strong>de</strong>s modèles préférés d’Auguste Renoir - Travelling à l'intérieur <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong>s "Colettes" -<br />

interview <strong>de</strong> Richard Guino, sculpteur, qui travailla avec Auguste Renoir aux « Colettes » - les oeuvres <strong>de</strong><br />

Richard Guino – Pierre Renoir dans un <strong>de</strong> ses films - extrait <strong>de</strong> films - interview <strong>de</strong> Jean Renoir , cinéaste -<br />

Le Bouquet <strong>de</strong> roses, tableau qu'il peint à la mort <strong>de</strong> sa femme Aline - le soleil dans les arbres.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/01/1968<br />

Durée : 00 h 50 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

150


Titre propre<br />

Le général Boulanger<br />

Titre collection<br />

Les dossiers <strong>de</strong> l’écran<br />

Notes du titre<br />

Eléna et les hommes <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Producteur : Armand Jammot<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/02/1968<br />

Durée : 01 h 14 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

151


Titre propre<br />

Adapter Emile Zola<br />

Titre collection<br />

Thèmes et variations du cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Pierre Chartier ; Producteur : Armand Panigel ; Présentateur : Armand Panigel ; Participant :<br />

Jean Renoir, Henri Mitterrand, Jean Collet, Pierre Bost<br />

Résumé<br />

Armand Panigel a réuni Henri Mitterrand, universitaire, spécialiste <strong>de</strong> Zola, Jean Collet et Pierre Bost, critiques<br />

<strong>de</strong> cinéma, pour parler <strong>de</strong> l'adaptation au cinéma <strong>de</strong>s romans <strong>de</strong> Zola.Les films analysés sont La Bête<br />

humaine <strong>de</strong> Jean Renoir, Désirs humains <strong>de</strong> Fritz Lang et plus succintement, Gervaise <strong>de</strong> René Clément.<br />

- L'émission commence par un entretien avec Renoir sur La Bête humaine : il parle <strong>de</strong> Jean<br />

Gabin et <strong>de</strong> Julien Carette, « <strong>de</strong> merveilleux collaborateurs », (photos et extraits du film). Il<br />

évoque aussi son film Nana, également adapté <strong>de</strong> Zola (interview off <strong>de</strong> Renoir sur banc-titres<br />

du film) et <strong>de</strong> Madame Bovary, adapté <strong>de</strong> Flaubert (photos).<br />

- Après l'entretien avec Renoir, les critiques, réunis dans une salle projection, discutent <strong>de</strong> cette<br />

adaptation par Jean Renoir, la comparant ensuite à celle <strong>de</strong> Fritz Lang : nombreux extraits du<br />

film <strong>de</strong> Fritz lang, Désirs humains réalisé en 1954 en hommage au film <strong>de</strong> Renoir ; mise en<br />

parallèle d'extraits <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux films.<br />

- L'émission se poursuit avec les différentes adaptations <strong>de</strong> L'Assommoir : affiche <strong>de</strong> Toulouse Lautrec, différentes<br />

versions cinématographiques du roman (banc-titres) et enfin, extrait du film <strong>de</strong> René Clément, Gervaise (1956).<br />

- L'émission se temine par la présentation <strong>de</strong> photographies <strong>de</strong> Paris prises par Zola lui-même.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 29/04/1968<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

152


Titre propre<br />

Eo Joannon<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Pierre Maho ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

- Monsieur Sarda qui joue pour 3 000 francs - Monsieur Viseux<br />

- Extrait du film <strong>de</strong> Stanley Kubrick : Docteur Folamour<br />

- Extrait du film <strong>de</strong> Clive Donner : Quoi <strong>de</strong> neuf Pussy Cat<br />

- Questions musicales : grands thèmes <strong>de</strong> films<br />

- Extrait <strong>de</strong> David et Lisa <strong>de</strong> Frank Perry<br />

- Extrait <strong>de</strong>s Bas-fonds <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 29/07/1968<br />

Durée : 00 h 35 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

153


Titre propre<br />

Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

L’invité du dimanche<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : , Jean-Charles Lagneau, Roger Kahane ; Producteur : Jean Chouquet ; Interprète : Cora Vaucaire,<br />

Michel Simon, Guy Bedos, Marguerite Cassan, Frères Jacques, Georges Van Parys, Hubert Degex ; Participant :<br />

Jean Renoir, Clau<strong>de</strong> Chabrol, Raymond Souplex, Françoise Arnoul, Paul Meurisse, Leslie Caron, Simone<br />

Signoret, Cora Vaucaire, Michel Simon, Guy Bedos, Hélène Tournaire, Marcel Dalio<br />

Résumé<br />

- Générique <strong>de</strong> début sur différents numéros <strong>de</strong> music hall, avec Ulk et Maor, Les Bramton's, Bob Cary, et<br />

Gasty.<br />

- La comédienne Marguerite Cassan présente le sommaire <strong>de</strong> l'émission<br />

- Bertrand Jérôme s'entretient avec le cinéaste Clau<strong>de</strong> Chabrol. Il rend hommage à Jean Renoir , qui a été son<br />

« père spirituel » comme pour la plupart <strong>de</strong>s réalisateurs <strong>de</strong> sa génération. Il a compris en voyant les films <strong>de</strong><br />

Renoir que c'est quelqu'un qu'il aimerait. Il cite <strong>de</strong> nombreux films du réalisateur.<br />

- Arrivée <strong>de</strong> Jean Renoir sur le plateau. Il pense que les conditions <strong>de</strong> tournage actuelles n'ont probablement pas<br />

évoluées <strong>de</strong>puis ses premiers films, mais, citant le philosophe Herbert Marcuse, il explique que le public a changé<br />

: il est <strong>de</strong>venu bourgeois. Il parle <strong>de</strong> la réalité intérieure du comédien, et donne l'exemple <strong>de</strong> Charlie Chaplin.<br />

- En compagnie <strong>de</strong> Jean Renoir et Georges Van Parys, Cora Vaucaire explique que la chanson La Complainte <strong>de</strong> la<br />

butte écrite par Jean Renoir sur une musique <strong>de</strong> Georges Van Parys pour le film French cancan, lui a permis <strong>de</strong> se<br />

défaire <strong>de</strong> l'image <strong>de</strong> chanteuse « intellectuelle » . Jean Renoir explique pourquoi il a intitulé ce film « comédie<br />

musicale », et parle <strong>de</strong> l'importance <strong>de</strong> la musique.<br />

- De retour sur le plateau (le film French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir vient d'être diffusé), Jean Renoir s'entretient avec la<br />

comédienne principale du film Françoise Arnoul. Ils évoquent le tournage, les comédiens et le succès du film. Il<br />

parle d'un autre <strong>de</strong> ses films La Règle du jeu, qui correspondait à son envie <strong>de</strong> faire du "classissisme".<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Marcel Dalio, interprète <strong>de</strong> La Règle du jeu, plaisante avec Jean Renoir sur leur façon <strong>de</strong> jouer la comédie (le<br />

réalisteur tient un rôle dans ce film). Jean Renoir parle <strong>de</strong> son frère Pierre, comédien <strong>de</strong> théâtre. Puis les <strong>de</strong>ux<br />

hommes évoquent Gaston Modot, qui joue le gar<strong>de</strong> chasse dans ce film, et commença sa carrière dans les films<br />

muets. Marcel Dalio raconte une anecdote à propos <strong>de</strong> Pierre Brasseur.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

-Jean Renoir et Michel Simon évoquent en plaisantant <strong>de</strong>s souvenirs du tournage <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux. Ils<br />

chantonnent ensemble Les Fleurs du jardin, et Sur les bords <strong>de</strong> la Riviera que Michel Simon fredonne dans le film.<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Arrivée <strong>de</strong> Paul Meurisse sur le plateau. Jean Renoir évoque avec lui la pièce <strong>de</strong> théâtre Jules César <strong>de</strong> William<br />

Shakespeare qu'ils avaient donnée dans les arènes d'Arles en 1954. Il raconte dans quelles conditions il a mis en<br />

scène cette pièce.<br />

- Diffusion <strong>de</strong> La Revanche <strong>de</strong>s images, <strong>de</strong>ssin animé chinois <strong>de</strong> Wan Lai Wing<br />

- Ils sont rejoints par Leslie Caron, avec laquelle Jean Renoir et Paul Meurisse évoquent la pièce <strong>de</strong> théâtre Orvet<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, qu'ils joué à Paris en 1955. Jean Renoir raconte un épiso<strong>de</strong> dramatique <strong>de</strong> sa vie où il a été<br />

secouru par <strong>de</strong>s braconniers, qui fut à l'origine du texte Orvet.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Le Déjeuner sur l'herbe <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

-Jean Renoir, Paul Meurisse et Leslie caron évoquent le tournage <strong>de</strong> Le Déjeuner sur l'herbe. Paul Meurisse parle <strong>de</strong><br />

l'émotion qu'il a ressentie à tourner dans la maison d'Auguste Renoir .Jean Renoir parle du livre qu'il a écrit sur<br />

son père : il raconte dans quelles circonstances son père lui a parlé <strong>de</strong> sa jeunesse, et s'est servi <strong>de</strong> ses souvenirs<br />

pour ce livre. Il parle <strong>de</strong> son rapport à la peinture <strong>de</strong> son père, puis <strong>de</strong>s différentes pério<strong>de</strong>s du peintre. Ses<br />

propos sont illustrés par <strong>de</strong>s peintures d'Auguste Renoir , et quelques images filmées du peintre.<br />

- L'écrivain journaliste Hélène Tournaire a rejoint son ami Jean Renoir sur le plateau. Ils parlent <strong>de</strong>s repas qu'ils<br />

font ensemble. Jean Renoir estime qu'il n'y a pas <strong>de</strong> hiérarchie dans l'art. Hélène Tournaire fait parler Jean<br />

Renoir sur une table qui se trouve dans sa cuisine, puis sur la Provence, sa maison en Californie, et sur l'écrivain<br />

Henri Miller.<br />

- Arrivée <strong>de</strong> Guy Bedos sur le plateau.<br />

Séquences<br />

- Interview enregistré <strong>de</strong> la comédienne Simone Signoret, par José Atur. Elle explique qu'elle n'a jamais travaillé<br />

avec Jean Renoir . Elle l'a rencontrée pendant qu'il tournait French cancan. Elle parle du film Le Crime <strong>de</strong> Monsieur<br />

Lange, qu'elle a vu pendant l'occupation. Elle rend hommage au style <strong>de</strong> Jean Renoir , qui filme avec son coeur.<br />

- Reportage chez Jean Renoir, dans sa maison <strong>de</strong> l'avenue Frochot près <strong>de</strong> la place Pigalle à Paris. Il se promène<br />

dans son quartier qu'il décrit à Pénélope, une journaliste américaine, et évoque la vie <strong>de</strong> son père dans ces lieux.<br />

154


Puis interview chez lui, où il compare le quartier <strong>de</strong> Montmartre à l'In<strong>de</strong> : « c'est un pays <strong>de</strong> castes », <strong>de</strong> nombreuses<br />

professions s'y cotoient sans se mélanger. Il explique avoir tourné French cancan en pensant au quartier à l'époque<br />

<strong>de</strong> son père. Ses propos sont illustrés par <strong>de</strong>s images <strong>de</strong> Pigalle.<br />

- Entretien enregistré avec Jean Renoir et Madame Paul Valéry, dans la maison <strong>de</strong> cette <strong>de</strong>rnière au 40 rue Paul<br />

Valéry, où Auguste Renoir se rendait régulièrement. Elle parle <strong>de</strong>s réunions qui se tenaient chez elle<br />

régulièrement, auquelles participaient Auguste Renoir , Mallarmé, Rodin, Degas,... Elle raconte une anectote<br />

avec Edgar Degas venu prendre <strong>de</strong>s photos dans la maison.<br />

- Depuis le théâtre Fontaine à Paris, les Frères Jacques chantent pour Jean Renoir une chanson dédiée à leurs<br />

amis communs Jacques Prévert et Joseph Cosma : Deux escargots s'en vont à l'enterrement.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 27/10/1968<br />

Durée : 02 h 30 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

155


Titre propre<br />

Le directeur <strong>de</strong> la photo<br />

Titre collection<br />

Micros et caméras<br />

Générique et auteurs<br />

Producteur : Locquin<br />

Résumé<br />

- Spectateurs interviewés dans la rue : savent-ils ce qu'est un directeur <strong>de</strong> la photo au cinéma ou à la télévision<br />

–vue en plongée d'un tournage en studio - vue en plongée d'un tournage en extérieur - plateau avec acteurs<br />

- Monsieur Maurice Barry, ancien directeur <strong>de</strong> la photo au cinéma - 200 films environ, et<br />

actuellement responsable <strong>de</strong>s directeurs <strong>de</strong> la photo à la télévision, nous parle <strong>de</strong> ce métier en<br />

l'illustant d'exemples, avec la collaboration <strong>de</strong> Jacques Lemare, opérateur <strong>de</strong> certains films, <strong>de</strong><br />

Renoir et René Clair : le directeur <strong>de</strong> la photo est responsable technique <strong>de</strong> la qualité <strong>de</strong> l'image – plan d’un<br />

peintre prenant un modèle en photo dans son atelier - tête du modèle montré successivement avec mauvais et<br />

bon éclairage : les yeux qui étaient dans l'ombre <strong>de</strong>viennent expressifs avec même caméra, même objectif - plan<br />

<strong>de</strong> tournage vu trop éclairé puis avec éclairage à effets - exemples <strong>de</strong> scènes où tous les détails doivent se voir tout<br />

en étant uniformes : salle <strong>de</strong> tribunal, scène <strong>de</strong> guerre se déroulant la nuit, plan <strong>de</strong> foule arrivant en dansant - en<br />

règle générale, dans les séquences <strong>de</strong> variétés, les éclairages sont imposés par la mise en valeur d'un comédien, <strong>de</strong><br />

la chorégraphie ou d'un chanteur, doivent accuser la présence et la vraissemblance - dans certaines dramatiques,<br />

le réalisateur <strong>de</strong>man<strong>de</strong> que l'éclairage accentue le style par <strong>de</strong>s effets comme un tableau <strong>de</strong> peintre : exemples –<br />

gros plan visage <strong>de</strong> Rembrandt dont on voit surtout les yeux<br />

- Tableau <strong>de</strong> la Mise au tombeau <strong>de</strong> Andréa Mantegna - tableau du Christ <strong>de</strong> Salvador dali - El tres <strong>de</strong> Hayo <strong>de</strong><br />

Francisco Goya (noter que pour effet dramatique, le dos <strong>de</strong>s soldats n'est pas éclairé) - en photo, la lumière est<br />

indissociable du cadrage, comme dans un tableau - tableau <strong>de</strong> La Visitation <strong>de</strong> Georges <strong>de</strong> la Tour - tablau <strong>de</strong> La<br />

Vierge à l'Enfant <strong>de</strong> Georges <strong>de</strong> la Tour - tableau <strong>de</strong> Saint-Joseph Charpentier (source lumineuse cadrée par la bougie)<br />

- principes mis en valeur dans : Prince et Mendiant, réalisation <strong>de</strong> Jean-Paul Carrère avec Roger Dormoy comme<br />

directeur <strong>de</strong> la photo (grand prix Italia dont nous voyons <strong>de</strong>s extraits) - Reine morte, réalisation <strong>de</strong> Roger Iglesis,<br />

avec comme directeur <strong>de</strong> la photo Roger Dormoy (dialogue opposant Dona Inès à l'Infante tourné en studio -<br />

extraits<br />

- Y-a-t-il une Ecole <strong>de</strong> style photo comme la peinture ? - certains directeurs <strong>de</strong> la photo ont marqué l'art<br />

cinématographique par leur style : dans Citizen Kane, Roger Hubert dans Les Enfants du Paradis et L'Eternel retour<br />

- Métier qui dépend <strong>de</strong>s dési<strong>de</strong>rata du réalisateur et du style, décoration, costumes - l'extrait <strong>de</strong> Ruy Blas <strong>de</strong><br />

Barma qui repose comme atmosphère sur les tableaux <strong>de</strong> Vélasquez illustre cet exemple (décors <strong>de</strong> Maurice<br />

Valey, costumes <strong>de</strong> Varplitch (?)<br />

- Jacques Lemare, directeur <strong>de</strong> la photo <strong>de</strong> certains films <strong>de</strong> Renoir et René Cair, laissait une<br />

gran<strong>de</strong> initiative à l'opérateur du fait que le scénario n'est pas très précis - ce même opérateur nous<br />

présente un extrait du film dont il a fait l'éclairage : Les Chevaliers <strong>de</strong> la maison rouge (scène <strong>de</strong> l'exécution à l'aube<br />

tournée <strong>de</strong> 9 h à 18 h)<br />

- Extraits <strong>de</strong>s Perses <strong>de</strong> Prat (plastique)<br />

- Métier indissociable <strong>de</strong> l'enthousiasme.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 02/12/1968<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

156


Titre propre<br />

D’un Céline à l’autre : 1ere partie<br />

Titre collection<br />

Bibliothèque <strong>de</strong> poche<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Yannick Bellon ; Producteur : Michel Polac<br />

Résumé<br />

Emission <strong>de</strong> Michel Polac, avc la participation <strong>de</strong> Michel Vianey. Dans cette première émission, Michel Polac<br />

procè<strong>de</strong> à la recherche <strong>de</strong> Céline à travers ceux qui l'ont connu et à travers son oeuvre.<br />

- panoramic sur le passage Choiseul à Paris – Michel Polac essaie <strong>de</strong> distribuer <strong>de</strong>s livres <strong>de</strong> Louis-Ferdinand<br />

Céline - sous le passage Choiseul, il interviewe les passants, qui veulent bien s'arrêter, sur Céline - commerçante<br />

interviewée sur Céline enfant - photo <strong>de</strong> Céline enfant - Rigodon, <strong>de</strong>rnier livre <strong>de</strong> Céline<br />

- Interview <strong>de</strong> Michel Simon qui relate les moments passés avec Céline – Pierre Lazareff<br />

interviewe Jean Renoir et Lanza dl Vasto- René Barjavel, raconte les débuts difficiles <strong>de</strong> Céline -<br />

il a ensuite gagné beaucoup d'argent mais a fini par le perdre - photo <strong>de</strong> Céline à l'âge d'homme<br />

- Céline à sa table <strong>de</strong> travail<br />

- Interview du Docteur Villemain qui soigna Céline dans ses <strong>de</strong>rniers jours<br />

- Jacques Perrot dit que Céline donnait l'impression du petit épargnant - photo <strong>de</strong> Céline et sa femme<br />

- Visite à Madame Céline, femme <strong>de</strong> l'Ecrivain - panoramique sur leur maison qui brûla en 1968 - panoramique<br />

sur le perroquet <strong>de</strong> Céline - photo <strong>de</strong> Céline mala<strong>de</strong> et vieilli<br />

- Dominique <strong>de</strong> Roux, écrivain, parle <strong>de</strong> la hantise et <strong>de</strong> la pourriture qu'a toujours ressenti Céline - il a une<br />

admiration folle pour la femme - objet - photos <strong>de</strong> l'enfance <strong>de</strong> Céline<br />

- Marcel Brochard, ami d'enfance, rappelle <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> jeunesse - photo <strong>de</strong> Céline le jour <strong>de</strong> son mariage - il<br />

parle d'Elisabeth Graig qui fut aimée <strong>de</strong> Céline<br />

- Interview <strong>de</strong> Madame Céline Destouches qui raconte comment elle connut son mari - elle parle du procès<br />

qu'elle a eu pour Nord après la mort <strong>de</strong> Céline.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/05/1969<br />

Durée : 00 h 53 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 01 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

157


Titre propre<br />

Luchino Visconti et le festival <strong>de</strong> Cannes<br />

Titre collection<br />

JT 13 h<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Marie-Claire Gautier ; Participant : Luchino Visconti (prési<strong>de</strong>nt du jury)<br />

Résumé<br />

Interview <strong>de</strong> Luchino Visconti, prési<strong>de</strong>nt du jury du Festival <strong>de</strong> Cannes sur un divan - Il répond aux questions<br />

suivantes :<br />

- Luchino Visconti : « Pourquoi n'aurais je pas accepté ? C'est une chose très honorable <strong>de</strong> faire partie du jury <strong>de</strong> Cannes. Je crois à<br />

un festival comme le festival <strong>de</strong> Cannes, je crois aux prix, je crois aux palmares. J'ai accepté avec plaisir ».<br />

- M.C. Gautier (off) : « Est-ce que c'est difficile d'avoir le sens critique et <strong>de</strong> juger <strong>de</strong>s films ?" »<br />

- L Visconti : « Je crois que c'est assez difficile, mais il faut se mettre dans une position un peu particulière, oublier d'être aussi un<br />

réalisateur et voir les choses avec beaucoup d'objectivité et <strong>de</strong> sérénité. Je me rappelle qu'il y a très longtemps, dans<br />

une séance à propos du festival <strong>de</strong> Venise, j'avais proposé que le jury soit composé uniquement<br />

<strong>de</strong> réalisateurs. De pouvoir réunir dans un jury Jean Renoir, Charlie Chaplin et d'autres à ce niveau. Pour un<br />

réalisateur jeune, cela peut être très intéressant <strong>de</strong> se sentir juger par <strong>de</strong>s grands maîtres. Et j'ai toujours la sensation que ce que les<br />

autres font est toujours beaucoup mieux que ce que je fais. C'est pas moi à juger ça, mais ce sera le public, la critique et peut-être le<br />

temps ».<br />

- M.C. gautier : « Si vous n'étiez pas Visconti, quel réalisateur auriez vous aimé être ? »<br />

- Réponse : « Visconti ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/05/1969<br />

Durée : 00 h 02 min 50 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

158


Titre propre<br />

Michel Simon<br />

Titre collection<br />

D’hier et d’aujourd’hui<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : André Pergament ; Producteur : Jacques Bonnecarrère, André Pergament ; Présentateur : Pierre<br />

Tchernia ; Participant : Michel Simon<br />

Résumé<br />

- Pierre Tcehrnia présente cette émission consacrée à Michel Simon - ils évoquent les étapes <strong>de</strong> sa carrière à<br />

travers <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> ces films :<br />

--- Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, <strong>de</strong> Jean Renoir (1932)<br />

--- L'Atalante <strong>de</strong> Jean Vigo (1934)<br />

--- Drôle <strong>de</strong> dame <strong>de</strong> Marcel Carné (1937)<br />

--- Monsieur Taxi d’André Hunebelle (1952)<br />

--- Le Train <strong>de</strong> John Frakenheimer (1963)<br />

--- Le Vieil homme et l'enfant <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Berri (1967)<br />

- Il parle <strong>de</strong> sa carrière, <strong>de</strong>s films qu'il a tourné - il a vu ses films à la télévision, d'un oeil mélancolique car il était<br />

seul - il est plus critique aujourd'hui - il n'a jamais suivi <strong>de</strong> cours d'art dramatique, a débuté comme danseur<br />

acrobatique puis a fait <strong>de</strong>s petits rôles - c'est le public qui l'a poussé, le public l'a aimé dès le premier contact - ce<br />

premier contact est dû à trois petits rôles donnés par Pitoeff dans Hamlet au théâtre – Michel Simon conclut, une<br />

forte émotion dans la voix, sur la gentillesse du public, <strong>de</strong>s gens <strong>de</strong> la rue avec lui - une marchan<strong>de</strong> lui a même<br />

fait <strong>de</strong>s compliments sincères sur sa belle voix.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 18/08/1969<br />

Durée : 00 h 47 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

159


Titre propre<br />

François Truffaut<br />

Titre collection<br />

L’invité du dimanche<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Raoul Sangla, Jean Brard ; Producteur : Eliane Victor ; Présentateur, Pierre Dumaye ; Participant :<br />

Jeanne Moreau, François Truffaut, Jean Renoir, Henri Langlois, Jacques Robert, Roberto Rossellini, Jacques<br />

Becker, Jacques Audiberti, Jacques Blazy, Lucien Malson, Interprète : Jeanne Moreau<br />

Résumé<br />

Pierre Dumayet reçoit sur le plateau <strong>de</strong> L'Invité du dimanche le réalisateur François Truffaut<br />

- François Truffaut parle longuement <strong>de</strong> son amour pour le cinéma (« ...je prefère le reflet <strong>de</strong> la<br />

vie à la vie elle-même »...), du métier <strong>de</strong> metteur en scène, <strong>de</strong> ses propres films, <strong>de</strong> ses amis<br />

réalisateurs (Jean Renoir, Alfred Hitchcock...) et comédiens (Jeanne Moreau)<br />

- Interview enregistrée <strong>de</strong> Jeanne Moreau qui dresse un rapi<strong>de</strong> portrait <strong>de</strong> François Truffaut, parle <strong>de</strong> l'ambiance<br />

joyeuse qui règne sur ses tournages puis évoque le réalisateur Orson Welles<br />

- Interview enregistrée <strong>de</strong> Jean Renoir qui parle <strong>de</strong> son amitié pour François Truffaut, explique<br />

qu'il est né pour faire du cinéma puis parle <strong>de</strong> son petit théâtre, Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Interview enregistrée d'un admirateur anonyme <strong>de</strong> François Truffaut qui raconte qu'il lui a envoyé une lettre<br />

enflammée au moment <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> Jules et Jim, et que Truffaut s'est servi <strong>de</strong> cette lettre pour faire la publicité<br />

du film<br />

- Jeanne Moreau chante La Folle complainte <strong>de</strong> Charles Trenet.<br />

- Extraits du film <strong>de</strong> Fe<strong>de</strong>rico Fellini Huit et <strong>de</strong>mi commentés par François Truffaut<br />

- François Truffaut reçoit ensuite sur le plateau Clau<strong>de</strong> Blazy, candidat incollable du jeu Monsieur Cinéma, qui<br />

raconte son parcours <strong>de</strong> cinéphile<br />

- Henri Langlois, fondateur <strong>de</strong> la cinématèque Française, est ensuite interviewé sur le plateau par Pierre<br />

Dumayet. Il parle notamment <strong>de</strong>s films perdus ou détruits / extrait du film La Petite marchan<strong>de</strong><br />

d'allumettes<br />

- Jacques Robert, également invité par François Truffaut, parle ensuite du cinéma Japonais / extrait d'un film<br />

Japonais<br />

- Un autre invité prestigieux rejoint ensuite la plateau: le réalisateur Italien Roberto Rosselini. François Truffaut<br />

le présente et explique pourquoi il l'a invité (il a été son assistant). Roberto Rosselini explique l'importance <strong>de</strong><br />

faire un cinéma d'information, car les gens sont désorientés.<br />

- François Truffaut accueille ensuite Lucien Malson, auteur d'un livre sur les enfants sauvages. Ils évoquent<br />

ensemble le cas <strong>de</strong> Victor <strong>de</strong> l'Aveyron, dont François Truffaut s'est inspiré pour son film L’Enfant sauvage / extrait<br />

<strong>de</strong> L'Enfant sauvage<br />

- François Truffaut commentent ensuite en off <strong>de</strong>s montages (photos et archives) consacrés à <strong>de</strong>s personnes<br />

disparues qui lui étaient chères : le critique cinématographique André Bazin, le réalisateur Jacques Becker,<br />

l'écrivain Jacques Audiberti et l'actrice Françoise Dorléac<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 26/10/1969<br />

Durée : 02 h 10 min 15 sec<br />

Heure : 16 h 15 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

160


Titre propre<br />

Allez au cinéma : émisssion du 17 novembre 1969<br />

Titre collection<br />

Allez au cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Anne Andre, Pierre Tchernia ; Participant : Jean-Paul Le Chanois,<br />

Jean-Pierre Cassel<br />

Résumé<br />

- Extrait <strong>de</strong> Ben Hur <strong>de</strong> William Wyler<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Vie est à nous <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Interview <strong>de</strong> Jean Paul Le Chanois qui fut à l'origine <strong>de</strong> La Vie est à nous<br />

- Autre extrait <strong>de</strong> La Vie est à nous<br />

- L'invité du jour : Jean Pierre Cassel - interview à propos <strong>de</strong> la pièce <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au Amélie qu'il joue actuellement<br />

- Extrait <strong>de</strong> la comédie musicale anglaise Ah Dieu que la guerre est jolie <strong>de</strong> Richard Attenborough avec Jean Pierre<br />

Cassel.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/11/1969<br />

Durée : 00 h 20 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

161


Titre propre<br />

Dim dam dom : émission du 26 décembre 1969<br />

Titre collection<br />

Dim dam dom<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Rémy Grumbach, Guy Seligmann, Jean Renoir ; Producteur : Daisy <strong>de</strong> Galard<br />

Résumé<br />

- 1) – Christmas Carol / réalisation Rémy Grumbach - scénario Remo Forlani<br />

--- Michèle Mercier et Dani racontent leur histoire - ce sont les nièces d'un milliardaire, Marcel Dalio -<br />

Participent à cette émission :<br />

Antoine (le receveur <strong>de</strong> bus) qui chante Marie<br />

Julien Clerc qui chante Les Chemins mènent à Rome<br />

France Gall qui chante Le Temps <strong>de</strong>s années folles<br />

Leni Escu<strong>de</strong>ro qui conseille aux <strong>de</strong>ux filles d'aller voir Monsieur Ferdinand<br />

Remo Forlani : Monsieur Ferdinand<br />

Michèle Mercier chante Sa robe d'alu en faisant du charme à Monsieur Ferdinand<br />

Serge Gainsbourg qui fume<br />

Ivan Rebroff qui chante Si j'étais riche - se promène la nuit <strong>de</strong>vant les vitrines <strong>de</strong>s grands magasins - il chante Mon<br />

beau sapin en russe<br />

Serge Gainsbourg en voiture en compagnie <strong>de</strong> Michèle Mercier chante L'Anamour<br />

Les Martin Circus<br />

Eric Damain<br />

Gérard Palaprat.<br />

- 2) – La direction d’acteur / réalisation Jean Renoir - production Pierre Braunberger<br />

--- Jean Renoir avec un scénario dirige Gisèle Braunberger - il lui donne <strong>de</strong>s conseils : comment<br />

lire un texte pour la première fois... - puis ils apprennent ensemble un texte et enfin ils le<br />

mettent en images en studio.<br />

- 3) – Ingrid Bergman / réalisation Guy Seligmann - interview par Pierre Bouteiller<br />

--- Extrait <strong>de</strong> film : Stromboli, <strong>de</strong> Robert Rossellini - Ingrid Bergman dit ce qu'elle pense <strong>de</strong> l'âge - extrait : Les<br />

Amants du Capricorne d'Alfred Hitchcock et autres extraits<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 26/12/1969<br />

Durée : 01 h 01 min 40 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

162


Titre propre<br />

Pour le cinéma : émission du 15 mars 1970<br />

Titre collection<br />

Pour le cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Producteur : Robert Chazal, Frédéric Rossif ; Participant : Jean-Pierre Melville, Alain Delon, Yves Montand,<br />

Bourvil<br />

Résumé<br />

--------------- Que sera 1970 pour le cinéma ? ---------------<br />

- Extrait <strong>de</strong> film :<br />

--- 5 + 1 en avant première <strong>de</strong> Guy Job avec Johnny Halliday au Palais <strong>de</strong>s Sports<br />

- Mireille Darc fait part <strong>de</strong> ses projets pour 1970<br />

- Michel Bouquet : interview sur ses projets <strong>de</strong> film<br />

- Extrait <strong>de</strong> film : Les Naufragés <strong>de</strong> l'espace film américain <strong>de</strong> science fiction évoquant <strong>de</strong>s catastrophes<br />

astronautiques <strong>de</strong> John Sturges<br />

- Marlène Jobert : pas <strong>de</strong> projets<br />

- Extrait <strong>de</strong> film : Good bye, Mr Chips, nouvelle version avec Peter O’Toole et Pétula Clarke, <strong>de</strong> Herbert Ross<br />

- Reportage : Tournage du Cercle Rouge <strong>de</strong> Jean-Pierre Melville avec : Alain Delon, Yves Montand, Bourvil,<br />

François Périer...<br />

--- Interview <strong>de</strong> : Alain Delon<br />

--- Interview <strong>de</strong> : Yves montand sur ses projets - tireur d'élite dans le Cercle Rouge<br />

--- Interview <strong>de</strong> : Bourvil, inspecteur <strong>de</strong> police dan le film <strong>de</strong> Melville, parle <strong>de</strong> ses projets avec<br />

Marcel Camus, et <strong>de</strong> la reprise <strong>de</strong> La Chienne <strong>de</strong> Renoir<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/03/1970<br />

Durée : 00 h 50 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

163


Titre propre<br />

Sophie Desmarets<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Pierre Maho, Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland,<br />

Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invitée : Sophie Desmarets-----<br />

- Candidats : Monsieur Merlin (6ème semaine) - Monsieur Philippe Ariotti (1ère semaine)<br />

- Extraits <strong>de</strong> films :<br />

--- La Règle du jeu, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Belles <strong>de</strong> nuit, <strong>de</strong> René Clair<br />

--- Charlot machiniste<br />

--- Drôle <strong>de</strong> drame <strong>de</strong> Marcel Carné<br />

--- French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Vainqueur : Monsieur Ariotti<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/07/1970<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

164


Titre propre<br />

Paul Meurisse ou un cavalier<br />

Titre collection<br />

Tête d’affiche<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jacques Nahum ; Producteur : Jacques Nahum, France Roche ; Participant, Paul Meurisse<br />

Résumé<br />

- Paul Meurisse fait du cinéma d'amateur : il essaie <strong>de</strong> filmer <strong>de</strong>s bourdons sur sa terrasse.<br />

--- Il nous montre son film d'amateur avec sa femme comme ve<strong>de</strong>tte<br />

- Extrait du Monocle qui rit <strong>de</strong> Georges Lautner.<br />

- Avec France Roche sur la terrasse. Il explique pourquoi il parle <strong>de</strong> lui en disant le « big acteur ».<br />

- Qui est-il ? Il se définit comme un cavalier plutôt qu'un cycliste. Il parle du tournage du Monocle, <strong>de</strong> sa façon<br />

d'interpréter le personnage. Extrait du Monocle rit jaune (Lautner).<br />

- Il a été clerc <strong>de</strong> notaire (2 ans). Son rêve d'enfant « être amiral ». Il estime la mer. L'uniforme le séduisait.<br />

Comment il est <strong>de</strong>venu acteur.<br />

- Paul Meurisse a vécu avec Edith Piaf :<br />

--- C'est elle qui a voulu qu'il joue avec elle dans Le Bel indifférent <strong>de</strong> Jean Cocteau (photos).<br />

- Photos avec Edith piaf<br />

- Paul Meurisse parle <strong>de</strong> son passage à la Comédie Française. Il jouait le rôle <strong>de</strong> Brutus dans Jules César <strong>de</strong><br />

Shakespeare en 1954 à Arles (photos) et Jean Meyer l'a fait engager à la Comédie Française. Il l'a quittée à la<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong> d'Anouilh pour jouer L'Hurluberlu, puis La Foire d'empoigne.<br />

- Extrait <strong>de</strong> la pièce La Foire d'empoigne<br />

- Extrait <strong>de</strong> Macadam <strong>de</strong> Marcel Blistène<br />

- Extrait d'un film avec Simone Signoret jeune<br />

- Extrait du Deuxième souffle <strong>de</strong> Jean-Pierre Melville<br />

- Extraits <strong>de</strong> : Henri-Geoges Clouzot<br />

--- La Vérité <strong>de</strong> Henri-Georges Clouzot<br />

--- Don Juan aux enfers.<br />

Il parle <strong>de</strong>s personnages qu'il a interprété dans ces films. Il aurait aimé être Don Juan, avoir un beau physique.<br />

- Interview :<br />

--- Il n'est pas cynique<br />

--- Il est pour le mariage. Il est marié <strong>de</strong>puis 14 ans et a été fiancé 6 ans. Sa définition <strong>de</strong> la fidélité.<br />

- Film d'amateur avec sa femme<br />

- Photos <strong>de</strong> sa femme. Refuse-t- il le romantisme et l'émotion ? Pas du tout.<br />

- Extrait Le Déjeuner sur l'herbe <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Il parle <strong>de</strong> l'amitié - <strong>de</strong> la vengeance<br />

- Photos <strong>de</strong> Paul Meurisse à cheval<br />

- Il a peur <strong>de</strong> la vieillesse<br />

- Il mourra en scène. Il parle <strong>de</strong> son enterrement.<br />

- Extrait Un sale égoïste.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 04/09/1970<br />

Durée : 01 h 02 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

165


Titre propre<br />

Michel Simon<br />

Titre collection<br />

L’invité du dimanche<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Guy Seligmann, Jean-Daniel Pollet (reportage) ; Journaliste : Jacques Grignon Dumoulin ;<br />

Présentateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Interprète : Michel Simon, Wallace Collection ; Participant : Michel<br />

Simon, Lucienne Boyer, Jean Lenoir, Henri Langlois, Robert Le Vigan, Clau<strong>de</strong> Berri, Gérard Brach, Walerian<br />

Borowczyk<br />

Résumé<br />

- Début : gros plan <strong>de</strong> Michel Simon en extérieur. Voix <strong>de</strong> Michel Simon, off : « on vient interviewer <strong>de</strong>s fantomes, ils<br />

ne sont plus là. Le rêve subsiste, mais eux-mêmes, où sont ils ?...il n'y a jamais eu <strong>de</strong> pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> paix, la plupart du temps il y a la<br />

guerre quelque part... J'ai voué une haine à la société, qui s'éteindra avec moi... Les chats <strong>de</strong>vraient enseigner aux êtres humains l'art <strong>de</strong><br />

vivre ».<br />

- Extrait du film Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Plateau : Michel Simon, interrogé par Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, parle du personnage <strong>de</strong> Boudu, et<br />

raconte <strong>de</strong>s anecdotes à ce propos.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Tire-au-flanc, film muet <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Plateau : Henri Langlois rend hommage à Jean Renoir et parle <strong>de</strong>s films qu'il a tourné avec<br />

Michel Simon. Il parle <strong>de</strong> l'accueil du film Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux par la critique.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/10/1970<br />

Durée : 01 h 56 min 45 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

166


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Jean Gabin retrace sa carrière d'acteur<br />

Titre propre<br />

Pour le cinéma : émission du 6 décembre 1970<br />

Titre collection<br />

Pour le cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Pierre Mignot ; Présentateur : Robert Chazal ; Participant : Jean Gabin<br />

Résumé<br />

De nombreuses photos illustrent les propos <strong>de</strong> Jean Gabin interviewé par Robert Chazal.<br />

Jean Gabin parle <strong>de</strong>s films muets qu'il a tourné, <strong>de</strong>s ses débuts avec le parlant dans une opérette Chacun sa chance.<br />

Il parle <strong>de</strong> ses chansons notamment <strong>de</strong> Quand on s'promène au bord <strong>de</strong> l'eau du film La Belle équipe. Parle <strong>de</strong> son<br />

premier grand film La Belle marinière, <strong>de</strong> La Ban<strong>de</strong>ra. Il parle <strong>de</strong> Golgotha, <strong>de</strong> Julien Duvivier<br />

et <strong>de</strong>s réalisateurs Renoir, Carné, Grémillon avec lesquels il a tourné plusieurs fois. Il parle <strong>de</strong> sa courte<br />

carrière américaine pendant la guerre, et <strong>de</strong> sa pério<strong>de</strong> noire d'après-guerre (ses cheveux avaient blanchi). Il<br />

parle <strong>de</strong>s films Touchez pas au grisbi, Les Gran<strong>de</strong>s familles, <strong>de</strong>s Maigret avec Delannoy, La Traversée <strong>de</strong> Paris. Parle <strong>de</strong><br />

Gilles Grangier. Parle <strong>de</strong> ses colères. Il adore les acteurs.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 06/12/1970<br />

Durée : 00 h 08 min 53 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

167


Titre propre<br />

Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean Renoir ; Auteur <strong>de</strong> la chanson originale : Jean Renoir ; Compositeur musique préexistante :<br />

Octave Crémieux ; Interprète : Jeanne Moreau (La chanteuse), Nino Formicola (Le <strong>de</strong>rnier réveillon), Milly (Le<br />

<strong>de</strong>rnier réveillon), Marguerite Cassan (La cireuse electrique), Pierre Olaf (La cireuse électrique), Jacques<br />

Dynam(La cireuse électrique), Jean-Louis Tristan (La cireuse électrique), Fernand Sardou (Le roi d'Yvetot),<br />

Françoise Arnoul (Le roi d'Yvetot), Jean Carmet (Le roi d'Yvetot), Andrex (Le roi d'Yvetot), Dominique<br />

Labourier (Le roi d'Yvetot)<br />

Résumé<br />

Le cinéaste Jean Renoirprésente lui-même trois histoires qu'il a écrites et réalisées, ainsi qu'une chanson :<br />

- Le Dernier réveillon avec Nicolas Formicola et Minny Monti.<br />

- La Cireuse éléctrique avec Marguerite Cassan, Pierre Olaf, Jacques Dynam et Jean-Louis Tristan.<br />

- Le Roi d’Yvetot avec Fernand Sardou, Françoise Arnoul, Jean Carmet, Dominique Labourier et Andrex.<br />

- La Chanteuse - Dans un décor 1900, Jeanne Moreau interprète Quand l'amour meurt (paroles <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />

musique d'Octave Cremieux).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Producteur ou Co-producteur, Rome : Radio Audizioni Italia (RAI)<br />

Producteur ou Co-producteur, Neuilly-sur-Seine : Son et Lumière (SONLU)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/12/1970<br />

Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 06 min 30 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

168


Titre propre<br />

Michel Simon<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invité : Michel Simon-----<br />

- Candidats : Madame Maison - Monsieur Pierme<br />

- Extraits <strong>de</strong> films :<br />

--- Le Silence est d'or, <strong>de</strong> René Clair<br />

--- La Règle du jeu, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Sept ans <strong>de</strong> malheur, <strong>de</strong> Max Lin<strong>de</strong>r<br />

--- Angèle, <strong>de</strong> Marcel Pagnol<br />

--- Quai <strong>de</strong>s Orfèvres, <strong>de</strong> Henri-Georges Clouzot<br />

--- Les Enfants du paradis, <strong>de</strong> Marcel Carné<br />

- Vainqueur : Madame Maison : 15 points à 9.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 27/12/1970<br />

Durée : 00 h 47 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

169


Titre propre<br />

Les artisans <strong>de</strong> la médiation : les réalisateurs<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Paule Sengissen ; Participant : Roger Leenhardt, Marcel Bluwal, Jean Christophe Averty, Stellio<br />

Lorenzi, Roger Vadim, Jean Renoir, François Truffaut, Jean Cocteau<br />

Résumé<br />

- Ce montage didactique sans commentaire se propose d'évoquer, à partir <strong>de</strong> quelques interviews, la manière<br />

dont les réalisateurs conçoivent leur métier.<br />

- Plusieurs séquences tirées d'émissions diverses présentent tour à tour les réflexions <strong>de</strong> réalisateurs <strong>de</strong> télévision et<br />

<strong>de</strong> cinéastes célèbres à propos <strong>de</strong>s rapports entre création et technique cinématographique.<br />

- Roger Leenhardt explique comment l'ignorance le poussa à réaliser un film sur la naissance <strong>de</strong> la photo.<br />

- Marcel Bluwal parle <strong>de</strong> son adaptation télévisuelle du Don Juan <strong>de</strong> Molière.<br />

-Jean -Christophe Averty raconte comment d'une pauvreté forcée il tira un style original <strong>de</strong> variétés.<br />

- Stellio Lorenzi expose sa conception <strong>de</strong>s "dramatiques" <strong>de</strong> télévision : il s'agit avant tout <strong>de</strong> recréer l'événement<br />

puis <strong>de</strong> faire un reportage sur cet événement.<br />

- Roger Vadim évoque la totale liberté d'expression et d'invention dont il disposa pour porter à l'écran la ban<strong>de</strong><br />

<strong>de</strong>ssinée fantastique, Barbarella.<br />

-Jean Renoir parle <strong>de</strong> la magie quasi hypnotique du gros plan qui distingue fondamentalement<br />

le cinéma <strong>de</strong>s autres arts dramatiques.<br />

- François Truffaut explique comment il s'i<strong>de</strong>ntifie avec son personnage <strong>de</strong> La Peau lisse.<br />

-Jean Cocteau, enfin, parle <strong>de</strong> la poésie du cinéma et <strong>de</strong>s vertus <strong>de</strong> la jeunesse d'âme.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/01/1971<br />

Durée : 00 h 24 min 40 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

170


Titre propre<br />

Francis Blanche et Clau<strong>de</strong> Chabrol<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

En direct <strong>de</strong> l'Aquitaine 200<br />

----- Invités : Francis Blanche et Clau<strong>de</strong> Chabrol -----<br />

- Candidats : Monsieur Briche (en 7ème semaine)<br />

- Extraits <strong>de</strong>s films :<br />

--- Le Mécano <strong>de</strong> la Générale, <strong>de</strong> Buster Keaton et Cly<strong>de</strong> Bruckman, avec Buster Keaton<br />

--- Il était une fois dans l'ouest, <strong>de</strong> Sergio Leone<br />

--- Shanghaï Express, <strong>de</strong> Joef von Sternberg<br />

--- La Bête humaine, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Le Train, <strong>de</strong> John Frankenheimer<br />

--- L'Express du colonel Von Ryan, <strong>de</strong> Mark Robson<br />

- Victoire <strong>de</strong> Monsieur Briche.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/05/1971<br />

Durée : 00 h 46 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

171


Titre propre<br />

Françoise Fabian<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invitée : François Fabian-----<br />

- Candidats : Monsieur Briche (8ème semaine) - Monsieur Eskenasi (1ère semaine)<br />

- Extraits <strong>de</strong> films :<br />

--- Sacco et Vanzetti, <strong>de</strong> Giuliano Montaldo<br />

--- L'Assassin habite au 21, <strong>de</strong> Henri-Georges Clouzot<br />

--- Les Dynamiteros, <strong>de</strong> Burt Kennedy<br />

--- Qu'est-ce qui fait courir les crocodiles, <strong>de</strong> Jacques Poitrenaud<br />

--- Le Maître <strong>de</strong>s îles, <strong>de</strong> Tom Gries, avec Charlton Heston<br />

--- La Règle du jeu, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Le vainqueur est Monsieur Briche.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 30/05/1971<br />

Durée : 00 h 36 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

172


Titre propre<br />

Daniel Gélin<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thirie ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invité : Daniel Gélin-----<br />

- Candidats : Monsieur Briche (10ème semaine) - Monsieur Poupon<br />

- Extraits <strong>de</strong>s films :<br />

--- Zeppelin, d’Etienne Périer<br />

--- L'Usurier, <strong>de</strong> Charles Chaplin<br />

--- Othello, d’Orson Welles<br />

--- Madame Bovary, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Petits meurtres sans importance, d’Alan Arkin<br />

--- L'Habit vert, <strong>de</strong> Marcel Lherbier, avec Jules Berry et Elvire Popesco<br />

- Daniel Gélin parle du Souffle au coeur <strong>de</strong> Louis Malle<br />

- Victoire <strong>de</strong> Monsieur Briche : 55 000 Francs.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 27/06/1971<br />

Durée : 00 h 44 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

173


Titre propre<br />

Pour le cinéma : émission du 4 juillet 1971<br />

Titre collection<br />

Pour le cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Pierre Mignot ; Producteur : Robert Chazal, Frédéric Rossif<br />

Résumé<br />

- Tournage du film Les Cavaliers <strong>de</strong> John Franknheimer, avec Omar Sharif, en Afghanistan, d'après le roman <strong>de</strong><br />

Joseph Kessel - interview <strong>de</strong> John Frankenheimer et d' Omar Sharif- extrait du film<br />

- Tournage <strong>de</strong> Deux Anglaises et le continent <strong>de</strong> François Truffaut, avec Jean-Pierre Léaud, Kika Markham et Stacey<br />

Ten<strong>de</strong>ter - extrait du film - interview <strong>de</strong> François Truffaut et <strong>de</strong> Kika Markham – François Truffaut parle<br />

du livre posthume d’André Bazin sur Jean Renoir qu'il a fait paraître en le complétant<br />

- Extrait du film La Direction d'acteurs <strong>de</strong> Jean Renoir, avec Gisèle Braunberger<br />

- Extraits film australien Le Réveil dans la terreur <strong>de</strong> Ted Kotcheff et interview<br />

- L'Humeur vagabon<strong>de</strong> d'après Antoine Blondin, réalisé par Edouard Luntz - interview - extraits du film avec Michel<br />

Bouquet et Jeanne Moreau - interview <strong>de</strong> Michel Bouquet<br />

- Extrait du film d'Alex in Won<strong>de</strong>rland, avec Jeanne Moreau qui interprète une chanson<br />

- Extrait <strong>de</strong>u film La Révélation d’Alain Lavalle, avec Olga Georges Picot qui est interviewée<br />

- Interviews : Juliette Mills – Sady Rebot – Robert Etcheverry – Alain Lavalle<br />

- Extrait du film La Loi du milieu <strong>de</strong> Mike Hodges<br />

- La Part <strong>de</strong>s lions <strong>de</strong> Jean Larriaga, interview - extraits du film avec Charles Aznavour, Robert Hossein, Raymond<br />

Pellegrin – Charles Aznavour est interviewé, puis Robert Hossein et Raymond Pellegrin - extraits du film –<br />

Robert Hossein parle <strong>de</strong> ses projets <strong>de</strong> théâtre<br />

- Grand festival du Western cet été - quelques extraits <strong>de</strong> ces films.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 04/07/1971<br />

Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

174


Titre propre<br />

Le 1 er film <strong>de</strong> Brialy : “Eglantine”<br />

Titre collection<br />

JT 13 h<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Annick Beauchamps<br />

Résumé<br />

Le plateau – Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy règlant une scène - l'extérieur du château – Valentine Tessier marchant <strong>de</strong>vant<br />

le château en robe blanche romantique et ombrelle<br />

- plan américain Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy assis avec petite fille Pauline sur les genou : "Je me suis dit que j'ai fait 45 films<br />

et que j'ai appris beaucoup <strong>de</strong> choses. J'ai eu envie <strong>de</strong> raconter une histoire... il raconte un peu son sujet. C'est un hommage aux 3<br />

Renoir et à la campagne française d'avant les avions et les voitures"<br />

- Valentine Tessier : « Après avoir lu le scénario j'ai vu que c'était exactement le rôle que je<br />

souhaitais... j'ai débuté dans Madame Bovary <strong>de</strong> Renoir . Au théâtre on est forcé <strong>de</strong> projeter le texte. Au cinéma<br />

on vient le chercher sur votre visage. Oui je souhaite continuer à travailler. Une 3ème carrière pourquoi pas ? ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 02/10/1971<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

175


Titre propre<br />

Philippe Clay<br />

Titre collection<br />

D’hier et d’aujourd’hui<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Bouteiller ; Réalisateur : André Pergament<br />

Résumé<br />

- Document : Philippe Clay chante L'Illusioniste (pendant que le document passe, plusieurs plans moyens <strong>de</strong><br />

Philippe Clay et Pierre Bouteiller en studio)<br />

- interview studio : Philippe Clay par Pierre Bouteiller - a commencé à faire parler <strong>de</strong> lui en 53 - après la guerre,<br />

prépare le Conservatoire, remporte un radio crochet vers 1946-47 - concours d'amateurs gangé en 49 - première<br />

chanson à la radio avec Aimée Mortimer : échec - tournée en Afrique (<strong>de</strong>ux ans), chante <strong>de</strong>s chansons <strong>de</strong> Charles<br />

Aznavour, rentre en France en 53 chez J. Canetti, aux « Trois Bau<strong>de</strong>ts »<br />

- document : extrait <strong>de</strong> French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir - chante L'Argent<br />

- Interview studio <strong>de</strong> Philippe Clay par Pierre Bouteiller : passe à La Fontaine <strong>de</strong>s quatre saisons<br />

- Document : (extrait <strong>de</strong> La Joie <strong>de</strong> vivre) - Les Voyous, commente la chanson – gros plan <strong>de</strong> Philippe Clay (1956)<br />

- Interview studio : raconte une anecdote sur Jean Gabin par Maria Félix<br />

- Document : (extrait <strong>de</strong> Toute la chanson, Aimée Mortimer) - Monsieur William (1961) <strong>de</strong> J.R. Caussimon, musique<br />

<strong>de</strong> Léo Ferré<br />

- Interview studio : vit à la campagne, travail d'équipe avec Serge Gainsbourg et Clau<strong>de</strong> Nougaro<br />

- Document : Le Funambule - commente la chanson – Gros plan <strong>de</strong> Phiilippe Clay (1961)<br />

- Interview studio : souvent habillé <strong>de</strong> noir pour faire ressortir son visage et ses mains<br />

- document : Le Danseur <strong>de</strong> Charleston<br />

- document : Accor<strong>de</strong>z-moi, accordéon : duo avec Serge Gainsbourg<br />

- document : (extrait Invité du dimanche : Jean Yanne - La Gamberge )<br />

- document : Marie Christine<br />

- studio : parle <strong>de</strong> sa « Traversée du désert », du départ <strong>de</strong> Jacques Brel, a une nouvelle équipe maintenant<br />

- document : Mes universités (extrait d'une émisson avec Jacques Chazot) - commente la chanson – gros plan <strong>de</strong><br />

Philippe Clay<br />

- document : La Quarantaine<br />

- Générique fin.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 30/11/1971<br />

Durée : 00 h 38 min 20 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

176


Titre propre<br />

Le journal du cinéma : émission du 9 décembre 1971<br />

Titre collection<br />

Le journal du cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Georges Dumoulin ; Producteur : Anne Andreu, Pierre-André Boutang, Philippe Collin ;<br />

Présentateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Participant : François Truffaut, Clau<strong>de</strong> Chabrol, Pierre Kast, Delphine<br />

Seyrig, Sylvie Vartan<br />

Résumé<br />

Emission présentée par Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe qui a invité Clau<strong>de</strong> Chabrol, Sylvie Vartan et Pierre Kast.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Lucky Luke <strong>de</strong> Morris, René Goscinny et Pierre Tchernia.<br />

- Sylvie Varrtan évoque sa courte carrière cinématographique et le film qu'elle tourne avec Harry Kummel<br />

Malpertuis.<br />

- Clau<strong>de</strong> Chabrol connait Harry Kummel qui est également le réalisateur du film Les Lèvres rouges actuellement à<br />

l'affiche. affiche du film.<br />

- Longue interview <strong>de</strong> Delphine Seyrig qui joue dans Les Lèvres rouges (extrait).- photos <strong>de</strong> Delphine Seyrig -<br />

Delphine Seyrig parle <strong>de</strong>s vampires, <strong>de</strong> ses influences pour jouer un rôle, d'une séquence empruntée à Marlène<br />

Dietrich (Angel), <strong>de</strong>s rôles qu'elle a envie <strong>de</strong> jouer, <strong>de</strong> son implication dans les mouvements féministes. Sylvie<br />

vartan donne son avis sur les propos <strong>de</strong> D. Seyrig.<br />

- Présentation par François Truffaut du film <strong>de</strong> Jean Renoir Le Fleuve<br />

(extrait): coïnci<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> thème avec Les Deux anglaises et le continent. François Truffaut,<br />

interviewé sur Jean Renoir, parle aussi <strong>de</strong> Citizen Kane d'Orson Welles.<br />

- Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe lit <strong>de</strong>s critiques sur le film La Déca<strong>de</strong> prodigieuse <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Chabrol : rires <strong>de</strong> l'intéressé.<br />

Chabrol, parle <strong>de</strong> La Déca<strong>de</strong> prodigieuse - Pierre Kast parle <strong>de</strong> son film Les Soleils <strong>de</strong> l'île <strong>de</strong> Pâques (extrait).<br />

- Extrait <strong>de</strong> Deep end <strong>de</strong> Jerzy Skolimovski<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/12/1971<br />

Durée : 00 h 45M min 00S sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

177


Titre propre<br />

Marlène Jobert<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invitée : Marlène Jobert-----<br />

- Candidats : Monsieur Riccio et Monsieur Lescop 1/2 finale<br />

- Extraits <strong>de</strong> films :<br />

--- Les Pétroleuses, <strong>de</strong> Christian-Jaque<br />

--- Deep End, <strong>de</strong> Jerzy Skolimowski<br />

--- Les Bidasses en folie, <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Zidi<br />

--- Doc Holliday, <strong>de</strong> Frank Perry<br />

--- Le Fleuve, <strong>de</strong> Jean Renoir (1951)<br />

--- Les Diamants sont éternels, (James Bond), <strong>de</strong> Guy Hamilton<br />

--- Le gagnant est Monsieur Riccio<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/12/1971<br />

Durée : 00 h 41 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

178


Titre propre<br />

Pierre Brasseur<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invité : pierre Brasseur-----<br />

- Candidats : Monsieur Riccio et Monsieur Heynard : finalistes<br />

- Extraits <strong>de</strong> films :<br />

--- Le Cuirassé Potemkine, <strong>de</strong> S.M.Eisenstein<br />

--- Topaze, réalisé par Louis Gagne en 1933<br />

--- Les Dix comman<strong>de</strong>ments, <strong>de</strong> Cecil B. De Mille<br />

--- La Kermesse héroïque, <strong>de</strong> Jacques Fey<strong>de</strong>r<br />

--- Huit et <strong>de</strong>mi, <strong>de</strong> Fellini<br />

--- French Cancan, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Interview par Pierre Tchernia <strong>de</strong> Pierre Brasseur qui raconte une histoire sur Charlot, parle du film Huit et<br />

Demi, et <strong>de</strong> Louis Jouvet<br />

- Gagnant <strong>de</strong> la finale : Monsieur Riccio<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 02/01/1972<br />

Durée : 00 h 43 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

179


Titre propre<br />

Pierre Braumberger<br />

Titre collection<br />

Visages du cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Roger Boussinot ; Producteur : Roger Boussinot, Jacques Nahum<br />

Résumé<br />

- Interview Michel Mitrani, metteur en scène - interview Marc Allégret, metteur en scène - interview Gérard<br />

pirès, metteur en scène – Pierre Braumberger, dans son bureau, parle <strong>de</strong>s rapports entre metteur en scène et<br />

producteur - scène <strong>de</strong> tournage - parle <strong>de</strong> sa famille (mé<strong>de</strong>cins) - extrait <strong>de</strong> La Fin <strong>de</strong>s Pyrénées - parle <strong>de</strong> sa<br />

collaboration avec Jean Renoir - extrait <strong>de</strong> Nana – Marc Allégret parle <strong>de</strong> sa première rencontre avec<br />

Braumberger - vue <strong>de</strong>s studios <strong>de</strong> Billancourt (extérieur) - extrait <strong>de</strong> La Route est belle (André Bauge chante) -<br />

extrait d'un court métrage avec Fernan<strong>de</strong>l - extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne - parle <strong>de</strong> ses activités pendant la<br />

guerre - extrait <strong>de</strong> L'Homme - extrait <strong>de</strong> Paris 1900 - extrait <strong>de</strong> La Course <strong>de</strong> taureaux<br />

- Interview <strong>de</strong> Braumberger - extrait <strong>de</strong> Erotissimo - extrait <strong>de</strong> Van Gogh - extrait d'un film où joue Madame<br />

Braumberger - extrait <strong>de</strong> La Direction d'Acteurs <strong>de</strong> Jean Renoir – Pierre Braumberger parle <strong>de</strong><br />

l'activité professionnelle <strong>de</strong> sa femme - enfants <strong>de</strong> Braumberger chez eux, madame Braumberger.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 05/02/1972<br />

Durée : 00 h 46 min 47 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

180


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Jean -Clau<strong>de</strong> Brialyet Valentine Tessier à propos du film "Eglantine"<br />

Titre propre<br />

Valentine Tessier et Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy<br />

Titre collection<br />

Monsieur Cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Colette Thiriet ; Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant : Valentine Tessier, Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy<br />

Résumé<br />

Pierre Tchernia interviewe Valentine Tessier et Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy à propos du film Eglantine dont Brialy est le<br />

réalisateur. L'actrice avoue avoir un peu le trac, parle <strong>de</strong> son rôle (Eglantine, la grand-mère) dans le film. Brialy<br />

souligne que le film se passe en 1885 et est un hommage aux trois Renoir (Jean, Auguste et<br />

Pierre).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 27/02/1972<br />

Durée : 00 h 03 min 08 sec<br />

Heure : 13 h 52 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

181


Titre propre<br />

L’armée <strong>de</strong>s sans culottes<br />

Titre collection<br />

Les dossiers <strong>de</strong> l’écran<br />

Notes du titre<br />

La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Francis Caillaud ; Producteur : Armand Jammot<br />

Résumé<br />

Film <strong>de</strong> Jean Renoir en noir et blanc <strong>de</strong> 1937 : La Marseillaise<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/07/1972<br />

Durée : 02 h 52 min 45 sec<br />

Heure : 20 h 37 min 15 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

182


Titre propre<br />

François Truffaut : La Règle du jeu<br />

Titre collection<br />

Grand écran<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Raoul Sangla ; Producteur : Monique Assouline ; Présentateur : François Truffaut ; Participant :<br />

François Truffaut, Yvonne Baby, Alexandra Stewart, Jean-Loup Dabadie<br />

Résumé<br />

François Truffaut présente le film <strong>de</strong> Renoir, La Règle du jeu. Il fait un rappel <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong><br />

ce « film maudit » qui fut interdit à sa sortie en 1939, jugé trop démoralisant par le<br />

gouvernement ; puis disparaît pendant la guerre et revient sur les écrans à la Libération mais<br />

dans <strong>de</strong>s versions tronquées. Il n'est montré dans son intégralité qu'en 1965.<br />

Après la diffusion du film, discussion entre François Truffaut, Alexandra Stewart, Jean-Loup Dabadie et Yvonne<br />

Baby, romancière et journaliste <strong>de</strong> cinéma : mo<strong>de</strong>rnité, vérité <strong>de</strong> ce film qui déconcerta le public par le mélange<br />

<strong>de</strong>s tons et <strong>de</strong>s genres.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/07/1972<br />

Durée : 00 h 20 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

183


Titre propre<br />

Vieilles chansons françaises<br />

Titre collection<br />

Aujourd’hui madame<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Jacques Garat, Nicole André ; Réalisateur : André Veyret ; Producteur, Armand Jammot<br />

Résumé<br />

- Présentation par Jacques Garat et Nicole André<br />

- Téléspectateurs : M. Quignon, Mme pacton, Mme Sebire, Mme Godfroy et Mme Jacquet<br />

- Jacques Garat présente les émissions futures<br />

- gros plan marteaux du piano<br />

- Au piano, Pierre Spiers<br />

- Les téléspectatrices expliquent les raisons <strong>de</strong> leur présence : amour <strong>de</strong>s vieilles chansons<br />

- Invités : Pierre Spiers, Lucien Lupi, Jack Lantier et Léon Raiter<br />

- Léon Raiter, parolier <strong>de</strong> 2 000 chansons environ, chante un pot pourri <strong>de</strong> ses succès Le Tango du chat, On n'a pas<br />

tous les jours 20 ans et A l'exposition<br />

- Jack Lantier chante Les Roses blanches – Léon Raiter chante Rosalie<br />

- Mme Jacquet fredonne Les Millions d'arlequins<br />

- M. Quignon chante Le Moulin <strong>de</strong> maître Jean, Pierre Spiers interprète au piano Noël blanc – Jack Lantier chante Le<br />

Temps <strong>de</strong>s cerises<br />

- Lucien Lupi chante La Voix <strong>de</strong>s chênes<br />

- Mme Jacquet chante Froufro"<br />

- Jack Lantier chante Envoi <strong>de</strong> fleurs<br />

- Lucien Lupi chante Le Credo du paysan<br />

- film : extrait <strong>de</strong> Feanch cancan <strong>de</strong> Jean Renoir où Cora Vaucaire chante La Rue Saint Vincent –<br />

Léon Raiter évoque Aristi<strong>de</strong> Bruant – Jack Lantier chante L'Hiron<strong>de</strong>lle du Faubourg – Pierre Spiers interprète au<br />

piano plusieurs airs – Jack Lantier chante La Petite église - Mme Jacquet chante Viens poupoule.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 26/12/1972<br />

Durée : 00 h 44 min 30 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

184


Titre propre<br />

Pierre Richard<br />

Titre collection<br />

Le <strong>de</strong>rnier <strong>de</strong>s 5<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Michel Ayats ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

----- Invité : Pierre Richard-----<br />

- Candidats : Monsieur Bena, Monsieur Duprat, Monsieur Guinard, Monsieur Mars, Monsieur Stargier<br />

- 1er questionnaire : L'Héritier, <strong>de</strong> Philippe Labro<br />

--- Extrait du film : Salut l'artiste, d’Yves Robert<br />

- 2ème questionnaire : La Gran<strong>de</strong> illusion, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Extrait du film : Blanche Neige et les 7 nains, <strong>de</strong> Walt Disney<br />

- 3ème questionnaire : Hello Dolly, <strong>de</strong> Gene Kelly<br />

--- Extrait du film : Peter and Tillie, <strong>de</strong> Martin Ritt<br />

- 4ème questionnaire : Belles <strong>de</strong> nuit, <strong>de</strong> René Clair<br />

--- Extrait du film : Le Magnifique, <strong>de</strong> Philippe <strong>de</strong> Broca<br />

- 5ème questionnaire : Sur Michel Bouquet<br />

--- Extrait du film : Les Grands sentiments font les bons gueuletons, <strong>de</strong> Michel Berny<br />

- 6ème questionnaire : Alexandre le Bienheureux, d’Yves Robert<br />

- Pierre Richard est interviewé par Pierre Tchernia, il parle <strong>de</strong> son <strong>de</strong>rnier film : « Je sais rien mais je dirai tout »<br />

- Monsieur Stragier est éliminé avec 4 points.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 23/12/1973<br />

Durée : 00 h 45 min 10 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

185


Titre propre<br />

Jean-Pierre Cassel<br />

Titre collection<br />

Le <strong>de</strong>rnier <strong>de</strong>s 5<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant, Jean-Marc Roberts (candidat), Régis Wargnier (candidat), Jean-<br />

Pierre Cassel ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Pierre Tchernia, Jacques Rouland<br />

Résumé<br />

----- Invité : Jean-Pierre Cassel-----<br />

- Candidats : Jean Marc Roberts, écrivain, Monsieur Peschaud, conseiller <strong>de</strong> production dans une maison<br />

d'assurances, Régis Wargnier, étudiant en lettres, Monsieur Pellié, étudiant en étu<strong>de</strong>s théâtrales, Monsieur<br />

Morand, avocat stagiaire<br />

- Premier questionnaire : La Folie <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>urs <strong>de</strong> Gérard Oury<br />

--- Extrait A nous quatre, cardinal d’André Hunebelle avec Les Charlots<br />

- Deuxième questionnaire : Le Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

--- Extrait : La Femme <strong>de</strong> Jean, <strong>de</strong> Yannick Bellon<br />

- Quatrième questionnaire : Les Amants <strong>de</strong> Louis Malle<br />

--- Extrait Les Valseuses <strong>de</strong> Bertrand Blier<br />

- Cinquième questionnaire : Le Gaucher d’Arthur Penn<br />

--- Extrait Le Gaucher d’Arthur Penn<br />

-Jean-Pierre Cassel parle du Mouton enragé <strong>de</strong> Michel Deville<br />

- Sixième questionnaire : Le Charme discret <strong>de</strong> la bourgeoisie <strong>de</strong> Luis Bunuel<br />

-Jean-Marc Roberts est éliminé.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/03/1974<br />

Durée : 00 h 42 min 00 sec<br />

Heure : 13 h 50 min 30 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

186


Titre propre<br />

Clau<strong>de</strong> Renoir<br />

Titre collection<br />

Les grands directeurs <strong>de</strong> la photographie<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Georges Paumier ; Producteur : Denys Clerval ; Participant : Clau<strong>de</strong> Renoir<br />

Résumé<br />

- plan d’ensemble : Clau<strong>de</strong> Renoir dans son jardin, avançant vers sa maison.<br />

- Panoramique : sur le salon, la cheminée, les oeuvres d'art.<br />

- gros plan : Clau<strong>de</strong> Renoir assis dans un fauteuil près <strong>de</strong> la cheminée: ses débuts d'assistant-opérateur<br />

- Extrait <strong>de</strong> L'Impossible objet <strong>de</strong> John frankenheimer (1967) avec Alan Bates.<br />

- Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir sur son métier.<br />

- Court extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir Toni - 1935<br />

- Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir : il parle <strong>de</strong>s grands opérateurs tels Philippe Agostini.<br />

- Clau<strong>de</strong> Renoir dirigeant <strong>de</strong>s opérateurs et <strong>de</strong>s électriciens.<br />

- gros plan interview Clau<strong>de</strong> Renoir : la prise <strong>de</strong> vue pour les films en noir et blanc. L'intérêt dans la couleur c'est<br />

le travail <strong>de</strong> composition. Il parle du film Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir. Collaboration avec décorateurs et<br />

costumiers<br />

- Extrait du film Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir (1950).<br />

- plan moyen Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir : travail comparable à la peinture.<br />

- Suite extrait film Le Fleuve<br />

- gros plan: Clau<strong>de</strong> Renoir préfère le travail en studio.<br />

- Extrait <strong>de</strong> L'Impossible objet (voix off Clau<strong>de</strong> Renoir à propos <strong>de</strong> ce film tourné au Maroc).<br />

- plan moyen : Clau<strong>de</strong> Renoir : le film Le Carrosse d'or <strong>de</strong> Jean Renoir (1952) extrait.<br />

- gros plan Clau<strong>de</strong> Renoir évoque avec émotion l'actrice Anna Magnani. Puis parle <strong>de</strong> ses dissensions avec<br />

Audrey Hepburn<br />

- Clau<strong>de</strong> Renoir pendant un tournage, faisant <strong>de</strong>s essais <strong>de</strong> lumière<br />

- plan moyen Clau<strong>de</strong> Renoir : ses rapports avec les metteurs en scène. Sa rencontre fructueuse avec Vadim.<br />

Extrait <strong>de</strong> Barbarella (1968)<br />

- Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir : il parle du film Les Amants <strong>de</strong> Teruel ; extrait du film <strong>de</strong> Raymond Rouleau<br />

(1962)<br />

- gros plan : Clau<strong>de</strong> Renoir aimerait que le cinéma s'éva<strong>de</strong> du réalisme.<br />

- Zoom arrière: sur autoportrait d'Auguste Renoir<br />

- gros plan Clau<strong>de</strong> Renoir les rapports <strong>de</strong> la photographie et <strong>de</strong> l'art<br />

- Zoom arrière: faça<strong>de</strong> <strong>de</strong> sa maison. Clau<strong>de</strong> Renoir sortant <strong>de</strong> la maison<br />

- Générique fin<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/06/1974<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

187


Titre propre<br />

Jean Renoir parmi nous : La Gran<strong>de</strong> illusion<br />

Titre collection<br />

Grand écran<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Charles Bitsch ; Producteur : Monique Assouline ; Participant : Clau<strong>de</strong> Bertrand, Marcel Dalio,<br />

Françoise Arnoul, Jean Carmet, Clau<strong>de</strong> Brasseur<br />

Résumé<br />

- Structure <strong>de</strong> cette émission consacrée à Jean Renoir : extraits <strong>de</strong> films, photos (portraits <strong>de</strong> Renoir, photos <strong>de</strong><br />

tournages) avec, en off <strong>de</strong>s propos <strong>de</strong> Jean Renoir sur sa conception <strong>de</strong> l'art, du cinéma ; lecture <strong>de</strong> textes <strong>de</strong><br />

Renoir par Françoise Arnoul, Jean Carmet, Marcel Dalio. Interviews d'un chauffeur <strong>de</strong> taxi, Clau<strong>de</strong> Bertrand,<br />

spectateur <strong>de</strong>s films <strong>de</strong> Renoir ; il lit également <strong>de</strong>s passages <strong>de</strong>s livres <strong>de</strong> Renoir (Les Ecrits 1926-1971 et Ma Vie et<br />

mes films)<br />

- En prologue à l'émission, extrait <strong>de</strong> French Cancan<br />

- Sur le générique <strong>de</strong> début : photos <strong>de</strong> Renoir, en off sa voix lors d'une scène où il dirige un acteur<br />

- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand, chauffeur <strong>de</strong> taxi : il lit la première page du livre Jean Renoir , écrits 1926-1971 : Mon<br />

nom est Jean Renoir... puis monté dans son taxi, il évoque les films <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Petite marchan<strong>de</strong> d'allumettes<br />

- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand au volant, sur la justesse <strong>de</strong> ton <strong>de</strong>s personnages dans les films <strong>de</strong> Renoir : « chacun<br />

parle comme on est dans son mon<strong>de</strong>, pas comme au cinéma... »<br />

- Court extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu<br />

- Extrait <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux<br />

- photos <strong>de</strong> Jean Renoir, en off : « j'ai passé ma vie à être tiraillé entre mon amour <strong>de</strong> l'artificiel et mon amour du naturel... »,<br />

préfère l'observation à l'imagination et dit que « la création artistique et la vie normale, c'est la même chose »<br />

- Extrait <strong>de</strong> La vie est à nous<br />

- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand : pour lui, le film qui exalte le mieux la pério<strong>de</strong> du Front Populaire, c'est Le Crime <strong>de</strong><br />

Monsieur Lange<br />

- photos <strong>de</strong> Renoir jeune, puis lors <strong>de</strong> tournages ; image arrêtée <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion ; en off, Jean Renoir dit :<br />

« rien n'est absolu, les bons sont souvent très méchants et les méchants sont souvent très bons »<br />

- interview du chauffeur <strong>de</strong> taxi sur La Gran<strong>de</strong> illusion qui l'a beaucoup marqué ; il rappelle qu'aujourd'hui, Jean<br />

Renoir a 80 ans.<br />

- L'acteur Marcel Dalio hèle un taxi, lit un texte extrait du même livre datant <strong>de</strong> 1937 dans lequel Renoir dit que<br />

les gouvernements n'hésitent pas à faire rentrer dans leur police les piresbandits et les utiliser pour la défense <strong>de</strong><br />

la société<br />

- Extrait <strong>de</strong> la La Règle du jeu où le Marquis <strong>de</strong> la Cheyniest (Dalio) prend à son service un braconnier (Julien<br />

Carette)<br />

- photos <strong>de</strong> tournage ; en off, Renoir dit que le travail a été d'autant plus intéressant que la troupe était loin <strong>de</strong><br />

Paris, coupée du mon<strong>de</strong> extérieur<br />

- Autre passage <strong>de</strong>s Ecrits <strong>de</strong> Renoir lu par Dalio : « il m'est difficile <strong>de</strong> saisir la différence entre la le rêve et la réalité... »<br />

- Autre extrait du film : Renoir dans le rôle d'Octave<br />

- interview <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bertrand à propos <strong>de</strong> La Marseillaise (photos) et sur Le Journal d'une femme <strong>de</strong> chambre (photos)<br />

- photos Renoir, son visage en gros plan, tournages aux Etats-Unis ; en off : « ce qui se passe chez moi, c'est une<br />

incapacité à comprendre le sens d'une scène avant <strong>de</strong> l'avoir vue matérialisée...chaque scène doit être une exploration »<br />

- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand sur le film tourné en In<strong>de</strong> Le Fleuve, en couleur. Il y a toujours beaucoup d'eau dans<br />

les films <strong>de</strong> Renoir ; évoque LaPartie <strong>de</strong> campagne<br />

- Extrait du film<br />

- Françoise Arnoul qui fut l'héroine <strong>de</strong> French Cancan lit à son tour <strong>de</strong>s passages du texte <strong>de</strong> Renoir sur le fait que<br />

le cinéma qui est un art essentiellement populaire, s'éloigne <strong>de</strong> plus en plus du peuple<br />

- Extrait <strong>de</strong> French Cancan<br />

- Lecture Françoise Arnoul : Renoir se dit <strong>de</strong> plus en plus attiré par <strong>de</strong>s histoires assez faibles qui le laissent « libre<br />

<strong>de</strong> faire du cinématographe ». Si l'art cinématographique est celui d'instruire <strong>de</strong>s mouvements, lui peut aimer un<br />

mouvement comme le geste d'une jeune fille arrangeant sa chevelure ou le mouvement d'un petit chat qui s'étire<br />

- photos portraits <strong>de</strong> Renoir, tournages ; en off : « j'en arrive à penser que le motif importe peu, que ce qui compte c'est la<br />

manière dont on raconte un film »<br />

- Lecture Françoise Arnoul : « l'auteur d'un film impose aux autres [producteur, acteur, metteur en scène] la ligne<br />

directive unique sans laquelle aucune oeuvre d'art ne peut exister »<br />

-Jean Carmet, à son tour lit <strong>de</strong>s passages <strong>de</strong> textes <strong>de</strong> Renoir : « toute ma vie, j'ai essayé <strong>de</strong> faire <strong>de</strong>s films d'auteur...ce qui<br />

me plaît c'est que l'auteur se cache mo<strong>de</strong>stement <strong>de</strong>rrière les héros qui animent ses produits... »<br />

- Extrait du <strong>de</strong>rnier film <strong>de</strong> Renoir Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir avec Jean Carmet<br />

- Suite lecture par Jean Carmet : « La paresse est une valeur humaine qui est en train <strong>de</strong> disparaître... »<br />

188


- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand : « Renoir, c'est le chemin <strong>de</strong>s écoliers, pour le plaisir... il raconte <strong>de</strong>s tas d'histoires différentes »<br />

- Autres photos <strong>de</strong> Renoir ; en off : « on a souvent trop <strong>de</strong> choses à dire, tout ne peut être dit, parfois on oublie, alors le spectateur<br />

supplée à sa façon...un film est autant <strong>de</strong> fois un film qu'il y a <strong>de</strong> spectateurs »<br />

- Clau<strong>de</strong> Brasseur monte à son tour en taxi pour lire un autre texte <strong>de</strong> Renoir : « la production française est en train <strong>de</strong><br />

mourir <strong>de</strong> l'abus <strong>de</strong>s mêmes ve<strong>de</strong>ttes, <strong>de</strong>s mêmes metteurs en scène...<strong>de</strong>s mêmes formules »<br />

- Extrait <strong>de</strong> Le Caporal épinglé avec Clau<strong>de</strong> Brasseur<br />

- Suite lecture Clau<strong>de</strong> Brasseur : « l'ennemi numéro un c'est le cliché...par cliché, j'entends une image, une opinion, une pensée<br />

qui s'est sournoisement substituée à la réalit »<br />

- interview Renoir extrait d'une émission <strong>de</strong> JM Col<strong>de</strong>fy avec Jacques Rivette : « le grand danger <strong>de</strong>s novateurs...c'est<br />

qu'ils prennent leurs innovations pour la Bible ; moi je n'ai qu'une crainte, c'est d'être figé » / autres archives <strong>de</strong> Renoir,<br />

extraites différentes émissions (muet)<br />

- Clau<strong>de</strong> Bertrand lit un passage d'un autre livre <strong>de</strong> Renoir Ma Vie et mes films où celui-ci parle <strong>de</strong> son enfance et<br />

rend hommage à sa nourrice Gabrielle, qui lui a appris à voir, à regar<strong>de</strong>r : « mon adieu au mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> mon enfance peut<br />

se résumer en <strong>de</strong>ux mots : attends-moi, Gabrielle ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office Nat. De Radiodiffusion Et Télévis. Fr (ORTF),<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/09/1974<br />

Durée : 00 h 37 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

189


Titre propre<br />

Sacha Guitry : Quadrille<br />

Titre collection<br />

Grand écran<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Charles Bitsch ; Producteur : Monique Assouline<br />

Résumé<br />

- Présentation du film Quadrille <strong>de</strong> Sacha Guitry<br />

- Fantaisie en quatre actes avec Eric Rohmer, François Truffaut, Jacques Rivette<br />

--- acte I : Sacha Guitry, enfant dans les bras <strong>de</strong> sa mère – Sacha Guitry sur son lit <strong>de</strong> mort (off, récit <strong>de</strong> sa vie) –<br />

Sacha Guitry dans différents rôles - extrait d'un <strong>de</strong> ses films : Faisons un rêve (off suite commentaires, puis son<br />

synchro) – Sacha Guitry dans différents rôles (off le théâtre filmé <strong>de</strong> Sacha Guitry) – gros plans coupures <strong>de</strong><br />

presse à propos <strong>de</strong> la sortie du film <strong>de</strong> Sacha Guitry Quadrille – Jean Renoir (off parallèle entre le film <strong>de</strong><br />

Jean Renoir: La Règle du jeu et les films <strong>de</strong> Sacha Guitry) - Paris, sous l'Occupation - documents<br />

archives : circulation à Paris vers les années 30<br />

--- acte II :Entracte – Jacqueline Delubac : off voix <strong>de</strong> Sacha Guitry, parle <strong>de</strong>s femmes - visages d'autres actrices<br />

--- acte III : extrait d'un film <strong>de</strong> Sacha Guitry (off commentaires <strong>de</strong> Sacha Guitry sur l'état <strong>de</strong> mari) – Sacha<br />

Guitry répond à <strong>de</strong>s questions posées par un interlocuteur factice, assis dans une salle <strong>de</strong> cinéma - les questions<br />

sont construites à l'ai<strong>de</strong> d'extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong> Sacha Guitry (dans l'un <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Sacha Guitry, dialogue avec<br />

son père, Lucien Guitry, à propos <strong>de</strong>s femmes)<br />

--- acte IV : Sacha Guitry : extrait du film <strong>de</strong> Sacha Guitry Désiré – Sacha Guitry présente les acteurs - scénette -<br />

l'interlocuteur factice téléphone à Jacques Rivette – plan américain Jacques Rivette répond à la question posée -<br />

extrait du film <strong>de</strong> Jacques Rivette : Paris nous appartient avec Gianni Esposito - le questionneur téléphone à Eric<br />

Rohmer - off voix d’Eric Rohmer – François Truffaut : extrait Les Mistons <strong>de</strong> François Truffaut - le questionneur<br />

téléphone à François Truffaut – François Truffaut répond - extrait du film Le Mépris <strong>de</strong> Jean-Luc Godard (off<br />

récitation du générique) (inspiré <strong>de</strong> Sacha Guitry) - à l'ai<strong>de</strong> d'un montage pseudo-conversation téléphonique<br />

entre le questionneur et Sacha Guitry - extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir : Le Carrosse d'or avec Anna<br />

Magnani.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 31/10/1974<br />

Durée : 00 h 36 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />

190


Titre propre<br />

L'imagination et le front populaire au pouvoir 1935-1936<br />

Titre collection<br />

Hisoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Armand Panigel ; Producteur : Armand Panigel ; Participant : Henri-Georges Clouzot, Hervé<br />

Bramberger, René Clair, Clau<strong>de</strong> Autant Lara, Marcel L'Herbier, Raoul Ploquin, Marcel Carné, Georges<br />

Neveux, André Paulve, André Zwoboda, Georges Lecourse, Pierre Billon, Charles Spaak, René Lefèvre, Jean-<br />

Paul Le Chanois, Jean Delannoy, Christian Jaque, Jean Aurenche, Jean Dreville, Françoise Giroud, Yves<br />

Allegret, Marcel Pagnol, Raymond Bernard<br />

Résumé<br />

Tous les participants <strong>de</strong> cette émission évoquent la création cinématographique en 1935/1936. Cette émission<br />

est illustrée par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films :La Belle équipe (Julien Duvivier), César (Marcel Pagnol), Jenny (Marcel Carné),<br />

Ces messieurs <strong>de</strong> la santé, Théodore et cie, Le Roi du cirage (Pierre Colombier), Ciboulette (Clau<strong>de</strong> Autant-Lara), Le Crime<br />

<strong>de</strong> M. lange, La Vie est à nous, La Partie <strong>de</strong> campagne (Jean Renoir), Le Dernier milliardaire, Quatorze<br />

juillet (René Clair), Faubourg Montmartre (Raymond Bernard).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision (PATHE)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/01/1975<br />

Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 05 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programme : TéléFrançaise 1<br />

191


Titre propre<br />

Vers le réalisme poétique 1936-1938<br />

Titre collection<br />

Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Armand Panigel ; Participant : Pierre Braunberger, René Clair, Jean-Paul Le Chanois, Jean<br />

Renoir, Marc Allegret, Françoise Giroud, Louis Daquin, Jean Painleve, Michel Simon, Henri-Georges Clouzot,<br />

Jean Delannoy, André Zwoboda, Charles Spaak, Christian Jaque, Georges Lacombe, Marcel Achard, Raoul<br />

Ploquin, Henri Jeanson, Marcel Carné, Marcel Pagnol, Pierre Billon, Raymond Bernard<br />

Résumé<br />

Evocation a travers <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films (La Vie est à nous,L'Atalante, Divine, Angèle, Rigolpoche, Monsieur personne),<br />

<strong>de</strong>s interviews (cinéastes, producteurs, acteurs) du cinéma français à l'époque du front populaire <strong>de</strong> personnalités,<br />

comme Jean Vigo, Saint- Exupéry, qui ont marqué la production <strong>de</strong> 1936 a 1938.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision (PATHE)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 14/02/1975<br />

Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 10 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

192


Titre propre<br />

L’album <strong>de</strong> Paul Meurisse<br />

Titre collection<br />

L’album <strong>de</strong> famille<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : François Chatel ; Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant : Paul Meurisse, Pierre Tchernia<br />

Résumé<br />

Pierre tchernia reçoit Paul Meurisse, interprète du film <strong>de</strong> Jean L’Hote, L'Education amoureuse <strong>de</strong> Valentin. Il parle<br />

<strong>de</strong> sa carrière : il a fait beaucoup <strong>de</strong> cinéma avant d'abor<strong>de</strong>r le théâtre.<br />

Photos <strong>de</strong> son père, <strong>de</strong> sa grand-mère paternelle. Sa vie à Aix-en Provence où il a fait <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> notariat et a<br />

été clerc <strong>de</strong> notaire, son désir <strong>de</strong> s'éva<strong>de</strong>r. Il a fait <strong>de</strong>s débuts <strong>de</strong> chanteur dans les crochets. Il chantait mal, il<br />

était mauvais. Il a joué Le Bel indifférent <strong>de</strong> Cocteau quelques jours avant d'être mobilisé. Il avait eu une permission<br />

pour créer la pièce. Il l'a jouée avec Piaf.<br />

Photo <strong>de</strong> son premier spectacle théâtral Le Coup <strong>de</strong> grâce. Photo <strong>de</strong> la pièce Un nommé Judas qu'il a jouée avec<br />

Marguerite Jamois, puis Jules César mis en scène par Jean Renoir en Arles avec <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong> cinéma. A<br />

la suite <strong>de</strong> cette pièce, Jean Meyer, présent à la représentation l'a fait entrer à la Comédie Française où il a joué<br />

Coriolan <strong>de</strong> Shakespeare et Domino <strong>de</strong> Marcel Achard. Il explique pourquoi il n'a pas signé son engagement <strong>de</strong><br />

sociétaire.<br />

Photo <strong>de</strong> la pièce L'Hurluberlu d'Anouilh.<br />

Photo avec Anouilh. Photo <strong>de</strong> La Foire d'empoigne dans laquelle il jouait Napoléon et Louis XVIII. Autres photos<br />

<strong>de</strong> ses succès, Don Juan aux enfers avec Pierre Brasseur, L'Escalier avec Daniel Ivernel, Un sale égoïste <strong>de</strong> Françoise<br />

Dorin, pièce qu'il a jouée plus <strong>de</strong> 500 fois, Le Directeur <strong>de</strong> l'opéra, Cher menteur avec Nicole Courcel.<br />

L'entretien se termine sur sa personnalité. Il conclut sur une phrase <strong>de</strong> Montherlant (Malatesta parlant au pape).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/03/1975<br />

Durée : 00 h 19 min 00 sec<br />

Heure : 13 h 33 min 30 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

193


Titre propre<br />

Rencontre avec l’amour<br />

Titre collection<br />

Les gran<strong>de</strong>s heures <strong>de</strong> notre vie<br />

Générique et auteurs<br />

Interprète : Laurence Bourdil, Gérard Ismael ; Participant : Ménie Grégoire, Albert Cohen (écrivain), François<br />

Perier, Annie Leclerc (écrivain), Jean Servier (théologien), Lucien Israel (docteur), Bernard-Henri Lévy<br />

(philosophe) ; Réalisateur : Maurice Frydland ; Producteur : Clau<strong>de</strong> Santelli, Françoise Verny<br />

Résumé<br />

L’émission propose une rencontre avec l’amour par le témoignage d’hommes et <strong>de</strong> femmes venant <strong>de</strong> milieux<br />

divers (écrivains, mé<strong>de</strong>cin, bénédictin, acteur…), par <strong>de</strong>s lectures <strong>de</strong> textes et <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films :<br />

Extrait L'Ange Bleu <strong>de</strong> J. von Sternberg.<br />

Ménie Grégoire en studio répond à une auditrice.<br />

Stone et Char<strong>de</strong>n chantent Ma<strong>de</strong> in Normandie<br />

Albert Cohen s'étonne d'être interviewé : "j'ai bientôt 80 ans"<br />

François Périer lit <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Belle du Seigneur<br />

Annie Leclerc parle <strong>de</strong> l'amour, en particulier <strong>de</strong> l'amour chez les femmes :épreuve, éclaircissement, mystère ;<br />

<strong>de</strong>ux corps qui se rencontrent.<br />

Extrait Le Diable au corps <strong>de</strong> C. Autant-Lara<br />

Femme parlant <strong>de</strong> l'aspect sexuel<br />

Témoignage <strong>de</strong> Françoise Verny<br />

Paysages - off chant arabe<br />

Dialogue entre Laurence Bourdil et Gérard Ismael<br />

Jean Servier parle <strong>de</strong> Dieu<br />

Albert Cohen évoque Anna Karénine, Laure et Pétrarque, Roméo et Juliette<br />

Extraits Une partie <strong>de</strong> campagne <strong>de</strong> J. Renoir , Rivière sans retour d'O. Preminger, Lumière d'été <strong>de</strong> J.<br />

Grémillon<br />

Bernard-Henri Lévy parle <strong>de</strong> la fidélité et <strong>de</strong> la libération sexuelle<br />

Un Bénédictin parle <strong>de</strong> l'amour spirituel.<br />

Moines dans abbaye.<br />

Témoinage du docteur Lucien Israel<br />

Georges Brassens chante Il n'y a pas d'amour heureux<br />

Lextures extraits du Banquet <strong>de</strong> Platon et du Cantique <strong>de</strong>s cantiques.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris: Télévision française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/03/1975<br />

Durée : 01 h 25 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 35 min 40 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

194


Titre propre<br />

Les gran<strong>de</strong>s illusions 1939-1942<br />

Titre collection<br />

Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Marcel Carné, Henri-Georges Clouzot, Henri Jeanson, Marc Allegret, Charles Spaak, Jean Renoir,<br />

André Zwoboda, Françoise Giroud, Pierre Braunberger (Producteur), Jean-Paul Le Chanois, Raoul Ploquin<br />

(Producteur), Louis Daquin, Ma<strong>de</strong>leine Renaud, Christian Jaque, Georges Lacombe (Cinéaste), Marcel<br />

L'Herbier, André Paulve (Producteur), René Clair, Pierre Chenal, Jean Delannoy, Jean Dreville ; Réalisateur :<br />

Armand Panigel ; Producteur : Armand Panigel<br />

Résumé<br />

Le cinéma français sous l'occupation. Récits et témoignages illustres par extraits <strong>de</strong> films :Hôtel du nord (1938) - Le<br />

Jour se lève (1939) - La Gran<strong>de</strong> illusion - La Marseillaise (1938) – Remorques - La Fille du puisatier (1940) - La<br />

Vénus aveugle (1940) - La Symphonie fantastique. - L'assassinat du père noël - Les Visiteurs du soir<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Producteur ou Co-producteur, France : Pathé<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/04/1975<br />

Durée : 00 h 59 min 00S sec<br />

Heure : 22 h 30 min 00S sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

195


Titre propre<br />

Une certaine tradition <strong>de</strong> qualité<br />

Titre collection<br />

Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Armand Panigel ; Producteur : Armand Panigel ; Participant : Pierre Braunberger, Jean-Paul Le<br />

Chanois, Jean Aurenche, Clau<strong>de</strong> Autant Lara, Françoise Giroud, L'Herbier, Marcel, Christian Jaque, Marcel<br />

Camus, Marcel Blistene, René Clair, Michel Deville, Clau<strong>de</strong> Renoir, Roger Vadim, Annette Wa<strong>de</strong>mant, Marcel<br />

Achard, Ma<strong>de</strong>leine Renaud, Pierre Kast, Marcel Carné, Yves Allegret, Pierre Bost, Jacques Sigurd, Henri-<br />

Georges Clouzot, Louis Daquin, René Clément, Charles Spaak, André Paulve<br />

Résumé<br />

Panorama <strong>de</strong>s films français les plus représentatifs <strong>de</strong>s années « 50 » : extraits : La Bataille du rail, Les Maudits, La<br />

Belle et la bête , Jéricho <strong>de</strong> Louis Calef, Boule <strong>de</strong> suif, La Chartreuse <strong>de</strong> Parme, Fanfan la tulipe <strong>de</strong> Christian-Jaque, Le<br />

Silence est d'or, La Beauté du diable, Belles <strong>de</strong> nuit, Porte <strong>de</strong>s Lilas <strong>de</strong> René Clair, French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir, Les<br />

Portes <strong>de</strong> la nuit <strong>de</strong> Marcel Carné, Ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> juillet <strong>de</strong> Jacques Becker, Avant le déluge d'André Cayatte, Une si jolie<br />

petite plage, Dédé d'Anvers d'Yves Allégret, Quai <strong>de</strong>s Orfèvres d'Henri-Georges Clouzot.<br />

(interviews en alternance avec les extraits).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 02/06/1975<br />

Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 05 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : TéléFrançaise<br />

196


Titre propre<br />

Madame Bovary <strong>de</strong> Gustave Flaubert<br />

Titre collection<br />

Lire c’est vivre<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Dumayet ; Producteur : Pierre Dumayet ; Réalisateur : Jean Cazenave<br />

Résumé<br />

Interviews successives d'habitants <strong>de</strong> Saint-André du désert en Bourgogne : Madame Aymorine, Madame<br />

Saclier, paysanne, et le comte Philibert <strong>de</strong> Rambuteau, sur le roman Madame Bovary <strong>de</strong> Flaubert ; extraits du<br />

film Madame Bovary <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/02/1976<br />

Durée : 00 h 55 min 00 sec<br />

Heure : 20 h 32 min 10 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

197


Titre propre<br />

Rétrospective Gabin<br />

Titre collection<br />

IT1 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Léon Zitrone, Robert Werner<br />

Résumé<br />

Rétrospective <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> Jean Gabin : extraits d'interview <strong>de</strong> Gabin par Léon Zitrone sur ses défauts, ses<br />

origines, ses débuts, sa carrière, ses enfants. Photos <strong>de</strong> ses rôles avant la guerre. Extraits <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong><br />

illusion <strong>de</strong> Jean Renoir, et <strong>de</strong> Touchez pas au grisbi <strong>de</strong> Jacques Becker. Photos <strong>de</strong>s rôles <strong>de</strong> Gabin patriarche.<br />

Autre sujet tourné dans la propriété <strong>de</strong> l'acteur (Les Aspres) le matin <strong>de</strong> l'annonce <strong>de</strong> sa mort. [différents plans]<br />

<strong>de</strong> sa maison, son chien aboyant, sa casquette pendue au portemanteau, chevaux dans les champs.<br />

interview d'une employée du domaine, et <strong>de</strong> voisins sur le comédien. Retour plateau Roger Gicquel qui récite un<br />

poème que Jacques Prévert a écrit sur Jean Gabin.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : télévision française 1 (TF1)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/11/1976<br />

Durée : 00 h 05 min 42 sec<br />

Heure : 20 h 04 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

198


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Luchino Visconti à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre propre<br />

Luchino Visconti ou la puissance d'être<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Michel Random ; Participant : Luchino Visconti<br />

Résumé<br />

« Renoir, c'était mon vrai maître... »: témoignage <strong>de</strong> Luchino Visconti qui fut l'assistant <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir : ce fut une « expérience essentielle » <strong>de</strong> travailler auprès <strong>de</strong> Jean Renoir ; Renoir lui a<br />

tout appris sans jamais cherché à lui apprendre les choses. Le film antifaschiste, Ossessione,<br />

qu'il réalisa à son retour en Italie (1943) est très influencé par Renoir et par certaines théories<br />

du cinéma français à l'époque du Front populaire.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 14/03/1977<br />

Durée : 00 h 02 min 54 sec<br />

Heure : 22 h 04 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

199


Titre propre<br />

Farceurs et pasticheurs<br />

Titre collection<br />

Apostrophes<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean-Louis Bory, Jean-Michel Royer, Jacques Martin, Jean-Christophe Averty, Jean-François Bizot,<br />

Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />

Résumé<br />

J.F. Bizot (Rire 2, Actuel par actuel) : actuel, journal qui fût une continuation (non politique) du délire <strong>de</strong> mai 68. Les<br />

remarquables parodies <strong>de</strong> journaux rassemblées dans Rire 2. Cl-Jean Philippe présente Une Partie <strong>de</strong><br />

campagne <strong>de</strong> J. Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/04/1977<br />

Durée : 01 h 00 min 00S sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

200


Titre propre<br />

Le temps <strong>de</strong>s escadrilles <strong>de</strong> 1910 à 1918<br />

Titre collection<br />

Histoire <strong>de</strong> l’aviation<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : René-Jean Bouyer, Daniel Costelle ; Participant : Georges Bellenger, Hans Georg von Der Osten,<br />

André Luguet, Georges Carpentier, Paul Tarascon, Gilbert Sardier, Josef Jacobs, Léonard Rochford, Willy<br />

Coppens <strong>de</strong> Houthuist, William Lambert, Armand <strong>de</strong> Turenne, Jean-Pierre Lafille, Joseph Frantz<br />

Résumé<br />

Emission consacrée à la pério<strong>de</strong> 1910-1918 retrace l'essor <strong>de</strong> l'aviation et la guerre <strong>de</strong>s as. Interview <strong>de</strong> G.<br />

Bellenger, capitaine commandant l'escadrille <strong>de</strong> la 6eme armée, sur les avions <strong>de</strong> reconnaissance - JP Lafille,<br />

pilote <strong>de</strong> « l'escadre du souvenir », pilote et décrit le caudron g3 - interview J. Frantz qui a abattu le 5.10.1914, le<br />

1er avion allemand en combat aérien. Interview H.G. von <strong>de</strong>r Osten, pilote allemand. Interview à Luguet sur les<br />

écoles <strong>de</strong> pilotages - interview du boxeur G. Carpentier (décédé en oct.1976) qui fût pilote <strong>de</strong> reconnaissance à<br />

Verdun.<br />

interview P. Tarascon (12 victoires), G. Sardier (15 victoires) A. <strong>de</strong> Turenne (15 victoires) sur l'esprit<br />

chevaleresques <strong>de</strong> ces as <strong>de</strong> l'aviation - extrait du film <strong>de</strong> Renoir La Gran<strong>de</strong> illusion. Interview J. Jacobs,<br />

pilote allemand, qui rencontra Guynemer en combat aérien - interview L. Rochford (anglais) - interview W.<br />

Coppens <strong>de</strong> Houthuist, as Belge spécialise danss la <strong>de</strong>struction <strong>de</strong>s ballons d'observation allemands - interview<br />

W. Lambert, un <strong>de</strong>s premiers pilotes américains. Interview H. Potez, constructeur d'avions, parle <strong>de</strong> l'essor<br />

industriel <strong>de</strong> la firme Breguet.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/05/1977<br />

Durée : 00 h 50 min 10 sec<br />

Heure : 20 h 38 min 25 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

201


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Louis Malle à propos <strong>de</strong>s producteurs<br />

Titre propre<br />

Les affaires sont les affaires<br />

Titre collection<br />

Ciné Première<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Louis Malle<br />

Résumé<br />

« Je crois qu'il faut, d'une façon générale, absolument pas prendre, pour nous qui faisons <strong>de</strong>s films, les gens qui produisent <strong>de</strong>s films,<br />

qui distribuent <strong>de</strong>s films, sont <strong>de</strong>s gens que nous ne <strong>de</strong>vons absolument pas prendre au sérieux... parce qu'ils manquent absolument <strong>de</strong><br />

sérieux... il faut se battre et il faut toujours revenir à la magnifique phrase <strong>de</strong> Jean Renoir qui<br />

disait : “les producteurs passent, puis nous on reste”... C'est très difficile, vous savez, le fait que le cinéma coûte<br />

si cher fait que c'est un commerce, c'est une industrie, et a priori j'ai jamais eu très confiance dans les gens d'argent et à juste titre ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/06/1978<br />

Durée : 00 h 01 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

202


Titre propre<br />

Portrait d'un décorateur Georges Wakhévitch<br />

Titre collection<br />

Pleins feux<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Georges Wakhevitch<br />

Résumé<br />

Françoise Dorin appelle au théléphone Georges Wakhévitch chez lui, pour lui dire qu'elle a modifié son décor<br />

pour Le Tout pour le tout. Wakhevitch explique la manière dont il travaille, montre <strong>de</strong>s maquettes et <strong>de</strong>s croquis <strong>de</strong><br />

ses décors, parle <strong>de</strong> sa collaboration avec Jean Cocteau, Peter Brook, Christian Bérard, Herbert<br />

von Karajan, Jean Renoir, André Roussin. Il trouve son métier <strong>de</strong> décorateur très difficile.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, paris : Télévision française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/11/1978<br />

Durée : 01 h 01 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

203


Titre propre<br />

Yves Robert à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

TF1 TF1<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Yves Robert<br />

Résumé<br />

En vue d'une émission sur Jean Renoir, Yves Robert se promenant dans Montmartre où vécut<br />

Renoir, se dit « spectateur <strong>de</strong> Renoir... tendrement, <strong>de</strong> façon bouleversée ». Il le considère<br />

comme le maître du cinéma français et lui doit d'être <strong>de</strong>venu cinéaste.<br />

Voix off <strong>de</strong> Jean Renoir sur <strong>de</strong>s tableaux <strong>de</strong> son père : « j'ai perçu que par la vérité extérieure, je<br />

pouvais espèrer joindre la vérité intérieure... ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/11/1978<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

204


Titre propre<br />

Jean Renoiret la vérité intérieure : éléments pour un portrait<br />

Titre collection<br />

Portrait<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Armand Panigel<br />

Résumé<br />

Cette émission composée d'interviews provenant d'émissions <strong>de</strong> radio et <strong>de</strong> télévision (ORTF), d'extraits <strong>de</strong> la<br />

totalité <strong>de</strong> ses films, <strong>de</strong> photographies <strong>de</strong> Jean Renoir à différentes époques <strong>de</strong> sa vie, <strong>de</strong> photographies et <strong>de</strong><br />

tableaux <strong>de</strong> son père Auguste Renoir et <strong>de</strong> phrases <strong>de</strong> son autobiographie Ma Vie et mes films, trace un portrait du<br />

cinéaste Jean Renoir, à la « personnalité foisonnante, insaisissable, contradictoire aux dires <strong>de</strong> ses commentateurs et <strong>de</strong> son oeuvre,<br />

irréductible à toute étiquette par son permanent changement <strong>de</strong> registre » (pour citer Armand Panigel, réalisateur <strong>de</strong> ce<br />

portrait). L'émission se termine par une interview <strong>de</strong> Renoir sur l'expression personnelle, la quête <strong>de</strong> vérité<br />

intérieure : « la gran<strong>de</strong> question est que si on veut se raconter soi-même, trop, on ne raconte rien du tout. Si on essaye <strong>de</strong> se raconter<br />

simplement en réussissant un objet ; si on se raconte à travers quelque chose que l'on veut faire ou raconter, alors on a une petite chance,<br />

mo<strong>de</strong>stement, en se cachant, <strong>de</strong> s'exprimer soi-même ».<br />

- Extraits <strong>de</strong>s films suivants :<br />

Catherine, une vie sans joie (1924), La Fille <strong>de</strong> l'eau, Nana, Sur un air <strong>de</strong> Charleston (1926), Marquitta (1927), La Petite<br />

marchan<strong>de</strong> d'allumettes (1928), Tire-au-flanc, Le Tournoi, Le Bled (1929), On purge bébé (1931), La Chienne, La Nuit du<br />

carrefour (1932), Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, Chotard et Compagnie (1933), Madame Bovary, Toni (1934), Le Crime <strong>de</strong> Monsieur<br />

Lange (1935), La Vie est à nous (1936), Une Partie <strong>de</strong> campagne, Les Bas-fonds, La Gran<strong>de</strong> illusion (1937), La Marseillaise<br />

(1938), La Bête humaine, La Règle du jeu (1939), La Tosca (1940), L'etang tragique / Swamp Water (1941), Vivre libre/This<br />

Land is mine (1943), L'homme du Sud /The Southerner (1945), La Femme sur la plage/The Woman on the Beach (1946), Le<br />

Fleuve (1951), Le Carrosse d'or (1952), French Cancan (1955), Eléna et les hommes (1956), Le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier<br />

(1959), Le Déjeuner sur l'herbe, Le Caporal épinglé (1962), Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir (1969).<br />

- Emissions INA dont sont extraites certains interviews <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />

- interviews issus du journal télévisé, du magazine Bibliothèque <strong>de</strong> poche.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/11/1978<br />

Durée : 00 h 55 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

205


Titre propre<br />

Cinéma<br />

Titre collection<br />

Salle <strong>de</strong>s fêtes<br />

Résumé<br />

Reportage sur l'exposition itinérante Hommage à Jean Renoir organisée par la Fédération<br />

française <strong>de</strong>s Cinés Clubs. Divers extrait <strong>de</strong> divers films, dont La Vie est à nous et Eléna et les<br />

hommes, extrait <strong>de</strong> la fin <strong>de</strong> La Règle du jeu. Courts extraits <strong>de</strong>s films, L'Ouragan vient <strong>de</strong> Navarone, Pair et<br />

impair, Rue <strong>de</strong> la joie.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/12/1978<br />

Durée : 00 h 50 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

206


Titre propre<br />

Jean Renoir ou l'amour du paradoxe<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : Le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

L'enfance <strong>de</strong> Jean Renoir illustrée <strong>de</strong> vues actuelles <strong>de</strong> Montmartre, puis évocation <strong>de</strong> ses débuts au cinéma :<br />

l'influence <strong>de</strong> la peinture impressionniste et l'importance <strong>de</strong> l'eau, sans laquelle il ne concevait pas le cinéma.<br />

Extrait d'un film <strong>de</strong> Chaplin qu'il admirait beaucoup ainsi que Griffith et von Stroheim. Le rôle <strong>de</strong> Catherine<br />

Hessling qui fût son inspiratrice. Extraits <strong>de</strong>s films suivants, tous réalisés avec Catherine Hessling : La Fille <strong>de</strong> l'eau,<br />

La Petite marchan<strong>de</strong> d'allumettes, Nana, Sur un air <strong>de</strong> Charleston.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, PARIS : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, PARIS : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/01/1979<br />

Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 37 min 30 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

207


Titre propre<br />

La naissance du cinéma parlant ou le ren<strong>de</strong>z-vous du son avec l'image<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Cette émission également intitulée le ren<strong>de</strong>z-vous du son avec l'image fait revivre l'évolution <strong>de</strong> la technique<br />

cinématographique a la fin <strong>de</strong>s années 20 et les nouvelles réalisations <strong>de</strong>s créateurs s'adaptant avec plus ou moins<br />

<strong>de</strong> facilite au cinéma parlant. La première projection <strong>de</strong> cinéma parlant eut lieu a l'exposition universelle <strong>de</strong> 1900<br />

avec Cyrano <strong>de</strong> Bergerac et en octobre 1927 les français découvrent le premier film parlant avec Le Chanteur <strong>de</strong> jazz.<br />

L'émission est également composée d'extraits <strong>de</strong>s films suivants : On purge bébé (Jean Renoir<br />

1931), Les Deux timi<strong>de</strong>s, Sous les toits <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> René Clair, Le Mystère <strong>de</strong> la chambre jaune et Le Parfum <strong>de</strong> la dame en noir<br />

<strong>de</strong> Marcel L’Herbier, La Petite Lise <strong>de</strong> Jean Grémillon et La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : le Seuil audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/01/1979<br />

Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 37 min 15 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

208


Titre propre<br />

La nuit <strong>de</strong>s césars 1979<br />

Résumé<br />

hommages sont rendus à C. Vanel, Mickey et à 4 grands réalisateur français R. Clair, J. Renoir, M.<br />

L’Herbier et A. gance (extraits <strong>de</strong>s portraits réalisés par Panigel)<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/02/1979<br />

Durée : 02 h 58 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

209


Titre propre<br />

Le cinéma en son temps : les années trente ou le paradis perdu<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : Le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Documents d'archives sur le cinéma <strong>de</strong>s années 1930, un cinéma engagé, militant, dénonçant la société, prenant<br />

le parti <strong>de</strong>s ouvriers. Extraits <strong>de</strong>s films A nous la liberté <strong>de</strong> R. Clair, La Vie est à nous et La Règle du jeu <strong>de</strong> J.<br />

Renoir, La Belle équipe <strong>de</strong> J. Duvivier, Le Jour se lève <strong>de</strong> M. Carné, L’Espoir d'A. Malraux et Paradis perdu d'A.<br />

gance. Documents Actualités sur :l'Allemagne et Hitler, en France : la marche <strong>de</strong>s chômeurs <strong>de</strong> 33,<br />

manifestations, victoire du front populaire et départ <strong>de</strong>s soldats pour la guerre.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, paris : Le Seuil audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 04/02/1979<br />

Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 57 min 47 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

210


Titre propre<br />

Rétro Renoir<br />

Titre collection<br />

Soir 3<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean-Louis Barrault<br />

Résumé<br />

Annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir : rediffusion d'une interview du cinéaste (ARCH INA, 20h du 23/05/1961) à<br />

propos <strong>de</strong> son film Le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier ; témoignage <strong>de</strong> Jean-Louis Barrault sur la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Renoir<br />

pour diriger les acteurs.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/02/1979<br />

Durée : 00 h 00 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

211


Titre propre<br />

Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Midi 2<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean Renoir<br />

Résumé<br />

Suite à l'annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir, courte retrospective : photos du cinéaste, <strong>de</strong> son père, Auguste<br />

Renoir, photos <strong>de</strong> ses films, extraits d'interviews (issues <strong>de</strong> l'émission Bibliothèque <strong>de</strong> poche et du 20h du<br />

23/05/1961).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/02/1979<br />

Durée : 00 h 01 min 50 sec<br />

Heure : 12 h 53 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

212


Titre propre<br />

Nécrologie Renoir<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Georges Begot ; Présentateur : Patrick Poivre d'Arvor<br />

Résumé<br />

Retrospective en images sur la carrière, la personnalité <strong>de</strong> Jean Renoir dont on vient d'apprendre le décès :<br />

- Interview <strong>de</strong> Renoir sur sa difficulté à choisir une profession artistique « d'expression personnelle » du fait qu'il était<br />

impressionné par l'exemple <strong>de</strong> son père<br />

- Photo <strong>de</strong> Jean Renoir avec son père Auguste Renoir<br />

- Photos d'un <strong>de</strong> ses premiers films La Petite marchan<strong>de</strong> d'allumettes<br />

- Autre interview (extrait <strong>de</strong> l'émission Bibliothèque <strong>de</strong> poche)<br />

- Photos <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, <strong>de</strong> La Bête humaine<br />

- Interview<br />

- Photos <strong>de</strong> La Règle du jeu du Carrosse d'or, affiche du film Le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier<br />

- Extrait d'une interview <strong>de</strong> Jean Renoir (extrait 20h du 23/05/1961) à propos <strong>de</strong> ce film et <strong>de</strong>s moyens<br />

techniques utilisés (caméras multiples)<br />

- Photo <strong>de</strong> son <strong>de</strong>rnier film Le Petite théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/02/1979<br />

Durée : 00 h 02 min 44 sec<br />

Heure : 20 h 02 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

213


Titre propre<br />

Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

IT1 13H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Marion Desmarres<br />

Résumé<br />

Retrospective en images, suite à l'annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />

- Remise <strong>de</strong> la légion d'honneur à Renoir par Françoise Giroud<br />

- Interview <strong>de</strong> Renoir extrait <strong>de</strong> Jean Renoir, le patron, film réalisé par Jacques Rivette en 1966<br />

- Extrait <strong>de</strong> Une Partie <strong>de</strong> campagne<br />

- Photos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/02/1979<br />

Durée : 00 h 04 min 20 sec<br />

Heure : 13 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

214


Titre propre<br />

Rétrospective Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

IT1 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Marion Desmarres<br />

Résumé<br />

Retrospective en images, suite à l'annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />

- Interview <strong>de</strong> Renoir au bord <strong>de</strong> la Marne, extrait <strong>de</strong> Jean Renoir, le patron, film réalisé par Jacques Rivette en<br />

1966<br />

- Extraits <strong>de</strong>s films Une Partie <strong>de</strong> campagne et Les Bas-fonds<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/02/1979<br />

Durée : 00 h 04 min 08 sec<br />

Heure : 20 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

215


Titre propre<br />

Interview. JL Barrault<br />

Titre collection<br />

Soir 3<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Jean-Jacques Peyraud<br />

Résumé<br />

Interview J.L. Barrault a propos du décès <strong>de</strong> J. Renoir. Parle du tournage du Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/02/1979<br />

Durée : 00 h 01 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

216


Titre propre<br />

Les obsèques <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Soir 3<br />

Résumé<br />

Dans le petit cimetière d'Essoyes dans l'Aube où Jean Renoir a voulu être enterré : hommes portant le cercueil,<br />

plan <strong>de</strong> la femme et du fils du cinéaste, bénissant le cercueil. Plan <strong>de</strong> la tombe et du buste d'Auguste Renoir la<br />

surmontant.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Dijon : France 3 Dijon Bourgogne Franche-Comté (F3DJ)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/02/1979<br />

Durée : 00 h 00 min 30 sec<br />

Heure : 22 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

217


Titre propre<br />

Obsèques Renoir<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste: Patrick Poivre d'Arvor<br />

Résumé<br />

Courts plans <strong>de</strong> la cérémonie au cimetière d'Essoyes pour les obsèques <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Reims : France Régions 3 (FR3RE)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Sujet repris <strong>de</strong> France 3 régions<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/02/1979<br />

Durée : 00 h 00 min 33 sec<br />

Heure : 20 h 13 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

218


Titre propre<br />

Obsèques Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

IT1 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Jean-Clau<strong>de</strong> Narcy ; Présentateur : Roger Gicquel<br />

Résumé<br />

Obsèques du cinéaste Jean Renoir dans le petit cimetière d'Essoyes en Champagne, berceau <strong>de</strong> la famille Renoir<br />

: hommes portant le cercueil ; plan d'une femme (Madame Renoir)<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Dijon : France 3 Dijon Bourgogne Franche-Comté (F3DJ)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/02/1979<br />

Durée : 00 h 00 min 00 sec<br />

Heure : 20 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

219


Titre propre<br />

Les années trente : Jean Renoir, la tendresse et le déchirement<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Emission consacrée à Jean Renoir et plus particulièrement aux films qu'il a réalisés dans les années 30. Cette<br />

émission est constituée d'extraits <strong>de</strong> films, uniquement : La Chienne (1931), Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (1932), Une Partie <strong>de</strong><br />

campagne (1936) et La Règle du jeu (1939). Photos d'autres films <strong>de</strong> Renoir, évocation <strong>de</strong>s différents rôles qu'il a tenus<br />

lui-même dans certains films ; le personnage d'Octave dans La Règle du jeu, en particulier. Sont évoqués aussi, le<br />

rôle, l'importance <strong>de</strong> l'environnement et <strong>de</strong> la nature dans l'oeuvre <strong>de</strong> Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 04/03/1979<br />

Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 36 min 55 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

220


Titre propre<br />

Michel Simon ou l'innocence du diable<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Auteur du texte original parlé : Clau<strong>de</strong>-<br />

Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

L'émission restitue l'univers et la personnalité <strong>de</strong> Michel Simon à travers sa biographie illustrée <strong>de</strong> photos, d'un<br />

extrait en couleur <strong>de</strong> L'Invite du dimanche du 11/10/1970 (réal Guy Seligmann) et d'extraits <strong>de</strong> ses films : Le Vieil<br />

homme et l'enfant <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Berri, Feu Mathias Pascal <strong>de</strong> Marcel L’Herbier, Tire au flanc <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />

L'Atalante <strong>de</strong> Jean Vigo, Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux et La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir, La Vie d'un honnête homme <strong>de</strong><br />

René Clair, et Drôle <strong>de</strong> drame <strong>de</strong> Marcel Carné. Il est question <strong>de</strong> son association avec les Pitoeff, <strong>de</strong> ses débuts<br />

dans le théâtre <strong>de</strong> boulevard, <strong>de</strong> sa collaboration avec Jean Vigo, Jean Renoir, Sacha Guitry, <strong>de</strong> l'importance<br />

qu'il eût pour leurs films précités. A ces informations, se mêle l'analyse du caractère et du comportement du<br />

comédien.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 25/03/1979<br />

Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 33 min 55 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

221


Titre propre<br />

Le réalisme poétique ou l'école française <strong>de</strong>s années 30<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe fait découvrir les beautés du cinéma français <strong>de</strong>s années 30, la gran<strong>de</strong> époque du réalisme<br />

poétique à travres <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong>s films suivants : 14 juillet, A nous la liberté et Le Million <strong>de</strong> René Clair ; Jenny et Le<br />

Jour se lève <strong>de</strong> Marcel Carné ; L'Etrange Monsieur Victor <strong>de</strong> Jean Gremillon, Le Grand jeu <strong>de</strong> Jacques Fey<strong>de</strong>r, Le<br />

Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange <strong>de</strong> Jean Renoir et La Belle équipe <strong>de</strong> Julien Duvivier.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/04/1979<br />

Durée : 00 h 25 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 49 min 30 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

222


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Satyajit Ray à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre propre<br />

Satyajit Ray<br />

Titre collection<br />

Fenêtre sur<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Georges Luneau ; Participant : Satyajit Ray (Cinéaste)<br />

Résumé<br />

Le cinéaste Indien Satyajjt Ray évoque sa rencontre avec Renoir, comment il travailla sur les repérages du film<br />

Le Fleuve que Renoir réalisa en In<strong>de</strong>.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/05/1979<br />

Durée : 00 h 00 min 59 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

223


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Sur les <strong>de</strong>rniers romans <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre propre<br />

De Hollywood à Cannes<br />

Titre collection<br />

Apostrophes<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : François Truffaut, Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />

Résumé<br />

François Truffaut et Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe parlent <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rniers écrits <strong>de</strong> Jean Renoir : Le Crime <strong>de</strong> l'Anglais<br />

(roman). Julienne et son amour (scenario).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/05/1979<br />

Durée : 00 h 02 min 06 sec<br />

Heure : 21 h 30 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

224


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Ariane Mnouchkine à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre propre<br />

Ariane Mnouchkine<br />

Titre collection<br />

L’Invité du jeudi<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Luc Leridon ; Présentateur : Hélène Vida ; Participant : Ariane Mnouchkine<br />

Résumé<br />

Ariane Mnouchkine, interviewée par Hélène Vida dans L'Invité du jeudi parle <strong>de</strong> son admiration pour Jean<br />

Renoir, le plus grand cinéaste français selon elle. Elle l'aime pour sa chaleur, son amour <strong>de</strong>s êtres humains, <strong>de</strong>s<br />

acteurs.<br />

Rediffusion (arch INA Bibliothèque <strong>de</strong> poche) d'une interview <strong>de</strong> Renoir à propos <strong>de</strong>s Contes d'An<strong>de</strong>rsen.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 29/06/1979<br />

Durée : 00 h 04 min 59 sec<br />

Heure : 16 h 05 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

225


Titre propre<br />

Paris<br />

Titre collection<br />

Les Gran<strong>de</strong>s villes du mon<strong>de</strong><br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jacques Dupont ; Commentateur : Jacques Laurent ; Interprète : Anne Sylvestre (Off) ; Participant :<br />

Pierre Chaunu (Sociologue), Michelle Perrot (Historienne), René Clair, James <strong>de</strong> Coquet (Journaliste), Stephen<br />

Cohen (Couturier), Raoul Girar<strong>de</strong>t (Historien)<br />

Résumé<br />

Evocation <strong>de</strong> Paris à travers l'histoire <strong>de</strong> ses révoltes, <strong>de</strong> ses monuments, <strong>de</strong> son peuple. Le commentaire off<br />

célèbre la renommée et l'influence mondiale <strong>de</strong> ses artistes, <strong>de</strong> son esprit et <strong>de</strong> sa mo<strong>de</strong>. Interview d'historiens, <strong>de</strong><br />

sociologues, d'un cinéaste (René Clair), d'un couturier (Stéphen Cohen). L'émission est illustrée par <strong>de</strong> nombreux<br />

plans <strong>de</strong> la ville et <strong>de</strong> ses habitants, par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films (le géant <strong>de</strong> la steppe d'Alexandre Touchko,<br />

Duguesclin <strong>de</strong> Bernard <strong>de</strong> la Tour, La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir, Les Misérables <strong>de</strong> Raymond Bernard, Les<br />

Enfants du paradis <strong>de</strong> Carne, La Nouvelle Babylone <strong>de</strong> G. Kozintsev, Le Silence est d'or <strong>de</strong> R. Clair), par <strong>de</strong>s séquences<br />

d'actualités et par la chanson off d'Anne Sylvestre La Seine. La compagnie <strong>de</strong>s saltimbanques interprète quelques<br />

scènes <strong>de</strong> théâtre en plein air.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/07/1979<br />

Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />

Heure : 20 h 32 min 20 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

226


Titre propre<br />

Jean Gabin ou la vérité première<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Auteur du texte original parlé : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Compositeur<br />

musique originale oeuvre télé : Renaud Gagneux ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Cette émission retrace la carrière cinématographique <strong>de</strong> Jean Gabin, et est illustrée tout<br />

d'abord d'extraits <strong>de</strong>s films qu'il tourna avant la guerre, avec Carné, Prevert, Renoir, Duvivier<br />

et dans lesquels il interprétait souvent <strong>de</strong>s héros tragiques, puis <strong>de</strong> films réalisés pendant la secon<strong>de</strong> partie <strong>de</strong> sa<br />

carrière. Nous voyons entre autres <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Le Jour se lève, Remorque, La Traversée <strong>de</strong> Paris, Le plaisir, La Bête<br />

humaine (liste au générique)<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : le Seuil audovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 30/09/1979<br />

Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 53 min 10 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

227


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Pierre Braunberger sur Jean Renoir<br />

Titre propre<br />

Portrait d'un producteur : Pierre Braunberger<br />

Titre collection<br />

Fenêtre sur<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Robert Rea ; Présentateur : Jean-Jacques Bernard ; Participant : Pierre Braunberger<br />

Résumé<br />

Pierre Braunberger parle <strong>de</strong> Jean Renoir dont il a produit les premiers films : « un homme qui ne vivait que pour le<br />

cinéma... sa passion du geste, puis du verbe ». Il évoque la production, le tournage <strong>de</strong> Tire-au-flanc en 1929 avec Michel<br />

Simon, puis le tournage <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne interrompu plusieurs fois, qui trouva sa forme définitive juste avant<br />

le début <strong>de</strong> la guerre.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 22/10/1979<br />

Durée : 00 h 05 min 42 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

228


Titre propre<br />

Cinéma<br />

Titre collection<br />

Les ren<strong>de</strong>z-vous du dimanche<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Pierre Dux, Jean-Pierre Rawson, Jean Carmet, Veronique Muche, Woody Allen, Eve Darlan, Jean-<br />

Michel Ribes<br />

Résumé<br />

P. Dux pour son rôle dans la pièce La Fraîcheur <strong>de</strong> l'eau au théâtre <strong>de</strong> l'Athénée, sa charge au français, ses rôles au<br />

cinéma. JP Rawson pour son film Gros câlin. J. Carmet et V. Muchet pour leur rôle dans ce film avec Nino<br />

Manfredi extrait du film. Document Intrview <strong>de</strong> W. Allen pour son film Manhattan 4 extraits du film. E. Darlan<br />

parle <strong>de</strong> sa carrière. Jm. Ribes pour son film Avec elle rien ne va plus extrait du film. J Carmet reçoit Les<br />

Carnets du cinéma <strong>de</strong> J. Renoir qu'il évoque brièvement<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Télévision française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/12/1979<br />

Durée : 01 h 21 min 25 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

229


Titre propre<br />

Jacques Becker ou l'élégance morale<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Extraits <strong>de</strong> Touchez pas au grisbi, Boudu sauve <strong>de</strong>s eaux, La Gran<strong>de</strong> illusion, La Vie est à nous, Ren<strong>de</strong>z-vous<br />

<strong>de</strong> juillet, Goupi-mains rouges, Falbalas, Édouard et Caroline, Casque d'or, Le Trou pour illustrer le style et la carrière <strong>de</strong><br />

Jacques Becker <strong>de</strong>puis l'assistant <strong>de</strong> J. Renoir jusqu'à son <strong>de</strong>rnier film en 1960.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/12/1979<br />

Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 54 min 50 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

230


Titre propre<br />

Jean Renoir : propos ultimes<br />

Titre collection<br />

Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />

Résumé<br />

Emission consacrée à Jean Renoir, à la <strong>de</strong>rnière partie <strong>de</strong> sa filmographie plus particulièrement, composée<br />

d'extraits <strong>de</strong>s films suivant : Le Caporal épinglé (1962), Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier (1959), Le Carrosse d'or (1953),<br />

French-cancan (1955) et Le Petit theâtre <strong>de</strong> Jean Renoir (1971). Photos <strong>de</strong> Jean Renoir lors <strong>de</strong> tournages.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/12/1979<br />

Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />

Heure : 21 h 54 min 33 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

231


Pour saluer Renoir<br />

Film montage <strong>de</strong> Roger Viry-Babel, Nancy, 1980, 120 mn.<br />

Titre propre<br />

Dalio<br />

Titre collection<br />

Mi fugue, mi raison<br />

Notes du titre<br />

Et si l’on jouait au cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Marcel Dalio ; Journaliste : Christine d' Izarny, Jean-Noël Ro<br />

Résumé<br />

Délicieux numéro <strong>de</strong> cabotinage <strong>de</strong> M. Dalio : ses rôles, l'humour au cinéma, sa collaboration avec Renoir.<br />

Extrait d'une scène avec Gabin.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 06/02/1980<br />

Durée : 02 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

232


Titre propre<br />

Jean Gabin: 1ere partie<br />

Titre collection<br />

Ces chers disparus<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Denis Derrien ; Participant : Fernand Ledoux, Edwige Feuillere, Ginette Leclerc, Viviane Romance<br />

Résumé<br />

Première émission d'une série <strong>de</strong> cinq consacrée à Gabin : le début <strong>de</strong> sa carrière au music-hall et au cinéma<br />

avec <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong>s années 30 ( Renoir, Allegret, Duvivier) et d'émissions <strong>de</strong><br />

télévision ou il était interviewe. Fernand Ledoux, Edwige Feuillère, Ginette Leclerc et Viviane Romance<br />

évoquent le personnage qu'ils ont connu et avec qui ils ont travaillé.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Télévisio française 1 (TF1)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/11/1980<br />

Durée : 00 h 12 min 55 sec<br />

Canal : 1ere chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />

233


Titre propre<br />

Histoire du film-annonce<br />

Titre collection<br />

Ciné regards<br />

Générique et auteurs<br />

Commentateur : Jean Martinelli ; Réalisateur : Moise Maatouk<br />

Résumé<br />

Evolution <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong>-annonce <strong>de</strong>puis les débuts <strong>de</strong> hollywood jusqu'à nos jours-premières Ban<strong>de</strong>-annonces <strong>de</strong><br />

films i<strong>de</strong>ntifiés : Marguerite Gauthier <strong>de</strong> Cukor. La Rivière sans retour <strong>de</strong> Preminger.Cléopatre <strong>de</strong> Mankiewicz. Les<br />

Parapluies <strong>de</strong> Cherbourg <strong>de</strong> Demy. Superman <strong>de</strong> Lester. Rosemary's Baby <strong>de</strong> Polanski. Orange mécanique <strong>de</strong> Kubrick. Tout<br />

le mon<strong>de</strong> il est beau... <strong>de</strong> Jean Yanne. Emmanuelle Just Jaeckin. Jean Renoir présente La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />

Fernan<strong>de</strong>l présente Un <strong>de</strong> la légion. Hitchcock présente Psychose. Présentation <strong>de</strong> Que viva Mexico d’Eisenstein par<br />

celui qui termina le film. Cécil B. <strong>de</strong> Mille présenté Les 10 comman<strong>de</strong>ments. Ban<strong>de</strong> Annonce fictive réunissant tous<br />

les grands noms du cinéma mondial.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 26/09/1981<br />

Durée : 00 h 30 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

234


Titre propre<br />

Des Renoir<br />

Titre collection<br />

Voyage entre les lignes<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Michel Guillet ; Producteur : Roger Babel-Viry ; Interprète : Marcel Dalio, Françoise Arnoul,<br />

Marcel Dalio, Clau<strong>de</strong> Renoir<br />

Résumé<br />

Cette émission est consacrée à la famille Renoir, à Auguste et à Jean Renoir :<br />

Françoise Arnoul, actrice <strong>de</strong> French Cancan et Marcel Dalio, acteur dans La Règle du jeu, parlent <strong>de</strong> Jean Renoir et<br />

évoquent <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> tournage ; ils lisent <strong>de</strong>s passages <strong>de</strong> livres <strong>de</strong> Renoir, l'un consacré à ses souvenirs<br />

d'enfance et à son père, l'autre constitué d'écrits sur le cinéma ; Clau<strong>de</strong> Renoir (neveu <strong>de</strong> Jean Renoir ) et <strong>de</strong>s<br />

habitants d'Essoyes en Champagne où vécurent les Renoir, apportent aussi leurs témoignages ; témoignages qui<br />

sont entrecoupés d'images d'illustration (reportage à Essoyes où vécut la famille Renoir) et d'images d'archives :<br />

extrait d'un film sur Auguste Renoir, Comme <strong>de</strong> chez nous, réalisé par Sacha Guitry, tableaux <strong>de</strong> Renoir, extraits du<br />

film La Direction d'acteurs <strong>de</strong> Gisèle Braunberger, interviews off <strong>de</strong> Jean Renoir, images d'actualités ainsi que <strong>de</strong><br />

nombreuses photos <strong>de</strong> la famille et <strong>de</strong> Montmartre au temps d'Auguste Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Nancy : France 3 Nancy (F3NY)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/12/1981<br />

Durée : 00 h 55 min 00S sec<br />

Heure : 15 h 43 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

235


Titre propre<br />

Paris au bord <strong>de</strong>s lèvres<br />

Générique et auteurs<br />

Interprète : Colette Renard ; Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />

Résumé<br />

Une magnifique promena<strong>de</strong> à travers Paris <strong>de</strong> 1897 à mai 68. Films, documents, chansons, poèmes,<br />

photographies témoignent <strong>de</strong>s grands moments et <strong>de</strong> la vie quotidienne à Paris. Les chansons interprétées par C.<br />

Renard et le commentaire off <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-JeanPhilippe relient les documents sélectionnés, les uns aux autres.<br />

L'ensemble révèle l'amour profond <strong>de</strong> l'auteur pour cette ville chargée <strong>de</strong> l'histoire <strong>de</strong> son peuple, documents sur<br />

les chansons :M. Chevalier :Paris, je t'aime, Les Gars <strong>de</strong> Menilmontant, en off : Sous les ponts <strong>de</strong> Paris ; C.Trénet : Le Bal<br />

<strong>de</strong> la nuit et en off : La Ma<strong>de</strong>lon ; Mistinguett : Oui je suis Paris, en off : Ca c'est Paris ; J.Gréco : Là rue <strong>de</strong>s blancs<br />

manteaux Y. Montand : Les Grands boulevards ; Patachou : Le Bal chez temporel ; E.Piaf : Milord ; J.Brel : Vesoul, J.<br />

Dutronc : Paris s'éveille ; documents historiques : exposition universelle 1900, promena<strong>de</strong> au bois <strong>de</strong> Boulogne<br />

1914, mobilisation août 14, charleston, tramways, mouvement dada, circulation, guinguettes <strong>de</strong> Nogent 1929,<br />

défiles front populaire, paris occupe, guerre 39.45, bal paris libéré, 6 jours du vel'd'hiv., mort <strong>de</strong> Piaf, événements<br />

mai 68, photographies <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> R. Moineau.<br />

extraits <strong>de</strong>s films : Le Silence est d'or <strong>de</strong> René Clair (1945), Les Femmes chauffeurs, La Ma<strong>de</strong>lon, Entr'acte, Sous les toits <strong>de</strong><br />

Paris <strong>de</strong> R. Clair ; Nogent, eldorado du dimanche <strong>de</strong> M. Carné, La chanson <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> J. <strong>de</strong> Baroncelli ; Faubourg<br />

Montmartre <strong>de</strong> R. Bernard, Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> J. Renoir ; L’Atalante <strong>de</strong> J. Vigo ; La Belle équipe <strong>de</strong> J.<br />

Duvivier, Le Jour se lève <strong>de</strong> M. Carné ; Rigolboche <strong>de</strong> Christian-Jaque. Copie conforme et La Libération <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> J.<br />

Dréville, Pourvu qu'on ait l'ivresse <strong>de</strong> J. Pollet, Orphée <strong>de</strong> J. Cocteau ; en off C.J. Philippe dit <strong>de</strong>s poèmes<br />

d'Appollinaire, Elvard ; C. Renard chante pour l'émission : Paris ; Rue st-Vincent, Le Doux caboulot, Du gris, Une Java,<br />

Ici, l'on pèche, Seule ce soir Irma la douce, Ce sacre bistrot, Le Rô<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> Paris.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 28/12/1981<br />

Durée : 01 h 32 min 00 sec<br />

Heure : 20 h 31 min 08 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

236


Titre propre<br />

Le cinéma d'Angelo Rinaldi<br />

Titre collection<br />

Ciném Cinémas<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong> Ventura, Gérard Guegan, Raphaël Sorin ; Participant : Angelo Rinaldi<br />

Résumé<br />

L'écrivain Angelo Rinaldi s'est rendu au château <strong>de</strong> La Ferté Saint-Aubin où Jean Renoir tourna La Règle du jeu<br />

qui est le « film <strong>de</strong> sa vie ». Dans la voiture qui l'y conduit il évoque son enfance, sa découverte du cinéma et les<br />

films <strong>de</strong> cette époque. Des extraits du film <strong>de</strong> J. Renoir alternent avec <strong>de</strong>s plans du château tel qu'il est<br />

aujourd'hui.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/01/1982<br />

Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 30 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

237


Titre propre<br />

Dépêches retardées<br />

Titre collection<br />

Cinéma Cinémas<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : André S. Labarthe ; Interprète : Jean-Clau<strong>de</strong> Dauphin<br />

Résumé<br />

Nouvelles brèves du cinéma et <strong>de</strong>s cinéastes : Jean Clau<strong>de</strong> Dauphin lit <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Paris-province un projet <strong>de</strong><br />

film <strong>de</strong> Jean Renoir illustré par <strong>de</strong>s photos et un extrait <strong>de</strong> Une Partie <strong>de</strong> campagne dont l'univers est proche.<br />

Ce projet <strong>de</strong> film fait partie d'un recueil <strong>de</strong> récits inédits <strong>de</strong> Renoir intitulé Jean Renoir, oeuvres <strong>de</strong> cinéma inédites,<br />

synopsis, traitements, continuités dialoguées, découpages que publient les Cahiers du cinéma et les Editions Gallimard.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/01/1982<br />

Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

238


Titre propre<br />

Il était trente cinq fois cannes : émission du 17 mai 1982<br />

Titre collection<br />

Il étais trente cinq fois Cannes<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : France Roche ; Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, Jack Lang, Joseph Losey, Ruggero Raimondi,<br />

Satyajit Ray, Giorgio Strehler, Gabriel Garcia Marquez, Géraldine Chaplin, Jean-Jacques Annaud, Volker<br />

Schlondorff, Michelangelo Antonioni, John Boorman, Brigitte Fossey, Charles Aznavour, Julien Clerc, Miou-<br />

Miou ; Réalisateur, Jacques Meny ; Producteur : France Roche<br />

Résumé<br />

Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, sur la Croisette à Cannes, commente le gala d'inauguration du 35eme festival <strong>de</strong> cannes, au<br />

cours duquel on reconnaît les personnalités susnommées. Il commente aussi un montage <strong>de</strong> documents avec<br />

Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Orson Welles, Erich von Stroheim, Charles Chaplin, Roberto Rossellini, Luchino<br />

Visconti, William Wyler, Jacques Becker, Henri-Georges Clouzot, Jean Renoir, Jean Cocteau et JC Brialy. Il<br />

évoque ses souvenirs : son premier festival il y a 24 ans avec Alain Delon et Brigitte Auber, sa rencontre avec<br />

Cocteau.<br />

il parle <strong>de</strong> son rôle dans La Nuit <strong>de</strong> Varennes d'Ettore Scola (extrait) et <strong>de</strong> Diane Keaton qu'il rêve <strong>de</strong> rencontrer<br />

(extrait L’Usure du temps d' Alan Parker). Diverses vues <strong>de</strong> Cannes.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/05/1982<br />

Durée : 00 h 10 min 50 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

239


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

François Truffaut à propos d’André Bazin<br />

Titre propre<br />

Sous le regard du public<br />

Titre collection<br />

Apostrophes<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Luc Leridon ; Présentateur : Bernard Pivot ; Participant : François Truffaut<br />

Résumé<br />

Interview plateau par Bernard Pivot du cinéaste François Truffaut présente un livre qu'il a préfacé, une<br />

biographie du critique <strong>de</strong> cinéma André Bazin écrite par un écrivain Américain, Dudley Andrew.<br />

François Truffaut explique que André Bazin était le plus grand critique <strong>de</strong> cinéma, un véritable "écrivain" <strong>de</strong><br />

cinéma et un animateur <strong>de</strong> ciné-clubs. Selon lui il a eu <strong>de</strong> l'influence sur le public mais aussi sur <strong>de</strong>s<br />

metteurs en scène plus âgés que lui, comme Jean Renoir. Il regrette qu'il soit mort avant<br />

l'éclosion <strong>de</strong> la « Nouvelle vague », car il aurait sans doute apprécié les films <strong>de</strong> cette pério<strong>de</strong><br />

car ils étaient plus « personnels ».<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/04/1983<br />

Durée : 00 h 05 min 16 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

240


Titre propre<br />

Le cinéma <strong>de</strong> Ray<br />

Titre collection<br />

Itinéraires<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Fabienne Strouve ; Journaliste : Sophie Richard ; Présentateur : Sophie Richard, Clau<strong>de</strong>-Jean<br />

Philippe ; Participant : Satyajit Ray, Jean-Loup Passek<br />

Résumé<br />

Cette série d'émission nous propose <strong>de</strong> découvrir le cinéma <strong>de</strong>s pays d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique latine. La<br />

parole sera donnée chaque fois a un grand cinéaste. Aujourd'hui le cinéma Indien est illustré par <strong>de</strong> nombreux<br />

extraits <strong>de</strong> films et un interview <strong>de</strong> Satyajit Ray. S. Richard et Clau<strong>de</strong>-Jean. Philippe présentent le cinéma Indien<br />

selon trois tendances :le cinéma populaire avec <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Amar Akbar Antony <strong>de</strong> M Abai et <strong>de</strong> Sholay <strong>de</strong><br />

Ramesh Sippy. S. Ray explique qu'en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s thèmes ces films sont bien réalisés.<br />

le cinéma <strong>de</strong> Ray :avec un long interview <strong>de</strong> Ray sur ses influences, le rôle <strong>de</strong>s femmes et le poids <strong>de</strong>s traditions<br />

au travers <strong>de</strong> ses films et <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Pather Pantchali, Le Mon<strong>de</strong> d'Apu, La Gran<strong>de</strong> cité et Les Joueurs d'échec. S. Ray<br />

témoigne <strong>de</strong> son amitié pour J. Renoir dont il a été l'assistant pour le film Le Fleuve. La <strong>de</strong>rnière<br />

partie est consacrée au nouveau cinéma Indien avec <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Ankur <strong>de</strong> S. Benegal et d'Affaire classée <strong>de</strong><br />

Mrinal Sen. J-Loup Passek, responsable d'une rétro du cinéma Indien à Beaubourg, explique que Cannes a un<br />

peu oublié le cinéma Indien et que les festivals <strong>de</strong> Nantes et <strong>de</strong> la Rochelle ont fait découvrir ce renouveau du<br />

cinéma Indien.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/06/1983<br />

Durée : 00 h 45 min 00 sec<br />

Heure : 16 h 54 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

241


Titre propre<br />

Autoportrait d'un inconnu<br />

Notes du titre<br />

Diffusé dans Le Grand échiquier : Cocteau vivant<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean Cocteau ; Réalisateur : Carole Weisweiller, Edgardo Cozarinsky<br />

Résumé<br />

Film réalisé à partir d'archives INA, <strong>de</strong> nombreux documents, d'archives privées inédites et conçu comme un<br />

autoportrait, le fil conducteur <strong>de</strong> l'émission étant donné par la voix <strong>de</strong> J. Cocteau et illustré par ses <strong>de</strong>ssins et ses<br />

films, en particulier Le Testament d'Orphée. Le poète nous parle <strong>de</strong> sa famille, <strong>de</strong> son enfance, <strong>de</strong> ses débuts. Il<br />

évoque ses rencontres avec Stravinsky, Picasso, Satie. Diaghilev créateur <strong>de</strong>s ballets russes, Coco Chanel,<br />

Nejinsky.<br />

il évoque son travail avec Picasso sur le spectacle Para<strong>de</strong> qui fît scandale tout comme Les mariés <strong>de</strong> la Tour Eiffel.<br />

Pendant la guerre 14-18, il est réformé, mais se fait photographier en uniforme. Cocteau décore <strong>de</strong>s chapelles. Il<br />

montre sa décoration <strong>de</strong> la salle <strong>de</strong>s mariages <strong>de</strong> Menton à Jean Renoir. Il parle <strong>de</strong> son <strong>de</strong>ssin<br />

ressemblant a l'improvisation <strong>de</strong> jazz. Film Cocteau sur son bateau Orphée 2, film couleur murs <strong>de</strong> la chapelle<br />

<strong>de</strong> villefranche.<br />

film NB Cocteau peignant la chapelle. Il parle <strong>de</strong> ses films « véhicules <strong>de</strong> poésie ». Extrait Testament d'Orphée, tournage<br />

<strong>de</strong> film. Il évoque les acteurs <strong>de</strong> théâtre du début XXeme, parle <strong>de</strong>s Parents terribles, Orphée, Le Sang d'un poète<br />

(extraits). Il évoque longuement R. Radiguet qu'il considérait comme son fils, parle <strong>de</strong> sa mort qui l'a frappé. Il<br />

évoque sa pério<strong>de</strong> d'opiomane (<strong>de</strong>ssins), parle <strong>de</strong>s Parents terribles, <strong>de</strong>s transpositions <strong>de</strong> tragédies. Film NB<br />

Cocteau, Marais sous la coupole, peignant avec Dali, parlant à sa statue <strong>de</strong> cire au musée Grévin, avec Chaplin à<br />

Villefranche.<br />

interview NB ou il évoque la gravité <strong>de</strong> son oeuvre, l'amitié sur images Villa Santo Sospir à st-Jean-Cap-Ferrât il<br />

parle <strong>de</strong> la mort qui change « un académicien en fauteuil ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production<br />

Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/10/1983<br />

Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

242


Titre propre<br />

Les grands metteurs en scène<br />

Titre collection<br />

Apostrophes<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Roman Polanski, François Truffaut, Marcello Mastroianni, Suso Cecchi d'Amico ; Réalisateur :<br />

Jean-Luc Leridon<br />

Résumé<br />

Emission consacrée aux grands metteurs en scène <strong>de</strong> cinéma. Avec R. Polanski pour son autobiographie intitulée<br />

Roman, F. Truffaut pour Hitchcock, Truffaut livre écrit en 1962, réédite aujourd'hui. M. Mastroiani présente Fellini<br />

par Fellini. Enfin F. Truffaut parle <strong>de</strong>s Lettres d'Amérique <strong>de</strong> J. Renoir. La discussion tourne autour <strong>de</strong><br />

la carrière <strong>de</strong>s metteurs en scène cités ou présents sur le plateau, chacun apportant son témoignage<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/04/1984<br />

Durée : 01 h 10 min 00S sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

243


Titre propre<br />

Les captifs <strong>de</strong> l'an 40<br />

Notes du titre<br />

Titre <strong>de</strong> fabrication : Les prisonniers <strong>de</strong> guerre<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean Cherasse ; Journaliste : Guylaine Gui<strong>de</strong> ; Interprète : Marc Allgeyer, Fabrice Bouhier, Gérard<br />

Probst, Jacky Viallon ; Participant : Pierre Marizier, Joseph Grospiron, Robert Paumier, René Dufour, Alberic<br />

Vaillant, Pierre Durr, René Virlouvet, François Mitterrand, Francis Le Bruno, Armand Mereau, Rene Picard,<br />

Michel Cailliau, André Lolmè<strong>de</strong>, Marguerite Gui<strong>de</strong>z, Paulette Auroux, Pierre Migault, Pierre Levrard, Jean<br />

Bemer, Pierre Marti, Emmanuel Godard, René Foin, Georges Le Peltier, Albert Becart, Fred Pithon, Gérard<br />

Rommelaers, Julien Azoulay, Victorien Chabidon, Lucien Meloux, Raymond Thomin, Jean-André Bas,<br />

Maxime Denaix, Alphonse Echasseriau, André Baumert, Auguste Panchout, Rudolph Klages, Arthur Hasse,<br />

Henri Mielle, Louis Devaux, Paul Garrouste, Philippe Dechartre, Edouard Cosserat, Raoul Brun, Louis<br />

Rebeyrol, Maxime Husson, Pierre Bugeaud, Jean Vedrine, Edouard Tribouillard, Henri Jardry, Pierre<br />

Perrigueur, Pierre Gascar, Jacques Benet, René Landrieux, Leopold Moreau, Marcel Simoneau, Samuel<br />

Bigotteau, Franck David, Bernard Pelle, Raoul Maubert, Gertrud Pawlovski, August Glenewinkel<br />

Résumé<br />

Apres l'effondrement du front en juin 1940, plus d'un million et <strong>de</strong>mi <strong>de</strong> soldats français sont faits prisonniers. En<br />

1944, il reste encore plus <strong>de</strong> 900 000 prisonniers <strong>de</strong> guerre en Allemagne. C'est les conditions <strong>de</strong> vie <strong>de</strong> ces<br />

hommes que retracent l'émission .<br />

- celle-ci se compose essentiellement <strong>de</strong> nombreux témoignages, montés alternativement en fonction <strong>de</strong>s thèmes<br />

traites : là capture ; le régime <strong>de</strong>s camps (les colis, les lettres) ; la journéee du prisonnier (le théâtre, les universités<br />

<strong>de</strong> la captivité) ; le dimanche du captif ; Noël au stalag, noël à l'oflag ; le travail en usine, la vie à la ferme ; la<br />

cohabitation avec la population ; la résistance <strong>de</strong>rrière les barbelés (l'évasion, la répression, la désinformation); le<br />

retour.<br />

- parmi ces témoignages, à noter celui <strong>de</strong> François Mitterand qui fait le récit <strong>de</strong> sa 1ere tentative d'évasion, et<br />

raconte comment il interrompît à son retour André Masson (commissaire général aux prisonniers) lors d'un<br />

meeting a la mutualité.<br />

- divers documents d'archives (INA /ECPA /bun<strong>de</strong>sarchiv) illustrent les propos <strong>de</strong>s participants : la vie à l'oflag<br />

et au stalag, allocution <strong>de</strong> Georges Scapini ("ambassa<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s prisonniers <strong>de</strong> guerre") aux prisonniers libérés,<br />

André Masson à la mutualité, va <strong>de</strong> Dres<strong>de</strong> bombardée... ils sont complétés par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Camera sous le<br />

manteau, film clan<strong>de</strong>stin en 8 mm tourne a l'oflag par un groupe d'officiers français ; ainsi que <strong>de</strong> films <strong>de</strong><br />

fiction : Le Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir, La Vache et le prisonnier d' Henri Verneuil, Les Culottes rouges<br />

d'Alex Joffé, Retour à la vie d'Henri-Georges Clouzot ; et Le Retour <strong>de</strong> Cartier-Bresson et La Prise du pouvoir par<br />

Philippe Pétain <strong>de</strong> Jean-André Chérasse.<br />

- <strong>de</strong>s comédiens interprètent en outre quelques scènes écrites et jouées dans les stalag : La Comédie du prisonnier,<br />

Montmartre en Moravie.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/06/1985<br />

Durée : 02 h 41 min 45 sec<br />

Heure : 20 h 31 min 15 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

244


Titre propre<br />

Interview Gérard Oury<br />

Titre collection<br />

C’est la vie<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Catherine Ceylac<br />

Résumé<br />

Interview Gérard Oury sur les livres qu'il va lire en vacances : Neropolis, La Pique du jour <strong>de</strong> Robert Merle. Lettres<br />

d'Amérique <strong>de</strong> Jean Renoir . « Dans ce livre, il y a <strong>de</strong>ux lettres qu'il a envoyées a ma mère ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/07/1985<br />

Durée : 00 h 02 min 00 sec<br />

Heure : 18 h 43 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

245


Titre propre<br />

Les centres provinciaux <strong>de</strong> production cinématographique et audiovisuelle<br />

Titre collection<br />

La mémoire aux images<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean-Marie Bertineau (réalisateur, Bor<strong>de</strong>aux), Jacques-Rémy Girerd (réalisateur, Valence), Nicole<br />

Le Garrec, Guy Cavagnac (prési<strong>de</strong>nt ACS, Toulouse), Jean-Pierre Bailly (MCAV, Grenoble), Jean-François<br />

Laguionie ; Réalisateur : Maurice Delbez<br />

Résumé<br />

Interviews <strong>de</strong> cinéastes ou directeurs <strong>de</strong> centres <strong>de</strong> production cinématographique et audiovisuelle dans les<br />

régions : Jean Marie Bertineau, réalisateur travaillant dans la région <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, Jacques Rémy Girerd,<br />

réalisateur <strong>de</strong> Valence, Nicole Le Garrec, Prési<strong>de</strong>nte <strong>de</strong> l’Arc, centre <strong>de</strong> Bretagne, Guy Cavagnac, Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong><br />

l'ACS, centre situé à Toulouse, Jean Pierre Bailly <strong>de</strong> la MCAV à Grenoble, Jean François Laguionie, cinéaste et<br />

directeur <strong>de</strong> la Fabrique à Montpellier ; photos <strong>de</strong> cinéastes français et extrait N/B d'un interview <strong>de</strong><br />

Jean Renoir à la télévision ; montage <strong>de</strong>s sigles <strong>de</strong>s centres <strong>de</strong> production ; affiche du film d'animation <strong>de</strong><br />

Jean François Laguionie Gwen ; extrait <strong>de</strong> films : Tant que fera Atal <strong>de</strong> Roger Souza (prod. ACS) ; Le Temps d'un<br />

instant <strong>de</strong> Pierre Jallaud (prod. MCAV).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Lyon : France régions 3 (FR3LY)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/12/1985<br />

Durée : 00 h 16 min 25 sec<br />

Heure : 17 h 42 min 42 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

246


Titre propre<br />

Scripte sur La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Cinéma cinémas<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Françoise Giroud ; Journaliste : Alain Nahum, Anne Andreu<br />

Résumé<br />

Françoise Giroud qui a été scripte sur le film <strong>de</strong> Jean Renoir La Gran<strong>de</strong> illusion tourné en 1937, nous emmène sur<br />

les lieux même du tournage : un château du Haut-Koenigsbourg. Elle y raconte les conditions <strong>de</strong> tournage, assez<br />

dures en raison du froid qui y régnait, le caractère <strong>de</strong>s différents comédiens qui participèrent à ce film (Jean<br />

Gabin, Pierre Fresnay, Erich von Stroheim et Dalio) et éventuellement leurs petites manies ou « trucs » d'acteurs.<br />

Des extraits du film se superposent aux images du reportage et font revivre ainsi ce château maintenant désert.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/05/1986<br />

Heure : 22 h 45 min 49 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

247


Titre propre<br />

Historique conservatoire<br />

Titre collection<br />

Midi 2<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : France Roche<br />

Résumé<br />

Le conservatoire fête son bicentenaire, pour l'évoquer France Roche nous présente un banc-titré à partir <strong>de</strong><br />

diapos et photos NB retraçant l'historique <strong>de</strong> l'école et <strong>de</strong>s grands acteurs qui l'ont marquée.<br />

- -photo <strong>de</strong> la création du conservatoire, scène <strong>de</strong> théâtre <strong>de</strong> 1913, concours <strong>de</strong> comédie, photo <strong>de</strong> la classe <strong>de</strong><br />

Sarah Bernard en 1907 ; Jouvet et Renoir qui ont été <strong>de</strong>ux <strong>de</strong>s illustres professeurs, la classe <strong>de</strong> Bruno<br />

en 1919, photo <strong>de</strong>s promotions <strong>de</strong>s années 1942 avec Micheline Presles et Sophie Desmaret, 1945, 1954 avec<br />

Jean-Paul Belmondo, 1960 avec Bidaut et Laurent Cochet.<br />

photos <strong>de</strong> certains enseignants célèbres :Michel Bouquet, Antoine Vitez, Gérard Desarthe et Daniel Mesguich.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/06/1986<br />

Durée : 00 h 00 min 57 sec<br />

Heure : 13 h 12 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

248


Titre propre<br />

Plateau Christine Boisson, François Cluzet, Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />

Titre collection<br />

Midi 2<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Hervé Clau<strong>de</strong>, Nicole Cornuz Langlois ; Participant : Christine Boisson, François Cluzet, Clau<strong>de</strong>-<br />

Jean Philippe<br />

Résumé<br />

Les comédiens Christine Boisson et François Cluzet présentent leur film réalisé par Tony Gatlif, Rue du départ. Le<br />

journaliste Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe participe à la conversation et parle ensuite du 15ème anniversaire <strong>de</strong> l'émission<br />

d'A2, le Ciné-Club, diffusé tous les vendredis soir <strong>de</strong>puis 1971. Il présente le film programmé pour cet<br />

anniversaire : la version originale (anglaise) du Carrosse d'or <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 10/10/1986<br />

Durée : 00 h 06 min 44 sec<br />

Heure : 13 h 34 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

249


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Jean Clau<strong>de</strong> Brialy à propos <strong>de</strong> la Nouvelle Vague<br />

Titre propre<br />

Brialy entre les livres<br />

Titre collection<br />

Boîte aux lettres<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Daniel Verhaeghe ; Présentateur : Jérôme Garcin ; Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy<br />

Résumé<br />

Interviewé par Jérôme Garcin, Jean Clau<strong>de</strong> Brialy évoque la Nouvelle Vague et parle <strong>de</strong> ses débuts au cinéma :<br />

photo <strong>de</strong> Jean Renoir et François Truffaut.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Toulouse : France 3 (F3TL)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/10/1986<br />

Durée : 00 h 04 min 35 sec<br />

Heure : 22 h 28 min 13 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

250


Titre propre<br />

Orsay<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Christian Hirou<br />

Résumé<br />

Clip à la gloire d'Orsay, gare qui est <strong>de</strong>venue le musée du xixeme siècle. En parallèle, extrait du film La<br />

Bête humaine <strong>de</strong> Jean Renoir et <strong>de</strong>s vues du musée intérieur et extérieur. Images poétiques du musée.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 30/11/1986<br />

Durée : 00 h 01 min 46 sec<br />

Heure : 20 h 00 min 11 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes :France 2<br />

251


Titre propre<br />

Les acteurs meurent le dimanche<br />

Titre collection<br />

Cinéma cinémas<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy ; Réalisateur : André Sylvain Labarthe<br />

Résumé<br />

Interview du comédien Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy dans son appartement <strong>de</strong> la place <strong>de</strong>s Vosges : il commente <strong>de</strong>s<br />

photos d'artistes (Marlene Dietrich, Edwige Feuillères, Jean Cocteau et Jean Marais, Jean-Paul Belmondo,<br />

Piaf, Renoir et Truffaut, Gabin et Marilyn), ainsi que <strong>de</strong>s photos <strong>de</strong> famille (son grand père : « c'était un homme<br />

libre »). En montrant une photo <strong>de</strong> Marilyn parue dans Paris-Match, il dit : « Cà, c'est une photo <strong>de</strong> la plus belle femme<br />

du mon<strong>de</strong> ; elle est morte un dimanche d'août...souvent, les acteurs meurent le dimanche... »<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs :Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 30/12/1986<br />

Durée : 00 h 08 min 00 sec<br />

Heure : 23 h 20 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

252


Actors studio Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Frédéric Mitterand, 1987, 90 mn.<br />

Titre propre<br />

La nuit <strong>de</strong>s Césars 1987<br />

Résumé<br />

- Des hommages particuliers sont rendus à Jean Gabin disparu il y a 10 ans, à la Gaumont dont on fête le 90ème<br />

anniversaire, au Prix Louis Delluc attribué pour la première fois en 1937 au film <strong>de</strong> Renoir Les Bas Fonds et à<br />

l'ECPA<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/03/1987<br />

Durée : 02 h 25 min 21 sec<br />

Heure : 20 h 36 min 32 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

253


Titre propre<br />

Plateau Jean-Clau<strong>de</strong> Romer + banctitre 40 ans <strong>de</strong> Cannes<br />

Titre collection<br />

Midi 2<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : William Leymergie ; Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Romer<br />

Résumé<br />

Spécialiste <strong>de</strong> cinéma, Jean-Clau<strong>de</strong> Romer présente le livre officiel qu'il a réalisé pour le 40ème festival <strong>de</strong><br />

Cannes. En illustration, photos du livre en banc titre.<br />

- Morgan, affiche du festival <strong>de</strong> 1949, affiche du 3ème homme, affiche du festival 54, G. Philipe, Marty, J. Renoir ,<br />

Pagnol, BB, La loi du seigneur, E. Taylor, Le Guépard, Godard, manifestation en 68 + Truffaut, Frenzy, Chronique <strong>de</strong>s<br />

années <strong>de</strong> braise, Huston avec Deneuve et Ventura, Bacall avec Montand, Mission, Coluche avec Boujenah, affiche<br />

du festival 87, [gros plan] livre <strong>de</strong> Romer en voix off sur les images.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 01/05/1987<br />

Durée : 00 h 05 min 07 sec<br />

Heure : 13 h 23 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

254


Titre propre<br />

Mardi cinéma : émission du 12 mai 1987<br />

Titre collection<br />

Mardi cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pierre Tchernia,; Présentateur : Jacques Rouland ; Participant : Claudine Auger, Michel Vossart,<br />

Françoise Arnoul, Gilles Jacob, Alonee Planel, Katia Tchenko, France Roche, Pauline Lafont, Jean-Pierre<br />

Mocky, Berna<strong>de</strong>tte Lafont, Ivry Gitlis ; Réalisateur : Nino Monti<br />

Résumé<br />

Pierre Tchernia et Jacques Rouland, en direct <strong>de</strong> Cannes, présentent l'émission <strong>de</strong>puis le Grand Salon du Palm<br />

Beach. Film <strong>de</strong> la soirée : Les spécialistes <strong>de</strong> Patrice Leconte. Outre les jeux auxquels participe le public dans la<br />

salle, la soirée est consacrée à <strong>de</strong> nombreux interviews <strong>de</strong> festivaliers parmi lesquels, Claudine Auger venue à<br />

Cannes pour la promotion <strong>de</strong> 2 films, l'un <strong>de</strong> Pierre Etaix, l'autre d'Alain Jessua<br />

- Michel Vossart, « Monsieur Festival » <strong>de</strong> l'année<br />

- Françoise Arnoul interprète du film <strong>de</strong> Guy Gilles Nuit docile, présenté dans la sélection "Perspectives du cinéma<br />

français" et <strong>de</strong> French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir présenté hors compétition<br />

- Gilles Jacob, délégué général du festival <strong>de</strong>puis 1978 et co-auteur avec son fils d'un film <strong>de</strong> montage <strong>de</strong> 72<br />

extraits <strong>de</strong> films primés à Cannes <strong>de</strong>puis 1946 Le cinéma dans les yeux<br />

- Alomée Planel, auteur <strong>de</strong> 40 ans <strong>de</strong> festival, livre préfacé par Robert Fabre-Lebret<br />

- Katia Tchenko qui vient lire les réponses <strong>de</strong> Jean Luc Godart, Louis Malle, Jacques Doillon, Philippe <strong>de</strong> Broca<br />

et Jean Jacques Beineix publiées dans l'enquête <strong>de</strong> Libération, "Pourquoi filmez-vous ?"<br />

- Pauline Lafont venue promotionner L'été en pente douce <strong>de</strong> Gérard Krawczyk<br />

- Berna<strong>de</strong>tte Lafont, <strong>de</strong>venue chroniqueur festivalier à RMC pour le temps du festival, elle dit au passage ce<br />

qu'elle pense du film <strong>de</strong> Paul Newman Glass menagerie et parle <strong>de</strong> sa fille<br />

- France Roche, qui évoque ses souvenirs <strong>de</strong> festivals précé<strong>de</strong>nts et reproche à celui d'aujourd'hui <strong>de</strong> ne plus<br />

s'occuper beaucoup <strong>de</strong> cinéma<br />

-Jean Pierre Mocky, qui a reçu le prix <strong>de</strong> la meilleure ban<strong>de</strong> annonce <strong>de</strong> film français pour Le Miraculé, réalisée<br />

par ses soins<br />

- Ivry Gitlis, violoniste qui accompagne au violon le défilé final <strong>de</strong>s robes <strong>de</strong> stars <strong>de</strong> cinéma<br />

- Les jeux présentés par Jacques Rouland concernent 3 interprètes féminines ayant reçu un Grand Prix<br />

d'interprétation à Cannes, 3 films primés à Cannes, <strong>de</strong>s comédiennes Françaises Prix d'interprétation et enfin, 20<br />

affirmations permettant <strong>de</strong> gagner le livre « Guiness » du cinéma<br />

- archives : images <strong>de</strong> pré-cinéma <strong>de</strong> Jules Maret (décomposition du mouvement d'une poule, d'un chien, <strong>de</strong><br />

bateaux, d'un cheval sautant, d'un chat tombant et d'un homme marchant) ; jingle <strong>de</strong> la "Caméra d'or", décernée<br />

aux caméramen ; extrait <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> annonce parodique du film Tartarin <strong>de</strong> Tarascon avec Francis Blanche, pour<br />

illustrer le festival <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> annonce ; extrait <strong>de</strong> Reflets <strong>de</strong> Cannes <strong>de</strong> François Chalais, festival 1954 avec Robert<br />

Mitchum, Michèle Morgan, Nicole Courcel, Edwige Feuillère...<br />

- extraits <strong>de</strong> films et <strong>de</strong> ban<strong>de</strong>s annonces : extrait Mélodie en sous sol <strong>de</strong> Verneuil (scène finale <strong>de</strong> la piscine du Palm<br />

Beach) ; Un homme amoureux <strong>de</strong> Diane Kurys ; Radio Days <strong>de</strong> Woody Allen ; Good morning, Babylonia <strong>de</strong>s frères<br />

Taviani ; L'été en pente douce <strong>de</strong> Gérard Krawczyk ; ban<strong>de</strong> annonce du Miraculé <strong>de</strong> Jean Pierre Mocky ; ban<strong>de</strong><br />

annonce <strong>de</strong> La Couleur <strong>de</strong> l'argent <strong>de</strong> Martin Scorsese.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/05/1987<br />

Durée : 01 h 14 min 35 sec<br />

Heure : 22 h 13 min 55 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

255


Titre propre<br />

Bernanos Pialat : sous le soleil <strong>de</strong> Satan<br />

Titre collection<br />

Océaniques <strong>de</strong>s oeuvres<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Maurice Pialat<br />

Résumé<br />

Interview <strong>de</strong> Maurice Pialat, en gros plan.<br />

La « révélation » cinématographique <strong>de</strong> Maurice Pialat a été La Bête humaine <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

Pialat évoque ses débuts très timi<strong>de</strong>s dans le milieu du cinéma, et la peinture « seul métier qu'il ait appris ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/09/1987<br />

Durée : 00 h 04 min 44 sec<br />

Heure : 22 h 41 min 02 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

256


Titre propre<br />

Jean Marais octobre 87<br />

Titre collection<br />

Cinéma cinémas<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Jean Marais ; Réalisateur : Raoul Sangla<br />

Résumé<br />

Entretien avec Jean Marais réalisé en octobre 1987 dans le parc <strong>de</strong> sa propriété. Il parle <strong>de</strong> sa découverte du<br />

cinéma, <strong>de</strong> ses rôles <strong>de</strong> jeune premier, <strong>de</strong> son physique. Il évoque ensuite Visconti, pour lui le plus grand metteur<br />

en scène, Cocteau dont il refusait les indications <strong>de</strong> mise en scène et Renoir qui l'a décu comme directeur<br />

d'acteurs. Il cite ensuite ses films préférés, parle <strong>de</strong>s critiques et <strong>de</strong> ses regrets d’en n’avoir pu tourner sous la<br />

direction <strong>de</strong> Truffaut.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 25/01/1988<br />

Durée : 00 h 10 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 50 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

257


Titre propre<br />

Spécial festival <strong>de</strong> Cannes<br />

Titre collection<br />

Champs-Elysées<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Michel Drucker ; Chef d'orchestre : Marc Goldfe<strong>de</strong>r (orchestre <strong>de</strong>s Champs-Elysées) ; Participant :<br />

François Chalais, Michèle Morgan, Clau<strong>de</strong> Lelouch, Jean Barthet, Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, Marie-José Nat, Pierre<br />

Viot (Prési<strong>de</strong>nt du festival <strong>de</strong> Cannes) ; Interprète, Ute Lemper, Nicole Croisille, Bernard Arcadio (pianiste),<br />

Desireless, Malavoi, Eddy Mitchell, Sa<strong>de</strong>, Cora Vaucair ; Réalisateur : Jean-Pierre Spiero<br />

Résumé<br />

Michel Druckerprésente un Champs-Elysées entièrement consacré au cinéma, en l'honneur du Festival <strong>de</strong> Cannes<br />

qui débute. Pour ce faire, il a comme invité d'honneur, comme il se doit, François Chalais, accompagné <strong>de</strong> ses<br />

documents d'archives tournés au long <strong>de</strong>s différents festivals du nom. Chalais regar<strong>de</strong> avec une gran<strong>de</strong><br />

émotion ces reliques du passé, évoque, raconte, parle <strong>de</strong> Jean Gabin, Hitchkock, Renoir, Scola,<br />

Visconti, Sofia Loren (très gran<strong>de</strong>, l'émotion), l'immense célébrité <strong>de</strong> Brigitte Bardot... D'autres invités viennent<br />

sur le plateau raconter à leur tour « leur » festival :<br />

- Michèle Morgan évoque le film La symphonie pastorale <strong>de</strong> Jean Delannoy, qui lui valut un prix d'interprétation à<br />

Cannes et une gran<strong>de</strong> célébrité.<br />

- Clau<strong>de</strong> Lelouch parle <strong>de</strong> sa « palme d'or » pour Un homme et une femme, et du succès qui lui succéda, forcément...<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Dany et michel Drucker productions (DMD)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/05/1988<br />

Durée : 01 h 26 min 17 sec<br />

Heure : 20 h 37 min 09 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

258


Titre propre<br />

Les artisans <strong>de</strong> Jean Renoir - Première partie : les débuts d'un cinéaste en marge<br />

Titre collection<br />

Océaniques <strong>de</strong>s oeuvres<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Yves Laumet ; Participant : Clau<strong>de</strong> Renoir, Pierre Braunberger, Clau<strong>de</strong> Heymann, Albert Viguier,<br />

Jean-Paul Alphen, Jean Bourgoin<br />

Résumé<br />

Première partie d'une émission consacrée à Jean Renoir et à son oeuvre, couvrant la pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1924 à 1936,<br />

composée <strong>de</strong>s témoignages <strong>de</strong> personnes ayant collaboré sur ses films : son neveu Clau<strong>de</strong> Renoir, Pierre<br />

Braunberger, producteur, Clau<strong>de</strong> Heymann, assistant <strong>de</strong> Renoir, Albert Viguier, Jean-Paul Alphen et Jean<br />

Bourgoin, assistant-opérateurs :<br />

- L'émission s'ouvre sur un extrait du <strong>de</strong>rnier film <strong>de</strong> Jean Renoir, Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir réalisé en 1971 ; il<br />

s'agit d'un épiso<strong>de</strong> intitulé La Chanteuse où Jeanne Moreau dans un décor 1900 interprète la chanson Quand l'amour<br />

meurt.<br />

- Photograpie <strong>de</strong> Jean Renoir, âgé, avec un tableau <strong>de</strong> son père.<br />

- Dans le petit cimetière d'Essoyes – berceau <strong>de</strong> la famille Renoir – buste <strong>de</strong> Madame Renoir sculpté par Auguste<br />

Renoir tombe d'Auguste Renoir où sont enterrés également ses fils, Pierre et Jean .<br />

- Plan <strong>de</strong> la <strong>de</strong>meure familiale à Essoyes où Clau<strong>de</strong> Renoir qui fut opérateur sur Le Fleuve est interviewé. Il<br />

évoque la famille Renoir et la jeunesse <strong>de</strong> son oncle ; il raconte comment celui-ci en est venu au cinéma, poussé<br />

par la passion et aidé par la fortune familiale. Il évoque le premier amour <strong>de</strong> Jean, un modèle <strong>de</strong> son père. Puis,<br />

comment il a travaillé comme chef opérateur sur le film La Partie <strong>de</strong> campagne.<br />

- Pierre Braunberger, producteur <strong>de</strong> Jean Renoir, est interviewé dans son bureau.<br />

Il se souvient <strong>de</strong> leur rencontre, <strong>de</strong> leur collaboration, du premier grand film parlant <strong>de</strong> Renoir La Chienne. De<br />

l'aventure éprouvante que fut le tournage <strong>de</strong> La Partie <strong>de</strong> campagne<br />

- Clau<strong>de</strong> Heymann fut assistant <strong>de</strong> Renoir. Il brosse le portrait du cinéaste et se souvient lui aussi <strong>de</strong> La Partie <strong>de</strong><br />

campagne.<br />

- Albert Viguier, assistant opérateur évoque la révolution du parlant et quelques souvenirs <strong>de</strong> tournage.<br />

-Jean-Paul Alphen, également assistant opérateur, s'infiltre dans l'équipe aux studios Eclair. Il raconte quelques<br />

anecdotes sur les les rapports entre Jean Renoir et Michel Simon.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d'édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision (SEPT)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 18/05/1988<br />

Durée : 00 h 45 min 05 sec<br />

Heure : 22 h 58 min 21 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

259


Titre propre<br />

Les artisans <strong>de</strong> Jean Renoir - Deuxième partie : le temps <strong>de</strong>s malentendus<br />

Titre collection<br />

Océaniques <strong>de</strong>s oeuvres<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Yves Laumet ; Participant : Clau<strong>de</strong> Renoir , Marc Maurette, Jean-Paul Alphen, Pierre<br />

Braunberger, Clau<strong>de</strong> Heymann, Sam Levin, Jean Bourgouin, Max Douy<br />

Résumé<br />

Yves Laumet s'entretient avec différents techniciens, photographes ou producteurs ayant travaillé avec Jean<br />

Renoir et les interroge sur les métho<strong>de</strong>s du cinéaste et sur son engagement politique. Cette secon<strong>de</strong> partie <strong>de</strong><br />

l'émission couvre la pério<strong>de</strong> 1936-1939 :<br />

- Le Front Populaire 1936, Clau<strong>de</strong> Renoir, neveu et collaborateur <strong>de</strong> Jean Renoir, estime que son oncle<br />

s'intéressait peu à la politique et que, <strong>de</strong>vant le danger <strong>de</strong> « la Cagoule », parti d'extrême-droite, tous les gens<br />

sont <strong>de</strong>venus <strong>de</strong> gauche.<br />

C'est pourquoi il a accepté <strong>de</strong> faire La Vie est à nous, film commandité par le Parti Communiste. Marc Maurette,<br />

assistant à la réalisation, parle <strong>de</strong> la construction du film et raconte quelques anecdotes.<br />

- La Marseillaise, Jean-Pierre Alphen, assistant réalisateur, pense que Renoir avait <strong>de</strong>s idées libérales et qu'il a<br />

simplement traité un sujet qui l'intéressait. Il raconte sa sensation <strong>de</strong> participer à une oeuvre importante.<br />

- Pour Pierre Braunberger, producteur, Renoir était un homme plutôt à droite, pour qui seul le cinéma était<br />

important.<br />

Ce que confirment Marc Maurette et Clau<strong>de</strong> Heymann, assistant à la réalisation : selon eux, Renoir haïssait<br />

l'exploitation <strong>de</strong> l'homme par l'homme.<br />

- Sam Levin, photographe, parle <strong>de</strong> ses rapports avec le cinéaste durant le tournage <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, rapports<br />

d'abord houleux, à cause d'un malentendu, puis bons.<br />

- Max Douy (décorateur), à propos <strong>de</strong> La Bête humaine, rapporte l'importance que Renoir accordait aux décors et<br />

aux facilités <strong>de</strong> tournage qu'ils pouvaient amener. Lui aussi raconte quelques anecdotes <strong>de</strong> tournage (construction<br />

d'un praticable avec la chambre <strong>de</strong> Roubot, scène <strong>de</strong> la locomotive entrant dans le tunnel).<br />

- Renoir et les comédiens, Jean Bourgoin, Marc Maurette, Sam Levin rapportent que Renoir adorait les artistes<br />

<strong>de</strong> music-hall, pour leur connaissance <strong>de</strong>s différentes techniques <strong>de</strong> spectacle, et qu'il était très diplomate dans sa<br />

conduite avec les comédiens : il ne leur disait jamais qu'une scène était mauvaise.<br />

Par contre, selon Clau<strong>de</strong> Renoir, il détestait que les techniciens interviennent pour corriger les attitu<strong>de</strong>s ou le ton<br />

<strong>de</strong>s acteurs.<br />

- A propos <strong>de</strong> Marguerite Renoir, Clau<strong>de</strong> Renoir rapporte son grand respect et sa gran<strong>de</strong> diplomatie à l'égard<br />

<strong>de</strong>s comédiens. Son jugement sur leur jeu était celui d'une monteuse qui voit le montage définitif.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d'édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision (SEPT)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/05/1988<br />

Durée : 00 h 47 min 03 sec<br />

Heure : 23 h 05 min 40 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

260


Titre propre<br />

Le Magazine : émission du 12 février 1989<br />

Titre collection<br />

Océnaniques, le magazine<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Michel Le Bris, Xuan Thuan Trinh ; Réalisateur : Philippe Le More ; Producteur : Pierre-André<br />

Boutang, Dominique Rabourdin ; Journaliste : Michel Cazenave (entretien, question off)<br />

Résumé<br />

Trois sujets au sommaire <strong>de</strong> cette émission :<br />

- Robert-Louis Stevenson : à propos <strong>de</strong> la réédition <strong>de</strong>s Essais sur l'art <strong>de</strong> la fiction (La Table ron<strong>de</strong>), oeuvre <strong>de</strong><br />

critique peu connue <strong>de</strong> Robert-Louis Stevenson, l'écrivain Michel Le Bris, admirateur passionné <strong>de</strong>puis l'enfance<br />

<strong>de</strong> l'auteur écossais, parle longuement <strong>de</strong> la personnalité et <strong>de</strong> l'oeuvre (fiction et critique) <strong>de</strong> celui-ci. Il dit aussi<br />

ce que son oeuvre personnelle doit à cet auteur-référence selon sa propre conception <strong>de</strong> la littérature.<br />

-Jean Renoir et Marcel Dalio : diffusion d'un document d'archives : en 1966, dans la série<br />

Cinéastes <strong>de</strong> notre temps, Jacques Rivette a consacré trois émissions à Jean Renoir Jean Renoir,<br />

le patron. Après un rappel <strong>de</strong> la filmographie <strong>de</strong> Jean Renoir, nous voyons un extrait <strong>de</strong> la<br />

<strong>de</strong>uxième émission, La Règle et l'exception, dans lequel Jean Renoir retrouve Marcel Dalio sur<br />

les lieux du tournage <strong>de</strong> La Règle du jeu (1939) et parle avec lui <strong>de</strong> ce film (utilisation du décor<br />

extérieur) et du rôle du marquis <strong>de</strong> La Chesnaye interprété par Marcel Dalio.<br />

- Trinh Xuan Thuan, scientifique, auteur <strong>de</strong> La Mélodie secrète répond aux questions (off) <strong>de</strong> Michel Cazenave sur<br />

la création <strong>de</strong> l'univers, sur les théories actuelles en matière <strong>de</strong> cosmologie et sur l'éventuelle existence d'un<br />

"créateur" divin. Il expose brièvement la théorie du "big bang", explosion originelle à partir <strong>de</strong> laquelle l'univers<br />

aurait acquis une dimension historique, puis il rappelle les questions qui se posent à propos <strong>de</strong> l'apparition <strong>de</strong><br />

l'homme, estimant que la science ne peut donner <strong>de</strong> réponse satisfaisante aux questions métaphysiques<br />

traditionnelles « d'où venons-nous ? » « Où allons-nous ? » et que l'explication théologique (Dieu ?) n'est pas à exclure.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/02/1989<br />

Durée : 00 h 32 min 29 sec<br />

Heure : 21 h 35 min 51 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

261


Titre propre<br />

Tif et tondu : avril 1966<br />

Titre collection<br />

Cinéma cinémas<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : André Labarthe, Jacques Rivette<br />

Résumé<br />

Extrait d'un portrait <strong>de</strong> Jean Renoir intitulé Portrait <strong>de</strong> Michel Simon par Jean Renoir ou portrait <strong>de</strong> Jean Renoir par Michel<br />

Simon, réalisé par Jacques Rivette en1966. Il s'agit du <strong>de</strong>uxième volet d'un document en trois partie (avec pour<br />

titre général Jean Renoir, le patron) dont seules, la première et la troisième partie, avaient été diffusés à l'époque.<br />

Attablés dans une guinguette <strong>de</strong>s bords <strong>de</strong> la Marne, dans une ambiance très détendue, Jean Renoir et Michel<br />

Simon se retrouvent pour évoquer <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> tournage et parler <strong>de</strong> leur travail et <strong>de</strong> leurs carrières<br />

respectives :<br />

-Renoir développe l'idée qu'on ne découvre le sens d'un travail que lorsqu'il est terminé ; il se livre à une petite<br />

démonstration en empilant <strong>de</strong>s soucoupes sur la table<br />

- Michel Simon parle <strong>de</strong> Sacha Guitry<br />

-Renoir rappelle qu'un « comédien, c'est très fragile »<br />

- Evocation du tournage <strong>de</strong> La Chienne qui fut le premier rôle dramatique <strong>de</strong> Michel Simon<br />

- Discussion sur le danger <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir trop « malin », <strong>de</strong> perdre une certaine innocence, ce qui nuit au travail<br />

artistique ; le personnage <strong>de</strong> Boudu<br />

- Michel Simon rappelle qu'ils étaient, lui et Jean Renoir, « comme <strong>de</strong>ux frères » sur le tournage ; Jean Renoir parle<br />

<strong>de</strong> l'exaltation <strong>de</strong> travailler avec Michel Simon<br />

- Ils fredonnent une chanson <strong>de</strong> Boudu<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 05/03/1989<br />

Durée : 00 h 00 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 16 min 40 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

262


Titre propre<br />

Centre culturel : Liban<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Alain Labouze<br />

Résumé<br />

Dans un village situé dans le pays chrétien, à cinquante kilomètres <strong>de</strong> Beyrouth, une projection<br />

du film La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir a été organisée à l'initiative d'un professeur <strong>de</strong> français.<br />

- Gros plan projecteur, chaises disposées en rangs, projection du film La Marseillaise.<br />

- interview spectateurs sur la Révolution française symbole <strong>de</strong> la liberté et <strong>de</strong> l'indépendance.<br />

- Linge séchant sur une terrasse, gros plan vieux Monsieur, faça<strong>de</strong> Palma Hotel, montagne (Baalbek se trouve <strong>de</strong><br />

l'autre côté).<br />

- interview Jean-Louis Héry (professeur <strong>de</strong> français à Beyrouth, coopérant civil) souhaite aux Libanais <strong>de</strong> faire<br />

leur révolution.<br />

- coucher <strong>de</strong> soleil vu <strong>de</strong> l'intérieur d'une grotte.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 14/04/1989<br />

Durée : 00 h 02 min 02 sec<br />

Heure : 20 h 06 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

263


Titre propre<br />

Le cinéma et les droits <strong>de</strong> l’Homme<br />

Titre collection<br />

Du Côté <strong>de</strong> chez Fred<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Michel Hermant ; Compositeur musique préexistante : Henry Purcell ; Présentateur : Frédéric<br />

Mitterrand, Lila Spiegel ; Interprète : Ray Lema ; Participant : Jean Rouch, Vladimir Karassev (cineaste), Lino<br />

Brocka, Pierre Viot, Georges Kiejman, Jules Dassin, Danièle Mitterrand, Souleymane Cissé, Euzhan Palcy<br />

Résumé<br />

A l'occasion du festival <strong>de</strong> Cannes et du colloque Cinéma et liberté qui s'y est tenu, Frédéric Mitterand anime<br />

aujourd'hui un débat sur la liberté pour les cinéastes. Il reçoit Jean Rouch, prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Cinémathèque et<br />

cinéaste, Vladimir Karassev cinéaste estonien vivant en France et Lino broca, cinéaste philippin.<br />

- V Karassev raconte les difficultés qu'il a eu pour réaliser l'un <strong>de</strong> ses films dont il n'a pu apporter en France<br />

qu'un extrait <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> son ; il explique également comment il travaillait dans son pays et <strong>de</strong> quelle façon<br />

s'exerce la censure. Extrait <strong>de</strong> l'un <strong>de</strong> ses films. Lino Broca (qui s'exprime en anglais) reste très pessimiste quant à<br />

la liberté d'expression dans son pays où il faut encore se battre pour présenter un film au public. Extrait <strong>de</strong> son<br />

film Les Insoumis présenté à Cannes.<br />

- -Au cours d'un reportage sur le colloque Cinéma et liberté quelques personnalités invitées parlent du but <strong>de</strong> ce<br />

colloque, du rôle du cinéma au service <strong>de</strong> la liberté, du plaisir <strong>de</strong>s réalisateurs à se retrouver ensemble.<br />

- Sur le plateau Jean Rouch parle longuement du cycle Les Ecrans <strong>de</strong> la liberté qu'il a mis en<br />

place à la Cinémathèque et qui permet <strong>de</strong> présenter et <strong>de</strong> découvrir <strong>de</strong>s films inconnus ou<br />

oubliés. Extrait d'une interview <strong>de</strong> François Truffaut et d'une autre <strong>de</strong> Jean Renoir sur le film<br />

La Règle du jeu.<br />

- Lila présente quelques livres sur le thème <strong>de</strong> l'émission d'aujourd'hui ainsi que le passeport pour la vie.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/05/1989<br />

Durée : 01 h 08 min 27 sec<br />

Heure : 15 h 06 min 22 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

264


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Renoir et l'In<strong>de</strong><br />

Titre propre<br />

Les femmes d’exception<br />

Titre collection<br />

Du Côté <strong>de</strong> chez Fred<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Michel Hermant ; Journaliste : Paul Albertini ; Compositeur musique préexistante : Gioachino<br />

Rossini ; Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Participant : Celia Bertin<br />

Résumé<br />

Après la diffusion d'un extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir, Le Fleuve, réalisé en In<strong>de</strong> en 1950, Frédéric Mitterrand<br />

interviewe Celia Bertin (auteur d'un livre sur Vienne et sur Alma Mahler). Elle dit que Renoir est tombé<br />

amoureux <strong>de</strong> l'In<strong>de</strong>, qu'il a vu la gran<strong>de</strong> spiritualité <strong>de</strong>s êtres et que pour cette raison les Indiens l'ont beaucoup<br />

aimé.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/06/1989<br />

Durée : 00 h 04 min 12 sec<br />

Heure : 15 h 09 min 35 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

265


Titre propre<br />

Défilé Marseillaise<br />

Titre collection<br />

Midi 2<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Jacques Violet<br />

Résumé<br />

Le défilé <strong>de</strong> Jean Paul Gou<strong>de</strong>, La Marseillaise, sur les Champs-Elysées à Paris, célébrant par une extraordinaire<br />

« gran<strong>de</strong> para<strong>de</strong> <strong>de</strong>s tribus planétaires » <strong>de</strong> 6000 figurants le Bicentenaire <strong>de</strong> la Révolution française.<br />

- De nuit, brefs plans feux d'artifice, char composé <strong>de</strong> bidons regroupant <strong>de</strong>s percussionnistes guinéens, le<br />

musicien sénégalais Doudou N'Diaye Rose dirigeant une vingtaine <strong>de</strong> tambours africains sur un escalier géant,<br />

les soldats coloniaux français, plan d’ensemble <strong>de</strong>s étudiants chinois <strong>de</strong> Paris marchant en silence en tenant leur<br />

vélo et encadrant un immense tambour rouge, les tambours français, les valseuses tournant dans leurs<br />

gigantesques robes noires en tenant dans leurs bras <strong>de</strong>s enfants <strong>de</strong> tous les continents, les interprètes<br />

d'instruments traditionnels venus <strong>de</strong> toutes les régions <strong>de</strong> France jouant La Marche <strong>de</strong>s mille <strong>de</strong> Wally Badarou, les<br />

joueurs <strong>de</strong> cornemuse et <strong>de</strong> tambour du régiment Royal Tatoo, les gar<strong>de</strong>s soviétiques du mausolée <strong>de</strong> Lenine<br />

avançant au pas <strong>de</strong> l'oie, camion citerne leur propulsant <strong>de</strong> la neige artificielle, plan d’ensemble <strong>de</strong> la<br />

locomotive gran<strong>de</strong>ur nature en hommage au film <strong>de</strong> Jean Renoir La Bête humaine, sosie <strong>de</strong> Jean<br />

Gabin par la fenêtre <strong>de</strong> la loco ; plan d’ensemble <strong>de</strong> la place <strong>de</strong> la Concor<strong>de</strong>, Jessie Norman chantant La<br />

Marseillaise drapée dans une soie bleu, blanc, rouge, plan rapproché <strong>de</strong> George et Barbara Bush.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Producteur ou Co-producteur, Aubervilliers : téléma images (télémaima)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/07/1989<br />

Durée : 00 h 02 min 19 sec<br />

Heure : 13 h 09 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

266


Titre propre<br />

Centenaire Jean Cocteau<br />

Titre collection<br />

Soir 3<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Michel Vial<br />

Résumé<br />

Cocteau aurait eu 100 ans cet été. rétrospective <strong>de</strong> son oeuvre.<br />

- Cocteau chez lui, à Milly la Forêt puis parlant à son double « je ne t'aime pas, c'est toi le Parisien ».<br />

- Archives n et b : Cocteau avec Picasso puis avec Jean Renoir.<br />

- Cocteau lors d'une soirée mondaine.<br />

- Dali et Cocteau signant sur un mur.<br />

- Chapelle <strong>de</strong> Milly la Forêt, décorée par l'artiste, Cocteau y recevant Chaplin et sa fille, Géraldine.<br />

- Cocteau en habit d'Académicien et Jean Marais.<br />

- interview <strong>de</strong> Jean Marais « on se rend compte qu'il reste un éternel jeune homme qui est souvent très vulnérable, qui est très<br />

sensible, qui est enthousiaste ; on ne se rend pas compte dans l'oeuvre <strong>de</strong> Cocteau à quel point il était enthousiaste »<br />

- Différents extraits du film Les Parents terribles.<br />

- Archives : Cocteau <strong>de</strong>ssinant un portrait <strong>de</strong> Colette.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/08/1989<br />

Durée : 00 h 02 min 13 sec<br />

Heure : 22 h 09 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

267


Titre propre<br />

La Bête humaine<br />

Titre collection<br />

Du Côté <strong>de</strong> chez Fred<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Interprète : Tambours du Bronx, chorale (<strong>de</strong> la SNCF Paris sud) ;<br />

Participant : Marcel Peroche, Henri Williaume (ancien chauffeur <strong>de</strong> locomotive à vapeur), Paul Arrault (gar<strong>de</strong>barrière),<br />

Georges Ribeill (historien), Jean-Clau<strong>de</strong> Arnault (conducteur <strong>de</strong> TGV), Jean-Pierre Farandon (chargé<br />

d’étu<strong>de</strong>s à la SNCF), Monsieur Tancher (Cantonnier) ; Réalisateur : Michel Hermant<br />

Résumé<br />

Frédéric Mitterrand dédie son émission à Jean-Paul Gou<strong>de</strong> (l'auteur du défilé du quatorze juillet sur les Champs-<br />

Elysées pour la commémoration du bicentenaire <strong>de</strong> la Révolution) et à tous ceux qui ont piloté les gran<strong>de</strong>s<br />

locomotives à vapeur, les cheminots français (immortalisés au cinéma par Jean Gabin dans La Bête<br />

humaine). Il a réuni sur le plateau Marcel Perroche, ancien conducteur <strong>de</strong> locomotive à vapeur (auteur du livre<br />

: Mémoires d'un sénateur du rail) et son chauffeur André Williaume, Paul Arnault et sa femme (d'origine tahitienne)<br />

tous <strong>de</strong>ux gar<strong>de</strong>-barrière, Georges Ribeill (historien), Jean Clau<strong>de</strong> Arnault (conducteur <strong>de</strong> TGV), Jean-Pierre<br />

Farandon (chargé d'étu<strong>de</strong>s à la SNCF) et Monsieur Tancher, cantonnier <strong>de</strong>s voies <strong>de</strong> chemin <strong>de</strong> fer.<br />

- Marcel Perroche parle avec nostalgie <strong>de</strong> son métier <strong>de</strong> mécanicien-vapeur, évoque la gran<strong>de</strong> famille <strong>de</strong> la<br />

traction-vapeur, la vie d'équipe à bord <strong>de</strong>s locos ; son chauffeur explique le rôle qu'il jouait (entretien <strong>de</strong> la<br />

machine et respect <strong>de</strong>s ordres du mécanicien) ; Georges Ribeill apporte <strong>de</strong>s précisions sur les métiers du rail<br />

d'hier et d'aujourd'hui, Jean Clau<strong>de</strong> Arnault témoigne <strong>de</strong> la solitu<strong>de</strong> vécue par les conducteurs <strong>de</strong> TGV et<br />

montre son admiration pour son aîné ; M.Tancher, cantonnier responsable <strong>de</strong> 26 kms <strong>de</strong> voies, souligne<br />

l'importance <strong>de</strong> son travail; Jean-Pierre Farandon apporte quelques précisions sur les quelques locomotives à<br />

vapeur encore en service en <strong>de</strong>hors du réseau SNCF ; quant à M.et Mme Arault, ils racontent quelques<br />

anecdotes sur leur métier <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>-barrière (un métier où l'on a l'obsession <strong>de</strong> la sécurité, où la vigilance prime<br />

tout).<br />

- Séquencs filmées illustratives:<br />

- -un extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir : La Bête humaine (1938)<br />

- -<strong>de</strong>s images d'archives n et b sur le départ <strong>de</strong>s locomotives à vapeur<br />

- -un reportage à La Vie du rail, la revue <strong>de</strong>s cheminots, avec une interview <strong>de</strong> Christian Fauvet (directeur <strong>de</strong> la<br />

rédaction) et <strong>de</strong> Jean Genesseaux (collaborateur <strong>de</strong> la revue).<br />

- -un reportage dans un dépôt <strong>de</strong> locomotives à vapeur avec interview d'hommes jeunes ou moins jeunes sur leur<br />

passion <strong>de</strong>s trains à vapeur.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 18/09/1989<br />

Durée : 00 h 53 min 42 sec<br />

Heure : 15 h 17 min 47 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

268


Titre propre<br />

Jean Gabin<br />

Titre collection<br />

Etoiles<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Participant : Mathias Moncorg, Gaby Basset ; Réalisateur : Philippe Venault<br />

Résumé<br />

Frédéric Mitterrand raconte la vie Jean Gabin (Jean Alexis Montcorgé), en illustrant ses propos par un montage<br />

d'archives, d'extraits <strong>de</strong> films et <strong>de</strong> photos, et par <strong>de</strong>ux témoignages : Interview <strong>de</strong> Gaby Basset, l'une <strong>de</strong>s<br />

compagnes <strong>de</strong> Jean Gabin, et <strong>de</strong> Mathias Montcorgé, son fils.<br />

Séquences<br />

Extraits <strong>de</strong> films : La Gran<strong>de</strong> illusion (Jean Renoir), Nogent, eldorado du dimanche (Marcel Carné), Chacun sa<br />

chance, Le chant <strong>de</strong>s boulevards, Zouzou, Gueule d'amour ( Jean Gremillon), Pépé le moko, La Bête humaine (Jean<br />

Renoir), Remorques (Jean Grémillon), Le jour se lève (Marcel Carné), L'exil et l'honneur, Moontime (Idalopino), Touchez<br />

pas au grizzbi, French cancan (Renoir), En cas <strong>de</strong> malheur (Clau<strong>de</strong> Autant-Lara), Un singe en hiver (Henri<br />

Verneuil).<br />

- Archives nb : Paris le 14 juillet 1919, Paris en 1910, Revue <strong>de</strong> Mistinguett, sketch <strong>de</strong> Maurice Chevalier, Gabin<br />

et Mistinguett, Gabin en cycliste, pique-nique, Tournage aux studios <strong>de</strong> Joinville en 1928, Joséphine Baker<br />

visitant un bidonville, Vélodrome, Casino <strong>de</strong> Paris en 1931, 1936 : Front populaire, (Animation) : marionnette <strong>de</strong><br />

Hitler donnant un coup <strong>de</strong> poing dans le globe terrestre, Fernan<strong>de</strong>l chantant Barnabé, Gabin jouant au football,<br />

Gabin embarquant pour les Etats-Unis en 1941, Général De Gaulle passant les troupes en revue à Alger, Gabin<br />

<strong>de</strong>vant un char, Char allié pénétrant dans une ville d'Allemagne, Marlène donnant un spectacle pour les troupes,<br />

Caves <strong>de</strong> Saint-Germain-<strong>de</strong>s-Prés, Combat <strong>de</strong> boxe <strong>de</strong> Marcel Cerdan, Gabin avec Jean-Pierre Aumont,<br />

Interview <strong>de</strong> Maurice Chevalier après la libération, enterrement <strong>de</strong> Raimu (1948), Mariage <strong>de</strong> Jean Gabin et <strong>de</strong><br />

Dominique, Cirque : Marlène en « Mr Loyal », Gabin en famille chez lui, soirée au Moulin Rouge, <strong>de</strong>scente<br />

d'avion <strong>de</strong> Marlène Dietrich, interview <strong>de</strong> Gabin à 60 ans, Joséphine Baker dans son home d'enfants, Harras <strong>de</strong><br />

Jean Gabin, 1964 : harras saccagé par paysans voisins <strong>de</strong> Gabin, Gabin lors du procès qui suivit, Dominique et<br />

les enfants aux Sports d'hiver, 1975 : Gabin sur le bateau où son fils accomplit son service militaire, 3 avril 1976 :<br />

adieux <strong>de</strong> Gabin au public, en présence <strong>de</strong> Michèle Morgan.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/10/1989<br />

Heure : 22 h 23 min 50 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

269


Titre propre<br />

Marcel Carné<br />

Titre collection<br />

Figures<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Jacques Chancel ; Participant : Marcel Carné ; Réalisateur : Jacques Brialy<br />

Résumé<br />

Jacques Chancel reçoit le réalisateur Marcel Carné, qui vient <strong>de</strong> publier un livre La vie à pleines <strong>de</strong>nts à 38 ans<br />

(« dans le désordre » précise-t-il avec malice) et qui malgré son palmarès impressionnant, et la reconnaissance<br />

planétaire <strong>de</strong> son talent <strong>de</strong> cinéaste, connait les difficultés d'un débutant pour monter le film qui lui tient à coeur<br />

(il serait intitulé Le Bel été et serait consacré aux impressionnistes, d'après une nouvelle <strong>de</strong> Maupassant: Mouche).<br />

- J.Chancel l'interroge sur ses débuts dans le mon<strong>de</strong> du 7ème art (« J'aurais été un bon ébéniste comme mon père, j'ai<br />

débuté dans le music hall et je suis passé au cinéma par hasard... grâce à un dîner entr'amis où j'ai rencontré Françoise Rosay »), sur<br />

sa vieille amie Arletty, sur ses chefs d'oeuvre (Quai <strong>de</strong>s brumes, Drôle <strong>de</strong> drame, Hôtel du nord ainsi que Les Enfants du<br />

paradis, Les Visiteurs du soir ou Juliette et la clef <strong>de</strong>s songes, son film préféré), sur sa collaboration avec Prévert et<br />

Jeanson, sur ses réalisateurs préférés. Il évoque Jean Gabin (furieux <strong>de</strong> n'avoir pu jouer dans Les Portes <strong>de</strong> la nuit),<br />

Gérard Philippe (le seul comédien à avoir rendu hommage publiquement à son metteur en scène), Delon et<br />

Belmondo (« Je m'en suis fait <strong>de</strong>ux ennemis car je leur ai préféré Terzieff et Charrier pour Les Tricheurs »), Roland Lesaffre<br />

(« Mon fils adoptif, ma mascotte, un bon acteur qui n'a pas réussi sa carrière »), Cocteau et Renoir (qui lui ont causé<br />

<strong>de</strong>s « peines amicales ou spirituelles »). Il conclut en s'estimant privilégié, et en se montrant optimiste<br />

quant à son projet <strong>de</strong> film pour lequel il engagera cinq acteurs inconnus, plus une actrice....<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 22/11/1989<br />

Durée : 01 h 03 min 15 sec<br />

Heure : 00 h 35 min 54 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

270


Titre propre<br />

Le Bar <strong>de</strong> l’entracte : émission du 8 mars 1990<br />

Titre collection<br />

Le Bar <strong>de</strong> l’Entracte<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Nino Monti ; Présentateur : Pierre Tchernia, Henri Chapie, Patrick Brion ; Participant : Bernard<br />

Haller, Serge Gainsbourg, Jean Marais, Robin Davis, Nathalie Cardone, Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, Marcel Carné,<br />

Françoise Giroud, Jean-Clau<strong>de</strong> Penchenat<br />

Résumé<br />

Premier numéro du nouveau magazine <strong>de</strong> cinéma présenté par Pierre Tchernia avec aujourd'hui Bernard Haller<br />

dans le role du barman.<br />

- Actualités : extrait du film Stan the flasher puis interview <strong>de</strong> Serge Gainsbourg qui explique comment lui est<br />

venue l'idée <strong>de</strong> ce film, parle <strong>de</strong> ses liens avec Clau<strong>de</strong> Berri et d'une scène du film avec Michel Robin.<br />

- Reportage retraçant l'inauguration du train cinéma à la gare <strong>de</strong> l'est. Jean Marais parle du thème <strong>de</strong> cette expo<br />

qui sillonera la France : les transports au cinéma puis évoque un souvenir <strong>de</strong> train lié à Jean Cocteau ; visite <strong>de</strong>s<br />

wagon avion et bateau.<br />

- La chanson : Charles trénet chante La Romance <strong>de</strong> Paris, extrait du film <strong>de</strong> Jean Boyer.<br />

- Tournage : Robin Davis tourne actuellement La Fille <strong>de</strong>s collines ; extrait du tournage d'une scène <strong>de</strong> tempête<br />

avec Nathalie Cardone.<br />

- Un film raconté par un témoin : Marcel Carné raconte <strong>de</strong>s scènes du tournage <strong>de</strong> son film Drôle <strong>de</strong> drame<br />

notamment celle entre Michel Simon et Louis Jouvet et celle où Jean-Louis Barrault est nu. Extraits.<br />

-Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy évoque avec Pierre Tchernia la mémoire <strong>de</strong> Michel Simon, raconte quelques anecdotes à<br />

son sujet puis hommage à Juliet berto avec un extrait <strong>de</strong> son film sur Damia.<br />

- Jeu <strong>de</strong>s petits carreaux : extrait <strong>de</strong>s Visiteurs du soir.<br />

- Mon ciné : Françoise Giroud évoque son premier souvenir <strong>de</strong> cinéma, un film <strong>de</strong> Charlot puis<br />

raconte à Pierre Tchernia son expérience <strong>de</strong> scipte sur le tournage <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir .<br />

-Jean-Clau<strong>de</strong> Penchenat <strong>de</strong> la Cie du Campagnole présente son nouveau spectacle 1, place Garibaldi écrit en<br />

hommage à la passion du cinéma. Extrait d'un document qu'il a utilisé dans lequel une femme parle du cinéma<br />

<strong>de</strong> sa jeunesse.<br />

- Le coup <strong>de</strong> cour d’Henri Chapier qui présente un livre <strong>de</strong> Fe<strong>de</strong>rico Fellini Giuletta, recueil <strong>de</strong> notes <strong>de</strong> la<br />

préparation <strong>de</strong> Juliette <strong>de</strong>s esprits. Il évoque la carrière <strong>de</strong> l'actrice et ses rapports avec Fellini dans la vie et au<br />

cinéma.<br />

- Le plus petit ciné-club du mon<strong>de</strong> : Sons of liberty <strong>de</strong> Michaël Curtiz (extérieur).<br />

- Extraits <strong>de</strong> Elementaire mon Sherlock Holmes, Suzie et les Baker boys, La Fête <strong>de</strong>s pères, Always, Potins <strong>de</strong> femmes, Le Roman<br />

<strong>de</strong> Renart et La Guerre <strong>de</strong>s roses.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/03/1990<br />

Heure : 23 h 00 min 41 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

271


Titre propre<br />

Le mon<strong>de</strong> est à vous : émission du 8 avril 1990<br />

Titre collection<br />

Le Mon<strong>de</strong> est à vous<br />

Notes du titre<br />

Dans Dimanche Martin<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Jacques Martin ; Interprète : Fanfare <strong>de</strong> cavalerie <strong>de</strong> la Gar<strong>de</strong> républicaine, Grand orchestre <strong>de</strong><br />

Robert Quibel, Orchestre symphonique <strong>de</strong> la Gar<strong>de</strong> républicaine, Lonnie Gordon, Vagabonds-groupe, Sandychanteuse,<br />

Jacques Martin, Basia, Orchestre <strong>de</strong>s Solistes <strong>de</strong> Versailles, Nelson Freire, Ban<strong>de</strong> à Basile, Roger<br />

Boutry ; Réalisateur : Gérard Thomas ; Compositeur musique préexistante : Louis Ganne, Ludwig van<br />

Beethoven, George Gershwin<br />

Résumé<br />

Au cours <strong>de</strong> cette émission avec, en invité ve<strong>de</strong>tte, les différentes formations <strong>de</strong> la Gar<strong>de</strong> Républicaine, Jacques<br />

Martin accueille trois candidats. Ces <strong>de</strong>rniers, tous militaires <strong>de</strong> carrière, tentent en cinq questions, <strong>de</strong> gagner un<br />

voyage lointain. Les questions portent sur les thèmes suivants : l'Amérique, l'actualité <strong>de</strong> la semaine, la guerre ou<br />

l'armée, l'amour, la république. Le vainqueur partira pour Saint-Martin. L'émission comporte également<br />

un extrait du Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir et <strong>de</strong>s images d'archives <strong>de</strong> Patachou chantant L’Amour au<br />

quotidien.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 08/04/1990<br />

Durée : 01 h 22 min 36 sec<br />

Heure : 14 h 43 min 22 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

272


Titre propre<br />

Mon frère Jacques : 2eme partie<br />

Titre collection<br />

Océaniques<br />

Générique et auteurs<br />

Directeur <strong>de</strong> la photo : Willy Kurant ; Participant : Jacques Prévert, Pierre Prévert, Raymond Bussieres, Jacques-<br />

Bernard Brunius, Alexandre Trauner, Marcel Carné, Jean Gabin ; Ingénieur du son : Robert Jacob ; Monteur :<br />

Jacques Cogniaux ; Réalisateur : Pierre Prévert<br />

Résumé<br />

Second volet d'une série <strong>de</strong> quatre émissions dans laquelle Pierre Prevert raconte son frère Jacques. Réalisée en<br />

1961, elle reconstitue la carrière <strong>de</strong> Jacques Prévert à travers <strong>de</strong>s entretiens entre les <strong>de</strong>ux frères et quelques vieux<br />

amis, illustrés d'extraits <strong>de</strong> films.<br />

- Pierre et Jacques évoquent la pério<strong>de</strong> qui a suivi leur premier film en 1928. L'acteur, Raymond Bussières se<br />

joint à eux pour parler du Groupe Octobre et <strong>de</strong> leur première rencontre, <strong>de</strong> Pierre Batcheff et <strong>de</strong> Pomies dont<br />

nous voyons <strong>de</strong>s photos. Bussières dit un texte <strong>de</strong> Prévert: Objets <strong>de</strong> première nécessité. Il évoque ensuite avec Jacques<br />

Prévert leur voyage en Russie avec la troupe du Groupe Octobre et leur représentation <strong>de</strong> La Bataille <strong>de</strong> Fontenoy à<br />

Moscou. Enfin, il dit regretter <strong>de</strong> n'avoir pas joué dans L'Affaire est dans le sac (extrait)<br />

- Jacques-Bernard Brunius, un <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> l'équipe surréaliste du Groupe Octobre et fondateur <strong>de</strong> la Revue<br />

du Cinéma se souvient <strong>de</strong> L'Affaire est dans le sac dans lequel il est <strong>de</strong>venu « l'homme au béret français ». Il parle <strong>de</strong> sa<br />

première rencontre avec les frères Prévert, Marcel Duhamel et Tanguy. Jacques Prévert évoque un « joli film » <strong>de</strong><br />

Brunius, Violons d'Ingres réalisé en 1937 (extrait)<br />

- Pierre Prévert et Alexandre Trauner rappellent leur première rencontre en 1932 lors d'une projection <strong>de</strong><br />

L'Affaire est dans le sac. Jacques Prévert évoque sa collaboration avec Trauner qui a fait les décors <strong>de</strong> Ciboulette<br />

avant Drôle <strong>de</strong> drame.<br />

- Pierre et Jacques parlent <strong>de</strong> Pomies, « un merveilleux danseur », puis d'Agnès Capri et Marianne Oswald qui<br />

interprétèrent les premières chansons <strong>de</strong> Prévert (photos). Jacques Prévert dit Histoire du cheval sur <strong>de</strong>s illustrations<br />

d'Elsa Henriquez.<br />

- Pierre Prévert évoque le film <strong>de</strong> Renoir Le Crime <strong>de</strong> Mr Lange dont l'adaptation et les<br />

dialogues sont signés Jacques Prévert. Jacques Bernard Brunius, interprète du film, parle<br />

« d'expérience effroyable » face à Jules Berry. Après un extrait, Pierre Prévert se souvient avec<br />

plaisir <strong>de</strong> ce film fait entre amis.<br />

- Les frères Prévert et Marcel Carné se rappellent <strong>de</strong> leur première rencontre et <strong>de</strong> leur première collaboration<br />

dans Drôle <strong>de</strong> drame en 1937. Pierre Prévert parle du caractère colérique <strong>de</strong> Carné. Extrait du film avec Louis<br />

Jouvet et Michel Simon (bizarre, bizarre)<br />

-Jean Gabin et Jacques Prévert racontent la préparation <strong>de</strong> Quai <strong>de</strong>s brumes et leurs démêlés avec le producteur<br />

dont se souvient aussi Marcel Carné. Gabin et Prévert se rappellent <strong>de</strong> leur attente après la sortie du film.<br />

Extraits <strong>de</strong> Quai <strong>de</strong>s brumes : rencontre Gabin-Morgan et scène <strong>de</strong> la boutique avec Michel Simon.<br />

- Après une évocation <strong>de</strong> Maurice Jaubert qui a composé la musique <strong>de</strong> nombreux films <strong>de</strong> Carné, Gabin et<br />

Prévert parlent du Jour se lève. Gabin se souvient <strong>de</strong>s débuts du « môme Blier » dans ce film et du jeu <strong>de</strong> Jules Berry,<br />

« grand acteur jamais remplacé ». Extrait Le Jour se lève: Arletty, Gabin et Berry dans la chambre d'hôtel.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bruxelles : radio télévision Belge <strong>de</strong> la Communauté Française (RTBF)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/04/1990<br />

Durée : 01 h 00 min 14 sec<br />

Heure : 22 h 38 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

273


Titre propre<br />

Andrex<br />

Titre collection<br />

Du côté <strong>de</strong> chez Fred<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Frédéric Mitterrand, Lila Spiegel ; Interprète : Simone Langlois, Jean-Pierre Passaga (piano) ;<br />

Participant : Dominique Andrex, Paulette Brun, Michel Creton, Colette Darfeuil, Franck Fernan<strong>de</strong>l, Armand<br />

Mestral ; Réalisateur : Michel Hermant ; Journaliste : Paul Albertini<br />

Résumé<br />

Dans cette émission d'hommage à Andrex à l'occasion <strong>de</strong> la parution <strong>de</strong> ses mémoires, Frédéric Mitterrand<br />

associe largement le comédien au grand Raimu et à Fernan<strong>de</strong>l. Il a réuni les enfants respectifs <strong>de</strong>s trois acteurs,<br />

Colette Darfeuil, l'une <strong>de</strong> leurs partenaires, Armand Mestral, leur contemporain, et Michel Creton.<br />

- Ils parlent d'abord <strong>de</strong> Marseille, la ville d'origine d'Andrex, fertile en talents et riche d'une tradition<br />

particulière. Les invités évoquent le rôle privilégié <strong>de</strong>s cabarets et autres lieux <strong>de</strong> spectacle dans la formation <strong>de</strong>s<br />

artistes. Franck Fernan<strong>de</strong>l raconte l'amitié qui lia, dès la jeunesse, Andrex et son père. Après un extrait <strong>de</strong><br />

Toni <strong>de</strong> Jean Renoir, ils passent à la carrière professionnelle d'Andrex et à ses qualités <strong>de</strong> chanteur, d'acteur et<br />

<strong>de</strong> partenaire. Quelques images d'archives illustrent sa montée à Paris dans les années 30 et ses débuts au<br />

cinéma. Ils notent la joie <strong>de</strong> vivre <strong>de</strong>s acteurs marseillais, heureux <strong>de</strong> leur métier, convaincus <strong>de</strong> leur statut<br />

privilégié, amoureux du travail (extrait <strong>de</strong> La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir) puis ils parlent du registre<br />

d'Andrex, un peu frustré d'être cantonné aux mauvais garçons.<br />

- La <strong>de</strong>uxième partie <strong>de</strong> l'émission tourne autour <strong>de</strong> Raimu. Sa fille insiste sur sa notoriété internationale et parle<br />

<strong>de</strong> sa personnalité inquiète et perfectionniste. Il est aussi question <strong>de</strong> ses rapports avec les metteurs en scène,<br />

Pagnol notamment, et ses partenaires dont Andrex. Un extrait d'Hôtel du nord <strong>de</strong> Carné illustre leurs propos.<br />

Parallèlement, Paulette Dubost, dans un entretien avec Paul Albertini, raconte une anecdote pour évoquer la<br />

séduction d'Andrex.<br />

- Au cours <strong>de</strong> cette discussion, Michel Creton et les enfants <strong>de</strong>s trois comédiens, parlent <strong>de</strong> leur gentillesse et <strong>de</strong><br />

leur enseignement. Un <strong>de</strong>rnier extrait <strong>de</strong> Cap Canaille clôt l'émission.<br />

- Avec aussi l'agenda <strong>de</strong> Lila Spiegel.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/05/1990<br />

Durée : 01 h 09 min 45 sec<br />

Heure : 00 h 20 min 55 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

274


Titre propre<br />

Luchino Visconti<br />

Titre collection<br />

Etoiles<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Commentateur : Frédéric Mitterrand ; Réalisateur : Jean-Christophe Rose ;<br />

Producteur : Jean-Christophe Rose, Frédéric Mitterrand<br />

Résumé<br />

Portrait très documenté du cinéaste italien Luchino Visconti qui fût aussi un homme <strong>de</strong> théâtre et un metteur en<br />

scène <strong>de</strong> ballets et d'opéra. Né en 1906 dans une gran<strong>de</strong> famille aristocratique, il est mort en 1976, riche et adulé.<br />

- Frédéric Mitterrand raconte le parcours artistique et affectif <strong>de</strong> Visconti, appuyant son commentaire sur une<br />

multitu<strong>de</strong> d'images d'archives qui situe l'artiste et l'homme dans le contexte social et historique <strong>de</strong> la première<br />

moitié du XXème siècle. Fasciné par la montée en puissance <strong>de</strong> l'Allemagne et lié par sa famille à l'Italie<br />

mussolinienne, il suit la route du parti communiste à partir <strong>de</strong> 1946 par admiration pour son lea<strong>de</strong>r Toriati.<br />

- Sa rencontre en 1935 avec Renoir à Paris marque les débuts <strong>de</strong> sa carrière<br />

cinématographique. Son premier film Ossessione est censuré. De nombreuses images inédites illustrent<br />

l'évocation <strong>de</strong> son oeuvre et <strong>de</strong> ses rapports avec les acteurrs et artistes qu'il cotoyait (Magnani, Cocteau, Chanel,<br />

Callas, Delon et Romy Schnei<strong>de</strong>r, Burt Lancaster Thomas Mann). En ce qui concerne sa vie privée et<br />

sentimentale, Mitterrand évoque la mère, l'homosexualité du père, la mort du frère, les attirances homosexuelles<br />

<strong>de</strong> Visconti qui imprègne tout son cinéma, le <strong>de</strong>rnier amour pour Helmut Berger.<br />

- Les <strong>de</strong>rnières images du document sont celles <strong>de</strong> l'ovation faite à Visconti au Théâtre Argentina <strong>de</strong> Rome en<br />

1973, où tous ses amis viennent embrasser le maître.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/05/1990<br />

Durée : 01 h 13 min 19 sec<br />

Heure : 22 h 39 min 20 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

275


Titre propre<br />

Anna Magnani<br />

Titre collection<br />

Du côté <strong>de</strong> chez Fred<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Michel Hermant ; Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Interprète : Zaniboni, Michel Tardieu ;<br />

Participant : Anna Magnani, Luca Magnani, Elsa De Giorgi, Marc Maurette, Chris Vermorcken<br />

Résumé<br />

Frédéric Mitterrand présente une émission consacrée à la gran<strong>de</strong> actrice italienne Anna Magnani en présence <strong>de</strong><br />

son fils Luca Magnani. Il cite, en ouverture, <strong>de</strong>s propos <strong>de</strong> Magnani concernant la place <strong>de</strong> son fils dans sa vie.<br />

- Pour évoquer les différentes facettes <strong>de</strong> la personnalité <strong>de</strong> l'actrice sont réunis Elsa <strong>de</strong> Giorgi actrice elle aussi et<br />

amie d'Anna, Chris Vermorcken réalisatrice d'un film <strong>de</strong> montage sur Magnani, Marc Maurette ancien<br />

assistant <strong>de</strong> Renoir. Le débat est émaillé <strong>de</strong> photos retraçants la carrière <strong>de</strong> Magnani ainsi que d'extraits <strong>de</strong>s<br />

films qu'elle a tourné (Rome ville ouverte, Bellissima, Le Carosse d'or, Amore) et <strong>de</strong>s interviews.<br />

- Luca Magnani parle avec parcimonie <strong>de</strong> sa mère, rejetant l'image fausse <strong>de</strong> femme violente que l'on a attribuée<br />

à Anna Magnani.Il répond aux questions concernant la vie qu'il menait aux côtés <strong>de</strong> sa mère, <strong>de</strong>s gens qu'ils<br />

rencontraient, <strong>de</strong> la place <strong>de</strong>s spectacles dans la vie italienne, <strong>de</strong> la pauvreté actuelle <strong>de</strong> la télévision dans son<br />

pays.<br />

- Elsa <strong>de</strong> Giorgi raconte ses souvenirs, Chris Vermorcken parle du néo-réalisme italien, <strong>de</strong>s relations <strong>de</strong> l'actrice<br />

avec les metteurs en scène, <strong>de</strong> sa carrière américaine et <strong>de</strong> son goût pour les animaux. Marc Maurette<br />

raconte <strong>de</strong>s anecdotes concernant le tournage du Carrosse d'or.<br />

- Off, chanson interprétée par Anna Magnani en 1944 La Vita è bella.<br />

- Agenda <strong>de</strong> Lila fait d'annonces culturelles diverses.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/05/1990<br />

Durée : 01 h 24 min 01 sec<br />

Heure : 23 h 23 min 39 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programme : France 2<br />

276


Titre propre<br />

Dieu protège la France<br />

Notes du titre<br />

Mémoire en ricochets 1958-1969 : 1ere partie dans Océaniques<br />

Générique et auteurs<br />

Commentateur : Michel Mitrani ; Réalisateur : Michel Mitrani ; Auteur oeuvre préexistante : Michel Mitrani<br />

Résumé<br />

Première d'une émission en trois chapitres réunissant, assortis d'un nouveau commentaire <strong>de</strong> l'auteur, <strong>de</strong>s extraits<br />

et séquences d'émissions documentaires réalisées par Michel Mitrani entre 1958 et 1969. Prenant Colombey<br />

comme point <strong>de</strong> départ <strong>de</strong> ce retour en arrière, Mitrani se penche sur la France <strong>de</strong>s années gaulliennes,<br />

s'attardant sur le thème <strong>de</strong> la décolonisation et sur le débat peinture figurative / art abstrait qui faisait alors<br />

fureur.<br />

- La séquence d'introduction nous mène donc à Colombey, à l'ombre <strong>de</strong> la croix <strong>de</strong> <strong>Lorraine</strong>, symbole pour<br />

Mitrani « d'un permis <strong>de</strong> vivre rétabli », et où fructifie maintenant le commerce <strong>de</strong> l'idolâtrie.<br />

- Michel Mitrani nous permet ensuite <strong>de</strong> retrouver les témoignages <strong>de</strong> François Mauriac, Mac<br />

Orlan, du prési<strong>de</strong>nt Léopold Senghor, d'Edouard Leclerc, frais émoulu du séminaire, <strong>de</strong> Pierre Desgraupes,<br />

César, Jacques Audiberti, Eugène Ionesco, Manessier, Louis Aragon, Simone Signoret, Bazaine, Adrien Maeght,<br />

Pierre Soulages, Jean Cocteau, Jean Renoir, Man Ray, Juliette gréco, Robert Bresson, et <strong>de</strong> revoir <strong>de</strong>s<br />

séquences consacrées à l'Algérie <strong>de</strong> 1960, à l'accession à l'indépendance <strong>de</strong>s anciennes colonies, à la Bretagne, au<br />

développement <strong>de</strong> l'informatique.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry sur Marne : Institut national <strong>de</strong> l’auiovisuel (INA)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d’édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision. (SEPT)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 14/01/1991<br />

Durée : 00 h 52 min 00 sec<br />

Heure : 23 h 19 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

277


Titre propre<br />

La 16eme nuit <strong>de</strong>s Césars<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Christian Vidali, Daniel Bart (montages) ; Producteur : Georges Cravenne ; Présentateur : Jean-<br />

Loup Dabadie, Guy Marchand, Richard Bohringer, Patrick Chesnais, Smain ; Commentateur : Christian<br />

Defaye<br />

Résumé<br />

- Archives : extrait <strong>de</strong> la leçon <strong>de</strong> comédie donnée par Renoir à Gisèle Braunberger.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris: Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 09/03/1991<br />

Heure : 20 h 52 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

278


Titre propre<br />

Les gran<strong>de</strong>s espérances<br />

Titre collection<br />

Les Aventures <strong>de</strong> la liberté<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Bernard-Henri Lévy ; Participant : Jean-Denis Bredin, Emmanuel Levinas, Yvonne Sadoul<br />

(épouse <strong>de</strong> Jacques Sadoul), Pierre Naville, Henri Lefebvre, Henriette Nizan, Maurice Na<strong>de</strong>au, André Thirion,<br />

Jean-Toussaint Desanti ; Réalisateur : Alain Ferrari<br />

Résumé<br />

La première émission <strong>de</strong> la série que Bernard-Henri Lévy a conçue sur les intellectuels français est consacrée à la<br />

pério<strong>de</strong> allant <strong>de</strong> l'affaire Dreyfus jusqu'aux procès <strong>de</strong> Moscou (dans les années trente). Elle pourrait être<br />

intitulée: La tentation communiste. Elle évoque longuement la France <strong>de</strong> la fin du XIXème siècle et <strong>de</strong> la Belle<br />

Epoque (la formule « intellectuel » apparait pour la première fois au moment <strong>de</strong> l'affaire Dreyfus quand Zola<br />

écrivait J'accuse et Barrès sa trilogie définissant les principes <strong>de</strong> son nationalisme). Elle se poursuit par une<br />

évocation <strong>de</strong> la guerre <strong>de</strong> 14-18 et <strong>de</strong> la Révolution d'Octobre, une réaction antimilitariste <strong>de</strong> la plupart <strong>de</strong>s<br />

intellectuels et une fascination pour la révolution lointaine venue <strong>de</strong> l'Est. Cette adhésion au communisme, BHL<br />

n'y croit pas, il le proclame et s'interroge: « comment les intellectuels <strong>de</strong> cette époque ont-ils pu s'accomo<strong>de</strong>r <strong>de</strong> tous ces crimes,<br />

ces procès, cet archipel <strong>de</strong> souffrance, ce cauchemar? ».<br />

- Parmi les grands témoins <strong>de</strong> ces événements: François Mauriac et Jean-Denis Bredin évoquent la France du<br />

début du siècle, d'Emmanuel Levinas et Yvonne Sadoul (101 ans, veuve <strong>de</strong> Jacques Sadoul) sur la Révolution<br />

d'Octobre et le Congrès <strong>de</strong> Tours, <strong>de</strong> Pierre Naville sur Souvarine et d'Henri Lefebvre sur Politzer, d'Henriette<br />

Nizan sur son mari, <strong>de</strong> Maurice Na<strong>de</strong>au sur l'engagement <strong>de</strong> Breton et <strong>de</strong>s Surréalistes au Pcf, d'André Thirion<br />

sur le rôle <strong>de</strong> Louis Aragon au sein du groupe, et <strong>de</strong> Jean-Toussaint Desanti qui explique que le parti<br />

communiste russe ne pouvait être que la vertu même, aux yeux <strong>de</strong>s intellectuels engagés <strong>de</strong> cette époque.<br />

- documents illustratifs:<br />

- Extraits <strong>de</strong> films: L'Affaire Dreyfus <strong>de</strong> Ferdinand Zecca-1907, Ceux <strong>de</strong> chez nous <strong>de</strong> Sacha Guitry-1915, Retour à la<br />

raison <strong>de</strong> Man Ray-1923, Emak'Bakia <strong>de</strong> Man Ray-1926, Autoportrait <strong>de</strong> Man Ray-1930, Entracte <strong>de</strong> René Clair-<br />

1924, Faits divers <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara-1924, Mathusalem <strong>de</strong> Jean Painlevé-1926, Un chien andalou <strong>de</strong> Luis<br />

Bunuel-1929, Les Croix <strong>de</strong> bois <strong>de</strong> Raymond Bernard 1932, La Vie est à nous Jean Renoir 1936, Paris 1900<br />

Nicole Vedrès 1947, Avec André Gi<strong>de</strong> Marc Allégret 1952, La Demoiselle et le voyou Eugène Skvinski 1918, Le Cuirassé<br />

Potemkine Eisenstein 1925, Octobre Eisenstein 1927, La Ligne générale Eisenstein 1929, La Terre Dovjenko 1930, Mes<br />

Universités Marc Donskoi 1940.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry sur Marne : Institut national <strong>de</strong> l’auiovisuel (INA)<br />

Producteur ou Co-producteur, Pais : Télé images (telim)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/03/1991<br />

Durée : 00 h 55 min 58 sec<br />

Heure : 22 h 26 min 19 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

279


Titre propre<br />

Paulette Dubost<br />

Titre collection<br />

Bouillon <strong>de</strong> culture<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Elisabeth Preschey, Gérard Sanas (reportage pin's) ; Journaliste : Isabelle Giordano ; Auteur oeuvre<br />

préexistante : Pierre Augustin Caron <strong>de</strong> Beaumarchais ; Compositeur musique préexistante : Fritz Kreisler ;<br />

Présentateur : Bernard Pivot ; Metteur en scène <strong>de</strong> théatre : Jean-Luc Boutte ; Interprète : Trio Wan<strong>de</strong>rer, Anne<br />

Kessler (Rosine), Thierry Hancisse (Figaro) ; Participant : Paulette Dubost, Marie-Clau<strong>de</strong> Treilhou, Jacques<br />

Charrier, Anne Kessler, Judith Henry, Céline Buanic, Nina Bouraoui, Trio Wan<strong>de</strong>rer, Brigitte Orfali<br />

(psychosociologue), Mambo (graffeur)<br />

Résumé<br />

Paulette Dubostest l'invitée principale <strong>de</strong> Bernard Pivot. Elle rappelle avec humour les débuts <strong>de</strong> sa carrière au<br />

cabaret et dans <strong>de</strong>s revues très dénudées. Elle évoque sans remords les « navets » qui ont jalonné sa<br />

vie professionnelle mais aussi les grands cinéastes, notamment Renoir pour La Règle du jeu et<br />

Louis Malle pour Milou en mai (extraits), qui l'ont fait jouer. Avec Marie-Clau<strong>de</strong> Trilhou, metteur en scène du Jour<br />

<strong>de</strong>s Rois, elle parle <strong>de</strong> son rôle <strong>de</strong> vieille dame gentille et faible, <strong>de</strong> ses partenaires et du sujet du film. Jacques<br />

Charrier, dont les toiles décorent le studio, est un ami <strong>de</strong> Paulette Dubost. Il dit quelques mots sur sa carrière<br />

cinématographique entreprise en dilletante puis explique sa peinture faite <strong>de</strong> « mécaniques imaginaires » et son goût<br />

<strong>de</strong>s pastels. Cette première partie se termine par un extrait <strong>de</strong> l'émission <strong>de</strong> Christine Ockrent, Qu'avez vous fait <strong>de</strong><br />

vos 20 ans, consacré à Michel Rocard.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/03/1991<br />

Durée : 01 h 34 min 17 sec<br />

Heure : 22 h 11 min 31 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

280


Titre propre<br />

Le Regard du zappeur<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Régis Debray ; Participant : Serge Daney ; Réalisateur : Dominique Rabourdin, Pierre-André<br />

Boutang<br />

Résumé<br />

Troisième partie <strong>de</strong> la trilogie Itinéraire d'un ciné-fils consacrée à Serge Daney et présentée par Régis Debray (off).<br />

- Dans les différents thèmes abordés dans cette émission : le passage à Libération <strong>de</strong> 1981 à 1986 comme<br />

responsable <strong>de</strong> la rubrique cinéma, la crise ouverte du cinéma, la télévision-téléphone, la psychologie du français<br />

moyen et sa responsabilité dans l'évolution <strong>de</strong>s programmes (jeux et autres réality show) recopiés mot à mot sur la<br />

TV américaine, l'évolution <strong>de</strong> la société et <strong>de</strong>s idéologies, « du discours <strong>de</strong> l'écologie comme ressurgence rampante du<br />

fascisme » (Pub pour la Fondation Yoplait), et enfin sur le mythe et le modèle d'i<strong>de</strong>ntification.<br />

- Au-<strong>de</strong>la <strong>de</strong>s thèmes abordés, <strong>de</strong>s réactions ou <strong>de</strong>s analyses <strong>de</strong> Serge Daney, c'est une rencontre avec un<br />

itinéraire intellectuel sans complaisance qui pose les termes <strong>de</strong> l'évolution culturelle <strong>de</strong> notre civilisation comme<br />

irréductibles et sans espoirs.<br />

- extraits <strong>de</strong> films :<br />

- Fanny et Alexandre, Ingmar Bergman.<br />

- Ginger et Fred, Fe<strong>de</strong>rico Fellini.<br />

- La Règle du Jeu, Jean Renoir .<br />

- articles <strong>de</strong> Libé signés Serge Daney.<br />

- Zapping rapi<strong>de</strong> d'émissions <strong>de</strong> TV.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3), 1992<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d’édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision (SEPT)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Sodaperaga (SODAP)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/05/1992<br />

Durée : 01 h 05 min 45 sec<br />

Heure : 00 h 27 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

281


Titre propre<br />

Jean-Jacques Beineix<br />

Titre collection<br />

Bouillon <strong>de</strong> culture<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Bernard Pivot ; Participant : Jean-Jacques Beineix, Paulette Dubost, Olivier Martinez, Sekkou<br />

Sall, Robert Harrison ; Réalisateur : Alexandre Tarta<br />

Résumé<br />

Bernard Pivotprésente ses invités : Jean-Jacques Beineix, réalisateurdu film IP5 (le <strong>de</strong>rnier d'Yves Montand),<br />

Olivier Martinez et Sekkou Sall, acteurs dans ce film, Robert Harrison, philosophe, auteur du livre Forêts paru<br />

aux éditions Flammarion et Paulette Dubost, à l'occasion <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> son livre C'est court la vie aux éditions<br />

Flammarions.<br />

- Paulette Dubost qui dans son livre révèle quelques vérités sur <strong>de</strong> nombreux comédiens avoue avoir adoré les<br />

<strong>de</strong>ux enfants dans le film IP5, sur Montand elle reconnait avoir envié Simone Signoret. Elle nous retrace sa<br />

carrière <strong>de</strong> comédienne tout au long <strong>de</strong>s 166 films qu'elle a tourné. Diffusion d'extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir, <strong>de</strong> Le Plaisir et Lola Montes <strong>de</strong> Max Ophuls et <strong>de</strong> Viva Maria <strong>de</strong> Louis Malle. Toujours pétillante<br />

<strong>de</strong> vie, elle nous raconte quelques épiso<strong>de</strong>s <strong>de</strong> sa vie privée et déclare trouver du charme à Robert Harrison.<br />

- Bernard Pivot présente ensuite différents livres dont notamment le Story Board du film IP5.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/06/1992<br />

Durée : 01 h 27 min 12 sec<br />

Heure : 22 h 38 min 33 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

282


Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />

Tavernier, John Ford, Henry Hathaway et le cinéma américain<br />

Titre propre<br />

Bertrand Tavernier : 1ere partie<br />

Titre collection<br />

Le Divan<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jean-Clau<strong>de</strong> Longin ; Présentateur : Henry Chapier ; Participant : Bertrand Tavernier<br />

Résumé<br />

Tavernier raconte sa découverte du cinéma américain à travers quelques grands noms Ford, Wellman,<br />

Hathaway et puis comme acteur Gary Cooper, il cite comme films culte Les Naufrageurs <strong>de</strong>s mers du Sud, Les<br />

Ecumeurs <strong>de</strong>s monts Apache Les Aventures du capitaine Wyatt <strong>de</strong> Raoul Walsh puis sa découverte <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong><br />

illusion <strong>de</strong> Renoir par la suite<br />

il dit avoir appris à aimer la vie grâce au cinéma, par exemple il a été sensibilisé au problème indien en voyant<br />

<strong>de</strong>s westerns Le Massacre <strong>de</strong> Fort Apache, les films <strong>de</strong> Ford, Delmer Daves, il a compris le New Deal à travers Les<br />

Raisins <strong>de</strong> la colère, son goût <strong>de</strong> la politique, du social lui est venu du cinéma<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 06/09/1992<br />

Durée : 00 h 04 min 23 sec<br />

Heure : 21 h 58 min 51 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

283


Tournage à la campagne, à partir d’une Partie <strong>de</strong> Campagne<br />

d’Alain Fleisher, 1993, 90 mn.<br />

Je m’appelle Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1993, amission diffusée en quatre parties (<strong>de</strong>ux émissions <strong>de</strong> 60 mn; une <strong>de</strong> 75 mn et la<br />

<strong>de</strong>rnière <strong>de</strong> 90 mn).<br />

Titre propre<br />

Plateau : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />

Titre collection<br />

JA2 <strong>de</strong>rnière<br />

Générique et auteurs<br />

Participant : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Journaliste : Catherine Ceylac<br />

Résumé<br />

Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe qui est venu parler du film <strong>de</strong> Jean Renoir La Marseillaise diffusé ce soir<br />

au Ciné-club, exprime l'émotion qu'il a ressenti à l'annonce du décès <strong>de</strong> Cyril Collard : « ... on avait peur que ça<br />

arrive à quelqu'un le jour <strong>de</strong> la remise <strong>de</strong>s Césars...Ce qui était frappant dans le film Les Nuits fauves c'était la correspondance entre le<br />

film et son public... les passions, les pulsions et les espoirs d'une génération y étaient exprimés.. ». Puis evoquant le film <strong>de</strong><br />

Jean Renoir : « ... La Marseillaise se passe en 1937 à l'époque où Jean Renoir était sympathisant<br />

du PC et <strong>de</strong> l'extrême gauche... le film a été produit comme une souscription, les spectateurs<br />

payaient à l'avance... A l'époque Jean Renoir a été attaqué sur le plan politique... aujourd'hui on<br />

découvre sa faculté <strong>de</strong> se mettre à la place <strong>de</strong> quiconque: le roi, le peuple... son film est un film<br />

d'humanité... ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 05/03/1993<br />

Heure : 00 h 10 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

284


Titre propre<br />

Pierre Braunberger : 1ere partie<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Pierre-André Boutang ; Journaliste : Pierre-André Boutang, Serge Toubiana ; Participant : Pierre<br />

Braunberger<br />

Résumé<br />

Assis <strong>de</strong>rrière son bureau, Pierre Braunberger s'entretient avec Pierre-André Boutang (off) sur sa carrière <strong>de</strong><br />

producteur, qui fut aussi la passion <strong>de</strong> sa vie et se confond avec l'histoire du cinéma <strong>de</strong> ce siècle.Après avoir défini<br />

la notion <strong>de</strong> producteur en France et analysé les qualités requises pour ce métier, un montage rappelle les<br />

principales étapes <strong>de</strong> sa vie, <strong>de</strong>puis sa rencontre avec Jean Renoir jusqu'à la Nouvelle Vague, vie qui<br />

s'achève en Novembre 90. Rappelons qu'il fut décoré par François Mitterrand en Mai 86 <strong>de</strong> l'Ordre du Mérite.<br />

- Né en 1920 dans une famille <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins, son père est passionné <strong>de</strong> cinéma et a comme client Louis Lumière.<br />

A 8 ans il voit Le Mur qui saigne <strong>de</strong> Louis Feuilla<strong>de</strong>, c'est la révélation. Il passe son adolescence entre le Lycée<br />

Voltaire et les salles obscures, souvent avec <strong>de</strong> fausses cartes. Son baccalauréat en poche, il part en Angleterre<br />

travailler chez Brockliss, un distributeur qui le charge <strong>de</strong> choisir <strong>de</strong>s films qui pourrait plaire aux Anglais. Très<br />

vite il comprend qu'il veut être producteur, sachant qu'il n'a pas les qualités d'un metteur en scène. Auparavant, il<br />

avait vu en Allemagne Nosferatu <strong>de</strong> Murnau et Einstein, film <strong>de</strong> démonstration scientifique aujourd'hui disparu.Il<br />

s'embarque ensuite pour les Etats-Unis. Après un bref séjour à New-York, il est engagé par la Metro Goldwin<br />

Mayer à Los Angeles, auprès <strong>de</strong> Irving Thalberg, le plus grand producteur <strong>de</strong> l'époque. Chargé <strong>de</strong> visionner les<br />

"rushes" et <strong>de</strong> dire ce qu'il en pense, il est bientot détesté <strong>de</strong> tout le mon<strong>de</strong> et doit rentrer en France. Mais il a<br />

découvert le cinéma américain et les nouveaux matériels <strong>de</strong> tournage.<br />

- En 1924 il rencontre Jean Renoir, et c'est le début d'une longue amitié entre les <strong>de</strong>ux hommes.<br />

Il monte Nana film franco allemand, Une partie <strong>de</strong> campagne, et lui rachète Catherine qui s'était<br />

révélé être un échec. . Il parle <strong>de</strong> la façon <strong>de</strong> travailler <strong>de</strong> Renoir « il savait diriger les acteurs,<br />

s'intéressait à la technique, au cadrage… » et raconte quelques anecdotes sur leur<br />

collaboration..<br />

- L'émission est illustrée d'extraits <strong>de</strong> films : archives <strong>de</strong> New-York, extrait <strong>de</strong> Catherine,<br />

extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne. Extrait : Renoir dirige et fait répéter une comédienne.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Sodaperaga (SODAP)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/05/1993<br />

Durée : 00 h 53 min 48 sec<br />

Heure : 09 h 28 min 05 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

285


Titre propre<br />

Pierre Braunberger producteur <strong>de</strong> films : 2eme partie<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Pierre-André Boutang ; Participant : Pierre Braunberger<br />

Résumé<br />

Pierre Braunberger, tout au long <strong>de</strong> cette émission raconte sa carrière, ses rencontres avec quelques personnes du<br />

cinéma, certains films qui lui ont tenu à cœur ; il définit le métier <strong>de</strong> producteur comme celui du « collaborateur à la<br />

création », parle <strong>de</strong> Bunuel qu'il a connu, évoque les débuts du cinéma parlant en 1929 auquel le public ne portait<br />

aucun intérêt et parle <strong>de</strong> son premier film La Route est belle (extrait). Dans L'Amour chante il a voulu retourner au<br />

principe du cinéma muet en y ajoutant la parole (extrait); parle <strong>de</strong> Jean Renoir qui s'est enthousiasmé<br />

pour le cinéma parlant (extrait du film On purge bébé) et qui a appris à Louis Jouvet à faire du<br />

cinéma. Il parle <strong>de</strong> la distribution du film La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir pour lequel il a eu<br />

beaucoup <strong>de</strong> problèmes et <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne du même réalisateur dans lequel jouait<br />

Sylvia Bataille, une femme qu'il a beaucoup aimée ; le producteur raconte les difficultés qu'il a<br />

eues pour terminer ce film, Renoir se trouvant en Amérique (c'était la guerre) (extrait du film).<br />

Parle du film Vous n'avez rien à déclarer et ceux qui y ont collaboré ainsi que <strong>de</strong> Forfaiture <strong>de</strong> Marcel L'Herbier. Il<br />

raconte enfin l'idée qu'il a eue <strong>de</strong> tuer Hitler en 1939 : il avait acheté un revolver mais la veille<br />

du jour J en a informé Jean Renoir qui l'en a empêché.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Sodaperaga (SODAP)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 25/05/1993<br />

Durée : 00 h 55 min 42 sec<br />

Heure : 09 h 30 min 01 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

286


Titre propre<br />

Henri Salvador<br />

Titre collection<br />

Le mon<strong>de</strong> est à vous<br />

Notes du titre<br />

Dans Dimanche Martin<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Jacques Martin ; Interprète : Ballet Sikulu (danseurs d'Afrique du sud), Henri Salvador, Pow Wow,<br />

Gilbert Montagne, Native-groupe, Orchestre <strong>de</strong>s Concerts Colonne, Gérard Presgurvic, Grand orchestre <strong>de</strong><br />

Robert Quibel, Antonello Allemandi, Lucia Aliberti ; Réalisateur : Gérard Thomas ; Compositeur musique<br />

préexistante : Vincenzo Bellini, Gioachino Rossini<br />

Résumé<br />

L'invité d'honneur <strong>de</strong> Jacques Martin est Henri Salvador.<br />

- Les trois candidats du jeu sont facteurs.<br />

- Des images d'archives <strong>de</strong> l'année 1947 (Gaumont) son proposées ainsi qu'un extrait du film <strong>de</strong><br />

Jean Renoir Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Jacqus Martin production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/10/1993<br />

Durée : 01 h 31 min 44 sec<br />

Heure : 13 h 26 min 08 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

287


Titre propre<br />

Hommage à Jean-Clau<strong>de</strong> Pascal<br />

Titre collection<br />

La Chance aux chansons<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Pascal Sevran ; Interprète : Jacqueline Boyer, Isabelle Aubret, Michele Beaumont ; Participant :<br />

Françoise Arnoul ; Réalisateur : Gérard Marchadier<br />

Résumé<br />

- P.Sevran accueille Françoise Arnoul : elle évoque ses souvenirs, les débuts <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> J-C.Pascal et précise<br />

qu'il savait tout faire : comédien, chanteur, écrivain, couturier. P.Sevran mentionne le Musée <strong>de</strong> la Chemiserie à<br />

Argenton-sur-Creuse, créé par les cousins <strong>de</strong> J-C.Pascal, où l'on peut voir <strong>de</strong>s costumes <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier.<br />

- Archives : J-C.Pascal chante C'était moi.<br />

- F.Arnoul évoque ses relations avec J-C.Pascal : ils étaient les enfants gâtés du cinéma français, ils se sentaient<br />

frères et soeurs.<br />

- archives coul.: J-C.Passcal chante Revoir Paris (Décembre 1985).<br />

- Ils évoquent la carrière <strong>de</strong> F.Arnoul: elle a eu les plus grands partenaires du cinéma français<br />

<strong>de</strong> l'époque et se souvient avec nostalgie du film French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir, qu'elle revoit<br />

toujours avec plaisir. Elle annonce qu'elle vient <strong>de</strong> tourner un Cinq <strong>de</strong>rnières minutes.<br />

- archives noir t blanc : J-C.Pascal chante L'Amour c'est comme un jour.<br />

- F.Arnoul raconte que J-C.Pascal était très exigeant sur son bon profil. Elle évoque l'immense succés qu'il a<br />

connu dans sa jeunesse et le compare à Patrick Bruel.<br />

- archives : Cora Vaucaire chante La Vie d'artiste.<br />

- Et pour terminer l'émission, archives coul.: Jean-Clau<strong>de</strong> Pascal chante Soirées <strong>de</strong> Prince. Le générique défile sur la<br />

fin <strong>de</strong> la chanson.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/10/1993<br />

Durée : 01 h 31 min 44 sec<br />

Heure : 15 h 59 min 46 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

288


Titre propre<br />

Extérieurs nuits : émission du 4 janvier 1994<br />

Titre collection<br />

Extérieurs nuits : magazine sur le cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Commentateur : Christine Quenon, Serge Toubiana ; Présentateur : Serge Toubiana ; Participant : Diane<br />

Kurys, Patrick Aurignac, Béatrice Dalle, Andrei Mikhalkov Konchalovski, Jean-Pierre Ameris, Bojena<br />

Horackova, Laurent Chevallier, Patrice Chéreau, Danièle Thompson, Pedro Almodovar ; Réalisateur : Matthias<br />

San<strong>de</strong>rson, Bernard Laurent, Denis Van Waerebeke ; Journaliste : Christine Quenon, Solveig Anspach, Serge<br />

Toubiana, Pascal Rémy, Jean-Dominique Ferrucci, Michel Arowns, Xavier Villetard<br />

Résumé<br />

- En prélu<strong>de</strong> à l'émission, Serge Toubiana rend hommage à Jean-Louis Barrault dont il rappelle que la carrière<br />

s'inscrit sous le signe du doube : théâtre/cinéma et tragique/burlesque. Extrait d'une interview <strong>de</strong> J.L.<br />

Barrault qui parle <strong>de</strong> son rôle dans Le Testament du Dr Cor<strong>de</strong>lier et <strong>de</strong> la technique <strong>de</strong> tournage<br />

<strong>de</strong> Jean Renoir dans ce film. Extrait du film (1961) : transformation du Dr Cor<strong>de</strong>lier en Opale.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3(F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, paris : Flach film (FLACH)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 24/01/1994<br />

Durée : 00 h 52 min 58 sec<br />

Heure : 00 h 26 min 11 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

289


Titre propre<br />

Françoise Giroud (1916)<br />

Titre collection<br />

Passions <strong>de</strong> jeunesse : Qu’avez-vous fait <strong>de</strong> vos vingt ans<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Sylvia Folgoas ; Présentateur : Christine Ockrent ; Participant : Françoise Giroud<br />

Résumé<br />

A vingt ans « j'étais une jeune fille appétissante »... ainsi commence l'évocation par Françoise Giroud <strong>de</strong> sa jeunesse.<br />

Face à Christine Ockrent, elle retrace sa vie.<br />

- Le personnage phare <strong>de</strong> Françoise Giroud fut sa mère « belle, adorable, gaie, inventive, généreuse ». Ses parents,<br />

d'origine turque avaient immigré en France pour <strong>de</strong>s raisons politiques (son père fut le fondateur d'une agence <strong>de</strong><br />

presse en Turquie).Très jeune, à la mort <strong>de</strong> son père, elle dut assumer la responsabilité économique <strong>de</strong> sa famille.<br />

Elle est embauchée comme sténo-dactylo, puis comme ven<strong>de</strong>use dans une librairie.<br />

- Elle évoque sa rencontre avec André Gi<strong>de</strong>, qui l'introduit dans le mon<strong>de</strong> du cinéma. Elle débute comme scriptgirl<br />

du film Fanny <strong>de</strong> Marc Allégret. En 1936, elle travailla dans La Gran<strong>de</strong> illusion, <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

Le cinéaste reste son maître, il lui a appris sur le plateau l'art <strong>de</strong> diriger avec autorité et<br />

tendresse. Ministre <strong>de</strong> la Culture, elle lui a remis la médaille <strong>de</strong> la légion d'honneur.<br />

- Cinéma : diffusion d'extraits La vie est à nous et La gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision (Pathé)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/02/1994<br />

Durée : 00 h 47 min 12 sec<br />

Heure : 23 h 08 min 58 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

290


Titre propre<br />

Nécro : Jean Carmet<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Pascale Deschamps<br />

Résumé<br />

Décès Jean Carmet : Hommage à Jean Carmet décédé hier à l'âge <strong>de</strong> 73 ans. Rétrospective.<br />

- 26/02/1994 : Gérard Depardieu remet un César à Jean Carmet / Jean carmet remercie / toute la salle<br />

l'applaudit.<br />

- Diffusion d’extraits <strong>de</strong> film : LesFugitifs, avec Pierre Richard / extrait <strong>de</strong> Roulez jeunesse / extrait <strong>de</strong> Le Sucre, avec<br />

Gérard Depardieu / extrait <strong>de</strong> Dupont la joie / extrait <strong>de</strong> (film N&B <strong>de</strong> Jean Renoir ).<br />

- Brefs plans <strong>de</strong> Jean Carmet pendant le tournage d'un film.<br />

- Bourgueil 1988 : Jean Carmet goûtant du vin et analysant sa saveur.<br />

- interview Jean carmet au sujet du pâté <strong>de</strong> tête.<br />

- archives INA : Jean carmet reçoit un « Sept d'Or ».<br />

- Bref plan <strong>de</strong> Jean Carmet dans un jardin, cueillant une fleur.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/04/1994<br />

Durée : 00 h 03 min 37 sec<br />

Heure : 20 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

291


Titre propre<br />

Hommage à Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Le Cercle <strong>de</strong> minuit<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Gilles Dau<strong>de</strong> ; Présentateur : Michel Field, Thierry Jousse ; Interprète : Urban Sax, Elie Pennont,<br />

Alfred Fantone, Guy Cavagnac ; Participant : Dominique Paini, Paulette Dubost, Françoise Arnoul, Serge<br />

Toubiana, Gilbert Artman (directeur du groupe Urban Sax), Elie Pennont (comédien), Alfred Fantone (conteur)<br />

Résumé<br />

Michel Field consacre cette émission au centenaire <strong>de</strong> Jean Renoir avec <strong>de</strong>s invités venant témoigner sur sa<br />

personnalité et sa façon <strong>de</strong> travailler. Il rend aussi hommage à Serge Daney à l'occasion <strong>de</strong> la publication <strong>de</strong> ses<br />

entretiens avec Serge Toubiana.<br />

- Hommag à Jean Renoir<br />

- Guy Cavagnac, à travers son livre Jean Renoir, le désir du mon<strong>de</strong> parle <strong>de</strong>s relations entre Renoir et ses acteurs. Il<br />

estime que pour ses films, Jean Renoir était en avance sur son temps et donne un exemple avec Le Déjeuner sur<br />

l'herbe.<br />

- Dominique Paini vient présenter la rétrospective que consacre la Cinémathèque à Jean Renoir . Il parle <strong>de</strong>s<br />

prise <strong>de</strong> vues non retenues <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne retrouvées et qui vont être diffusées. Sur le travail du cinéaste, il<br />

insiste sur le côté expérimental <strong>de</strong> Renoir .<br />

- Paulette Dubost qui a tourné dans La Règle du jeu raconte les tournages avec Jean Renoir. Dans les cinéastes<br />

d'aujourd'hui, elle ne reconnait que Louis Malle, dans lequel elle pense retrouver du Renoir. Au début <strong>de</strong> son<br />

entretien, son micro se décroche et Michel Field va le lui remettre. Elle lui fait une remarque humoristique à ce<br />

propos.<br />

- Françoise Arnoul, héroïne <strong>de</strong> French Cancan, évoque elle aussi la personnalité <strong>de</strong> Jean Renoir. Elle raconte<br />

comment elle a obtenu son rôle dans French Cancan et qualifie ce film d'hommage au public.<br />

- Serge Toubiana donne sa propre analyse du phénomène Renoir. Pour lui, la force du cinéaste, c'est d'être<br />

« naturellement dans le milieu <strong>de</strong> l'art ».<br />

- thierry Jousse analyse le cinéma <strong>de</strong> Renoir en insistant sur le côté dansant <strong>de</strong> ses films et la présence <strong>de</strong>s<br />

chansons.<br />

- extraits : La Règle du jeu, French Cancan et Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange.<br />

- Archives : Essais muets <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne et essais du baiser et scène finale. interview <strong>de</strong> Jean Renoir au bord<br />

<strong>de</strong> l'eau et explication d'une scène dans La Règle du jeu (Cinéastes <strong>de</strong> notre temps, Jacques Rivette, INA, 1967).<br />

Jean Renoir parlant <strong>de</strong> La Règle du jeu (Les écrans <strong>de</strong> la ville, C. Thiriet, INA, 1965).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/05/1994<br />

Durée : 01 h 18 min 42 sec<br />

Heure : 01 h 17 min 37 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

292


Titre propre<br />

Extrait La Gran<strong>de</strong> Illusion<br />

Titre collection<br />

Signé croisette<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Pascale Deschamps<br />

Résumé<br />

Le Festival <strong>de</strong> Cannes rend hommage à Jean Renoir (qui aurait eu cent ans) avec une rétrospective complète.<br />

- ce soir extrait <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> Illusion <strong>de</strong> 1937.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/05/1994<br />

Heure : 00 h 16 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

293


Titre propre<br />

Cannes rétrospective Renoir<br />

Titre collection<br />

19/20<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Michel Vial ; Participant : Françoise Arnoul, Paulette Dubost<br />

Résumé<br />

A Cannes, hommage à Jean Renoir dont c'est le centenaire, avec la projection <strong>de</strong> Un tournage à la campagne,<br />

montage d'Alain Fleischer, réalisé à partir <strong>de</strong> rushes <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne tourné en 1936.<br />

Photos <strong>de</strong> Renoir lors tournages<br />

Court extrait du film Le Déjeuner sur l'herbe<br />

Témoignages <strong>de</strong> Françoise Arnoul et <strong>de</strong> Paulette Dubost qui dit que Renoir a apporté la révolution dans le<br />

cinéma : « ...avant, la caméra était statique… La Règle du jeu, c'est un véritable ballet » .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 14/05/1994<br />

Durée : 00 h 01 min 33 sec<br />

Heure : 19 h 49 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

294


Titre propre<br />

Hommage à Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Signé Croisette<br />

Résumé<br />

Le Festival <strong>de</strong> Cannes rend hommage à Jean Renoir (qui aurait cent ans cette année) avec une rétrospective<br />

complète <strong>de</strong> ses films.<br />

- ce soir extrait du Caporal épinglé<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 16/05/1994<br />

Heure : 23 h 56 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

295


Titre propre<br />

Hommage à Jean Renoir : extrait Le Fleuve<br />

Titre collection<br />

Signé croisette<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Pascale Deschamps<br />

Résumé<br />

Cinéma : Hommage à Jean Renoir<br />

- Extrait du film Le Fleuve<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 17/05/1994<br />

Heure : 00 h 25 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

296


Titre propre<br />

Extrait Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier<br />

Titre collection<br />

Signé croisette<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Pascale Deschamps<br />

Résumé<br />

Extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/05/1994<br />

Heure : 01 h 07 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

297


Titre propre<br />

Hommage à Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Signé croisette<br />

Résumé<br />

A l'occasion du centième anniversaire <strong>de</strong> la naissance du cinéaste français Jean Renoir, extrait <strong>de</strong> son film La<br />

Marseillaise <strong>de</strong> 1938.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/05/1994<br />

Heure : 00 h 20 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

298


Titre propre<br />

Hommage à Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Signé croisette<br />

Résumé<br />

A l'occasion du centième anniversaire <strong>de</strong> la naissance du cinéaste Jean Renoir, extrait <strong>de</strong> son film : Le Déjeuner sur<br />

l’herbe (1959).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/05/1994<br />

Heure : 23 h 50 min 03 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

299


Titre propre<br />

Spécial Cannes<br />

Titre collection<br />

Extérieurs nuits : magazine sur le cinéma<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Matthias San<strong>de</strong>rson, Denis Van Waerebeke (reportage photo), Philippe Truffault (Cannes Quizz),<br />

Michel Fourca<strong>de</strong> (plateau) ; Journaliste : Christine Quenon ; Présentateur, Serge Toubiana ; Directeur <strong>de</strong> la<br />

photo : Lionel Carrlet ; Participant : Jean-Michel Frodon, Pierre Rissient, Bernard Girau<strong>de</strong>au, Mathieu<br />

Kassovitz, Jacques Rozier, André Techine, Gilles Taurand, Philippe Truffault, Marthe Keller, Nanni Moretti,<br />

Pascale Ferran, Nella Banfi, Patrice Chéreau, Michel Blanc, Atom Egoyan<br />

Résumé<br />

Ce numéro spécial Cannes d'Extérieurs Nuits a lieu quelques heures après la proclamation du palmarès et fait le<br />

bilan du déroulement du 47ème festival et <strong>de</strong> son palmares. L'émission a lieu en direct <strong>de</strong>puis le pont du yacht<br />

« Lady Jersey », à Cannes, où Serge Toubiana reçoit <strong>de</strong> nombreux invités du mon<strong>de</strong> du cinéma (il fait nuit).<br />

- Jacques Rozier, cinéaste, évoque Jean Renoir, dont on fête à Cannes le centenaire <strong>de</strong> sa<br />

naissance. Il raconte être allé camper sur le lieu <strong>de</strong> tournage <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne, film<br />

inachevé dont les rushes ont été montés à l'initiative <strong>de</strong> la Cinémathèque française.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Flach Film (FLACH)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 23/05/1994<br />

Durée : 01 h 12 min 31 sec<br />

Heure : 23 h 18 min 21 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

300


Titre propre<br />

Marc Lavoine<br />

Titre collection<br />

Vincent à l’heure<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Vincent Perro, Esthel Graf, Christine Richard, Isabelle Lestocquoy, Jean-Yves Espie, Laurent<br />

Sorcelle, Isabelle Duhamel, Jacques Capelovici ; Interprète : Enzo Enzo, Jean-François Derec, Guy Lecluyse ;<br />

Participant : Jean-Pierre Cuny, Marc Lavoine, Patrick Fillian (musee du barbier), Jacques Douy ; Réalisateur :<br />

Olivier Bressy ; Journaliste : Arnaud Blin<br />

Résumé<br />

Vincent Perrot présente cette première émission <strong>de</strong> la série <strong>de</strong>puis les studios <strong>de</strong> Bry, en compagnie <strong>de</strong> Marc<br />

Lavoine. Ce <strong>de</strong>rnier a joué les animateurs sur Europe 2 tout l'été. Il sort un album: For Ever. Il parle <strong>de</strong> sa<br />

rencontre avec Elie Chouraquie qui a réalisé le clip. Marc Lavoine qui s'intéresse aux gens fragilisés, commente<br />

<strong>de</strong>s images <strong>de</strong> l'hopital <strong>de</strong> jour d'Antony où vivent <strong>de</strong>s autistes qui rédigent le journal du Papotin.<br />

- Vincent Perrot annonce la soirée spéciale Jean Renoir . Extrait <strong>de</strong> French Cancan. Jacques<br />

Douy avait participé aux décors du film réalisé à Joinville et au studio Frankeur. Il parle <strong>de</strong> Jean<br />

Renoir : un homme mo<strong>de</strong>ste et charmant.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/09/1994<br />

Durée : 01 h 37 min 00 sec<br />

Heure : 13 h 05 min 55 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

301


Titre propre<br />

Jean Renoir, le patron (2) : Portrait <strong>de</strong> Michel Simon par Jean Renoir<br />

Titre collection<br />

Cinéma <strong>de</strong> notre temps<br />

Notes du titre<br />

Intitulé complet du <strong>de</strong>uxième épiso<strong>de</strong> du film <strong>de</strong> Jacques Rivette, Jean Renoir, le patron : portrait <strong>de</strong> Michel<br />

Simon par Jean Renoir ou portrait <strong>de</strong> Jean Renoir par Michel Simon ou la direction d'acteurs : dialogue"<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />

Participant : Jean Renoir, Michel Simon<br />

Résumé<br />

Ce film a été tourné et réalisé par Jacques Rivette, André Labarthe et Janine Bazin sur les bords <strong>de</strong> la Marne, le<br />

25 mai 1966. Il constitue le <strong>de</strong>uxième volet d'un triptyque consacré à Jean Renoir, intitulé Jean Renoir, le patron,<br />

dont seuls, les premiers et troisièmes volets ont été diffusés à l'époque.<br />

Jean Renoir et Michel Simon attablés dans une guinguette, évoquent <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> tournage, parlent <strong>de</strong> leur<br />

métier et livrent leur conception <strong>de</strong> leur art. Leurs interlocuteurs sont Jacques Rivette, Janine Bazin et André<br />

Labarthe. De nombreux extraits <strong>de</strong> films – films <strong>de</strong> Renoir tournés avec Michel Simon uniquement – jalonnent<br />

cet entretien :<br />

Tire-au-flanc (1928), On purge bébé (1931), La Chienne, Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (1932) et La Tosca (1940).<br />

- Courts extraits <strong>de</strong> ces quatre films<br />

- Michel Simon dit que La Chienne l'a sauvé <strong>de</strong> l'image d'acteur comique qu'on lui attribuait à l'époque ; parle<br />

d'une fraternité avec Renoir qu'il n'a jamais retrouvé <strong>de</strong>puis dans toute sa carrière. A travers <strong>de</strong>s anecdotes<br />

concernant les actrices, les tournages <strong>de</strong> ces films, Renoir dit « qu'un acteur, c'est très fragile », que le personnage <strong>de</strong><br />

Boudu, c'est l'innoncence ; innocence qu'il faut préserver pour créer.<br />

- Extrait <strong>de</strong> Tir-au-flanc<br />

- Extrait <strong>de</strong> La Tosca tourné à Rome dans le Forum ; évocation du tournage, anecdotes...<br />

- Long extrait <strong>de</strong> La Chienne : scène tragique où Michel Simon tue sa partenaire. Renoir revient sur <strong>de</strong>s thèmes<br />

qui lui sont chers : le lien humain : au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s intérêts et <strong>de</strong>s goûts communs, il existe <strong>de</strong>s liens entre certains<br />

êtres, comme un "radar" ; c'est pourquoi « il faut faire un film avec les gens qui sont réunis par ce radar"..."sentir qu'une<br />

pellicule entres les êtres est tombée... qu'on se touche, c'est la base <strong>de</strong> tout ». A ce propos, il parle <strong>de</strong> son livre Les Cahiers du<br />

capitaine Georges. Il s'intéresse <strong>de</strong> ce fait au comportement, à la présence <strong>de</strong>s animaux. ; l'homme a perdu le goût<br />

<strong>de</strong>s choses et <strong>de</strong>s êtres, parcequ'il a trop cueilli les fruits <strong>de</strong> la science, autre thème cher au cinéaste.<br />

- Extraits <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux ; tout en plaisantant et en louant la « merveilleuse intelligence » <strong>de</strong> Shakespeare et <strong>de</strong><br />

Rabelais (extraits d'un film sur Hamlet) Renoir insiste sur une autre idée qui lui est chère : il faut faire d'abord ; et<br />

le sens <strong>de</strong> ce qu'on a voulu faire se dégage seulement après. Les gens qui croient au motif, au thème ou à<br />

l'intrigue font <strong>de</strong>s oeuvres fausses et ennuyeuses ; Boudu, c'est le contraire. Michel Simon parle <strong>de</strong> complicité<br />

avec le public, pense aussi que trop d'explications empêche l'émerveillement, la création. Boudu (autres extraits),<br />

c'est la poésie, le mépris absolu <strong>de</strong> la forme extérieure ; ils chantonnent les chansons du film et rappellent<br />

comment le film fit scandale à sa sortie et fut retiré <strong>de</strong>s écrans au bout <strong>de</strong> trois jours, par ordre <strong>de</strong> la police.<br />

L'entretien se termine par un autre extrait du film et par l'évocation nostalgique d'un Paris où « les gens étaient<br />

gentils et généreux » et dont il ne reste plus que quelques traces.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Audiovisuel Multimédia Int. Production (AMIP)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/09/1994<br />

Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />

Heure : 22 h 00 min 00 sec<br />

Canal : 5eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : Institut National Audiovisuel<br />

302


Titre propre<br />

Cent ans <strong>de</strong> cinéma<br />

Titre collection<br />

Génération trois<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Philippe Kimmerling ; Présentateur : Marie-Laure Augry ; Participant : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />

Résumé<br />

Marie-Laure Augry fête le centenaire du cinéma avec son invité Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe et les lycéens <strong>de</strong> Melun :<br />

Cent ans <strong>de</strong> cinéma<br />

- Après la diffusion <strong>de</strong> la Famille Stewart : A real Stewart, Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe raconte ses premiers souvenirs <strong>de</strong><br />

cinéma et introduit le document sur le cinéma <strong>de</strong>s Frères Lumière (Louis Saul Production 1990).<br />

- Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe répond aux questions <strong>de</strong>s lycéens sur l'invention du cinéma, sur l'activité <strong>de</strong>s frères<br />

Lumière.<br />

- Document sur la firme Pathé (Les films Minerve 1989). Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe parle <strong>de</strong> la continuité et <strong>de</strong>s<br />

ruptures dans l'histoire du cinéma.<br />

- Document sur Louis Lumière (interview <strong>de</strong> Jean Renoir et Henri Langlois sur le cinéma <strong>de</strong><br />

Lumiere avec extraits (CNDP). Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe parle ensuite <strong>de</strong> Melies, <strong>de</strong> langage<br />

cinématographique.<br />

- Séquence défi : les frères Lumiere se reconnaitraient ils dans le cinéma d'aujourd'hui.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Centre national <strong>de</strong> documentation pédagogique (CNDP)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 12/12/1994<br />

Durée : 01 h 30 min 51 sec<br />

Heure : 09 h 36 min 31 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

303


Titre propre<br />

Les Années d’illusion<br />

Titre collection<br />

Les bruits <strong>de</strong> l’Europe. L’Allemaggne, la France et l’air du temps<br />

Notes du titre<br />

Dans Les Cavaliers <strong>de</strong> la nuit : thème d’une musique à l’autre<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Clau<strong>de</strong> Fleouter, Guy Andreani, Joachim Lang<br />

Résumé<br />

- Montage d'archives sur les chansons importantes en France et en Allemagne, <strong>de</strong> 1918 : signature <strong>de</strong> l'Armistice<br />

entre les 2 pays à 1945 : fin <strong>de</strong> la 2ème guerre mondiale. Les archives, commentées off, nous montrent<br />

parallèlement la situation politique à Paris et à Berlin et les artistes et chansons en vogue dans les 2 villes.<br />

- 1929 : krach <strong>de</strong> Wall Street. Chômeurs en Allemagne. Extrait du film La Vie est à nous <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />

Jeunesses communistes dans les rues <strong>de</strong> Berlin. Propagan<strong>de</strong> nazie. Lilian Harvey chante Quelque part en ce mon<strong>de</strong>, il<br />

y a un petit coin <strong>de</strong> bonheur. Charles Trénet et Johnny Hess chantent Quand les beaux jours seront là. Essai <strong>de</strong> Marlène<br />

Dietrich pour L’Ange bleu.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Lille : France 3 (F3LL)<br />

Producteur ou Co-producteur, : Téléscope audiovisuel (TELES)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/12/1994<br />

Durée : 00 h 52 min 46 sec<br />

Heure : 23 h 55 min 28 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

304


Titre propre<br />

Eléction Miss France 1995<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Julien Lepers ; Interprète : Glenn Miller Memorial Orchestra, Gilles Arthur ; Participant :<br />

Geneviève <strong>de</strong> Fontenay, Xavier <strong>de</strong> Fontenay, Valérie Claisse, Melody Vilbert (MISS FRANCE 1995) ;<br />

Réalisateur : Gilles Amado<br />

Résumé<br />

Election <strong>de</strong> Miss France 1995, en direct du CNIT, présentée par Julien Lepers. Thème : le cinéma. Quarantetrois<br />

candidates postulent au titre.<br />

- Extrait du film French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir et prestation troupe du Paradis Lation French<br />

Cancan.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 27/12/1994<br />

Durée : 02 h 17 min 46 sec<br />

Heure : 20 h 51 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

305


Heurs et malheurs <strong>de</strong> La règle du jeu<br />

<strong>de</strong> Christophe Champclaux, 1995, 26 mn.<br />

Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> David Thompson, 1995, 2 émissions <strong>de</strong> 60 mn.<br />

Autour <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> Campagne<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1995, 13 mn.<br />

Titre propre<br />

Lignes <strong>de</strong> mire : émission du 15 janvier 1995<br />

Titre collection<br />

Lignes <strong>de</strong> mire<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Jacques Chancel ; Participant : Michel Drucker, Isabelle Giordano, Woody Allen, Ludovic Rapin<br />

(Chef <strong>de</strong> production France Télévision), Gérard Holtz, Alain Eppstein (Ingénieur du son), Hubert Bellaiche<br />

(Ingénieur <strong>de</strong> la vision), Patrick Fabry (Directeur photo), Jean-Paul François (Régisseur <strong>de</strong> plateau), Kristelle Zoz<br />

(Scripte), Antoine Galey, Rodolphe Chabrier (Créateur effets spéciaux), Christian Guillon (Directeur effets<br />

spéciaux Ex Machina), Laurent Tirard (Journaliste), Pierre Murat (Journaliste), Anna-Maria Tato (Journaliste),<br />

Marc Voinchet (Journaliste), Christine Masson (Journaliste), Bernard Pivot ; Réalisateur : Bernard Gonner ;<br />

Journaliste : Clarence Rodriguez (Sujet Dakar), Gilles Ganzmann (Sujet Studio Gabriel, sujet chaines cablées sur<br />

le cinéma), Pascal Mourier (Sujet Woody Allen), Liliane Vittori (Sujet Morphing)<br />

Résumé<br />

Jacques Chancel met l'accent sur l'Evènement <strong>de</strong> la semaine : Pierre Boulez au Cercle <strong>de</strong> minuit, les voeux du<br />

prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> France Télévision et la révélation avec Patricia Kaas dans l'émission Je te dis vous sur TF1.<br />

- Jacques Chancel s'entretient avec Woody Allen (sujet enregistré). Le cinéaste (vo traduction off) a une vue très<br />

critique sur la télévision qu'il considère comme médiocre. Selon lui, la télévision à une influence si considérable<br />

sur les gens, qu'elle donne lieu à <strong>de</strong>s abus. Les films <strong>de</strong> Woody Allen sont très appréciés en Europe : « c'est un<br />

honneur », avoue-t'il. Il cite plusieurs metteurs en scène français qu'il aime particulièrement :<br />

Renoir, Carné, Truffaut, Tavernier, etc. Concernant ses films, il a une préférence pour La Rose pourpre du Caire et<br />

Maris et femmes. Il évoque ensuite son film Coup <strong>de</strong> feu sur Broadway, donne une définition <strong>de</strong> l'artiste : « être artiste,<br />

c'est inné, c'est génétique ». Lui-même aimerait bien être un artiste (il reste mo<strong>de</strong>ste !). Il avoue se sentir « petit » face<br />

à Kurosawa ou Picasso.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 15/01/1995<br />

Durée : 00 h 52 min 00 sec<br />

Heure : 17 h 59 min 35 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

306


Titre propre<br />

Michel Simon<br />

Titre collection<br />

Les Monstres sacrés<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Moise Maatouk ; Monteur : Janice Jones<br />

Résumé<br />

Portrait <strong>de</strong> Michel Simon réalisé à l'occasion du centième anniversaire <strong>de</strong> sa naissance et du vingtième<br />

anniversaire <strong>de</strong> sa disparition avec <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> films et d'émissions <strong>de</strong> télévisions auxquels il avait<br />

participé. Ce documentaire en noir et blanc fait correspondre <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films dans lequel il a joué à <strong>de</strong>s<br />

interviews qu'il a donné à la télévision<br />

Michel Simon évoque son enfance à Genève, l'école qu'il n'aimait pas, ses parents charcutiers, son arrivée à Paris<br />

à l'hôtel <strong>de</strong> la renaissance, une maison <strong>de</strong> passe. Il raconte sa vie dans les rues : les copains, souvenirs <strong>de</strong> bagarres,<br />

les petits métiers, les talents <strong>de</strong> comique qu'il exerçait lors <strong>de</strong> la mobilisation, son premier rôle comme danseur<br />

acrobatique.<br />

Dans une conversation avec Jean Renoir, ils évoquent divers films dont La Chienne avec un<br />

souvenir ému pour sa partenaire Janie Marèze, les rôles <strong>de</strong> clochards inspirés <strong>de</strong> ceux qu'il<br />

rencontrait. Michel Simon parle <strong>de</strong> sa collaboration avec Sacha Guitry dont il lit une lettre d'admiration que<br />

ce <strong>de</strong>rnier lui avait écrit, évoque Prévert et ses répliques, Jean Boyer. Arletty sa partenaire dans <strong>de</strong> nombreux<br />

films, parle en voix off <strong>de</strong> Michel Simon. Michel Simon raconte comment il s'est mis à chanter, sa rencontre avec<br />

Jean Vigo. Enfin le document s'achève sur son amour <strong>de</strong>s bêtes en particulier son singe Zaza, ses confi<strong>de</strong>nces sur<br />

les femmes, un souvenir émouvant <strong>de</strong> Rosa, une femme assassinée à la sortie <strong>de</strong> la radio où elle venait <strong>de</strong><br />

témoigner sur lui, ses considérations sur la mort qui approche, et son enterrement filmé en couleur.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : INA Entreprise (INAEN)<br />

Producteur ou Co-producteur, Paris : Trans Europe Production (TREUR)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 23/08/1995<br />

Durée : 00 h 52 min 13 sec<br />

Heure : 23 h 26 min 57 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

307


Titre propre<br />

L’Actualité du cinéma<br />

Titre collection<br />

Le Cercle <strong>de</strong> minuit<br />

Générique et auteurs<br />

Interprète : Marla Glen ; Présentateur : Laure Adler ; Participant : Emir Kusturica, Alexandre Adler, Miki<br />

Manojlovic, Goran Bregovic, Serge Regourd, Serge Grunberg, Guy Konopnicki, Jacques Tiano, Pierre<br />

Bourgea<strong>de</strong> ; Réalisateur : Pierre Desfons, Jean-Pierre Barizien<br />

Résumé<br />

L'événement traité ce soir et qui occupe la majeure partie <strong>de</strong> l'émission est le film Un<strong>de</strong>rground d'Emir Kusturica,<br />

métaphore <strong>de</strong> l'histoire <strong>de</strong> la Yougoslavie <strong>de</strong>puis l'invasion alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1941 jusqu'à la récente pério<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />

guerre qui a abouti à sa <strong>de</strong>struction. Kusturica présent et donne <strong>de</strong> nombreuses précisions sur son film: il a<br />

essayé <strong>de</strong> combiner Renoir et le néo-réalisme italien, lorsqu'il fait ses films il se réclame <strong>de</strong><br />

« ses ancêtres en cinéma ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/10/1995<br />

Durée : 01 h 23 min 10 sec<br />

Heure : 01 h 30 min 10 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

308


Jean Renoir : les adaptations littéraires<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 23 mn.<br />

L’espace encadré chez Jean Renoir<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 17 mn.<br />

La Gran<strong>de</strong> Illusion par ceux qui l’ont faite<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 17 mn.<br />

Renoir père et fils<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 17 mn.<br />

Titre propre<br />

Cinéma : Perrone joue sur <strong>de</strong>s films muets<br />

Titre collection<br />

Actualités régionales Ile <strong>de</strong> France<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Serge Cimino<br />

Résumé<br />

Marc Perrone joue en direct sur les images muettes <strong>de</strong> Tire-au-flanc et La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes <strong>de</strong> Jean Renoir<br />

das plusieurs salles <strong>de</strong> cinéma.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (F3PA)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 07/02/1996<br />

Durée : 00 h 02 min 00 sec<br />

Heure : 19 h 15 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

309


Titre propre<br />

Ccordéon et cinéma<br />

Titre collection<br />

Paris 6<br />

Résumé<br />

Marc Perrone met en musique 2 films muets <strong>de</strong> Jean Renoir tout juste restaurés : Tire-au-flanc et La Petite<br />

marchan<strong>de</strong> d’allumettes. Interview <strong>de</strong> Marc Perrone.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 Paris – Ile <strong>de</strong> France (F3PA)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/02/1996<br />

Durée : 00 h 01 min 05 sec<br />

Heure : 19 h 02 min 20 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

310


Titre propre<br />

Jean Gabin vingt ans déjà<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Michel Leeb ; Participant : Le Chanois (chef monteuse), Ma<strong>de</strong>leine Robinson, Marie-José Nat,<br />

Françoise Arnoul, Jacques Deray, Florence Moncorgé (fille <strong>de</strong> Jean Gabin), Jean Desailly, Denys <strong>de</strong> La<br />

Patellière, Roger Dumas, Jacques Bar (producteur), Alphonse Boudard, Simone Valère, Annie Cordy, Magali<br />

Noël, Danièle Delorme, Mathias Moncorgé ; Réalisateur : Jean-Clau<strong>de</strong> Missiaen ; Producteu : Agnès Vincent<br />

Résumé<br />

Michel Leeb présente cet hommage consacré à Jean Gabin à l'occasion du vingtième anniversaire <strong>de</strong> sa mort. Ce<br />

portrait conçu <strong>de</strong> façon chronologique, comporte <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> ses films et les témoignages <strong>de</strong>s artistes<br />

et réalisateurs qui ont travaillé avec lui. Quelques images d'archives INA <strong>de</strong> l'acteur et d'artistes disparus<br />

illustrent aussi ce document.<br />

- Michel Leeb retrace la carrière cinématographique <strong>de</strong> Jean Gabin en insistant sur sa personnalité et ses<br />

relations avec ses partenaires et les cinéastes. Chaque étape importante est illustrée d'extraits <strong>de</strong> films. Il est<br />

souvent présent aux côtés <strong>de</strong>s artistes et cinéastes durant leurs témoignages.<br />

- Françoise Arnoul se souvient <strong>de</strong> French Cancan et raconte quelques anecdotes <strong>de</strong> tournage.<br />

- Extraits <strong>de</strong>s films suivants : Le Prési<strong>de</strong>nt (Verneuil), Chacun sa chance, Zouzou (Allégret), La Belle équipe (Duvivier),<br />

La Gran<strong>de</strong> illusion (Renoir), Gueule d'amour (Grémillon), Le Jour se lève (Carné), Remorques (Grémillon), French<br />

Cancan (Renoir), La Traversée <strong>de</strong> Paris, Maigret tend un piège (Delannoy), Les Gran<strong>de</strong>s familles (La Patellière), Rue <strong>de</strong>s<br />

prairies (La Patellière), Un singe en hiver (Verneuil), Mélodie en sous-sol (Verneuil).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/11/1996<br />

Durée : 00 h 56 min 08 sec<br />

Heure : 23 h 03 min 55 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

311


Titre propre<br />

Anniveraire <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Jean Gabin<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Patrice Rome<strong>de</strong>nne<br />

Résumé<br />

A l'occasion du vingtième anniversaire <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Jean Gabin :<br />

- Nombreuses photos, NB et couleur,<br />

- Extraits du film La Gran<strong>de</strong> illusion réalisé par Renoir<br />

- interview du 3/12/1959 par Léon Zitrone « je suis parti à la guerre à 35 ans, quand je suis revenu j'avais les cheveux<br />

blanc, je ne pouvais plus penser jouer les emplois d'avant guerre, j'ai eu une énorme chance <strong>de</strong> tourner Touchez pas au Grisbi »<br />

- Extraits <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier film<br />

- Extrait du tournage Le Tonnerrre <strong>de</strong> Dieu (sujet actu Interview <strong>de</strong> Jean Gabin du 06/09/1965).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/11/1996<br />

Durée : 00 h 02 min 47 sec<br />

Heure : 20 h 31 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

312


Titre propre<br />

Le Pen dans le texte / 2eme partie<br />

Titre collection<br />

Envoyé spécial<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Jean-Pierre Metivet<br />

Résumé<br />

Deuxième partie du document Le Pen dans le texte.<br />

- Extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir intitulé Toni (1934) en noir et blanc sur l'immigration italienne<br />

en France / extrait <strong>de</strong> Buon giorno dalla Francia (réalisateur Axel Clévenot, Agence du Court Métrage) sur<br />

l'immigration italienne en France.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 20/02/1997<br />

Durée : 00 h 59 min 07 sec<br />

Heure : 20 h 50 min 01 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

313


Titre propre<br />

Cinéma : émission du 11 mars 1997<br />

Titre collection<br />

Le cercle <strong>de</strong> minuit<br />

Générique et auteurs<br />

Réalisateur : Dominique Colonna ; Présentateur : Laure Adler ; Interprète : Etoiles ; Participant : Ab<strong>de</strong>rrhamane<br />

Bouguermouh, Baya Zouaou, Abraham Segal, Vincent Lindon, Leslie Caron, Pierre Jolivet, Nicolas Philibert<br />

Résumé<br />

Laure Adlerprésente <strong>de</strong>s films récents, La Colline oubliée <strong>de</strong> Ab<strong>de</strong>rrhamane Bouguermouh, Enquête sur Abraham <strong>de</strong><br />

Abraham Segal, Fred <strong>de</strong> Pierre Jolivet et La Moindre <strong>de</strong>s choses <strong>de</strong> Nicolas Philibert. Elle reçoit, en outre Leslie<br />

caron qui évoque sa carrière cinématographique.<br />

- Leslie caron rappelle les personnages qu'elle a joués. Photos <strong>de</strong> l'actrice avec Gene Kelly. Elle avait signé un<br />

contrat <strong>de</strong> 7 ans avec la MGM. Elle raconte aussi ses relations avec Jean Renoir et le tournage d'un<br />

américain à Paris. Extraits : entretien avec Jean Renoir à propos du Docteur Cor<strong>de</strong>lier, Gigi (séquence<br />

du restaurant et chanson d'amour).<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 11/03/1997<br />

Durée : 01 h 30 min 00 sec<br />

Heure : 01 h 19 min 38 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

314


Titre propre<br />

Sélection française à Cannes<br />

Titre collection<br />

Midi 2<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Pascale Deschamps<br />

Résumé<br />

Préparatifs du cinquantième anniversaire du Festival <strong>de</strong> Cannes et présentation par Gilles Jacob <strong>de</strong> la sélection<br />

française.<br />

- Interview Gilles jacob, délégué général du Festival <strong>de</strong> Cannes (en médaillon dans le logo puis<br />

plein écran) : « dans cette sélection il y a la jeune génération qui arrive à maturité, ils sont les<br />

petits enfants <strong>de</strong> Jean Renoir ».<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 22/04/1997<br />

Durée : 00 h 02 min 07 sec<br />

Heure : 13 h 25 min 00 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

315


Titre propre<br />

Sortir : le domaine <strong>de</strong> Renoir<br />

Titre collection<br />

Soir 3<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Thierry Stampfler<br />

Résumé<br />

Cagnes-sur-Mer :Visite du domaine d’Auguste Renoir, peintre impressionniste du XIXème siècle : 3 concerts<br />

consacrés à la musique <strong>de</strong> film seront donnés.<br />

- plan d’ensemble jardins autour <strong>de</strong> la villa<br />

- divers plans à l'interieur<br />

- divers plans <strong>de</strong> l’atelier du peintre<br />

- divers plans <strong>de</strong> la maison avec peinture <strong>de</strong> Renoir aux murs<br />

- interview <strong>de</strong> Jacques Renoir (Arrière petit fils du peintre) : « on jouait à la balle autour <strong>de</strong>s tableaux... »<br />

- Extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne <strong>de</strong> Joseph Kosma (Orchestre opéra <strong>de</strong> Nice)<br />

- photos <strong>de</strong> Jean Renoir, le cinéaste<br />

- Extrait film (UGC) Le Déjeuner sur l'herbe qui fut tourné dans les jardins <strong>de</strong> la propriété<br />

- gros plans <strong>de</strong>s tableaux <strong>de</strong> Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 13/07/1997<br />

Durée : 00 h 01 min 46 sec<br />

Heure : 00 h 02 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

316


Titre propre<br />

Cannes 98 : journée à Cannes<br />

Titre collection<br />

Soir 3<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Michel Vial, Dominique Poncet<br />

Résumé<br />

Cannes 1998 - Résumé <strong>de</strong> cette journée (21mai) ponctuée par la visite <strong>de</strong> Robert Hue, et la montée <strong>de</strong>s marches<br />

<strong>de</strong> Sharon Stone :<br />

- Robert Hue aux côtés <strong>de</strong> Philippe Gildas, entourés <strong>de</strong> l'équipe du film Illuminata <strong>de</strong> John Turturro.<br />

- Extrait Illuminata<br />

- interview Katherine Borowitz, comédienne, sur le film « ...Ca représente toute la vie... Les comédiens sont comme tout le<br />

mon<strong>de</strong> ».<br />

- Extrait Illuminata.<br />

- interview John Turturro, réalisateur, parlant <strong>de</strong> Jean Renoir « ...on se sent en amitié avec<br />

lui.. »<br />

- Extrait du film russe Khroustaliov, ma voiture, en noir et blanc.<br />

- interview Alexei Guerman, réalisateur sur le choix du noir et blanc.<br />

- Gros plan Sharon Stone souriante / Elle embrasse son compagnon, et salue le public.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 21/05/1998<br />

Durée : 00 h 03 min 00 sec<br />

Heure : 23 h 02 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

317


Titre propre<br />

Démons et merveilles<br />

Générique et auteurs<br />

Metteur en scène <strong>de</strong> théatre : Tilly ; Chef d'orchestre : Bruno Fontaine ; Interprète : Lambert Wilson, Jean-<br />

Philippe Audin (violoncelle), Thierry Caens (trompette), Bruno Fontaine (piano), Serge Garcia (violon), Jean-<br />

Louis Matinier (accor<strong>de</strong>on), Dominique Vidal (clarinette) ; Réalisateur : Jean-Pierre Barizien ; Auteur oeuvre<br />

originale écrite pour la télé : Lambert Wilson, Bruno Fontaine, Tilly ; Compositeur musique préexistante : Bruno<br />

Fontaine (Arrangements)<br />

Résumé<br />

Au Théâtre <strong>de</strong>s Abbesses, Lambert Wilson consacre son spectacle aux chansons qui ont accompagné les films<br />

français <strong>de</strong> 1930 à 1960 avec, en arrière-plan, projection d'images <strong>de</strong> ces films.<br />

- Extraits d'oeuvres cinématographiques : Les Enfants du Paradis (Carné). La Romance <strong>de</strong> Paris (Jean Boyer).<br />

Une partie <strong>de</strong> campagne ( Jean Renoir). Circonstances atténuantes (Jean Boyer). La Bête humaine (Jean<br />

Renoir). Les Visiteurs du soir (Marcel Carné). Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (Jean Renoir)<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Rennes France 3 (F3RN)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 03/10/1998<br />

Durée : 01 h 17 min 54 sec<br />

Heure : 23 h 59 min 46 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

318


Renoir à Hollywood<br />

<strong>de</strong> Christophe Champclaux, 1999, 50 mn.<br />

Les Renoir ou l’esprit <strong>de</strong> famille<br />

<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, 1999, 52 mn.<br />

Jean Renoir/Octave Mirbeau : rencontres thématiques<br />

<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1999, 30 mn.<br />

Colloque : Jean Renoir et l’écriture<br />

au Moulin d’Andé, septembre 1999, interventions filmées par Roger Viry-Babel. Non édité<br />

Titre propre<br />

Epreuves <strong>de</strong> cinéma au bac<br />

Titre collection<br />

JA2 20H<br />

Générique et auteurs<br />

Journaliste : Sébastien Hirou<br />

Résumé<br />

Nouveauté pour le Bac littéraire 1999 : les élèves <strong>de</strong>vront présenté l'étu<strong>de</strong> d'un film qui sera notée au même titre<br />

qu'une oeuvre écrite. Cette année, c'est le film <strong>de</strong> Jean Renoir : La Règle du Jeu.<br />

- Rennes : divers plans d'élèves <strong>de</strong> terminale littéraire arrivant dans une salle <strong>de</strong> cinéma.<br />

- Générique <strong>de</strong> La Règle du jeu et bref extrait.<br />

- interview <strong>de</strong> 2 jeunes filles « très vau<strong>de</strong>ville » « j'ai pas trop aimé » « c'est lourd, très lourd »<br />

« C'est marrant, mais un chef d'oeuvre, je ne vois pas... »<br />

- Autre extrait.<br />

- Lycée Jean Macé <strong>de</strong> Rennes : étu<strong>de</strong> d'un film en classe sur un moniteur <strong>de</strong> télévision/jprofesseur/lycéens.<br />

- plan rapproché du professeur interrogeant les élèves.<br />

- interview <strong>de</strong> Michel <strong>de</strong>ligne, professeur <strong>de</strong> français : « J'adore le cinéma, mais <strong>de</strong> là à passer au niveau critique, analyste...<br />

j'ai pris <strong>de</strong>s bouquins et j'ai étudié... »<br />

- interview d'un élève : « Dans notre vie <strong>de</strong> tous les jours on va voir les films différemment, mainenant, d'un aspect plus technique,<br />

moins spectateur... »<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 26/02/1999<br />

Durée : 00 h 02 min 14 sec<br />

Heure : 20 h 29 min 07 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

319


Titre propre<br />

Décès <strong>de</strong> Françoise Giroud<br />

Titre collection<br />

12 14. Edition nationale<br />

Résumé<br />

La journaliste et écrivain Françoise Giroud, décédée ce matin près <strong>de</strong> Paris à l'âge <strong>de</strong> 86 ans, a été la seule<br />

femme à diriger un grand organe <strong>de</strong> presse durant 20 ans, l'Express, fondé en 1953 avec Jean-Louis Servan-<br />

Schreiber.<br />

Deux fois Secrétaire d'Etat sous la prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> Valéry Giscard d'Estaing, à la Condition féminine (1974-76) et à<br />

la Culture (1976-77), Mme Giroud auteur d'une vingtaine <strong>de</strong> livres, était éditorialiste sur la télévision au Nouvel<br />

Observateur <strong>de</strong>puis 1983.<br />

Née à Genève le 21 septembre 1916, dans une famille aux origines russe et turque, Françoise Giroud, <strong>de</strong> son vrai<br />

nom France Gourdji, débute sa vie professionnelle à l'âge <strong>de</strong> 16 ans comme sténo-dactylo, puis comme<br />

script-girl au cinéma aux côtés <strong>de</strong> Marc Allegret puis Jean Renoir. Pendant la Secon<strong>de</strong> Guerre<br />

mondiale, elle est agent <strong>de</strong> liaison dans la Résistance. Arrêtée par la Gestapo en 1943, elle est incarcérée à<br />

Fresnes.<br />

A la Libération, la jeune femme entame une carrière <strong>de</strong> journaliste à Elle, ou Hélène Lazareff la fait venir comme<br />

directrice <strong>de</strong> la rédaction (1946-1953). Elle écrit également pour l'Intransigeant et France-Soir, et brosse <strong>de</strong>s portraits<br />

<strong>de</strong> personnalités pour France-Dimanche.<br />

En 1953 commence l'aventure <strong>de</strong> L'Express. Elle sera directrice <strong>de</strong> la rédaction du premier « news magazine »<br />

français, puis directrice <strong>de</strong> la publication à partir <strong>de</strong> 1971, tout en présidant le groupe éditeur Express-Union<br />

(1970-74).<br />

En 1974, François Giroud se lance en politique, expérience qu'elle racontera dans La Comédie du pouvoir (1977).<br />

Vice-prési<strong>de</strong>nte du Parti radical (1977-79), elle se prononce en 1981 pour François Mitterrand.<br />

Membre du jury du prix Fémina, elle a publié <strong>de</strong> nombreux livres dont Si je mens (1972), Ce que je crois (1979), Le<br />

Bon plaisir (1979, porté à l'écran par Francis Girod en 1984), Une femme honorable (1981), Alma Mahler ou l'art d'être<br />

aimée (1985), Jenny Marx ou la femme du diable (1992) et en 1997 son autobiographie, Arthur ou le bonheur <strong>de</strong> vivre. En<br />

2001 elle avait publié Profession journaliste.<br />

Françoise Giroud était mère <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux enfants, dont un fils décédé, et une fille, Caroline Eliacheff.<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />

Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 19/01/2003<br />

Durée : 00 h 00 min 20 sec<br />

Heure : 12 h 27 min 00 sec<br />

Canal : 3eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />

320


Titre propre<br />

Spéciale Gabin<br />

Titre collection<br />

Vivement dimanche<br />

Générique et auteurs<br />

Présentateur : Michel Drucker ; Participant : Florence Moncorgé Gabin, Michèle Morgan, Mathias Moncorgé,<br />

Freddy Head, André Aubert, Alain Delon, Bernard Girau<strong>de</strong>au, Jose Giovanni ; Réalisateur : Dominique<br />

Colonna ; Producteur : Françoise Coquet, Michel Drucker<br />

Résumé<br />

Emission spéciale consacrée à Jean Gabin retraçant la vie, l'oeuvre et la personnalité <strong>de</strong> l'acteur. Michel Drucker<br />

reçoit Florence Moncorgé-Gabin, fille <strong>de</strong> Jean Gabin pour son ouvrage biographique sur son père intitulé Quitte<br />

à avoir un père autant qu'il s'appelle Gabin et son fils Mathias Moncorgé, étalonnier. Des célébrités l'ayant connu,<br />

viennent parler du grand acteur et <strong>de</strong> leurs relations.<br />

Aternance plateau invités et images d'archives souvent illustrées par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> film.<br />

- Archives : interviews <strong>de</strong> Jean Gabin sur les grands réalisateurs avec lesquels il a tourné,<br />

extrait du film <strong>de</strong> Pépé le Moko <strong>de</strong> Julien Duvivier, <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />

Informations <strong>de</strong> production<br />

Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />

Commanditaire, Paris : Dany Et Michel Drucker Productions (DMD)<br />

Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />

Informations <strong>de</strong> diffusion<br />

Date : 06/04/2003<br />

Durée : 01 h 44 min 09 sec<br />

Heure : 13 h 52 min 58 sec<br />

Canal : 2eme chaine<br />

Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />

321


CREDIT PHOTOGRAPHIQUE<br />

Toutes les photographies contenues dans le corpus et le catalogue sont issues <strong>de</strong> photographies<br />

<strong>de</strong> plateau ou <strong>de</strong> tournage puisées dans le fonds personnel <strong>de</strong> Monsieur Roger Viry-Babel<br />

déposé au Conservatoire <strong>de</strong> l’Image, rue Michel Ney à Nancy.<br />

322

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