Annexes THESE - Bibliothèques de l'Université de Lorraine
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Université Nancy 2<br />
Ecole Doctorale Langage, Temps, Société<br />
––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––––<br />
N° attribué par la bibliothèque<br />
<strong>Annexes</strong><br />
<strong>THESE</strong><br />
Pour obtenir le gra<strong>de</strong> <strong>de</strong> Docteur d’Université <strong>de</strong> Nancy 2<br />
Doctorat nouveau régime<br />
Discipline Sciences <strong>de</strong> l’Information et <strong>de</strong> la Communication<br />
Présentée et soutenue publiquement<br />
par<br />
Séverine CALAIS<br />
Sous la direction <strong>de</strong> Messieurs les Professeurs<br />
Roger VIRY-BABEL (†)<br />
et Eric SCHMULEVITCH<br />
Année 2006-2007
Sommaire<br />
Dossier La Gran<strong>de</strong> Illusion page 3<br />
Scène coupée <strong>de</strong> La Marseillaise page 22<br />
Nomenclature <strong>de</strong>s personnages page 24<br />
Bibliographie page 38<br />
Ouvrages sur Jean Renoir page 39<br />
Ouvrages <strong>de</strong> Jean Renoir page 41<br />
Romans <strong>de</strong> Jean Renoir page 42<br />
Autour <strong>de</strong> Jean Renoir page 43<br />
Romans, pièces <strong>de</strong> théâtre et scéarii originaux page 47<br />
Périodiques page 49<br />
Presses page 74<br />
Dictionnaires page 80<br />
Thèses page 82<br />
divers page 83<br />
Documents sonores page 86<br />
Documents visuels page 88<br />
Crédit photographique page 328<br />
2
Dossier La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
Les pages suivantes sont extraites <strong>de</strong> l’ouvrage : Jean Renoir, Correspondance 1913- 1978,<br />
éd. Plon, Paris, 19 , p. à<br />
Jean Renoir entreprend le tournage <strong>de</strong> « La Gran<strong>de</strong> illusion ». La première a lieu le 4 juin à<br />
Paris. Il est alors accusé <strong>de</strong> plagiat par Jean <strong>de</strong>s Vallières, auteur <strong>de</strong> « Kavalier<br />
Scharnhorst », publié en 1931 par les éditions Albin Michel :<br />
3
A Louis Aragon 25 juin 1937<br />
Paris<br />
Mon cher Aragon,<br />
Il m’arrive une chose un peu embêtante. Je m’excuse <strong>de</strong> t’en parler mais c’est parce qu’il<br />
s’agit, je crois, d’une tentative plus générale qu’un simple chantage.<br />
J’ai fait La Gran<strong>de</strong> Illusion avec <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> camara<strong>de</strong>s qui m’ont raconté leur captivité.<br />
Leur récit m’a ému et avec Spaak nous en avons tiré un scénario. Spaak d’ailleurs <strong>de</strong> son<br />
côté, avait <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> son frère, le ministre belge, qui a été prisonnier pendant la guerre.<br />
Les journaux <strong>de</strong> droite : Candi<strong>de</strong>, Action française, etc. ont constaté le succès <strong>de</strong> ce film mais avec<br />
<strong>de</strong>s réticences, tout au moins avec un certain étonnement <strong>de</strong> voir un individu qu’ils<br />
considèrent comme dangereux révolutionnaire, abor<strong>de</strong>r un sujet national et lui donner une<br />
forme pouvant satisfaire la majorité <strong>de</strong>s spectateurs <strong>de</strong> toute opinion.<br />
Dans certains <strong>de</strong> ces journaux ( je crois que c’est dans un article du jeune Fayard) on avait<br />
vaguement fait allusion au fait que j’avais, peut-être, puisé ma documentation dans un<br />
bouquin d’un ami <strong>de</strong> Fayard qui s‘appelle Desvallières. Cette allusion m’avait semblé très<br />
ridicule car le bouquin <strong>de</strong> Desvallières (Le Cavalier Scharnorst) est un bouquin assez haineux,<br />
dans lequel on parle <strong>de</strong> « boches », écrit dans un esprit <strong>de</strong> nationalisme étroit et désagréable.<br />
Or, j’ai fait tout mon possible pour faire un film qui, tout en étant national, serait absolument<br />
internationaliste.<br />
Naturellement, certaines histoires que raconte Desvallières, je les raconte aussi et cela pour la<br />
bonne raison que ce sont <strong>de</strong>s histoires vraies et que ces histoires vraies ont été répétées à <strong>de</strong>s<br />
dizaines d’exemplaires dans les camps <strong>de</strong> prisonniers qui se ressemblaient beaucoup entre<br />
eux.<br />
Maintenant, la menace se précise et ce Desvallières arrive en m’attaquant <strong>de</strong> plagiat. Je vais<br />
naturellement me défendre et mes producteurs sont décidés à l’attaquer ainsi que son éditeur,<br />
Albin Michel, pour chantage.<br />
Les faits incriminés sont <strong>de</strong>s faits exacts, par conséquent du domaine public, et M.<br />
Desvallières n’a aucune raison <strong>de</strong> les revendiquer exclusivement, pas plus que les prisonniers<br />
à qui ces aventures sont arrivées et qui me les ont contées.<br />
Je crois que tu comprends la menace :<br />
1- M. Desvallières qui est un ancien prisonnier considère que tout ce qui touche aux prisonniers<br />
<strong>de</strong> guerre lui appartient.<br />
2- Ses amis <strong>de</strong> Candi<strong>de</strong>, Gringoire, L’Action française sont trop heureux <strong>de</strong> le soutenir dans son<br />
action tendant à prouver qu’un auteur classé à gauche ne peut pas, sans aller le leur voler,<br />
pondre un sujet national.<br />
En somme, une fois <strong>de</strong> plus, il s’agit d’insinuer que tout ce qui est national (La Marseillaise, le<br />
soldat inconnu, les prisonniers <strong>de</strong> guerre en l’occurrence) appartient exclusivement aux<br />
fascistes.<br />
Mon cher Ami, je ne sais pas ce que va <strong>de</strong>venir cette affaire mais, le cas échéant, j’irai te<br />
<strong>de</strong>man<strong>de</strong>r conseil.<br />
Dix mille choses à ta femme et à bientôt.<br />
Jean Renoir.<br />
4
A Me Rappoport 29 juin 1937<br />
Paris<br />
Cher Maître,<br />
Voici le petit travail que vous m’avez <strong>de</strong>mandé.<br />
Comme témoins, je n’ai trouvé jusqu’ici que plusieurs membres <strong>de</strong> la ligue <strong>de</strong>s Evadés, mais<br />
je pense que, étant donné le sérieux <strong>de</strong> cette Ligue leur témoignage sera d’excellent poids.<br />
Plusieurs <strong>de</strong> ces messieurs sont disposés à affirmer qu’ils ont connu notre scénario avant qu’il<br />
soit tourné, qu’ils l’ont critiqué, qu’ils nous ont amené à y établir d’heureuses modifications et<br />
que, pendant cette collaboration, ils n’ont pas pensé un seul instant à une concurrence envers<br />
le Kavalier Scharnhorst.<br />
L’auteur <strong>de</strong> ce livre, M. Desvallières, faisant partie <strong>de</strong> cette Ligue, ces messieurs n’auraient<br />
pas manqué <strong>de</strong> signaler la chose s’ils avaient pensé que la sortie <strong>de</strong> ce film puisse nuire aux<br />
intérêts <strong>de</strong> leur camara<strong>de</strong>.<br />
Veuillez agréer, Cher Maître, l’assurance <strong>de</strong> mes sentiments distingués.<br />
Jean Renoir.<br />
A André Hirschmann 2 juillet 1937<br />
Cher ami,<br />
Je relève dans Paris-Soir du 25 juin <strong>de</strong>rnier, l’écho suivant :<br />
« Quatre films français viennent d’être interdits par la censure yougoslave et ce sont : Marthe<br />
Richard, La Gran<strong>de</strong> Illusion, L’Homme à abattre, Soeurs d’armes, sans doute parce que ces quatre<br />
productions traitent <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> guerre et du contre-espionnage. »<br />
Bien qu’il soit un peu tard pour répondre peut-être pourrait-on :<br />
1- Dire que La Gran<strong>de</strong> Illusion n’a rien à voir avec un film <strong>de</strong> contre-espionnage.<br />
2- Si cette décision <strong>de</strong> la censure yougoslave est fausse, démentir.<br />
Je me permets <strong>de</strong> vous écrire ainsi parce que je pense qu’il est toujours bon <strong>de</strong> profiter <strong>de</strong> toute<br />
occasion pour parler d’un film dans les journaux.<br />
Croyez, Cher Ami, à mes sentiments les meilleurs.<br />
A Maître Rapaport 10juillet 1937<br />
Cher Maître,<br />
J’ai pu joindre M. Etevenon <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés <strong>de</strong> Guerre. Il me communique un article<br />
qu’il a écrit sur La Gran<strong>de</strong> Illusion et qui prouve que dans le milieu <strong>de</strong>s évadés <strong>de</strong> guerre, on ne<br />
considère pas que La Gran<strong>de</strong> Illusion est un plagiat du Kavalier Scharnhorst. Je vous communique<br />
ci-joint cet article, dont j’ai gardé un double, <strong>de</strong> manière à ce que vous l’ayez avant lundi. M.<br />
Etevenon m’a également remis plusieurs exemplaires du journal L’évadé qui peuvent vous être<br />
utiles.<br />
Il n’est pas sûr, étant employé dans une gran<strong>de</strong> administration, <strong>de</strong> pouvoir venir lui-même<br />
mardi matin. Mais il me <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> lui téléphoner du lieu <strong>de</strong> l’arbitrage et peut-être pourrat-il<br />
nous rejoindre vers 11 heures, si l’arbitrage n’est pas terminé.<br />
M. Bunau-Varilla, qui nous a donné d’autres détails sur sa propre évasion, viendra<br />
témoigner.<br />
Je n’ai pas pu joindre le colonel Pinsard qui est en manœuvres, mais M. Gaut, l’ancien officier<br />
qui me l’a présenté et qui a été témoin <strong>de</strong> nos conversations, viendra témoigner et pourra<br />
5
donner une idée très exacte du récit <strong>de</strong> Pinsard qui constitue la trame principale du film La<br />
Gran<strong>de</strong> Illusion.<br />
J’écris également à M. Aget, évadé <strong>de</strong> guerre, qui est à Paris et qui nous a donné d’autres<br />
renseignements en même temps qu’il nous a mis en rapport avec La Ligue <strong>de</strong>s Evadés. Je ne<br />
sais encore s’il pourra venir témoigner.<br />
Croyez, Cher Maître, à mes sentiments distingués.<br />
Jean Renoir.<br />
A Monsieur Edouard Aget 10 juillet 1937<br />
Paris IX<br />
Cher Monsieur Aget,<br />
Avez-vous reçu ma lettre vous conseillant <strong>de</strong> vous mettre en rapport directement avec M.<br />
Rolmer père ? Croyez-moi, si ce n’est déjà fait, vous <strong>de</strong>vriez lui parler <strong>de</strong> votre séance. [...]<br />
Ce n’est pas seulement pour ça que je vous écris, mais aussi parce que nous allons avoir un<br />
arbitrage <strong>de</strong> notre différend avec MM. Albin Michel et Desvallières.<br />
Je crois que vous êtes au courant ? Spaak m’a dit que Gabin vous en avait parlé. La chose est<br />
très simple : Ces messieurs pensent que nous avons puisé les détails <strong>de</strong> notre film dans le<br />
livre Kavalier Scharnhorst. Nous voulons prouver notre bonne foi en affirmant que nous avons<br />
puisé nos renseignements non pas dans un livre, mais à <strong>de</strong>s sources absolument directes. J’ai<br />
déjà avec moi le meilleur témoin <strong>de</strong> l’histoire qui est le colonel Pinsard lui-même, dont j’ai à<br />
peu près suivi l’histoire dans La Gran<strong>de</strong> Illusion.<br />
Ne pourriez-vous nous faire l’amitié <strong>de</strong> venir dire que nous avons été en rapport avec vous et<br />
ensuite, par votre intermédiaire, avec plusieurs membres <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés et que vousmême<br />
et ces messieurs avez eu, avec nous, <strong>de</strong>s conversations sur la vie <strong>de</strong>s prisonniers alliés<br />
en Allemagne pendant la guerre ? Cela ajouterait au témoignage <strong>de</strong> Pinsard.<br />
Le plus étonné <strong>de</strong> cette ridicule affaire, c’est Pinsard car tous ces officiers qui voient le film,<br />
lui disent constamment : « Mon colonel, on vient <strong>de</strong> vous voir sur l’écran .»<br />
Je comprends le sentiment <strong>de</strong> Desvallières qui croit que la sortie <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> Illusion va lui<br />
empêcher <strong>de</strong> vendre les droits du livre Kavalier Scharnhorst pour le cinéma. Mais il a tort car il y<br />
a dans son livre très riche, <strong>de</strong> quoi faire une bonne <strong>de</strong>mi-douzaine <strong>de</strong> films très différents <strong>de</strong> La<br />
Gran<strong>de</strong> Illusion.<br />
Il a tort également car son action peut faire supposer que ce qu’il a raconté est inventé. Nous<br />
nous trouvons tout simplement entre plusieurs auteurs, les uns d’un film, les autres <strong>de</strong> livres,<br />
qui avons basé notre travail sur le récit <strong>de</strong> faits authentiques et qui, parce qu’ils sont<br />
authentiques appartiennent au domaine public. La vie <strong>de</strong>s prisonniers <strong>de</strong> guerre n’appartient<br />
pas plus à Desvallières qu’à d’Harcourt, qu’à Bastaing ou qu’à bien d’autres qui ont raconté<br />
leurs propres aventures ou celles <strong>de</strong> leurs camara<strong>de</strong>s. Elle appartient à l’Histoire.<br />
Je m’excuse, cher monsieur Aget, <strong>de</strong> ces longues digressions. C’est pour vous dire que Spaak<br />
et moi serions fort heureux si vous pouviez quitter un instant vos affaires, ce qui ne doit pas<br />
être facile, et dire aux arbitres <strong>de</strong> ce différend ce que vous savez <strong>de</strong> tout cela.<br />
Cet arbitrage aura lieu mardi 13 juillet à 9h30 du matin, à la société <strong>de</strong>s auteurs, 9 rue Ballu,<br />
Paris IXe. Si vous ne pouviez pas venir, ne pourriez-vous pas m’envoyer une lettre qui vous<br />
remplacerait ? Cela ne vaudrait pas votre présence mais vous êtes tellement occupé que cela<br />
vous sera peut-être trop difficile <strong>de</strong> vous déranger.<br />
En vous remerciant à l’avance, je vous prie <strong>de</strong> croire, cher Monsieur Aget, à mes sentiments<br />
les meilleurs.<br />
Jean Renoir.<br />
6
Jean Renoir reçoit dans une lettre le détail <strong>de</strong> ces griefs.<br />
A Albin Michel et Jean Des Vallières Juin 1937<br />
Meudon-Bellevue<br />
ORIGINES DES SCENES DE LA GRANDE ILLUSION MISES EN<br />
CAUSE PAR MM. ALBIN MICHEL ET DES VALLIERES<br />
Dans le livre origine<br />
1.Un avion Français est abattu.<br />
La pilote est reçu par les officiers allemands<br />
(fait très exceptionnel). Il y déjeune<br />
2. Il s‘étonne qu’un <strong>de</strong>s officiers allemands<br />
parle couramment le français ; celui-ci lui<br />
répond qu’il était mécano chez Blériot<br />
1. Fait raconté à<br />
Charles Spaack par<br />
Fonck,<br />
Hervitaux et Gerlich,<br />
aviateurs <strong>de</strong> la guerre<br />
avec lesquels il était<br />
entré en rapport pour<br />
étudier les possibilités<br />
d’un film sur l’aviation<br />
<strong>de</strong> chasse pendant la<br />
guerre.<br />
2. A propos <strong>de</strong> ce point,<br />
il me faut répondre en<br />
invoquant le sujet<br />
général du film La<br />
Gran<strong>de</strong> Illusion. Ce film<br />
n’a pas pour but<br />
principal <strong>de</strong> décrire la<br />
vie <strong>de</strong>s prisonniers<br />
français dans les camps<br />
allemands pendant la<br />
guerre.Il est une<br />
confrontation entre<br />
hommes <strong>de</strong> catégories<br />
différentes. Le milieu<br />
<strong>de</strong>s camps <strong>de</strong><br />
prisonniers pendant la<br />
guerre, nous a paru un<br />
excellent révélateur <strong>de</strong>s<br />
caractères ainsi<br />
présentés. Le prési<strong>de</strong>nt<br />
<strong>de</strong> la « Ligue <strong>de</strong>s<br />
Evadés <strong>de</strong> Guerre » M.<br />
7
Richard et une<br />
commission d’évadés<br />
<strong>de</strong> guerre, avec qui nous<br />
avons eu une<br />
importante conférence<br />
avant <strong>de</strong> commencer le<br />
film, le savent bien car<br />
nous sommes tombés<br />
d’accord avec eux sur le<br />
fait que les scènes, qui<br />
plus tard permettraient<br />
au commandant von<br />
Rauffenstein et au<br />
capitaine <strong>de</strong> Boëldieu <strong>de</strong><br />
se mesurer, ne<br />
trouveraient pas place<br />
dans un récit purement<br />
documentaire <strong>de</strong> la vie<br />
<strong>de</strong>s prisonniers. Mais<br />
que étant donné la<br />
nature du film, à savoir<br />
cet étalonnage <strong>de</strong><br />
différents types<br />
d’humanité à une<br />
certaine époque, ils ont<br />
considéré que cette<br />
scène était parfaitement<br />
plaçable dans le film.<br />
En conséquence,<br />
lorsqu’il s’est agi <strong>de</strong><br />
présenter dans la<br />
popote alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong>s<br />
types opposés et réunis<br />
par groupes, il nous a<br />
fallu trouver un<br />
contraste au caractère<br />
<strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux officiers, à la<br />
fois nobles et <strong>de</strong> carrière<br />
[ mention en marge :<br />
point incriminé]. Etant<br />
donné que nous étions<br />
dans l’aviation, il était<br />
fatal que nous tablions,<br />
<strong>de</strong> l’autre côté <strong>de</strong><br />
l’échelle, sur <strong>de</strong>ux<br />
anciens mécanos. Et,<br />
étant donné que dans<br />
un film français, il faut<br />
bien trouver <strong>de</strong>s<br />
prétextes pour faire<br />
parler les acteurs dans<br />
une langue<br />
8
3. Chacun <strong>de</strong>s officiers allemands<br />
parle <strong>de</strong>s avions français qu’il a <strong>de</strong>scendus<br />
4.Transfert à l’intérieur <strong>de</strong> l’Allemagne,<br />
fouilles...<br />
compréhensible aux<br />
spectateurs, nous avons<br />
imaginé que l’Allemand<br />
avait travaillé en<br />
France. Je dois dire que<br />
<strong>de</strong> nombreux faits<br />
analogues m’ont été<br />
rapportés et que,<br />
personnellement<br />
prisonnier <strong>de</strong>s<br />
Allemands pendant<br />
trois semaines à<br />
l’époque <strong>de</strong> la bataille<br />
<strong>de</strong> la Marne, j’ai vu<br />
dans la salle d’hôpital<br />
d’Amiens où j’étais<br />
soigné, <strong>de</strong>ux anciens<br />
mécaniciens, l’un<br />
français, l’autre<br />
allemand, s’apercevoir<br />
qu’ils avaient travaillé<br />
dans la même usine en<br />
France sans se<br />
connaître, et échanger<br />
<strong>de</strong>s souvenirs<br />
communs. Je doute que<br />
ce fait soit isolé et je ne<br />
pense pas que son récit<br />
puisse constituer un<br />
monopole.<br />
3. Mémoires <strong>de</strong> l’as <strong>de</strong><br />
guerre allemand Von<br />
Richthoffen (dans le<br />
film, il s’agit d’une<br />
couronne à l’honneur<br />
d’un équipage français<br />
<strong>de</strong>scendu)<br />
4. Environ une<br />
cinquantaine <strong>de</strong> récits<br />
d’une cinquantaine <strong>de</strong><br />
camara<strong>de</strong>s ayant été<br />
prisonniers. Plus<br />
particulièrement le récit<br />
<strong>de</strong> M.Buno-Varilla<br />
9
5. Une série <strong>de</strong> camps et <strong>de</strong> chambres, parmi<br />
les types : un acteur <strong>de</strong> l’Odéon, un ingénieur<br />
<strong>de</strong>s ponts et chaussées, un Russe avec qui un<br />
<strong>de</strong>s français tourne dans la cour, un type <strong>de</strong><br />
Parigot, etc<br />
6.Construction d’un souterrain pour<br />
s’éva<strong>de</strong>r(sous la direction <strong>de</strong> l’ingénieur)<br />
5.Nous ne pouvions<br />
tout <strong>de</strong> même pas en ce<br />
qui concerne l’acteur,<br />
mettre personnellement<br />
notre camara<strong>de</strong><br />
Maurice Chevalier. En<br />
ce qui concerne les<br />
autres professions, leur<br />
adoption s’est faite à la<br />
suite <strong>de</strong> mille<br />
conversations avec <strong>de</strong>s<br />
camara<strong>de</strong>s ayant vécu<br />
cette vie. Et en tenant<br />
compte <strong>de</strong> la<br />
composition habituelle<br />
du cadre <strong>de</strong>s officiers<br />
dans tous les pays du<br />
mon<strong>de</strong>. En plus, il n’y a<br />
pas <strong>de</strong> Russe dans notre<br />
chambrée. Nous en<br />
situons dans le camp <strong>de</strong><br />
prisonniers parce que<br />
nous aurions été<br />
inexacts en montrant<br />
un camp <strong>de</strong> prisonniers<br />
sans Russes. En ce qui<br />
concerne le mari<br />
trompé, j’aime mieux<br />
croire pour l’honneur<br />
<strong>de</strong>s épouses françaises,<br />
que cette exception<br />
rarissime est une pure<br />
invention <strong>de</strong> l’esprit <strong>de</strong><br />
M. <strong>de</strong>s Vallières et du<br />
nôtre.<br />
6. Récit formel du<br />
colonel Pinsard et<br />
lecture du livre si<br />
documenté du<br />
lieutenant Bastain<br />
10
7. Trappe dans le plancher du gymnase 7. Voir 6<br />
(dans le film plancher d’une chambre)<br />
8. Description du travail <strong>de</strong> l’étouffement 8. Voir 6<br />
dans la sape. Le projet découvert échouera<br />
(dans le film : Le projet échouera par suite<br />
du changement <strong>de</strong> camp)<br />
9. Scènes <strong>de</strong> la distribution<br />
<strong>de</strong>s paquets, <strong>de</strong> leur éventrement.<br />
10. Scènes du théâtre au camp, dans un<br />
camp où il y a une majorité d’Anglais et<br />
où quelques-uns <strong>de</strong> ceux-ci s’exhibent en girls.<br />
11. Changement <strong>de</strong> camps successifs<br />
avec évasions diverses qui amènent les<br />
récidivistes dans un camp <strong>de</strong> force spécial<br />
d’où ils ne pourront s’éva<strong>de</strong>r.<br />
« Mes dix évasions ». A<br />
propos <strong>de</strong> ce livre,<br />
j’en profite pour dire<br />
combien sa lecture nous<br />
a été précieuse pour la<br />
préparation <strong>de</strong> notre<br />
travail.<br />
9. Rapporté par M.<br />
Aget, ancien prisonnier<br />
<strong>de</strong> guerre qui dans son<br />
camp <strong>de</strong> concentration<br />
était chargé d’ai<strong>de</strong>r le<br />
sous-officier<br />
responsable <strong>de</strong> la<br />
distribution <strong>de</strong>s<br />
paquets.<br />
10. Récit <strong>de</strong> M. Spaak,<br />
ministre <strong>de</strong>s Affaires<br />
étrangères <strong>de</strong> Belgique,<br />
frère du coauteur et<br />
prisonnier pendant la<br />
guerre.<br />
11. Voir tous les récits<br />
<strong>de</strong> tous les prisonniers<br />
<strong>de</strong> guerre.<br />
11
12. Notation ou <strong>de</strong>scription <strong>de</strong>s diverses<br />
sortes d’évasions qui ont amené là-bas les<br />
officiers prisonniers : En soldat allemand,<br />
en femme, dans du linge sale. ( dans le film :<br />
rappel fait au cours <strong>de</strong> la réception par le<br />
commandant)<br />
13. La forteresse du K.S a été seule <strong>de</strong><br />
son espèce en Allemagne, créée spécialement<br />
pour mater les mauvaises têtes et les<br />
récidivistes <strong>de</strong> l’évasion.<br />
12. Genre <strong>de</strong> réception<br />
plusieurs fois cité par<br />
<strong>de</strong>s prisonniers,<br />
notamment par M.<br />
Buno-Varilla. Voir<br />
également le livre du<br />
lieutenant Bastin. Les<br />
tentatives d’évasion<br />
citées dans cette scène<br />
sont analogues à <strong>de</strong>s<br />
cas célèbres et cités par<br />
tout le mon<strong>de</strong>. Dans<br />
cette scène nous en<br />
mentionnons plusieurs<br />
autres.<br />
13. Cette analogie<br />
vient sans doute du fait<br />
que ce type <strong>de</strong> camp <strong>de</strong><br />
représailles a<br />
véritablement existé en<br />
Allemagne et qu’il est<br />
bien connu <strong>de</strong> tous les<br />
prisonniers. D’ailleurs,<br />
la forteresse du film si<br />
elle est également<br />
<strong>de</strong>stinée à servir <strong>de</strong><br />
camp <strong>de</strong> représailles n’a<br />
aucun rapport avec le<br />
« Kavalier<br />
Scharnhorst ». Elle<br />
ressemblerait plutôt à<br />
un château du sud <strong>de</strong><br />
l’Allemagne dont nous<br />
ont parlé plusieurs<br />
prisonniers. Tandis que<br />
si je ne me trompe le<br />
« Kavalier<br />
Scharnhorst » était<br />
12
14. Nouvelles fouilles 14. Voir 4.<br />
15. Le commandant du camp évoque<br />
Montmartre et les petites cocottes.<br />
16. Il est chargé <strong>de</strong> bijoux avec<br />
une coquetterie voyante <strong>de</strong> mauvais aloi.<br />
plutôt un fort à la<br />
Vauban.<br />
15. Récit <strong>de</strong> mon ami<br />
personnel, le capitaine<br />
<strong>de</strong> Uhlands Alfred<br />
Flechtein qui,<br />
rencontrant en Belgique<br />
<strong>de</strong>s prisonniers français<br />
leur a tout <strong>de</strong> suite<br />
<strong>de</strong>mandé <strong>de</strong>s nouvelles<br />
<strong>de</strong> Maxim’s.<br />
16. Le costume du<br />
commandant von<br />
Rauffenstein ( que je<br />
trouve personnellement<br />
d’un goût excellent) a<br />
été composé par M. von<br />
Stroheim sur une<br />
documentation précise :<br />
1) sur ses souvenirs<br />
personnels d’ancien<br />
officier Autrichien ; 2)<br />
sur les mémoires <strong>de</strong> l’as<br />
allemand von<br />
Richttofein. La chaîne<br />
qu’il porte au bras<br />
appartient<br />
personnellement à M.<br />
von Stroheim. Lorsqu’il<br />
était officier, il en<br />
portait déjà une<br />
analogue.<br />
13
17. Un type en vue, un entomologiste, étudie<br />
les papillons (dans le film : un humaniste<br />
traduit Pindare)<br />
18. Attitu<strong>de</strong> fron<strong>de</strong>use et rebelle <strong>de</strong>s officiers<br />
qui ne songent qu’à berner leurs gardiens et à<br />
préparer <strong>de</strong>s évasions<br />
.<br />
19. Episo<strong>de</strong> du début d’incendie allumé par les<br />
officiers et <strong>de</strong> l’alerte <strong>de</strong> la gar<strong>de</strong> boche<br />
20. Organisation <strong>de</strong> chahuts monstre avec<br />
caisses, casseroles et tout ce qui peut<br />
faire du bruit pour lasser les Allemands.<br />
Plusieurs évasions.<br />
17. Souvenir <strong>de</strong> mon<br />
cousin Edmond Renoir,<br />
professeur au lycée <strong>de</strong><br />
Versailles qui n’a pas<br />
été prisonnier mais qui,<br />
pendant toutes les<br />
circonstances <strong>de</strong> la<br />
guerre, n’a cessé <strong>de</strong><br />
traduire <strong>de</strong>s auteurs<br />
encore plus secret que<br />
Pindare.<br />
18. Comment en<br />
serait-il autrement ?<br />
19. Cet épiso<strong>de</strong> m’a été<br />
raconté par le<br />
docteur.Ze<strong>de</strong>rbaum,<br />
ancien mé<strong>de</strong>cin-major<br />
<strong>de</strong> l’armée Russe. De<br />
plus, dans notre film, il<br />
n’y a pas <strong>de</strong> gar<strong>de</strong><br />
« boche », il y a une<br />
gar<strong>de</strong> alleman<strong>de</strong> ce qui<br />
n’a aucun rapport et<br />
marque la différence<br />
profon<strong>de</strong> du livre et du<br />
film.<br />
20.<br />
Histoire<br />
authentique, racontée<br />
par plusieurs évadés et<br />
14
21. Cette même suite chronologique <strong>de</strong>s<br />
faits dans le livre et le film montre que le<br />
second, etc<br />
22. Exemple, l’effet du mot « verboten » ;<br />
l’étonnement que les Allemands ne<br />
pillent pas davantage les conserves.<br />
La réflexion « c’est mon <strong>de</strong>voir » <strong>de</strong><br />
l’Allemand qui moleste les officiers.<br />
23. Des types divers d’officiers qui se livrent<br />
à <strong>de</strong> petits travaux, étudient les cartes.<br />
Les mêmes scènes <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong>s camps, appels,<br />
cuisine, cloches <strong>de</strong>s villes sonnant les victoires<br />
(effet sur les prisonniers), même tableau <strong>de</strong>s<br />
approuvée par les<br />
Représentants <strong>de</strong> la<br />
Ligue <strong>de</strong>s Evadés. Nous<br />
avons posé à ces<br />
messieurs la question :<br />
Les récits <strong>de</strong> ces évadés<br />
sont-ils exagérés et<br />
cette provocation estelle<br />
vraisemblable dans<br />
la situation <strong>de</strong> notre<br />
film ? Ils nous ont<br />
répondu favorablement.<br />
21. Comment la suite<br />
chronologique <strong>de</strong>s faits<br />
marquant la vie d’un<br />
officier prisonnier serait<br />
elle très différente <strong>de</strong> la<br />
suite chronologique <strong>de</strong>s<br />
faits marquants la vie<br />
<strong>de</strong> tous les autres<br />
prisonniers ?<br />
22. Pour « verboten »,<br />
récit du frère <strong>de</strong> M.<br />
Matras, opérateur du<br />
film. Pour le<br />
reste,documentation <strong>de</strong><br />
M. Koch, ancien<br />
lieutenant d’artillerie <strong>de</strong><br />
l’armée alleman<strong>de</strong>,<br />
Collaborateur du film<br />
en ce qui concerne<br />
l’atmosphère<br />
alleman<strong>de</strong>.<br />
15
préparations d’évasion, du désœuvrement et<br />
la fébrilité <strong>de</strong>s officiers, pendant les <strong>de</strong>rnières heures,<br />
les inci<strong>de</strong>nts d’évasion, etc.<br />
CONCLUSION<br />
23. Je ne puis citer<br />
exactement l’origine <strong>de</strong>s<br />
informations citées cicontre.<br />
Je pense qu’à<br />
peu près tous les évadés<br />
<strong>de</strong> guerre consultés<br />
nous les ont données.<br />
Nos principales sources sont : le récit du colonel Pinsard, le récit <strong>de</strong> M. Aget, le récit <strong>de</strong> M.<br />
Buno-Varilla, le récit <strong>de</strong> M. Spaak frère du coauteur, le récit <strong>de</strong> M. Gau<strong>de</strong>t et les récits <strong>de</strong>s<br />
membres <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s évadés qui ont bien voulu nous faire l’amitié <strong>de</strong> contrôler notre<br />
travail et qui nous ont permis, par leur récits, <strong>de</strong> réaliser dans ce film, une atmosphère<br />
suffisamment exacte pour que M. <strong>de</strong>s Vallières y retrouve <strong>de</strong>s détails qu’il a vécus.<br />
Parmi ces messieurs, qu’il me soit permis <strong>de</strong> citer M. Etevenon qui a poussé la complaisance<br />
jusqu’à nous fournir <strong>de</strong>s notes écrites dans lesquelles nous avons puisé abondamment et je<br />
dois ajouter que, sur les conseils du Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés M. Richard, nous nous<br />
sommes servis du livre du lieutenant Bastin « Mes dix évasions », pour contrôler l’exactitu<strong>de</strong><br />
<strong>de</strong> tous les faits présentés dans le film.<br />
De plus, pendant toute l’écriture du scénario, la tournaison du film, et son montage, nous<br />
avons eu la collaboration constante <strong>de</strong> M. Karl Koch, ancien lieutenant <strong>de</strong> l’armée alleman<strong>de</strong><br />
qui nous a fourni tous les éléments nécessaires à la reconstitution exacte <strong>de</strong> l’atmosphère<br />
alleman<strong>de</strong> pendant la guerre.<br />
Je pense qu’à défaut d’autres personnes pouvant témoigner <strong>de</strong> notre bonne foi, il suffirait <strong>de</strong><br />
citer l’un <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> la Ligue <strong>de</strong>s Evadés ayant bien voulu étudier avec nous, point par<br />
point, notre découpage, travail à la suite duquel nous avons été amenés à faire pas mal <strong>de</strong><br />
modifications donnant au film une certaine authenticité. Ce sont d’ailleurs ces messieurs qui<br />
nous ont conseillé <strong>de</strong> lire le Kavalier Scharnhorst <strong>de</strong> M. <strong>de</strong>s Vallières, livre que ni Spaak, ni moi<br />
ne connaissions. Nous l’avons parcouru par acquit <strong>de</strong> conscience mais quelles que soient les<br />
coïnci<strong>de</strong>nces relevées par MM. Albin Michel et <strong>de</strong>s Vallières, j’affirme que tous les faits<br />
incriminés ont été puisés ailleurs.<br />
De plus, comme je l’ai dit plus haut, je répète que notre film n’est pas un film sur les évasions.<br />
Si cela était, nous lui aurions donné une exactitu<strong>de</strong> documentaire plus gran<strong>de</strong>. C’est l’histoire<br />
d’un conflit entre hommes et nous avons situé cette action dans le cadre <strong>de</strong>s prisons<br />
alleman<strong>de</strong>s pendant la guerre. Par respect pour les hommes qui ont souffert dans ces prisons,<br />
nous avons voulu que ce cadre soit reconstitué avec le plus d’exactitu<strong>de</strong> possible. De là notre<br />
grand désir <strong>de</strong> documentation et nos enquêtes nous amenant finalement à la connaissance<br />
d’événements semblables à ceux relatés par M. <strong>de</strong>s Vallières.<br />
Il ne faut pas oublier que cette vie <strong>de</strong>s prisonniers <strong>de</strong> guerre a été une vie extrêmement limitée<br />
et que les témoins que nous avons interrogés ont vécu sans doute quelques fois les mêmes<br />
expériences que M. <strong>de</strong>s Vallières.<br />
16
Florilège critique<br />
La Gran<strong>de</strong> Illusion vue par l’extrême droite en<br />
1937<br />
Le titre, jusqu’à la fin, reste en suspens sur nos têtes, gros <strong>de</strong> menaçantes<br />
niaiseries du catéchisme international. Rien ne vient. Ce titre reste une énigme.<br />
Quelle est cette gran<strong>de</strong> illusion ? La Patrie ? Mais ce film est fort patriotique, à<br />
sa manière. La fraternité <strong>de</strong>s hommes ? Dans l’absolu, nous serions tout à fait<br />
<strong>de</strong> l’avis <strong>de</strong> M. Jean Renoir. Dans l’humble réalité, il nous montre au contraire<br />
une solidarité magnifique <strong>de</strong>s êtres les plus différents par le sang, la langue, le<br />
rang, et que réunit une même infortune. Je ne vois pas que ce sentiment soit<br />
« Illusoire », grâce aux dieux !<br />
L’ « illusion » serait encore celle que la guerre <strong>de</strong> 1914-1918 <strong>de</strong>vrait être la <strong>de</strong>rnière ? Si M.<br />
Renoir considère avec amertume que c’était une gran<strong>de</strong> naïveté <strong>de</strong> le croire, nous sommes<br />
entièrement <strong>de</strong> son avis. […]<br />
Un <strong>de</strong>s officiers du film est le juif Rosenthal, né à Vienne d’une mère juive polonaise et d’un<br />
père juif hongrois. Antisémite convaincu, d’instinct et j’espère <strong>de</strong> raison, je suis enchanté que<br />
M. Renoir ait donné à ce juif un beau rôle. Je n’ignore pas que c’est là sans doute que l’auteur<br />
montre le bout <strong>de</strong> l’oreille. Mais je ne doute pas non plus que ce Rosenthal embarrasse force<br />
juifs ! Rosenthal est un valeureux soldat. Oui, cela est arrivé à <strong>de</strong>s juifs. […] Oui, mais<br />
comptons les Rosenthal. Nous pouvons dormir tranquilles. Ce ne sont pas ces braves<br />
qu’Israël invoquera jamais ! Ils sont trop peu.<br />
Si bien que M. Renoir sert parfaitement la cause anti-juive, en amenant les spectateurs à<br />
réfléchir sur un petit problème qui appartient à la plus élémentaire arithmétique.<br />
J’ajoute que Rosenthal explique pourquoi il se bat : « Nous sommes riches. Nous avons trois châteaux<br />
en Touraine, cinq fermes en Poitou. On peut bien se faire trouer la peau pour conserver ça. » Propos qui<br />
entraîneraient <strong>de</strong>s commentaires dépassant par malheur mon cadre.<br />
C’est en tout cas un piquant éloge <strong>de</strong> la propriété par le « marxiste » (?) Renoir.<br />
Au fond, si une idée se dégage avec force du film <strong>de</strong> M. Renoir, c’est celle-ci. L’homme, en<br />
faisant la guerre, obéit à <strong>de</strong>s lois qui le dépassent, et qui sont pourtant inscrites dans sa<br />
nature. Nier la guerre, c’est nier l’homme, c’est le pacifisme utopique qui nous a toujours ici<br />
fait lever les épaules. […] Inutile ou nécessaire, la guerre, le plus tragique signe <strong>de</strong><br />
l’imperfection humaine, hausse au-<strong>de</strong>ssus d’eux-mêmes ceux qui en sont dignes, un Boeldieu,<br />
un Rauffenstein, un Maréchal, un Rosenthal. Sans la guerre Boeldieu et Rauffenstein eussent<br />
été d’élégants désœuvrés, <strong>de</strong>s cavaliers distingués, Maréchal un petit mécano vivant entre<br />
son apéritif et sa bicyclette, Rosenthal un vulgaire trafiquant d’argent. La guerre en a fait non<br />
seulement <strong>de</strong>s braves, mais <strong>de</strong>s êtres d’une humanité infiniment riches et noble.<br />
François Vinneuil, L’Action Française, 11 juin 1937.<br />
17
La Gran<strong>de</strong> Illusion vue par la résistance en 1946<br />
Nous attendions, nous regardions. Et tout <strong>de</strong> suite un malaise presque douloureux nous<br />
étreignit qui, peu à peu, malgré nous, malgré Renoir, malgré la beauté <strong>de</strong>s images ou à cause<br />
d’elle se changeait en stupeur, en méfiance, en refus d’être ému par cette sensibilité qui, jadis,<br />
fut valable et qui n’est plus maintenant que suspecte.<br />
Il y a, entre La Gran<strong>de</strong> Illusion <strong>de</strong> 1937 et cette reprise <strong>de</strong> 1946, tout l’enfer dont l’Allemagne,<br />
l’Allemagne nazie bien sûr, mais l’Allemagne quand même, est responsable.<br />
Qu’on nous excuse mais nous ne sommes pas <strong>de</strong>s saints, ni <strong>de</strong> simples critiques d’art …<br />
Quand une œuvre se présente sous le signe <strong>de</strong> la guerre et <strong>de</strong> la paix, <strong>de</strong> la mort et <strong>de</strong> la<br />
souffrance, <strong>de</strong> la dignité et <strong>de</strong> la liberté, quand un film prend pour théorie quelques gran<strong>de</strong>s<br />
idées qui touchent au <strong>de</strong>stin même <strong>de</strong> l’homme, c’est lui qui nous contraint à débor<strong>de</strong>r le plan<br />
<strong>de</strong> l’art.<br />
La Gran<strong>de</strong> illusion se passe entre Allemands et Français, pendant la guerre <strong>de</strong> 1914. Or, <strong>de</strong>puis,<br />
les rapports entre les Allemands et le reste du mon<strong>de</strong>, entre les « occupants » allemands et les<br />
Français par exemple appartiennent au domaine du crime et du châtiment. Et ce film nous<br />
ramène à la chevalerie, voire à la bergerie sentimentale. Vraiment, c’est trop nous <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r.<br />
Et comme le public n’a point le pouvoir d’abstraction nécessaire pour contrôler son émotion<br />
ou son plaisir, nous disons tout net que La Gran<strong>de</strong> illusion n’est pas un spectacle à offrir à un<br />
peuple qui n’a plus connu l’Allemagne que par la Gestapo, les SS, les fusilla<strong>de</strong>s d’otages, les<br />
supplices, les déportations et les fours crématoires.<br />
Personnellement – et nous sommes j’espère beaucoup dans ce cas – quand Erich Von<br />
Stroheim, noble officier allemand, accueille avec une parfaite urbanité son collègue français,<br />
prisonnier, le noble capitaine Boeldieu, Pierre Fresnay, quand sur le plan <strong>de</strong> l’honneur<br />
militaire, ces <strong>de</strong>ux aristocrates se comprennent et se congratulent, nous pension<br />
immédiatement à la manière dont la police alleman<strong>de</strong> accueillait les Français résistants.<br />
Quand le vainqueur et le vaincu dînent ensemble, nous songeons à ces baignoires où <strong>de</strong><br />
dignes officiers SS faisaient suffoquer nos camara<strong>de</strong>s pour les faire avouer.<br />
Quand un <strong>de</strong>s braves soldats allemands du films console Jean Gabin dans sa cellule, nous<br />
songeons aux assomma<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s détenus politiques dans les cellules <strong>de</strong> Pétain et d’Hitler<br />
pendant les années <strong>de</strong> ténèbres.<br />
Quand les <strong>de</strong>ux prisonniers français évadés trouvent bon souper, bon gîte et le reste chez cette<br />
brave paysanne alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong> Dita Parlo, quand ils font sauter la fillette alleman<strong>de</strong> dans leurs<br />
bras, je pense à mon ami Pierre, un héros, un martyr <strong>de</strong> la Résistance qui, évadé <strong>de</strong><br />
Buchenwald fut rendu aux SS par <strong>de</strong>s paysans allemands.<br />
Quand on nous attendrit sur les yeux bleus, les blauen augen <strong>de</strong> la charmante fillette, je songe à<br />
tous les yeux bleus, noirs ou gris, à tous les yeux hagards <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> petits enfants juifs,<br />
jetés avec leurs parents dans les fours d’Auschwitz et <strong>de</strong> Dachau.<br />
Quand dans un dialogue choisi l’officier français et l’officier allemand font assaut <strong>de</strong> beaux<br />
sentiments, je pense à tous nos grands civils martyrs qui tombèrent sous le feu <strong>de</strong>s pelotons,<br />
qui furent écartelés, roués, déchiquetés parce que les nobles officiers français et allemands<br />
semblables au Boeldieu et au Rauffenstien <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> illusion, unis dans un même amour du<br />
sport hippique et <strong>de</strong> l’ordre nouveau, avaient jugé plus raisonnable, dans l’honneur et la<br />
dignité, d’oublier leurs divergences pour défendre ensemble leur caste et l’Europe hitlérienne.<br />
Pauvre Renoir, et pauvres nous, il y a dix ans, qui avions cru qu’on pouvait lutter contre la<br />
guerre <strong>de</strong>s fascismes par les appels à la fraternité ! Il faut laisser les illusions dans les<br />
tombeaux et les charniers qu’elles ont ouverts. On ne peut empêcher d’être ce qui a été, et<br />
Hitler, et la montée du nazisme dans le mon<strong>de</strong>, et la carence <strong>de</strong>s pacifiques démocraties<br />
<strong>de</strong>vant l’horreur faisant tache d’huile, et la funeste lâcheté <strong>de</strong> Munich, et la défaite, et Vichy,<br />
et la Résistance, et la Victoire. L’écran du mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>puis dix ans nous a donné tant<br />
18
d’occasions <strong>de</strong> fureur et <strong>de</strong> pleur que la force envoûtante du cinéma ne peut plus maintenant<br />
s’exercer qu’à cette échelle et que dans ce climat (voyez par exemple la série <strong>de</strong>s Capra :<br />
Pourquoi nous combattons).<br />
Rien à faire. Notre optique a été bouleversée, comme bien d’autres choses dans le mon<strong>de</strong>. Il y<br />
a eu trop <strong>de</strong> sang pour que nous puissions, déjà, supporter aujourd’hui l’eau <strong>de</strong> rose, la tisane<br />
et l’opium d’un film comme La Gran<strong>de</strong> illusion. Ce n’est point le rêve mais le cauchemar qui a<br />
hanté <strong>de</strong>puis Hitler la gran<strong>de</strong> insomnie du mon<strong>de</strong>. Qu’y pouvons-nous ?<br />
Et nous, qu’y pouvons-nous ? Répéteront en écho les gens qui ont eu l’étrange idée <strong>de</strong><br />
présenter à grand vacarme ce film inopportun ? L’œuvre d’art, diront-ils, ne gar<strong>de</strong>-t-elle point<br />
toute sa valeur ? Les images ne dont-elles pas saisissantes, excellents les acteurs, plein <strong>de</strong><br />
saveur et <strong>de</strong> force le documentaire sur la vie <strong>de</strong>s captifs ? Les auteurs <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
pouvaient-il prévoir que dix ans après…<br />
D’abord, dès 1937, il y avait Hitler <strong>de</strong>puis quatre ans en Allemagne. Et si nous luttions<br />
désespérément pour la paix, nous ne la concevions que par l’effort, il faut bien dire<br />
révolutionnaire, <strong>de</strong>s travailleurs <strong>de</strong> tous le pays : c’est vrai, nous acceptions mal l’idée <strong>de</strong> la<br />
guerre, nous espérions en la conscience internationale ; mais nous savions déjà que le peuple<br />
allemand se laissait emporter par l’hystérie géante du nazisme. Nous savions que<br />
pourrissaient déjà dans les camps <strong>de</strong>s sociaux-démocrates, <strong>de</strong>s communistes, <strong>de</strong>s opposants,<br />
<strong>de</strong>s juifs, que nous ne mêlions pas à la tourbe <strong>de</strong>s possédés. Si à l’époque même où fut conçu<br />
et tourné ce film, on avait par lui fait appel à l’union <strong>de</strong> toutes les forces <strong>de</strong> paix et <strong>de</strong> révolte,<br />
si, au lieu <strong>de</strong> cette fraternisation louche entre militaires <strong>de</strong> carrière, on avait marqué la<br />
solidarité <strong>de</strong> tous les révoltés et <strong>de</strong> toutes les opprimés, alors, oui, peut-être, même<br />
aujourd’hui, malgré les illusions perdues et l’affreuse expérience, un tel spectacle eût été<br />
tolérable.<br />
Tel qu’il est, il n’est plus que prime à toutes les collaborations diffuses, à toutes les<br />
concessions, à tous les abandons : il justifie ceux qui pensaient qu’on pouvait « quand même<br />
s’entendre ». Il contient en germe tous les poisons qui infectèrent le mon<strong>de</strong> ; sous ses paroles<br />
et ses images qui veulent chanter la vie, bat en sourdine la marche funèbre <strong>de</strong> l’humanité,<br />
s’ouvre la danse macabre <strong>de</strong> l’univers.<br />
Nous, ici, qui sommes pour la liberté totale <strong>de</strong> l’art et contre toutes les censures, nous disons<br />
que le film ne peut toucher qu’avec mille précautions à toutes ces plaies ouvertes. L’image <strong>de</strong><br />
cinéma a <strong>de</strong>s capacités d’envoûtement et d’hypnose telle qu’elle supprime le sens critique <strong>de</strong>s<br />
foules, qu’elle vous limite à l’immédiat, au présent.<br />
n° 62, 4 septembre 1946, article <strong>de</strong> Georges Altman : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> 1937, p. 5.<br />
19
La Gran<strong>de</strong> Illusion selon Marc Ferro<br />
Observons-en quelques aspects.<br />
* La représentation <strong>de</strong>s juifs. En 1937, à l’heure <strong>de</strong> la campagne antisémite menée contre<br />
Léon Blum et le Front populaire, le film apparut comme une réponse aux calomnies <strong>de</strong><br />
Gringoire et <strong>de</strong>s publications maurrassiennes ; le Juif Rosenthal a fait la guerre comme tous les<br />
Français, il n’a pas cherché à s’embusquer ; il partage généreusement le contenu <strong>de</strong> ses colis<br />
avec ses camara<strong>de</strong>s prisonniers ; il partage aussi leur courage. La séquence <strong>de</strong> l’algara<strong>de</strong> avec<br />
Gabin est ressentie comme une scène d’exorcisme : instinctivement antisémite, le Français<br />
prend conscience <strong>de</strong> la nature <strong>de</strong> ses pulsions ; il domine et comprend que son antisémitisme<br />
ne repose sur rien. Dans le climat <strong>de</strong> 1937 ce film satisfait pleinement les victimes du<br />
racisme. L’antisémite Goebbels ne s’y trompe pas qui coupe précisément les scènes sur les<br />
Juifs.<br />
Avec le recul, la représentation du Juif apparaît <strong>de</strong> façon différente. Tous les traits attribués à<br />
Rosenthal en font un être à part : il est seul à recevoir <strong>de</strong>s colis, du courrier, à pouvoir<br />
distribuer <strong>de</strong>s cigarettes, il déclare défendre la patrie pour sauver ses biens ; se vante d’avoir<br />
une famille qui est <strong>de</strong>venue plus riche en une génération, bref, son patriotisme est loin d’être<br />
désintéressé. Les changements aménagés dans les dialogues se disputent la prime <strong>de</strong><br />
l’antisémitisme : « Lui, sportif ? », lance un poilu, « il est né à Jérusalem », dans une première<br />
version ; et dans une autre : « Ta patrie, t’en as pas, tu es né à Jérusalem. » Un prisonnier<br />
commente : « Il est <strong>de</strong> vieille noblesse bretonne, quoi », une plaisanterie qui revivifie une<br />
polémique <strong>de</strong> 1936 : « Un Juif vaut-il bien un Breton ? » Enfin, dans une scène coupée après la<br />
guerre, Rosenthal donne du chocolat à une sentinelle alleman<strong>de</strong> : « Tout est pourri », commente<br />
un autre prisonnier. Pour lui, comme pour le spectateur, c’est le Juif qui collabore avec les<br />
Allemands alors que, toujours hautain, le capitaine aristocrate refuse les avances <strong>de</strong> von<br />
Rauffentein. Une <strong>de</strong>rnière phrase révèle la profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> l’antisémitisme en France : « Je<br />
commence à m’habituer aux gentillesses <strong>de</strong> Rosenthal », commente l’instituteur, dans cette<br />
étonnante complicité du dialogue avec la société qui le produit.<br />
* Les observations concernant les Allemands et les Anglais sont également révélatrices <strong>de</strong><br />
l’idéologie latente du film. Les Allemands sont représentés comme <strong>de</strong>s êtres animés d’une<br />
réelle humanité : la sentinelle dit « bonsoir » aux prisonniers, le geôlier offre son harmonica à<br />
Maréchal ; les femmes alleman<strong>de</strong>s plaignent ces jeunes hommes qui s’entraînent avant <strong>de</strong><br />
partir pour le front ; von Rauffenstein manifeste humour et noblesse. « Les geôliers sont<br />
honnêtes », observe l’instituteur, répétant, avant 1940, ce que les Français dirent <strong>de</strong>s<br />
Allemands durant les premiers mois <strong>de</strong> l’Occupation.<br />
Les scènes où les Anglais apparaissent ne sont qu’une seule fois à leur avantage ; lorsque<br />
ceux-ci interrompent leur représentation costumée, retirent perruques, se mettent au gar<strong>de</strong>-àvous<br />
pour chanter La Marseillaise et célébrer la victoire <strong>de</strong> Verdun. Toutes les autres notations<br />
sont négatives : l’arrivée <strong>de</strong>s prisonniers anglais avec leurs raquettes (pour eux la guerre est<br />
comme un sport, ce ne sont pas <strong>de</strong> « vrais » soldats) ; totale absence <strong>de</strong> communication avec<br />
les Anglais alors qu’il y en a avec les Russes. Homosexualité suggérée, alors que les<br />
Français, viril, « couche » au début et à la fin du film. Fait caractéristique : l’aristocrate <strong>de</strong><br />
Boeldieu, qui sait utiliser la langue anglaise comme un co<strong>de</strong> aristocratique pour s’entretenir<br />
avec von Rauffenstein « oublie » qu’il sait l’anglais quand il <strong>de</strong>vrait dire à ses compagnons et<br />
alliés également prisonniers qu’un souterrain est creusé dans le cantonnement. Or les<br />
Français s’interrogent : doivent-ils ou non confier ce secret aux Anglais, comme si l’Anglais<br />
20
n’était pas l’allié, comme si l’Anglais n’était pas un allié sûr ? Une ambiguïté révélatrice, trois<br />
ans avant Vichy.<br />
D’autres traits apparaissent dans ce film qui, sans que l’auteur le sache, sans que l’auteur le<br />
veuille, complètent le modèle d’une apologie virtuelle en faveur <strong>de</strong> Vichy : l’hostilité et le<br />
mépris envers les intellectuels, chez les Français comme chez les Allemands ; le ressentiment<br />
contre la femme, volage et impure, qui ne respecte pas les valeurs familiales.<br />
En 1946, par un retournement <strong>de</strong> sens assez extraordinaire le film est reconnu comme une<br />
invitation à la collaboration, dont il assumerait tous les poncifs. Jean Renoir coupe la scène<br />
d’amour avec Dita Parlo que Goebbels voulait également couper mais pour d’autres raisons.<br />
En 1946, cette scène illustre l’image <strong>de</strong> la « bonne » Allemagne ; elle complète également celle<br />
du Français cavaleur, <strong>de</strong>ux images insupportables au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> l’Occupation et <strong>de</strong> la<br />
Résistance. En 1937, Jean Renoir avait déjà coupé une partie <strong>de</strong> la réplique <strong>de</strong> Boeldieu, qui,<br />
entendant défiler les soldats allemands, disait : « Le bruit <strong>de</strong>s pas, c’est le même dans toutes<br />
les armées du mon<strong>de</strong>. » Ce <strong>de</strong>rnier sanglot internationaliste est inadmissible en 1946 où l’on<br />
ne peut accepter l’i<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong> la botte française et <strong>de</strong> la botte nazie. Il l’était déjà en 1937<br />
quand les Français pressentent, au travers <strong>de</strong> la défaite que ce film annonce (la France y est<br />
vaincue, seul le Français débrouillard est vainqueur), que la botte alleman<strong>de</strong>, à cette date,<br />
déjà représente autre chose qu’une armée. Dans le film les bonnes intentions<br />
internationalistes <strong>de</strong> Renoir n’ont plus guère <strong>de</strong> réalité ni <strong>de</strong> substance.<br />
Marc Ferro, Cinéma et Histoire, éd. Denoël Gauthier, Paris, 1977.<br />
21
Scène coupée <strong>de</strong> La Marseillaise<br />
22
Entrevue entre Roe<strong>de</strong>rer et la Reine<br />
Roe<strong>de</strong>rer : Madame je voudrais prier Votre Majesté d’écouter les conseils que me dicte mon<br />
<strong>de</strong>voir <strong>de</strong> Premier Magistrat du Département chargé d’assurer une tranquillité publique qui<br />
me semble hélas compromise. Il reste un moyen d’éviter les évènements somme toute assez<br />
désagréables … c’est que le Roi fasse savoir au peuple qu’il abandonne la défense du château<br />
et qu’il se rend avec sa famille à l’Assemblée Nationale.<br />
La Reine : Vous proposez au Roi d’abdiquer le matin même <strong>de</strong> la victoire ? !<br />
Roe<strong>de</strong>rer : Votre confiance est très gran<strong>de</strong> Madame. Malheureusement, en face elle ne l’est pas<br />
moins.<br />
La Reine : Monsieur, il y a ici <strong>de</strong>s forces. Il est temps <strong>de</strong> savoir qui l’emportera du Roi ou <strong>de</strong> la<br />
faction.<br />
Roe<strong>de</strong>rer : Cette faction dont vous parlez et dont tout le mon<strong>de</strong> parle est un animal étrange et<br />
bien difficile à dépister. Pour vous, il est dans la rue, pour la majorité <strong>de</strong>s Français il se niche<br />
dans les couloirs du palais<br />
La Reine : Ah ! Vraiment ?<br />
Roe<strong>de</strong>rer : Toutes ces lettres que vous brûlez, et je vous félicite <strong>de</strong> cette précaution, Votre<br />
Majesté les a reçues soit <strong>de</strong> ses parents d’Autriche, soit <strong>de</strong> ses amis les émigrés, et elle les<br />
considère comme une correspondance <strong>de</strong> famille… le peuple les considèrerait comme un<br />
témoignage d’intelligence avec l’ennemi.<br />
La Reine : Monsieur Roe<strong>de</strong>rer, <strong>de</strong>puis trois ans je suis habituée à subir bien <strong>de</strong>s insolences.<br />
Mais je crois que la vôtre dépasse les autres <strong>de</strong> plusieurs coudées. Je <strong>de</strong>vrais vous faire fusiller<br />
sur le champ. Mais je remets cela à <strong>de</strong>main après la victoire.<br />
Roe<strong>de</strong>rer : Bien Madame. En attendant cette issue fatale, je me tiendrai à l’intérieur du château<br />
et j’y resterai tout à votre disposition.<br />
23
Nomenclature <strong>de</strong>s<br />
personnages<br />
24
STATURE IMPOSANTE<br />
STATURE<br />
GRAND, FORT ET BETE<br />
Albert le contremaître (Toni) ; le chrono (la Vie est à Nous) ; Schumacher (la Règle du Jeu) ;<br />
Lanlaire (le Journal d’une Femme <strong>de</strong> Chambre) ; Ducasse (Chotard et Compagnie) ; Mufflot (Tire au<br />
Flanc).<br />
GRAND, BETE MAIS INTELLIGENT (manipulateur)<br />
Bor<strong>de</strong>nave (Nana); Von Keller (Vivre Libre)<br />
STATURE PETITE ET MAIGRE<br />
PETIT DIABLE ENERGIQUE<br />
Capitaine Mauger (le Journal…) ; Marceau (la Règle…); Pecqueux (la Bête Humaine)<br />
FIDELE, TRAVAILLEUR, NAIF<br />
André (le Roi d’Yvetot); Pater (le Caporal Epinglé) ; Lange (le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange); Toni ; Tonin<br />
(la Vie…)<br />
INTELLIGENT ET ENERGIQUE<br />
Sorel (Vivre Libre) ; Dubois D’Ombelles (Tire au Flanc)<br />
LE BON GROS<br />
SERVIABLE, GENTIL<br />
Maître Joly (le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier); Lestingois (Boudu Sauvé <strong>de</strong>s Eaux) ; Muffat (Nana);<br />
Gustave (la Cireuse Electrique) ; Duvallier (Yvetot)<br />
NAIF MAIS ATTENDRISSANT<br />
Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne) ; l’Inspecteur (les Bas-Fonds) ; Albert Lory (Vivre Libre)<br />
LES « PROCHES » DE RENOIR<br />
Danglard (French Cancan) ; le Curé (Déjeuner sur l’Herbe) ; Maigret (la Nuit du Carrefour);<br />
Bovary (Madame Bovary) ; Louis XVI (la Marseillaise ); Octave (la Règle…)<br />
25
EMPLOI<br />
CHEF/PATRON<br />
Batala (le Crime…) ;le PDG (la Vie…) ; le Directeur (la Vie…)<br />
PETIT CHEF<br />
Albert (Toni) ; le Chrono (la Vie…); Roubaud (la Bête…) ; le Gérant (le Dernier Réveillon)<br />
COMMERCANT<br />
Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne) ; Madame Dufour(Partie <strong>de</strong> Campagne) ; Chotard ; Madame<br />
Chotard ; Lheureux (Madame Bovary) ; Homais (Madame Bovary) ; Père Poulain (Partie <strong>de</strong><br />
Campagne)<br />
TRAVAILLEUR INTELLECTUEL<br />
André (vétérinaire dans Yvetot) ; Sorel (Vivre Libre) ; Maître Joly (le Testament) ; Albert Lory (Vivre<br />
Libre) ; Bovary ; Homais (Bovary); Maurice Legrand (la Chienne); Louise Martin (Vivre Libre) ;<br />
Cor<strong>de</strong>lier ; Séverin (le Testament) ; Etienne Alexis (le Déjeuner…); Gustave (la Cireuse…)<br />
TRAVAILLEUR MANUEL<br />
Pecqueux (la Bête…) ; Toni ; Tonin (la Vie…); Fernand (Toni) ; Justin Crépoix (la Fille <strong>de</strong><br />
l’Eau) ; Devers (l’Homme du Sud) ; Valentine (le Crime…) ; Estelle (le Crime…); Lantier (la<br />
Bête…) ; Tim (l’Homme du Sud); Sam Tucker (l’Homme du Sud); Paulo (French Cancan); Eve (la<br />
Femme sur la Plage); Maréchal (la Gran<strong>de</strong> Illusion)<br />
MILITAIRE/POLICIER<br />
Ducasse (Chotard) ; Von Keller (Vivre Libre) ; Capitaine Mauger (le Journal…) ; l’Inspecteur (les<br />
Bas-Fonds) ; Maigret ; Caporal Bourrache (Tire au Flanc) ; Colonel Brochard (Tire au Flanc) ;<br />
Scott Burnett (La Femme…) ; Capitaine John (le Fleuve) ; Général Rollan (Elena et les Hommes) ;<br />
Felipe (le Carrosse d’Or)<br />
ARTISTE<br />
Danglard (French Cancan) ; l’acteur (les bas-Fonds) ; Julien Collinet (Chotard) ; André Jurieu (la<br />
Règle…) ; Tod Butler (la Femme…) ; Camilla (le Carrosse…) ; Ramon (le Carrosse…) ;<br />
Lola (French Cancan) ; Nini (French Cancan) ; Caruso (Caporal…)<br />
POURCENTAGE DE FEMMES AU TRAVAIL<br />
Sur 62 femmes, 30 travaillent soit 48%<br />
Mais si on considère que les femmes qui travaillent en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong> chez elle, en enlevant Titine<br />
(le Déjeuner…), Josefa (Toni), et Erika (le Caporal…) qui ai<strong>de</strong>nt simplement sa mère, on obtient :<br />
42% dont 16% sont <strong>de</strong>s domestiques auquel on peut inclure Natacha (les Bas-Fonds)<br />
26
Anne-Marie (Boudu) ; Camilla (le Carrosse…); Catherine ; Celestine (le Journal…) ; Marie<br />
Chotard ; Henriette Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne) ; Edith (le Crime…) ; Elsa (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ;<br />
Erika (le Caporal…) ; Estelle (le Crime…) ; Eve (la Femme…) ; Karen (la Petite Marchan<strong>de</strong><br />
d’Allumettes) ; Lola (French Cancan) ; Valentine (le Crime…) ; Virginie (la Fille…) ; Louise (le<br />
Journal…) ; Lulu (la Chienne) ; Marie (Toni) ; Josefa (Toni) ; Marie-Charlotte (le Déjeuner…) ;<br />
Louise Martin (Vivre Libre) ; Nan (le Fleuve) ; Nana ; Natacha (les Bas-Fonds) ; Nini (French<br />
Cancan) ; Paulette (Yvetot) ; Rose (On Purge Bébé) ; Lisette (la Règle…) ; Titine (le Déjeuner…) ;<br />
Nona (L’Homme du Sud)<br />
27
CLASSE SOCIALE<br />
ARISTOCRATE<br />
Comte Muffat(Nana) ; Comte <strong>de</strong> Van<strong>de</strong>uvres (Nana) ; François <strong>de</strong> Baynes (le Tournoi) ; Isabelle<br />
De Ginori (le Tournoi) ; Henri <strong>de</strong> Rogier (le Tournoi) ; Boeldieu (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Rauffenstein<br />
(la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Marie-Antoinette (la Marseillaise) ; Louis XVI (la Marseillaise) ; Christine <strong>de</strong><br />
la Chesnaye (la Règle…) ; Robert <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; Geneviève <strong>de</strong> Marras (la<br />
Règle…) ; le Vice-Roi (le Carrosse…) ; le Prince Alexandre (French Cancan) ; Henri <strong>de</strong><br />
Chevincourt -(Elena…); Elena ; Comtesse Marie-Charlotte (le Déjeuner…) ; le Baron (au début<br />
<strong>de</strong>s Bas-Fonds)<br />
DOMESTIQUE<br />
Catherine ; Joseph Turlot (Tire au Flanc) ; Rose (On Purge…) ; Anne-Marie (Boudu); Lisette (la<br />
Règle…) ; Schumacher (la Règle…) ; Corneille (la Règle…) ; Marceau (la Règle…) ; Louise (le<br />
Journal…) ; Célestine (le Journal…) ; Joseph (le Journal…) ; Nan (le Fleuve) ; Désiré (le<br />
Testament…) ; Paulette (Yvetot)<br />
BOURGEOIS/PETIT BOURGEOIS<br />
Madame Laisné (Catherine) ; Georges Mallet (Catherine) ; Edith Mallet (Catherine) ; Maurice<br />
Laisné (Catherine) ; Georges Raynal (la Fille…); Père Raynal (la Fille…) ; Chouilloux (On<br />
Purge…) ; Madame Chouilloux (On Purge…) ; Truchet (On Purge…) ; Anna Lestingois (Boudu)<br />
; Edouard Lestingois (Boudu) ; Rodolphe Boulanger (Bovary) ; Georges Lanlaire (le Journal…) ;<br />
Madame Lanlaire (le Journal…) ; Monsieur Lanlaire (le Journal…) ; Gontran (le Réveillon) ;<br />
Rosenthal (la Gran<strong>de</strong> Illusion)<br />
MARGINAUX<br />
PROSTITUE ET ASSIMILE<br />
Bel Adolphe (Nana) ; Nana ; Dédé (la Chienne) ; Lulu (la Chienne).<br />
AUTRES<br />
Le Furet (la Fille…) ; Boudu ; Maurice Legrand (fin <strong>de</strong> la Chienne) ; Pépel (les Bas-Fonds) ; le<br />
Baron (les Bas-Fonds) ; l’acteur (les Bas-Fonds) ; Cabuche (la Bête…) ; Marceau (la Règle…) ;<br />
Opale (le Testament…) ; le Clochard (le Réveillon) ; la Clochar<strong>de</strong> (le Réveillon)<br />
28
LES FEMMES<br />
Pour cette partie sur les femmes il est intéressant <strong>de</strong> reprendre la classification <strong>de</strong> Roger Viry-<br />
Babel dans Image <strong>de</strong> la femme chez Jean Renoir, reprise elle-même <strong>de</strong> la déclinaison <strong>de</strong> Roland<br />
Barthe dans le roman-photo.<br />
EPOUSES ET MERES<br />
LES EPOUSES ADMIRABLES<br />
Elles sont dévouées à leur mari même si ce <strong>de</strong>rnier n’est pas d’une fidélité exemplaire.<br />
Victoire Pecqueux et Philomène (la Bête Humaine)<br />
La clochar<strong>de</strong> (le Dernier Réveillon) qui fait travailler son imagination pour que l’ordinaire soit un<br />
peu plus acceptable.<br />
La mère d’Erika (le Caporal) sert la main du prisonnier français. Elle n’est pas dupe <strong>de</strong>s<br />
sentiments qui l’unissent à sa fille. Elle dépasse les contingences historiques pour ne voir dans<br />
le prisonnier qu’un homme « comme les autres »<br />
Elsa (la Gran<strong>de</strong> Illusion) et Frida (le Caporal…). Le personnage <strong>de</strong> Frida serait en quelques sorte<br />
une suite <strong>de</strong> Elsa si maréchal était resté en Allemagne ou s’il revient à la fin <strong>de</strong> la guerre.<br />
Les mères et les épouses peuvent être aussi quelque fois l’égal <strong>de</strong> l’homme. : Nona (l’Homme du<br />
Sud) qui est en quelque sorte la version Américaine <strong>de</strong> Ninette (la Vie est à Nous) toutes <strong>de</strong>ux<br />
ont confiance dans les capacités <strong>de</strong> leur ami<br />
Dans le Fleuve le personnage <strong>de</strong> la Mère est un personnage positif <strong>de</strong> l’épouse. Elle n’a pas <strong>de</strong><br />
nom. On l’appelle « la mère » qui est en fait sa fonction première puisqu’elle a cinq filles et un<br />
garçon et à la fin elle met au mon<strong>de</strong> un sixième enfant. Elle est plus qu’une mère puisqu’elle<br />
est aussi la confi<strong>de</strong>nte d’Harriet. Mais contrairement à Juliette Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne), elle<br />
assume parfaitement sa fonction référentielle pour une fille qui arrive dans une pério<strong>de</strong><br />
transitoire et qui se pose <strong>de</strong>s questions sur elle-même.<br />
Il y a aussi la bonne ménagère qui est abordé <strong>de</strong> façon extrême et caricaturale dans la Cireuse<br />
Electrique. avec Emilie<br />
LES EPOUSES VOLAGES<br />
La référence en ce domaine est sans conteste Emma Bovary. Vassilia (les Bas-Fonds), Séverine<br />
(la Bête Humaine), Christine (la Règle du Jeu) et Peggy (la Femme sur la Plage) ne sont que <strong>de</strong>s<br />
variations du personnage flaubertien. Elles ont toutes un mari plus âgés. Leur désir sexuel<br />
n’est pas satisfait dans le mariage. Elles l’assouvissent donc naturellement avec un amant.<br />
LES EPOUSES COMIQUES<br />
Certaines sont à la limite du grotesque : Edith Mallet (Catherine) qui se fait conter fleurette par<br />
le sous-préfet avec sa poésie <strong>de</strong> bas-étage. Mais aussi Clémence Chouilloux (On purge Bébé),<br />
Emma Lestingois (Boudu) et Madame Dufour (Partie <strong>de</strong> Campagne). Ce sont en quelque sorte <strong>de</strong>s<br />
caricatures <strong>de</strong> Madame Bovary. Elle vivent dans un univers <strong>de</strong> conventions où il y a ce qui se<br />
fait et ce qui ne se fait pas. Leur seul souci est celui <strong>de</strong> la respectabilité, <strong>de</strong> la soumission aux<br />
règles du jeu <strong>de</strong> l’ordre bourgeois.<br />
Si elles transgressent cet ordre un retour très vite à la normale est nécessaire. Or une seule<br />
échappe à ce retour à l’ordre: Isabelle Duvallier (et Nini) (Yvetot).<br />
29
LES MAL MARIEES<br />
Ce sont les épouses victimes <strong>de</strong> leur mariage qui n’ont ni la chance d’être volages, ni<br />
l’intelligence nécessaire pour être révoltées.<br />
Elles n’ont pas su s’adapter à son nouvel état d’épouse, comme celles qui n’ont pas su apporter<br />
une réponse satisfaisante au désir <strong>de</strong> son mari : tel est le cas <strong>de</strong> la première Madame Bovary ;<br />
qui n’apparaît que pour mourir dans la secon<strong>de</strong> séquence. Renoir dresse un constat<br />
impitoyable <strong>de</strong> cette femme : « Il vous a épousée parce que je le lui ai dit. Mais je regrette bien<br />
<strong>de</strong> l’avoir chargé d’une hari<strong>de</strong>lle dont les harnais ne valent pas la peau ».<br />
Certaines heureusement sont abordées <strong>de</strong> façon plus comiques comme Adèle Legrand (la<br />
Chienne)avec son accumulation <strong>de</strong> défauts et Emilie (la Cireuse…).<br />
Pour d’autres le <strong>de</strong>stin est plus tragique comme Henriette (Partie <strong>de</strong> Campagne) ou Marie (Toni)<br />
En montrant que le passage <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong> jeune fille à celui d’épouse n’est pas obligatoirement<br />
synonyme d’accession au bonheur, Renoir porte un jugement sur le système social, nuancé il<br />
est vrai par les images <strong>de</strong> bonheur conjugal dans certaines autres œuvres.<br />
LES MERES ABUSIVES<br />
Les <strong>de</strong>ux principales sont Emma Lory (Vivre Libre) et Madame Lanlaire (le Journal…)<br />
Les autres mères sont <strong>de</strong>s déclinaison en mo<strong>de</strong> mineur <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux femmes.<br />
Elles surprotègent leur enfant et provoque <strong>de</strong>s drames. Elles ont <strong>de</strong>s enfants handicapés :<br />
Albert Lory est un quinquagénaire peureux et lâche, incapable <strong>de</strong> surmonter ses angoisses et<br />
Georges Lanlaire est tuberculeux. Ces handicaps augmentent la dépendance <strong>de</strong> l’enfant vis à<br />
vis <strong>de</strong> la mère.<br />
PROSTITUEE ET MONDAINES<br />
PROSTITUEES<br />
Ce sont presque toujours <strong>de</strong> braves filles soumises à la volonté <strong>de</strong> « maquereaux » dont Renoir<br />
noircit le portrait : Pierre Philippe (Catherine), Georges Flamant (la Chienne), Jean-Marc<br />
Tennberg (French Cancan).<br />
Ils sont « sapés comme <strong>de</strong>s milords », les filles qu’ils exploitent ne brillent pas par leur<br />
intelligence qui ont le désir d’une vie confortable avec leur amant <strong>de</strong> cœur.<br />
Notons entre autre Rosa la Rose (Elena) et Nastia (les Bas-Fonds) dont la vie est un rêve<br />
littéraire, qui la rend un peu à part <strong>de</strong>s autres.<br />
LES FEMMES ENTRETENUES<br />
La différence entre la femme entretenue et la prostituée est une question <strong>de</strong> sentiment : la<br />
« maîtresse » est la femme qu’on n’épouse pas ou qu’on ne peut épouser, à une époque où le<br />
divorce n’est pas une pratique aussi courante qu’aujourd’hui. Elle es aussi la femme qui<br />
permet, à l’homme marié, <strong>de</strong> satisfaire sans risque, ses exigences sexuelles.(la Belle Abbesse<br />
dans French Cancan et Geneviève dans la Règle du Jeu).<br />
Ces femmes n’ont pas la sympathie démesurée <strong>de</strong> Renoir.<br />
Ce qui attache ces femmes à leurs amants, c’est la certitu<strong>de</strong> d’atteindre, grâce à eux, un<br />
niveau <strong>de</strong> reconnaissance aux yeux du mon<strong>de</strong> : Paulette Escoffier (Elena) qui s’accroche à son<br />
Général <strong>de</strong> peur qu’il ne s’envole ou les <strong>de</strong>ux femmes du Dernier réveillon, celle qui a mal aux<br />
<strong>de</strong>nts et celle qui veut faire du cinéma, qui s’entichent <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux jeunes oisifs uniquement pour<br />
30
leur argent et pour le statut qu’ils leur confèrent en les emmenant dans <strong>de</strong>s restaurants<br />
chics.<br />
Quelques personnage <strong>de</strong> cette série échappent aux piques <strong>de</strong> Renoir : ce sont les femmes<br />
issues du peuple.<br />
Elles ont fidèles à l’homme qu’elles aiment même si ce <strong>de</strong>rnier profite d’elles : Philomène (la<br />
Bête Humaine) et Edith (le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange)<br />
Mais il existe une femme « libre » dont on ne se sert pas mais plutôt qui se sert <strong>de</strong>s hommes au<br />
gré <strong>de</strong> sa fantaisie, sans pour autant les asservir, sinon par la beauté, c’est Elena.<br />
NOURRICES ET BONNES<br />
Il existe un seul personnage <strong>de</strong> nourrice dans l’œuvre <strong>de</strong> Renoir, c’est Nan (le Fleuve).<br />
La nourrice est donc plus qu’une confi<strong>de</strong>nte, elle est celle qui fait admettre la réalité <strong>de</strong>s faits,<br />
qui gomme les rugosités <strong>de</strong> caractère, qui suggère <strong>de</strong>s modifications <strong>de</strong> comportement.<br />
Les autres personnages <strong>de</strong> bonnes ou <strong>de</strong> servantes : Georgette (Tire au Flanc) materne Jean<br />
Dubois D’Ombelles et lui évite <strong>de</strong> sombrer dans le désespoir lorsqu’il se rend comte que sa<br />
fiancée s’intéresse à un autre homme et Paulette (Yvetot) se jette aux pieds <strong>de</strong> Duvallier pour<br />
l’empêcher <strong>de</strong> rentrer dans la chambre qui abrite le couple adultère.<br />
Les amours ancillaires seraient donc une aspiration à un retour à l’état <strong>de</strong> nature pour le<br />
partenaire bourgeois : le sentiment <strong>de</strong> « déchéance » s’explique par une recherche <strong>de</strong> plus <strong>de</strong><br />
naturel, <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> simplicité dans les rapports humains. Les domestiques, venus souvent <strong>de</strong><br />
leur campagne, pas encore « pollués » par la vie urbaine et ses conventions sont, pour les<br />
bourgeois, les <strong>de</strong>rniers dépositaires <strong>de</strong>s secrets d’une conduite naturelle : Lestingois avec<br />
Anne-Marie (Boudu) qui opère une séduction par la parole tout comme Alexis sur Nénette (le<br />
Déjeuner sur l’herbe).<br />
Deux personnages <strong>de</strong> bonnes apportent dans l’œuvre <strong>de</strong> Renoir une forme <strong>de</strong> révolte et<br />
d’indépendance : Lisette (la Règle du Jeu) et Célestine (le Journal…)<br />
Une <strong>de</strong>s toutes premières servantes <strong>de</strong> Renoir ne possédait pas une positivité que l’on<br />
retrouvera systématiquement par la suite, c’est Zoé (Nana) témoin <strong>de</strong>s turpitu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> Nana mais<br />
un témoin cruel.<br />
LA MERE ABSENTE<br />
Catherine ; Virginie (la Fille…) ; Karen (la Marchan<strong>de</strong>…) ; Ben Ragan (l’Etang Tragique) ;<br />
Natacha (les BasFonds) ; Louise Martin (Vivre Libre) ; Paul (Vivre libre) ; Nénette (le Déjeuner…) ;<br />
Julie Keefer (l’Etang…)<br />
IMAGE DE LA MERE NEGATIVE<br />
Julie Follavoine (On Purge…) ; Emma Bovary ; Emma Lory (Vivre Libre) ; la Reine (la<br />
Marseillaise) ; Madame Dufour (Partie…) ; la Grand-mère (Partie…) ; Mère <strong>de</strong> Nini (French<br />
Cancan) ; Grand-Ma (l’Homme…) ; Elsa (trop fragile dans la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Nona (id dans<br />
l’Homme…) ; Mère du fleuve (trop absente) ; Mère d’Erika (représente le mal dans le<br />
Caporal…) ; Titine (le Déjeuner…)<br />
31
SEXE<br />
FEMININ<br />
Sur 193 personnages :<br />
62 sont <strong>de</strong>s femmes<br />
soit 32%<br />
sans compter la mort qui est plus un concept.<br />
MASCULIN<br />
Sur 193 personnages :<br />
130 sont <strong>de</strong>s hommes<br />
soit 67%<br />
32
ONOMASTIQUE<br />
(étu<strong>de</strong> <strong>de</strong>s noms propres)<br />
PAR FONCTION UNIQUEMENT<br />
L’Acteur (les Bas-Fonds) ; le Baron (les Bas-Fonds) ; le Chrono (la Vie…) ; Caporal ; le<br />
Clochard (le Réveillon) ; la Clochar<strong>de</strong> (le Réveillon) ; le Curé (le Déjeuner…) ; le Directeur (la<br />
Vie…) ; le Gérant (le Réveillon) ; la Grand-Mère (Partie…) ; l’Inspecteur (les Bas-Fonds) ; le Jeune<br />
Homme (la Marchan<strong>de</strong>…) ; le Soldat (la Marchan<strong>de</strong>…) ; la Mort (la Marchan<strong>de</strong>…) ; le PDG (la<br />
Vie…) ; le Policier (la Marchan<strong>de</strong>…) ; le Sous-Préfet (Catherine) ; Grand-Ma (l’Homme.)<br />
FONCTION SUIVIE DU NOM<br />
L’Abbé Bournisien (Bovary) ; Caporal Bourrache (Tire au Flanc) ; Colonel Brochard (Tire au<br />
Flanc) ; le Docteur Cor<strong>de</strong>lier ; le Notaire Maître Joly (le Testament…) ; le Major Von Keller<br />
(Vivre Libre) ; l’Inspecteur Maigret ; le Capitaine Mauger (le Journal…) ; le Comte<br />
Muffat (Nana) ; le Général Rollan (Elena) ; le Docteur Séverin (le Testament…) ; le Professeur<br />
Sorel(Vivre Libre) ; le Comte <strong>de</strong> Van<strong>de</strong>uvres (Nana) ; le Professeur Alexis (le Déjeuner…)<br />
La plupart du temps on ne connaît même pas le prénom <strong>de</strong> ces personnages.<br />
FONCTION SUIVIE DU PRENOM<br />
Le Prince Alexandre (French Cancan) ; le Vice-Roi Ferdinand (le Carrosse…) ; le Capitaine<br />
John (le Fleuve) ; la Reine Marie-Antoinette (la Marseillaise) ; le Roi Louis XVI (la Marseillaise) ;<br />
la Comtesse Marie-Charlotte (le Déjeuner…) .<br />
SURNOM<br />
Le Baron (les bas-Fonds) ; le Bel Adolphe (Catherine) ; Ballochet (le Caporal…) ; Cabuche (la<br />
Bête…) ; Caruso (le Caporal…) ; Dédé (la Chienne) ; la Fouine (la Fille…) ; la Belle Abbesse<br />
(French Cancan) ; Lulu (la Chienne) ; Nana ; Nénette (le Déjeuner…) ; Ninette (la Vie…) ; Nino (le<br />
Déjeuner…) ; Nini (French Cancan) ; Pater(le Caporal…) ; Paulo (French Cancan) ; Penche-à-<br />
Gauche (le Caporal…) ; Pépel (les Bas-Fonds) ; Ritou (le Déjeuner…) ; Titine (le Déjeuner…) ;<br />
Toni ; Toto (On Purge…) ; Boudu<br />
PRENOM<br />
Adèle (la Chienne) ; Albert (Toni) ; Anatole(Partie…) ; André (Yvetot) ; Anne-Marie (Boudu) ;<br />
Camilla (le Carrosse...); Catherine ; Célestine (le Journal…) ; Désiré (le Testament…) ; Edith (le<br />
Crime…) ; Eléna ; Elsa (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Emilie (la Cireuse…) ; Erika (le Caporal…) ; Estelle (le<br />
Crime…) ; Eve (la Femme…) ; Felipe (le Carrosse…) ; Fernand (Toni) ; Gontran (le Réveillon) ;<br />
Gustave (la Cireuse…) ; Harriet (le Fleuve) ; Henri (Partie…) ; Hippolyte (Bovary) ; Jeff (la Fille…)<br />
; Josefa (Toni) ; Joseph (le Journal…) ; Jules (la Cireuse…) ; Karen (la Marchan<strong>de</strong>…) ; Léon (Bovary)<br />
; Louise (le Journal…) ; Lucas (les Bas-Fonds) ; Marie (Toni) ; Mélanie (le Fleuve) ; Nan (le Fleuve) ;<br />
Natacha (les Bas-Fonds) ; Paulette (Yvetot) ; Philippe (La vie…) ; Ramon (le Carrosse…) ; René (la<br />
Vie…) ; Rodolphe (Partie…) ; Rose (On Purge…) ; Tim (l’Homme…) ; Tonin (la Vie…) ; Valentine<br />
(le Crime…) ; Valérie (le Fleuve) ; Vassilia (les Bas-Fonds) ; Virginie (la Fille…)<br />
33
NOMS<br />
Batala (le Crime…) ; Boeldieu (la Gran<strong>de</strong> Illusion); Bor<strong>de</strong>nave (Nana) ; Chouilloux (On Purge…) ;<br />
Corneille (la Règle…) ; Danglard (French Cancan) ; Devers(l’Homme…) ; Guillaume(le Caporal...)<br />
; Kostilev (les Bas-Fonds) ; Madame Lanlaire (le Journal…) ; Lheureux (Bovary) ; Marceau (la<br />
Règle…) ; Maréchal (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Mufflot (Tire au Flanc) ; Pecqeux (la Bête…) ;<br />
Poulain (Partie…) ; Von Rauffenstein (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Boudu ; Pépel (les Bas-Fonds) ; Père<br />
Raynal (la Fille…) ; Rosenthal (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Roubaud (la Bête…) ; Madame Laisné<br />
(Catherine)<br />
NOMS ET PRENOMS<br />
Carl An<strong>de</strong>rsen (la Nuit…) ; Else An<strong>de</strong>rsen (la Nuit…) ; Honoré Arnaud (la Marseillaise) ;<br />
François <strong>de</strong> Baynes (le Tournoi) ; Jean-Joseph Bomier (la Marseillaise) ; Rodolphe Boulanger<br />
(Bovary) ; Charles Bovary ; Emma Bovary ; Scott Burnett (la Femme…) ; Peggy Butler (la<br />
Femme…) ; Tod Butler (la Femme…) ; Christine <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; Robert <strong>de</strong> la<br />
Chesnaye (la Règle…) ; Henri <strong>de</strong> Chevincourt (Elena) ; François Chotard ; Marie Chotard ;<br />
Reine Chotard ; Clémence Chouilloux (On Purge…) ; Julien Collinet (Chotard) ; Justin<br />
Crepoix (la Fille…) ; Jean Dubois D’Ombelles (Tire au Flanc) ; Edmond Ducasse (Chotard) ;<br />
Cyprien Dufour (Partie…) ; Henriette Dufour (Partie…) ; Juliette Dufour (Partie…) ; Hippolyte<br />
Dupieu (le Caporal...) ; Edmond Duvallier (Yvetot) ; Isabelle Duvallier (Yvetot) ; Bastien<br />
Follavoine (On Purge…) ; Julie Follavoine (On Purge…) ; Isabelle <strong>de</strong> Ginori (le Tournoi) ; Georges<br />
Hugon (Nana) ; André Jurieu (la Règle…) ; Julie Keefer (l’Etang…) ; Tom Keefer (l’Etang…) ;<br />
Maurice Laisné (Catherine) ; Georges Lambert (Vivre Libre) ; Amédé Lange (le Crime…) ;<br />
Charles Lanlaire (le Journal…) ; Georges Lanlaire (le Journal…) ; Jacques Lantier (la Bête..) ;<br />
Maurice Legrand (la Chienne) ; Emma Lestingois (Boudu) ; Edouard Lestingois (Boudu) ; Albert<br />
Lory (Vivre Libre) ; Emma Lory (Vivre Libre) ; Mabel McKenzie (l’Etang…) ; Edith<br />
Mallet (Catherine) ; Georges Mallet (Catherine) ; Geneviève <strong>de</strong> Marras (la Règle…) ; Louise<br />
Martin(Vivre Libre) ; Paul Martin (Vivre Libre) ; Ben Ragan (l’Etang…) ; Thursday<br />
Ragan (l’Etang…) ; Georges Raynal (la Fille…) ; Henri <strong>de</strong> Rogier (le Tournoi) ; Séverine<br />
Roubaud (la Bête…) ; Edouard Schumacher (la Règle…) ; Lisette Schumacher (la Règle…) ;<br />
Horace Truchet (On Purge...) ; Nona Tucker (l’Homme…) ; Sam Tucker (l’Homme…) ; Joseph<br />
Turlot (Tire au Flanc)<br />
34
STATISTIQUES SUR LES COUPLES<br />
Sur 84 couples :<br />
63 sont illégitimes<br />
soit 75%<br />
et 31 sont légitimes<br />
soit 37%<br />
Remarquons que les couples mariés sont tous malheureux ou l’un <strong>de</strong>s membres est adultère<br />
sauf peut-être Nona et Sam Tucker (l’Homme…) .<br />
Dans les couples illégitimes nous avons les non mariés mais unis mais aussi les adultères<br />
parfois l’un <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux facteurs peut même avoir plusieurs partenaires<br />
Pour Renoir un couple heureux est peut-être un couple qui change<br />
COUPLES MARIES<br />
Adèle et Maurice Legrand (la Chienne) ; Albert et Josefa (Toni) ; Anatole et Henriette (Partie…)<br />
; Boudu et Anne-Marie ; Charles et Emma Bovary ; Tod et Peggy Butler (la Femme…) ;<br />
Christine et Robert <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; François et Marie Chotard ; Reine Chotard<br />
et Julien Collinet ; Clémence et Monsieur Chouilloux (On Purge…) ; Cyprien et Juliette<br />
Dufour (Partie…) ; Edmond et Isabelle Duvallier (Yvetot) ; Emilie et Gustave (la Cireuse…) ;<br />
Emilie et Jules (la Cireuse…) ; Bastien et Julie Follavoine (On Purge…) ; Kostilev et Vassilia (les<br />
Bas-Fonds) ; Charles et Madame Lanlaire (le Journal…) ; Emma et Edouard Lestingois (Boudu) ;<br />
Louis XVI et Marie-Antoinette (la Marseillaise) ; Edith et Georges Mallet (Catherine) ; Ninette et<br />
René (la Vie…) ; Pecqueux et ses nombreuses femmes (la Bête…) ; Thursday Ragan et sa<br />
nouvelle femme (l’Etang…) ; Père et Mère Raynal (la Fille…) ; Ritou et Titine (le Déjeuner…) ;<br />
Séverine et Roubaud (la Bête…) ; Edouard et Lisette Schumacher (la Règle….) ; Toni et Marie ;<br />
Sam et Nona Tucker (l’Homme…) ; Joseph Turlot et la petite servante (Tire au Flanc) ; Jean<br />
Dubois d’Ombelles et sa femme (Tire au Flanc).<br />
COUPLES ILLEGITIMES OU NON MARIES<br />
Alexis et Nénette (le Déjeuner…) ; Carl et Else An<strong>de</strong>rsen (la Nuit…) ; André et Isabelle<br />
Duvallier (Yvetot) ; Anne-Marie et Edouard Lestingois (Boudu) ; Batala et Edith (le Crime…) ;<br />
François <strong>de</strong> Baynes et Isabelle <strong>de</strong> Ginori (le Tournoi) ; Boudu et Madame Lestingois ; Rodolphe<br />
Boulanger et Emma Bovary ; Emma Bovary et Léon ; Scott Burnett et Peggy Butler (la<br />
Femme…) ; Camilla et Félipe (le Carrosse…) ; Camilla et Ramon (le Carrosse…) ; Camilla et le<br />
Vice-Roi (le Carrosse…) ; Caporal et Erika ; Catherine et Monsieur Mallet ; Célestine et<br />
Georges Lanlaire (le Journal…) ; Robert <strong>de</strong> la Chesnaye et Geneviève <strong>de</strong> Marras (la Règle…) ;<br />
Chistine <strong>de</strong> la Chesnaye et Jurieu (la Règle…) ; Christine <strong>de</strong> la Chesnaye et Octave(la Règle…) ;<br />
Henri <strong>de</strong> Chevincourt et Eléna ; Clémence Chouilloux et Horace Truchet (On Purge…) ;<br />
Danglard et Lola (French Cancan) ; Danglard et Nini (French Cancan) ; Dédé et Lulu (la Chienne) ;<br />
Henriette et Henri (Partie…) ; Juliette Dufour et Rodolphe (Partie…) ; Eléna et le Général<br />
Rollan ; Elsa et Maréchal (la Gran<strong>de</strong> Illusion) ; Estelle et Batala (le Crime…) ; Eve et Scott<br />
Burnett (la Femme…) ; Isabelle <strong>de</strong> Ginori et Henri <strong>de</strong> Rogier (le Tournoi) ; Nana et Georges<br />
Hugon ; l’Inspecteur et Natacha (les Bas-Fonds) ; Capitaine John et Valérie (le Fleuve) ; Joseph<br />
et Madame Lanlaire (le Journal…) ; Julie Keefer et Ben Ragan (l’Etang…) ; Catherine et<br />
Maurice Laisné ; Georges Lambert et Louise Martin (Vivre Libre) ; Amédé Lange et<br />
35
Valentine ; Jacques Lantier et Séverine (la Bête…) ; Maurice Legrand et Lulu (la Chienne)<br />
; Albert Lory et Louise Martin (Vivre Libre) ; Mabel McKenzie et Ben Ragan (l’Etang…) ;<br />
Marceau et Lisette Schumacher (la Règle…) ; Marie-Charlotte et Etienne Alexis (le Déjeuner…) ;<br />
Nana et le Comte Muffat ; Natacha et Pépel (les Bas-Fonds) ; Nini et Danglard (French Cancan) ;<br />
Paulo et Nini (French Cancan) ; Pépel et Vassilia (les Bas-Fonds) ; Nana et le Comte <strong>de</strong><br />
Van<strong>de</strong>uvres ; Virginie et Georges Raynal (la Fille…) ; Pecqueux (la Bête…)<br />
COUPLES MARIES SANS ENFANTS<br />
Adèle et Maurice Legrand (la Chienne) ; Anatole et Henriette (Partie…) ; Boudu et Anne-Marie ;<br />
Peggy et Tod Butler (la Femme…) ; Robert et Christine <strong>de</strong> la Chesnaye (la Règle…) ; Reine<br />
Chotard et Julien Collinet ; Chouilloux et Clémence Chouilloux (On Purge…) ; Edmond et<br />
Isabelle Duvallier (Yvetot) ; Emilie et Gustave (la Cireuse…) ; Emilie et Jules (la Cireuse…) ;<br />
Kostilev et Vassilia (les Bas-Fonds) ; Emma et Edouard Lestingois (Boudu) ; Georges et Edith<br />
Mallet (Catherine) ; Ninette et René (la Vie…) ; Roubaud et Séverine (la Bête…) ; Schumacher et<br />
Lisette (la Règle…) ; Toni et Marie ; Joseph Turlot (Tire au Flanc) ; Jean Dubois d’ombelles (Tire<br />
au Flanc)<br />
Remarquons que mis à part Joseph Turlot et Jean Dubois d’ombelles qui se marient en fin <strong>de</strong><br />
film donc la suite logique sera les enfants, les autres couples sont tous <strong>de</strong>s couples à<br />
problèmes : ne s’enten<strong>de</strong>nt pas ou se trompent.<br />
36
STATISTIQUES COUPLES SANS ENFANTS<br />
Sur 31 couples mariés :<br />
19 n’ont pas d’enfants<br />
soit 61%<br />
D’ailleurs dans toute l’œuvre <strong>de</strong> Renoir il n’est pas ou peu question d’enfant jeune. Dans le<br />
Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange ,Renoir va même jusqu’à faire dire à Valentine, l’un <strong>de</strong> ses<br />
personnages : « Enceinte c’est tout <strong>de</strong> même moins grave qu’une jambe cassée »<br />
A part Toto (On Purge…) , Bogey (le Fleuve) et les petits pantins <strong>de</strong> la Comedia <strong>de</strong>ll’arte (le<br />
Carrosse…) il n’en est pas question sauf dans le dialogue entre Christine et Lisette (la Règle…)<br />
Celles qui ont <strong>de</strong>s enfants sont en général <strong>de</strong> mauvaise mère (cf partie sur les femmes).<br />
37
Bibliographie<br />
38
Ouvrages sur Jean Renoir et ses films<br />
L’Amour du cinéma<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac, éd. Albin Michel, Paris, 1954, 336 p<br />
dont chapitre 5 consacré à Jean Renoir, p.86 à 105<br />
Jean Renoir<br />
d’Armand-Jean Cauliez, éd. Universitaires, Paris, 1962, 189 p.<br />
Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Pierre Leprohon, éd. Cinéma d’aujourd’hui, Seghers, Paris, 1967, 188 p.<br />
Renoir 1938 ou Renoir pour rien ?<br />
<strong>de</strong> François Poulle, éd. du Cerf, Paris, 1969, 170 p.<br />
Jean Renoir la double méprise<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. Les Editeurs français réunis, Paris, 1980, 150 p.<br />
Jean Renoir l’insurgé<br />
<strong>de</strong> Daniel Serceau, éd. Le Sycomore, Paris, 1981, 266 p.<br />
Jean Renoir, la sagesse du plaisir<br />
<strong>de</strong> Daniel Serceau, éd. du Cerf, coll. Septième art, Paris, 1985, 448 p.<br />
Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Celia Bertin, éd. du Rocher, Paris, 2005, 482 p.<br />
Entretiens et propos<br />
propos recueillis par Jacques Rivette, éd. Ramsay, Paris, 1986, 165 p.<br />
Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Pierre Haffner, éd. Mirages/cinéma, Paris, 1987, 159 p.<br />
Jean Renoir<br />
d’André Bazin, éd. Gérard Lebovici, Paris, 1989, 285 p.<br />
Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Maurice Bessy et Clau<strong>de</strong> Beylie, éd. Pygmalion, Paris, 1989, 319 p.<br />
Films/textes/références : Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, éd. Presses universitaires, Nancy, 1989, 133 p.<br />
Jean Renoir : La Marseillaise<br />
Textes inédits présents par Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. CNC, Paris, 1989, 70 p. Cette édition limitée<br />
à 1000 exemplaires hors commerce a été offerte à Monsieur Viry-Babel par le CNC à<br />
l’occasion <strong>de</strong> l’ouverture <strong>de</strong> l’année du Bicentenaire <strong>de</strong> la Révolution Française et <strong>de</strong> la<br />
Déclaration <strong>de</strong>s Droits <strong>de</strong> l’Homme.<br />
39
Jean Renoir, l’eau et la terre<br />
<strong>de</strong> Franck Curot, étu<strong>de</strong>s cinématographiques 170-178, éd. Lettres mo<strong>de</strong>rnes Minard, Paris,<br />
1990.<br />
Jean Renoir : La Règle du jeu<br />
<strong>de</strong> Pierre Guislain, éd. Hatier image par image, Paris, 1990, 192 p<br />
La Règle du jeu<br />
<strong>de</strong> Francis Vanoye, éd. Nathan synopsis, Paris, 1992, 126 p.<br />
Jean Renoir, cinéaste<br />
<strong>de</strong> Célia Bertin, éd. Découvertes Gallimard, Paris, 1994, 144 p<br />
Jean Renoir, le désir du mon<strong>de</strong><br />
<strong>de</strong> Guy Cavagnac, éd. Société <strong>de</strong>s découvertes, Paris, 1994, 159 p.<br />
La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
d’Olivier Curchod, éd. Nathan synopsis, Paris, 1994, 128 p.<br />
Le Jeu et la règle<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, éd. Ramsay poche cinéma, Paris, 1994, 191 p.<br />
Partie <strong>de</strong> campagne<br />
synopsis d’Olivier Curchod, éd. Nathan, Paris, 1995, 127 p.<br />
La Règle du jeu : scénario original <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
d’Olivier Curchod et Christopher Faulkner, éd. Nathan cinéma, Paris, 1999, 381 p.<br />
Cahiers Jean Renoir : Renoir en France n° 1<br />
sous la direction <strong>de</strong> Franck Curot, centre d’étu<strong>de</strong> du 20eme siècle, publication <strong>de</strong> l’université<br />
Paul-Valery, Montpellier III, 1999, 331 p.<br />
Jean Renoir, une vie en oeuvres<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, éd. Grasset, Paris, 2005, 464 p.<br />
40
Ouvrages <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Les Ecrits 1926-1971<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd Belfond les bâtisseurs du 20eme siècle, Paris, 1974, 309 p.<br />
Le Passé vivant<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Cahiers du cinéma, Paris,1989, 126 p.<br />
Ma vie et mes films<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1987, 279 p.<br />
La Règle du jeu<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Livre <strong>de</strong> poche bac 2000, Paris, 1999, 284 p.<br />
Pierre Auguste Renoir, mon père<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Gallimard, Paris, 1959, 506 p.<br />
Les Lettres d’Amérique<br />
Recueils <strong>de</strong> lettres <strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Presses <strong>de</strong> la renaissance, Paris, 1984, 358 p.<br />
Correspondances 1913-1978<br />
Recueils <strong>de</strong> lettres <strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Plon, Paris, 1998, 578 p.<br />
41
Romans <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Les Cahiers du capitaine Georges<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Folio Gallimard, Paris, 1966, 318 p.<br />
Le Cœur à l’aise<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1978, 195 p.<br />
Julienne et son amour / en avant Rosalie<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Henri Veyrier, Paris, 1978, 180 p.<br />
Le Crime <strong>de</strong> l’Anglais<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1979, 144 p.<br />
Geneviève<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, éd. Flammarion, Paris, 1979, 95 p.<br />
42
Autour <strong>de</strong> Renoir<br />
Le Film <strong>de</strong> ma vie<br />
<strong>de</strong> René Lefèvre, éd. Gallimard, Paris, 1937, 220 p.<br />
Eric Von Stroheim<br />
<strong>de</strong> Freddy Buache, éd. Seghers, collection cinéma d’aujourd’hui, Paris, 1972, 176 p.<br />
Souvenirs pour <strong>de</strong>main<br />
<strong>de</strong> Jean-Louis Barrault, éd. Seuil, Paris, 1972, 384 p.<br />
Raconte pas ta vie<br />
<strong>de</strong> Marcel Duhamel, éd. Mercure <strong>de</strong> France, Paris, 1973, 621 p.<br />
Dix ans avec Louis Jouvet<br />
<strong>de</strong> Leo Lapara, éd. France-Empire, Paris, 1975, 316 p.<br />
Histoires <strong>de</strong> ma vie<br />
<strong>de</strong> Jean Marais, éd. Albin Michel, Paris, 1975, 315 p.<br />
Dialogues égoïstes<br />
<strong>de</strong> Michel Piccoli, éd. Olivier Orban, Paris, 1976, 272 p.<br />
Gabin<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur et André Bernard, éd. PAC, collection Têtes d’Affiche, Paris, 1976, 240 p.<br />
Charles Spaak, mon mari<br />
<strong>de</strong> Janine Spaak, éd. France-Empire, Paris, 1977, 288 p.<br />
Jean Gabin<br />
<strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Missiaen et Jacques Siclier, éd. Henri Veyrier, Paris, 1977, 262 p.<br />
728 jours avec Michel Simon<br />
<strong>de</strong> Jeanne Carré, éd. France-Empire, Paris, 1978, 307 p.<br />
Les éperons <strong>de</strong> la liberté<br />
<strong>de</strong> Paul Meurisse, éd. Robert Laffont, Paris, 1979, 288 p.<br />
Les Derniers trombones<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Dauphin, éd. Jean-Clau<strong>de</strong> Simoën, Paris, 1979, 190 p.<br />
Ingrid Bergman, ma vie<br />
d’Ingrid Bergman et Alan Burgess, éd. Fayard, Paris, 1980, 598 p.<br />
Le Temps dévoré<br />
<strong>de</strong> Denise Tual, éd. Fayard, Paris, 1980, 305 p.<br />
Fernan<strong>de</strong>l<br />
<strong>de</strong> Jean Jelot-Blanc, éd. Alain Lefèvre, Paris, 1981, 255 p.<br />
43
Jujube<br />
<strong>de</strong> Juliette Gréco, éd. Stock, Paris, 1982, 253 p.<br />
André Bazin<br />
<strong>de</strong> Dudley Andrews, éd. <strong>de</strong> l’étoile, Paris, 1983, 235 p.<br />
Saisir le présent<br />
<strong>de</strong> Jean-Louis Barrault, éd. Robert Laffont, Paris, 1984, 233 p.<br />
La Rage dans le cœur<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara, éd. Veyrier, Paris, 1984, 624 p.<br />
Eric Von Stroheim<br />
<strong>de</strong> Maurice Bessy, éd. Pygmalion/Gérard Watelet, Paris, 1984, 207 p.<br />
Robert Le Vigan le mal aimé du cinéma<br />
<strong>de</strong> Hervé Le Boterf, éd. France-Empire, Paris, 1986, 250 p.<br />
Ingrid Bergman, le mythe et la vie<br />
<strong>de</strong> Laurence Leamer, éd. Perrin, collection Terres <strong>de</strong>s Femmes, Paris, 1986, 332 p.<br />
Cinémamémoires<br />
<strong>de</strong> Pierre Braunberger, éd. Centre National Georges Pompidou, Paris, 1987, 263 p.<br />
Les fourgons du malheur : mes années avec Jacques Prévert<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara, éd. Carrère, Paris, 1987, 551 p.<br />
Gabin<br />
d’André Brunelin, éd. Robert Laffont, Paris, 1987, 632 p.<br />
En marge du cinéma français<br />
<strong>de</strong> Jacques B.Brunius, éd. L’Age d’homme, Paris, 1987, 148 p.<br />
Michel Simon<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. Edilig, Paris, 1987, 172 p.<br />
Jules Berry, le joueur<br />
<strong>de</strong> Henri Marc, éd. France empire, Paris, 1988, 173 p.<br />
Le Cinéma français : <strong>de</strong> Renoir à Godard<br />
<strong>de</strong> Pierre Maillot, éd. MA, Paris, 1988, 326 p.<br />
Michel Simon ou le roman d’un jouisseur<br />
<strong>de</strong> Jean-Marc Loubier, éd. Ramsay cinéma, Paris, 1989, 452 p.<br />
On ne danse plus la java chez Bébert<br />
d’Andrex, éd. Presses <strong>de</strong> la Renaissance, Paris, 1989, 334 p.<br />
Simenon au cinéma<br />
textes réunis par Clau<strong>de</strong> Gauteur, éd. Hatier, Paris, 1991, 127 p.<br />
C’est court, la vie<br />
<strong>de</strong> Paulette Dubost, éd. Flammarion, Paris, 1992, 232 p.<br />
44
Jean Gabin, anatomie d’un mythe<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur et Ginette Vincen<strong>de</strong>au, éd. Nathan université, Paris, 1993, 255 p.<br />
Animal doué <strong>de</strong> bonheur<br />
<strong>de</strong> Françoise Arnoul et Jean-Louis Mingalon, éd. Belfond, Paris, 1995, 246 p.<br />
Ingrid Bergman<br />
<strong>de</strong> Donald Spoto, éd. Presses <strong>de</strong> la Cité, Paris, 1997, 456 p.<br />
Pierre Brasseur l’éternel milliardaire<br />
<strong>de</strong> Jean-Marc Loubier, éd. Bartillot, Paris, 1997, 330 p.<br />
Jacques Prévert inventaire d’une vie<br />
<strong>de</strong> Bernard Chardère, éd. Gallimard, collection Découvertes, Paris, 1997, 128 p.<br />
Célébrités d’Essoyes : le village qui a conquis Renoir<br />
<strong>de</strong> Bernard Pharisien, éd. Nemont éditeur, Paris, 1998<br />
Je suis le badaud <strong>de</strong> moi-même<br />
<strong>de</strong> Jean Carmet, éd. Plon, Paris, 1999, 222 p.<br />
Jean-Louis Barrault, le théâtre total<br />
<strong>de</strong> Paul-Louis Mignon, éd. Du Rocher, Paris, 1999, 363 p.<br />
Jean Marais, l’enfant terrible<br />
<strong>de</strong> Henry-Jean Servat, éd. Albin Michel, Paris, 1999, 98 p.<br />
Jacques Prévert<br />
d’Yves Courrière, éd. Gallimard, Paris, 2000, 719 p.<br />
Le Cinéma <strong>de</strong>s années 30 par ceux qui l’ont fait<br />
<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 246 p., tome 1 : les début du parlant 1929-<br />
1934.<br />
Le cinéma <strong>de</strong>s années 30 par ceux qui l’ont fait<br />
<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 209 p., tome 2 : l’après-guerre 1935-1939.<br />
Le cinéma <strong>de</strong>s années 40 par ceux qui l’ont fait<br />
<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 197 p., tome 3 : le cinéma <strong>de</strong> l’occupation 1940-<br />
1944.<br />
Le cinéma <strong>de</strong>s années 40 par ceux qui l’ont fait<br />
<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 244 p., tome 4 : le cinéma d’après-guerre 1945-<br />
1950..<br />
Le cinéma <strong>de</strong>s années 50 par ceux qui l’ont fait<br />
<strong>de</strong> Christian Gilles, éd. L’Harmattan, Paris, 2000, 273 p., tome 5 : la qualité française 1953-<br />
1957.<br />
Portraits sans retouches : 1945-1955<br />
<strong>de</strong> Françoise Giroud, éd. Folio Gallimard, Paris, 2001, 427 p.<br />
45
Ce semblant <strong>de</strong> journal<br />
<strong>de</strong> Jean Carmet, éd. Plon, Paris, 2001, 238 p.<br />
Jacques Becker<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Naumann, Collection Ciné-Regards, éd. Bifi/Durante, Paris, 2001, 253 p.<br />
Le cinéma <strong>de</strong> Jacques Prévert<br />
<strong>de</strong> Bernard Chardère, éd. Le Castor astral, Paris, 2001, 397 p.<br />
La véritable Ingrid Bergman<br />
<strong>de</strong> Bertrand Meyer-Stabley, éd. Pygmalion, Paris, 2002, 375 p.<br />
Mémoires d’une fripouille<br />
<strong>de</strong> Georges San<strong>de</strong>rs, éd. P.U.F., Paris, 2004, 362 p.<br />
A mes amours<br />
<strong>de</strong> Jean-Pierre Cassel, éd. Stock, Paris, 2004, 287 p.<br />
46
Romans, pièces <strong>de</strong> théâtre et scénarii<br />
originaux autour <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Docteur Jekyll et Mister Hy<strong>de</strong><br />
<strong>de</strong> R.L. Stevenson, éd. La Bruyère, Paris, 1951, 155 p.<br />
Le Caporal épinglé<br />
<strong>de</strong> Jacques Perret, éd. Gallimard, Paris, 1960, 506 p.<br />
Terres <strong>de</strong>s hommes<br />
d’Antoine <strong>de</strong> Saint-Exupéry, éd. Gallimard, Paris, 1963, 243 p.<br />
La Nuit du carrefour<br />
<strong>de</strong> Georges Simenon, éd. Pocket, Paris, 1976, 184 p.<br />
Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre<br />
d’Octave Mirbeau, éd. Pocket, Paris, 1982, 311 p.<br />
Le Fleuve<br />
<strong>de</strong> Rumer God<strong>de</strong>n, éd. Albin Michel, Paris, 1989, 194 p.<br />
Comme il vous plaira<br />
<strong>de</strong> William Shakespeare, éd. Actes-Sud, Paris, 1990, 87 p<br />
Les Contes<br />
d’Hans Christian An<strong>de</strong>rsen, éd. Gallimard, Paris, 1992, 476 p.<br />
Nana<br />
d’Emile Zola, éd. Les classiques français, Paris, 1993, 413 p.<br />
Madame Bovary<br />
<strong>de</strong> Gustave Flaubert, éd. Les classiques français, Paris, 1993, 351 p.<br />
Les Caprices <strong>de</strong> Marianne<br />
d’Alfred <strong>de</strong> Musset, éd. Librio Flammarion, Paris, 1994, 95 p.<br />
Une Partie <strong>de</strong> campagne<br />
<strong>de</strong> Guy <strong>de</strong> Maupassant, éd. Librio Flammarion, Paris, 1994, 95 p.<br />
La Bête humaine<br />
d’Emile Zola, éd. les classiques français, Paris, 1995, 347 p.<br />
On purge bébé<br />
<strong>de</strong> Georges Fey<strong>de</strong>au, éd. Les classiques français, Paris, 1995, 153 p.<br />
Les Bas-fonds<br />
<strong>de</strong> Maxime Gorki, éd. L’Arche, Paris, 1995, 96 p.<br />
Le Carrosse du Saint Sacrement<br />
<strong>de</strong> Prosper Merimée, éd. Mercure <strong>de</strong> France, Paris, 1998, 59 p.<br />
47
La Mariage <strong>de</strong> Figaro<br />
<strong>de</strong> Beaumarchais, éd. Librairie générale française, Paris, 1999, 240 p.<br />
48
Périodiques cinématographiques<br />
Amis du Film et <strong>de</strong> la Télévision<br />
Mensuel.<br />
Crée par Jean <strong>de</strong> Bongnie, Amis du Film et <strong>de</strong> la Télévision est un magazine mensuel d’informations<br />
accordant autant d’importance aux <strong>de</strong>ux médias que sont le cinéma et la télévision auxquels s’ajoutera une<br />
rubrique « chanson ». C’est l’organe <strong>de</strong> presse du Centre Catholique Cinématographique (CCAC) : « chargé<br />
<strong>de</strong> promouvoir et <strong>de</strong> coordonner toutes les initiatives catholiques dans le domaine du film »<br />
(numéro 137, octobre 1967, p. 50).<br />
n° 116, janvier 1966, article <strong>de</strong> « Happy Feet » : Clau<strong>de</strong> Rich, p. 13.<br />
n° 117, février 1966, article Jean Damas : le film du mois à la télévision : le Déjeuner sur l’Herbe, pp.<br />
39-40.<br />
n° 149, octobre 1968, article <strong>de</strong> « Happy Feet » : Michel Simon, p. 11.<br />
Anthologie du cinéma<br />
Mensuel puis bimestriel. Changement <strong>de</strong> format à partir du numéro 91.<br />
Supplément <strong>de</strong> la prestigieuse revue l’Avant-Scène du Cinéma, dont sa spécificité ne souffre aucune<br />
équivalence en France et à l’étranger. Ensemble clos <strong>de</strong> 110 fascicules reliés en 11 tomes indépendants publiés<br />
<strong>de</strong> 1965 à 1983, cette collection unique <strong>de</strong> monographies trouve son originalité dans le fait d’avoir consacré<br />
chacun <strong>de</strong> ses numéros à un réalisateur ou un acteur dont l’œuvre est décrite et analysée par <strong>de</strong>s spécialistes<br />
(Maurice Bessy, Jean Mitry, Raymond Chirat, Henri Agel et Clau<strong>de</strong> Beylie).<br />
n° 44, avril 1969, article <strong>de</strong> Roger Régent : Louis Jouvet, pp. 161 à 216.<br />
n° 68, mai-juin 1972, article d’Oliver Barrot : Jules Berry, pp. 409 à 456.<br />
n° 90, octobre 1976, article <strong>de</strong> Henri Agel : Pierre Fresnay, pp. 481 à 536.<br />
Archives<br />
Bimestriel irrégulier.<br />
Un constat d’échec en matière <strong>de</strong> recherche cinématographique sert d’éditorial au premier numéro <strong>de</strong> la revue<br />
Archive, publication <strong>de</strong>s Cahiers <strong>de</strong> la Cinémathèque. Si le premier fascicule est un outil <strong>de</strong> référence, les<br />
<strong>de</strong>ux suivants qui serviront <strong>de</strong> revue <strong>de</strong> presse au festival Confrontation sont considérés comme un<br />
« supplément gratuit réservé aux abonnés <strong>de</strong>s Cahiers <strong>de</strong> la Cinémathèque ». La publication<br />
prend son véritable envol à partir du numéro 5 (changement <strong>de</strong> format à partir <strong>de</strong> ce numéro). Archives<br />
s’i<strong>de</strong>ntifie à <strong>de</strong>s dossiers-documents au service <strong>de</strong> l’histoire <strong>de</strong>s premiers temps du cinéma et s’applique à<br />
redécouvrir les aspects déterminants du muet notamment à travers quelques personnalités connues ou méconnues,<br />
leurs œuvres et quelques mouvements ou événements qui ont fait date sans oublier la technique.<br />
n° 34-35, octobre-novembre 1990, dossier établi par Pierre Guérin, numéro exclusivement<br />
dédiée à Nadia Sibirskaïa<br />
n° 70, février 1997, article <strong>de</strong> Franck Priot : La Gran<strong>de</strong> illusion, histoire du film en 10 chapitres, pp. 3<br />
à 13.<br />
et article <strong>de</strong> Guy Cavagnac : sur <strong>de</strong>ux plans <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 14 à 20.<br />
article <strong>de</strong> Raymond Bor<strong>de</strong> : La Gran<strong>de</strong> illusion retrouvée, p. 21<br />
49
article <strong>de</strong> Jacques Choukroun : A propos du premier projet <strong>de</strong> production <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong><br />
illusion, pp. 24 à 26.<br />
article <strong>de</strong> Michelle Aubert : La Gran<strong>de</strong> illusion, histoire d’une restauration, pp. 27-28.<br />
Arts<br />
Hebdomadaire.<br />
Héritière <strong>de</strong> la Gazette <strong>de</strong>s Beaux-Arts (née en 1859), la revue Arts, fondée à la Libération s’impose<br />
comme une tribune majeure <strong>de</strong> l’activité artistique, culturelle et intellectuelle <strong>de</strong> l’après-guerre. Délibérément<br />
apolitique, à la fois journal d’information sur l’actualité <strong>de</strong>s spectacles et lieu <strong>de</strong> débat, elle ouvre ses colonnes<br />
aux grands noms <strong>de</strong> la littérature, <strong>de</strong> l’histoire <strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong>s différentes disciplines scientifiques. Le cinéma y<br />
tient sa place dès l’origine, mais sa gran<strong>de</strong> pério<strong>de</strong> sera celle <strong>de</strong>s ténors <strong>de</strong> la Nouvelle Vague.<br />
n° 496, 29 décembre 1954, article <strong>de</strong> François Truffaut : Le Carrosse d’or, p. 3.<br />
n° 572, 13 juin 1956, article <strong>de</strong> François.Truffaut. : Toni <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 5.<br />
n° 583, 19 septembre 1956, article d’Eric Rohmer : Eléna et les hommes, p. 5.<br />
n° 1002, 21 avril 1965, article <strong>de</strong> Paul Gilles : La Règle du jeu : un chef-d’œuvre restauré, p.4.<br />
L’Avant-Scène Cinéma<br />
Mensuel puis bimensuel (<strong>de</strong> 1976 à 1983).<br />
Prestigieuse publication ayant obtenu au Festival <strong>de</strong> Venise une « plaquette Lion <strong>de</strong> Saint-Marc », la plus haute<br />
récompense décernée à un périodique par le Jury <strong>de</strong> la Xeme Exposition Internationale du Livre et du Périodique<br />
Cinématographique, l’Avant-Scène Cinéma doit son succès au parti pris <strong>de</strong> présenter <strong>de</strong>s films sous forme <strong>de</strong><br />
découpages intégraux avec les dialogues complets. L’Avant-Scène Cinéma a également publié un<br />
supplément, l’Anthologie du Cinéma, série <strong>de</strong> 110 monographies d’acteurs ou <strong>de</strong> réalisateurs sous forme <strong>de</strong><br />
fascicules reliés. A noter le premier contact avec la télévision en février 1983 (n° 301) et le découpage d’un<br />
téléfilm : l ‘homme qui aimait <strong>de</strong>ux femmes.<br />
n° 6, 15 juillet 1961, découpage du film : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier.<br />
n° 21, 15 décembre 1962, découpage du film : Partie <strong>de</strong> campagne.<br />
n° 44, 1 er janvier 1965, découpage du film : La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />
n° 52, 1 er octobre 1965, découpage du film : La Règle du jeu.<br />
n° 99, janvier 1970, découpage du film : La Vie est à nous.<br />
n° 162, octobre 1975, découpage du film : La Chienne<br />
n° 215, 1 er novembre 1978, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : in memorian Robert Le Vigan, pp. 23 à 40<br />
dont témoignage <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 33.<br />
n° 223, 1 er mars 1979, article d’auteur inconnu : nécrologie, p. 7<br />
n° 237, 1 er décembre 1979, article d’auteur inconnu : un séminaire <strong>de</strong> Jean Renoir à Florence, p. 57.<br />
n° 243, 1 er mars 1980, dossier <strong>de</strong> Thierry Génin : Robert Ryan, p. 25 à 35, dont article sur La<br />
Femme sur la plage, p. 28<br />
n° 251-252, juillet 1980, spécial Jean Renoir<br />
n° 383-384, juillet-août 1989, découpage du film : La Marseillaise.<br />
n° 544, septembre 2005 : French Cancan (découpage du film pp. 27 à 79)<br />
et article <strong>de</strong> Michel Boujot : la complainte <strong>de</strong> butte, p. 1<br />
article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : un cinéaste insaisissable, pp. 2 à 6<br />
article d’auteurs divers : éloges <strong>de</strong> French Cancan, pp.7 à 12<br />
article d’Yves Alion : entretien avec Françoise Arnoul, pp. 13 à 16<br />
article d’Isabelle Singer : la représentation théâtrale chez Renoir, pp. 16 à 20<br />
article <strong>de</strong> Laurent Aknin : Jean Gabin comédien, pp. 24 à 26<br />
50
L’Avant-Scène Théâtre<br />
n° 597, 1 er novembre 1976 : découpage <strong>de</strong> la pièce : Carola.<br />
Les Cahiers <strong>de</strong> la Cinémathèque<br />
Trimestriel, irrégulier<br />
Histoire scientifique et critique historique restent les motivations premières à l’origine <strong>de</strong> la fondation <strong>de</strong> cette<br />
incontournable et prestigieuse revue d’histoire du cinéma comme le rappelle Marcel Oms dans l’éditorial du<br />
premier numéro : « Nous voulons appréhen<strong>de</strong>r le cinéma sous tous les angles, soucieux d’écrire<br />
l’Histoire et d’écrire pour l’Histoire… »<br />
Cette volumineuse publication consacre chaque numéro à une problématique <strong>de</strong> l’histoire du cinéma tout en<br />
réhabilitant <strong>de</strong>s figures connues ou méconnues du septième art.<br />
n° 18-19, printemps 1976, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 37<br />
à 63<br />
n° 50, article : La petite bourgeoisie dans le cinéma français<br />
article <strong>de</strong> José Baldizzone et Francis Desbarats : L’âge d’or <strong>de</strong> la petite bourgeoise,<br />
pp.5 à 10 (dont la Bête Humaine, p. 9 et Boudu, pp. 6 à 9).<br />
article <strong>de</strong> Samuel Lachize : Paris, réceptacle <strong>de</strong> la petite bourgeoisie, pp. 11 à 16 (dont<br />
La Nuit du carrefour, p. 14, French Cancan, p. 16 et La Marseillaise, p. 16).<br />
article <strong>de</strong> Francis Desbarats : le Cinéma français et la question <strong>de</strong> la petite bourgeoisie,<br />
quelles distances, quels consensus ? pp. 29 à 47 (dont Boudu, pp. 29-30-37-40 et La Bête humaine, pp.<br />
31-34-37-43).<br />
article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>tte Peyrusse : Notes sur le petit bourgeois méridional, pp. 48 à 52<br />
(dont Chotard, p. 49, La Marseillaise, p. 51 et Toni, p. 51).<br />
article <strong>de</strong> Pascla Ory : Présence paradoxale <strong>de</strong> la petite bourgeoisie dans l’œuvre <strong>de</strong> Jean<br />
Grémillon, pp. 57 à 61 (dont Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange, p. 61).<br />
article <strong>de</strong> Marcel Oms : Monsieur Coccinelle <strong>de</strong> Bernard-Deschamps, pp. 63 à 66<br />
(dont La Bête humaine, p. 66).<br />
article <strong>de</strong> Beate Rabbe : Une ascension vers la mort, Corps à cœur, pp. 73 à 77 (dont<br />
Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, pp. 73-76 et La Règle du jeu, p. 76).<br />
article <strong>de</strong> Jean-Louis Olive : De Jacques Fey<strong>de</strong>r à Etienne Chatiliez, aperçus sur une<br />
« middle class » à la française, pp. 79 à 87 (dont La Bête humaine, p. 80 et Boudu, p. 80).<br />
Cahiers du cinéma (les)<br />
Mensuel.<br />
Considérés comme une <strong>de</strong>s revues <strong>de</strong> référence dans les milieux cinéphiles, Les Cahiers du Cinéma sous leur<br />
fameuse couverture jaune, sont fondés en avril 1951 par un noyau <strong>de</strong> critiques, Lo Duca, André Bazin et<br />
Jacques Doniol-Valcroze avec le soutien financier <strong>de</strong> Léoni<strong>de</strong> Keigel (1904-1957). Durant les premières<br />
années, la revue suit une ligne éditoriale sans gran<strong>de</strong> modification où l’analyse <strong>de</strong>s films occupe le <strong>de</strong>vant <strong>de</strong> la<br />
scène, sous la plume <strong>de</strong> Lo Duca, Bazin, Doniol-Valcroze, bientôt rejoints par les « Jeunes Turcs » <strong>de</strong> la<br />
critique que sont Truffaut, Rivette, Chabrol et Rohmer.<br />
Quelques numéros spéciaux consacrés à différents sujets émailleront le caractère pertinent <strong>de</strong> la diversité.<br />
On retiendra parmi les orientations et modifications qui ponctueront la vie <strong>de</strong>s Cahiers, les dates suivantes :<br />
1963 : nouvelle direction rédactionnelle à partir <strong>de</strong> juillet 1963 avec notamment : Douchet, Godard, Kast,<br />
Labarthe et Moullet.<br />
1964/1967 : changement <strong>de</strong> format, <strong>de</strong> couverture, <strong>de</strong> mise en page et <strong>de</strong> caractères d’imprimerie avec le<br />
numéro 160 (novembre 1964) puis en septembre1972 avec le numéro 241 (abandon <strong>de</strong> l’illustration <strong>de</strong><br />
couverture, sobriété <strong>de</strong> la mise en page). Une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> crise idéologique et financière succé<strong>de</strong>ra.<br />
51
1978/1989 : nouveaux changements conséquents à partir <strong>de</strong> février 1978 avec le numéro 285 et à partir <strong>de</strong><br />
novembre 1989 (numéro 425) couverture et maquette refondées.<br />
n° 6, octobre-novembre 1951, article <strong>de</strong> Lo Duca : Venise ou le cinéma au fil <strong>de</strong> l’eau, pp. 35-36<br />
n° 8, janvier 1952, article <strong>de</strong> Jean Renoir : On me <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, pp. 5 à 8.<br />
et article d’André Bazin : Renoir français, pp. 9 à 29.<br />
article <strong>de</strong> Jean Renoir : Quelque chose m’est arrivé, pp. 31-32.<br />
article <strong>de</strong> Maurice Scherer : Renoir américain, pp. 33 à 40.<br />
article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Renoir : Problèmes d’opérateur ou écrire pour ne rien dire, pp. 41 à<br />
43.<br />
article <strong>de</strong> Michel Mayoux : Renoir parmi nous, pp. 44 à 47<br />
article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : entretien avec Jean Renoir, pp. 48 à 52.<br />
article <strong>de</strong> Maurice Scherer : La robe bleue d’Harriet (Le Fleuve), pp. 62 à 64<br />
n° 78, Noël 1957, numéro exclusivement dédié à Jean Renoir<br />
n° 21, mars 1953, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : Camilla, pp. 44 à 46<br />
n° 26, août-septembre 1953, article <strong>de</strong> Maurice Scherer : De trois films et d’une certaine école, pp.<br />
18 à 25<br />
n° 31, janvier 1954, article <strong>de</strong> François Truffaut : Une certaine tendance du cinéma français, pp. 15 à<br />
28.<br />
n° 34, avril 1954, article <strong>de</strong> Jacques Rivette et François Truffaut : Entretien avec Jean Renoir,<br />
pp.3 à 22<br />
n° 35, mai 1954, article <strong>de</strong> Jacques Rivette et François Truffaut : Entretien avec Jean Renoir fin,<br />
pp. 14 à 30<br />
n° 38, août-septembre 1954, article <strong>de</strong> Louis Mollion : Mes rêves, pp. 1 à 9<br />
et article <strong>de</strong> Phillipe Demonsablon : A propos du Carrosse d’or, pp. 16 à 19<br />
n° 41, décembre 1954, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : Petit journal intime du cinéma, p. 16<br />
n° 42, décembre 1954, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze et François Truffaut (enquête sur la<br />
censure et l’érotisme) : Jean Renoir, le public a horreur <strong>de</strong> ça, pp. 48-49<br />
n° 43, janvier 1955, article <strong>de</strong> Pierre Kast : Petit journal intime du cinéma, p. 38<br />
n° 54, Noël 1955, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Enquête sur Hollywood, p.79<br />
n° 60, 1956, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Toni et le classicisme, pp. 1 à 3<br />
n° 47, mai 1955, article d’André Bazin : Portrait d’Auguste Renoir (French Cancan), pp. 35 à 38<br />
n° 48, juin 1955, articles d’André Bazin, Jacques Doniol-Valcroze, Clau<strong>de</strong> Chabrol et Jean-<br />
José Richer : Ephéméri<strong>de</strong> cannois (French Cancan), pp. 15-16<br />
n° 58, avril 1956, article <strong>de</strong> François Truffaut : La photo du mois (Eléna et les hommes), p. 32<br />
n° 62, août-septembre 1956, article d’André Bazin : Le petit journal du cinéma : un préjugé qui me<br />
coûtait cher (Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre), pp. 35-36<br />
n° 64, novembre 1956, article d’Eric Rohmer : Les singes et Venus (Eléna et les hommes), pp. 37<br />
à 40<br />
n° 66, Noël 1956, article <strong>de</strong> Louis Marcorelles : Jean Renoir acteur, p. 54<br />
n° 67, janvier 1957, article <strong>de</strong> Charles Bitsch : La Fille <strong>de</strong> l’eau, p. 33<br />
n° 71, mai 1957, fiche sur Jean Renoir dans la partie : Soixante metteurs-en-scène français rédigés par<br />
l’équipe <strong>de</strong>s Cahiers du Cinéma, p. 62<br />
n° 73, juillet 1957, article <strong>de</strong> Charles Bitsch : Eléna et les imbéciles, p. 30<br />
n° 76, novembre 1957, article d’André Bazin : Le Grand couteau, p. 40<br />
n° 78, Noël 1957, numéro exclusivement dédié à Jean Renoir<br />
n° 80, février 1958, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Renoir le constructeur, pp. 1 à 8<br />
et article d’André Martin : Contribution à un Renoir général, pp. 42-43<br />
n° 82, avril 1958, article <strong>de</strong> Jean Cocteau, Julien Duvivier, Marcel L’Herbier, Carlo Rim,<br />
Léoni<strong>de</strong> Moguy, Michel Boisrond, Yves Allégret et Henri Calef : Hommage à Jean Renoir par sept<br />
réalisateurs, pp. 48-49<br />
n° 87, septembre 1958, article d’André Bazin : La vente <strong>de</strong>s Collettes, p. 50<br />
52
n° 89, novembre 1958, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Où est la liberté (La Gran<strong>de</strong> illusion), pp. 56 à<br />
58<br />
n° 91, janvier 1959, article <strong>de</strong> Jean Renoir : André Bazin, p. 34<br />
n° 95, mai 1959, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Spiero : Jean Renoir tourne Le docteur Cor<strong>de</strong>lier, pp. 28 à 36<br />
n° 97, juillet 1959, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Spiero : Renoir continue…, pp. 39-40<br />
n° 100, octobre 1959, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Pourquoi ai-je tourné Cor<strong>de</strong>lier ? pp. 23 à 26<br />
et article <strong>de</strong> Michel Mayoux : Hors festival, pp. 75-76<br />
n° 102, décembre 1959, article d’Eric Rohmer : Jeunesse <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 1 à 7<br />
n° 106, avril 1960, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Au-revoir Jacques, pp. 2-3<br />
n° 123, septembre 1961, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Un testament olographe (Le Testament du<br />
docteur Cor<strong>de</strong>lier), pp. 32 à 42<br />
n° 131, juillet 1962, article <strong>de</strong> Jean Douchet : Naissance d’un soleil (Le Caporal épinglé), pp. 36 à<br />
42<br />
n° 135, septembre 1962, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : La vie est un songe (Swamp water), pp 59 à 61<br />
n° 155, mai 1964, article <strong>de</strong> Jean-Louis Noames : Jean Renoir, propos rompus, pp. 22 à 30<br />
n° 180, juillet 1966, article <strong>de</strong> Michel Delahaye et Jean-André Fieschi : Mes prochains films, pp.<br />
36 à 47<br />
n° 186, janvier 1967, article d’André S.Labarthe et Jacques Rivette : Renoir le patron, pp. 22 à<br />
27<br />
n° 196, décembre 1967, article <strong>de</strong> Michel Delahaye et Jean Narboni : La marche <strong>de</strong> l’idée :<br />
entretien avec Jean Renoir, pp. 12 à 22 et pp. 66-68<br />
et article <strong>de</strong> Jean-Louis Comolli : Des migrations exemplaires, pp. 24 à 27.<br />
n° 200-201, avril-mai1968, article <strong>de</strong> Michel Delahaye : C’est la révolution (crème <strong>de</strong> beauté), pp.<br />
32 à 42<br />
n° 208, janvier 1969, article <strong>de</strong> Satyajit Ray : Renoir à Calcutta, pp. 40 à 45<br />
n° 218, mars 1970, article <strong>de</strong> Pascal Bonitzer, Jean-Louis Comolli, Serge Daney, Jean<br />
Narboni et J.P. Oudart : La Vie est à nous, film militant, pp. 41 à 51.<br />
n° 278, juillet 1977, article <strong>de</strong> Jean-Louis Comolli : Un corps en trop, pp. 5 à 16<br />
n° 297, février 1979, article <strong>de</strong> Jean-Clau<strong>de</strong> Biette : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, pp. 59-60<br />
n° 299, avril 1979, article <strong>de</strong> Jean-Louis Comolli : en revoyant Une Partie <strong>de</strong> campagne, pp. 39-40<br />
n° 306, décembre 1979, article <strong>de</strong> Dominique Villain : Hommage à Renoir à Florence, p. 65<br />
n° 479, mai 1994, article <strong>de</strong> Joël Magny : Partie <strong>de</strong> campagne, <strong>de</strong>uxième ! pp. 120 à 124<br />
n° 482, juillet-août 1994, article <strong>de</strong> Thierry Jousse : Renoir vivant, p. 5<br />
et article : Tout Renoir, chaque film <strong>de</strong> Renoir est étudié par un critique ou par<br />
un réalisateur, pp. 42 à 81<br />
n° 483, septembre 1994, article <strong>de</strong> Bruno Podaly<strong>de</strong>s : La goutte d’eau qui fait débor<strong>de</strong>r le vase, pp.<br />
12-13<br />
n° 489, mars 1995, article <strong>de</strong> Joël Magny : Renoir en quête d’un mon<strong>de</strong> nouveau, p. 8<br />
n° 500, mars 1996, article <strong>de</strong> Martin Scorsese : Ma cinéphilie, p. 62<br />
Cinea-Ciné pour tous<br />
Bimensuel puis mensuel. Fusion <strong>de</strong> Cinéa (1921-1923) et <strong>de</strong> Ciné pour tous (1919-1922).<br />
Jean Te<strong>de</strong>sco P. Henry tentent <strong>de</strong> faire survivre l’esprit <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> époque <strong>de</strong> Cinéa après le départ <strong>de</strong> son<br />
créateur Louis Delluc qui meurt en 1924. Avec sa présentation luxueuse, ses enquêtes, ses étu<strong>de</strong>s critiques, ses<br />
numéros spéciaux, Cinéa-Ciné pour tous <strong>de</strong>meure l’une <strong>de</strong>s seules revues artistiques <strong>de</strong> l’époque mais<br />
succombe finalement à la concurrence <strong>de</strong>s grands magazines illustrés tels que Cinémon<strong>de</strong> ou Pour vous.<br />
n° 34, 1 er avril 1925, article d’auteur inconnu : Nos portraits, Catherine Hessling, pp. 24-25.<br />
n° 52, 1 er janvier 1926, article <strong>de</strong> Robert Trevise : Monsieur Jean Renoir tourne Nana, p. 26<br />
n° 54, 1 er février 1926, article d’Edmond Epardaud : Nana, pp. 12-13.<br />
n° 55, 15 février 1926, article d’auteur inconnu : Nana est terminée, p. 23.<br />
53
n° 59, 15 avril 1926, article <strong>de</strong> Marcel Zahar et Daniel Burret : Une visite à Jean Renoir, pp. 14-<br />
15.<br />
n° 60, 1 er mai 1926, article d’Edmond Epardaud : Nana, pp. 13 à 16.<br />
Cinéma…<br />
Mensuel puis périodique à parution variable.<br />
Ce titre porte un millésime abrégé (Cinéma 55) changeant chaque année. Changement <strong>de</strong> format et <strong>de</strong> formule<br />
à partir du numéro 217 (janvier 1977).<br />
Cinéma doit sa naissance en novembre 1954 et son essor à la puissante Fédération Française <strong>de</strong>s Ciné-Clubs<br />
(créée le 12 juillet 1945) et au développement sans précé<strong>de</strong>nt du mouvement « ciné-club » au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> la<br />
Libération. Avec un réseau <strong>de</strong> 180 associations et près <strong>de</strong> soixante mille adhérents, la revue <strong>de</strong>vient un organe<br />
central <strong>de</strong> référence et <strong>de</strong> propagation <strong>de</strong> la culture cinématographique populaire. Aucun aspect du cinéma ne lui<br />
échappe. De novembre 1954 à décembre 1976, la publication suit une ligne rédactionnelle cohérente sans<br />
modifications déterminantes. Dès janvier 1977 sans changer fondamentalement cette politique, Cinéma<br />
approfondit une réflexion en direction d’un « cinéma <strong>de</strong> recherche » et porte l’accent sur <strong>de</strong> nouveaux pôles<br />
d’attraction dont bénéficiera en premier lieu le cinéma français sous le double aspect <strong>de</strong> dossiers historiques et <strong>de</strong><br />
chroniques d’actualités. Les <strong>de</strong>ux décennies suivantes orchestrent inexorablement une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> déclin. Les<br />
changements fréquents <strong>de</strong> format et <strong>de</strong> périodicité nuisent fortement à la qualité <strong>de</strong> la revue qui voit son contenu<br />
s’amoindrir sans jamais retrouver son prestige d’antan. Toutefois, en décembre 1996, un nouveau départ semble<br />
être pris bénéficiant au fond (contenu plus étoffé) et à la forme (couverture couleur, aération <strong>de</strong> la mise en page).<br />
n° 2, décembre 1954, Dossier Jean Renoir, pp. 29 à 45<br />
et article <strong>de</strong> Jean Renoir : A bâtons rompus, pp. 30 à 34<br />
article <strong>de</strong> Pierre Kast : Le nez <strong>de</strong> la Belle Abbesse, pp. 36 à 38<br />
article d’André G. Brunelin : Sur le plateau, pp. 39 à 45.<br />
n° 7, novembre 1955, article <strong>de</strong> René Fauchois : Réconciliation autour <strong>de</strong> Boudu, pp. 71-72<br />
n° 12, octobre-novembre 1956, article d’André Bazin : Renoir vu par André Bazin, pp. 5 à 8<br />
n° 26, avril 1958, article <strong>de</strong> Marcel Achard : La Marseillaise rouge <strong>de</strong> Monsieur Renoir, p. 71<br />
n° 27, ami 1958, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Renoir le déraciné, pp. 117 à 122<br />
n° 31, novembre 1958, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : La Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 111 à 113<br />
n° 33, février 1959, article d’auteur inconnu: Toni, pp. 131 à 138<br />
n° 38, juillet 1959, article <strong>de</strong> Michel Delahaye : Renoir, pp. 31 à 36<br />
n° 42, janvier 1960, article <strong>de</strong> René Gilson : Le Déjeuner sur l’herbe, pp. 116 à 118<br />
n° 43, février 1960, article d’André Brunelin : Histoire d’une malédiction, pp. 36 à 64<br />
n° 48, juillet 1960, article d’André Brunelin : Jacques Becker ou la trace <strong>de</strong> l’homme, pp. 87 à 111.<br />
n° 51, novembre-décembre 1960, article <strong>de</strong> Roger Andrey : Jean Renoir fait son « testament », pp.<br />
106 à 112<br />
n° 57, juin 1961, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Nana, p. 61<br />
n° 62, janvier 1962, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange, p. 93<br />
et article <strong>de</strong> Pierre Billard : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, pp. 107 à 109<br />
n° 63, février 1962, article <strong>de</strong> Marcel Martin : La Règle du jeu, p. 122<br />
n° 65, avril 1962, article <strong>de</strong> Marcel Martin : Le Fleuve, p. 95<br />
n° 68, juillet-août 1962, article <strong>de</strong> Pierre Billard : Le Caporal épinglé, pp. 133-134<br />
n° 116, mai 1967, retranscription d’une conversation entre Jean Renoir, André S. Labarthe et<br />
Janine Bazin : Cinéaste <strong>de</strong> notre temps, pp. 30 à 48 (Renoir à cœur ouvert)<br />
n° 117, juin 1967, suite <strong>de</strong> la retranscription <strong>de</strong> la conversation entre Jean Renoir, André S.<br />
Labarthe et Janine Bazin : Cinéastes <strong>de</strong> notre temps, pp. 90 à 104 (Renoir à cœur ouvert)<br />
n° 122, janvier 1968, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : La Marseillaise 30 ans après, pp. 102 à 105<br />
n° 124, mars 1968, article <strong>de</strong> Roger Grelier : Dialogue avec une salle, pp. 20 à 24<br />
n° 140, novembre 1969, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Jean Renoir ou La Règle du jeu, pp. 40 à 53<br />
n° 141, décembre 1969, article <strong>de</strong> Marcel Martin : La Vie est à nous, pp. 110-111<br />
54
n° 146, mai 1970, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : La légen<strong>de</strong> <strong>de</strong> Boudu, pp. 51 à 54<br />
n° 163, février 1972, article <strong>de</strong> Patrick Sery : Le Fleuve, pp. 151-152<br />
n° 201-202, septembre-octobre 1975, article <strong>de</strong> Jean Roy : Jean Renoir, La Chienne, pp. 216 à<br />
231<br />
n° 234, juin 1978, article <strong>de</strong> Jean Roy : Renoir, l’IFACC et nous, pp. 33 à 46<br />
n° 240, décembre 1978, article <strong>de</strong> Jean Roy : Renoir trois pério<strong>de</strong>s, pp. 114-115.<br />
n° 241, janvier 1979, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Jean Renoir la partie immergée <strong>de</strong> l’iceberg, pp. 63<br />
à 65<br />
n° 244, avril 1979, article <strong>de</strong> Jean Roy : Au numéro 1273 <strong>de</strong> Leona Drive, pp. 10 à 11<br />
et article <strong>de</strong> Joël Magny : Renoir et les dogmes, pp. 13 à 19<br />
article d’Eric Rohmer : Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 20 à 24<br />
article <strong>de</strong> Jean Douchet : Un cadre éclaté, pp. 25 à 30<br />
article <strong>de</strong> Paul Vecchiali : A l’abri du risque, pp. 31 à 33<br />
n° 247-248, juillet-août 1979, article <strong>de</strong> Daniel Serceau : Renoir et l’Europe du Déjeuner, p. 94<br />
n° 257, mai 1980, article <strong>de</strong> Joël Magny : French Cancan, p. 111<br />
n° 292, avril 1983, article <strong>de</strong> Joël magny : Tire au flanc, p. 69.<br />
n° 293, mai 1983, article <strong>de</strong> Joël Magny : Le Déjeuner sur l’herbe, p. 62 ; Le Caporal épinglé, p. 63 ;<br />
La Chienne, p. 62 ; Boudu, pp. 63-64.<br />
n° 307-308, juillet-août 1984, article <strong>de</strong> Daniel Serceau : A propos <strong>de</strong>s lettres d’Amérique et du Fleuve<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 44-45<br />
n° 313, janvier 1985, article <strong>de</strong> Joël Magny : Le Fleuve, p. I<br />
et article d’Alain Carbonnier : Le Carrosse d’or, p. 38<br />
n° 315, mars 1985, articles <strong>de</strong> Joël Magny : Le Fleuve, p. IV ; L’Homme du Sud, p. IV ; Le Petit<br />
théâtre, pp. V-VI et Toni, p. VI<br />
n° 317, mai 1985, article d’Alain Carbonnier : Eléna et les hommes, pp. III-IV<br />
n° 300, décembre 1983, article d’Yvette Cazaux : Les Bas-fonds, p. 45<br />
n° 305, mai 1984, article <strong>de</strong> D.R. : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 32<br />
n° 357, juin 1986, article <strong>de</strong> Fabrice Revault d’Allonnet : La Vie est à nous, p. 3<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Le cinéma face au Front Populaire, pp 8 à 10.<br />
Cinéma d’Aujourd’hui<br />
Bimestriel (irrégulier). Changement <strong>de</strong> format à partir du numéro 14 (automne 1979).<br />
De 1962 à 1974, Cinéma d’Aujourd’hui représente une collection <strong>de</strong> monographies paraissant aux éditions<br />
Seghers sous la direction <strong>de</strong> Pierre Lherminier qui, en 1975, redonne vie à Cinéma d’Aujourd’hui, après<br />
l’absorption <strong>de</strong> Seghers par le groupe Robert Laffont, sous la forme cette fois d’une revue. Chaque cahier, telle<br />
figure la nouvelle forme, est entièrement consacré à une personnalité du septième art ou à un sujet précis. Outre<br />
l’abondance et la qualité <strong>de</strong>s textes aux signatures remarquées, filmographies et bibliographies constituent<br />
désormais autant d’outils <strong>de</strong> références appréciés et reconnus.<br />
n° 2, mai-juin 1975, numéro exclusivement dédié à Jean Renoir : le spectacle, la vie.<br />
Cinémagazine<br />
Hebdomadaire paraît tous les vendredis, puis mensuel. Absorbe en 1925 la Revue Cinématographique,<br />
Photo-Pratique et le Film.<br />
Sur fond <strong>de</strong> couverture orange, puis rouge, Cinémagazine publie son premier numéro le 21 janvier 1921 et<br />
connaîtra jusqu’à sa disparition en 1935, trois moments importants. Hebdomadaire <strong>de</strong> 1921 à 1929, pério<strong>de</strong><br />
la plus fécon<strong>de</strong> au cours <strong>de</strong> laquelle la revue, organe <strong>de</strong> l’association <strong>de</strong>s « Amis du Cinéma », rejoint le rang <strong>de</strong>s<br />
publications les plus populaires <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres, puis mensuel <strong>de</strong> 1930 à 1934 dans une version<br />
d’inspiration américaine et à nouveau hebdomadaire <strong>de</strong> 1934 à 1935 sous la direction d’André Tinchant qui<br />
55
succè<strong>de</strong> à Jean Pascal. Il serait hasar<strong>de</strong>ux <strong>de</strong> vouloir définir le genre auquel pourrait appartenir<br />
Cinémagazine tant les domaines sont nombreux. Durant les neuf premières années, la revue propose aussi<br />
bien à ses lecteurs <strong>de</strong>s textes d’une gran<strong>de</strong> qualité que <strong>de</strong>s romans-cinémas, <strong>de</strong>s enquêtes auprès <strong>de</strong>s exploitants <strong>de</strong><br />
salles, <strong>de</strong>s metteurs en scène ou scénaristes confiant leurs projets à la rédaction, <strong>de</strong>s informations réservées aux<br />
professionnels, les inévitables jeux-concours fort appréciés du grand public sans oublier les comptes-rendus <strong>de</strong><br />
projection faisant office <strong>de</strong> critiques <strong>de</strong> films et les portraits <strong>de</strong> stars ou <strong>de</strong> grands réalisateurs sous forme <strong>de</strong><br />
biographies illustrées. On relèvera également l’importance accordée aux innovations et inventions techniques du<br />
cinéma parfois au service <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s causes (propagan<strong>de</strong> médicale, enseignement, progrès <strong>de</strong>s sciences) et à<br />
l’action <strong>de</strong> correspondants dans les villes <strong>de</strong> France et à l’étranger qui a accru la diffusion <strong>de</strong> la revue. Au début<br />
<strong>de</strong>s années 30, Cinémagazine abor<strong>de</strong> un luxueux revirement où l’effort est porté sur la qualité <strong>de</strong> la mise en<br />
page et l’iconographie mais s’appauvrira dans une nouvelle formule hebdomadaire à la veille <strong>de</strong> sa disparition.<br />
n° 52, 25 décembre 1925, article d’Henri Gaillard : Jean Renoir tourne Nana, pp. 589-590<br />
n° 11, novembre 1932, article <strong>de</strong> Jean Valois : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux<br />
n° 19, 17 mai 1926, article <strong>de</strong> A.T. : Nana, pp. 296 à 298<br />
n° 21, 21 mai 1926, article <strong>de</strong> Lucien Farnay : Le scénario <strong>de</strong> Nana, l’interprétation, la réalisation, pp.<br />
383 à 388<br />
n° 32-33, 12-19 août 1927, article d’auteur inconnu : Marquitta, p. 303<br />
n° 46, 18 novembre 1927, article <strong>de</strong> Georges Dupont : Une Vie sans joie, p. 310<br />
Cinémathèque<br />
Semestriel.<br />
Volumineuse revue d’histoire et <strong>de</strong> théorie du cinéma, Cinémathèque relève le défi d’explorer les pans du<br />
septième art passés à la trappe, sous-estimés ou dont il ne reste qu’une vision lacunaire et d’élargir le champ <strong>de</strong><br />
réflexion à la lumière <strong>de</strong> nouvelles investigations. Pour cela la revue met en place une méthodologie historique<br />
rigoureuse qui laisse peu <strong>de</strong> place à l’improvisation vers laquelle convergent les étu<strong>de</strong>s parfois très pointues <strong>de</strong><br />
spécialistes. Un soin particulier est apporté à la mise en page, l’iconographie et surtout aux comptes-rendus<br />
détaillés <strong>de</strong>s ouvrages parus. Dans un soucis <strong>de</strong> (re)découverte, Cinémathèque ouvre ses colonnes à la<br />
présentation <strong>de</strong> collection <strong>de</strong> documents peu courants.<br />
n° 1, mai 1992, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La production <strong>de</strong> Toni, pp. 45 à 59<br />
n° 2, novembre 1992, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La production <strong>de</strong> Toni II, pp. 84 à 97<br />
n 3, printemps-été 1993, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La production <strong>de</strong> Toni III, pp. 36 à 46<br />
n° 5, printemps 1994, article <strong>de</strong> Charles Tesson : La robe sans couture, la dame, le patron, pp. 142 à<br />
153<br />
n° 10, automne 1996, article d’Annie Mottet : La Bête humaine : un historique <strong>de</strong> la production. pp.<br />
66 à 72.<br />
Cinématographe<br />
Bimestriel puis mensuel à partir <strong>de</strong> janvier 1977. Changement <strong>de</strong> format en décembre 1985.<br />
Nouveau venu au début <strong>de</strong>s années soixante-dix, Cinématographe veut mettre à nu, non seulement les formes<br />
que revêt le cinéma, les écritures qu’il utilise, les procédés qu’il emploie mais aussi les problèmes qu’il pose, les<br />
sentiments qu’il fait naître. Plusieurs rubriques se partagent l’actualité cinématographique et portent un regard<br />
sur les salles <strong>de</strong> cinéma, les relations entre le septième art et d’autres médias, et les cinémas étrangers. Dès 1975<br />
et surtout à partir <strong>de</strong> 1977, sous la direction <strong>de</strong> Jacques Fieschi, les dossiers et les numéros spéciaux occupent<br />
une place <strong>de</strong> plus en plus importante au détriment <strong>de</strong> quelques rubriques qui disparaissent. La revue abor<strong>de</strong> un<br />
tournant en novembre 1978 : pagination doublée (plus <strong>de</strong> cent pages), changement <strong>de</strong> formule, augmentation du<br />
tirage et <strong>de</strong> la diffusion, développement d’une politique <strong>de</strong>s dossiers en corrélation avec d’autres disciplines<br />
56
(théâtre, télévision). En décembre 1985, une refonte <strong>de</strong> la revue voit la suppression <strong>de</strong>s dossiers, qui faisaient sa<br />
notoriété, au profit <strong>de</strong> l’actualité cinématographique, toujours plus envahissante.<br />
n° 46, avril 1979, article <strong>de</strong> Christian Oddos et François Troger : Entretien inédits avec Jean<br />
Renoir, pp. 2 à 8<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : A la recherche d’un style, pp. 9 à 15<br />
article <strong>de</strong> Nino Frank : Notre Renoir, pp. 16 à 19<br />
article <strong>de</strong> Mireille Latil Le Dantec : Nature et théâtre, pp. 20 à 24.<br />
article <strong>de</strong> Jacques Fieschi : Citoyen Renoir, pp. 25 à 27<br />
article <strong>de</strong> Philippe Carcassonne : L’éloge et le hasard, pp. 28 à 30.<br />
article d’Emmanuel Decaux : Jean sans terre, pp. 31 à 34<br />
article <strong>de</strong> Bruno Villien : Jean Renoir, romancier, pp. 35 à 37.<br />
article <strong>de</strong> Philippe Carcassonne et Renaud Bezombes : Entretien avec Clau<strong>de</strong><br />
Renoir, pp. 38 à 41<br />
article d’Emmanuel Decaux : Entretien avec Dalio, pp. 42 à 44.<br />
Cinémon<strong>de</strong><br />
Hebdomadaire puis mensuel.<br />
Remarquablement illustré (impression en Sépia), Cinémon<strong>de</strong> <strong>de</strong>meure le magazine <strong>de</strong> cinéma le plus<br />
populaire <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres, avec le plus fort tirage <strong>de</strong> l’époque. De sa fondation en 1928 jusqu’en 1940,<br />
Cinémon<strong>de</strong> connaît ses heures <strong>de</strong> gloire durant lesquelles quelques personnalités du mon<strong>de</strong> cinématographique<br />
prêtent volontiers leurs concours. A ses débuts, la revue joue sur la qualité <strong>de</strong> sa mise en page et surtout sur la<br />
diversité <strong>de</strong> ses rubriques captivant un large public. Après six ans d’interruption (<strong>de</strong> 1940 à 1946), la revue<br />
reparaît avec le numéro 607 sous la direction <strong>de</strong> Maurice Bessy et J.P. Mauclaire, puis absorbe Cinévogue et<br />
Cinévie en février 1949, puis Pour Tous et Jeudi Cinéma. Malgré tous ces mouvements, Cinémon<strong>de</strong><br />
rebaptisé le Nouveau Cinémon<strong>de</strong>, ne retrouvera jamais sa qualité et ses marques d’avant-guerre et disparaît<br />
en 1971.<br />
n° 13, 17 janvier 1929, article d’André Sarrouy : De nos correspondants… Alger (le Bled), p. 255.<br />
n° 170, 21 janvier 1932, article <strong>de</strong> P.L. : Jean Renoir entreprend un film policier avec Pierre Renoir<br />
comme acteur (la Nuit du carrefour), p. 42.<br />
n° 184, 28 avril 1932, article d’Odile Combier : La Nuit du carrefour, pp. 338-339.<br />
n° 185, 8 mai 1932, article <strong>de</strong> Julien Sorel : Sur les écrans <strong>de</strong> Paris, la Nuit du carrefour, p. 359.<br />
n° 204, 15 septembre 1932, article <strong>de</strong> Jean Mery : Jean Renoir et Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 749.<br />
n° 209, 20 octobre 1932, article d’Odile Combier : L’aventure pitoyable, sentimentale, amusante <strong>de</strong><br />
Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, pp. 845-846.<br />
n° 210, 27 octobre 1932, article <strong>de</strong> Julien Sorel : Sur les écrans <strong>de</strong> Paris, Boudu Sauvé <strong>de</strong>s eaux, p.<br />
879.<br />
n° 426, 17 décembre 1936, article d’Odile Combier : Et d’abord allons au cinéma, les Bas-fonds, p.<br />
974.<br />
n° 434, 11 février 1937, article <strong>de</strong> Marc Farnese : Les Bas-fonds, pp. 130 à 132.<br />
n° 436, 25 février 1937, article <strong>de</strong> Georges Fronval : On tourne dans la neige, placi<strong>de</strong> et serein Jean<br />
Renoir, p. 166.<br />
n° 450, 3 juin 1937, article <strong>de</strong> Georges Fronval : Au cœur <strong>de</strong> la Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 502-503.<br />
n° 451, 10 juin 1937, article d’Odile Combier : Voici le meilleur film <strong>de</strong> ma carrière déclare Dita<br />
Parlo, p. 517.<br />
n° 465, 16 septembre 1937, article d’auteur inconnu : La Marseillaise verse <strong>de</strong> l’héroïsme au cœur <strong>de</strong>s<br />
citadins, p. 816.<br />
n° 472, 4 novembre 1937, article <strong>de</strong> M.B. : La Gran<strong>de</strong> illusion interdite en Italie, une décision<br />
surprenante, p. 956.<br />
57
n° 480, 30 décembre 1937, article <strong>de</strong> Fernand-Albert Millaud : Les quatre naissances <strong>de</strong> la<br />
Marseillaise, pp. 1190-1191.<br />
n° 481, 6 janvier 1938, article d’auteur inconnu : La Marseillaise, un film d’actualité par Jean<br />
Renoir, p. 13.<br />
n° 482, 13 janvier 1938, article <strong>de</strong> Robert Burnaud : Louis Jouvet comte <strong>de</strong> Roe<strong>de</strong>rer, p. 28.<br />
n° 483, 20 janvier 1938, article <strong>de</strong> Jean Rimbaud : C’est une révolte ? Non sire, c’est une révolution,<br />
pp. 50-51.<br />
n° 487, 17 février 1938, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : La Marseillaise, p. 122.<br />
n° 531, 21 décembre 1938, article <strong>de</strong> Pierre Leprohon : Autour <strong>de</strong> La Bête humaine, pp. 1164-<br />
1165.<br />
n° 532, 28 décembre 1938, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : La foire aux films, La Bête humaine, p. 1192.<br />
n° 543, 15 mars 1939, article d’Odile Combier : Jean Renoir et le graphophone, p. 11.<br />
n° 546, 5 avril 1939, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : En Sologne, Jean Renoir fusil en main obéit à la Règle<br />
du jeu, pp. 12-13.<br />
n° 552, 17 mai 1939, article <strong>de</strong> Jacques Berland : Renoir contre Renoir, p. 17.<br />
n° 557, 21 juin 1939, article d’auteur inconnu : Drame chez les serviteurs, chez les maîtres, pp. 4-5.<br />
n° 560, 12 juillet 1939, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : La Règle du jeu, p. 20.<br />
n° 683, 2 septembre 1947, article <strong>de</strong> Maurice Bessy : Je suis un individualiste mais pas un petit<br />
bourgeois, pp. 10-11.<br />
Ciné-Miroir<br />
Bimensuel puis hebdomadaire à partir du numéro 133 (21 octobre 1927).<br />
Edité par le Petit Parisien et dirigé par Jean Vignaud, Ciné-Miroir est entièrement consacré à ses débuts au<br />
récit d’un film puis se diversifie et <strong>de</strong>viendra un grand magazine échotier hebdomadaire. En 1930, la revue est<br />
tirée à cent dix milles exemplaires. Vendu exceptionnellement 25 centimes, le premier numéro paraît le premier<br />
mai 1922 sur 16 pages grand format (34 x 24 centimètres) illustré <strong>de</strong> nombreuses photos. Du numéro 1 au<br />
numéro 971 du 18 juin 1953, Ciné-Miroir conserve sensiblement la même présentation, le même format qu’à<br />
ses débuts avec une unité d’ensemble impressionnante. Pendant la <strong>de</strong>uxième guerre, la publication est interdite<br />
par les Allemands (7 juin 1943). La crise du papier oblige la revue à différer sa parution au 5 juillet 1946<br />
date à laquelle paraît le numéro 793 <strong>de</strong> Ciné-Miroir après six ans d’interruption. 19 lignes seulement pour<br />
saluer l’événement. Le nouveau rédacteur en chef est jusqu’en 1950 René Manevy rédacteur <strong>de</strong> Ciné-Miroir<br />
<strong>de</strong>puis 1922 et chef <strong>de</strong> la rubrique cinéma du Petit Parisien. Du numéro 972 au numéro 978, Ciné-<br />
Miroir <strong>de</strong>venu Ciné-Miroir Magazine tente une nouvelle formule sur 24 pages grand format. Mais c’est le<br />
début <strong>de</strong> la fin. Une courte interruption, puis Ciné-Miroir reparaît sur 16 pages avant <strong>de</strong> disparaître<br />
définitivement, victime <strong>de</strong> l’insolente santé <strong>de</strong> Cinémon<strong>de</strong> et <strong>de</strong> la distribution en France d’un nouveau et<br />
redoutable rival : Ciné-Revue jusqu’alors diffusé exclusivement en Belgique.<br />
n° 71, 1 avril 1925, article <strong>de</strong> René Jeanne : Catherine Hessling, p. 111.<br />
n° 73, 1 mai 1925, article <strong>de</strong> R. d. M. : Un nouveaux metteur en scène : Jean Renoir, p. 150.<br />
n° 87, 1 décembre 1925, article <strong>de</strong> Jean Camera : On tourne Nana, p. 362.<br />
n° 90, 15 janvier 1926, article d’auteur inconnu : Une reconstitution du second empire : Monsieur Jean<br />
Renoir réalise Nana, p. 21.<br />
n° 96, 15 avril 1926, article <strong>de</strong> Ben Markson : En tournant Nana, p. 127.<br />
n° 97, 1 mai 1926, article d’auteur inconnu : Nana, pp. 136-137.<br />
n° 100, 15 juin 1926, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Pourquoi j’ai réalisé Nana, p. 179.<br />
n° 102, 15 juillet 1926, article <strong>de</strong> Pierre Lestringuez : Jean Renoir et Douglas Fairbanks bavar<strong>de</strong>nt,<br />
p. 214.<br />
n° 106, 15 septembre 1926, article <strong>de</strong> Jean Camera : On tourne Charleston, p. 274.<br />
n° 116, 15 février 1927, article <strong>de</strong> Jean Camera : On tourne Marquitta, p. 58.<br />
n° 128, 16 août 1927, article d’auteur inconu : résumé <strong>de</strong> Marquitta, p. 252<br />
n° 140, 9 décembre 1927, article d’Albine Léger : Une Vie sans joie p. 450.<br />
58
n° 145, 13 janvier 1928, article <strong>de</strong> Henriette Janne : Les innovations <strong>de</strong> Jean Renoir : le réalisateur <strong>de</strong><br />
La Petite fille aux allumettes, p. 43.<br />
n° 152, 2 mars 1928, article d’auteur inconnu : Les films <strong>de</strong> <strong>de</strong>main, La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes,<br />
p. 154.<br />
n° 192, 7 décembre 1928, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> Tire-au-flanc, pp. 792-793.<br />
n° 201, 8 février 1929, article d’auteur inconnu : résumé du Tournoi, pp. 84 à 86.<br />
n° 203, 22 février 1929, article d’auteur inconnu : L’esprit sportif dans Le Tournoi, p. 123.<br />
n° 242, 22 novembre1929, résumé du film le Bled, p.763<br />
n° 243, 29 novembre 1929, article d’auteur inconnu : le Bled, p. 763.<br />
n° 323, 12 juin 1931, article d’auteur inconnu : Enrique Rivero, p. 388.<br />
n° 331, 7 août 1931, article d’auteur inconnu : On purge bébé, p. 514.<br />
n° 349, 11 décembre 1931, article d’auteur inconnu, résumé <strong>de</strong> La Chienne, p. 796.<br />
n° 356, 29 janvier 1932, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Doré : Florelle, p. 67.<br />
n° 358, 12 février 1932, article d’auteur inconnu : René Lefèvre, p. 108.<br />
n° 370, 6 mai 1932, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> La Nuit du carrefour, pp. 307-308.<br />
n° 371, 6 mai 1932, article d’auteur inconnu : la Nuit du carrefour, p. 307.<br />
n° 372, 20 mai 1932, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Doré : Florelle chante, p. 332.<br />
n° 374, 30 juin 1932, article <strong>de</strong> Jacques Bernier : Jean Angelo, p. 363.<br />
n° 379, 8 juillet 1932, article d’auteur inconnu : une jolie silhouette : Paulette Dubost, p. 446.<br />
n° 394, 21 octobre 1932, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> Boudu, p. 690.<br />
n° 398, 18 novembre 1932, article d’Antoine <strong>de</strong> Courson : Une interview <strong>de</strong> Michel Simon : Boudu<br />
c’est moi !, p. 756.<br />
n° 446, 20 octobre 1933, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bernier : Madame Bovary, p. 659.<br />
n° 460, 26 janvier 1934, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong> Madame Bovary, pp. 52-53.<br />
n° 612, 25 décembre 1936, article d’auteur inconnu : résumé <strong>de</strong>s Bas-fonds, p. 823.<br />
n° 636, 11 juin 1937, article d’auteur inconnu résumé <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 384-385.<br />
n° 637, 18 juin 1937, article <strong>de</strong> Remy Garrigues : Le rêve <strong>de</strong> Gabin, p. 395.<br />
n° 638, 25 juin 1937, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bernier : Pierre Fresnay, le brillant officier <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong><br />
illusion, p. 411.<br />
n° 651, 24 septembre 1937, article <strong>de</strong> Françoise Holbane : Jean Renoir tourne La Marseillaise, film<br />
dédié au glorieux peuple <strong>de</strong> France, p. 622.<br />
n° 667, 14 janvier 1938, article <strong>de</strong> Remy Garrigues : Les succès <strong>de</strong> Dita Parlo, p. 19<br />
et article d’auteur inconnu : : recette <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 26<br />
article <strong>de</strong> Jean Maurinay : Lise Delamare, reine infortunée, p. 30.<br />
n° 668, 21 janvier 1938, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bernier : Pierre Renoir <strong>de</strong>vient roi, p. 35.<br />
n° 701, 9 septembre 1938, article <strong>de</strong> Georges Fronval : Jean Gabin a tourné au Havre au milieu <strong>de</strong>s<br />
locomotives d’importantes scènes <strong>de</strong> La Bête humaine, p. 574.<br />
n° 710, 11 novembre 1938, article <strong>de</strong> Françoise Holbane : Jean Gabin, Carette sont heureux d’être<br />
les gars <strong>de</strong> la machine dans La Bête humaine, p. 718.<br />
n° 724, 17 février 1939, article d’auteur inconnu : Quinze ans après, Paulette Dubost, p. 106.<br />
n° 898, 6 juillet 1948, article d’auteur inconnu : résumé du Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre, p. 5<br />
n° 957, 12 mars 1954, article <strong>de</strong> Pierre Lagar<strong>de</strong> : Le Carrosse d’or, p. 4.<br />
Cinéopse<br />
Mensuel puis bimestriel. Sous-titre : organe mensuel <strong>de</strong> l’industrie cinématographique, la photographie,<br />
l’électricité, l’optique.<br />
Fondé en septembre 1919 par Georges-Michel Coissac, qui la dirigera jusqu’en 1946, Cinéopse se distingue<br />
à ses débuts par le luxe <strong>de</strong> sa mise en page (publicités pleine page <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s firmes, illustrées <strong>de</strong> photographies<br />
<strong>de</strong> films ou d’appareils <strong>de</strong> projection), et surtout par la qualité <strong>de</strong> ses articles portant sur différents aspects du<br />
cinéma : bilans annuels <strong>de</strong>s films français accompagnés <strong>de</strong> réflexions <strong>de</strong> cinéastes, <strong>de</strong> scientifiques, d’artistes,<br />
d’hommes politique ; étu<strong>de</strong>s générales sur l’introduction du cinéma dans différents milieux (armée, enseignement,<br />
59
mé<strong>de</strong>cine, agriculture, œuvres religieuses) ou l’utilisation <strong>de</strong> certains films (documentaire, film amateur) ;<br />
portraits <strong>de</strong> personnalités du septième art ; étu<strong>de</strong>s techniques, documentaires officiels (loi, décrets). Organe<br />
mensuel, le Cinéopse suit l’actualité cinématographique avec une critique <strong>de</strong> la production française et<br />
étrangère et propose <strong>de</strong>s textes plus détaillés pour certains films. Après une pério<strong>de</strong> d’interruption <strong>de</strong> septembre<br />
1939 à février 1946, le Cinéopse reparaît dans une version allégée sous la direction <strong>de</strong> Pierre Souillac, mais<br />
toujours fidèle à ses premières rubriques. Il cesse <strong>de</strong> paraître définitivement en 1967 (numéro 466).<br />
n° 100, 1 er décembre 1927, article <strong>de</strong> Pierre Souillac : Une vie sans joie, pp. 1047-1048.<br />
Ciné-Revue<br />
Hebdomadaire.<br />
Fondé en Belgique par J. Van Cottom et J. Leempoel au len<strong>de</strong>main <strong>de</strong> la première guerre mondiale, Ciné-<br />
Revue pourrait se définir comme un magazine échotier du cinéma à diffusion populaire. Aux chroniques<br />
alimentées par les confi<strong>de</strong>nces, potins et indiscrétions notamment <strong>de</strong>s stars hollywoodiennes, s’ajoutent quelques<br />
rubriques où sont présentés les nouveaux films sous forme <strong>de</strong> récit illustré, <strong>de</strong>s portraits d’acteurs, quelques<br />
articles <strong>de</strong> fond et comptes-rendus <strong>de</strong> festivals. Interrompue pendant la guerre, la revue renaît le 13 octobre<br />
1944. A la fin <strong>de</strong>s années 50, la télévision entre en scène : variation sur le titre <strong>de</strong> la publication à partir du 23<br />
janvier 1959 (Ciné-Télé-Revue), mention <strong>de</strong>s programmes <strong>de</strong> la télévision française, belge et<br />
luxembourgeoise, comptes-rendus d’émission. Les années 60 et 70 voient l’explosion <strong>de</strong> la couleur et <strong>de</strong>s posters<br />
<strong>de</strong> ve<strong>de</strong>ttes féminines <strong>de</strong> plus en plus dénudées. On retiendra la rubrique bio-filmographique <strong>de</strong> J.Van Cottom<br />
« les immortels du cinéma » ressuscitant quelques gran<strong>de</strong>s figures du cinéma ou <strong>de</strong>s acteurs inconnus que<br />
l’on retrouvera dans la publication <strong>de</strong> volumineux numéros hors-série. Changement <strong>de</strong> format à partir <strong>de</strong> 1984.<br />
n° 15, 10 avril 1975, article <strong>de</strong> J.Cotton : Jean Renoir, le cœur, le charme et le génie, pp. 24 à 27.<br />
Commune<br />
n° 35, juillet 1936, dialogue « non prononcé » entre Jean Renoir et Henri Jeanson : comment on<br />
fait un film, pp. 1312 à 1321.<br />
Ecran<br />
Mensuel.<br />
En guise d’éditorial à la création <strong>de</strong> Ecran, l’équipe rédactionnelle qui regroupe les dissi<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> la Revue du<br />
Cinéma (J.A. Gili, M. Martin, G. Hennebelle, C. Beylie), lance un manifeste où sont défendus les principes<br />
d’indépendance, d’information critique et <strong>de</strong> pluralisme idéologique et esthétique, largement développés dans le<br />
second numéro. Au sommaire <strong>de</strong> chaque mensuel, on retrouve une abondante critique <strong>de</strong> l’actualité sous forme<br />
d’entretiens, <strong>de</strong> chroniques <strong>de</strong> tournage, d’analyses filmiques, <strong>de</strong> comptes-rendus <strong>de</strong> festivals et <strong>de</strong>s dossiers<br />
consacrés à l’étu<strong>de</strong> d’un thème, d’une personnalité ou d’une œuvre. Après vingt numéros publiés aux éditions B<br />
and B, la revue change d’éditeur (l’Atalante s’entoure <strong>de</strong> nouveaux collaborateurs G. Braucourt, O.Barrot, J.<br />
Dormachi) et procè<strong>de</strong> à <strong>de</strong>s changements (augmentation d la pagination, nouvelle présentation aérée). On notera<br />
à partir du numéro 65 le dictionnaire <strong>de</strong>s interprètes du cinéma mondial (<strong>de</strong>puis 1945) sous forme <strong>de</strong> fiches<br />
détachables. En juin 1978, le premier numéro <strong>de</strong> Cinémaction voit le jour et est intégré dans la publication<br />
d’un numéro hors-série d’Ecran. Après huit années d’indépendance, Ecran fusionne avec la Revue du<br />
Cinéma, Image et Son (janvier 1980) éditée par la puissante Ligue française <strong>de</strong> d’enseignement.<br />
n° 1, janvier 1972, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Une lettre <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 4.<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Le <strong>de</strong>uxième souffle, Le Fleuve, pp. 78-79.<br />
n° 31, décembre 1974, dossier <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur et Clau<strong>de</strong> Beylie : Le grand cinéma <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir, pp. 26 à 36.<br />
60
30 à 32.<br />
dont article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Renoir tel qu’en lui-même, pp. 26 à 30.<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Auteur <strong>de</strong> films (à propos <strong>de</strong> La Bête humaine), pp.<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Avant que le ri<strong>de</strong>au ne tombe (à propos du Petit<br />
théâtre), pp. 32 à 36.<br />
L’Ecran Français<br />
Hebdomadaire.<br />
Après 18 mois <strong>de</strong> clan<strong>de</strong>stinité (1943-1944) sous l’Occupation, où la revue, intégrée aux Lettres<br />
Françaises, paraît sous une forme ronéotypée puis imprimée, l’Ecran Français, fondé par Jacques Decour<br />
(fusillé par les Allemands), sort officiellement le 4 juillet 1945 et porte la mention « troisième année ». De ces<br />
années difficiles se consoli<strong>de</strong>ra l’esprit <strong>de</strong> combativité <strong>de</strong> la revue. L’Ecran Français doit sa notoriété <strong>de</strong><br />
meilleur hebdo <strong>de</strong> l’après-guerre, à la collaboration <strong>de</strong> bien <strong>de</strong>s personnalités (Alexandre Astruc, André Bazin,<br />
J.G. Auriol, Jean-Charles Tacchella, Jean-Paul Sartre, André Malraux, Georges Sadoul). Dès les premiers<br />
numéros, articles <strong>de</strong> fond, informations corporatives dont une rubrique régulière consacrée à la défense du<br />
mouvement ciné-clubs, critiques <strong>de</strong> films, étu<strong>de</strong>s détaillées <strong>de</strong> films, chroniques <strong>de</strong> tournages, portraits d’artistes<br />
composent l’ossature <strong>de</strong> la publication. Après plusieurs modifications <strong>de</strong> mise en pages au début <strong>de</strong> l’année<br />
1946, L’Ecran Français s’unit en mars 1947 à Paris-Cinéma qui figurera en sous-titre dès le numéro 91<br />
et gagne <strong>de</strong> nouvelles signatures (Barjavel, Spaak). Soucieux <strong>de</strong> défendre le cinéma français, le journal amorce fin<br />
1947 et tout au long <strong>de</strong> l’année 1948, un tournant politique décisif. Les difficultés surgissent. Une pério<strong>de</strong><br />
financière périlleuse contraint la publication à imprimer une nouvelle formule plutôt médiocre dès mars 1948<br />
(numéro 141) et ce jusqu’en mai 1950, et à chercher l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Lettres Françaises. Dans le contexte <strong>de</strong> la<br />
guerre froi<strong>de</strong>, la politique rédactionnelle se radicalise sous l’influence du Parti Communiste Français, dont il<br />
<strong>de</strong>vient un instrument <strong>de</strong> propagan<strong>de</strong> dans le domaine du cinéma. Le départ <strong>de</strong> Bazin entre autres, en 1950<br />
signe le déclin du journal qui sera rapi<strong>de</strong>ment réintégré aux Lettres Françaises <strong>de</strong> mars 1952 à février 1953.<br />
n° 3, 18 juillet 1945, article d’auteur inconnu : Les films que l’on ne verra jamais, pp. 8-9.<br />
n° 15, 10 octobre 1945, article <strong>de</strong> Jean-Charles Tacchella : La Règle du jeu, p. 6.<br />
n° 20, 14 novembre 1945, article d’auteur inconnu : joue-t-on La Règle du jeu ? p. 2.<br />
n° 27, 3 janvier 1946, article d’auteur inconnu : Visite à Jean Renoir, pp. 12-13.<br />
n° 36, 6 mars 1946, article d’auteur inconnu : Et Renoir provoque <strong>de</strong>s remous (à propos <strong>de</strong><br />
L’Homme du Sud), p. 4.<br />
n° 38, 21 mars 1946, article <strong>de</strong> Paul Gilson : Un film direct sorti d’une toile <strong>de</strong> Renoir, p. 5.<br />
n° 50, 12 juin 1946, article <strong>de</strong> Léo Sauvage : Sylvia Bataille, pp. 6-7.<br />
n° 53, 3 juillet 1946, article d’auteur inconnu : Renoir va refaire Madame Bovary, p. 4.<br />
n° 55, 17 juillet 1946, article d’André Bazin : La résistance française à l’usage <strong>de</strong>s Chinois (Vivre<br />
libre), p. 7.<br />
n° 62, 4 septembre 1946, article <strong>de</strong> Georges Altman : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> 1937, p. 5.<br />
n° 74, 26 novembre 1946, article <strong>de</strong> José Zen<strong>de</strong>l : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 18.<br />
n° 77, 17 décembre 1946, article <strong>de</strong> Jean Vidal : Une Partie <strong>de</strong> campagne, un chef d’œuvre inachevé, p.<br />
8.<br />
n° 86, 18 février 1947, article d’auteur inconnu : La Gran<strong>de</strong> illusion n’est pas pour l’Alsace, p. 3.<br />
n° 141, 9 mars 1948, article <strong>de</strong> Jean Nery : Les Bas-fonds <strong>de</strong> Gorki à Gorki… en passant par Jean<br />
Renoir, p. 11.<br />
n° 155, 15 juin 1948, article d’André Bazin : Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre, une suite manquée à<br />
La Règle du jeu, p. 13.<br />
n° 157, 29 juin 1948, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Barrot : La Femme sur la plage, une atmosphère <strong>de</strong><br />
perversion… sans grand chose <strong>de</strong>dans, p. 13.<br />
n° 159, 13 juillet 1948, article <strong>de</strong> Jean-Charles Tacchella : Jean Renoir, p. 2.<br />
n° 199, 19 avril 1949, article <strong>de</strong> Michel Favier-Ledoux : Pour l’amour d’un petit lapin, La Règle du<br />
jeu s’effiloche, p. 4.<br />
61
n° 230, 28 novembre 1949, article d’André Bazin : L’auteur <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion n’a pas perdu<br />
confiance dans la liberté <strong>de</strong> création, p. 6.<br />
n° 257, 5 juin 1950, article <strong>de</strong> Roger Boussinot : L’Homme du Sud, Renoir le truculent, p. 7.<br />
n° 262, 10 juillet 1950, article <strong>de</strong> Jacques Krier : Après the River son premier film en couleur donnerat-on<br />
à Jean Renoir l’occasion <strong>de</strong> tourner en France ?, p. 17.<br />
n° 306, 16 mai 1951, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Daire : Le public américain ne croit plus au « star system », p.<br />
24.<br />
n° 317, 1 août 1951, article <strong>de</strong> Jean-Charles Tacchella : Un <strong>de</strong>s meilleurs clients <strong>de</strong> l’avion Paris-<br />
Rome : Jean Renoir, p. 3.<br />
n °339, 9 janvier 1952, article <strong>de</strong> Jean-Roger Caussimon : Jean Renoir ne pourra pas réaliser Le<br />
Carrosse d’or dans sa langue maternelle, pp. 10-11.<br />
n° 347, 5 mars 1952, article d’auteur inconnu : Jean Renoir et le goût américain, p 6.<br />
L’Express<br />
n° 958, 17-23 novembre 1969, article <strong>de</strong> Pierre Billard :Les hiers qui chantent : La Vie est à nous, p.<br />
121.<br />
n° 1264, 29 septembre au 5 octobre 1975, article <strong>de</strong> F.F. : La Chienne, p. 3.<br />
Le Film Français<br />
Hebdomadaire.<br />
Fondé le 8 décembre 1944 par Jean-Placi<strong>de</strong> Mauclaire, Jean Tarri<strong>de</strong> et Jean-Bernard Derosne, dans un<br />
contexte <strong>de</strong> crise, le Film Français <strong>de</strong>vient rapi<strong>de</strong>ment la revue professionnelle <strong>de</strong> référence, couvrant toutes les<br />
branches <strong>de</strong> l’industrie cinématographique française. Baptisé Journal Corporatif du Cinéma à ses débuts,<br />
ce <strong>de</strong>rnier rend compte <strong>de</strong> la lente réorganisation du cinéma français à laquelle il contribue, au len<strong>de</strong>main du<br />
conflit et traite <strong>de</strong> nombreux sujets : portraits <strong>de</strong> réalisateurs, d’acteurs, <strong>de</strong> techniciens, informations juridiques,<br />
fiscales, économiques, sociales, syndicales, techniques, communiqués officiels, échos <strong>de</strong> tournage, activités <strong>de</strong>s<br />
studios et laboratoires, programmes <strong>de</strong>s salles parisiennes, fiches techniques <strong>de</strong>s nouveaux films. En <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s<br />
chroniques spécialisées réservées à la production et à l’exploitation, la revue s’intéresse aux documentaires, aux<br />
films <strong>de</strong> format réduit, aux <strong>de</strong>ssins animés, à la situation <strong>de</strong>s cinémas étrangers et suit notamment l’évolution <strong>de</strong>s<br />
nouvelles technologies <strong>de</strong> l’audiovisuel. Parmi les étapes importantes qui jalonnent la vie du journal, on retiendra<br />
l’arrivée <strong>de</strong> Maurice Bessy, nommé directeur en janvier 1946, la publication du premier numéro en septembre<br />
1947, consacré au Festival <strong>de</strong> Cannes avec la parution d’un Bulletin quotidien qui ouvre une luxueuse série <strong>de</strong><br />
numéros spéciaux sur l’évolution du cinéma français et étranger. Le 11 mars 1966 (numéro 1135) le Film<br />
Français fusionne avec la Cinématographie Française, titre qui figurera jusqu’en avril 1974 (numéro<br />
1529) avant <strong>de</strong> disparaître <strong>de</strong> la page <strong>de</strong> couverture. Après quelques modifications au début <strong>de</strong>s années 70, le<br />
Film Français abor<strong>de</strong> un tournant en août 1975 (numéro 1589) en optant pour une rationalisation <strong>de</strong> la<br />
publication et <strong>de</strong> l’information, marquée par un format rétréci. Le 30 décembre 1977 (numéro 1705) la revue<br />
passe à un format agrandi. En 1983, le Film Français fusionne avec Cinéma <strong>de</strong> France, puis, choisit en<br />
janvier 1995, une nouvelle formule et maquette sur laquelle il continue <strong>de</strong> travailler.<br />
n° 604, 6 janvier 1956, article d’auteur inconnu : Production française 1955-1956, Eléna et les<br />
hommes, p. 6.<br />
n° 2283, 2 février 1990, article <strong>de</strong> Sophie Dacbert : L’âge d’or du cinéma présente le nouveau Crime <strong>de</strong><br />
monsieur Lange, p. 17.<br />
Focale<br />
Sous-titre : revue d’histoire et <strong>de</strong> théorie du cinéma et <strong>de</strong> la télévision annuel.<br />
62
Annoncé prématurément comme une publication semestrielle <strong>de</strong>s Presses Universitaires <strong>de</strong> Nancy, Focales ne<br />
connaîtra qu’une brève existence <strong>de</strong> quatre numéros parus <strong>de</strong> 1992 à 1996, mais honorera la recherche<br />
théorique sur le plan locale et régional menée notamment au sein <strong>de</strong> l’IECA <strong>de</strong> Nancy. Sur une centaine <strong>de</strong> pages<br />
environ, chaque volume abor<strong>de</strong> une étu<strong>de</strong> précise avec une double approche historique et sémiologique sans écarter<br />
d’autres champs d’investigation (sociologie, pédagogie).<br />
n° 1, éd. Presses universitaires <strong>de</strong> Nancy, Nancy, 1992, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : Spectacle<br />
et spectateur dans French Cancan, pp. 31 à 46.<br />
n° 4, éd. Presses universitaires <strong>de</strong> Nancy, Nancy, 1996, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : un espace<br />
encadré chez Renoir, pp. 35 à 46.<br />
Le Français aujourd’hui : revue <strong>de</strong> l’association française <strong>de</strong>s enseignants <strong>de</strong><br />
français<br />
n° 82, juin 1988, article <strong>de</strong> Jean-Loup Bourget : Double accueil à La Marseillaise, pp. 19-20.<br />
et fiche <strong>de</strong> Jacques Chevallier : La Marseillaise, pp. 19-20.<br />
Futur<br />
n° 13, 23 juillet 1936, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Schnerb : La France aux Français, pp. 10 à 13.<br />
Image et Son<br />
Mensuel.<br />
Après six ans <strong>de</strong> parution (1946-1951) UFOCEL Informations, abor<strong>de</strong> un tournant, et plai<strong>de</strong> pour un<br />
titre moins hermétique Image et Son. Revendiquant sans relâche sa laïcité et son militantisme, la revue<br />
poursuit ses activités antérieures au service notamment du mouvement ciné-club. « Organe <strong>de</strong> la Ligue<br />
Française <strong>de</strong> l’Enseignement rappelle M.C. Lebrun (numéros 46-47 p. 2) il s’efforcera par sa<br />
présentation et son esprit, d’affirmer sur le plan <strong>de</strong> l’éducation populaire audiovisuelle la<br />
polyvalence <strong>de</strong> nos groupements et la qualité <strong>de</strong> notre action. » La publication, est conçue comme un<br />
véritable instrument <strong>de</strong> connaissance, <strong>de</strong> réflexion autour du septième art, et <strong>de</strong> diffusion <strong>de</strong> la culture<br />
cinématographique à laquelle collaborent régulièrement bien <strong>de</strong>s spécialistes (B. Amengual, Jean Mitry). La<br />
spécificité tient sans doute dans l’insertion <strong>de</strong>s précieuses fiches filmographiques <strong>de</strong> l’IDHEC qui apportent une<br />
documentation irremplaçable sur chaque œuvre étudiée et les fameuses « saison cinématographique »<br />
constituant aujourd’hui <strong>de</strong>s outils <strong>de</strong> référence. Image et Son suit <strong>de</strong> près l’évolution <strong>de</strong>s ciné-clubs, informe ses<br />
lecteurs <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> la Fédération UFOCEL et <strong>de</strong>s expériences cinématographiques en milieu scolaire, abor<strong>de</strong><br />
<strong>de</strong> nombreux sujets (Court-métrage, <strong>de</strong>ssins animés) et consacre plusieurs dossiers à la télévision. Avec le numéro<br />
165-166 (septembre-octobre 1963) la publication choisit un format plus rétréci et augmente sa pagination<br />
avant d’opter en 1969 pour une nouvelle formule sous le titre la Revue du Cinéma.<br />
n° 57-58, novembre-décembre 1952, article <strong>de</strong> Jean Chevallier : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, pp.<br />
9-10.<br />
et article <strong>de</strong> F. Laurent : La Gran<strong>de</strong> illusion, pp. 17-18.<br />
article <strong>de</strong> Jean Chevallier : La Marseillaise, pp. 19-20.<br />
n° 83, juin 1955, article <strong>de</strong> J.Chevallier : French Cancan, pp. 11-12.<br />
n° 184, mai 1965, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux : <strong>de</strong> Fauchois à Renoir, pp. 49 à<br />
56.<br />
63
La Lettre du Cinéma<br />
Trimestriel.<br />
Nouveau venu dans le paysage mouvementé <strong>de</strong>s revues <strong>de</strong> cinéma <strong>de</strong>s années 90, la Lettre du Cinéma impose<br />
rapi<strong>de</strong>ment et avec une gran<strong>de</strong> originalité ses marques <strong>de</strong> différence. A commencer par l’équipe rédactionnelle<br />
diversifiée, composée entre autres <strong>de</strong> jeunes professionnels à l’origine <strong>de</strong> l’organisation du Prix Georges et Rita<br />
Sadoul parmi lesquels, Hervé le Roux, Jean-Louis Comolli, Eva Truffaut… Dans l’éditorial du second<br />
numéro, Julien Husson insiste bien sur la volonté <strong>de</strong> « découvrir, montrer et soutenir la distribution <strong>de</strong><br />
premiers films inédits du mon<strong>de</strong> entier » en prenant ses distances vis-à-vis <strong>de</strong> l’actualité journalistique.<br />
La Lettre du Cinéma s’immisce également dans les conditions <strong>de</strong> production, <strong>de</strong> distribution, d’exploitation<br />
et <strong>de</strong> diffusion <strong>de</strong>s œuvres qui restent souvent l’apanage <strong>de</strong> certaines revues professionnelles. Cette position parfois<br />
polémique, débouche immanquablement sur quelques interrogations relatives à la fonction critique du cinéma, du<br />
rôle <strong>de</strong>s femmes dont certaines cinéastes comme Jane Campion ou Catherine Breillat bousculent <strong>de</strong>s idées reçues,<br />
et à la dimension politique du septième art. Sur près d’une centaine <strong>de</strong> pages, la Lettre du Cinéma instaure<br />
bien plus qu’une relation épistolaire avec ses subtiles analyses critiques, prises <strong>de</strong> position, tables ron<strong>de</strong>s,<br />
réflexions autour <strong>de</strong> quelques questions épineuses, mais aussi ses notules chroniques et billets.<br />
n° 22, avril/mai/juin 2003, article <strong>de</strong> Michel Delahaye : Promena<strong>de</strong>s et circonstances, pp.46 à 57.<br />
Le Mensuel du Cinéma<br />
Mensuel.<br />
En septembre 1992, la mythique Revue du Cinéma cesse <strong>de</strong> paraître. Deux mois seulement après, l’ancienne<br />
équipe rédactionnelle trouve en la personne <strong>de</strong> Mario Renucci, un nouvel éditeur qui relance la publication sous<br />
le titre le Mensuel du Cinéma. L’aventure sera <strong>de</strong> courte durée et s’achève en 1994. Avec une mise en page<br />
et une iconographie soignées, la revue place l’actualité cinématographique au centre <strong>de</strong> ses préoccupations.<br />
Chaque sortie <strong>de</strong> film important fait l’objet d’une étu<strong>de</strong> détaillée comprenant une analyse et un entretien. Des<br />
dossiers apportent une documentation sur un sujet précis (guerre froi<strong>de</strong> et cinéma européen) ou une personnalité.<br />
D’autres rubriques fournissent quelques informations (vidéo, festivals). Le Mensuel du Cinéma a publié<br />
également <strong>de</strong>s Saisons 1992-1993.<br />
n° 18, juin 1994, article <strong>de</strong> Bernard Benoliel : Autour d’Une Partie <strong>de</strong> campagne, pp. 66 à 68.<br />
1895 : Bulletin <strong>de</strong> l’Association Française <strong>de</strong> Recherche sur l’Histoire du Cinéma<br />
n° 30, octobre 2000, article d’Olivier Curchod : Version courtes, versions longues : les cicatrices <strong>de</strong> La<br />
Règle du jeu, p.99 à 106.<br />
Mon Film<br />
Hebdomadaire puis mensuel.<br />
Mon Film appartient au même titre que Ciné-Miroir, Mon Cinéma et le Film Complet (qu’il absorbe<br />
d’ailleurs en 1958) à la veine <strong>de</strong>s grands magazines populaires <strong>de</strong> cinéma <strong>de</strong>s années 20 avec la particularité<br />
toutefois <strong>de</strong> couvrir une pério<strong>de</strong> étonnamment plus longue (1924-1967). A l’instar <strong>de</strong> ses confrères, Mon Film<br />
sacrifie à la mo<strong>de</strong> très prisée <strong>de</strong>s « films racontés » et réitère un contenu rédactionnel que l’on retrouve dans bien<br />
<strong>de</strong>s publications : portraits <strong>de</strong> ve<strong>de</strong>ttes, chroniques anecdotiques <strong>de</strong> stars, coin <strong>de</strong>s lecteurs, échos et nouvelles,<br />
textes sur les techniques du cinéma, présentation <strong>de</strong> films, notules sur la vie corporative. Une <strong>de</strong>s particularité<br />
tient sans doute dans ce « dictionnaire alphabétique du cinéma français ». En 1946, une nouvelle série voit le<br />
jour. La collection d’après-guerre (la revue ne paraît pas <strong>de</strong> 1938 à 1945) est résolument tournée vers le film<br />
raconté qui évoluera vers le photo-roman jusqu’à la disparition <strong>de</strong> la revue en 1967. Chaque numéro étant<br />
64
consacré au récit d’une adaptation cinématographique, la revue a abandonné en partie ses autres rubriques qui<br />
avaient gagné avant guerre une certaine considération.<br />
n° 355, 10 juin 1953, article d’auteur inconnu : film raconté le Carrosse d’or, pp. 3 à 14.<br />
Positif<br />
Mensuel.<br />
Dès sa naissance à Lyon en mai 1952 sous la direction <strong>de</strong> Bernard Chardère, Positif revendique ar<strong>de</strong>mment<br />
son indépendance malgré les sérieuses difficultés <strong>de</strong> parution régulières <strong>de</strong>s premiers temps et affiche une volonté<br />
<strong>de</strong> se forger une réputation parmi les tenants du titre (Cahiers du Cinéma, Sight and Sound, Bianco e<br />
Nero). En marge <strong>de</strong> l’actualité cinématographique, Positif se définit à ses débuts comme une revue en quête<br />
d’auteurs et défend Autant-Lara, Bunuel, Kurosawa, Huston, Brooks puis Clouzot, Fellini et Antonioni. En<br />
quelques années, aux éditions Fasquelle puis au Terrain Vague avec la complicité d’Eric Losfeld, la publication<br />
étoffe son contenu, consacre plusieurs numéros au cinéma espagnol, américain, italien et livre diverses analyses et<br />
étu<strong>de</strong>s critiques auxquelles collaborent régulièrement Raymond Bor<strong>de</strong>, R. Benayoun, B. Amengual. De sa<br />
création jusqu’en 1974 (numéro 155) Positif ne connaîtra pas moins <strong>de</strong> quatre éditeurs. A cette date, la revue<br />
change <strong>de</strong> format et <strong>de</strong> mise en page et procè<strong>de</strong> au renouvellement <strong>de</strong> son comité <strong>de</strong> rédaction. Au début <strong>de</strong>s années<br />
90 (numéro 359, janvier 1991), la société <strong>de</strong>s rédacteurs <strong>de</strong> Positif <strong>de</strong>vient propriétaire du titre <strong>de</strong> la revue et<br />
propose à ses lecteurs une formule nouvelle (qualité d’impression, agencement <strong>de</strong> rubriques, augmentation <strong>de</strong> la<br />
pagination). Cette exigence <strong>de</strong> qualité est toujours <strong>de</strong> mise lors <strong>de</strong> l’association avec les éditions P.O.L. à partir<br />
<strong>de</strong> mai 1991 (numéro 363) puis avec les éditions J.M. Place. Nouveau format à partir <strong>de</strong> mai 1996 (numéro<br />
423).<br />
n° 2, juin 1952, article <strong>de</strong> Pierre-Yves Chanut : Bengal Story, le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 13 à 17.<br />
n° 6, mars-avril 1953, article <strong>de</strong> Hector Williams : Lettre sur le Carrosse d’or, pp. 34 à 36.<br />
n° 10, juillet-août 1954, article <strong>de</strong> Guy Jacob : Jacques Prévert, auteur <strong>de</strong> films, pp. 60 à 68.<br />
n° 14-15, novembre 1955, article <strong>de</strong> Bernard Chardère : French Cancan, pp. 6 à 8.<br />
n° 31, novembre 1959, article <strong>de</strong> Louis Seguin : 39 metteurs en scène <strong>de</strong> la XXe Nostra, pp. 35 à 44<br />
(concernant Renoir, p. 40).<br />
n° 93, mars 1968, article <strong>de</strong> Michel Ciment : A propos <strong>de</strong> La Marseillaise, pp. 1 à 4.<br />
et article <strong>de</strong> Bernard Cohn : Trente ans après La Marseillaise, pp. 6 à 9.<br />
n° 113, février 1970, article <strong>de</strong> Goffredo Fofi : La Vie est à nous, pp. 43 à 47.<br />
n° 115, avril 1970, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Beylie : Lettre <strong>de</strong> lecteur (la Vie est à nous), p. 72.<br />
n° 136, mars 1972, article <strong>de</strong> Gérard Legrand : Les livres (Jean Renoir d’André Bazin), pp. 78-<br />
79.<br />
n° 152-153, juillet-août 1973, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Renoir par Renoir, pp. 70 à 75.<br />
n° 173, septembre 1975, article <strong>de</strong> Roland Stragliatri : Portraits <strong>de</strong> Jean Renoir, pp. 5 à 8.<br />
et article <strong>de</strong> Jeannine Ciment : Jean Renoir, La Chienne, pp. 9 à 11.<br />
article <strong>de</strong> Jacques B.Brunius : En marge <strong>de</strong> La Chienne, pp. 12 à 14.<br />
article <strong>de</strong> Michel Ciment : Entretien avec Jean Renoir sur La Bête humaine, pp. 15 à<br />
21.<br />
article <strong>de</strong> Pierre Sicard : Jean Renoir, p. 22.<br />
article <strong>de</strong> Michel Sineux : Ecrits et récrits, Renoir par lui-même, pp. 23 à 25.<br />
article <strong>de</strong> Michel Ciment : Tout le mon<strong>de</strong> a ses raisons, pp. 26 à 35.<br />
n° 239, février 1981, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Jeancolas : Les livres (Jean Renoir la double méprise<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur), p. 73.<br />
n° 244-245, juillet-août 1981, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthome : Entretien avec Max Douy (La<br />
Règle du jeu et La Bête humaine), pp. 2 à 12.<br />
n° 246, septembre 1981, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthome : Entretien avec Max Douy (French<br />
Cancan), pp. 22 à 35.<br />
n° 254-255, mai 1982, article <strong>de</strong> Christian Viviani : French Cancan, pp. 54-55.<br />
65
n° 257-258, juillet-août 1982, article <strong>de</strong> Barthélémy Amengual : Renoir réaliste, la connaissance par<br />
la ressemblance, pp. 28 à 34.<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : La Règle du jeu inédits, pp. 35 à 50.<br />
n° 266, avril 1983, article <strong>de</strong> Frank Curot : Griffith, Renoir et le traitement <strong>de</strong> l’espace filmique, pp. 37<br />
à 41.<br />
n° 283, septembre 1984, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Jeancolas : Les livres : (Lettres d’Amérique <strong>de</strong><br />
Jean Renoir), p. 75.<br />
n° 338, avril 1989, article <strong>de</strong> Michel Ciment : Notes <strong>de</strong> lecture (livres <strong>de</strong> Roger Viry-Babel,<br />
Clau<strong>de</strong> Bessy et Clau<strong>de</strong> Beylie), pp. 76-77.<br />
n° 341-342, juillet-août 1989, article <strong>de</strong> Gérard Legrand : Révolution française, combats avec tes<br />
défenseurs (La Marseillaise), pp. 8 à 11.<br />
n° 375-376, mai 1992, article <strong>de</strong> Jean A.Gili : La Règle du jeu, p. 31.<br />
et article <strong>de</strong> Pascal Pernod : Notes <strong>de</strong> lecture (l’eau et la terre dans les films <strong>de</strong><br />
Jean Renoir <strong>de</strong> Frank Curot), p. 159.<br />
n° 393, novembre 1993, article <strong>de</strong> Mike Leigh : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 10.<br />
n° 395, janvier 1994, article d’Alain Masson : La Gran<strong>de</strong> illusion, fenêtres, pp. 70 à 72.<br />
n° 401-402, juillet-août 1994, article <strong>de</strong> Gérard Legrand : Feuillets pour mon Renoir, pp. 86 à 90.<br />
et article d’Alain Masson : Le Fleuve, le serpent dans le jardin, pp. 91 à 94.<br />
article <strong>de</strong> Bertrand Asscher : A la recherche <strong>de</strong> monsieur Octave, <strong>de</strong> la Règle du jeu à un<br />
mariage, pp. 95 à 98.<br />
n° 408, février 1995, article d’Olivier Curchod : Autour <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne, l’omniprésence <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir, pp. 82-83.<br />
article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthome : Voir un peu d’herbe avant <strong>de</strong> mourir, Prévert et sa<br />
Partie <strong>de</strong> campagne, pp. 84 à 89.<br />
article <strong>de</strong> Jean-Pierre Pagliano : Entretien avec Sylvia Bataille, il y a <strong>de</strong>s moments où un<br />
acteur est visité, pp. 90 à 93.<br />
article <strong>de</strong> Jean-Pierre Jeancolas : Géraniums (la Gran<strong>de</strong> illusion et La Chienne),<br />
pp. 94-95.<br />
n° 420, février 1996, article d’Alain Masson : Note <strong>de</strong> lecture (Partie <strong>de</strong> campagne d’Olivier<br />
Curchod), p. 64.<br />
n° 459, mai 1999, article d’Olivier Curchod : Ecole et cinéma, <strong>de</strong>main peut-être (La Règle du jeu),<br />
pp. 62-63.<br />
n° 460, juin 1999, article d’Olivier Curchod : Fragments <strong>de</strong> vies en toutes lettres, correspondances : cher<br />
Jean Renoir <strong>de</strong> Saint-Exupéry, pp. 69 à 71.<br />
n° 461-462, juillet-août 1999, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Berthomé : Notes <strong>de</strong> lecture (La Règle du jeu<br />
<strong>de</strong> Curchod et Faulkner), pp. 164-165.<br />
n° 499, septembre 2002, article <strong>de</strong> Curt Courant : Chef opérateur dans l’âge d’or du cinéma, pp. 58<br />
à 60 (La Bête humaine, p. 60).<br />
Pour Vous<br />
Hebdomadaire.<br />
Considéré comme l’un <strong>de</strong>s plus importants et luxueux magazines populaires <strong>de</strong> cinéma <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-guerres<br />
créé peu <strong>de</strong> temps après Cinémon<strong>de</strong> et patronné par l’Intransigeant, un grand quotidien, Pour Vous<br />
propose à ses abonnées en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s rubriques traditionnelles (confi<strong>de</strong>nces et échos <strong>de</strong> stars, films racontés) un<br />
ensemble <strong>de</strong> textes signés L. Wahl, J.G. Auriol, R. Lehmann, N. Frank, P. Veber, D. Daix et R. Régent<br />
touchant notamment les coulisses du septième art (techniques <strong>de</strong> tournage, entretiens et portraits d’acteurs, propos<br />
<strong>de</strong> réalisateur). Quelques personnalités apportent parfois leur collaboration P. Morand, B. Cendrars, P. Mac<br />
Orlan. Les critiques <strong>de</strong> films nouveaux restent la rubrique la plus développée. Pour Vous présente également les<br />
films diffusés sur les principales villes <strong>de</strong> France.<br />
n° 3, 6 décembre 1928, article d’auteur inconnu: Ne dites plus metteur en scène dites auteur, p.3<br />
66
et article d’auteur inconnu : Tire-au-flanc, p. 6<br />
n° 4, 13 décembre 1928, article d’auteur inconnu : Le Tournoi à Bruxelles, p. 6<br />
n° 5, 20 décembre 1928, article <strong>de</strong> Louis Delapre : La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes, p.10<br />
n° 16, 7 mars 1929, article <strong>de</strong> Paul Saffor : les Français prennent Alger, p. 14<br />
n° 18, 21 mars 1929, article d’auteur inconnu : Tire-au-flanc, p. 5<br />
n° 26, 16 mai 1929, article d’auteur inconnu : Le Bled, pp. 6 et 15<br />
n° 43, 5 septembre 1929, article d’auteur inconnu : Le Bled, p. 5<br />
n° 59, 2 janvier 1930, article d’auteur inconnu : Le Tournoi, p. 5<br />
n° 66, 20 février 1930, article d’auteur inconnu : La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes, p. 5<br />
n° 107, 4 décembre 1930, article d’auteur inconnu : Nana, p. 4<br />
n° 137, 2 juillet 1931, article <strong>de</strong> Nino Frank : On purge bébé, p. 5<br />
n° 149, 24 septembre 1931, article d’auteur inconnu : La Chienne, p. 5<br />
n° 158, 26 novembre 1931, article <strong>de</strong> René Lehmann : La Chienne, p. 2<br />
n° 163, 4 février 1932, article <strong>de</strong> J.Vidal : La Chienne, p. 5<br />
n° 168, 4 février 1932, article <strong>de</strong> Jean Vidal : La Chienne, p. 12<br />
n° 180, 28 mars 1932, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Vermorel : Pierre Renoir vient <strong>de</strong> débuter à l’écran, p. 4<br />
et article <strong>de</strong> Jean Barreyre : La Nuit du carrefour, p. 7<br />
n° 207, 3 novembre 1932, article d’auteur inconnu : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 14<br />
n° 209, 17 novembre 1932, article <strong>de</strong> René Bizet : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 4<br />
n° 223, 23 février 1933, article d’auteur inconnu : Chotard et compagnie, p. 6<br />
n° 241, 29 juin 1933, article <strong>de</strong> Roger Regent : Chotard et compagnie, pp. 4-5<br />
n° 251, 7 septembre 1933, article <strong>de</strong> J.G.Auriol : On tourne Madame Bovary, p. 14<br />
n° 252, 14 septembre 1933, article <strong>de</strong> Benjamin Fainsilber : Jean Renoir met à l’écran Madame<br />
Bovary, p. 9<br />
n° 268, 4 janvier 1934, article d’auteur inconnu : Madame Bovary, p. 5<br />
n° 270, 18 janvier 1934, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : Madame Bovary, p. 9<br />
n° 321, 10 janvier 1935, article d’auteur inconnu : avec Toni aux Martigues, p 14<br />
n° 326, 28 février 1935, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : Toni, p. 4<br />
n° 363, 31 octobre 1935, article d’auteur inconnu : la couleur et le relief : Jean Renoir, p. 2<br />
et article <strong>de</strong> Thérèse Delree : l’imprimerie au studio : Jean Renoir tourne sur la cour,<br />
pp. 10-11<br />
n° 375, 23 janvier 1936, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 4<br />
n° 410, 28 septembre 1936, article d’auteur inconnu : dans Les Bas-fonds avec Jean Renoir, p. 11<br />
n° 422, 17 décembre 1936, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : une eau forte à la Gorki, les Bas-fonds, p. 4<br />
n° 431, 18 février 1937, article <strong>de</strong> Marguerite Bussot : au Haut-Koenigsbourg avec Jean Renoir et les<br />
interprètes <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 11<br />
n° 448, 17 juin 1937, article <strong>de</strong> Lucien Wahl : un beau film français : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 5<br />
n° 453, 22 juillet 1937, article <strong>de</strong> J.P.Barrot : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 14<br />
n° 456, 12 août 1937, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Jean Renoir parle <strong>de</strong> La Marseillaise son prochain film,<br />
p. 10<br />
n° 461, 16 septembre 1937, article <strong>de</strong> Françoise Holbane : Aux armes citoyens, p. 7<br />
n° 483, 16 février 1937, article <strong>de</strong> Serge Veber : La Marseillaise, p. 4<br />
n° 488, 23 mars 1938, article <strong>de</strong> J.P.Barrot : La Marseillaise, p. 14<br />
n° 511, 31 août 1938, article <strong>de</strong> Nino Frank : on tourne La Bête humaine au Havre, p. 10<br />
n° 528, 28 décembre 1938, article <strong>de</strong> Serge Veber : La Bête humaine, p. 6<br />
n° 530, 11 janvier 1939, article <strong>de</strong> différents abonnés : La parole est aux spectateurs : La Bête<br />
humaine, p. 13<br />
n° 532, 25 janvier 1939, article <strong>de</strong> Marguerite Bussot : Propos <strong>de</strong> Jean Renoir (La Règle du jeu),<br />
pp. 2-3<br />
n° 533, 1 er janvier 1939, article <strong>de</strong> Serge Veber : Crimes sans châtiment (La Bête humaine), p 2<br />
n° 538, 8 mars 1939, article <strong>de</strong> Marguerite Bussot : Où Jean Renoir metteur-en-scène nous présente<br />
Jean Renoir interprète <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 9<br />
67
n° 541, 29 mars 1939, article <strong>de</strong> N.F.: Dans les paysages <strong>de</strong> la Sologne : une chasse aux images avec<br />
Jean Renoir et les interprètes <strong>de</strong> La Règle du jeu, pp. 42-43<br />
n° 545, 26 avril 1939, article <strong>de</strong> Lucienne Escoube : Le film français à l’honneur à Londres (La Bête<br />
humaine), p. 6<br />
n° 547, 10 mai 1939, article <strong>de</strong> N.F. : Les <strong>de</strong>rnières prises <strong>de</strong> vues <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 11<br />
n° 549, 24 mai 1939, article : comment est née La Règle du jeu, pp. 4-5<br />
n° 555, 5 juillet 1939, article <strong>de</strong> M.J.C. : A travers la presse américaines <strong>de</strong>ux mots sur La Bête humaine,<br />
p. 7<br />
n° 556, 12 juillet 1939, article <strong>de</strong> Nino Frank : La Règle du jeu, p. 6<br />
n° 557, 19 juillet 1939, article d’auteur inconnu : Jean Renoir va tourner La Tosca : on aura tout vu !,<br />
p. 7<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Eloin : Notre scénario romance : La Règle du jeu, p. 12<br />
n° 558, 26 juillet 1939, article <strong>de</strong> René Bizet : le <strong>de</strong>stin du cinéma : se renouveler ou mourir, p. 2<br />
Première<br />
Mensuel.<br />
Première doit son existence au succès sportif d’une équipe <strong>de</strong> football <strong>de</strong> Saint-Etienne. Marc Esposito en<br />
rappelle l’historique dans le numéro du dixième anniversaire (juillet 1985). A la naissance <strong>de</strong> ce magazine à<br />
grand tirage, se situe une volonté un tant soit peu paradoxale <strong>de</strong> « miser sur un cinéma <strong>de</strong> qualité qui<br />
touche le grand public », conclut J.P. Frimbois dans l’éditorial du premier numéro. Il est vrai que<br />
Première ne cessera <strong>de</strong> défendre un cinéma occulté par la frange cinéphile <strong>de</strong> la critique privilégiant les sorties à<br />
grand succès, et surtout une politique <strong>de</strong>s acteurs largement médiatisée à ses débuts par Michel Drucker.<br />
Richement illustrée, Première porte donc l’accent sur plusieurs dossiers critiques <strong>de</strong> films à chaque numéro où<br />
s’illustrent quelques ve<strong>de</strong>ttes.<br />
n° 26, mars 1979, article <strong>de</strong> François Guérif et Pascal Merigeau : Nostalgies : Jean Renoir, p. 79 à<br />
75.<br />
Premier Plan<br />
Mensuel puis parution irrégulière.<br />
Collection <strong>de</strong> fascicules fondée par Bernard Chardère en 1959 après son départ <strong>de</strong> Positif, Premier Plan<br />
confie à un spécialiste l’étu<strong>de</strong> d’un grand cinéaste et <strong>de</strong> son œuvre, d’un acteur ou d’un aspect du cinéma<br />
(Nouvelle vague, jeune cinéma hongrois, Frankenstein). La formule maintes fois réitérée <strong>de</strong>puis, s’étoffe à partir<br />
du numéro 13 (Luis Bunuel) pour constituer <strong>de</strong> véritables monographies <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> cent pages.<br />
n° 22-23-24, mai 1962, Spécial Jean Renoir, 405p.<br />
article <strong>de</strong> Bernard Chardère : Présentation, p. 2 à 4<br />
article <strong>de</strong> Jean Renoir : Jean Renoir parle…, p. 7 à 25<br />
article d’Alexandre Minaux : Jean Renoir au sommet <strong>de</strong> son art, p. 29 à 31<br />
article <strong>de</strong> Roger Leenhardt : Jean Renoir et la tradition française, p. 32 à 36<br />
article <strong>de</strong> Maurice Sherer : Renoir Américain, p. 37<br />
article <strong>de</strong> Jérôme Canard : Jean Renoir ou La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 38 à 40<br />
article <strong>de</strong> Clémente Cartier : le jouet <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 41 à 43<br />
article <strong>de</strong> Marcel Oms : Renoir, revu et rectifié, p. 44 à 51<br />
article collectif : tous ses films (<strong>de</strong> La Fille <strong>de</strong> l’eau au Caporal épinglé), p. 55 à<br />
405<br />
68
Radio-Cinéma-Télévision<br />
Hebdomadaire.<br />
Au début <strong>de</strong>s années 50, trois organes catholiques (la vie Catholique illustrée, Témoignage Chrétien et<br />
les Editions du Cerf) unissent leurs efforts pour lancer un nouveau magazine Radio-Cinéma-Télévision.<br />
D’un premier abord austère, malgré une iconographie développée, la revue affirme l’intention <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir le journal<br />
<strong>de</strong> cinéma et <strong>de</strong> radio d’un très large public avec une mission d’éducation populaire et propose à chaque numéro,<br />
analyses détaillées <strong>de</strong> films, programmes complets <strong>de</strong> la radio et critiques d’émissions télévisées. Si les<br />
programmes radio occupent la moitié <strong>de</strong> la publication, cinéma et télévision ne sont pas pour autant déconsidérés.<br />
J.L. Tallenay, chroniqueur <strong>de</strong> la Revue Internationale <strong>de</strong> Cinéma mais aussi rédacteur en chef cinéma et<br />
cofondateur du Journal avec Y. Froment-Coste et ses collaborateurs signent <strong>de</strong> nombreux textes à propos d’un<br />
aspect du septième art, d’un acteur, d’un cinéaste, d’un grand film à l’affiche ou <strong>de</strong>s nouveautés à l’écran,<br />
emprunts parfois <strong>de</strong> pédagogie moralisante ou <strong>de</strong> volonté <strong>de</strong> gui<strong>de</strong>r le spectateur. R. Leprohon, H. Agel, C. Ford,<br />
A. Bazin et bien d’autres apporteront régulièrement leur contribution. La revue rend compte également <strong>de</strong><br />
l’évolution technologique <strong>de</strong> la télévision encore à ses balbutiements. Animé d’un esprit militantiste durant ses dix<br />
années d’existence Radio-Cinéma-Télévision laisse l’héritage d’une revue pluridisciplinaire qui rend ses<br />
lettres <strong>de</strong> noblesse à la critique dont Télérama poursuivra dignement la mission à partir <strong>de</strong> 1960 notamment<br />
en direction <strong>de</strong> la télévision (<strong>de</strong>vient Télérama à partir du numéro 559).<br />
n° 22, 18 juin 1950, article <strong>de</strong> Jean Queval : L’Homme du Sud : excellente rentrée <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />
pp.4-5<br />
n° 102, 30 décembre 1951, article <strong>de</strong> J.L.Tallenay : Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir : un grand film poétique<br />
et humain, p. 32<br />
n° 165, 15 mars 1953, article <strong>de</strong> J.D’Yvoire : Le Carrosse d’or, film franco-italien <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
souffre <strong>de</strong> quelques cahots sur une route glorieuse, pp.4-5<br />
et article <strong>de</strong> Jean Renoir : Je n’ai pas tourné mon film au Pérou, p. 5<br />
n° 349, 23 septembre 1956, article <strong>de</strong> Jean D’Yvoire : Eléna et les hommes, p. 44<br />
et article <strong>de</strong> « Ulysse » : Jean Renoir envisage <strong>de</strong> remonter la Gran<strong>de</strong> illusion, p. 38<br />
n° 401, 22 septembre 1957, article d’auteur inconnu : A propos d’Eléna et les hommes : une<br />
philosophie <strong>de</strong> la vie dans l’œuvre <strong>de</strong> Renoir, pp.39-40<br />
n° 460, 9 novembre 1958, article <strong>de</strong> Gilbert Salachas : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />
p. 7<br />
n° 511, 1 er novembre 1959, article <strong>de</strong> Pierre Cardinal : Gros plan sur Jean Renoir, pp. 47-48<br />
n° 530, 13 mars 1960, article d’auteur inconnu : Le Carrosse d’or, pp.47-48<br />
La Revue du Cinéma<br />
Mensuel.<br />
L’histoire bibliographique <strong>de</strong> la Revue du Cinéma s’inscrit sur un <strong>de</strong>mi siècle <strong>de</strong> parution. UFOCEL<br />
Information (1946-1951), puis Image et Son (1951-1969) date à partir <strong>de</strong> laquelle le titre la Revue<br />
du Cinéma <strong>de</strong>vient le titre principal et s’affiche en page <strong>de</strong> couverture (Image et Son en sous-titre) F.<br />
Chevassu dans le numéro d’avril 1969, justifie cette modification par un souci <strong>de</strong> clarté, sans filiation avec la<br />
fameuse revue <strong>de</strong> Jean-Georges Auriol. La Revue du Cinéma reste fidèle à la politique rédactionnelle<br />
d’Image et Son et affiche toujours cet esprit <strong>de</strong> militantisme, d’ouverture et <strong>de</strong> pluralisme critiques soutenu par<br />
le puissant réseau <strong>de</strong> ciné-clubs affiliés à la fédération UFOCEL. Chaque numéro consacre un bon tiers <strong>de</strong> ses<br />
pages aux sorties <strong>de</strong> films, propose <strong>de</strong>s entretiens et <strong>de</strong>s comptes-rendus <strong>de</strong> manifestations, s’intéresse aux cinéma<br />
<strong>de</strong>s minorités ethniques et présente régulièrement un dossier spécial important sur un grand cinéaste ou un thème.<br />
On n’oubliera pas les outils incontournables que sont <strong>de</strong>venus les Saisons Cinématographiques (publiées<br />
<strong>de</strong>puis 1957) qui répertorie chaque année la production française (analyses <strong>de</strong> longs métrages, bilan annuel<br />
d’activité, in<strong>de</strong>x, bibliographie, table), la programmation Ufoleis-Citevox et recueil <strong>de</strong> fiches filmographiques.<br />
En janvier 1980, la Revue du Cinéma est tiré à quarante mille exemplaires et ne peut espérer meilleure<br />
opportunité pour fusionner avec Ecran dont le titre figurera désormais en page <strong>de</strong> couverture. Après quelques<br />
69
modifications <strong>de</strong> présentation, la Revue du Cinéma joue son <strong>de</strong>rnier acte en septembre 1992. On retrouvera<br />
l’équipe rédactionnelle dans un nouveau titre : le Mensuel du Cinéma.<br />
n° 258, mars 1972, article <strong>de</strong> Raymond Lefèvre : Le Fleuve, pp.12-121<br />
n° 265, novembre 1972, article <strong>de</strong> Jean-Jacques Dupuich : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 120 à 122<br />
n° 268, février 1973, différents articles <strong>de</strong> Jean Renoir regroupé sous le titre : propos 1935-<br />
1939, p. 2 à 7<br />
et article <strong>de</strong> Louis Aragon : Jean Renoir et le Parti Communiste français (1936-1939),<br />
p.9 à 17<br />
article <strong>de</strong> C.G. : La Marseillaise, Jean Renoir et la critique en 1938, p.20 à 23<br />
ensemble <strong>de</strong> plusieurs critiques G. Cravenne, Lucien Rebatet, Georges Sadoul,<br />
Henri Jeanson, Pierre Autre, Aragon réuni sous le titre : le tournage <strong>de</strong> La Marseillaise, p.24 à 38<br />
ensemble d’articles <strong>de</strong> divers auteurs : La Marseillaise et la critique, p.39 à 63<br />
ensemble d’articles <strong>de</strong> Marcel Achard, Henri Jeanson, Jean Renoir : La<br />
Marseillaise, p. 64 à 71<br />
ensemble d’articles <strong>de</strong> Louis Debray, Marcel Lapierre, Henri Jeanson : La<br />
conférence <strong>de</strong> presse du 7 juillet 1938, p.72 à 78<br />
n° 282, mars 1974, dossier <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : La Règle du jeu et la critique en 1939, p .49 à 75<br />
n° 296, mai 1975, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Jean Renoir <strong>de</strong> Nana à La Gran<strong>de</strong> illusion, textes <strong>de</strong><br />
Renoir regroupés par thème : l’élément humain, vérité extérieure et vérité intérieure, du muet<br />
au parlant et différents témoignages <strong>de</strong> Charles Blavette, Jean Gabin et Charles Spaak, p.17 à<br />
38<br />
n° 315, mars 1977, dossier <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur, p.19 à 48<br />
La Marseillaise, p.23 à 25<br />
La Bête humaine, p.26 à 29<br />
C’est la jeunesse qui fait le succès <strong>de</strong>s films, p.30<br />
La France a-t-elle une mission ?, p .31<br />
Aujourd’hui le salut du cinéma est dans la CGT, p .32 à 36<br />
Sur Renoir Américain, p. 41 à 44<br />
Résumé du scénario <strong>de</strong> La Marseillaise, p. 37 à 40<br />
Conversation entre Jean Renoir et Henri Jeanson : comment on fait un film, p.45 à 48<br />
n° 359, mars 1981, article <strong>de</strong> Gérard Lenne : La Marseillaise et Le Prési<strong>de</strong>nt, relécture politique <strong>de</strong><br />
<strong>de</strong>ux films français, p.75 à 89.<br />
n° 368 bis hors série, article <strong>de</strong> Jacqueline Lajeunesse : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p.23 à 27<br />
n° 453, octobre 1989, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Gauteur : Paroles sans musiques, chansons inédites <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir retrouvées par Clau<strong>de</strong> Gauteur, p.70 à 72<br />
Synopsis<br />
Trimestriel puis bimestriel.<br />
Pari réussi pour cette revue spécialisée lancée à l’automne 1998. Synopsis occupe le créneau peu facile <strong>de</strong><br />
l’écriture audiovisuelle appliquée à différents médias (cinéma, télévision, publicité et édition). Sur plus d’une<br />
centaine <strong>de</strong> pages, Synopsis consacre d’importants dossiers au petit écran, surtout lorsqu’il s’agit d’adaptation à<br />
grands succès (le Comte <strong>de</strong> Monte-Cristo <strong>de</strong> J. Dayan), brosse le portrait <strong>de</strong> nouveaux scénaristes (B.<br />
Renucci, M. Sadler) et propose quelques analyses autour du scénario et <strong>de</strong>s productions, sans oublier l’actualité<br />
(tournages, projets, téléfilms, séries). La rubrique cinéma revisite les classiques du septième art (La Règle du<br />
jeu <strong>de</strong> Renoir) ou <strong>de</strong> la littérature ( Emile Zola, Guy <strong>de</strong> Maupassant) à la lumière <strong>de</strong> l’écriture scénaristique et<br />
propose <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s (remake, effets spéciaux), reportages, entretiens et comptes-rendus <strong>de</strong> festivals. Les analyses <strong>de</strong><br />
scénario <strong>de</strong> films appréhendées sous divers angles (narratologie, axes dramatiques, personnages) occupent bien<br />
entendu une place importante. Synopsis explore également les mécanismes <strong>de</strong> l’écriture publicitaire avec <strong>de</strong>s<br />
extraits <strong>de</strong> story-board et délivre diverses informations dans le domaine <strong>de</strong> l’édition, <strong>de</strong>s multimédias et <strong>de</strong> la<br />
formation.<br />
70
n° 2, printemps 1999, dossier Jean Renoir/La Règle du jeu, p.44 à 59<br />
article d’auteur inconnu : le jeu se dérègle, p.44 à 53<br />
article <strong>de</strong> Michel Eltchaninoff : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe la guerre du jeu, pp.54-55<br />
article <strong>de</strong> Michel Eltchaninoff : entretien avec Angelo Rinaldi (auteur <strong>de</strong> roman et<br />
critique littéraire au Nouvel Observateur) : <strong>de</strong> l’importance <strong>de</strong>s petits lapins, p.56 à 59.<br />
Télé-Ciné<br />
Mensuel (irrégulier).<br />
Organe <strong>de</strong> presse <strong>de</strong> la puissante Fédération loisirs et Culture Cinématographique (FLECC),<br />
mouvement d’inspiration catholique, Télé-Ciné s’adresse avant tout aux a<strong>de</strong>ptes <strong>de</strong>s ciné-clubs. D’une mo<strong>de</strong>ste<br />
brochure dactylographiée, la revue évolue en quelques années vers une publication <strong>de</strong> qualité qui trouve son<br />
originalité dans le recueil <strong>de</strong> plusieurs fiches filmographiques relativement complètes (générique, résumé, analyses,<br />
commentaires divers) auxquelles collaborent G. Salachas, H. Colpi, C.J. Philippe, H. Alekan, J. Collet et<br />
C.M. Tremois. Débordant le cadre <strong>de</strong> la critique pédagogique, Télé-Ciné propose également <strong>de</strong>s textes <strong>de</strong> fonds<br />
sur le cinéma, puis sur la télévision et la radio signés H. Agel, J. D’Yvoire, E. Oger et J. Mitry, ainsi que<br />
différentes étu<strong>de</strong>s (production, écoles, festivals, cinémas nationaux) et numéros spéciaux consacrés à un ou<br />
plusieurs cinéastes. A partir <strong>de</strong> 1950, la revue adopte un nouveau format plus maniable. En janvier 1968<br />
Téléciné (en un seul mot) choisit un format à l’italienne et structure distinctement trois rubriques (cinéma,<br />
télévision, livres). Après une année <strong>de</strong> silence en 1972, une nouvelle équipe, parmi lesquels figurent D. Serceau et<br />
J. Magny (futur rédacteur en chef), sous la direction <strong>de</strong> C. Gault, reprend la publication.<br />
n° 50, juillet-août 1955, fiche n°250, établie par Jean Collet : French Cancan, p.11 à 20<br />
n° 61, novembre 1956, fiche n°284, établie par Pierre Miran<strong>de</strong> : Eléna et les hommes, p.18 à 24<br />
n° 98, octobre 1961, fiche n°388, établie par Henri-Georges Cauliez : La Marseillaise, p.15 à 20<br />
n° 100, décembre 1961, plusieurs « opinions hâtives » sur le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier,<br />
pp.39-40<br />
n° 106, août-septembre 1962, article <strong>de</strong> Jean d’Yvoire : Le Caporal épinglé, p. 45<br />
n° 210, juillet-août 1976, article <strong>de</strong> Joël Magny : La Chienne, pp.28-29<br />
n° 213, décembre 1976, article <strong>de</strong> Robert Allezaud : La Règle du jeu, p.15<br />
n° 217, avril 1977, article <strong>de</strong> Joël Magny : notes sur <strong>de</strong>ux films <strong>de</strong> Jean Renoir (Partie <strong>de</strong> campagne<br />
et Les Bas-fonds), pp23-24<br />
Télérama<br />
Hebdomadaire.<br />
Le 25 septembre 1960 paraît le <strong>de</strong>rnier numéro (558) <strong>de</strong> Radio-Cinéma-Télévision, qui adopte à partir<br />
du 2 octobre, un nouveau titre : Télérama. Animé d’un esprit militantiste durant ses six années d’existence<br />
(1950-1960) Radio-Cinéma-Télévision, d’obédience politique, laisse l’héritage d’une revue<br />
pluridisciplinaire oeuvrant sans relâche pour la défense d’une télévision <strong>de</strong> qualité. Télérama poursuit<br />
dignement les missions, tant en direction du petit écran que du cinéma et <strong>de</strong> la radio sans oublier l’actualité<br />
culturelle qui ne cessera d’occuper une place grandissante. Au cours <strong>de</strong>s années 60, malgré l’apparition <strong>de</strong> la<br />
couleur en couverture, la revue donne l’impression d’une mise en page austère. Toutefois, elle propose à chaque<br />
numéro un contenu non négligeable : programme télé et radio, dossiers et enquêtes, critiques d’émissions télévisées,<br />
chroniques techniques et sélection <strong>de</strong> disques. La rubrique cinéma n’est pas en reste : analyse détaillée d’un grand<br />
film, portraits <strong>de</strong> cinéastes, d’acteurs, chroniques <strong>de</strong> tournages, comptes-rendus <strong>de</strong> festivals, films racontés,<br />
résumés et commentaires <strong>de</strong>s nouveautés accompagnés d’appréciations morales <strong>de</strong> la Centrale Catholique du<br />
Cinéma. Durant une longue pério<strong>de</strong>, C.M. Tremois, J. Siclier, M. Huret, G. Salachas et J. Collet apporteront<br />
régulièrement leur collaboration. Tout au long <strong>de</strong>s décennies suivantes la revue ne cessera <strong>de</strong> développer <strong>de</strong><br />
nouvelles rubriques, d’étoffer son contenu, d’établir une correspondance avec les lecteurs toujours plus nombreux,<br />
71
d’adopter et d’améliorer la maquette du journal et surtout <strong>de</strong> débattre <strong>de</strong> l’actualité politique, culturelle et sociale.<br />
En février 1973, Télérama absorbe la Semaine Radio-Télé. Le numéro 2000 (11 mai 1988) retrace les<br />
trente-huit premières années <strong>de</strong>puis le fondation <strong>de</strong> Radio-Cinéma-Télévision. Parti d’une mo<strong>de</strong>ste parution<br />
en 1950, Télérama est <strong>de</strong>venue un véritable journal indépendant et engagé qui en mai 2000 (numéro 2625)<br />
propose à ses abonnés, un nouveau regard sur la télévision (envahie par le câble et les satellites) et la vie<br />
culturelle en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s feux médiatiques.<br />
n° 647, 10 juin 1962, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Un clochard philosophe : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p.15<br />
et article <strong>de</strong> Jean d’Yvoire : Le Caporal épinglé, p.59<br />
n° 653, 22 juillet 1962, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe : L’Etang tragique, p.53<br />
n° 724, 1 er décembre 1963, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p.16<br />
n° 776, 29 novembre 1964, article <strong>de</strong> Jean Collet : Le Déjeuner sur l’herbe, pp.63-64<br />
n° 838, 6 février 1966, article <strong>de</strong> J.Collet : l’Etang tragique, pp.79-80<br />
n° 916, 6 août 1967, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Boudu le clochard se livre à toutes les fantaisies <strong>de</strong> sa<br />
riche nature, p.29 à 31<br />
n° 928, 29 octobre 1967, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, p.54 à 57<br />
n° 940, 21 janvier 1968, article d’Emile Ca<strong>de</strong>au : Renoir au soleil <strong>de</strong>s « Colettes », pp.8-9<br />
et article <strong>de</strong> Jean Collet : French Cancan, pp.56-57<br />
n° 954, 28 avril 1968, article <strong>de</strong> Jean Collet : La Bête humaine, pp.16-17<br />
et article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Marie Tremois : Dominique Labourier, pp.20-21<br />
n° 1174, 16 juillet 1972, article <strong>de</strong> Gérard Lenne : La Règle du jeu, pp.16-17<br />
et article <strong>de</strong> Jacques Meillant : La Règle du jeu, p. 39<br />
article <strong>de</strong> Gilles Marceau : La Gran<strong>de</strong> illusion, p.44 à 46<br />
n° 1768, 30 novembre 1983, article <strong>de</strong> Joshka Schidlow : Marcel Dalio, <strong>de</strong>s seconds rôles <strong>de</strong> premier<br />
plan, p.29<br />
et article <strong>de</strong> Jean Wagner : Les Bas-fonds <strong>de</strong> Gorki à Charlot, p.35<br />
n° 1790, 5 mai 1984, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Marie Tremois : Le Fleuve : renaissances au bord du Gange,<br />
pp.20-21<br />
n° 1835, 16 mars 1985, article <strong>de</strong> Fabienne Pascaud : Catherine Rouvel, pp.25-26<br />
et article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir, p.105<br />
n° 1898, 31 mai 1986, article <strong>de</strong> Gilbert Salachas : La Vie est à nous, p.48<br />
n° 2051, 6 mai 1989, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe : Le regard libre (La Chienne), pp.60-61<br />
et article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Les Bas-fonds, p.134<br />
n° 2309, 16 avril 1994, article <strong>de</strong> Philippe Piazzo : Le Fleuve, p.27<br />
n° 2485, 30 août 1997, article d’Aurélien Ferenczi : La Vie est à nous, p.84<br />
Hors-série, septembre 2005, La toile en mouvement : Renoir père et fils.<br />
Trafic<br />
Trimestriel.<br />
Surprenante revue que Trafic, qui dès son premier numéro en 1991, livre une nouvelle approche du cinéma sur<br />
un extrait, en guise d’ouverture, du Journal Cinéphile <strong>de</strong> Serge Daney, rédacteur en chef, figure emblématique<br />
<strong>de</strong>s Cahiers du Cinéma. L’esprit littéraire, esthétique et intimiste <strong>de</strong>s débuts donnera le ton à cette<br />
publication qui ouvre largement ses pages à <strong>de</strong>s textes <strong>de</strong> différente nature (poèmes, carnets <strong>de</strong> tournage,<br />
correspondance, extraits <strong>de</strong> scénario, dialogues, projets, pensées, traductions) auxquels R. Bellour, J C. Biette,<br />
J.L. Godard, B. Eisenschitz, J. Douchet, L. Moullet, P. Bonitzer, J.L. Comolli, prêtent régulièrement leur<br />
plume. A cette vision contemporaine du septième art qui va parfois à l’encontre <strong>de</strong>s idées reçues (manifeste contre<br />
le centenaire du cinéma <strong>de</strong> Jonas Mekas), il faut saluer cette volonté d’y associer la réédition <strong>de</strong> textes peu<br />
courants <strong>de</strong> certains cinéastes (Lettres <strong>de</strong> guerre <strong>de</strong> F.W. Murnau, la caméra-stylo d’A. Astruc, Mémo<br />
à la Universal d’O. Welles).<br />
n° 11, été 1994, article d’Alain Fleisher : en remontant Renoir, p.47 à 60<br />
72
et article d’Alain Bergala : un érotique du filmage, p.61 à 74<br />
article d‘Alexandre Astruc : Sylvia Bataille, mon interprète, pp75-76<br />
n° 12, automne 1994, article <strong>de</strong> Jacques Bontemps : Renoir et Bresson dans le texte, p.50 à 63<br />
n° 24, hiver 1997, article <strong>de</strong> Shiguéhiko Hasumi : L’arbre mort et le jeu <strong>de</strong> la flûte, p.75 à 83<br />
et article d’Alain Renoir : Jean Renoir, conteur d’histoires, p.84 à 89<br />
article <strong>de</strong> Hans Myer : Figaro 1939 (à propos <strong>de</strong> La Règle du jeu), p.90 à 93<br />
article <strong>de</strong> Janet Bergstrom : le compromis du rêve : Renoir et La Femme sur la plage,<br />
p.94 à 110<br />
article <strong>de</strong> Jean Douchet : les fenêtres <strong>de</strong> chez Renoir, p.111 à 118<br />
Vertigo<br />
Semestriel (irrégulier).<br />
Publié par Avancées cinématographiques (association fondée en 1983 par Antoine <strong>de</strong> Baecque, à l’Ecole<br />
Normale Supérieure <strong>de</strong> Fontenay-Saint-Cloud), Vertigo entend multiplier les approches complémentaires sans<br />
pour autant « sacrifier l’objet (le film) à la théorie (sémiologique, historique, psychanalytique) » et<br />
défendre « une réflexion <strong>de</strong> qualité sur le cinéma, ses formes et son histoire ». La revue se partage en<br />
<strong>de</strong>ux rubriques essentielles : la première « champ » réunit un ensemble <strong>de</strong> textes sur un thème donné, la secon<strong>de</strong><br />
« hors-champ » propose <strong>de</strong>s analyses portant sur un film, une œuvre, un réalisateur, <strong>de</strong>s entretiens et <strong>de</strong>s<br />
informations diverses (comptes-rendus <strong>de</strong> festivals, notes <strong>de</strong> lecture, rencontres). Vertigo entretient un réseau<br />
important <strong>de</strong> correspondants français et étrangers parmi lesquels figurent A. <strong>de</strong> Baecque, R. Bellour, J. Douchet,<br />
J. Collet, M. Esteve, M. Marie, C. Metz, F. Vanoye, A. Samueli, F. Buache, A. Gaudreault, P. Verstraten et<br />
F. Casetti.<br />
n° 4, 1989, article <strong>de</strong> Michèle Lagny : La Marseillaise, pour une révolution permanente, p.46 à 52<br />
et article <strong>de</strong> Pierre Serna : A table, citoyens ! la nourriture et les mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> consommation<br />
dans La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir, p.53 à 60<br />
article <strong>de</strong> Thierry Fremaux : La Marseillaise, une carrière lyonnaise étu<strong>de</strong> d’impact,<br />
p.61 à 69<br />
article <strong>de</strong> Chantal Thomas : Images <strong>de</strong> Marie-Antoinette : van Dyke, Renoir, Delannoy,<br />
p.77 à 81<br />
n° 15, 1996, article d’Oliver Curchod : Jean Renoir au four et au moulin, p.36 à 40<br />
et article <strong>de</strong> Jean-Paul Fargier : Ciné Jekyll et télé Hy<strong>de</strong>, présence <strong>de</strong> Renoir, Lewis et<br />
Moretti dans le déplacement d’un mythe, p.51 à 55<br />
article <strong>de</strong> Philippe Delesalle : une petite étincelle <strong>de</strong> vie : entretien avec Jean Renoir,<br />
propos recueilli le 25 octobre 1967, p.151 à 158<br />
n° 19, 1999, article d’Olivier Curchod : Ballet tragique à Brinon-sur-Sauldre : 16 morts : la chasse <strong>de</strong><br />
La Règle du jeu, p.66 à 73<br />
n° 21, 2001, article <strong>de</strong> Janet Bergstrom : renouer : French Cancan ou le retour <strong>de</strong> Jean Renoir en<br />
France, p.157 à 166<br />
73
PRESSE<br />
L’Action Française<br />
2 octobre 1936, article <strong>de</strong> François Vinneuil : La Vie est à nous, p. 4.<br />
11 juin 1937, article <strong>de</strong> François Vinneuil, : La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
n° 42,1938, article <strong>de</strong> François Vinneuil : La Marseillaise, p. 4.<br />
n° 119, 29 avril 1938, article <strong>de</strong> François Vinneuil : A propos <strong>de</strong> La Marseillaise, p. 4.<br />
L’Aurore<br />
13 septembre 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Garson : Eléna et les hommes.<br />
30 septembre 1975, article <strong>de</strong> Guy Teisseire : La Chienne cruelle bouffonnerie signée Renoir.<br />
Le Canard Enchaîné<br />
29 octobre 1958, article <strong>de</strong> Michel Duran : Pas <strong>de</strong> prescription pour Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 7.<br />
28 avril 1965, article <strong>de</strong> Jean-Paul Grousset : La Règle du jeu (25 ans après) toujours jeune, p. 7.<br />
16 mai 1984, article <strong>de</strong> J.P.G.: Le Fleuve, p. 7.<br />
Candi<strong>de</strong><br />
5 avril 1939, article <strong>de</strong> J. Barreyre : La Règle du jeu.<br />
Combat<br />
21 décembre 1946, article <strong>de</strong> Denis Marion : Un film qui aurait pu être muet (Partie <strong>de</strong><br />
campagne).<br />
26 février 1953, article <strong>de</strong> R.M. Arlaud : Le Carrosse d’or.<br />
29-30 novembre 1969, article <strong>de</strong> Michel Perez : Extrêmement fort et émouvant (La Vie est à nous).<br />
La Croix<br />
6 mai 1955, article <strong>de</strong> Jean Rochereau : French Cancan.<br />
1 er septembre 1956, article <strong>de</strong> Jean Rochereau : Ce sujet était-il comique ?<br />
septembre 1956, article d’Yves L’Her. : Une certaine joie <strong>de</strong> vivre.<br />
2 avril 1965, article <strong>de</strong> Henry Rabine : La Règle du jeu.<br />
et article du même auteur : Un film <strong>de</strong> 25 ans, mais toujours d’une insolente jeunesse.<br />
La Défense<br />
27 décembre 1946, article <strong>de</strong> Robert Blondini : Un chef-d’œuvre inachevé <strong>de</strong> Jean Renoir : Partie <strong>de</strong><br />
campagne.<br />
Les Dernières nouvelles d’Alsace<br />
n° 263, 7 novembre 1958, article <strong>de</strong> Jean T.Henches : La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />
Epoque<br />
25 décembre 1941, article <strong>de</strong> Henri Gérard : Une Partie <strong>de</strong> campagne.<br />
74
L’Evénement du Jeudi<br />
n° 236, 11-17 mai 1989, article <strong>de</strong> Michel Boujut : Renoir dans les terrains vagues (Les Bas-fonds),<br />
p. 148.<br />
Le Figaro<br />
16 juillet 1946, article <strong>de</strong> J.J. Gautier : Vivre libre.<br />
3 août 1968, article <strong>de</strong> Pierre Mazars : Reprise <strong>de</strong> La Bête humaine.<br />
18 septembre 1975, article <strong>de</strong> Renaud Matignon : Jeunesse <strong>de</strong> Renoir (La Chienne).<br />
n° 12028, 6 mai 1983, article <strong>de</strong> Jacques Richard : La Chienne, p. 27.<br />
n° 12346, 14 mai 1984, article <strong>de</strong> Jacques Richard : Lange et… le démon, p. 34.<br />
n° 13094, 6 octobre 1986, article <strong>de</strong> Henri-François Rey : Revoir Boudu-Simon, p. 29I<br />
Le Figaro Littéraire<br />
22 septembre 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac : Un superbe Renoir.<br />
6 octobre 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Mauriac : Retour sur Eléna.<br />
France Nouvelle<br />
28 avril 1965, article d’Albert Cervoni : La Règle du jeu.<br />
France Observateur<br />
7 juin 1956, article d’André Bazin : Toni <strong>de</strong> Renoir.<br />
30 octobre 1958, article d’André Bazin : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange.<br />
France Soir<br />
28 février 1953, article d’A. Lang : Le Carrosse d’or.<br />
Franc-Tireur<br />
13 juillet 1946, article <strong>de</strong> P. Laroche : Vivre libre.<br />
2 juin 1950, article <strong>de</strong> Jean Nery : L’Homme du Sud, Renoir retrouvé.<br />
et article : L’Homme du Sud est un mirage.<br />
Gringoire<br />
n° 557, 13 juillet 1939, article <strong>de</strong> Georges Champeaux : Le Règle du jeu, p. 15.<br />
L’Humanité<br />
16 juin 1937, article <strong>de</strong> Louis Cheronnet : La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />
6 novembre 1946, article <strong>de</strong> P.G. : Vivre libre.<br />
22 avril 1965, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : Nous l’attendions <strong>de</strong>puis 26 ans : La Règle du jeu.<br />
27 avril 1965, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : Prélu<strong>de</strong> à la mort d’un mon<strong>de</strong> : La Règle du jeu.<br />
3 janvier 1969, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : La Vie est à nous le plus inconnu <strong>de</strong>s films <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
6 janvier 1969, article <strong>de</strong> Samuel Lachize : La Vie est à nous : un moment <strong>de</strong> l’histoire.<br />
21 juillet 1972, article <strong>de</strong> François Maurin : Jean Renoir au sommet <strong>de</strong> son talent : La Règle du jeu.<br />
17 mai 1976, article d’Albert Cervoni : La Bête humaine.<br />
10 novembre 1984, article d’Albert Cervoni : Tourné en 1937 La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
75
Mai 2006, numéro hors-série : 22 cinéastes d’aujourd’hui : Jean Renoir et nous…<br />
L’Intransigeant<br />
20 décembre 1924, article <strong>de</strong> Jean Wahl : La Fille <strong>de</strong> l’eau.<br />
Le Journal du Dimanche<br />
28 juillet 1946, article <strong>de</strong> R. Jarry : Vivre libre.<br />
Libération<br />
21 octobre 1975, article <strong>de</strong> Jacques Doyon : La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
25 février 1980, article <strong>de</strong> Louella Interim : La Bête humaine <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
6 mai 1983, article <strong>de</strong> Doudou Waintrop : La Chienne.<br />
16 juillet 1984, article <strong>de</strong> Jean-Pierre Thibaudat : Dido Renoir dans la maison <strong>de</strong> Jean.<br />
1<br />
76<br />
er mars 1985, article <strong>de</strong> JFB : Jean Renoir au fil du Fleuve.<br />
15 mars 1985, article <strong>de</strong> L.S. : Renoir, USA.<br />
19 mai 1988, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le jeune Renoir, p. 34.<br />
7-8 mars 1992, article d‘Edouard Waintrop : Renoir, roulez carrosse, p. 36.<br />
4 mai 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Beau comme un Renoir, p. 45.<br />
13 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, baisers coupés, p. 25.<br />
14-15 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Jean fils d’Auguste, p. 27.<br />
17 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, Simon et cie, p. 36.<br />
18 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, la gran<strong>de</strong> illusion politique, p. 38.<br />
19 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir dans le jeu hollywoodien, p. 44.<br />
20 mai 1994, article d’Edouard Waintrop : Renoir, l’aficionado s’en est allé, p. 32.<br />
22 mai 1994, article <strong>de</strong> Mathieu Lindon : Cartier-Renoir, p. 23.<br />
29 août 1994 article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Un aimable inventaire <strong>de</strong> l’univers Renoir, p. 36.<br />
13 septembre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Toni, la vie en noir et blanc, p. 37.<br />
19 septembre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Rivette et Renoir vont en bateau, p. 45.<br />
21 septembre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Boudu, ou <strong>de</strong> désordre incarné, p. 45.<br />
5 octobre 1994, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le petit jeu <strong>de</strong> l’amour et du pouvoir, façon Renoir, p. 61.<br />
11 janvier 1995, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : 3 styles pour un même film ou la virtuosité <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />
La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 53.<br />
7 mars 1995, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Caporal épinglé, p. 49.<br />
21 mars 1995, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Quand Jean Renoir célébrait la terre dans le Sud profond <strong>de</strong>s<br />
Etats-Unis : L’Homme du Sud, p. 49.<br />
26 septembre 1995, article <strong>de</strong> Roger Viry-Babel : La Partie <strong>de</strong> campagne : la gran<strong>de</strong> désillusion, p. 8.<br />
19 février 1996, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Bête humaine, p 43.<br />
14 septembre 1996, article <strong>de</strong> Frédéric Bonnaud : La Règle du jeu, p. 39.<br />
25 octobre 1996, article <strong>de</strong> Marie-Dominique Arrighi et Anne Boulay : French Cancan, p. 39.<br />
14 février 1997, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 31.<br />
28 avril 1997, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre, p. 39.<br />
14 mai 1997, article d’Anne Boulay et Laurent Rigoulet : Cannes, p. 4.<br />
27 octobre 1997, article d’Isabelle Potel : La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Renoir en version originale, précédé d’un<br />
plateau spécial : la vraie Gran<strong>de</strong> illusion, p. 41.<br />
28 février 1998, article <strong>de</strong> Noël Herpe : Partie <strong>de</strong> campagne, p. 43.<br />
2 mars 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 43.<br />
28 mai 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 37.<br />
11 juillet 1998, article d’Olivier Nicklaus : La Bête humaine, p. 43.<br />
9 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Toni, p. 39.<br />
10 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 39.<br />
11 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 43.
18 septembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Chienne, p. 39.<br />
11 novembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Carrosse d’or, p. 35.<br />
25 décembre 1998, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 30.<br />
22 avril 1999, article <strong>de</strong> Claire Devarrieux : En 1945, Saint-Exupéry se met <strong>de</strong>vant un gramophone<br />
enregistreur pour raconter à Jean Renoir Terre <strong>de</strong>s Hommes, p. 4.<br />
21 septembre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Règle du jeu, p. 50.<br />
14 octobre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Eléna et les hommes, p. 42.<br />
29 novembre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Les Bas-fonds, p. 42.<br />
13 décembre 1999, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Madame Bovary, p. 42.<br />
15 décembre 1999, article d’Anne-Marie Fevre : Dynastie Renoir, une affaire d’hommes portrait <strong>de</strong><br />
famille : Les Renoir ou l’esprit <strong>de</strong> famille, p. 46.<br />
6 avril 2000, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Carrosse d’or, p. 42.<br />
9 juin 2000, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 50.<br />
28 juillet 2000, article d’Edouard Waintrop : Un rare Renoir, p. 34.<br />
13 septembre 2000, article <strong>de</strong> Sonya Faure : Le patron à Hollywood, p. 46.<br />
1 février 2001, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Bête humaine, p. 46.<br />
4 mai 2001, article <strong>de</strong> Samuel Douhaire : La Bête humaine, p. 23.<br />
11 octobre 2001, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Carrosse d’or, p. 42.<br />
29 octobre 2001, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Gran<strong>de</strong> illusion, p. 38.<br />
16 novembre 2001, article <strong>de</strong> Gérard Lefort : Renoir, la fête humaine, p. 38.<br />
18 avril 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Chienne, p. 38.<br />
5 juin 2002, article d’Isabelle Potel : La Nuit du carrefour, p. 42.<br />
12 juin 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : La Règle du jeu, p. 42.<br />
21 septembre 2002, article d’Isabelle Potel : Renoir en son miroir, p. 49.<br />
23 septembre 2002, article d’Isabelle Potel : La Bête humaine, p. 38.<br />
27 septembre 2002, article d’Isabelle Potel : Nana, p. 46.<br />
23 octobre 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Toni, p. 34.<br />
4 décembre 2002, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Caporal épinglé, p. 38.<br />
21 février 2003, article <strong>de</strong> Samuel Douhaire : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 35.<br />
12 mars 2003, article <strong>de</strong> Louis Skorecki : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 34.<br />
Le Mon<strong>de</strong><br />
3 juin 1950, article <strong>de</strong> Henry Magnan : L’Homme du Sud, p. 8.<br />
22 décembre 1951, article <strong>de</strong> Christine <strong>de</strong> Rivoyre : Le Fleuve, p. 8.<br />
4 mars 1953, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Carrosse d’or… Comedia all’improviso, p. 9.<br />
4 mai 1955, article <strong>de</strong> henry Magnan : French Cancan, p. 12.<br />
8-9 mai 1955, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : French Cancan à la sauvette ou les occasions perdues, p.<br />
10.<br />
2 juin 1956, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Sarraute : Toni <strong>de</strong> Jean Renoir à La Pago<strong>de</strong>, p. 12.<br />
15 septembre 1956, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Eléna et les hommes, p 8.<br />
1<br />
77<br />
er novembre 1958, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Reprise du Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 12.<br />
14 novembre 1959, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Déjeuner sur l’herbe, p. 13.<br />
18 novembre 1961, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 15.<br />
22 novembre 1961, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier, p. 10.<br />
31 mai 1962, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le Caporal épinglé, p. 12.<br />
27 avril 1965, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Reprise <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 15.<br />
19-20 décembre 1971, article <strong>de</strong> Louis Marcorelles : Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 13.<br />
15-16 septembre 1974, article <strong>de</strong> Jean Renoir : Un hommage à Grand Ecran, les 80 ans <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir, p. 11.<br />
8 août 1976, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le réalisme <strong>de</strong> La Chienne, p. 12.<br />
14 février 1979, article <strong>de</strong> Jean <strong>de</strong> Baroncelli : Le prophète du cinéma mo<strong>de</strong>rne : Jean Renoir est mort,<br />
p. 1 à 15.
27 juillet 1987, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Jean Renoir en liberté surveillée (Le Testament du<br />
docteur Cor<strong>de</strong>lier), p. 7.<br />
25 juin 1990, article <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Aziza : Partie <strong>de</strong> campagne, p. 13.<br />
20 janvier 1992, article <strong>de</strong> Jean-Louis Mingalon : Toni : les prémices du néoréalisme, p. 21.<br />
22 juin 1998, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Scènes <strong>de</strong> chasse en Sologne, p. 7.<br />
13 août 1998, article <strong>de</strong> Jacques Man<strong>de</strong>baud : Quand Jean Renoir formulait son « art poétique » avec<br />
Flaubert, p. 18.<br />
2 novembre 1998, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Renoir burlesque (Tire-au-flanc), p. 22.<br />
8 février 1999, article <strong>de</strong> Jean-François Rauger : Le caporal <strong>de</strong> la liberté, p. 37.<br />
27 décembre 1999, article d’Olivier Curchod : La débâcle <strong>de</strong> La Règle du jeu, p. 8.<br />
8 mai 2000, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange, p. 32.<br />
30 octobre 2000, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : French Cancan, p. 32.<br />
7 février 2001, article <strong>de</strong> Jean-François Rauger : Simenon, maître du noir, p. 30.<br />
11 juin 2001, article <strong>de</strong> Jean-François Rauger : Affinités naturalistes (La Bête humaine), p. 38.<br />
13 août 2001, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, p. 30.<br />
17 janvier 2002, article <strong>de</strong> Laurent Delmas : Du mauvais usage <strong>de</strong> Jean Renoir, p. 17.<br />
21 septembre 2002, article <strong>de</strong> Jacques Siclier : Carnassière cocotte (Nana), p. 25.<br />
Le Nouvel observateur<br />
22 avril 1965, article <strong>de</strong> Michel Cournot : Nos jours en partage.<br />
et article du même auteur : 26 ans <strong>de</strong> malheurs : La Règle du jeu.<br />
3-9 novembre 1969, article <strong>de</strong> Jean-Louis Bory : La réalité politique du bonheur (La Vie est à<br />
nous).<br />
L’Observateur<br />
1 er juin 1950, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : L’Homme du Sud.<br />
5 mars 1953, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : Le Carrosse d’or.<br />
27 septembre 1956, article d’André Bazin : Eléna.<br />
Pariscope<br />
26 novembre 1975, article <strong>de</strong> Jacques Doniol-Valcroze : La Chienne et l’ambiguïté créatrice.<br />
Le Parisien<br />
14 septembre 1956, article <strong>de</strong> Jacqueline Michel : Eléna et les hommes : La femme et les pantins.<br />
15 juin 1966, article d’Eric Leguebe : Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux.<br />
Paris-Presse<br />
5 mars 1953, article <strong>de</strong> M. Favalelli : Le Carrosse d’or.<br />
21 octobre 1958, article <strong>de</strong> Michel Aubriant : Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange.<br />
Politique Hebdo<br />
23 septembre 1975, article <strong>de</strong> H.D. : La Chienne mélo-rétro.<br />
Populaire<br />
18 janvier 1947, article <strong>de</strong> Jacques Rives : Partie <strong>de</strong> campagne.<br />
78
Le Quotidien <strong>de</strong> Paris<br />
25 septembre 1975, article <strong>de</strong> Henri Chapier : La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir, le génie <strong>de</strong>s précurseurs.<br />
17 octobre 1975, article <strong>de</strong> Michel Perez : Le Petit Théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir : <strong>de</strong>s souvenirs émus et <strong>de</strong>s<br />
citations souriantes.<br />
14 mai 1984, article <strong>de</strong> Guy Teisseire : Chère crapule, cher Jules.<br />
Le Soir <strong>de</strong> Bruxelles<br />
3 septembre 1965, article <strong>de</strong> M.V. : Une Partie <strong>de</strong> campagne.<br />
Valeurs actuelles<br />
27 octobre 1975, article <strong>de</strong> M.M. : Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
79
Dictionnaires et encyclopédies<br />
Histoire encyclopédique du cinéma<br />
éd. Robert Laffont, Paris, 1947.<br />
Histoire du cinéma<br />
<strong>de</strong> Robert Brasillach, Paris, 1954.<br />
Dictionnaire du cinéma et <strong>de</strong> la télévision<br />
<strong>de</strong> Maurice Bessy et Jean-Louis Chardans, éd. Jean-Jacques Pauvert, Paris, 1971, 4 volumes.<br />
Histoire du cinéma<br />
<strong>de</strong> Jean Mitry, éd. Universitaires Jean-Pierre Delarge, Paris 1980.<br />
La Gran<strong>de</strong> histoire illustrée du septième art<br />
collectif, éd. Atlas, Paris, 1982.<br />
Dictionnaire du cinéma français<br />
éd. Larousse, Paris, 1987.<br />
Dictionnaire <strong>de</strong>s personnages du cinéma<br />
<strong>de</strong> Gilles Horvilleux, éd Bordas, Paris, 1988.<br />
L’Encyclopédie du cinéma<br />
<strong>de</strong> Robert Boussinot, éd. Bordas, Paris, 1989.<br />
Gui<strong>de</strong> <strong>de</strong>s films<br />
<strong>de</strong> Jean Tulard, éd. Robert Laffont, Paris, 1990, 2 volumes.<br />
Dictionnaire du cinéma : les réalisateurs<br />
<strong>de</strong> Jean Tulard, éd. Robert Laffont, Paris, 1992.<br />
Dictionnaire du cinéma : les films<br />
<strong>de</strong> Jacques Lourcelles, éd. Robert Laffont, Paris, 1992.<br />
50 ans <strong>de</strong> cinéma américain<br />
<strong>de</strong> Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier, éd. Nathan omnibus, Paris, 1995.<br />
Dictionnaire du cinéma<br />
<strong>de</strong> J.L. Passek, éd. Larousse, Paris, 1995.<br />
Dictionnaire du cinéma : les réalisateurs 1895-1995<br />
<strong>de</strong> G. Scholler, éd. Laffont, Paris, 1995.<br />
Le Cinéma français<br />
<strong>de</strong> Pierre Maillot, éd. M.A. éditions, Paris, 1998.<br />
Dictionnaire du cinéma : les acteurs<br />
<strong>de</strong> Jean Tulard, éd. Robert Laffont, Paris, 1999.<br />
80
Le Siècle du cinéma<br />
<strong>de</strong> Vincent Pinel, éd. Larousse, Paris, 2000.<br />
Dictionnaire mondial <strong>de</strong>s films<br />
sous la direction <strong>de</strong> Bernard Rapp et Jean-Clau<strong>de</strong> Lamy, éd. Larousse, Paris, 2000.<br />
81
Thèses et autres travaux universitaires<br />
Dossier Jean Renoir<br />
certificat d’histoire du cinéma, <strong>de</strong> Roger Viry-Babel, Nancy II, 1973.<br />
Le Caporal Epinglé <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
mémoire <strong>de</strong> Maîtrise <strong>de</strong> Daniel Strosser, Nancy II, 1977.<br />
L’Espace filmique <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
thèse <strong>de</strong> doctorat d’état <strong>de</strong> Franck Curot, Paris I, 1986<br />
Les Images <strong>de</strong> la femme dans l’œuvre <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
thèse <strong>de</strong> doctorat d’état <strong>de</strong> Roger Viry-Babel, Nancy II, 1988<br />
Les Miroirs du Crédit dans la poésie balzacienne<br />
thèse <strong>de</strong> doctorat d’Alexandre Péraud, Bor<strong>de</strong>aux III, 2001 sous la direction <strong>de</strong> Jean-Louis<br />
Cabanes.<br />
La Bible <strong>de</strong> Zola : mythocritique <strong>de</strong>s Rougon-Macquart<br />
Thèse <strong>de</strong> doctorat <strong>de</strong> Célia Plantureux-Anfray, Paris Sorbonne, 2001.<br />
82
Divers<br />
L’art d’inventer les personnages<br />
<strong>de</strong> Georges Polti, éd. Montaigne, Paris, 1930, 312 p.<br />
Bagatelles pour un massacre<br />
<strong>de</strong> Louis Ferdinand Celine, éd. Denoël, Paris, 1937, 379 p. 9 e édition<br />
Concernant La Gran<strong>de</strong> illusion : <strong>de</strong> p. 268 à p. 274.<br />
Les Mémoires <strong>de</strong> Maigret<br />
<strong>de</strong> Georges Simenon, éd. Presse <strong>de</strong> la cité, Paris, 1951, 189 p.<br />
Esthétiques et psychologie du cinéma<br />
<strong>de</strong> Jean Mitry, éd. Universitaires, Paris, 1963, 2 volumes<br />
Les structures, 426 p.<br />
Les formes, 466 p.<br />
La Naissance <strong>de</strong> la tragédie<br />
<strong>de</strong> Friedrich Nietzsche, éd. Gallimard, Paris, 1975, 191 p.<br />
Les Films <strong>de</strong> ma vie<br />
<strong>de</strong> François Truffaut, éd. Flammarion, Paris, 1975, 360 p.<br />
Cinéma et Histoire<br />
<strong>de</strong> Marc Ferro, éd. Denoël Gauthier, Paris, 1977, 180 p.<br />
Les malédictions du cinéma français : une histoire du cinéma parlant 1928-1978<br />
<strong>de</strong> Francis Courta<strong>de</strong>, éd. Alain Moreau Bibliothèque <strong>de</strong>s médias, Paris, 1978, 410 p.<br />
La Musique du film<br />
d’Alain Lacombe et Clau<strong>de</strong> Ro<strong>de</strong>, éd. Francis Van De Vel<strong>de</strong>, Paris, 1979, 516 p.<br />
Histoire <strong>de</strong>s passions françaises<br />
<strong>de</strong> Théodore Zeldin, 2 tomes, éd. Point Seuil, Paris, 1980, 483 p.<br />
Les scénaristes au travail<br />
<strong>de</strong> Christain Salé, éd. Hatier, Paris, 1981, 124 p.<br />
Au Bonheur <strong>de</strong>s Dames<br />
d’Emile Zola, éd.Fasquelle, Paris, 1984, 512 p.<br />
La politique <strong>de</strong>s auteurs : entretiens avec dix cinéastes<br />
oeuvres collectives, éd. Cahiers du cinéma, Paris, 1984, 128 p.<br />
L’Ombre <strong>de</strong> Dionysos<br />
<strong>de</strong> Michel Maffesoli, éd. Librairie <strong>de</strong>s Méridiens, Paris, 1985, 246 p.<br />
Le cinéma ou l’homme imaginaire : essai d’anthropologie sociologique<br />
d’Edgar Morin, éd. De Minuit, Paris, 1985, 250 p.<br />
83
Le Plaisir <strong>de</strong>s yeux<br />
<strong>de</strong> François Truffaut, éd. Flammarion, Paris, 1987, 280 p.<br />
L’Inquiétante étrangeté<br />
<strong>de</strong> Freud, éd. Hatier, coll. Profil philosophie, Paris, 1987, 80 p.<br />
La Construction du personnage<br />
<strong>de</strong> Constantin Stanislavsky, éd. Pygmalion, Paris, 1988, 332 p.<br />
Travellings du rail<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, éd. Denoël, Paris, 1989, 263 p.<br />
L’Enonciation impersonnelle ou le site du film<br />
<strong>de</strong> Christian Metz, éd. Meridiens Klincksieck, Paris, 1991, 228 p.<br />
Le Signifiant imaginaire<br />
<strong>de</strong> Christian Metz, éd. Christian Bourgeois éditeur, Paris, 1993, 371 p.<br />
Fritz Lang : la mise en scène<br />
ouvrage collectif, éd. Cinémathèque Française, Paris, 1993, 503 p.<br />
Le cinéma français vu par…<br />
ouvrage collectif, éd. La Documentation française, Paris, 1994, 367 p.<br />
Phénoménologie <strong>de</strong> la perception<br />
<strong>de</strong> Maurice Merleau-ponty, éd. Gallimard, Paris, 1995, 531 p.<br />
L’Usine aux images<br />
<strong>de</strong> Ricciotto Canudo, éd. Séguier et Arte éditions, Paris, 1995, 382 p.<br />
La Critique <strong>de</strong> cinéma en France<br />
sous la direction <strong>de</strong> Michel Ciment et Jacques Zimmer, éd. Ramsay Cinéma, Paris, 1997,<br />
423p.<br />
La formation <strong>de</strong> l’acteur<br />
<strong>de</strong> Constantin Stanislavsky, éd. Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1998, 309 p.<br />
L’art du comédien<br />
<strong>de</strong> Bertold Brecht, éd. L’Arche, Paris, 1999, 249 p.<br />
Décrire à l’écran<br />
d’André Gardies, éd. Meridiens Klincksieck, Paris, 1999, 190 p.<br />
Créer <strong>de</strong>s personnages inoubliables<br />
<strong>de</strong> Linda Seger, éd. Dixit, Paris, 1999, 231 p.<br />
Faire <strong>de</strong>s films<br />
<strong>de</strong> James Blue, éd. Carré Ciné n° 31, Paris, 1999, 27 p.<br />
L’Ecole <strong>de</strong>s femmes<br />
<strong>de</strong> Molière, éd. Librio, Paris, 1999, 96 p.<br />
84
Vive le cinéma français ! petite anthologie <strong>de</strong>s Cahiers du Cinéma<br />
ouvrage collectif, éd. Cahiers du Cinéma, Paris, 2001, 251 p.<br />
La Mythologie<br />
d’Edith Hamilton, éd. Marabout, Belgique, 2004, 445 p.<br />
Le Récit Audiovisuel<br />
<strong>de</strong> Pierre Beylot, éd. Armand Colin, collection Cinéma, Paris, 2005, 242 p.<br />
85
Documents sonores<br />
86
Jean Renoir et Vénus<br />
Disque 33 tours, Véga, 1956, présentation <strong>de</strong> Eléna et les hommes, Musique <strong>de</strong> Joseph Kosma.<br />
Pour tout vous dire<br />
entretien <strong>de</strong> Jean Renoir par Jean Serge. 15 émissions d’entretiens enregistrées du 21 mai au 4<br />
juin 1958 pour RTF, diffusées du 17 octobre au 30 janvier 1959 :<br />
Notre siècle (20mn 10 sec)<br />
Les émissions d’Amérique (20 mn)<br />
Le théâtre, Orvet (20 mn)<br />
1914, la blessure, La Gran<strong>de</strong> illusion (20 mn)<br />
L’aviation (20 mn)<br />
Ses débuts, passions, le cinéma (20 mn 15 sec)<br />
Son père (première partie) (20 mn)<br />
Son père (secon<strong>de</strong> partie) (19 mn 50 sec)<br />
Monet (20 mn 35 sec)<br />
La joie <strong>de</strong> vivre d’Auguste (20 mn)<br />
Essoyes, les Collettes (20 mn)<br />
Maillol, Cézanne (19 mn 50 sec)<br />
Les <strong>de</strong>rnières années (19 mn 53 sec)<br />
Sa mort (20 mn)<br />
Portrait <strong>de</strong> Jean Marais<br />
<strong>de</strong> Xavier Pestuggia, éd. Livraphone-vox libri, 1997.<br />
87
Documents visuels<br />
88
Titre propre<br />
Eléna et les hommes<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises.<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 06 min 03 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
89
Titre propre<br />
Le Carrosse d’or<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 08 min 36 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
90
Titre propre<br />
Le Fleuve<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 07 min 30 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
91
Titre propre<br />
L’Homme du Sud<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF),<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 06 min 05 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
92
Titre propre<br />
La Règle du jeu<br />
Titre collection<br />
Jean renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF),<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 06 min 13 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
93
Titre propre<br />
La Bête humaine<br />
Titre collection<br />
Jean renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 06 min 03S sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
94
Titre propre<br />
Une Partie <strong>de</strong> campagne<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 05 min 30 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
95
Titre propre<br />
Les Bas-fonds<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 05 min 30 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
96
Titre propre<br />
Le Crime <strong>de</strong> monsieur Lange<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 04 min 49 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
97
Titre propre<br />
Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 02 min 48 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
98
Titre propre<br />
La Nuit du carrefour<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 02 min 32 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
99
Titre propre<br />
Nana<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 01 min 42 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
100
Titre propre<br />
Le Journal d’une femme <strong>de</strong> chambre<br />
Titre collection<br />
Présentation du film <strong>de</strong> Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 03 min 52 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
101
Titre propre<br />
La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
Titre collection<br />
Présentation du film <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Durée : 00 h 02 min 07 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
102
Titre propre<br />
Françoise Arnoul<br />
Titre collection<br />
Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : François Chalais ; Commentateur : François Chalais ; Participant : Françoise Arnoul, Henri<br />
Verneuil<br />
Résumé<br />
François Chalais reçoit dans le studio <strong>de</strong> l'hôtel Miramar Françoise Arnoul, qui est venue accompagnée par<br />
Henri Verneuil.<br />
- François Chalais est <strong>de</strong> dos face à une Françoise Arnoul très souriante. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> ironiquement pourquoi<br />
les acteurs français bou<strong>de</strong>nt Cannes, elle répond fermement qu'ils aimeraient venir mais sont presque tous en<br />
tournage. Jean Gabin doit rejoindre le festival dans quelques jours. François Chalais lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> son emploi du<br />
temps <strong>de</strong>puis son arrivée, reportage sur la façon <strong>de</strong> défaire ses valises, puis projection, puis souper, puis lecture <strong>de</strong><br />
son prochain rôle pour un film avec Gabin Des gens sans importance. Le film se déroule dans le milieu <strong>de</strong>s routiers et<br />
raconte une très belle histoire d'amour impossible.<br />
- François Chalais l'interroge ensuite sur les « fanfreluches », allusion au film <strong>de</strong> Renoir French<br />
Cancan. Françoise Arnoul raconte avoir passé trois mois extraordinaires aux côtés <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir, « c'est un climat très particulier, Jean Renoir travaille avant tout pour ses acteurs, il<br />
oublie la technique pour eux ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision<br />
française (ORTF), 1955<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/05/1955<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
103
Titre propre<br />
Reflets <strong>de</strong> Cannes : émission du 7 mai 1955<br />
Titre collection<br />
Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />
Générique et auteurs<br />
Commentateur : François Chalais ; Participant : André Cayatte, Paul Grimaul, Fernand Léger, Carlo Rim,<br />
Françoise Arnoul, Jean Renoir, Louis Chavance, Gene Kelly, Grace Kelly<br />
Résumé<br />
Date <strong>de</strong> diffusion : 07/05/1955<br />
Durée master INA : 08 min<br />
Durée master remonté : 07 min 22 sec<br />
10 :00 :00 : générique : 4 cartons :<br />
La télévision française présente<br />
Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />
<strong>de</strong> François Chalais<br />
10 :00 :15 Emission du 07/05/1955 réalisée par Jacques Planche et Igor Barrère<br />
10:01:33 : Réunion <strong>de</strong>s « créateurs » <strong>de</strong> films à Antibes<br />
10:02:20 : fin sujet<br />
10:02 :21 : Déjeuner <strong>de</strong> célébrités<br />
10:03:43 : fin sujet<br />
10:03:44 : Projection <strong>de</strong> French Cancan <strong>de</strong> J. Renoir<br />
10:05:11 : fin sujet<br />
10:05:12 : Sujet : Gene Kelly<br />
10:06:27 : fin sujet<br />
10:06:28 : Soirée <strong>de</strong> gala<br />
10:07:16 : fin émission<br />
10:07 :17 : générique ( 1 carton)<br />
Direction artistique <strong>de</strong> la restauration : Mei Chen Chalais<br />
Collaborateur artistique : Dominique Maillet<br />
Assisté <strong>de</strong> Frédéric Kastler et Laurence Faucheux<br />
Moyens techniques VDM<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Bry sur Marne : INA, 2002<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/05/1955<br />
Heure : 07 h 05M min 19 sec<br />
Canal : INA<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Institut National Audiovisuel<br />
104
Titre propre<br />
Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
La joie <strong>de</strong> vivre<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean Vernier ; Présentateur : O<strong>de</strong>tte Laure, Henri Spa<strong>de</strong> ; Interprète : Juliette Gréco, Paul<br />
Meurisse, Jean Renoir, Paulette Dubost, Simone Simon, Clau<strong>de</strong> Genia, Daniel Gelin, Cora Vaucaire, René<br />
Lefèvre, Maurice Baquet, Joseph Kosma, Germaine Montero, Jean Renoir , Jean Serge, Georges Van Parys,<br />
Clau<strong>de</strong> Grandjean, Paul Meurisse, Paulette Dubost, Maurice Baquet, René Lefèvre<br />
Résumé<br />
Emission consacrée à Jean Renoir, vu plus particulièrement dans sa dimension <strong>de</strong> metteur en scène :<br />
interviews sur différents moments <strong>de</strong> bonheur <strong>de</strong> sa carrière à travers l'évocation du tournage <strong>de</strong> ses films et<br />
interprétations <strong>de</strong> scènes <strong>de</strong> certains films par les acteurs <strong>de</strong>s films qui rejouent sous la direction <strong>de</strong> Renoir .<br />
- Henri Spa<strong>de</strong> accueille Jean Renoir<br />
- Juliette Greco chante accompagnée au piano A la belle étoile, chanson du film Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange; paroles<br />
<strong>de</strong> Prévert et musique <strong>de</strong> Cosma.<br />
- Longue Interview <strong>de</strong> Renoir par Henri Spa<strong>de</strong> : son amour <strong>de</strong>s acteurs, la direction <strong>de</strong>s acteurs au cinéma et au<br />
théâtre : « le métier <strong>de</strong> metteur en scène consiste à ai<strong>de</strong>r l'acteur à se trouver lui-même »<br />
- O<strong>de</strong>tte Laure présente le décor reconstitué d'une scène du Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange. Les acteurs du film, René<br />
Lefèvre et Maurice Baquet interprètent, sous la direction <strong>de</strong> Renoir , la scène en question<br />
- Accompagnée par Joseph Cosma (?) au piano, Germaine Montero chante l'air <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne. Jean<br />
Renoir explique pourquoi il n'y avait pas <strong>de</strong> paroles sur la musique composée par Cosma.<br />
- Autre décor réconstitué du film Toni : <strong>de</strong>s acteurs (dont Charles Blavette et Andrex) jouent une scène, Renoir les<br />
dirigeant.<br />
- Interview <strong>de</strong> Renoir : à propos <strong>de</strong> son séjour aux Etats Unis, du cinéma et du théâtre, <strong>de</strong> sa vocation d'écrivain<br />
« se sent <strong>de</strong> plus en plus écrivain » ; évoque la pièce <strong>de</strong> Shakespeare, Jules Cesar, qu'il a mis en scène et à ce propos<br />
parle « d'heures enchanteresses »<br />
- Paul Meurisse qui jouait Brutus dans la pièce, rejoue une scène sur les indications <strong>de</strong> Renoir<br />
- Démonstration d'un tournage <strong>de</strong> scène en gros plan : Simone Simon qui jouait dans La Bête humaine interprète<br />
une scène. Renoir lui donne la réplique (à la place <strong>de</strong> Gabin), la dirige et s'intéresse au cadre, discute avec<br />
l'opérateur.<br />
- Henri Spa<strong>de</strong> accueille Georges Van Parys, compositeur <strong>de</strong> la musique <strong>de</strong> French Cancan et Clau<strong>de</strong> Grandjean<br />
qui a signé les chorégraphies ; discussion avec Renoir qui dit qu'il ne souhaitait pas pour son film <strong>de</strong><br />
reconstitution, qu'il a préféré se servir <strong>de</strong>s airs en vogue à l'époque pour être « exact spirituellement » ; discussions sur<br />
la danse du « Cancan ».<br />
- Renoir retrouve Paulette Dubost et reprend son rôle d'Octave pour interpréter avec elle une scène <strong>de</strong> La Règle<br />
du jeu. Film dont Renoir gar<strong>de</strong> le meilleur souvenir (« ...et les p'tits lapins! »)<br />
- Court entretien avec Jean Serge, metteur en scène <strong>de</strong> la pièce Le Grand couteau dont Renoir est l'auteur (d'après<br />
une pièce <strong>de</strong> Clifford O<strong>de</strong>ts). Puis, Daniel Gelin et une Clau<strong>de</strong> Gelia en jouent une scène<br />
- Cora Vaucaire interprète La Complainte <strong>de</strong> la Butte, chanson du film French Cancan, dont Renoir a écrit les paroles<br />
- L'émission se termine sur une danse <strong>de</strong> French Cancan réglé par Clau<strong>de</strong> Grandjean et Geoges Van Parys.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/11/1957<br />
Durée : 01 h 20 min 33 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
105
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Juliette Gréco "Miarka"<br />
Titre propre<br />
2cole <strong>de</strong>s ve<strong>de</strong>ttes : émission du 18 novembre 1957<br />
Titre collection<br />
Ecole <strong>de</strong>s ve<strong>de</strong>ttes<br />
Générique et auteurs<br />
Compositeur musique préexistante : Joseph Kosma ; Présentateur : Aimée Mortimer ; Réalisateur : Marcel<br />
Cravenne ; Interprète : Juliette Gréco ; Participant : Bachir Toure<br />
Résumé<br />
Intermè<strong>de</strong> : Juliette Gréco rejoint Aimée Mortimer et Bachir Toure dont elle est la marraine (artistique). Le<br />
jeune chanteur sénégalais, marié à une berruyère (native <strong>de</strong> Bourges) lui raconte son parcours (étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> droits<br />
jusqu'à la comédie et la chanson) et montre une photo <strong>de</strong> son fils Karim. A sa <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, Juliette Gréco<br />
chante Miarka (du film Eléna et les hommes"<strong>de</strong> Jean Renoir )<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 18/11/1957<br />
Heure : 20 h 30 min 00 sec<br />
Durée : 00 h 06 min 25 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
106
Titre propre<br />
Fernand Ledoux<br />
Titre collection<br />
Gros plan<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Christophe Averty<br />
Résumé<br />
- Fernand Ledoux dans son appartement – l'objectif <strong>de</strong> la caméra, l'impu<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la caméra – la passion pour<br />
l'acteur vient-elle <strong>de</strong> la tristesse <strong>de</strong> la réalite <strong>de</strong> la vie - mais n'est-ce pas une déformation <strong>de</strong> ce métier :<br />
l'accessoire prend le pas sur l'essentiel<br />
- Evoque Nicole Ladmiral (ses photos) - le facteur hasard dans le métier d'acteur – les dons – une publicité<br />
tapageuse – beaucoup <strong>de</strong> talents méconnus<br />
- Si on montrait les gens qui ne réussissent pas, ce serait plus instructif<br />
- Extrait <strong>de</strong> Goupi mains rouges, <strong>de</strong> Jacques Becker<br />
- La chance d'un film : être accepté par le public - l'importance <strong>de</strong> la production : les 36 situations dramatiques<br />
- Le réalisme du cinéma, l'importance <strong>de</strong> l'accessoire mais il y a d'autres possibilités : la convention – <strong>de</strong>ux êtres<br />
me touchent :<br />
--- Charlot, un type <strong>de</strong> personnage construit d'après une convention, une déformation <strong>de</strong> la réalité sublimé par<br />
l'aspect intérieur - la déformation voulue<br />
--- René Clair <strong>de</strong> 14 juillet, du million : les escaliers <strong>de</strong> Montmartre non <strong>de</strong> la réalité mais <strong>de</strong> notre réalité<br />
--- Extrait <strong>de</strong>s Visiteurs du soir, <strong>de</strong> Marcel Carné<br />
- Fernand Ledoux fait une critique <strong>de</strong> ce film<br />
- Le drame <strong>de</strong> la couleur – le cinéma casse l'harmonie – une suggestion personnelle : partir du camaïeu et<br />
amener <strong>de</strong> temps en temps un ton essentiel<br />
- Auguste Renoir et Jean Renoir : Auguste faisait son métier avec quelques pinceaux et <strong>de</strong>s<br />
couleurs, le nombre d'intermédiaires par lesquels Jean doit passer pour créer quelque chose<br />
--- Extrait <strong>de</strong> Pattes Blanches, <strong>de</strong> Jean Grémillon<br />
- La diversité <strong>de</strong>s fonctions <strong>de</strong> l'acteur – y-a-t-il insincérité ?, impu<strong>de</strong>ur, l'inconscience ? – le jeu chez les enfants<br />
et chez les acteurs : <strong>de</strong>s adolescents qui ne veulent pas vieillir, <strong>de</strong>s naïfs – il y a trop <strong>de</strong> cérébralité, trop<br />
d'intellectualisme <strong>de</strong>puis quelque temps – la naïveté d'un certain public<br />
--- Extrait <strong>de</strong>s Hommes en blanc, <strong>de</strong> Ralph Habib<br />
- Tous les rôles joués, que reste-t-il d'une carrière ? le contact avec le public au théâtre, au cinéma l'acteur n'est<br />
pas présent : le public reçoit<br />
--- Si on voyait la Jocon<strong>de</strong> s'animer – l'art a besoin <strong>de</strong> s'arrêter – il faut que l'acteur ne se croit pas définitif.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 26/04/1958<br />
Durée : 00 h 31 min 50 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
107
Titre propre<br />
Interview <strong>de</strong> Jean Renoir à l’occasion <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
Titre collection<br />
JT 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean Renoir<br />
Résumé<br />
C'est avec une émotion, une joie d'autant plus gran<strong>de</strong> que Jean Renoir représente son film La Gran<strong>de</strong> illusion que<br />
le sujet lui semble tout à fait d'actualités et qu'il est montré dans sa version originale : Renoir explique qu'après la<br />
libération, le film (datant <strong>de</strong> 1937) avait été représenté au public avec <strong>de</strong>s coupures et que récemment, les services<br />
cinématographiques américains ont retrouvé, avec d'autres negatifs <strong>de</strong> films saisis par les nazis, un negatif intact<br />
du film à partir duquel on a tiré une copie excellente ; le son (d'origine, sans trucages) est même, selon Renoir,<br />
meilleur, plus naturel.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/10/1958<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
108
Titre propre<br />
Cinépanorama : émission du 29 novembre 1958<br />
Titre collection<br />
Cinépanorama<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean Bescont ; Présentateur : France Roche, François Chalais ; Participant : Papouf, Henri<br />
Verneuil, Franck Fernan<strong>de</strong>l, Gino Cervi, Clau<strong>de</strong> Barma, Martine Carol<br />
Résumé<br />
Par une fenêtre, Papoufqui est en compagnie <strong>de</strong> France Roche tire à la fron<strong>de</strong> sur Fernan<strong>de</strong>l en contrebas. Il<br />
joue dans Le Grand chef d'Henri Verneuil et parle <strong>de</strong> ce qu'il trouve drôle dans le film. Sa maman lui fait<br />
apprendre son texte. Il raconte comment il a été engagé pour le film : le producteur l'a trouvé « du tonnerre ». Il<br />
parle <strong>de</strong> son rôle (il est kidnappé).<br />
Séquence muette <strong>de</strong> tournage du film sous la direction d'Henri Verneuil.<br />
Henri Verneuil sort d'une maison et arrive sur le plateau où François Chalais l'interviewe sur l'avenir du cinéma<br />
français, la vague <strong>de</strong>s jeunes qui arrivent. Henri Verneuil évoque ses débuts, 10 ans plus tôt avec La Table aux<br />
crevés pour lequel Fernan<strong>de</strong>l lui a donné sa chance en acceptant d'y jouer. Il raconte comment il a connu<br />
Fernan<strong>de</strong>l.<br />
Séquence <strong>de</strong> tournage muette avec Papouf et Fernan<strong>de</strong>l.<br />
Fernan<strong>de</strong>l <strong>de</strong>scend un escalier au pied duquel l'attend France Roche pour l'interviewer, sur le thème du comique<br />
vu par un comique. Qu'est-ce qui lui fait accepter un rôle ? Il explique comment il rend une scène drôle et fait<br />
une démonstration en remontant puis <strong>de</strong>scendant l'escalier <strong>de</strong> manière comique. Il s'est fixé <strong>de</strong>s limites : le public<br />
n'accepterait pas <strong>de</strong> le voir tuer, commettre une mauvaise action, mourir. Toutefois, dans Le Grand chef, il enlève<br />
un enfant.<br />
Gino Cervi, son partenaire dans le film <strong>de</strong>scend à son tour l'escalier au pied duquel il rejoint Fernan<strong>de</strong>l et France<br />
Roche. Il explique comment il kidnappe l'enfant dans le film et fernan<strong>de</strong>l comment ils sont punis. Fernan<strong>de</strong>l<br />
termine par une bouta<strong>de</strong> sur Gino Cervi, son ennemi dans Don Camillo.<br />
François Chalais interviewe Clau<strong>de</strong> Barma sur Croquemitoufle, un film qu'il réalise pour le cinéma et sur son<br />
passage <strong>de</strong> la télévision au cinéma : au cinéma, ce que l'on fait reste. Apporte-t-il la télévision au cinéma comme<br />
dans le film Douze hommes en colère ? Non, pour lui, il y a une différence entre télévision et cinéma.<br />
François Chalais interviewe Martine Carol, assise sur son lit : elle est guérie, elle est bien, elle ne veut pas parler<br />
du reste. François Chalais évoque Berlin, où « elle n'était pas dans son assiette ». Elle y tournait un film avec Robert<br />
Aldrich. François Chalais a un coquillage entre les mains et Martine Carol va chercher un coquillage qu'elle a<br />
ramené <strong>de</strong> Tahiti pour le montrer. Elle parle <strong>de</strong> Tahiti où elle est allée, ce qu'elle y a découvert : « on y fait le<br />
point avec soi-même, le cinéma n'est pas tout dans la vie ». Elle se sent reposée, calme. Elle va faire 3 films, dont<br />
un avec Aldrich. Elle parle <strong>de</strong>s metteurs en scène connus qui l'ont aidée (<strong>de</strong> Sica, Cocteau,<br />
Renoir). Elle est très émue. François Chalais lui fait remarquer que c'est agréable <strong>de</strong> l'interviewer. Elle est<br />
contente <strong>de</strong> pouvoir s'exprimer dans une interview car ce qu'on lit dans les journaux sur sa vie privée est faux.<br />
On lui fait dire <strong>de</strong>s choses insensées. Elle parle <strong>de</strong> ses rapports avec les journalistes, <strong>de</strong> sa solitu<strong>de</strong>.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 29/11/1958<br />
Durée : 00 h 25 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
109
Titre propre<br />
Plaisir <strong>de</strong>s arts : émission du 25 mai 1959<br />
Titre collection<br />
Plaisir <strong>de</strong>s arts<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Michel Mitrani ; Producteur : Jean-Luc Dejean ; Producteur : Jacques Floran, Fouchet, Max Pol ;<br />
Participant : Fouchet, Max Pol<br />
Résumé<br />
- Cérémonie <strong>de</strong> mariage dans une église <strong>de</strong> Menton dont les murs sont décorés par Cocteau. Cocteau et Jean<br />
Renoir s'entretiennent à propos <strong>de</strong> ces fresques.<br />
- Reportage sur le futur musée <strong>de</strong> Biot près d'Antibes qui abritera les oeuvres <strong>de</strong> Fernand Léger. Interview <strong>de</strong> la<br />
veuve <strong>de</strong> Fernand Léger, nombreux tableaux commentés.<br />
- Interview <strong>de</strong> René Clair dans son atelier <strong>de</strong> Saint Tropez. Quelques plans <strong>de</strong> vacanciers sur le port. René Clair<br />
s'entretient avec André Dunoyer <strong>de</strong> Segonzac, conservateur du Musée <strong>de</strong> St Tropez. Celui-ci parle <strong>de</strong>s peintres<br />
dont les oeuvres figurent dans le musée. Divers tableaux.<br />
- Reportage sur les potiers <strong>de</strong> Vallauris. Plans <strong>de</strong> femmes décorant <strong>de</strong>s plats, <strong>de</strong>s assiettes.<br />
-Jean Giono à Manosque évoque <strong>de</strong>s personnages - <strong>de</strong>s peintres souvent - qui vivent en Haute Provence et dont<br />
il s'est inspiré dans ses romans. Reportage sur ces personnages, tableaux <strong>de</strong> paysages provençaux.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 25/05/1959<br />
Heure : 22 h 05 min 00 sec<br />
Durée : 00 h 40 min 16 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
110
-Titre collection<br />
Cinépanorama<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean Bescont ; Producteur : François Chalais, Frédéric Rossif ; Présentateur : Pierre Dumayet,<br />
François Chalais, Jean Renoir, France Roche ; Participant : Catherine Rouvel, Danièle Gaubert<br />
Résumé<br />
A Cagnes, les oliviers dans la propriété <strong>de</strong>s Colettes où vécut Auguste Renoir : la maison. Off, musique (piano) et<br />
commentaire <strong>de</strong> François Chalais. Rencontre avec Jean Renoir qui <strong>de</strong>scend les marches du perron <strong>de</strong> la vieille<br />
<strong>de</strong>meure paternelle. où il est venu tourner son film Le Déjeuner sur l'herbe. Il parle <strong>de</strong>s oliviers du parc, très beaux,<br />
très rares et très vieux et raconte leur histoire. Ses parents ont acheté la propriété pour que ces oliviers ne soient<br />
pas transformés en ronds <strong>de</strong> serviette. Il parle <strong>de</strong> l'atelier <strong>de</strong> son père et <strong>de</strong> ses parents. Son père était paralysé par<br />
les rhumatismes. Sa mère s'occupait <strong>de</strong>s activités agricoles <strong>de</strong> la propriété (fabrication d'huile d'olive). Son père<br />
aimait cette ambiance <strong>de</strong> travail. Avait-il conscience <strong>de</strong> la valeur <strong>de</strong> son père ? Son père était très simple, mais il<br />
recevait <strong>de</strong>s visiteurs du mon<strong>de</strong> entier. Les enfants se doutaient qu'il était important. Il rappelle la façon <strong>de</strong><br />
peindre <strong>de</strong> son père qui évitait l'enrichissement <strong>de</strong> sa palette. Jean Renoir parle ensuite <strong>de</strong> son film Le Déjeuner sur<br />
l'herbe qu'il qualifie <strong>de</strong> bouffonnerie contre le progrès scientifique. Il a étudié Jean Rostand. C'est un film sur la<br />
fécondation artificielle, un sujet énorme. Son père était méfiant vis-à-vis du progrès scientifique.<br />
Catherine Rouvel, interprète du film, arrive en courant dans le parc et s'assoit dans l'herbe (off, commentaire <strong>de</strong><br />
F. Chalais). François Chalais l'interviewe : sa rencontre avec Jean Renoir a-t-elle été l'évènement le plus<br />
important <strong>de</strong> sa vie ? Elle raconte cette rencontre (à la cinémathèque). Elle a perdu son accent du midi. François<br />
Chalais lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> le reprendre pour l'interview. Elle essaie. Est-ce dangereux <strong>de</strong> débuter avec un grand<br />
metteur en scène ?<br />
Séquence muette <strong>de</strong> tournage du film en extérieur, dans le parc <strong>de</strong> la propriété, avec les acteurs, les techniciens et<br />
Jean Renoir . Off, musique et commentaire <strong>de</strong> François Chalais sur la technique <strong>de</strong> tournage. Séquence sonore<br />
du tournage : Jean Renoir donne <strong>de</strong>s instructions. On voit les cameramans au travail.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/07/1959<br />
Durée : 00 h 26 min 15 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
111
Titre propre<br />
Film <strong>de</strong> Jean renoir : Le Déjeuner sur l’herbe<br />
Titre collection<br />
JT 13 heures<br />
Résumé<br />
Jean Renoir tournant une scène (en intérieur) du Déjeuner sur l'herbe. Avec Paul Meurisse.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 02/08/1959<br />
Durée : 00 h 03 min 54 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
112
Titre propre<br />
Les ve<strong>de</strong>ttes du festival <strong>de</strong> Venise<br />
Titre collection<br />
Les actualités françaises<br />
Résumé<br />
Festival <strong>de</strong> Venise : starlettes sur la plage, photographes. Plans <strong>de</strong> Folco Fulli, <strong>de</strong> Jean Renoir, souriant et<br />
détendu, <strong>de</strong> Vittorio <strong>de</strong> Sica signant <strong>de</strong>s autographes, <strong>de</strong> François Truffaut et <strong>de</strong> Roberto Rossellini .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Rome: Luce nuova (LUCENUOVA)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Echanges internationaux<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/09/1959<br />
Durée : 00 h 00 min 45 sec<br />
Canal : Circuit Actualites Francaises<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Actualités françaises<br />
113
Titre propre<br />
Discorama : émission du 20 novembre 1959<br />
Titre collection<br />
Discorama<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean Kerchbron ; Producteur : Pierre Brive, Denise Glaser ; Auteur oeuvre préexistante : Jean<br />
Canolle ; Présentateur : Jean Desailly ; Interprète : Nicole Louvier, Catherine Rouvel, Jacques Fabbri, Sophie<br />
Desmarets, Clau<strong>de</strong> Pieplu, Michel Descombey, Michel Magne, Nicole Louvier ; Participant : Jean Renoir,<br />
Joseph Kosma<br />
Résumé<br />
Nicole louvier est interviewée par Jean Desailly.<br />
- - Jean Renoir est interviewé à propos <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> son film Le Déjeuner sur l'herbe. Joseph Kosma parle <strong>de</strong> la<br />
musique du film et <strong>de</strong> d'autres musiques.<br />
- -Extrait du film Le Déjeuner sur l'herbe où l'on voit Catherine Rouvel nue prendre un bain.<br />
- - Interview <strong>de</strong> Michel Magne par Jean Dessailly.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/11/1959<br />
Durée : 00 h 26 min 15 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
114
Titre propre<br />
Le testament du docteir Cor<strong>de</strong>lier<br />
Titre collection<br />
Présentation du film <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/01/1961<br />
Durée : 00 h 01 min 45 sec<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
115
Titre propre<br />
Discorama : émission du 24 février 1961<br />
Titre collection<br />
Discorama<br />
Générique et auteurs<br />
Interprète : John Williams, Suzanne Lafaye, Raymond Ama<strong>de</strong> ; Réalisateur : Jean Bescont ; Producteur : Denise<br />
Glaser ; Auteur oeuvre préexistante : Jacques Offenbach<br />
Résumé<br />
Film 16 mm : montage sur Francisco Goya.<br />
- - Extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir Le Carrosse d'or.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/02/1961<br />
Durée : 00 h 28 min 53 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
116
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Georges Simenon et sa femme au Festival <strong>de</strong> Cannes<br />
Titre propre<br />
Festival pour un festival<br />
Titre collection<br />
Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : François Chalais ; Commentateur : François Chalais<br />
Résumé<br />
Georges Simenon, accompagné <strong>de</strong> sa femme Denise et Jean Renoir sont présents au Festival <strong>de</strong> Cannes pour<br />
apporter leur soutien à l'institution face aux opposants <strong>de</strong> la Nouvelle vague, représentés entre autre par François<br />
Truffaut.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/05/1961<br />
Durée : 00 h 00 min 10 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
117
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Figures <strong>de</strong> la Nouvelle vague<br />
Titre propre<br />
Festival pour un festival<br />
Titre collection<br />
Reflets <strong>de</strong> Cannes<br />
Générique et auteurs<br />
Commentateur : François Chalais<br />
Résumé<br />
Différents plans <strong>de</strong> Georges Simenon, Jean Renoir, François Truffaut, Robert Hossein, Louis malle,<br />
Edouard Molinaro, Jacques Doniol-Valcroze, Clau<strong>de</strong> Chabrol notamment<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/05/1961<br />
Durée : 00 h 00 min 28 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
118
Titre propre<br />
Interview <strong>de</strong> Renoir sur “Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier”<br />
Titre collection<br />
JT 20 heures<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Mario Beunat ; Participant : Jean Renoir<br />
Résumé<br />
Jean Renoir parle <strong>de</strong> ce qu'il a réalisé <strong>de</strong>puis son film Le Déjeuner sur l'herbe (1959) : il parle <strong>de</strong>s cours qu'il a donnés<br />
dans les universités américaines, du livre qu'il vient d'écrire sur son père. Il s'occupe actuellement <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong><br />
son film Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier ; film produit par l'ORTF, ce qui lui a donné <strong>de</strong>s moyens techniques<br />
appréciables. Renoir parle <strong>de</strong> son prochain film, Le Caporal épinglé. A ce propos, Renoir dit que la puissance du<br />
moment n'est plus à l'argent, que le mon<strong>de</strong> appartient aux organisateurs. L'organisation risque d'être dans les<br />
années à venir un tyran pire que l'argent.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 23/05/1961<br />
Durée : 00 h 04 min 10 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
119
Titre propre<br />
Paul Vialar : l’homme <strong>de</strong> chasse<br />
Titre collection<br />
Carte blanche à<br />
Générique et auteurs<br />
Producteur : Jacques Floran ; Producteur : Paul Vialar<br />
Résumé<br />
- « Carte blanche à Paul Vialar » : L'homme <strong>de</strong> chasse, une émission <strong>de</strong> Paul Vialar et Jacques Floran, réalisée par<br />
Jean Christophe Averty<br />
- Sa passion pour la chasse a inspiré à Paul Vialar <strong>de</strong>s romans qui ont connu un grand succès, comme La Gran<strong>de</strong><br />
Meute et Le Fusil à <strong>de</strong>ux coups. Le prochain livre qu'il publiera en novembre est intitulé L'Homme <strong>de</strong> chasse et lui<br />
servira <strong>de</strong> thème pour cette « carte blanche ».<br />
- Paul Vialar pense, en effet, qu'il est difficile d'expliquer ce qu'est la chasse, si ce n'est pas une histoire.<br />
- Séquence du film <strong>de</strong> Jean Renoir La Partie <strong>de</strong> campagne<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 04/11/1961<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
120
Titre propre<br />
Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : le cinéma et la parole<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy ; Participant : Jean Renoir, Jacques Rivette<br />
Résumé<br />
Jean Renoir, interviewé par Jacques Rivette sur <strong>de</strong>s questions techniques <strong>de</strong> cinéma, comme l'utilisation <strong>de</strong><br />
caméras multiples, en vient à donner son point <strong>de</strong> vue sur <strong>de</strong>s choses propres à son art <strong>de</strong> cinéaste, sur ce qu'est<br />
et <strong>de</strong>vrait être le cinéma selon lui et sur l'art en général.<br />
Il parle plus particulièrement <strong>de</strong> la sincérité <strong>de</strong> jeu qu'il essaye d'obtenir <strong>de</strong>s acteurs. Déplore qu'on donne<br />
actuellement trop d'importance aux histoires et pas assez à la forme : on obtient <strong>de</strong>s histoires variées mais avec<br />
<strong>de</strong>s expressions fausses. Il pose la question <strong>de</strong> créer un nouveau cinéma qui ne « triche » pas, qui soit honnête. Il<br />
parle du travail sur le texte ; il évoque le cinéma muet (la force hypnotique du cinéma muet, les « grands<br />
animaux » que sont les acteurs du cinéma muet) ; parle <strong>de</strong> l'évolution <strong>de</strong>s techniques au cinéma et <strong>de</strong> leur<br />
conséquences sur l'art cinématographique. Cet entretien fait partie d'une série d'émissions réalisées par Jean-<br />
Marie Col<strong>de</strong>fy sur Jean Renoir .<br />
Quelques photos <strong>de</strong> films dans les génériques <strong>de</strong> début et <strong>de</strong> fin.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/11/1961<br />
Durée : 00 h 23 min 00 sec<br />
Heure : 23 h 01 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
121
Titre propre<br />
Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : les progrès <strong>de</strong> la technique<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/11/1961<br />
Durée : 00 h 03 min 04 sec<br />
Heure : 22 h 28 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
122
Titre propre<br />
Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : les progrès <strong>de</strong> la technique<br />
Notes du titre<br />
Entretiens avec Jean Renoir : secon<strong>de</strong> partie<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy ; Participant : Jean Renoir, Jacques Rivette<br />
Résumé<br />
Jacques Rivette s'entretient avec Jean Renoir <strong>de</strong>s progrès <strong>de</strong> la technique qui aboutissent à un réalisme <strong>de</strong> plus en<br />
plus poussé dans les arts en général et au cinéma. Ce réalisme qui, d'après Renoir, n'est rien d'autre qu'une<br />
imitation <strong>de</strong> plus en plus parfaite <strong>de</strong> la nature, aboutit souvent à <strong>de</strong>s oeuvres ennuyeuses. Cette perfection<br />
technique nuit aussi à l'esthétique ; Renoir dit que les objets usels dans les pério<strong>de</strong>s <strong>de</strong> gran<strong>de</strong> technologie sont<br />
laids ; mais le vrai artiste doit s'adapter aux conditions <strong>de</strong> travail mo<strong>de</strong>rnes en les maîtrisant. Il cite son père,<br />
Auguste Renoir, et sa théorie du « bouchon » sur l'eau qui ne peut que se laisser entraîner par les courants mais<br />
reste libre <strong>de</strong> choisir, <strong>de</strong> suivre le « courant qui lui convient le mieux ». Selon Renoir , s'il reste un domaine en France<br />
où l'on gar<strong>de</strong> « le sens <strong>de</strong> ce qui ne s'explique pas », c'est celui <strong>de</strong> la cuisine. Si la technique, l'intelligence explique tout,<br />
le grand cuisinier, lui, procè<strong>de</strong> avec les sens. On en revient à la gran<strong>de</strong> question <strong>de</strong> l'intelligence et <strong>de</strong>s sens.<br />
Cet entretien fait partie d'une série d'émissions réalisées par Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy sur Jean Renoir .<br />
Quelques photos <strong>de</strong> films dans les génériques <strong>de</strong> début et <strong>de</strong> fin.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/11/1961<br />
Durée : 00 h 25 min 30 sec<br />
Heure : 22 h 28 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
123
Titre propre<br />
Jean Renoir parle <strong>de</strong> son art : le retour au naturel<br />
Notes du titre<br />
Entretiens avec Jean Renoir : troisième et <strong>de</strong>rnière partie<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy ; Journaliste : Jacques Rivette ; Participant : Jean Renoir<br />
Résumé<br />
Jean Renoir, interrogé sur la notion <strong>de</strong> progrès technologique – qui touche tous les domaines, y compris celui du<br />
cinéma – en vient à redéfinir ce qu'est l'art cinématographique, la fonction <strong>de</strong> l'artiste et ce que peut être l'essence<br />
<strong>de</strong> l'art.<br />
Il rappelle que le cinématographe est un art à la fois basé sur l'observation <strong>de</strong>s mouvements humains et sur la<br />
connaissance <strong>de</strong>s idées générales : le détail d'une photo <strong>de</strong> Cartier Bresson vous donne une idée <strong>de</strong> la vie à<br />
Madrid et même une idée <strong>de</strong>s problèmes economiques et sociaux <strong>de</strong> l'Espagne. L'utilisation <strong>de</strong> techniques trés<br />
évoluées peut vous faire perdre <strong>de</strong> vue les idées générales ; elle peut aussi vous en rapprocher.<br />
Le cinéma doit avant tout être basé sur le respect <strong>de</strong> la réalité extérieure. Cette réalité extérieure n'est pas encore<br />
épuisée. Avec cette réalité extérieure, on peut atteindre à une réalité poétique ; cette réalité poétique pourrait être<br />
un résumé <strong>de</strong>s sentiments qui animent un être humain.<br />
La fonction <strong>de</strong> l'artiste, c'est d'ouvrir <strong>de</strong>s fenêtres : Cezanne ouvre une fenêtre sur <strong>de</strong>s joueurs <strong>de</strong> cartes ; il révèle<br />
ainsi une vérité, quelquechose que le spectateur n'avait pas vu. Cette révélation tue l'ennemi numéro 1 <strong>de</strong> ce<br />
siècle, qui est l'ennui. Elle est l'occasion d'avoir une conversation amicale avec le spectateur. Ce contexte amical<br />
est essentiel à l'art. La préoccupation essentielle étant <strong>de</strong> communiquer avec le public.<br />
Seule la personnalité compte ; la perfection ne compte pas.<br />
Cet entretien fait partie d'une série d'émissions réalisées par Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy sur Jean Renoir .<br />
Quelques photos <strong>de</strong> films dans les génériques <strong>de</strong> début et <strong>de</strong> fin.<br />
Interviewé par Jacques Rivette<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision Françaises<br />
(ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/11/1961<br />
Durée : 00 h 25 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 18 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
124
Titre propre<br />
Cinépanorama : émission du 16 juin 1962<br />
Titre collection<br />
Cinépanorama<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : François Chalais ; Producteur : François Chalais, Frédéric Rossif ; Présentateur : François Chalais ;<br />
Participant : Jean Schmidt, Catherine Rouvel, Jean Marais<br />
Résumé<br />
François Chalais interviewe Catherine Rouvel dans le camp <strong>de</strong> gitans : elle raconte comment<br />
elle a rencontré Jean Renoir à la cinémathèque et son émotion lors <strong>de</strong> cette rencontre. (Elle a<br />
ensuite tourné avec lui Le Déjeuner sur l'herbe). Elle a eu un enfant, ce qui lui a pris beaucoup <strong>de</strong> temps.<br />
Elle a voulu faire du théâtre pour mieux apprendre son métier. Au festival <strong>de</strong> Venise, elle a été harcelée par les<br />
photographes alors qu'elle voulait simplement se baigner et n'a pas pu. Elle a eu du mal à se déshabiller<br />
pour Le Déjeuner sur l'herbe. Elle pense être une actrice passionnée. Elle a le trac. Elle explique comment<br />
elle travaille chez elle, avec un magnétophone, puis elle parle <strong>de</strong> son rôle dans Kriss romani. Elle serait capable <strong>de</strong><br />
pleurer si François Chalais le lui <strong>de</strong>mandait : il ne serait pas nécessaire <strong>de</strong> trop insister. Sur la fin <strong>de</strong> l'interview,<br />
quelques plans d'un montreur d'ours gitan, avec son animal.<br />
Une séquence <strong>de</strong> présentation accompagnée <strong>de</strong> musique et du commentaire off <strong>de</strong> François Chalais montre la<br />
maison et le jardin <strong>de</strong> Jean Marais à Marnes-la-Coquette, puis l'acteur sort <strong>de</strong> chez lui et va s'asseoir au bord <strong>de</strong><br />
sa piscine. Il vient <strong>de</strong> tourner Les Mystères <strong>de</strong> Paris d'André Hunebelle.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/06/1962<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
125
Titre propre<br />
Gustave Flaubert<br />
Titre collection<br />
Les bonnes adresses du passé<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Roland Bernard ; Producteur : Jean-Jacques Bloch<br />
Résumé<br />
- Travelling avant sur le château : générique en surimpression – zoom sur le château - estampes : calèche - carte<br />
routière actuelle - différentes estampes <strong>de</strong> Croisset et portraits <strong>de</strong> Gustave Flaubert - rives <strong>de</strong> la Seine - paysages<br />
<strong>de</strong> Canteleu – gros plan <strong>de</strong> vigne vierge sur un mur - banc dans jardin - maison <strong>de</strong> Gustave Flaubert - rivière<br />
-Jean-jacques Bloch interviewe Madame Dupicq, conservatrice, dans le jardin <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong> Gustave Flaubert:<br />
fait l'historique <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong> Gustave Flaubert avant son arrivée à Croisset - photo <strong>de</strong> l'hôtel Dieu <strong>de</strong> Rouen où<br />
son père fut chirurgien - écuries <strong>de</strong> son ancienne maison et fenêtre <strong>de</strong> sa chambre<br />
- Estampes : Ernest Chevallier (son ami) - document : lettre manuscrite écrite par Gustave Flaubert à son ami -<br />
portrait <strong>de</strong> Gustave Flaubert, adolescent - estampe : Trouville - portrait <strong>de</strong> Madame Schlesinger (l'inspiratrice <strong>de</strong><br />
L’Education sentimentale)<br />
- Jean-Jacques Bloch et Madame Dupicq parcourent l'allée <strong>de</strong>s tilleuls surnommée par Gustave Flaubert son<br />
« gueuloir » - ouvrent la porte du pavillon - aquarelle représentant Le cabinet <strong>de</strong> travail <strong>de</strong> Gustave Flaubert – gros plan<br />
<strong>de</strong> son fauteuil <strong>de</strong> cuir - aquarelle : paysage <strong>de</strong> Croisset - film : même paysage aujourd'hui<br />
- Madame Dupicq parle <strong>de</strong> louise Colet - portrait <strong>de</strong> Louise Colet - portrait <strong>de</strong> Maxime du Camp (son<br />
compagnon <strong>de</strong> voyage) – divers plans d'un fusil ayant appartenu à Gustave Flaubert<br />
- Estampe : révolution <strong>de</strong> 48 - dédicace <strong>de</strong> Gustave Flaubert à sa mère pour Madame Bovary - feuilles manuscrites<br />
<strong>de</strong> Madame Bovary (nombreuses ratures) - plan <strong>de</strong> La Revue <strong>de</strong> Paris où Madame Bovary a paru en feuilleton<br />
--- Extrait du film <strong>de</strong> Renoir Madame Bovary (avec F. Fabre et Valentine Tessier)<br />
--- Extrait du film <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Barma Madame Bovary (avec Luce Feyrer et Yves Vincent)<br />
-Jean-Jacques Bloch referme l'exemplaire <strong>de</strong> Madame Bovary - portrait <strong>de</strong> maître Senart qui défendit gustave<br />
Flaubert pour le procès <strong>de</strong> Madame Bovary - photo <strong>de</strong> Gustave Flaubert et caricatures<br />
--- Extrait <strong>de</strong> film Salambo<br />
- Vue d'une stèle qui vient <strong>de</strong> Tunisie, offerte à Gustave Flaubert – gros plan du pupitre qui lui a appartenu et<br />
sur lequel il a travaillé - différentes illustrations <strong>de</strong> Dunoyer <strong>de</strong> Segonzac pour L'Education sentimentale – gros plan<br />
d'un vieil album <strong>de</strong> photos - on le feuillette - Madame Dupicq parle <strong>de</strong> Bouvard et Pécuchet et <strong>de</strong>s Trois contes - vue<br />
<strong>de</strong> l'édition populaire « d'un coeur simple »<br />
--- Extrait du film télévisé réalisé par Bescont Un coeur simple<br />
- gros plan d'un perroquet empaillé, cher à Gustave Flaubert - illustrations <strong>de</strong> Bouvard et Pécuchet – gros plan<br />
d'encrier, d'étui <strong>de</strong> verre contenant <strong>de</strong>s plumes <strong>de</strong> paon - presse-papier - coupe-papier - montre en or - pipe - pot<br />
à tabac (tous ces objets ont appartenu à Gustave Flaubert). - différentes photos <strong>de</strong> Gustave Flaubert.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/07/1962<br />
Durée : 00h 30 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
126
Titre propre<br />
Madame Bovary<br />
Titre collection<br />
Jean Renoir vous présente<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/08/1962<br />
Durée : 00 h 04 min 25 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
127
Titre propre<br />
Le cinéma : <strong>de</strong>uxième partie<br />
Titre collection<br />
Mille neuf cent soixate cinq soixante dix soixante quinze.<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Guy Labourasse ; Producteur : Jacques Bloch Morhange<br />
Résumé<br />
- Extrait d'un film <strong>de</strong> Jaques Doniol-Valcroze dans le parc : défend le nouveau cinéma contre le cinéma<br />
« commercial », le cinéma doit <strong>de</strong>venir <strong>de</strong> plus en plus du cinéma d'auteur, son admiration pour Renoir,<br />
Alain Resnais, François Truffaut.<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Princesse <strong>de</strong> Clèves <strong>de</strong> Jean Delannoy - interview <strong>de</strong> Jean Delannoy dans le fauteuil <strong>de</strong> cinéma : il<br />
faut aller plus loin dans la profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s thèmes, fait <strong>de</strong>s reproches à la nouvelle vague qui oublie le public<br />
- Extrait du Repos du guerrier <strong>de</strong> Roger Vadim<br />
- Interview <strong>de</strong> Christine Rochefort : est assez pessimiste sur l'évolution du cinéma - ses espoirs : françois Truffaut,<br />
Alain Resnais, Robert Enrico, Clau<strong>de</strong> Chabrol, Bunuel, Antonioni.<br />
- Cours <strong>de</strong> l'IDHEC : tableau noir, cours <strong>de</strong> prises <strong>de</strong> vue, montage - interview <strong>de</strong> R. Tessoneau (administrateur<br />
<strong>de</strong> l'IDHEC) - école forme aussi bien pour la télévision que pour le cinéma<br />
- Interview <strong>de</strong> jacques Bergier : interrogé sur l'avenir du cinéma, fait <strong>de</strong>s prévisions.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/10/1962<br />
Durée : 00 h 39 min 24 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
128
Titre propre<br />
Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> l’écran : émission du 27 octobre 1963<br />
Titre collection<br />
Au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong> l’écran<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Dominique Rety<br />
Résumé<br />
- Joseph Kosma : au piano chez lui - interviewa par Nohain (off) : parle <strong>de</strong> sa carrière, <strong>de</strong> sa<br />
collaboration avec Jean Renoir - parle <strong>de</strong> l'origine <strong>de</strong>s Feuilles mortes - partitions <strong>de</strong> Feuilles mortes en plusieurs<br />
langues - différentes photos <strong>de</strong> L'Amour electronique<br />
- Affiche Bonsoir Madame Pinson Saint-Martin - chien qui nous conduit à la loge <strong>de</strong> jane Sourza, animatrice <strong>de</strong><br />
Bonnes Nouvelles - interviewée par Anne-Marie Carrière dans sa loge : parle <strong>de</strong> ses débuts - arrivée <strong>de</strong> Raymond<br />
Souplex intervient, parlent <strong>de</strong> l'émission Sur le banc et du film tiré <strong>de</strong> l'émission évoquent petites histoires relatives<br />
au tournage<br />
- Photos <strong>de</strong>s réalisations <strong>de</strong> René Lucot - interview <strong>de</strong> René Lucot par Pierre Sain<strong>de</strong>richin - font allusion à<br />
l'interview <strong>de</strong> Christophe Averty sur les réalisateurs "en cravate" - l'interview se déroule chez René Lucot, déclare<br />
aimer avant tout le direct - est heureux <strong>de</strong>s possibilités que lui offre la télévision<br />
- Interview <strong>de</strong> Jacqueline Huet chez elle par André Leclerc - parle du film q'elle vient <strong>de</strong> tourner - extrait du<br />
Crime du docteur Chardin - suite <strong>de</strong> l'interview : travelling sur ses jambes - travelling sur ses chemisiers<br />
- Affiche Spotnicks - chacun filmé dans ses activités - hôtel d'Albert à Paris, ou ils <strong>de</strong>scen<strong>de</strong>nt (vue extérieure) - les<br />
Spotnicks dans leurs costumes se bala<strong>de</strong>nt dans les rues <strong>de</strong> Paris ; donnent un concert gratuit dans le square<br />
Montholon - foule (gros plan) – Pierre Louis essayant <strong>de</strong> se faire un chemin dans la foule<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 27/10/1963<br />
Durée : 00 h 33 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
129
Titre propre<br />
Le temps <strong>de</strong> la chance : émission du 20 janvier 1964<br />
Titre collection<br />
Le temps <strong>de</strong> la chance<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Aimée Mortimer ; Interprète : Jean Valtay, Jacqueline François, Catherine Samie, Jacques Brel,<br />
Monette Loza, Robert Etcheverry ; Participant : Jean Valtay, Jacqueline François ; Chorégraphe : Jean<br />
Robinson ; Réalisateur : Jean-Pierre Marchand ; Auteur oeuvre préexistante : Charles Vildrac, Jean Renoir<br />
Résumé<br />
- Monette Loza avec Robert Etcheverry interprètent une scène d'Orvet <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/01/1964<br />
Durée : 00 h 52 min 31 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
130
Titre propre<br />
L’étang tragique <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
présentation<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/06/1965<br />
Canal : Chaine non <strong>de</strong>terminée<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
131
Titre propre<br />
La Règle du jeu<br />
Titre collection<br />
Les écrans <strong>de</strong> la ville<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Pierre-André Boutang, Philippe Collin ; Participant : Jean Gaborit,<br />
Jacques Durand<br />
Résumé<br />
L'émission Les Ecrans <strong>de</strong> la ville est consacrée au film <strong>de</strong> Jean Renoir La Règle du jeu qui, très mal accueilli à sa sortie<br />
en 1939, ne fut diffusé dans son intégralité qu'en 1965, grâce au travail, notamment, <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux cinéphiles.<br />
- Diverses photos du film.<br />
- Extraits d'un entretien réalisé par Jean-Marie Col<strong>de</strong>fy et Janine Bazin pour la télévision où Renoir parle <strong>de</strong> son<br />
film : « ... c'est, <strong>de</strong> tous mes films, celui qui a eu le plus gros insuccès... », à cause du très mauvais accueil fait au film, il en a<br />
lui-même coupé <strong>de</strong>s passages. Il ne manque qu'une courte scène qu'il considère sans intérêt.<br />
- Interview <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux cinéphiles, Jean Gaborit et Jacques Durand, qui ont remonté le film : après avoir convaincu<br />
le producteur du film <strong>de</strong> leur donner toutes les copies du film, ils ont retrouvé 20 minutes <strong>de</strong> documents inédits<br />
(photo d'une scène) que Renoir a pu, par la suite, intégrer à la première version. Jean Gaborit parle <strong>de</strong><br />
l'extraordinaire mo<strong>de</strong>rnité <strong>de</strong> ce « chef-d'oeuvre maudit » : audaces formelles, jeu du personnage <strong>de</strong> meneur <strong>de</strong><br />
jeu (Octave) joué par Jean Renoir<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/06/1965<br />
Durée : 00 h 15 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 00<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
132
Titre propre<br />
Dim dam dom : émission du 24 septembre 1965<br />
Titre collection<br />
Dim dam dom<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Geneviève Bujold ; Réalisateur : Jean-Pierre Spiero ; Producteur : Daisy <strong>de</strong> Galard<br />
Résumé<br />
Présentation <strong>de</strong> Geneviève Bujold qui tourne La Guerre est finie sous la direction d'Alain Resnais.<br />
- 1) – La Mo<strong>de</strong> chasse <strong>de</strong> Jean Christophe Averty et Nicole Marchand<br />
Différents modèles <strong>de</strong> Dior,Scherrer.<br />
2) Mapie <strong>de</strong> Toulouse lautrec : La Sala<strong>de</strong> <strong>de</strong> lièvre réalisation <strong>de</strong> Raoul Sangla<br />
Durant l'énoncé <strong>de</strong> la recette différents plans <strong>de</strong> La Règle du jeu <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- 3) – surveiller les yeux <strong>de</strong> vos enfants : illustration par <strong>de</strong>ssins<br />
- 4) - Orly réalisation <strong>de</strong> Pierre Mignot<br />
--- Le hall - raquettes <strong>de</strong> tennis, enfants, etc... le tout très rapi<strong>de</strong> - différents visages <strong>de</strong> femmes - les retrouvailles :<br />
enfants embrassant les parents - femmes embrassant maris - Orly arrivées et départs.<br />
- 5) – Beauté : la coupe <strong>de</strong>s cheveux géométrique <strong>de</strong> Maurice Frydland et Janine Alaux<br />
--- Chez Jacques Dessange : Valérie Lagrange, France Angla<strong>de</strong> et Macha Meril<br />
- 6) banc d’essai : les fourchettes : Fourchettes à eau <strong>de</strong> vie, à fondue, à homard, à pommes <strong>de</strong> terre, à horsd'oeuvre,<br />
à asperges, à feu <strong>de</strong> bois<br />
- 7) – Sylvi Vartan par Raoul Sangla,Catherine Laporte et Clau<strong>de</strong> Lanzmann<br />
--- Interview <strong>de</strong> Sylvie Vartan à propos <strong>de</strong> l'affaire <strong>de</strong> prêt à porter qu'elle lance - s'exprime difficilement -<br />
présentation <strong>de</strong> modèles <strong>de</strong> sa collection - entre temps on la voit chanter Je ne peux plus me passer <strong>de</strong> toi<br />
- 8) – Courrier du cœur <strong>de</strong> Marcelle Segal par Raoul Sangla<br />
- 9) – le yoga : par Jean Christophe Averty et Nicole Marchand<br />
--- Professeur Eva Ruchpaul donnant leçons et se livrant elle-même à ce sport.Yoga signifie joindre,d'où joug.<br />
- 10) – la rentrée <strong>de</strong>s classes par J. Hallan et Jean Pierre Marchand<br />
--- Petit garçon,Antoine,5 ans, traversant le Luxembourg, seul, cartable au dos - interview d'un jeune garçon :<br />
veut être vétérinaire - <strong>de</strong>ux enfants, une fillette et un jeune garçon dialoguant .Off Frère Jacques.<br />
- 11) – le pense malin : Différents gadgets et conseils en vue <strong>de</strong> l'hiver<br />
- 12) – comment s’habiller sous la pluie par Pierre Koralnik et Nicole Marchand<br />
--- Les danseuses <strong>de</strong> Barbara Pierce en cirés blancs et bottes blanches sur la terrasse du Palais <strong>de</strong> Chaillot, puis<br />
dans les rues <strong>de</strong> Paris se livrant à un ballet insolite .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/09/1965<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
133
Titre propre<br />
Spécial Hollywood<br />
Titre collection<br />
Nos cousins d’Amérique<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Jacques Sallebert ; Réalisateur : Jacques Sallebert<br />
Résumé<br />
Jacques Sallebert présente l'émission<br />
- Il est allé voir, à Hollywood, <strong>de</strong>s Français<br />
- La signature dans le ciment du trottoir <strong>de</strong> Hollywood Boulevard <strong>de</strong>vant le théâtre chinois<br />
- Maisons <strong>de</strong> ve<strong>de</strong>ttes - travelling sur les maisons <strong>de</strong> : Jayne Mansfield, Charles Boyer, Kirk Douglas, Louis<br />
Jourdan, etc...<br />
- Le fils <strong>de</strong> Louis Jourdan patinant à roulettes<br />
- Interview <strong>de</strong> Jean Renoir dans son jardin, il a fait <strong>de</strong>s films - il donne <strong>de</strong>s cours d'art<br />
dramatique dans les Universités américaines<br />
- Peu <strong>de</strong> Français y ont réussi, mais c'est seulement parce que le métier du spectacle est très<br />
difficile<br />
- Il explique la différence du travail <strong>de</strong> cinéma au USA et en France : aux USA le grand patron est<br />
le producteur, en France c'est le réalisateur<br />
- A Malibu, Roger Vadim, metteur en scène débutant aux USA, interviewé dans sa villa<br />
- Une salle <strong>de</strong> bâtiment où se distribuent les in<strong>de</strong>mnités <strong>de</strong> chômage - vue <strong>de</strong> Sunset Boulevard, la nuit<br />
- Lucien Martin, acteur sans contrat, dans le restaurant Napoléon où il a trouvé à s'employer - tenter sa chance aux<br />
USA et faire fortune, c'est différent<br />
- L'annuaire <strong>de</strong>s comédiens<br />
- Les actrices (jeunes filles) s'installent au Sindro Club - la salle <strong>de</strong> restaurant<br />
- Une belle voiture s'avance dans un jardin très beau, en sort Suzanne Sybelle jeune actrice dont le 2ème métier<br />
est agent immobilier - interview<br />
- Interview <strong>de</strong> Maria Gomez dans un jardin, elle est étendue dans un fauteuil<br />
- Interview <strong>de</strong> Françoise Ruggieri, modéliste<br />
- Corinne Calvet avec son fils - sa peinture - interviewée dans son salon<br />
- Maurice Jarre et sa femme Dany Saval dans leur maison Hollywoodienne - travelling <strong>de</strong>puis l'intérieur <strong>de</strong> la<br />
maison vers le jardin et la piscine - DanySaval a fait Boeing-boeing le premier <strong>de</strong> ses six films - ils sont très contents<br />
<strong>de</strong> leur vie<br />
- Vue générale <strong>de</strong> Hollywood, d'un boulevard.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/10/1965<br />
Durée : 00 h 24 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
134
Titre propre<br />
Erich Von Stroheim<br />
Titre collection<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Robert Valey ; Producteur : Jeanine Bazin, André-Sylvain Labarthe ; Participant : Denis Marion,<br />
René Clair, Gloria Swanson, Jean Renoir, Michel Arnaud, Louis Chavance, Jean Delannoy, Jean Boyer<br />
Résumé<br />
- Denis Marionouvre l'émission, parle <strong>de</strong> von Stroheim<br />
- panoramic sur la carte <strong>de</strong> Vienne - Vienne : bus dans la rue (Vienne 1965) - vieux documents filmés : François<br />
Joseph - défilés militaires - calvados et chars fleuris<br />
- plan sur l'acte <strong>de</strong> naissance d'E. Oswald Stroheim<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Veuve joyeuse (1924) - extrait <strong>de</strong> La Danse <strong>de</strong> mort (1946) - E. von Stroheim sous la direction <strong>de</strong><br />
Marcel Cravenne<br />
- Extrait <strong>de</strong> Hollywood à la gran<strong>de</strong> époque<br />
- Chaplin, von Stroheim (signature du contrat <strong>de</strong>s "Acteurs associés")<br />
- René Clair parle <strong>de</strong> von Stroheim<br />
- Extrait <strong>de</strong> Queen Kelly (1928) - ce film a marqué la fin <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> von Stroheim<br />
- Gloria Swanson (en anglais, sous-titre français), productrice-ve<strong>de</strong>tte <strong>de</strong> Queen Kelly - parle du plaisir qu'elle avait<br />
à travailler sous les ordres <strong>de</strong> von Stroheim - suite <strong>de</strong> l'extrait <strong>de</strong> Queen Kelly<br />
- Gloria Swanson parle du film et comment le tournage en a été interrompu<br />
- Bourse <strong>de</strong> New York (1929 : les cours s'effondrent)<br />
- René Clair parle <strong>de</strong> l'influence désastreuse et restrictive <strong>de</strong>s producteurs sur l'esprit créateur <strong>de</strong>s organisateurs<br />
- Edmond T. Gréville, réalisateur parle <strong>de</strong> la suite <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> Von Stroheim, <strong>de</strong>venu interprète<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Renpir<br />
-Jean Renoir , dans un jardin, parle <strong>de</strong> son interprète<br />
- Extrait <strong>de</strong> Folies <strong>de</strong> femmes (1921)<br />
- Extrait <strong>de</strong> Queen Kelly (fin)<br />
- Gloria Swanson à nouveau, parle <strong>de</strong> Stroheim et <strong>de</strong> son rôle dans Sunset Boulevard<br />
-Jean Renoir, Jean Boyer, René Clair, parlent <strong>de</strong> l'esprit grand seigneur <strong>de</strong> Von Stroheim<br />
- Denis Marion parle <strong>de</strong> la classe <strong>de</strong> Von Stroheim - la démystification <strong>de</strong> ses origines ne fait que lui donner plus<br />
<strong>de</strong> valeur dans la manière dont il interprétait <strong>de</strong>s rôles d'officiers et d'aristocrates<br />
- Ferme <strong>de</strong> Maurepas, propriété <strong>de</strong> von Stroheim - son bureau où il écrivait ses mémoires - photos - extrait <strong>de</strong>s<br />
Rapaces (1923).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/10/1965<br />
Durée : 01 h 30 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
135
Titre propre<br />
François Truffaut ou l’esprit critique<br />
Titre collection<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Pierre Chartier ; Producteur : Jeanine Bazin, Jean-Pierre Chartier, André Labarthe ;<br />
Participant : François Truffaut, Jean-Pierre Léaud, Albert Rémy<br />
Résumé<br />
Rencontre avec le cinéaste François Truffaut<br />
- François Truffaut sur son balcon à la Muette - Clau<strong>de</strong> <strong>de</strong> Givray évoque les souvenirs <strong>de</strong> François Truffaut et<br />
nous donne quelques points <strong>de</strong> la biographie <strong>de</strong> François Truffaut (plan d'une salle <strong>de</strong> cinéma pleine et extérieur<br />
du cinéma)<br />
- Exemplaire <strong>de</strong>s Cahiers du cinéma et <strong>de</strong>s Arts<br />
- François Truffaut nous parle <strong>de</strong>s films qu'il a aimés et <strong>de</strong> ses films : Les Mistons (extrait), Les 400 Coups (extrait),<br />
Tirez sur le pianiste, Jules et Jim<br />
- Recherche <strong>de</strong> sincérité - travail réaliste avec les enfants - réaction critique à une situation<br />
- Comment ont commencé Les 400 coups<br />
- Interview d'Albert Remy au sujet <strong>de</strong> la direction d'acteurs<br />
- Interview <strong>de</strong> Jean-Pierre Léaud : pleins <strong>de</strong> détails réels - les indications <strong>de</strong> travail<br />
- François Truffaut en salle <strong>de</strong> projection<br />
- François Truffaut nous donne <strong>de</strong>s exemples d'après ses films (extraits chaque fois) et les souvenirs <strong>de</strong>s grands<br />
films qui l'ont aidé<br />
- Albert Remy : présentation à Cannes <strong>de</strong>s 400 coups / Photo<br />
- L'Amour a vingt ans - interview <strong>de</strong> JP Léaud<br />
- Analyse du film par Truffaut sur exemple La Sagesse du metteur en scène avec la durée<br />
- Tirez sur le pianiste<br />
- Point <strong>de</strong> départ : policier - Truffaut déteste<br />
- Extrait du film - il se sentait très mal à l'aise - n'aime pas les gangsters<br />
- Truffaut part toujours d'exemples, extraits du film<br />
- Jules et Jim - extrait du film<br />
- Il parle <strong>de</strong> son travail avec les acteurs, en particulier avec Jeanne Moreau<br />
- Le truquage invisible<br />
- La Peau douce - extrait du film<br />
- Truffaut n'aime pas les scènes d'amour - explication <strong>de</strong> la durée fictive et <strong>de</strong> la durée réelle - dit avoir peint <strong>de</strong>s<br />
gens entêtés / explique qu'il s'i<strong>de</strong>ntifie aux gens faibles<br />
- Hitchcock - Bresson - Renoir : sur les trois théories, il exerce son sens critique.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 02/12/1965<br />
Durée : 01 h 04 min 00 sec<br />
Heure : 20 h 51<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
136
Titre propre<br />
Cinéma : émission du 23 avril 1966<br />
Titre collection<br />
Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Colette Djidou ; Producteur : François Chalais, Frédéric Rossif ; Participant : Anna Karina,<br />
Michèle Arnaud, Serge Gainsbourg, Robert Bresson, Milos Forman<br />
Résumé<br />
- 1) Qui êtes-vous Anna Karenine ?<br />
--- Extraits d'Une femme est une femme et <strong>de</strong> Vivre sa vie <strong>de</strong> Jean-Luc Godard - interview d’Anna Karina – Gros Plan :<br />
explique comment elle a du se débrouiller en arrivant à Paris - interview – Gros Plan <strong>de</strong> Catherine Harle :<br />
explique comment elle a engagé Anna Karina pour poser <strong>de</strong>s photos - photo d’Anna Karina posant dans<br />
différentes robes - Anna jouant au golf miniature - Moment <strong>de</strong> complicité entre Anna Karina et Jean-Clau<strong>de</strong><br />
Brialy. Ce <strong>de</strong>rnier dresse son portrait, parle <strong>de</strong> son caractère « mystérieux ». Ils s'embrassent – Anna Karina dans<br />
la campagne « Jamais, je ne t'ai dit que je t'aimerai toujours » - voix d’Anna Karina - diverses photos et expressions<br />
d’anna Karin – « on finit toujours par ressembler un peu à son rôle », dit-elle - une scène jouée par Anna Karina et Brialy<br />
- elle continue sa confi<strong>de</strong>nce – Gros Plan <strong>de</strong> face - elle parle <strong>de</strong> Jean-Luc Godard qui a beaucoup compté pour<br />
elle, au point <strong>de</strong> vue humain, et il lui a appris tout ce qu'elle sait <strong>de</strong> son métier - extrait d'Une femme est une femme -<br />
elle parle <strong>de</strong>s films qu'elle a tournés avec Jean-Luc Godard (5 sur 17), ceux qu'elle préfère – Anna Karina dans un couloir<br />
roulant <strong>de</strong> métro - tournage <strong>de</strong> la séquence - elle chante Rien - elle tourne une comédie musicale avec Koralnik, musique<br />
<strong>de</strong> Serge Gainsbourg : Anna - elle chante dans cette comédie – Michele Arnaud donne son opinion sur Anna<br />
Karina - interview <strong>de</strong> Gainsbourg, sur Anna Karina - elle a une gamme très étendue <strong>de</strong> moyens : voix,<br />
sensualité, expression<br />
- 2) Au hasard Balthazar : 7eme film <strong>de</strong> Robert Bresson N<br />
--- Visite <strong>de</strong> Robert Bresson chez lui - interview - séquence du film (Un petit âne brutalisé) - il dit comment lui est<br />
venue l'idée <strong>de</strong> faire un film avec un âne - certains se souviennent <strong>de</strong> La Fontaine (leçon aux humains) - séquence<br />
du film - l'âne suit la même courbe <strong>de</strong> la vie qu'un homme - s'y mêlant, les vices symbolisées par son maître : c'est<br />
l'âne souffrant <strong>de</strong>s vices <strong>de</strong> l'humanité - séquence du film : les personnages, la jeune fille et l'âne - il dit comment<br />
il dirige ses acteurs, en cherchant à éliminer les intonations <strong>de</strong> théâtre, pour faire vrai - il a employé tous ses<br />
moyens pour arriver à exprimer ce qu'il veut<br />
3) Avant-première : presse point <strong>de</strong> Hubert Cornfield avec Robert daring et Sydney Poitier<br />
Extrait du film<br />
- 4) Milos Forman<br />
--- Jeune cinéaste tchèque, interview : comment est-il venu au cinéma ? - <strong>de</strong>ux films : L'As <strong>de</strong> Pique et Les Amours<br />
d'une blon<strong>de</strong> - les acteurs sont souvent non professionnels - pourquoi il les a choisis plutôt que <strong>de</strong>s professionnels ? -<br />
ces <strong>de</strong>ux films traitent <strong>de</strong> problèmes d'adolescente - c'est un âge passionnant, touchant, ainsi que les relations<br />
entre les générations - quels cinéastes, préférez-vous ? « J'adore Renoir, Godard..., les cinéastes anglais<br />
mo<strong>de</strong>rnes » - il préfère les films <strong>de</strong> coeur plutôt que les films à thèse - il préfère bâtir son film sur une musique et<br />
non adapter une musique au film.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 23/04/1966<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
137
Titre propre<br />
Lectures pour tous : émission du 18 mai 1966<br />
Titre collection<br />
Lectures pour tous<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Dumayet, Pierre Desgraupes, Max-Pol Fouchet ; Participant : Pierre Pflimlin, Alain<br />
Prévost, Ephraïm Grenadou, Jean Renoir, Pierre-Henri Simon ; Réalisateur : Jean Bertho ; Producteur : Pierre<br />
Desgraupes, Pierre Dumayet<br />
Résumé<br />
Pierre Desgraupes interviewe le prési<strong>de</strong>nt Pierre Pflimlin pour le livre L'Europe communautaire qu'il a écrit avec<br />
Raymond Legrand Lane. Il fait le bilan du marché commun à la veille <strong>de</strong> l'abolition <strong>de</strong>s barrières douanières et<br />
parle <strong>de</strong> ce qui reste encore à construire pour l'Europe <strong>de</strong>s six.<br />
Pierre Dumayet interviewe Ephraïm Grenadou et Alain Prevost pour le livre Grenadou, paysan français. Alain<br />
Prévost a élaboré ce livre a partir d'enregistrements bi-hebdomadaires d'Ephraïm Grenadou. Ephraïm Grenadou<br />
parle <strong>de</strong> différents évènements <strong>de</strong> sa vie, évoquant notamment sa participation à la guerre <strong>de</strong> 1914-18.<br />
Pierre Desgraupes interviewe Jean Renoir au sujet <strong>de</strong> son livre Les Cahiers du Capitaine<br />
Georges. Jean Renoir parle du personnage et explique pourquoi il a écrit ce livre.<br />
Pierre Dumayet interviewe Pierre-Henri Simon pour son livre Ce que je crois.<br />
Max Pol Fouchet parle du livre Combien ? <strong>de</strong> Burt Blechman.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 18/05/1966<br />
Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
138
Titre propre<br />
Vente <strong>de</strong> toiles à Galliera<br />
Titre collection<br />
JT 13 heures<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Michel Isal, Adam Saulnier ; Participant : Jean Renoir<br />
Résumé<br />
Vente <strong>de</strong> tableaux d'Auguste Renoir au Palais Galliera.<br />
- Peintures <strong>de</strong> Renoir<br />
- interview <strong>de</strong> Jean Renoir par Adam Saulnier : les toiles présentes appartiennent selon lui à la<br />
meilleure pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> l'art <strong>de</strong> son père ; il y décèle une sûreté extraordinaire ; pense que l'oeuvre<br />
<strong>de</strong> son père est basée sur l'amour et que c'est pour cela qu'on l'aime.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision<br />
française (ORTF),<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/06/1966<br />
Durée : 00 h 03 min 12 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
139
Titre propre<br />
Gallimard<br />
Titre collection<br />
Lire<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Daniel Costelle ; Producteur : Daniel Costelle, Jean-Pierre Lajourna<strong>de</strong>, Bernard Cwagenbaum<br />
Résumé<br />
Reportage sur la maison d'édition Gallimard puis sur un coktail auquel sont invités une foule <strong>de</strong><br />
personnalités du milieu littéraire dont: Gaston et Clau<strong>de</strong>, Robert et Pierrre Gallimard, Raymond Aron,<br />
André Mauroy, Clara Malraux et René <strong>de</strong> Obaldia, Anne Philippe, Jean Renoir, Jean Cau, Paul Guimard,<br />
Daniel Boulanger, Clau<strong>de</strong> Roy, Jean-Louis Bory , H.P. <strong>de</strong> Mandiargues, Guillevic, Jean Paulhan, Michel Leiris,<br />
et une foule d'autres invités non i<strong>de</strong>ntifiés.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/07/1966<br />
Durée : 00 h 33M min 00 sec<br />
Heure : 20 h 59<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
140
Titre propre<br />
Bibliothèque <strong>de</strong> poche : émission du 14 septembre 1966<br />
Titre collection<br />
Bibliothèque <strong>de</strong> poche<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Yannick Bellon ; Producteur : Michel Polac ; Participant : Jean Renoir, Jean-Louis Bory, Albert<br />
Simonin<br />
Résumé<br />
- interview : <strong>de</strong> passants sur le petit nombre <strong>de</strong> personnes qui lisent : 58 % <strong>de</strong> français ne lisent jamais un livre, 42<br />
% en lisent - dans un grand magasin, interview <strong>de</strong> gens sur ce qu'ils lisent, et s'ils lisent <strong>de</strong>s livres - étagère<br />
d'exposition <strong>de</strong> livres<br />
- Les livres <strong>de</strong> ma vie : Jean Renoir<br />
--- Interview <strong>de</strong> Jean Renoir chez lui - <strong>de</strong>ux auteurs, An<strong>de</strong>rsen et Dumas Père – Gros Plan et Plan<br />
cravate <strong>de</strong> Jean Renoir riant et sérieux - pour lui, An<strong>de</strong>rsen va avec Dante, Rabelais,<br />
Shakespeare, Stendhal - il cite divers contes d'An<strong>de</strong>rsen - pour lui An<strong>de</strong>rsen est un auteur<br />
d'étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> moeurs - il parle <strong>de</strong> Dostoievski, dont il préfère Grouchenka, puis <strong>de</strong> Stendhal et <strong>de</strong><br />
La Chartreuse <strong>de</strong> Parme - il parle <strong>de</strong> Fourest dont il lit un passage, puis <strong>de</strong> L.F. Céline - il parle<br />
<strong>de</strong> Dante et <strong>de</strong> La Divine comédie<br />
- un best-seller <strong>de</strong>s années 20 : La Garçonne <strong>de</strong> Victor Margueritte<br />
--- Jean-Louis Bory parle <strong>de</strong> Victor Margueritte, et du scandale qui a provoqué la parution <strong>de</strong> son ouvrage –<br />
--- Paul Poiret, le couturier - <strong>de</strong>s illustrations <strong>de</strong> mo<strong>de</strong> : 1900-1922 mo<strong>de</strong>rnes – Victor Margueritte dans la<br />
"Garçonne" peint la société issue <strong>de</strong> la guerre - évolution <strong>de</strong> la condition <strong>de</strong> la femme : entre « Bovarysme » et<br />
« Beauvoirisme », (Simone <strong>de</strong> Beauvoir), la garçonne a fait le pont<br />
- le policier <strong>de</strong> poche : avec Albert Simonin<br />
--- Sur une île déserte, il emporterait Splen<strong>de</strong>ur et misère <strong>de</strong>s courtisanes <strong>de</strong> Balzac, puis <strong>de</strong>s Simenon, et toute l'oeuvre<br />
<strong>de</strong> Pierre Very dont surtout : Monsieur Marcel <strong>de</strong>s Pompes Funèbres, il le raconte - travelling dans les salles d'une gare<br />
déserte<br />
- les livres du mois :<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Office National <strong>de</strong> Radiodiffuion et Télévision<br />
Françaises (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 14/09/1966<br />
Durée : 00 h 35 min 45 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
141
Titre propre<br />
Jean Renoir, le patron : <strong>de</strong>uxième partie, portrait <strong>de</strong> Jean Renoir par Michel Simon<br />
Titre collection<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />
Participant : Jean Renoir, Michel Simon<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/01/1967<br />
Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
142
Titre propre<br />
Jean Renoir, le patron (1) : la recherche du relatif<br />
Titre collection<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />
Participant : Jean Renoir, Pierre Braunberger, Charles Blavette, Catherine Rouvel<br />
Résumé<br />
Première partie d'un film <strong>de</strong> Jacques Rivette consacré à Jean Renoir , intitulé Jean Renoir, le patron, tourné au<br />
printemps 1966. De nombreux extraits <strong>de</strong> films jalonnent cet entretien où Renoir s'explique sur son art <strong>de</strong><br />
cinéaste. Extraits <strong>de</strong>s films suivants :<br />
Toni, Nana,La Chienne, Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange, La Partie <strong>de</strong> campagne, Un déjeuner sur l'herbe, Les Bas-fonds, La Bête<br />
humaine.<br />
- Long extrait <strong>de</strong> Toni.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Nana : dans le rôle <strong>de</strong> Nana, Catherine Hessling - interview <strong>de</strong> Pierre Braunberger, ami <strong>de</strong> Renoir et<br />
producteur du film - Jean Renoir parle du culte du film américain qu'ils avaient au moment <strong>de</strong> Nana et parle du<br />
cinéma français à cette époque, plutôt médiocre et qui se voulait « artistique » (mot que Renoir haïssait), et<br />
auquel il rêvait d'insuffler quelque chose du cinéma américain- autre extrait - Jean Renoir dit qu'il en vient à<br />
penser que le motif principal d'un film importe peu ; qu'il suffit d'un cadre à l'intérieur duquel on peut être libre<br />
et innover.<br />
- Extrait du film La Chienne avec Michel Simon (cinéma parlant) - Jean Renoir : avec ce film il espérait dépasser<br />
les Américains grâce à Michel Simon- la voix <strong>de</strong> Michel Simon a été le moteur du film - parle <strong>de</strong>s voix et <strong>de</strong><br />
l'intonation - parle <strong>de</strong> l'emploi du plan long : croit que lorsqu'un comédien est parti, il ne faut pas qu'il soit<br />
interrompu pour <strong>de</strong>s raisons techniques; parle <strong>de</strong> l'influence <strong>de</strong>s débuts du cinéma parlant, sans mixageut il était<br />
influencé par le début du parlant, sans mixage.<br />
- Extraits <strong>de</strong> Toni avec Charles Blavette - interview <strong>de</strong> Charles Blavette sur son rôle - interview <strong>de</strong> Pierre Gaut,<br />
producteur <strong>de</strong> Toni, <strong>de</strong> Renoir et <strong>de</strong> sa femme et <strong>de</strong> Blavette, réunis dans un jardin à Cologne<br />
- Extraits du film Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange avec Jules Berry et René Lefèvre - Jean Renoir parle du décor du film,<br />
qui leur a donné quelques difficultés ; difficultés nécessaires pour l'inspiration - ce que représente pour lui la<br />
technique.<br />
- Extraits <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne avec Jeanne Marken et Sylvia Bataille : assis au bord <strong>de</strong> l'eau, au bord <strong>de</strong> la<br />
Marne, Renoir fait la comparaison entre la peinture et le cinéma : le peintre est privilégié à cause d'une certaine<br />
pauvreté <strong>de</strong> moyens (techniques) ; il est appelé à creuser plus profondément. La profusion, la magnificence <strong>de</strong>s<br />
moyens techniques au cinéma, peuvent être un handicap.<br />
- Extraits du Déjeuner sur l'herbe avec Catherine Rouvel : Jean Renoir et Catherine Rouvel évoquent leur rencontre<br />
à la Cinémathèque <strong>de</strong> la rue d'Ulm et le tournage, avec un système <strong>de</strong> marques ausol - Renoir en est tout à fait<br />
revenu.<br />
- Extraits <strong>de</strong>s Bas-Fonds avec Vladimir Sokoloff, Louis Jouvet, Jean Gabin - Jean Renoir parle <strong>de</strong> l'ennui <strong>de</strong> la<br />
société mo<strong>de</strong>rne, <strong>de</strong> la solitu<strong>de</strong><br />
- Extraits <strong>de</strong> La Bête humaine avec Simone Simon, Jean Gabin, Fernand Ledoux et Julien Carette.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 18/01/1967<br />
Durée : 01 h 34 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
143
Titre propre<br />
Jean Renoir, le patron (3) : la règle et l’exception<br />
Titre collection<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />
Participant : Jean Renoir, Marcel Dalio<br />
Résumé<br />
La Régle et l'exception est le titre <strong>de</strong> la troisième partie d'un film <strong>de</strong> Jacques Rivette sur Jean Renoir - intitulé Jean<br />
Renoir, le patron - dans laquelle Renoir s'explique sur son art en analysant <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> La Règle du jeu ;<br />
il revient aussi sur son film La Marseillaise dont on voit aussi <strong>de</strong>s extraits.<br />
- Plans du château <strong>de</strong> la Ferté Saint Aubin où Renoir a tourné La Règle du jeu. En off, Renoir parle <strong>de</strong><br />
l'importance du moment où il a tourné ce film (en 1939) ; moment où il était « troublé par l'état d'esprit d'une partie <strong>de</strong><br />
la société française, anglaise et mondiale ». Il a justement préféré ne pas parler <strong>de</strong> la situation et raconter une histoire<br />
légère (s'inspirer <strong>de</strong> Beaumarchais), pour mieux faire ressortir cet état d'esprit.<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu / c'est la perception d'une idée « générale » qui pousse Renoir à réaliser un film ; et<br />
c'est souvent une petite idée d'intrigue (secondaire) qui va véhiculer cette idée générale<br />
- Extrait du film / pour Renoir , il n'y a pas vraiment <strong>de</strong> centre dans ce film, il s'agit plutôt un ensemble<br />
particulier<br />
- Extrait / Renoir parle avec Marcel Dalio qui jouait le rôle du Marquis <strong>de</strong> la Cheyniest, « un personnage flui<strong>de</strong> qui<br />
ne sait pas très bien ce qu'il veut... un personnage sans but, donc intéressant... ce qui est mortel à notre époque, c'est <strong>de</strong> suivre un<br />
plan ».<br />
- Autres extraits du film / Renoir interviewé par Rivette parle <strong>de</strong>s personnages, <strong>de</strong> celui <strong>de</strong> Christine en<br />
particulier. Parle du plan avec la lorgnette (pendant la chasse) à partir duquel le film « avance ». Parle <strong>de</strong> hasard<br />
et d'improvisation, <strong>de</strong> société sentimentale qui ferme les yeux sur le mon<strong>de</strong> qui les entoure. Il dit que son ambtion<br />
pour ce film était d'illustrer cette phrase « Nous dansons sur un volcan »...<br />
- Extrait (la mort <strong>de</strong> Jurieux) / Renoir explique que toute la scène <strong>de</strong> la chasse prépare le "sacrifice" <strong>de</strong> cet<br />
homme innocent dans un mon<strong>de</strong> romantique et pourri. « Le mon<strong>de</strong> ancien, et le mon<strong>de</strong> mo<strong>de</strong>rne, encore plus, tue, dans<br />
l'espoir que le mon<strong>de</strong> pourra continuer tel qu'il est »<br />
- Extrait <strong>de</strong> la chasse (tirs <strong>de</strong> lapins)<br />
-Renoir à propos <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Louis XVI dans son film La Marseillaise (1937), ce qu'elle symbolise / extrait du<br />
film / les personnages <strong>de</strong> Louis XVI et <strong>de</strong> Marie-Antoinette sont « décalés »<br />
- Autre extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu / Renoir dit qu'il croit à la fatalité ; les hommes ni bons ni mauvais, jouets <strong>de</strong> la<br />
<strong>de</strong>stinée. On ne peut, malgré tout, rester simple témoin <strong>de</strong>s évènements et il faut s'engager ; ce qu'il a fait, à sa<br />
manière à lui, à travers les personnages <strong>de</strong> ses films<br />
- Autres extraits <strong>de</strong> La Marseillaise / pour Renoir l'environnement est primordial : c'est ce qu'il voit autour <strong>de</strong> lui<br />
qui détermine ses réactions<br />
- Coupures <strong>de</strong> journaux parlant <strong>de</strong>s nouveaux projets <strong>de</strong> Renoir (cf Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir, son <strong>de</strong>rnier film) :<br />
Renoir explique ce qu'il entend par révolution, ce qu'il pense <strong>de</strong>s révolutions / autres coupures <strong>de</strong> jounaux (1966)<br />
à propos du « renvoi <strong>de</strong> Renoir aux Etats Unis »<br />
- Autre extrait <strong>de</strong> La Marseillaise sur le thème <strong>de</strong> la révolution et <strong>de</strong> la liberté.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/02/1967<br />
Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
144
Titre propre<br />
Yves Montand<br />
Titre collection<br />
Septième art, septième case<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant : Dominique Rabourdin (candidat) ; Réalisateur : Pierre Maho ;<br />
Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
- Monsieur Dominique Rabourdin, Monsieur Patureau<br />
- Extraits <strong>de</strong>s films :<br />
--- Le Déjeuner sur l'herbe <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Les Portes <strong>de</strong> la nuit <strong>de</strong> Marcel Carné<br />
- Yves Montand parle <strong>de</strong> son <strong>de</strong>rnier film Grand prix, <strong>de</strong> John Frankenheimer - il pose une question à Monsieur<br />
Patureau, qui gagne - nouveau concurrent : Monsieur Dufour, ajusteur<br />
- Extrait du film : Eclairage intime d’Ivan Passer.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/03/1967<br />
Durée : 00 h 31 min 30 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
145
Titre propre<br />
Gilbert bécaud ou Mosieur 100 000 volts<br />
Titre collection<br />
Le temps <strong>de</strong>s chansons<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Pierre Tchernia, Jacques Audollent ; Producteur : René Rouzaud<br />
Résumé<br />
5eme époque 1953-1954 :<br />
- Jacques Verriers chante Mon pote <strong>de</strong> gitan<br />
- Gloria Lasso Dolorès<br />
- Dario Moreno Oh que Mambo<br />
- Francis Lemarque : Toi tu ne ressembles à personne<br />
- Edith Piaf L'Accordéoniste<br />
- Propos <strong>de</strong> Frédéric Pottecher et Lucien Barnier<br />
- Mouloudji chante Un jour tu verras<br />
- Cora Vaucaire chante La Complainte <strong>de</strong> la Butte<br />
- Docteur Schweitzer, prix Nobel <strong>de</strong> la paix<br />
- Jacques Thibaut, violoniste, durant un concert, interprète une Danse espagnole <strong>de</strong> Granadas<br />
- Chez Dior, défilé <strong>de</strong> mannequins (en voix off Tire tire l'aiguille par Léo Marjane)<br />
- Françoise Sagan (banc titre)<br />
- Séquences <strong>de</strong> la guerre d'Indochine<br />
- Colette, l'écrivain, parle avec Jean Cocteau<br />
- Philippe Clay chante le Danseur <strong>de</strong> Charleston<br />
- Nicole Louvier Toile d'araignée<br />
- Poiret et Serrault - sketch - le prix littéraire<br />
- Extrait du film French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Gilbert Bécaud chante Viens danser, L'Orange.<br />
Informations <strong>de</strong> production : Producteurs<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 25/03/1967<br />
Durée : 00 h 47 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
146
Titre propre<br />
Edouard Molinaro<br />
Titre collection<br />
Septième art, septième case<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Pierre Maho ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
- Deux concurrents : monsieur Patureau, Monsieur Stéveno<br />
- Deuxième manche : trois cases à 0 pour Monsieur Patureau<br />
- Extraits <strong>de</strong> films :<br />
--- Les Anges aux figures sales <strong>de</strong> Michael Curtiz<br />
--- Paris au mois d'août <strong>de</strong> Pierre Granier-Deferre<br />
--- Le Vol du rapi<strong>de</strong><br />
--- Le Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- L'invité du jour : Edouard Molinaro<br />
- Arsenic et vieilles <strong>de</strong>ntelles <strong>de</strong> Frank Capra<br />
- Ca<strong>de</strong>t Rousselle d’André Hunebelle<br />
- Monsieur Stéveno gagne la <strong>de</strong>uxième manche.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/04/1967<br />
Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
147
Titre propre<br />
Les Bas-fonds : Débat<br />
Titre collection<br />
Thèmes et variations du cinéma<br />
Notes du titre<br />
Les Bas-fonds <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Pierre Chartie ; Producteur : Armand Panigel ; Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant :<br />
Armand Panigel, Sacha Pitoeff, André Barsacq, Pierre Debauche<br />
Résumé<br />
En prélu<strong>de</strong> à une émission consacrée aux adaptations théâtrales et cinématographiques <strong>de</strong>s<br />
oeuvres littéraires Russes, Pierre Tchernia présente une interview <strong>de</strong> Jean Renoir faisant<br />
partie d'une série d'entretiens réalisés pour la télévision dans lesquels Jean Renoir parle <strong>de</strong> ses<br />
principaux films. Jean Renoir parle ici <strong>de</strong> la genèse, du tournage <strong>de</strong> son film Les Bas-fonds,<br />
adapté d'une pièce <strong>de</strong> Gorki. Après diffusion <strong>de</strong> ce document, Armand Panigel anime un débat<br />
autour <strong>de</strong> cette adaptation <strong>de</strong> l'oeuvre <strong>de</strong> Gorki. Participent au débat : Sacha Pitoeff, André<br />
Barsacq, metteurs en scène <strong>de</strong> théâtre, Pierre Debauche, metteur en scène, M. Kazinski,<br />
conseiller culturel à l'ambassa<strong>de</strong> soviétique.<br />
Les invités discutent ensuite <strong>de</strong> diverses adaptations théâtrales d'oeuvres littéraires russes (photos <strong>de</strong> décors,<br />
extraits <strong>de</strong> pièces <strong>de</strong> théâtre) puis <strong>de</strong> diverses adaptations cinématographiques d'oeuvres littéraires russes (extraits<br />
<strong>de</strong> film comme Crimes et châtiments <strong>de</strong> Georges Lampin avec Jean Gabin, Le Joueur <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara avec<br />
Gérard Philippe...)<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 25/09/1967<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
148
Titre propre<br />
Jacques Becker<br />
Titre collection<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Brigitte Auber, Nicole Courcel, Clau<strong>de</strong> Dauphin, Daniel Gelin, Jose Giovanni, Françoise Giroud,<br />
Clau<strong>de</strong> Luter, Micheline Presle, Maurice Ronet, Simone Signoret, François Truffaut, Lino Ventura, Anne<br />
Vernon ; Réalisateur : Clau<strong>de</strong> <strong>de</strong> Givray ; Producteur : Jeanine Bazin, André Sylvain Labarthe<br />
Résumé<br />
- Témoignages sur Jacques Becker (1906-1960) par : Brigitte Auber, Nicole Courcel, Clau<strong>de</strong> Dauphin, Daniel<br />
Gélin, José Giovanni, Françoise Giroud, Maurice griffe, Clau<strong>de</strong> Luter, Raymond Meunier, Marc Michel,<br />
Micheline Presle, Marguerite Renoir , Maurice Ronet, Simone Signoret, Albert Simonin, François Truffaut,<br />
Lino Ventura, Anne Vernon<br />
- Emission découpée en <strong>de</strong>ux parties :<br />
--- 1°) - Paris 1925 une génération d'après-guerre<br />
--- 2°) - Paris 1946, une nouvelle génération d'après guerre<br />
- Extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong> Jean Renoir où Becker interprète un rôle :<br />
--- Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (1932)<br />
--- La Gran<strong>de</strong> illusion (1937)<br />
- Extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong> Jacques Becker :<br />
--- Goupi mains rouges<br />
--- Ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> juillet<br />
--- Edouard et Caroline<br />
--- Casque d'or<br />
--- Touchez pas au grisbi<br />
--- Le Trou.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/11/1967<br />
Durée : 01 h 15 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
149
Louis Lumière<br />
d’Eric Rohmer, 1968, 20 mn, présentation avec Henri Langlois et Jean Renoir sur les qualités <strong>de</strong> metteur en<br />
scène, émission rediffusée sur TF1 pour le cinquantenaire <strong>de</strong> la Cinémathèque Française.<br />
Titre propre<br />
Auguste Renoir<br />
Titre collection<br />
Les bonnes adresses du passé<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Roland Bernard<br />
Résumé<br />
- C'est à Cagnes dans la propriété « Les Colettes » où a vécu une partie <strong>de</strong> sa vie et où est mort Auguste Renoir,<br />
que seront évoquées la vie et l'oeuvre du peintre<br />
- Né à Limoges, en 1841, il travaille d'abord comme décorateur <strong>de</strong> porcelaine et d'éventails - en 1862, il se lie<br />
avec Monet, Sisley et Bazille - portraits <strong>de</strong> Sisley, Bazille, Monet, peintures d’Eugène Delacroix<br />
- Henri Peruchot, historiographe <strong>de</strong>s peintres (décédé aujourd'hui) parle Auguste Renoir et <strong>de</strong>s Impressionnistes -<br />
tableaux : le déjeuner sur l'herbe, Olympia - portraits <strong>de</strong> Pissaro, Manet - divers portraits faits par Auguste Renoir -<br />
tableaux : La Loge, Le Bal du moulin <strong>de</strong> la Galette, Impressions au soleil levant et d'autres - le modèle préféré d’Auguste<br />
Renoir : sa femme - divers portraits d'elle et <strong>de</strong> ses trois fils ainsi que Gabrielle, un <strong>de</strong>s modèles qui revient le plus<br />
souvent sur ses toiles<br />
- Cagnes-sur-Mer : la plage, le village - Hôtel Savournin où il séjourne - Cros <strong>de</strong> Cagnes - la chapelle Notre-Dame<br />
<strong>de</strong> la Protection - Les Baigneuses - portraits d’Auguste Renoir<br />
- Clau<strong>de</strong> Renoir , dit « Coco », le <strong>de</strong>rnier enfant d’Auguste Renoir, est interviewé dans son atelier <strong>de</strong> céramique -<br />
portraits <strong>de</strong> « Coco », enfant - la végétation luxuriante méditerranéenne - les fleurs, les arbres - long plan - extrait<br />
d'un vieux film où l'on voit Auguste Renoir sur son fauteuil roulant - interview <strong>de</strong> Ma<strong>de</strong>leine Bruno qui fut,<br />
pendant 20 ans, un <strong>de</strong>s modèles préférés d’Auguste Renoir - Travelling à l'intérieur <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong>s "Colettes" -<br />
interview <strong>de</strong> Richard Guino, sculpteur, qui travailla avec Auguste Renoir aux « Colettes » - les oeuvres <strong>de</strong><br />
Richard Guino – Pierre Renoir dans un <strong>de</strong> ses films - extrait <strong>de</strong> films - interview <strong>de</strong> Jean Renoir , cinéaste -<br />
Le Bouquet <strong>de</strong> roses, tableau qu'il peint à la mort <strong>de</strong> sa femme Aline - le soleil dans les arbres.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/01/1968<br />
Durée : 00 h 50 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
150
Titre propre<br />
Le général Boulanger<br />
Titre collection<br />
Les dossiers <strong>de</strong> l’écran<br />
Notes du titre<br />
Eléna et les hommes <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Producteur : Armand Jammot<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/02/1968<br />
Durée : 01 h 14 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
151
Titre propre<br />
Adapter Emile Zola<br />
Titre collection<br />
Thèmes et variations du cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Pierre Chartier ; Producteur : Armand Panigel ; Présentateur : Armand Panigel ; Participant :<br />
Jean Renoir, Henri Mitterrand, Jean Collet, Pierre Bost<br />
Résumé<br />
Armand Panigel a réuni Henri Mitterrand, universitaire, spécialiste <strong>de</strong> Zola, Jean Collet et Pierre Bost, critiques<br />
<strong>de</strong> cinéma, pour parler <strong>de</strong> l'adaptation au cinéma <strong>de</strong>s romans <strong>de</strong> Zola.Les films analysés sont La Bête<br />
humaine <strong>de</strong> Jean Renoir, Désirs humains <strong>de</strong> Fritz Lang et plus succintement, Gervaise <strong>de</strong> René Clément.<br />
- L'émission commence par un entretien avec Renoir sur La Bête humaine : il parle <strong>de</strong> Jean<br />
Gabin et <strong>de</strong> Julien Carette, « <strong>de</strong> merveilleux collaborateurs », (photos et extraits du film). Il<br />
évoque aussi son film Nana, également adapté <strong>de</strong> Zola (interview off <strong>de</strong> Renoir sur banc-titres<br />
du film) et <strong>de</strong> Madame Bovary, adapté <strong>de</strong> Flaubert (photos).<br />
- Après l'entretien avec Renoir, les critiques, réunis dans une salle projection, discutent <strong>de</strong> cette<br />
adaptation par Jean Renoir, la comparant ensuite à celle <strong>de</strong> Fritz Lang : nombreux extraits du<br />
film <strong>de</strong> Fritz lang, Désirs humains réalisé en 1954 en hommage au film <strong>de</strong> Renoir ; mise en<br />
parallèle d'extraits <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux films.<br />
- L'émission se poursuit avec les différentes adaptations <strong>de</strong> L'Assommoir : affiche <strong>de</strong> Toulouse Lautrec, différentes<br />
versions cinématographiques du roman (banc-titres) et enfin, extrait du film <strong>de</strong> René Clément, Gervaise (1956).<br />
- L'émission se temine par la présentation <strong>de</strong> photographies <strong>de</strong> Paris prises par Zola lui-même.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 29/04/1968<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
152
Titre propre<br />
Eo Joannon<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Pierre Maho ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
- Monsieur Sarda qui joue pour 3 000 francs - Monsieur Viseux<br />
- Extrait du film <strong>de</strong> Stanley Kubrick : Docteur Folamour<br />
- Extrait du film <strong>de</strong> Clive Donner : Quoi <strong>de</strong> neuf Pussy Cat<br />
- Questions musicales : grands thèmes <strong>de</strong> films<br />
- Extrait <strong>de</strong> David et Lisa <strong>de</strong> Frank Perry<br />
- Extrait <strong>de</strong>s Bas-fonds <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 29/07/1968<br />
Durée : 00 h 35 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
153
Titre propre<br />
Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
L’invité du dimanche<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : , Jean-Charles Lagneau, Roger Kahane ; Producteur : Jean Chouquet ; Interprète : Cora Vaucaire,<br />
Michel Simon, Guy Bedos, Marguerite Cassan, Frères Jacques, Georges Van Parys, Hubert Degex ; Participant :<br />
Jean Renoir, Clau<strong>de</strong> Chabrol, Raymond Souplex, Françoise Arnoul, Paul Meurisse, Leslie Caron, Simone<br />
Signoret, Cora Vaucaire, Michel Simon, Guy Bedos, Hélène Tournaire, Marcel Dalio<br />
Résumé<br />
- Générique <strong>de</strong> début sur différents numéros <strong>de</strong> music hall, avec Ulk et Maor, Les Bramton's, Bob Cary, et<br />
Gasty.<br />
- La comédienne Marguerite Cassan présente le sommaire <strong>de</strong> l'émission<br />
- Bertrand Jérôme s'entretient avec le cinéaste Clau<strong>de</strong> Chabrol. Il rend hommage à Jean Renoir , qui a été son<br />
« père spirituel » comme pour la plupart <strong>de</strong>s réalisateurs <strong>de</strong> sa génération. Il a compris en voyant les films <strong>de</strong><br />
Renoir que c'est quelqu'un qu'il aimerait. Il cite <strong>de</strong> nombreux films du réalisateur.<br />
- Arrivée <strong>de</strong> Jean Renoir sur le plateau. Il pense que les conditions <strong>de</strong> tournage actuelles n'ont probablement pas<br />
évoluées <strong>de</strong>puis ses premiers films, mais, citant le philosophe Herbert Marcuse, il explique que le public a changé<br />
: il est <strong>de</strong>venu bourgeois. Il parle <strong>de</strong> la réalité intérieure du comédien, et donne l'exemple <strong>de</strong> Charlie Chaplin.<br />
- En compagnie <strong>de</strong> Jean Renoir et Georges Van Parys, Cora Vaucaire explique que la chanson La Complainte <strong>de</strong> la<br />
butte écrite par Jean Renoir sur une musique <strong>de</strong> Georges Van Parys pour le film French cancan, lui a permis <strong>de</strong> se<br />
défaire <strong>de</strong> l'image <strong>de</strong> chanteuse « intellectuelle » . Jean Renoir explique pourquoi il a intitulé ce film « comédie<br />
musicale », et parle <strong>de</strong> l'importance <strong>de</strong> la musique.<br />
- De retour sur le plateau (le film French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir vient d'être diffusé), Jean Renoir s'entretient avec la<br />
comédienne principale du film Françoise Arnoul. Ils évoquent le tournage, les comédiens et le succès du film. Il<br />
parle d'un autre <strong>de</strong> ses films La Règle du jeu, qui correspondait à son envie <strong>de</strong> faire du "classissisme".<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Marcel Dalio, interprète <strong>de</strong> La Règle du jeu, plaisante avec Jean Renoir sur leur façon <strong>de</strong> jouer la comédie (le<br />
réalisteur tient un rôle dans ce film). Jean Renoir parle <strong>de</strong> son frère Pierre, comédien <strong>de</strong> théâtre. Puis les <strong>de</strong>ux<br />
hommes évoquent Gaston Modot, qui joue le gar<strong>de</strong> chasse dans ce film, et commença sa carrière dans les films<br />
muets. Marcel Dalio raconte une anecdote à propos <strong>de</strong> Pierre Brasseur.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
-Jean Renoir et Michel Simon évoquent en plaisantant <strong>de</strong>s souvenirs du tournage <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux. Ils<br />
chantonnent ensemble Les Fleurs du jardin, et Sur les bords <strong>de</strong> la Riviera que Michel Simon fredonne dans le film.<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Arrivée <strong>de</strong> Paul Meurisse sur le plateau. Jean Renoir évoque avec lui la pièce <strong>de</strong> théâtre Jules César <strong>de</strong> William<br />
Shakespeare qu'ils avaient donnée dans les arènes d'Arles en 1954. Il raconte dans quelles conditions il a mis en<br />
scène cette pièce.<br />
- Diffusion <strong>de</strong> La Revanche <strong>de</strong>s images, <strong>de</strong>ssin animé chinois <strong>de</strong> Wan Lai Wing<br />
- Ils sont rejoints par Leslie Caron, avec laquelle Jean Renoir et Paul Meurisse évoquent la pièce <strong>de</strong> théâtre Orvet<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, qu'ils joué à Paris en 1955. Jean Renoir raconte un épiso<strong>de</strong> dramatique <strong>de</strong> sa vie où il a été<br />
secouru par <strong>de</strong>s braconniers, qui fut à l'origine du texte Orvet.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Le Déjeuner sur l'herbe <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
-Jean Renoir, Paul Meurisse et Leslie caron évoquent le tournage <strong>de</strong> Le Déjeuner sur l'herbe. Paul Meurisse parle <strong>de</strong><br />
l'émotion qu'il a ressentie à tourner dans la maison d'Auguste Renoir .Jean Renoir parle du livre qu'il a écrit sur<br />
son père : il raconte dans quelles circonstances son père lui a parlé <strong>de</strong> sa jeunesse, et s'est servi <strong>de</strong> ses souvenirs<br />
pour ce livre. Il parle <strong>de</strong> son rapport à la peinture <strong>de</strong> son père, puis <strong>de</strong>s différentes pério<strong>de</strong>s du peintre. Ses<br />
propos sont illustrés par <strong>de</strong>s peintures d'Auguste Renoir , et quelques images filmées du peintre.<br />
- L'écrivain journaliste Hélène Tournaire a rejoint son ami Jean Renoir sur le plateau. Ils parlent <strong>de</strong>s repas qu'ils<br />
font ensemble. Jean Renoir estime qu'il n'y a pas <strong>de</strong> hiérarchie dans l'art. Hélène Tournaire fait parler Jean<br />
Renoir sur une table qui se trouve dans sa cuisine, puis sur la Provence, sa maison en Californie, et sur l'écrivain<br />
Henri Miller.<br />
- Arrivée <strong>de</strong> Guy Bedos sur le plateau.<br />
Séquences<br />
- Interview enregistré <strong>de</strong> la comédienne Simone Signoret, par José Atur. Elle explique qu'elle n'a jamais travaillé<br />
avec Jean Renoir . Elle l'a rencontrée pendant qu'il tournait French cancan. Elle parle du film Le Crime <strong>de</strong> Monsieur<br />
Lange, qu'elle a vu pendant l'occupation. Elle rend hommage au style <strong>de</strong> Jean Renoir , qui filme avec son coeur.<br />
- Reportage chez Jean Renoir, dans sa maison <strong>de</strong> l'avenue Frochot près <strong>de</strong> la place Pigalle à Paris. Il se promène<br />
dans son quartier qu'il décrit à Pénélope, une journaliste américaine, et évoque la vie <strong>de</strong> son père dans ces lieux.<br />
154
Puis interview chez lui, où il compare le quartier <strong>de</strong> Montmartre à l'In<strong>de</strong> : « c'est un pays <strong>de</strong> castes », <strong>de</strong> nombreuses<br />
professions s'y cotoient sans se mélanger. Il explique avoir tourné French cancan en pensant au quartier à l'époque<br />
<strong>de</strong> son père. Ses propos sont illustrés par <strong>de</strong>s images <strong>de</strong> Pigalle.<br />
- Entretien enregistré avec Jean Renoir et Madame Paul Valéry, dans la maison <strong>de</strong> cette <strong>de</strong>rnière au 40 rue Paul<br />
Valéry, où Auguste Renoir se rendait régulièrement. Elle parle <strong>de</strong>s réunions qui se tenaient chez elle<br />
régulièrement, auquelles participaient Auguste Renoir , Mallarmé, Rodin, Degas,... Elle raconte une anectote<br />
avec Edgar Degas venu prendre <strong>de</strong>s photos dans la maison.<br />
- Depuis le théâtre Fontaine à Paris, les Frères Jacques chantent pour Jean Renoir une chanson dédiée à leurs<br />
amis communs Jacques Prévert et Joseph Cosma : Deux escargots s'en vont à l'enterrement.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 27/10/1968<br />
Durée : 02 h 30 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
155
Titre propre<br />
Le directeur <strong>de</strong> la photo<br />
Titre collection<br />
Micros et caméras<br />
Générique et auteurs<br />
Producteur : Locquin<br />
Résumé<br />
- Spectateurs interviewés dans la rue : savent-ils ce qu'est un directeur <strong>de</strong> la photo au cinéma ou à la télévision<br />
–vue en plongée d'un tournage en studio - vue en plongée d'un tournage en extérieur - plateau avec acteurs<br />
- Monsieur Maurice Barry, ancien directeur <strong>de</strong> la photo au cinéma - 200 films environ, et<br />
actuellement responsable <strong>de</strong>s directeurs <strong>de</strong> la photo à la télévision, nous parle <strong>de</strong> ce métier en<br />
l'illustant d'exemples, avec la collaboration <strong>de</strong> Jacques Lemare, opérateur <strong>de</strong> certains films, <strong>de</strong><br />
Renoir et René Clair : le directeur <strong>de</strong> la photo est responsable technique <strong>de</strong> la qualité <strong>de</strong> l'image – plan d’un<br />
peintre prenant un modèle en photo dans son atelier - tête du modèle montré successivement avec mauvais et<br />
bon éclairage : les yeux qui étaient dans l'ombre <strong>de</strong>viennent expressifs avec même caméra, même objectif - plan<br />
<strong>de</strong> tournage vu trop éclairé puis avec éclairage à effets - exemples <strong>de</strong> scènes où tous les détails doivent se voir tout<br />
en étant uniformes : salle <strong>de</strong> tribunal, scène <strong>de</strong> guerre se déroulant la nuit, plan <strong>de</strong> foule arrivant en dansant - en<br />
règle générale, dans les séquences <strong>de</strong> variétés, les éclairages sont imposés par la mise en valeur d'un comédien, <strong>de</strong><br />
la chorégraphie ou d'un chanteur, doivent accuser la présence et la vraissemblance - dans certaines dramatiques,<br />
le réalisateur <strong>de</strong>man<strong>de</strong> que l'éclairage accentue le style par <strong>de</strong>s effets comme un tableau <strong>de</strong> peintre : exemples –<br />
gros plan visage <strong>de</strong> Rembrandt dont on voit surtout les yeux<br />
- Tableau <strong>de</strong> la Mise au tombeau <strong>de</strong> Andréa Mantegna - tableau du Christ <strong>de</strong> Salvador dali - El tres <strong>de</strong> Hayo <strong>de</strong><br />
Francisco Goya (noter que pour effet dramatique, le dos <strong>de</strong>s soldats n'est pas éclairé) - en photo, la lumière est<br />
indissociable du cadrage, comme dans un tableau - tableau <strong>de</strong> La Visitation <strong>de</strong> Georges <strong>de</strong> la Tour - tablau <strong>de</strong> La<br />
Vierge à l'Enfant <strong>de</strong> Georges <strong>de</strong> la Tour - tableau <strong>de</strong> Saint-Joseph Charpentier (source lumineuse cadrée par la bougie)<br />
- principes mis en valeur dans : Prince et Mendiant, réalisation <strong>de</strong> Jean-Paul Carrère avec Roger Dormoy comme<br />
directeur <strong>de</strong> la photo (grand prix Italia dont nous voyons <strong>de</strong>s extraits) - Reine morte, réalisation <strong>de</strong> Roger Iglesis,<br />
avec comme directeur <strong>de</strong> la photo Roger Dormoy (dialogue opposant Dona Inès à l'Infante tourné en studio -<br />
extraits<br />
- Y-a-t-il une Ecole <strong>de</strong> style photo comme la peinture ? - certains directeurs <strong>de</strong> la photo ont marqué l'art<br />
cinématographique par leur style : dans Citizen Kane, Roger Hubert dans Les Enfants du Paradis et L'Eternel retour<br />
- Métier qui dépend <strong>de</strong>s dési<strong>de</strong>rata du réalisateur et du style, décoration, costumes - l'extrait <strong>de</strong> Ruy Blas <strong>de</strong><br />
Barma qui repose comme atmosphère sur les tableaux <strong>de</strong> Vélasquez illustre cet exemple (décors <strong>de</strong> Maurice<br />
Valey, costumes <strong>de</strong> Varplitch (?)<br />
- Jacques Lemare, directeur <strong>de</strong> la photo <strong>de</strong> certains films <strong>de</strong> Renoir et René Cair, laissait une<br />
gran<strong>de</strong> initiative à l'opérateur du fait que le scénario n'est pas très précis - ce même opérateur nous<br />
présente un extrait du film dont il a fait l'éclairage : Les Chevaliers <strong>de</strong> la maison rouge (scène <strong>de</strong> l'exécution à l'aube<br />
tournée <strong>de</strong> 9 h à 18 h)<br />
- Extraits <strong>de</strong>s Perses <strong>de</strong> Prat (plastique)<br />
- Métier indissociable <strong>de</strong> l'enthousiasme.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 02/12/1968<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
156
Titre propre<br />
D’un Céline à l’autre : 1ere partie<br />
Titre collection<br />
Bibliothèque <strong>de</strong> poche<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Yannick Bellon ; Producteur : Michel Polac<br />
Résumé<br />
Emission <strong>de</strong> Michel Polac, avc la participation <strong>de</strong> Michel Vianey. Dans cette première émission, Michel Polac<br />
procè<strong>de</strong> à la recherche <strong>de</strong> Céline à travers ceux qui l'ont connu et à travers son oeuvre.<br />
- panoramic sur le passage Choiseul à Paris – Michel Polac essaie <strong>de</strong> distribuer <strong>de</strong>s livres <strong>de</strong> Louis-Ferdinand<br />
Céline - sous le passage Choiseul, il interviewe les passants, qui veulent bien s'arrêter, sur Céline - commerçante<br />
interviewée sur Céline enfant - photo <strong>de</strong> Céline enfant - Rigodon, <strong>de</strong>rnier livre <strong>de</strong> Céline<br />
- Interview <strong>de</strong> Michel Simon qui relate les moments passés avec Céline – Pierre Lazareff<br />
interviewe Jean Renoir et Lanza dl Vasto- René Barjavel, raconte les débuts difficiles <strong>de</strong> Céline -<br />
il a ensuite gagné beaucoup d'argent mais a fini par le perdre - photo <strong>de</strong> Céline à l'âge d'homme<br />
- Céline à sa table <strong>de</strong> travail<br />
- Interview du Docteur Villemain qui soigna Céline dans ses <strong>de</strong>rniers jours<br />
- Jacques Perrot dit que Céline donnait l'impression du petit épargnant - photo <strong>de</strong> Céline et sa femme<br />
- Visite à Madame Céline, femme <strong>de</strong> l'Ecrivain - panoramique sur leur maison qui brûla en 1968 - panoramique<br />
sur le perroquet <strong>de</strong> Céline - photo <strong>de</strong> Céline mala<strong>de</strong> et vieilli<br />
- Dominique <strong>de</strong> Roux, écrivain, parle <strong>de</strong> la hantise et <strong>de</strong> la pourriture qu'a toujours ressenti Céline - il a une<br />
admiration folle pour la femme - objet - photos <strong>de</strong> l'enfance <strong>de</strong> Céline<br />
- Marcel Brochard, ami d'enfance, rappelle <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> jeunesse - photo <strong>de</strong> Céline le jour <strong>de</strong> son mariage - il<br />
parle d'Elisabeth Graig qui fut aimée <strong>de</strong> Céline<br />
- Interview <strong>de</strong> Madame Céline Destouches qui raconte comment elle connut son mari - elle parle du procès<br />
qu'elle a eu pour Nord après la mort <strong>de</strong> Céline.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/05/1969<br />
Durée : 00 h 53 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 01 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
157
Titre propre<br />
Luchino Visconti et le festival <strong>de</strong> Cannes<br />
Titre collection<br />
JT 13 h<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Marie-Claire Gautier ; Participant : Luchino Visconti (prési<strong>de</strong>nt du jury)<br />
Résumé<br />
Interview <strong>de</strong> Luchino Visconti, prési<strong>de</strong>nt du jury du Festival <strong>de</strong> Cannes sur un divan - Il répond aux questions<br />
suivantes :<br />
- Luchino Visconti : « Pourquoi n'aurais je pas accepté ? C'est une chose très honorable <strong>de</strong> faire partie du jury <strong>de</strong> Cannes. Je crois à<br />
un festival comme le festival <strong>de</strong> Cannes, je crois aux prix, je crois aux palmares. J'ai accepté avec plaisir ».<br />
- M.C. Gautier (off) : « Est-ce que c'est difficile d'avoir le sens critique et <strong>de</strong> juger <strong>de</strong>s films ?" »<br />
- L Visconti : « Je crois que c'est assez difficile, mais il faut se mettre dans une position un peu particulière, oublier d'être aussi un<br />
réalisateur et voir les choses avec beaucoup d'objectivité et <strong>de</strong> sérénité. Je me rappelle qu'il y a très longtemps, dans<br />
une séance à propos du festival <strong>de</strong> Venise, j'avais proposé que le jury soit composé uniquement<br />
<strong>de</strong> réalisateurs. De pouvoir réunir dans un jury Jean Renoir, Charlie Chaplin et d'autres à ce niveau. Pour un<br />
réalisateur jeune, cela peut être très intéressant <strong>de</strong> se sentir juger par <strong>de</strong>s grands maîtres. Et j'ai toujours la sensation que ce que les<br />
autres font est toujours beaucoup mieux que ce que je fais. C'est pas moi à juger ça, mais ce sera le public, la critique et peut-être le<br />
temps ».<br />
- M.C. gautier : « Si vous n'étiez pas Visconti, quel réalisateur auriez vous aimé être ? »<br />
- Réponse : « Visconti ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/05/1969<br />
Durée : 00 h 02 min 50 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
158
Titre propre<br />
Michel Simon<br />
Titre collection<br />
D’hier et d’aujourd’hui<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : André Pergament ; Producteur : Jacques Bonnecarrère, André Pergament ; Présentateur : Pierre<br />
Tchernia ; Participant : Michel Simon<br />
Résumé<br />
- Pierre Tcehrnia présente cette émission consacrée à Michel Simon - ils évoquent les étapes <strong>de</strong> sa carrière à<br />
travers <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> ces films :<br />
--- Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, <strong>de</strong> Jean Renoir (1932)<br />
--- L'Atalante <strong>de</strong> Jean Vigo (1934)<br />
--- Drôle <strong>de</strong> dame <strong>de</strong> Marcel Carné (1937)<br />
--- Monsieur Taxi d’André Hunebelle (1952)<br />
--- Le Train <strong>de</strong> John Frakenheimer (1963)<br />
--- Le Vieil homme et l'enfant <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Berri (1967)<br />
- Il parle <strong>de</strong> sa carrière, <strong>de</strong>s films qu'il a tourné - il a vu ses films à la télévision, d'un oeil mélancolique car il était<br />
seul - il est plus critique aujourd'hui - il n'a jamais suivi <strong>de</strong> cours d'art dramatique, a débuté comme danseur<br />
acrobatique puis a fait <strong>de</strong>s petits rôles - c'est le public qui l'a poussé, le public l'a aimé dès le premier contact - ce<br />
premier contact est dû à trois petits rôles donnés par Pitoeff dans Hamlet au théâtre – Michel Simon conclut, une<br />
forte émotion dans la voix, sur la gentillesse du public, <strong>de</strong>s gens <strong>de</strong> la rue avec lui - une marchan<strong>de</strong> lui a même<br />
fait <strong>de</strong>s compliments sincères sur sa belle voix.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 18/08/1969<br />
Durée : 00 h 47 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
159
Titre propre<br />
François Truffaut<br />
Titre collection<br />
L’invité du dimanche<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Raoul Sangla, Jean Brard ; Producteur : Eliane Victor ; Présentateur, Pierre Dumaye ; Participant :<br />
Jeanne Moreau, François Truffaut, Jean Renoir, Henri Langlois, Jacques Robert, Roberto Rossellini, Jacques<br />
Becker, Jacques Audiberti, Jacques Blazy, Lucien Malson, Interprète : Jeanne Moreau<br />
Résumé<br />
Pierre Dumayet reçoit sur le plateau <strong>de</strong> L'Invité du dimanche le réalisateur François Truffaut<br />
- François Truffaut parle longuement <strong>de</strong> son amour pour le cinéma (« ...je prefère le reflet <strong>de</strong> la<br />
vie à la vie elle-même »...), du métier <strong>de</strong> metteur en scène, <strong>de</strong> ses propres films, <strong>de</strong> ses amis<br />
réalisateurs (Jean Renoir, Alfred Hitchcock...) et comédiens (Jeanne Moreau)<br />
- Interview enregistrée <strong>de</strong> Jeanne Moreau qui dresse un rapi<strong>de</strong> portrait <strong>de</strong> François Truffaut, parle <strong>de</strong> l'ambiance<br />
joyeuse qui règne sur ses tournages puis évoque le réalisateur Orson Welles<br />
- Interview enregistrée <strong>de</strong> Jean Renoir qui parle <strong>de</strong> son amitié pour François Truffaut, explique<br />
qu'il est né pour faire du cinéma puis parle <strong>de</strong> son petit théâtre, Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Interview enregistrée d'un admirateur anonyme <strong>de</strong> François Truffaut qui raconte qu'il lui a envoyé une lettre<br />
enflammée au moment <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> Jules et Jim, et que Truffaut s'est servi <strong>de</strong> cette lettre pour faire la publicité<br />
du film<br />
- Jeanne Moreau chante La Folle complainte <strong>de</strong> Charles Trenet.<br />
- Extraits du film <strong>de</strong> Fe<strong>de</strong>rico Fellini Huit et <strong>de</strong>mi commentés par François Truffaut<br />
- François Truffaut reçoit ensuite sur le plateau Clau<strong>de</strong> Blazy, candidat incollable du jeu Monsieur Cinéma, qui<br />
raconte son parcours <strong>de</strong> cinéphile<br />
- Henri Langlois, fondateur <strong>de</strong> la cinématèque Française, est ensuite interviewé sur le plateau par Pierre<br />
Dumayet. Il parle notamment <strong>de</strong>s films perdus ou détruits / extrait du film La Petite marchan<strong>de</strong><br />
d'allumettes<br />
- Jacques Robert, également invité par François Truffaut, parle ensuite du cinéma Japonais / extrait d'un film<br />
Japonais<br />
- Un autre invité prestigieux rejoint ensuite la plateau: le réalisateur Italien Roberto Rosselini. François Truffaut<br />
le présente et explique pourquoi il l'a invité (il a été son assistant). Roberto Rosselini explique l'importance <strong>de</strong><br />
faire un cinéma d'information, car les gens sont désorientés.<br />
- François Truffaut accueille ensuite Lucien Malson, auteur d'un livre sur les enfants sauvages. Ils évoquent<br />
ensemble le cas <strong>de</strong> Victor <strong>de</strong> l'Aveyron, dont François Truffaut s'est inspiré pour son film L’Enfant sauvage / extrait<br />
<strong>de</strong> L'Enfant sauvage<br />
- François Truffaut commentent ensuite en off <strong>de</strong>s montages (photos et archives) consacrés à <strong>de</strong>s personnes<br />
disparues qui lui étaient chères : le critique cinématographique André Bazin, le réalisateur Jacques Becker,<br />
l'écrivain Jacques Audiberti et l'actrice Françoise Dorléac<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 26/10/1969<br />
Durée : 02 h 10 min 15 sec<br />
Heure : 16 h 15 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
160
Titre propre<br />
Allez au cinéma : émisssion du 17 novembre 1969<br />
Titre collection<br />
Allez au cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Anne Andre, Pierre Tchernia ; Participant : Jean-Paul Le Chanois,<br />
Jean-Pierre Cassel<br />
Résumé<br />
- Extrait <strong>de</strong> Ben Hur <strong>de</strong> William Wyler<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Vie est à nous <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Interview <strong>de</strong> Jean Paul Le Chanois qui fut à l'origine <strong>de</strong> La Vie est à nous<br />
- Autre extrait <strong>de</strong> La Vie est à nous<br />
- L'invité du jour : Jean Pierre Cassel - interview à propos <strong>de</strong> la pièce <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au Amélie qu'il joue actuellement<br />
- Extrait <strong>de</strong> la comédie musicale anglaise Ah Dieu que la guerre est jolie <strong>de</strong> Richard Attenborough avec Jean Pierre<br />
Cassel.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/11/1969<br />
Durée : 00 h 20 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
161
Titre propre<br />
Dim dam dom : émission du 26 décembre 1969<br />
Titre collection<br />
Dim dam dom<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Rémy Grumbach, Guy Seligmann, Jean Renoir ; Producteur : Daisy <strong>de</strong> Galard<br />
Résumé<br />
- 1) – Christmas Carol / réalisation Rémy Grumbach - scénario Remo Forlani<br />
--- Michèle Mercier et Dani racontent leur histoire - ce sont les nièces d'un milliardaire, Marcel Dalio -<br />
Participent à cette émission :<br />
Antoine (le receveur <strong>de</strong> bus) qui chante Marie<br />
Julien Clerc qui chante Les Chemins mènent à Rome<br />
France Gall qui chante Le Temps <strong>de</strong>s années folles<br />
Leni Escu<strong>de</strong>ro qui conseille aux <strong>de</strong>ux filles d'aller voir Monsieur Ferdinand<br />
Remo Forlani : Monsieur Ferdinand<br />
Michèle Mercier chante Sa robe d'alu en faisant du charme à Monsieur Ferdinand<br />
Serge Gainsbourg qui fume<br />
Ivan Rebroff qui chante Si j'étais riche - se promène la nuit <strong>de</strong>vant les vitrines <strong>de</strong>s grands magasins - il chante Mon<br />
beau sapin en russe<br />
Serge Gainsbourg en voiture en compagnie <strong>de</strong> Michèle Mercier chante L'Anamour<br />
Les Martin Circus<br />
Eric Damain<br />
Gérard Palaprat.<br />
- 2) – La direction d’acteur / réalisation Jean Renoir - production Pierre Braunberger<br />
--- Jean Renoir avec un scénario dirige Gisèle Braunberger - il lui donne <strong>de</strong>s conseils : comment<br />
lire un texte pour la première fois... - puis ils apprennent ensemble un texte et enfin ils le<br />
mettent en images en studio.<br />
- 3) – Ingrid Bergman / réalisation Guy Seligmann - interview par Pierre Bouteiller<br />
--- Extrait <strong>de</strong> film : Stromboli, <strong>de</strong> Robert Rossellini - Ingrid Bergman dit ce qu'elle pense <strong>de</strong> l'âge - extrait : Les<br />
Amants du Capricorne d'Alfred Hitchcock et autres extraits<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 26/12/1969<br />
Durée : 01 h 01 min 40 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
162
Titre propre<br />
Pour le cinéma : émission du 15 mars 1970<br />
Titre collection<br />
Pour le cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Producteur : Robert Chazal, Frédéric Rossif ; Participant : Jean-Pierre Melville, Alain Delon, Yves Montand,<br />
Bourvil<br />
Résumé<br />
--------------- Que sera 1970 pour le cinéma ? ---------------<br />
- Extrait <strong>de</strong> film :<br />
--- 5 + 1 en avant première <strong>de</strong> Guy Job avec Johnny Halliday au Palais <strong>de</strong>s Sports<br />
- Mireille Darc fait part <strong>de</strong> ses projets pour 1970<br />
- Michel Bouquet : interview sur ses projets <strong>de</strong> film<br />
- Extrait <strong>de</strong> film : Les Naufragés <strong>de</strong> l'espace film américain <strong>de</strong> science fiction évoquant <strong>de</strong>s catastrophes<br />
astronautiques <strong>de</strong> John Sturges<br />
- Marlène Jobert : pas <strong>de</strong> projets<br />
- Extrait <strong>de</strong> film : Good bye, Mr Chips, nouvelle version avec Peter O’Toole et Pétula Clarke, <strong>de</strong> Herbert Ross<br />
- Reportage : Tournage du Cercle Rouge <strong>de</strong> Jean-Pierre Melville avec : Alain Delon, Yves Montand, Bourvil,<br />
François Périer...<br />
--- Interview <strong>de</strong> : Alain Delon<br />
--- Interview <strong>de</strong> : Yves montand sur ses projets - tireur d'élite dans le Cercle Rouge<br />
--- Interview <strong>de</strong> : Bourvil, inspecteur <strong>de</strong> police dan le film <strong>de</strong> Melville, parle <strong>de</strong> ses projets avec<br />
Marcel Camus, et <strong>de</strong> la reprise <strong>de</strong> La Chienne <strong>de</strong> Renoir<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/03/1970<br />
Durée : 00 h 50 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
163
Titre propre<br />
Sophie Desmarets<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Pierre Maho, Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland,<br />
Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invitée : Sophie Desmarets-----<br />
- Candidats : Monsieur Merlin (6ème semaine) - Monsieur Philippe Ariotti (1ère semaine)<br />
- Extraits <strong>de</strong> films :<br />
--- La Règle du jeu, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Belles <strong>de</strong> nuit, <strong>de</strong> René Clair<br />
--- Charlot machiniste<br />
--- Drôle <strong>de</strong> drame <strong>de</strong> Marcel Carné<br />
--- French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Vainqueur : Monsieur Ariotti<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/07/1970<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
164
Titre propre<br />
Paul Meurisse ou un cavalier<br />
Titre collection<br />
Tête d’affiche<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jacques Nahum ; Producteur : Jacques Nahum, France Roche ; Participant, Paul Meurisse<br />
Résumé<br />
- Paul Meurisse fait du cinéma d'amateur : il essaie <strong>de</strong> filmer <strong>de</strong>s bourdons sur sa terrasse.<br />
--- Il nous montre son film d'amateur avec sa femme comme ve<strong>de</strong>tte<br />
- Extrait du Monocle qui rit <strong>de</strong> Georges Lautner.<br />
- Avec France Roche sur la terrasse. Il explique pourquoi il parle <strong>de</strong> lui en disant le « big acteur ».<br />
- Qui est-il ? Il se définit comme un cavalier plutôt qu'un cycliste. Il parle du tournage du Monocle, <strong>de</strong> sa façon<br />
d'interpréter le personnage. Extrait du Monocle rit jaune (Lautner).<br />
- Il a été clerc <strong>de</strong> notaire (2 ans). Son rêve d'enfant « être amiral ». Il estime la mer. L'uniforme le séduisait.<br />
Comment il est <strong>de</strong>venu acteur.<br />
- Paul Meurisse a vécu avec Edith Piaf :<br />
--- C'est elle qui a voulu qu'il joue avec elle dans Le Bel indifférent <strong>de</strong> Jean Cocteau (photos).<br />
- Photos avec Edith piaf<br />
- Paul Meurisse parle <strong>de</strong> son passage à la Comédie Française. Il jouait le rôle <strong>de</strong> Brutus dans Jules César <strong>de</strong><br />
Shakespeare en 1954 à Arles (photos) et Jean Meyer l'a fait engager à la Comédie Française. Il l'a quittée à la<br />
<strong>de</strong>man<strong>de</strong> d'Anouilh pour jouer L'Hurluberlu, puis La Foire d'empoigne.<br />
- Extrait <strong>de</strong> la pièce La Foire d'empoigne<br />
- Extrait <strong>de</strong> Macadam <strong>de</strong> Marcel Blistène<br />
- Extrait d'un film avec Simone Signoret jeune<br />
- Extrait du Deuxième souffle <strong>de</strong> Jean-Pierre Melville<br />
- Extraits <strong>de</strong> : Henri-Geoges Clouzot<br />
--- La Vérité <strong>de</strong> Henri-Georges Clouzot<br />
--- Don Juan aux enfers.<br />
Il parle <strong>de</strong>s personnages qu'il a interprété dans ces films. Il aurait aimé être Don Juan, avoir un beau physique.<br />
- Interview :<br />
--- Il n'est pas cynique<br />
--- Il est pour le mariage. Il est marié <strong>de</strong>puis 14 ans et a été fiancé 6 ans. Sa définition <strong>de</strong> la fidélité.<br />
- Film d'amateur avec sa femme<br />
- Photos <strong>de</strong> sa femme. Refuse-t- il le romantisme et l'émotion ? Pas du tout.<br />
- Extrait Le Déjeuner sur l'herbe <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Il parle <strong>de</strong> l'amitié - <strong>de</strong> la vengeance<br />
- Photos <strong>de</strong> Paul Meurisse à cheval<br />
- Il a peur <strong>de</strong> la vieillesse<br />
- Il mourra en scène. Il parle <strong>de</strong> son enterrement.<br />
- Extrait Un sale égoïste.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 04/09/1970<br />
Durée : 01 h 02 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
165
Titre propre<br />
Michel Simon<br />
Titre collection<br />
L’invité du dimanche<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Guy Seligmann, Jean-Daniel Pollet (reportage) ; Journaliste : Jacques Grignon Dumoulin ;<br />
Présentateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Interprète : Michel Simon, Wallace Collection ; Participant : Michel<br />
Simon, Lucienne Boyer, Jean Lenoir, Henri Langlois, Robert Le Vigan, Clau<strong>de</strong> Berri, Gérard Brach, Walerian<br />
Borowczyk<br />
Résumé<br />
- Début : gros plan <strong>de</strong> Michel Simon en extérieur. Voix <strong>de</strong> Michel Simon, off : « on vient interviewer <strong>de</strong>s fantomes, ils<br />
ne sont plus là. Le rêve subsiste, mais eux-mêmes, où sont ils ?...il n'y a jamais eu <strong>de</strong> pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> paix, la plupart du temps il y a la<br />
guerre quelque part... J'ai voué une haine à la société, qui s'éteindra avec moi... Les chats <strong>de</strong>vraient enseigner aux êtres humains l'art <strong>de</strong><br />
vivre ».<br />
- Extrait du film Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Plateau : Michel Simon, interrogé par Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, parle du personnage <strong>de</strong> Boudu, et<br />
raconte <strong>de</strong>s anecdotes à ce propos.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Tire-au-flanc, film muet <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Plateau : Henri Langlois rend hommage à Jean Renoir et parle <strong>de</strong>s films qu'il a tourné avec<br />
Michel Simon. Il parle <strong>de</strong> l'accueil du film Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux par la critique.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/10/1970<br />
Durée : 01 h 56 min 45 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
166
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Jean Gabin retrace sa carrière d'acteur<br />
Titre propre<br />
Pour le cinéma : émission du 6 décembre 1970<br />
Titre collection<br />
Pour le cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Pierre Mignot ; Présentateur : Robert Chazal ; Participant : Jean Gabin<br />
Résumé<br />
De nombreuses photos illustrent les propos <strong>de</strong> Jean Gabin interviewé par Robert Chazal.<br />
Jean Gabin parle <strong>de</strong>s films muets qu'il a tourné, <strong>de</strong>s ses débuts avec le parlant dans une opérette Chacun sa chance.<br />
Il parle <strong>de</strong> ses chansons notamment <strong>de</strong> Quand on s'promène au bord <strong>de</strong> l'eau du film La Belle équipe. Parle <strong>de</strong> son<br />
premier grand film La Belle marinière, <strong>de</strong> La Ban<strong>de</strong>ra. Il parle <strong>de</strong> Golgotha, <strong>de</strong> Julien Duvivier<br />
et <strong>de</strong>s réalisateurs Renoir, Carné, Grémillon avec lesquels il a tourné plusieurs fois. Il parle <strong>de</strong> sa courte<br />
carrière américaine pendant la guerre, et <strong>de</strong> sa pério<strong>de</strong> noire d'après-guerre (ses cheveux avaient blanchi). Il<br />
parle <strong>de</strong>s films Touchez pas au grisbi, Les Gran<strong>de</strong>s familles, <strong>de</strong>s Maigret avec Delannoy, La Traversée <strong>de</strong> Paris. Parle <strong>de</strong><br />
Gilles Grangier. Parle <strong>de</strong> ses colères. Il adore les acteurs.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 06/12/1970<br />
Durée : 00 h 08 min 53 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
167
Titre propre<br />
Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean Renoir ; Auteur <strong>de</strong> la chanson originale : Jean Renoir ; Compositeur musique préexistante :<br />
Octave Crémieux ; Interprète : Jeanne Moreau (La chanteuse), Nino Formicola (Le <strong>de</strong>rnier réveillon), Milly (Le<br />
<strong>de</strong>rnier réveillon), Marguerite Cassan (La cireuse electrique), Pierre Olaf (La cireuse électrique), Jacques<br />
Dynam(La cireuse électrique), Jean-Louis Tristan (La cireuse électrique), Fernand Sardou (Le roi d'Yvetot),<br />
Françoise Arnoul (Le roi d'Yvetot), Jean Carmet (Le roi d'Yvetot), Andrex (Le roi d'Yvetot), Dominique<br />
Labourier (Le roi d'Yvetot)<br />
Résumé<br />
Le cinéaste Jean Renoirprésente lui-même trois histoires qu'il a écrites et réalisées, ainsi qu'une chanson :<br />
- Le Dernier réveillon avec Nicolas Formicola et Minny Monti.<br />
- La Cireuse éléctrique avec Marguerite Cassan, Pierre Olaf, Jacques Dynam et Jean-Louis Tristan.<br />
- Le Roi d’Yvetot avec Fernand Sardou, Françoise Arnoul, Jean Carmet, Dominique Labourier et Andrex.<br />
- La Chanteuse - Dans un décor 1900, Jeanne Moreau interprète Quand l'amour meurt (paroles <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />
musique d'Octave Cremieux).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Producteur ou Co-producteur, Rome : Radio Audizioni Italia (RAI)<br />
Producteur ou Co-producteur, Neuilly-sur-Seine : Son et Lumière (SONLU)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/12/1970<br />
Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 06 min 30 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
168
Titre propre<br />
Michel Simon<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invité : Michel Simon-----<br />
- Candidats : Madame Maison - Monsieur Pierme<br />
- Extraits <strong>de</strong> films :<br />
--- Le Silence est d'or, <strong>de</strong> René Clair<br />
--- La Règle du jeu, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Sept ans <strong>de</strong> malheur, <strong>de</strong> Max Lin<strong>de</strong>r<br />
--- Angèle, <strong>de</strong> Marcel Pagnol<br />
--- Quai <strong>de</strong>s Orfèvres, <strong>de</strong> Henri-Georges Clouzot<br />
--- Les Enfants du paradis, <strong>de</strong> Marcel Carné<br />
- Vainqueur : Madame Maison : 15 points à 9.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 27/12/1970<br />
Durée : 00 h 47 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
169
Titre propre<br />
Les artisans <strong>de</strong> la médiation : les réalisateurs<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Paule Sengissen ; Participant : Roger Leenhardt, Marcel Bluwal, Jean Christophe Averty, Stellio<br />
Lorenzi, Roger Vadim, Jean Renoir, François Truffaut, Jean Cocteau<br />
Résumé<br />
- Ce montage didactique sans commentaire se propose d'évoquer, à partir <strong>de</strong> quelques interviews, la manière<br />
dont les réalisateurs conçoivent leur métier.<br />
- Plusieurs séquences tirées d'émissions diverses présentent tour à tour les réflexions <strong>de</strong> réalisateurs <strong>de</strong> télévision et<br />
<strong>de</strong> cinéastes célèbres à propos <strong>de</strong>s rapports entre création et technique cinématographique.<br />
- Roger Leenhardt explique comment l'ignorance le poussa à réaliser un film sur la naissance <strong>de</strong> la photo.<br />
- Marcel Bluwal parle <strong>de</strong> son adaptation télévisuelle du Don Juan <strong>de</strong> Molière.<br />
-Jean -Christophe Averty raconte comment d'une pauvreté forcée il tira un style original <strong>de</strong> variétés.<br />
- Stellio Lorenzi expose sa conception <strong>de</strong>s "dramatiques" <strong>de</strong> télévision : il s'agit avant tout <strong>de</strong> recréer l'événement<br />
puis <strong>de</strong> faire un reportage sur cet événement.<br />
- Roger Vadim évoque la totale liberté d'expression et d'invention dont il disposa pour porter à l'écran la ban<strong>de</strong><br />
<strong>de</strong>ssinée fantastique, Barbarella.<br />
-Jean Renoir parle <strong>de</strong> la magie quasi hypnotique du gros plan qui distingue fondamentalement<br />
le cinéma <strong>de</strong>s autres arts dramatiques.<br />
- François Truffaut explique comment il s'i<strong>de</strong>ntifie avec son personnage <strong>de</strong> La Peau lisse.<br />
-Jean Cocteau, enfin, parle <strong>de</strong> la poésie du cinéma et <strong>de</strong>s vertus <strong>de</strong> la jeunesse d'âme.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/01/1971<br />
Durée : 00 h 24 min 40 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
170
Titre propre<br />
Francis Blanche et Clau<strong>de</strong> Chabrol<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
En direct <strong>de</strong> l'Aquitaine 200<br />
----- Invités : Francis Blanche et Clau<strong>de</strong> Chabrol -----<br />
- Candidats : Monsieur Briche (en 7ème semaine)<br />
- Extraits <strong>de</strong>s films :<br />
--- Le Mécano <strong>de</strong> la Générale, <strong>de</strong> Buster Keaton et Cly<strong>de</strong> Bruckman, avec Buster Keaton<br />
--- Il était une fois dans l'ouest, <strong>de</strong> Sergio Leone<br />
--- Shanghaï Express, <strong>de</strong> Joef von Sternberg<br />
--- La Bête humaine, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Le Train, <strong>de</strong> John Frankenheimer<br />
--- L'Express du colonel Von Ryan, <strong>de</strong> Mark Robson<br />
- Victoire <strong>de</strong> Monsieur Briche.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/05/1971<br />
Durée : 00 h 46 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
171
Titre propre<br />
Françoise Fabian<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invitée : François Fabian-----<br />
- Candidats : Monsieur Briche (8ème semaine) - Monsieur Eskenasi (1ère semaine)<br />
- Extraits <strong>de</strong> films :<br />
--- Sacco et Vanzetti, <strong>de</strong> Giuliano Montaldo<br />
--- L'Assassin habite au 21, <strong>de</strong> Henri-Georges Clouzot<br />
--- Les Dynamiteros, <strong>de</strong> Burt Kennedy<br />
--- Qu'est-ce qui fait courir les crocodiles, <strong>de</strong> Jacques Poitrenaud<br />
--- Le Maître <strong>de</strong>s îles, <strong>de</strong> Tom Gries, avec Charlton Heston<br />
--- La Règle du jeu, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Le vainqueur est Monsieur Briche.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 30/05/1971<br />
Durée : 00 h 36 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
172
Titre propre<br />
Daniel Gélin<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thirie ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invité : Daniel Gélin-----<br />
- Candidats : Monsieur Briche (10ème semaine) - Monsieur Poupon<br />
- Extraits <strong>de</strong>s films :<br />
--- Zeppelin, d’Etienne Périer<br />
--- L'Usurier, <strong>de</strong> Charles Chaplin<br />
--- Othello, d’Orson Welles<br />
--- Madame Bovary, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Petits meurtres sans importance, d’Alan Arkin<br />
--- L'Habit vert, <strong>de</strong> Marcel Lherbier, avec Jules Berry et Elvire Popesco<br />
- Daniel Gélin parle du Souffle au coeur <strong>de</strong> Louis Malle<br />
- Victoire <strong>de</strong> Monsieur Briche : 55 000 Francs.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 27/06/1971<br />
Durée : 00 h 44 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
173
Titre propre<br />
Pour le cinéma : émission du 4 juillet 1971<br />
Titre collection<br />
Pour le cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Pierre Mignot ; Producteur : Robert Chazal, Frédéric Rossif<br />
Résumé<br />
- Tournage du film Les Cavaliers <strong>de</strong> John Franknheimer, avec Omar Sharif, en Afghanistan, d'après le roman <strong>de</strong><br />
Joseph Kessel - interview <strong>de</strong> John Frankenheimer et d' Omar Sharif- extrait du film<br />
- Tournage <strong>de</strong> Deux Anglaises et le continent <strong>de</strong> François Truffaut, avec Jean-Pierre Léaud, Kika Markham et Stacey<br />
Ten<strong>de</strong>ter - extrait du film - interview <strong>de</strong> François Truffaut et <strong>de</strong> Kika Markham – François Truffaut parle<br />
du livre posthume d’André Bazin sur Jean Renoir qu'il a fait paraître en le complétant<br />
- Extrait du film La Direction d'acteurs <strong>de</strong> Jean Renoir, avec Gisèle Braunberger<br />
- Extraits film australien Le Réveil dans la terreur <strong>de</strong> Ted Kotcheff et interview<br />
- L'Humeur vagabon<strong>de</strong> d'après Antoine Blondin, réalisé par Edouard Luntz - interview - extraits du film avec Michel<br />
Bouquet et Jeanne Moreau - interview <strong>de</strong> Michel Bouquet<br />
- Extrait du film d'Alex in Won<strong>de</strong>rland, avec Jeanne Moreau qui interprète une chanson<br />
- Extrait <strong>de</strong>u film La Révélation d’Alain Lavalle, avec Olga Georges Picot qui est interviewée<br />
- Interviews : Juliette Mills – Sady Rebot – Robert Etcheverry – Alain Lavalle<br />
- Extrait du film La Loi du milieu <strong>de</strong> Mike Hodges<br />
- La Part <strong>de</strong>s lions <strong>de</strong> Jean Larriaga, interview - extraits du film avec Charles Aznavour, Robert Hossein, Raymond<br />
Pellegrin – Charles Aznavour est interviewé, puis Robert Hossein et Raymond Pellegrin - extraits du film –<br />
Robert Hossein parle <strong>de</strong> ses projets <strong>de</strong> théâtre<br />
- Grand festival du Western cet été - quelques extraits <strong>de</strong> ces films.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 04/07/1971<br />
Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
174
Titre propre<br />
Le 1 er film <strong>de</strong> Brialy : “Eglantine”<br />
Titre collection<br />
JT 13 h<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Annick Beauchamps<br />
Résumé<br />
Le plateau – Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy règlant une scène - l'extérieur du château – Valentine Tessier marchant <strong>de</strong>vant<br />
le château en robe blanche romantique et ombrelle<br />
- plan américain Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy assis avec petite fille Pauline sur les genou : "Je me suis dit que j'ai fait 45 films<br />
et que j'ai appris beaucoup <strong>de</strong> choses. J'ai eu envie <strong>de</strong> raconter une histoire... il raconte un peu son sujet. C'est un hommage aux 3<br />
Renoir et à la campagne française d'avant les avions et les voitures"<br />
- Valentine Tessier : « Après avoir lu le scénario j'ai vu que c'était exactement le rôle que je<br />
souhaitais... j'ai débuté dans Madame Bovary <strong>de</strong> Renoir . Au théâtre on est forcé <strong>de</strong> projeter le texte. Au cinéma<br />
on vient le chercher sur votre visage. Oui je souhaite continuer à travailler. Une 3ème carrière pourquoi pas ? ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 02/10/1971<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
175
Titre propre<br />
Philippe Clay<br />
Titre collection<br />
D’hier et d’aujourd’hui<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Bouteiller ; Réalisateur : André Pergament<br />
Résumé<br />
- Document : Philippe Clay chante L'Illusioniste (pendant que le document passe, plusieurs plans moyens <strong>de</strong><br />
Philippe Clay et Pierre Bouteiller en studio)<br />
- interview studio : Philippe Clay par Pierre Bouteiller - a commencé à faire parler <strong>de</strong> lui en 53 - après la guerre,<br />
prépare le Conservatoire, remporte un radio crochet vers 1946-47 - concours d'amateurs gangé en 49 - première<br />
chanson à la radio avec Aimée Mortimer : échec - tournée en Afrique (<strong>de</strong>ux ans), chante <strong>de</strong>s chansons <strong>de</strong> Charles<br />
Aznavour, rentre en France en 53 chez J. Canetti, aux « Trois Bau<strong>de</strong>ts »<br />
- document : extrait <strong>de</strong> French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir - chante L'Argent<br />
- Interview studio <strong>de</strong> Philippe Clay par Pierre Bouteiller : passe à La Fontaine <strong>de</strong>s quatre saisons<br />
- Document : (extrait <strong>de</strong> La Joie <strong>de</strong> vivre) - Les Voyous, commente la chanson – gros plan <strong>de</strong> Philippe Clay (1956)<br />
- Interview studio : raconte une anecdote sur Jean Gabin par Maria Félix<br />
- Document : (extrait <strong>de</strong> Toute la chanson, Aimée Mortimer) - Monsieur William (1961) <strong>de</strong> J.R. Caussimon, musique<br />
<strong>de</strong> Léo Ferré<br />
- Interview studio : vit à la campagne, travail d'équipe avec Serge Gainsbourg et Clau<strong>de</strong> Nougaro<br />
- Document : Le Funambule - commente la chanson – Gros plan <strong>de</strong> Phiilippe Clay (1961)<br />
- Interview studio : souvent habillé <strong>de</strong> noir pour faire ressortir son visage et ses mains<br />
- document : Le Danseur <strong>de</strong> Charleston<br />
- document : Accor<strong>de</strong>z-moi, accordéon : duo avec Serge Gainsbourg<br />
- document : (extrait Invité du dimanche : Jean Yanne - La Gamberge )<br />
- document : Marie Christine<br />
- studio : parle <strong>de</strong> sa « Traversée du désert », du départ <strong>de</strong> Jacques Brel, a une nouvelle équipe maintenant<br />
- document : Mes universités (extrait d'une émisson avec Jacques Chazot) - commente la chanson – gros plan <strong>de</strong><br />
Philippe Clay<br />
- document : La Quarantaine<br />
- Générique fin.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 30/11/1971<br />
Durée : 00 h 38 min 20 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
176
Titre propre<br />
Le journal du cinéma : émission du 9 décembre 1971<br />
Titre collection<br />
Le journal du cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Georges Dumoulin ; Producteur : Anne Andreu, Pierre-André Boutang, Philippe Collin ;<br />
Présentateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Participant : François Truffaut, Clau<strong>de</strong> Chabrol, Pierre Kast, Delphine<br />
Seyrig, Sylvie Vartan<br />
Résumé<br />
Emission présentée par Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe qui a invité Clau<strong>de</strong> Chabrol, Sylvie Vartan et Pierre Kast.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Lucky Luke <strong>de</strong> Morris, René Goscinny et Pierre Tchernia.<br />
- Sylvie Varrtan évoque sa courte carrière cinématographique et le film qu'elle tourne avec Harry Kummel<br />
Malpertuis.<br />
- Clau<strong>de</strong> Chabrol connait Harry Kummel qui est également le réalisateur du film Les Lèvres rouges actuellement à<br />
l'affiche. affiche du film.<br />
- Longue interview <strong>de</strong> Delphine Seyrig qui joue dans Les Lèvres rouges (extrait).- photos <strong>de</strong> Delphine Seyrig -<br />
Delphine Seyrig parle <strong>de</strong>s vampires, <strong>de</strong> ses influences pour jouer un rôle, d'une séquence empruntée à Marlène<br />
Dietrich (Angel), <strong>de</strong>s rôles qu'elle a envie <strong>de</strong> jouer, <strong>de</strong> son implication dans les mouvements féministes. Sylvie<br />
vartan donne son avis sur les propos <strong>de</strong> D. Seyrig.<br />
- Présentation par François Truffaut du film <strong>de</strong> Jean Renoir Le Fleuve<br />
(extrait): coïnci<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> thème avec Les Deux anglaises et le continent. François Truffaut,<br />
interviewé sur Jean Renoir, parle aussi <strong>de</strong> Citizen Kane d'Orson Welles.<br />
- Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe lit <strong>de</strong>s critiques sur le film La Déca<strong>de</strong> prodigieuse <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Chabrol : rires <strong>de</strong> l'intéressé.<br />
Chabrol, parle <strong>de</strong> La Déca<strong>de</strong> prodigieuse - Pierre Kast parle <strong>de</strong> son film Les Soleils <strong>de</strong> l'île <strong>de</strong> Pâques (extrait).<br />
- Extrait <strong>de</strong> Deep end <strong>de</strong> Jerzy Skolimovski<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/12/1971<br />
Durée : 00 h 45M min 00S sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
177
Titre propre<br />
Marlène Jobert<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invitée : Marlène Jobert-----<br />
- Candidats : Monsieur Riccio et Monsieur Lescop 1/2 finale<br />
- Extraits <strong>de</strong> films :<br />
--- Les Pétroleuses, <strong>de</strong> Christian-Jaque<br />
--- Deep End, <strong>de</strong> Jerzy Skolimowski<br />
--- Les Bidasses en folie, <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Zidi<br />
--- Doc Holliday, <strong>de</strong> Frank Perry<br />
--- Le Fleuve, <strong>de</strong> Jean Renoir (1951)<br />
--- Les Diamants sont éternels, (James Bond), <strong>de</strong> Guy Hamilton<br />
--- Le gagnant est Monsieur Riccio<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/12/1971<br />
Durée : 00 h 41 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
178
Titre propre<br />
Pierre Brasseur<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invité : pierre Brasseur-----<br />
- Candidats : Monsieur Riccio et Monsieur Heynard : finalistes<br />
- Extraits <strong>de</strong> films :<br />
--- Le Cuirassé Potemkine, <strong>de</strong> S.M.Eisenstein<br />
--- Topaze, réalisé par Louis Gagne en 1933<br />
--- Les Dix comman<strong>de</strong>ments, <strong>de</strong> Cecil B. De Mille<br />
--- La Kermesse héroïque, <strong>de</strong> Jacques Fey<strong>de</strong>r<br />
--- Huit et <strong>de</strong>mi, <strong>de</strong> Fellini<br />
--- French Cancan, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Interview par Pierre Tchernia <strong>de</strong> Pierre Brasseur qui raconte une histoire sur Charlot, parle du film Huit et<br />
Demi, et <strong>de</strong> Louis Jouvet<br />
- Gagnant <strong>de</strong> la finale : Monsieur Riccio<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 02/01/1972<br />
Durée : 00 h 43 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
179
Titre propre<br />
Pierre Braumberger<br />
Titre collection<br />
Visages du cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Roger Boussinot ; Producteur : Roger Boussinot, Jacques Nahum<br />
Résumé<br />
- Interview Michel Mitrani, metteur en scène - interview Marc Allégret, metteur en scène - interview Gérard<br />
pirès, metteur en scène – Pierre Braumberger, dans son bureau, parle <strong>de</strong>s rapports entre metteur en scène et<br />
producteur - scène <strong>de</strong> tournage - parle <strong>de</strong> sa famille (mé<strong>de</strong>cins) - extrait <strong>de</strong> La Fin <strong>de</strong>s Pyrénées - parle <strong>de</strong> sa<br />
collaboration avec Jean Renoir - extrait <strong>de</strong> Nana – Marc Allégret parle <strong>de</strong> sa première rencontre avec<br />
Braumberger - vue <strong>de</strong>s studios <strong>de</strong> Billancourt (extérieur) - extrait <strong>de</strong> La Route est belle (André Bauge chante) -<br />
extrait d'un court métrage avec Fernan<strong>de</strong>l - extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne - parle <strong>de</strong> ses activités pendant la<br />
guerre - extrait <strong>de</strong> L'Homme - extrait <strong>de</strong> Paris 1900 - extrait <strong>de</strong> La Course <strong>de</strong> taureaux<br />
- Interview <strong>de</strong> Braumberger - extrait <strong>de</strong> Erotissimo - extrait <strong>de</strong> Van Gogh - extrait d'un film où joue Madame<br />
Braumberger - extrait <strong>de</strong> La Direction d'Acteurs <strong>de</strong> Jean Renoir – Pierre Braumberger parle <strong>de</strong><br />
l'activité professionnelle <strong>de</strong> sa femme - enfants <strong>de</strong> Braumberger chez eux, madame Braumberger.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 05/02/1972<br />
Durée : 00 h 46 min 47 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
180
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Jean -Clau<strong>de</strong> Brialyet Valentine Tessier à propos du film "Eglantine"<br />
Titre propre<br />
Valentine Tessier et Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy<br />
Titre collection<br />
Monsieur Cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Colette Thiriet ; Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant : Valentine Tessier, Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy<br />
Résumé<br />
Pierre Tchernia interviewe Valentine Tessier et Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy à propos du film Eglantine dont Brialy est le<br />
réalisateur. L'actrice avoue avoir un peu le trac, parle <strong>de</strong> son rôle (Eglantine, la grand-mère) dans le film. Brialy<br />
souligne que le film se passe en 1885 et est un hommage aux trois Renoir (Jean, Auguste et<br />
Pierre).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 27/02/1972<br />
Durée : 00 h 03 min 08 sec<br />
Heure : 13 h 52 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
181
Titre propre<br />
L’armée <strong>de</strong>s sans culottes<br />
Titre collection<br />
Les dossiers <strong>de</strong> l’écran<br />
Notes du titre<br />
La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Francis Caillaud ; Producteur : Armand Jammot<br />
Résumé<br />
Film <strong>de</strong> Jean Renoir en noir et blanc <strong>de</strong> 1937 : La Marseillaise<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/07/1972<br />
Durée : 02 h 52 min 45 sec<br />
Heure : 20 h 37 min 15 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
182
Titre propre<br />
François Truffaut : La Règle du jeu<br />
Titre collection<br />
Grand écran<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Raoul Sangla ; Producteur : Monique Assouline ; Présentateur : François Truffaut ; Participant :<br />
François Truffaut, Yvonne Baby, Alexandra Stewart, Jean-Loup Dabadie<br />
Résumé<br />
François Truffaut présente le film <strong>de</strong> Renoir, La Règle du jeu. Il fait un rappel <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong><br />
ce « film maudit » qui fut interdit à sa sortie en 1939, jugé trop démoralisant par le<br />
gouvernement ; puis disparaît pendant la guerre et revient sur les écrans à la Libération mais<br />
dans <strong>de</strong>s versions tronquées. Il n'est montré dans son intégralité qu'en 1965.<br />
Après la diffusion du film, discussion entre François Truffaut, Alexandra Stewart, Jean-Loup Dabadie et Yvonne<br />
Baby, romancière et journaliste <strong>de</strong> cinéma : mo<strong>de</strong>rnité, vérité <strong>de</strong> ce film qui déconcerta le public par le mélange<br />
<strong>de</strong>s tons et <strong>de</strong>s genres.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/07/1972<br />
Durée : 00 h 20 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
183
Titre propre<br />
Vieilles chansons françaises<br />
Titre collection<br />
Aujourd’hui madame<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Jacques Garat, Nicole André ; Réalisateur : André Veyret ; Producteur, Armand Jammot<br />
Résumé<br />
- Présentation par Jacques Garat et Nicole André<br />
- Téléspectateurs : M. Quignon, Mme pacton, Mme Sebire, Mme Godfroy et Mme Jacquet<br />
- Jacques Garat présente les émissions futures<br />
- gros plan marteaux du piano<br />
- Au piano, Pierre Spiers<br />
- Les téléspectatrices expliquent les raisons <strong>de</strong> leur présence : amour <strong>de</strong>s vieilles chansons<br />
- Invités : Pierre Spiers, Lucien Lupi, Jack Lantier et Léon Raiter<br />
- Léon Raiter, parolier <strong>de</strong> 2 000 chansons environ, chante un pot pourri <strong>de</strong> ses succès Le Tango du chat, On n'a pas<br />
tous les jours 20 ans et A l'exposition<br />
- Jack Lantier chante Les Roses blanches – Léon Raiter chante Rosalie<br />
- Mme Jacquet fredonne Les Millions d'arlequins<br />
- M. Quignon chante Le Moulin <strong>de</strong> maître Jean, Pierre Spiers interprète au piano Noël blanc – Jack Lantier chante Le<br />
Temps <strong>de</strong>s cerises<br />
- Lucien Lupi chante La Voix <strong>de</strong>s chênes<br />
- Mme Jacquet chante Froufro"<br />
- Jack Lantier chante Envoi <strong>de</strong> fleurs<br />
- Lucien Lupi chante Le Credo du paysan<br />
- film : extrait <strong>de</strong> Feanch cancan <strong>de</strong> Jean Renoir où Cora Vaucaire chante La Rue Saint Vincent –<br />
Léon Raiter évoque Aristi<strong>de</strong> Bruant – Jack Lantier chante L'Hiron<strong>de</strong>lle du Faubourg – Pierre Spiers interprète au<br />
piano plusieurs airs – Jack Lantier chante La Petite église - Mme Jacquet chante Viens poupoule.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 26/12/1972<br />
Durée : 00 h 44 min 30 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
184
Titre propre<br />
Pierre Richard<br />
Titre collection<br />
Le <strong>de</strong>rnier <strong>de</strong>s 5<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Réalisateur : Michel Ayats ; Producteur : Jacques Rouland, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
----- Invité : Pierre Richard-----<br />
- Candidats : Monsieur Bena, Monsieur Duprat, Monsieur Guinard, Monsieur Mars, Monsieur Stargier<br />
- 1er questionnaire : L'Héritier, <strong>de</strong> Philippe Labro<br />
--- Extrait du film : Salut l'artiste, d’Yves Robert<br />
- 2ème questionnaire : La Gran<strong>de</strong> illusion, <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Extrait du film : Blanche Neige et les 7 nains, <strong>de</strong> Walt Disney<br />
- 3ème questionnaire : Hello Dolly, <strong>de</strong> Gene Kelly<br />
--- Extrait du film : Peter and Tillie, <strong>de</strong> Martin Ritt<br />
- 4ème questionnaire : Belles <strong>de</strong> nuit, <strong>de</strong> René Clair<br />
--- Extrait du film : Le Magnifique, <strong>de</strong> Philippe <strong>de</strong> Broca<br />
- 5ème questionnaire : Sur Michel Bouquet<br />
--- Extrait du film : Les Grands sentiments font les bons gueuletons, <strong>de</strong> Michel Berny<br />
- 6ème questionnaire : Alexandre le Bienheureux, d’Yves Robert<br />
- Pierre Richard est interviewé par Pierre Tchernia, il parle <strong>de</strong> son <strong>de</strong>rnier film : « Je sais rien mais je dirai tout »<br />
- Monsieur Stragier est éliminé avec 4 points.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 23/12/1973<br />
Durée : 00 h 45 min 10 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
185
Titre propre<br />
Jean-Pierre Cassel<br />
Titre collection<br />
Le <strong>de</strong>rnier <strong>de</strong>s 5<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant, Jean-Marc Roberts (candidat), Régis Wargnier (candidat), Jean-<br />
Pierre Cassel ; Réalisateur : Colette Thiriet ; Producteur : Pierre Tchernia, Jacques Rouland<br />
Résumé<br />
----- Invité : Jean-Pierre Cassel-----<br />
- Candidats : Jean Marc Roberts, écrivain, Monsieur Peschaud, conseiller <strong>de</strong> production dans une maison<br />
d'assurances, Régis Wargnier, étudiant en lettres, Monsieur Pellié, étudiant en étu<strong>de</strong>s théâtrales, Monsieur<br />
Morand, avocat stagiaire<br />
- Premier questionnaire : La Folie <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>urs <strong>de</strong> Gérard Oury<br />
--- Extrait A nous quatre, cardinal d’André Hunebelle avec Les Charlots<br />
- Deuxième questionnaire : Le Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
--- Extrait : La Femme <strong>de</strong> Jean, <strong>de</strong> Yannick Bellon<br />
- Quatrième questionnaire : Les Amants <strong>de</strong> Louis Malle<br />
--- Extrait Les Valseuses <strong>de</strong> Bertrand Blier<br />
- Cinquième questionnaire : Le Gaucher d’Arthur Penn<br />
--- Extrait Le Gaucher d’Arthur Penn<br />
-Jean-Pierre Cassel parle du Mouton enragé <strong>de</strong> Michel Deville<br />
- Sixième questionnaire : Le Charme discret <strong>de</strong> la bourgeoisie <strong>de</strong> Luis Bunuel<br />
-Jean-Marc Roberts est éliminé.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/03/1974<br />
Durée : 00 h 42 min 00 sec<br />
Heure : 13 h 50 min 30 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
186
Titre propre<br />
Clau<strong>de</strong> Renoir<br />
Titre collection<br />
Les grands directeurs <strong>de</strong> la photographie<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Georges Paumier ; Producteur : Denys Clerval ; Participant : Clau<strong>de</strong> Renoir<br />
Résumé<br />
- plan d’ensemble : Clau<strong>de</strong> Renoir dans son jardin, avançant vers sa maison.<br />
- Panoramique : sur le salon, la cheminée, les oeuvres d'art.<br />
- gros plan : Clau<strong>de</strong> Renoir assis dans un fauteuil près <strong>de</strong> la cheminée: ses débuts d'assistant-opérateur<br />
- Extrait <strong>de</strong> L'Impossible objet <strong>de</strong> John frankenheimer (1967) avec Alan Bates.<br />
- Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir sur son métier.<br />
- Court extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir Toni - 1935<br />
- Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir : il parle <strong>de</strong>s grands opérateurs tels Philippe Agostini.<br />
- Clau<strong>de</strong> Renoir dirigeant <strong>de</strong>s opérateurs et <strong>de</strong>s électriciens.<br />
- gros plan interview Clau<strong>de</strong> Renoir : la prise <strong>de</strong> vue pour les films en noir et blanc. L'intérêt dans la couleur c'est<br />
le travail <strong>de</strong> composition. Il parle du film Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir. Collaboration avec décorateurs et<br />
costumiers<br />
- Extrait du film Le Fleuve <strong>de</strong> Jean Renoir (1950).<br />
- plan moyen Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir : travail comparable à la peinture.<br />
- Suite extrait film Le Fleuve<br />
- gros plan: Clau<strong>de</strong> Renoir préfère le travail en studio.<br />
- Extrait <strong>de</strong> L'Impossible objet (voix off Clau<strong>de</strong> Renoir à propos <strong>de</strong> ce film tourné au Maroc).<br />
- plan moyen : Clau<strong>de</strong> Renoir : le film Le Carrosse d'or <strong>de</strong> Jean Renoir (1952) extrait.<br />
- gros plan Clau<strong>de</strong> Renoir évoque avec émotion l'actrice Anna Magnani. Puis parle <strong>de</strong> ses dissensions avec<br />
Audrey Hepburn<br />
- Clau<strong>de</strong> Renoir pendant un tournage, faisant <strong>de</strong>s essais <strong>de</strong> lumière<br />
- plan moyen Clau<strong>de</strong> Renoir : ses rapports avec les metteurs en scène. Sa rencontre fructueuse avec Vadim.<br />
Extrait <strong>de</strong> Barbarella (1968)<br />
- Suite interviews Clau<strong>de</strong> Renoir : il parle du film Les Amants <strong>de</strong> Teruel ; extrait du film <strong>de</strong> Raymond Rouleau<br />
(1962)<br />
- gros plan : Clau<strong>de</strong> Renoir aimerait que le cinéma s'éva<strong>de</strong> du réalisme.<br />
- Zoom arrière: sur autoportrait d'Auguste Renoir<br />
- gros plan Clau<strong>de</strong> Renoir les rapports <strong>de</strong> la photographie et <strong>de</strong> l'art<br />
- Zoom arrière: faça<strong>de</strong> <strong>de</strong> sa maison. Clau<strong>de</strong> Renoir sortant <strong>de</strong> la maison<br />
- Générique fin<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/06/1974<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
187
Titre propre<br />
Jean Renoir parmi nous : La Gran<strong>de</strong> illusion<br />
Titre collection<br />
Grand écran<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Charles Bitsch ; Producteur : Monique Assouline ; Participant : Clau<strong>de</strong> Bertrand, Marcel Dalio,<br />
Françoise Arnoul, Jean Carmet, Clau<strong>de</strong> Brasseur<br />
Résumé<br />
- Structure <strong>de</strong> cette émission consacrée à Jean Renoir : extraits <strong>de</strong> films, photos (portraits <strong>de</strong> Renoir, photos <strong>de</strong><br />
tournages) avec, en off <strong>de</strong>s propos <strong>de</strong> Jean Renoir sur sa conception <strong>de</strong> l'art, du cinéma ; lecture <strong>de</strong> textes <strong>de</strong><br />
Renoir par Françoise Arnoul, Jean Carmet, Marcel Dalio. Interviews d'un chauffeur <strong>de</strong> taxi, Clau<strong>de</strong> Bertrand,<br />
spectateur <strong>de</strong>s films <strong>de</strong> Renoir ; il lit également <strong>de</strong>s passages <strong>de</strong>s livres <strong>de</strong> Renoir (Les Ecrits 1926-1971 et Ma Vie et<br />
mes films)<br />
- En prologue à l'émission, extrait <strong>de</strong> French Cancan<br />
- Sur le générique <strong>de</strong> début : photos <strong>de</strong> Renoir, en off sa voix lors d'une scène où il dirige un acteur<br />
- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand, chauffeur <strong>de</strong> taxi : il lit la première page du livre Jean Renoir , écrits 1926-1971 : Mon<br />
nom est Jean Renoir... puis monté dans son taxi, il évoque les films <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Petite marchan<strong>de</strong> d'allumettes<br />
- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand au volant, sur la justesse <strong>de</strong> ton <strong>de</strong>s personnages dans les films <strong>de</strong> Renoir : « chacun<br />
parle comme on est dans son mon<strong>de</strong>, pas comme au cinéma... »<br />
- Court extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu<br />
- Extrait <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux<br />
- photos <strong>de</strong> Jean Renoir, en off : « j'ai passé ma vie à être tiraillé entre mon amour <strong>de</strong> l'artificiel et mon amour du naturel... »,<br />
préfère l'observation à l'imagination et dit que « la création artistique et la vie normale, c'est la même chose »<br />
- Extrait <strong>de</strong> La vie est à nous<br />
- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand : pour lui, le film qui exalte le mieux la pério<strong>de</strong> du Front Populaire, c'est Le Crime <strong>de</strong><br />
Monsieur Lange<br />
- photos <strong>de</strong> Renoir jeune, puis lors <strong>de</strong> tournages ; image arrêtée <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion ; en off, Jean Renoir dit :<br />
« rien n'est absolu, les bons sont souvent très méchants et les méchants sont souvent très bons »<br />
- interview du chauffeur <strong>de</strong> taxi sur La Gran<strong>de</strong> illusion qui l'a beaucoup marqué ; il rappelle qu'aujourd'hui, Jean<br />
Renoir a 80 ans.<br />
- L'acteur Marcel Dalio hèle un taxi, lit un texte extrait du même livre datant <strong>de</strong> 1937 dans lequel Renoir dit que<br />
les gouvernements n'hésitent pas à faire rentrer dans leur police les piresbandits et les utiliser pour la défense <strong>de</strong><br />
la société<br />
- Extrait <strong>de</strong> la La Règle du jeu où le Marquis <strong>de</strong> la Cheyniest (Dalio) prend à son service un braconnier (Julien<br />
Carette)<br />
- photos <strong>de</strong> tournage ; en off, Renoir dit que le travail a été d'autant plus intéressant que la troupe était loin <strong>de</strong><br />
Paris, coupée du mon<strong>de</strong> extérieur<br />
- Autre passage <strong>de</strong>s Ecrits <strong>de</strong> Renoir lu par Dalio : « il m'est difficile <strong>de</strong> saisir la différence entre la le rêve et la réalité... »<br />
- Autre extrait du film : Renoir dans le rôle d'Octave<br />
- interview <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Bertrand à propos <strong>de</strong> La Marseillaise (photos) et sur Le Journal d'une femme <strong>de</strong> chambre (photos)<br />
- photos Renoir, son visage en gros plan, tournages aux Etats-Unis ; en off : « ce qui se passe chez moi, c'est une<br />
incapacité à comprendre le sens d'une scène avant <strong>de</strong> l'avoir vue matérialisée...chaque scène doit être une exploration »<br />
- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand sur le film tourné en In<strong>de</strong> Le Fleuve, en couleur. Il y a toujours beaucoup d'eau dans<br />
les films <strong>de</strong> Renoir ; évoque LaPartie <strong>de</strong> campagne<br />
- Extrait du film<br />
- Françoise Arnoul qui fut l'héroine <strong>de</strong> French Cancan lit à son tour <strong>de</strong>s passages du texte <strong>de</strong> Renoir sur le fait que<br />
le cinéma qui est un art essentiellement populaire, s'éloigne <strong>de</strong> plus en plus du peuple<br />
- Extrait <strong>de</strong> French Cancan<br />
- Lecture Françoise Arnoul : Renoir se dit <strong>de</strong> plus en plus attiré par <strong>de</strong>s histoires assez faibles qui le laissent « libre<br />
<strong>de</strong> faire du cinématographe ». Si l'art cinématographique est celui d'instruire <strong>de</strong>s mouvements, lui peut aimer un<br />
mouvement comme le geste d'une jeune fille arrangeant sa chevelure ou le mouvement d'un petit chat qui s'étire<br />
- photos portraits <strong>de</strong> Renoir, tournages ; en off : « j'en arrive à penser que le motif importe peu, que ce qui compte c'est la<br />
manière dont on raconte un film »<br />
- Lecture Françoise Arnoul : « l'auteur d'un film impose aux autres [producteur, acteur, metteur en scène] la ligne<br />
directive unique sans laquelle aucune oeuvre d'art ne peut exister »<br />
-Jean Carmet, à son tour lit <strong>de</strong>s passages <strong>de</strong> textes <strong>de</strong> Renoir : « toute ma vie, j'ai essayé <strong>de</strong> faire <strong>de</strong>s films d'auteur...ce qui<br />
me plaît c'est que l'auteur se cache mo<strong>de</strong>stement <strong>de</strong>rrière les héros qui animent ses produits... »<br />
- Extrait du <strong>de</strong>rnier film <strong>de</strong> Renoir Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir avec Jean Carmet<br />
- Suite lecture par Jean Carmet : « La paresse est une valeur humaine qui est en train <strong>de</strong> disparaître... »<br />
188
- interview Clau<strong>de</strong> Bertrand : « Renoir, c'est le chemin <strong>de</strong>s écoliers, pour le plaisir... il raconte <strong>de</strong>s tas d'histoires différentes »<br />
- Autres photos <strong>de</strong> Renoir ; en off : « on a souvent trop <strong>de</strong> choses à dire, tout ne peut être dit, parfois on oublie, alors le spectateur<br />
supplée à sa façon...un film est autant <strong>de</strong> fois un film qu'il y a <strong>de</strong> spectateurs »<br />
- Clau<strong>de</strong> Brasseur monte à son tour en taxi pour lire un autre texte <strong>de</strong> Renoir : « la production française est en train <strong>de</strong><br />
mourir <strong>de</strong> l'abus <strong>de</strong>s mêmes ve<strong>de</strong>ttes, <strong>de</strong>s mêmes metteurs en scène...<strong>de</strong>s mêmes formules »<br />
- Extrait <strong>de</strong> Le Caporal épinglé avec Clau<strong>de</strong> Brasseur<br />
- Suite lecture Clau<strong>de</strong> Brasseur : « l'ennemi numéro un c'est le cliché...par cliché, j'entends une image, une opinion, une pensée<br />
qui s'est sournoisement substituée à la réalit »<br />
- interview Renoir extrait d'une émission <strong>de</strong> JM Col<strong>de</strong>fy avec Jacques Rivette : « le grand danger <strong>de</strong>s novateurs...c'est<br />
qu'ils prennent leurs innovations pour la Bible ; moi je n'ai qu'une crainte, c'est d'être figé » / autres archives <strong>de</strong> Renoir,<br />
extraites différentes émissions (muet)<br />
- Clau<strong>de</strong> Bertrand lit un passage d'un autre livre <strong>de</strong> Renoir Ma Vie et mes films où celui-ci parle <strong>de</strong> son enfance et<br />
rend hommage à sa nourrice Gabrielle, qui lui a appris à voir, à regar<strong>de</strong>r : « mon adieu au mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> mon enfance peut<br />
se résumer en <strong>de</strong>ux mots : attends-moi, Gabrielle ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office Nat. De Radiodiffusion Et Télévis. Fr (ORTF),<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/09/1974<br />
Durée : 00 h 37 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
189
Titre propre<br />
Sacha Guitry : Quadrille<br />
Titre collection<br />
Grand écran<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Charles Bitsch ; Producteur : Monique Assouline<br />
Résumé<br />
- Présentation du film Quadrille <strong>de</strong> Sacha Guitry<br />
- Fantaisie en quatre actes avec Eric Rohmer, François Truffaut, Jacques Rivette<br />
--- acte I : Sacha Guitry, enfant dans les bras <strong>de</strong> sa mère – Sacha Guitry sur son lit <strong>de</strong> mort (off, récit <strong>de</strong> sa vie) –<br />
Sacha Guitry dans différents rôles - extrait d'un <strong>de</strong> ses films : Faisons un rêve (off suite commentaires, puis son<br />
synchro) – Sacha Guitry dans différents rôles (off le théâtre filmé <strong>de</strong> Sacha Guitry) – gros plans coupures <strong>de</strong><br />
presse à propos <strong>de</strong> la sortie du film <strong>de</strong> Sacha Guitry Quadrille – Jean Renoir (off parallèle entre le film <strong>de</strong><br />
Jean Renoir: La Règle du jeu et les films <strong>de</strong> Sacha Guitry) - Paris, sous l'Occupation - documents<br />
archives : circulation à Paris vers les années 30<br />
--- acte II :Entracte – Jacqueline Delubac : off voix <strong>de</strong> Sacha Guitry, parle <strong>de</strong>s femmes - visages d'autres actrices<br />
--- acte III : extrait d'un film <strong>de</strong> Sacha Guitry (off commentaires <strong>de</strong> Sacha Guitry sur l'état <strong>de</strong> mari) – Sacha<br />
Guitry répond à <strong>de</strong>s questions posées par un interlocuteur factice, assis dans une salle <strong>de</strong> cinéma - les questions<br />
sont construites à l'ai<strong>de</strong> d'extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong> Sacha Guitry (dans l'un <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Sacha Guitry, dialogue avec<br />
son père, Lucien Guitry, à propos <strong>de</strong>s femmes)<br />
--- acte IV : Sacha Guitry : extrait du film <strong>de</strong> Sacha Guitry Désiré – Sacha Guitry présente les acteurs - scénette -<br />
l'interlocuteur factice téléphone à Jacques Rivette – plan américain Jacques Rivette répond à la question posée -<br />
extrait du film <strong>de</strong> Jacques Rivette : Paris nous appartient avec Gianni Esposito - le questionneur téléphone à Eric<br />
Rohmer - off voix d’Eric Rohmer – François Truffaut : extrait Les Mistons <strong>de</strong> François Truffaut - le questionneur<br />
téléphone à François Truffaut – François Truffaut répond - extrait du film Le Mépris <strong>de</strong> Jean-Luc Godard (off<br />
récitation du générique) (inspiré <strong>de</strong> Sacha Guitry) - à l'ai<strong>de</strong> d'un montage pseudo-conversation téléphonique<br />
entre le questionneur et Sacha Guitry - extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir : Le Carrosse d'or avec Anna<br />
Magnani.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 31/10/1974<br />
Durée : 00 h 36 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Office Radio Télévision France<br />
190
Titre propre<br />
L'imagination et le front populaire au pouvoir 1935-1936<br />
Titre collection<br />
Hisoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Armand Panigel ; Producteur : Armand Panigel ; Participant : Henri-Georges Clouzot, Hervé<br />
Bramberger, René Clair, Clau<strong>de</strong> Autant Lara, Marcel L'Herbier, Raoul Ploquin, Marcel Carné, Georges<br />
Neveux, André Paulve, André Zwoboda, Georges Lecourse, Pierre Billon, Charles Spaak, René Lefèvre, Jean-<br />
Paul Le Chanois, Jean Delannoy, Christian Jaque, Jean Aurenche, Jean Dreville, Françoise Giroud, Yves<br />
Allegret, Marcel Pagnol, Raymond Bernard<br />
Résumé<br />
Tous les participants <strong>de</strong> cette émission évoquent la création cinématographique en 1935/1936. Cette émission<br />
est illustrée par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films :La Belle équipe (Julien Duvivier), César (Marcel Pagnol), Jenny (Marcel Carné),<br />
Ces messieurs <strong>de</strong> la santé, Théodore et cie, Le Roi du cirage (Pierre Colombier), Ciboulette (Clau<strong>de</strong> Autant-Lara), Le Crime<br />
<strong>de</strong> M. lange, La Vie est à nous, La Partie <strong>de</strong> campagne (Jean Renoir), Le Dernier milliardaire, Quatorze<br />
juillet (René Clair), Faubourg Montmartre (Raymond Bernard).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision (PATHE)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/01/1975<br />
Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 05 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programme : TéléFrançaise 1<br />
191
Titre propre<br />
Vers le réalisme poétique 1936-1938<br />
Titre collection<br />
Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Armand Panigel ; Participant : Pierre Braunberger, René Clair, Jean-Paul Le Chanois, Jean<br />
Renoir, Marc Allegret, Françoise Giroud, Louis Daquin, Jean Painleve, Michel Simon, Henri-Georges Clouzot,<br />
Jean Delannoy, André Zwoboda, Charles Spaak, Christian Jaque, Georges Lacombe, Marcel Achard, Raoul<br />
Ploquin, Henri Jeanson, Marcel Carné, Marcel Pagnol, Pierre Billon, Raymond Bernard<br />
Résumé<br />
Evocation a travers <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films (La Vie est à nous,L'Atalante, Divine, Angèle, Rigolpoche, Monsieur personne),<br />
<strong>de</strong>s interviews (cinéastes, producteurs, acteurs) du cinéma français à l'époque du front populaire <strong>de</strong> personnalités,<br />
comme Jean Vigo, Saint- Exupéry, qui ont marqué la production <strong>de</strong> 1936 a 1938.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision (PATHE)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 14/02/1975<br />
Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 10 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
192
Titre propre<br />
L’album <strong>de</strong> Paul Meurisse<br />
Titre collection<br />
L’album <strong>de</strong> famille<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : François Chatel ; Présentateur : Pierre Tchernia ; Participant : Paul Meurisse, Pierre Tchernia<br />
Résumé<br />
Pierre tchernia reçoit Paul Meurisse, interprète du film <strong>de</strong> Jean L’Hote, L'Education amoureuse <strong>de</strong> Valentin. Il parle<br />
<strong>de</strong> sa carrière : il a fait beaucoup <strong>de</strong> cinéma avant d'abor<strong>de</strong>r le théâtre.<br />
Photos <strong>de</strong> son père, <strong>de</strong> sa grand-mère paternelle. Sa vie à Aix-en Provence où il a fait <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> notariat et a<br />
été clerc <strong>de</strong> notaire, son désir <strong>de</strong> s'éva<strong>de</strong>r. Il a fait <strong>de</strong>s débuts <strong>de</strong> chanteur dans les crochets. Il chantait mal, il<br />
était mauvais. Il a joué Le Bel indifférent <strong>de</strong> Cocteau quelques jours avant d'être mobilisé. Il avait eu une permission<br />
pour créer la pièce. Il l'a jouée avec Piaf.<br />
Photo <strong>de</strong> son premier spectacle théâtral Le Coup <strong>de</strong> grâce. Photo <strong>de</strong> la pièce Un nommé Judas qu'il a jouée avec<br />
Marguerite Jamois, puis Jules César mis en scène par Jean Renoir en Arles avec <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong> cinéma. A<br />
la suite <strong>de</strong> cette pièce, Jean Meyer, présent à la représentation l'a fait entrer à la Comédie Française où il a joué<br />
Coriolan <strong>de</strong> Shakespeare et Domino <strong>de</strong> Marcel Achard. Il explique pourquoi il n'a pas signé son engagement <strong>de</strong><br />
sociétaire.<br />
Photo <strong>de</strong> la pièce L'Hurluberlu d'Anouilh.<br />
Photo avec Anouilh. Photo <strong>de</strong> La Foire d'empoigne dans laquelle il jouait Napoléon et Louis XVIII. Autres photos<br />
<strong>de</strong> ses succès, Don Juan aux enfers avec Pierre Brasseur, L'Escalier avec Daniel Ivernel, Un sale égoïste <strong>de</strong> Françoise<br />
Dorin, pièce qu'il a jouée plus <strong>de</strong> 500 fois, Le Directeur <strong>de</strong> l'opéra, Cher menteur avec Nicole Courcel.<br />
L'entretien se termine sur sa personnalité. Il conclut sur une phrase <strong>de</strong> Montherlant (Malatesta parlant au pape).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris, Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/03/1975<br />
Durée : 00 h 19 min 00 sec<br />
Heure : 13 h 33 min 30 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
193
Titre propre<br />
Rencontre avec l’amour<br />
Titre collection<br />
Les gran<strong>de</strong>s heures <strong>de</strong> notre vie<br />
Générique et auteurs<br />
Interprète : Laurence Bourdil, Gérard Ismael ; Participant : Ménie Grégoire, Albert Cohen (écrivain), François<br />
Perier, Annie Leclerc (écrivain), Jean Servier (théologien), Lucien Israel (docteur), Bernard-Henri Lévy<br />
(philosophe) ; Réalisateur : Maurice Frydland ; Producteur : Clau<strong>de</strong> Santelli, Françoise Verny<br />
Résumé<br />
L’émission propose une rencontre avec l’amour par le témoignage d’hommes et <strong>de</strong> femmes venant <strong>de</strong> milieux<br />
divers (écrivains, mé<strong>de</strong>cin, bénédictin, acteur…), par <strong>de</strong>s lectures <strong>de</strong> textes et <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films :<br />
Extrait L'Ange Bleu <strong>de</strong> J. von Sternberg.<br />
Ménie Grégoire en studio répond à une auditrice.<br />
Stone et Char<strong>de</strong>n chantent Ma<strong>de</strong> in Normandie<br />
Albert Cohen s'étonne d'être interviewé : "j'ai bientôt 80 ans"<br />
François Périer lit <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Belle du Seigneur<br />
Annie Leclerc parle <strong>de</strong> l'amour, en particulier <strong>de</strong> l'amour chez les femmes :épreuve, éclaircissement, mystère ;<br />
<strong>de</strong>ux corps qui se rencontrent.<br />
Extrait Le Diable au corps <strong>de</strong> C. Autant-Lara<br />
Femme parlant <strong>de</strong> l'aspect sexuel<br />
Témoignage <strong>de</strong> Françoise Verny<br />
Paysages - off chant arabe<br />
Dialogue entre Laurence Bourdil et Gérard Ismael<br />
Jean Servier parle <strong>de</strong> Dieu<br />
Albert Cohen évoque Anna Karénine, Laure et Pétrarque, Roméo et Juliette<br />
Extraits Une partie <strong>de</strong> campagne <strong>de</strong> J. Renoir , Rivière sans retour d'O. Preminger, Lumière d'été <strong>de</strong> J.<br />
Grémillon<br />
Bernard-Henri Lévy parle <strong>de</strong> la fidélité et <strong>de</strong> la libération sexuelle<br />
Un Bénédictin parle <strong>de</strong> l'amour spirituel.<br />
Moines dans abbaye.<br />
Témoinage du docteur Lucien Israel<br />
Georges Brassens chante Il n'y a pas d'amour heureux<br />
Lextures extraits du Banquet <strong>de</strong> Platon et du Cantique <strong>de</strong>s cantiques.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris: Télévision française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/03/1975<br />
Durée : 01 h 25 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 35 min 40 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
194
Titre propre<br />
Les gran<strong>de</strong>s illusions 1939-1942<br />
Titre collection<br />
Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Marcel Carné, Henri-Georges Clouzot, Henri Jeanson, Marc Allegret, Charles Spaak, Jean Renoir,<br />
André Zwoboda, Françoise Giroud, Pierre Braunberger (Producteur), Jean-Paul Le Chanois, Raoul Ploquin<br />
(Producteur), Louis Daquin, Ma<strong>de</strong>leine Renaud, Christian Jaque, Georges Lacombe (Cinéaste), Marcel<br />
L'Herbier, André Paulve (Producteur), René Clair, Pierre Chenal, Jean Delannoy, Jean Dreville ; Réalisateur :<br />
Armand Panigel ; Producteur : Armand Panigel<br />
Résumé<br />
Le cinéma français sous l'occupation. Récits et témoignages illustres par extraits <strong>de</strong> films :Hôtel du nord (1938) - Le<br />
Jour se lève (1939) - La Gran<strong>de</strong> illusion - La Marseillaise (1938) – Remorques - La Fille du puisatier (1940) - La<br />
Vénus aveugle (1940) - La Symphonie fantastique. - L'assassinat du père noël - Les Visiteurs du soir<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Producteur ou Co-producteur, France : Pathé<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/04/1975<br />
Durée : 00 h 59 min 00S sec<br />
Heure : 22 h 30 min 00S sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
195
Titre propre<br />
Une certaine tradition <strong>de</strong> qualité<br />
Titre collection<br />
Histoire du cinéma français par ceux qui l’ont fait<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Armand Panigel ; Producteur : Armand Panigel ; Participant : Pierre Braunberger, Jean-Paul Le<br />
Chanois, Jean Aurenche, Clau<strong>de</strong> Autant Lara, Françoise Giroud, L'Herbier, Marcel, Christian Jaque, Marcel<br />
Camus, Marcel Blistene, René Clair, Michel Deville, Clau<strong>de</strong> Renoir, Roger Vadim, Annette Wa<strong>de</strong>mant, Marcel<br />
Achard, Ma<strong>de</strong>leine Renaud, Pierre Kast, Marcel Carné, Yves Allegret, Pierre Bost, Jacques Sigurd, Henri-<br />
Georges Clouzot, Louis Daquin, René Clément, Charles Spaak, André Paulve<br />
Résumé<br />
Panorama <strong>de</strong>s films français les plus représentatifs <strong>de</strong>s années « 50 » : extraits : La Bataille du rail, Les Maudits, La<br />
Belle et la bête , Jéricho <strong>de</strong> Louis Calef, Boule <strong>de</strong> suif, La Chartreuse <strong>de</strong> Parme, Fanfan la tulipe <strong>de</strong> Christian-Jaque, Le<br />
Silence est d'or, La Beauté du diable, Belles <strong>de</strong> nuit, Porte <strong>de</strong>s Lilas <strong>de</strong> René Clair, French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir, Les<br />
Portes <strong>de</strong> la nuit <strong>de</strong> Marcel Carné, Ren<strong>de</strong>z-vous <strong>de</strong> juillet <strong>de</strong> Jacques Becker, Avant le déluge d'André Cayatte, Une si jolie<br />
petite plage, Dédé d'Anvers d'Yves Allégret, Quai <strong>de</strong>s Orfèvres d'Henri-Georges Clouzot.<br />
(interviews en alternance avec les extraits).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Office national <strong>de</strong> radiodiffusion télévision française (ORTF)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 02/06/1975<br />
Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 05 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : TéléFrançaise<br />
196
Titre propre<br />
Madame Bovary <strong>de</strong> Gustave Flaubert<br />
Titre collection<br />
Lire c’est vivre<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Dumayet ; Producteur : Pierre Dumayet ; Réalisateur : Jean Cazenave<br />
Résumé<br />
Interviews successives d'habitants <strong>de</strong> Saint-André du désert en Bourgogne : Madame Aymorine, Madame<br />
Saclier, paysanne, et le comte Philibert <strong>de</strong> Rambuteau, sur le roman Madame Bovary <strong>de</strong> Flaubert ; extraits du<br />
film Madame Bovary <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/02/1976<br />
Durée : 00 h 55 min 00 sec<br />
Heure : 20 h 32 min 10 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
197
Titre propre<br />
Rétrospective Gabin<br />
Titre collection<br />
IT1 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Léon Zitrone, Robert Werner<br />
Résumé<br />
Rétrospective <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> Jean Gabin : extraits d'interview <strong>de</strong> Gabin par Léon Zitrone sur ses défauts, ses<br />
origines, ses débuts, sa carrière, ses enfants. Photos <strong>de</strong> ses rôles avant la guerre. Extraits <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong><br />
illusion <strong>de</strong> Jean Renoir, et <strong>de</strong> Touchez pas au grisbi <strong>de</strong> Jacques Becker. Photos <strong>de</strong>s rôles <strong>de</strong> Gabin patriarche.<br />
Autre sujet tourné dans la propriété <strong>de</strong> l'acteur (Les Aspres) le matin <strong>de</strong> l'annonce <strong>de</strong> sa mort. [différents plans]<br />
<strong>de</strong> sa maison, son chien aboyant, sa casquette pendue au portemanteau, chevaux dans les champs.<br />
interview d'une employée du domaine, et <strong>de</strong> voisins sur le comédien. Retour plateau Roger Gicquel qui récite un<br />
poème que Jacques Prévert a écrit sur Jean Gabin.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : télévision française 1 (TF1)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/11/1976<br />
Durée : 00 h 05 min 42 sec<br />
Heure : 20 h 04 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
198
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Luchino Visconti à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre propre<br />
Luchino Visconti ou la puissance d'être<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Michel Random ; Participant : Luchino Visconti<br />
Résumé<br />
« Renoir, c'était mon vrai maître... »: témoignage <strong>de</strong> Luchino Visconti qui fut l'assistant <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir : ce fut une « expérience essentielle » <strong>de</strong> travailler auprès <strong>de</strong> Jean Renoir ; Renoir lui a<br />
tout appris sans jamais cherché à lui apprendre les choses. Le film antifaschiste, Ossessione,<br />
qu'il réalisa à son retour en Italie (1943) est très influencé par Renoir et par certaines théories<br />
du cinéma français à l'époque du Front populaire.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 14/03/1977<br />
Durée : 00 h 02 min 54 sec<br />
Heure : 22 h 04 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
199
Titre propre<br />
Farceurs et pasticheurs<br />
Titre collection<br />
Apostrophes<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean-Louis Bory, Jean-Michel Royer, Jacques Martin, Jean-Christophe Averty, Jean-François Bizot,<br />
Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />
Résumé<br />
J.F. Bizot (Rire 2, Actuel par actuel) : actuel, journal qui fût une continuation (non politique) du délire <strong>de</strong> mai 68. Les<br />
remarquables parodies <strong>de</strong> journaux rassemblées dans Rire 2. Cl-Jean Philippe présente Une Partie <strong>de</strong><br />
campagne <strong>de</strong> J. Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/04/1977<br />
Durée : 01 h 00 min 00S sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
200
Titre propre<br />
Le temps <strong>de</strong>s escadrilles <strong>de</strong> 1910 à 1918<br />
Titre collection<br />
Histoire <strong>de</strong> l’aviation<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : René-Jean Bouyer, Daniel Costelle ; Participant : Georges Bellenger, Hans Georg von Der Osten,<br />
André Luguet, Georges Carpentier, Paul Tarascon, Gilbert Sardier, Josef Jacobs, Léonard Rochford, Willy<br />
Coppens <strong>de</strong> Houthuist, William Lambert, Armand <strong>de</strong> Turenne, Jean-Pierre Lafille, Joseph Frantz<br />
Résumé<br />
Emission consacrée à la pério<strong>de</strong> 1910-1918 retrace l'essor <strong>de</strong> l'aviation et la guerre <strong>de</strong>s as. Interview <strong>de</strong> G.<br />
Bellenger, capitaine commandant l'escadrille <strong>de</strong> la 6eme armée, sur les avions <strong>de</strong> reconnaissance - JP Lafille,<br />
pilote <strong>de</strong> « l'escadre du souvenir », pilote et décrit le caudron g3 - interview J. Frantz qui a abattu le 5.10.1914, le<br />
1er avion allemand en combat aérien. Interview H.G. von <strong>de</strong>r Osten, pilote allemand. Interview à Luguet sur les<br />
écoles <strong>de</strong> pilotages - interview du boxeur G. Carpentier (décédé en oct.1976) qui fût pilote <strong>de</strong> reconnaissance à<br />
Verdun.<br />
interview P. Tarascon (12 victoires), G. Sardier (15 victoires) A. <strong>de</strong> Turenne (15 victoires) sur l'esprit<br />
chevaleresques <strong>de</strong> ces as <strong>de</strong> l'aviation - extrait du film <strong>de</strong> Renoir La Gran<strong>de</strong> illusion. Interview J. Jacobs,<br />
pilote allemand, qui rencontra Guynemer en combat aérien - interview L. Rochford (anglais) - interview W.<br />
Coppens <strong>de</strong> Houthuist, as Belge spécialise danss la <strong>de</strong>struction <strong>de</strong>s ballons d'observation allemands - interview<br />
W. Lambert, un <strong>de</strong>s premiers pilotes américains. Interview H. Potez, constructeur d'avions, parle <strong>de</strong> l'essor<br />
industriel <strong>de</strong> la firme Breguet.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/05/1977<br />
Durée : 00 h 50 min 10 sec<br />
Heure : 20 h 38 min 25 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
201
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Louis Malle à propos <strong>de</strong>s producteurs<br />
Titre propre<br />
Les affaires sont les affaires<br />
Titre collection<br />
Ciné Première<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Louis Malle<br />
Résumé<br />
« Je crois qu'il faut, d'une façon générale, absolument pas prendre, pour nous qui faisons <strong>de</strong>s films, les gens qui produisent <strong>de</strong>s films,<br />
qui distribuent <strong>de</strong>s films, sont <strong>de</strong>s gens que nous ne <strong>de</strong>vons absolument pas prendre au sérieux... parce qu'ils manquent absolument <strong>de</strong><br />
sérieux... il faut se battre et il faut toujours revenir à la magnifique phrase <strong>de</strong> Jean Renoir qui<br />
disait : “les producteurs passent, puis nous on reste”... C'est très difficile, vous savez, le fait que le cinéma coûte<br />
si cher fait que c'est un commerce, c'est une industrie, et a priori j'ai jamais eu très confiance dans les gens d'argent et à juste titre ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/06/1978<br />
Durée : 00 h 01 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
202
Titre propre<br />
Portrait d'un décorateur Georges Wakhévitch<br />
Titre collection<br />
Pleins feux<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Georges Wakhevitch<br />
Résumé<br />
Françoise Dorin appelle au théléphone Georges Wakhévitch chez lui, pour lui dire qu'elle a modifié son décor<br />
pour Le Tout pour le tout. Wakhevitch explique la manière dont il travaille, montre <strong>de</strong>s maquettes et <strong>de</strong>s croquis <strong>de</strong><br />
ses décors, parle <strong>de</strong> sa collaboration avec Jean Cocteau, Peter Brook, Christian Bérard, Herbert<br />
von Karajan, Jean Renoir, André Roussin. Il trouve son métier <strong>de</strong> décorateur très difficile.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, paris : Télévision française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/11/1978<br />
Durée : 01 h 01 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
203
Titre propre<br />
Yves Robert à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
TF1 TF1<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Yves Robert<br />
Résumé<br />
En vue d'une émission sur Jean Renoir, Yves Robert se promenant dans Montmartre où vécut<br />
Renoir, se dit « spectateur <strong>de</strong> Renoir... tendrement, <strong>de</strong> façon bouleversée ». Il le considère<br />
comme le maître du cinéma français et lui doit d'être <strong>de</strong>venu cinéaste.<br />
Voix off <strong>de</strong> Jean Renoir sur <strong>de</strong>s tableaux <strong>de</strong> son père : « j'ai perçu que par la vérité extérieure, je<br />
pouvais espèrer joindre la vérité intérieure... ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/11/1978<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
204
Titre propre<br />
Jean Renoiret la vérité intérieure : éléments pour un portrait<br />
Titre collection<br />
Portrait<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Armand Panigel<br />
Résumé<br />
Cette émission composée d'interviews provenant d'émissions <strong>de</strong> radio et <strong>de</strong> télévision (ORTF), d'extraits <strong>de</strong> la<br />
totalité <strong>de</strong> ses films, <strong>de</strong> photographies <strong>de</strong> Jean Renoir à différentes époques <strong>de</strong> sa vie, <strong>de</strong> photographies et <strong>de</strong><br />
tableaux <strong>de</strong> son père Auguste Renoir et <strong>de</strong> phrases <strong>de</strong> son autobiographie Ma Vie et mes films, trace un portrait du<br />
cinéaste Jean Renoir, à la « personnalité foisonnante, insaisissable, contradictoire aux dires <strong>de</strong> ses commentateurs et <strong>de</strong> son oeuvre,<br />
irréductible à toute étiquette par son permanent changement <strong>de</strong> registre » (pour citer Armand Panigel, réalisateur <strong>de</strong> ce<br />
portrait). L'émission se termine par une interview <strong>de</strong> Renoir sur l'expression personnelle, la quête <strong>de</strong> vérité<br />
intérieure : « la gran<strong>de</strong> question est que si on veut se raconter soi-même, trop, on ne raconte rien du tout. Si on essaye <strong>de</strong> se raconter<br />
simplement en réussissant un objet ; si on se raconte à travers quelque chose que l'on veut faire ou raconter, alors on a une petite chance,<br />
mo<strong>de</strong>stement, en se cachant, <strong>de</strong> s'exprimer soi-même ».<br />
- Extraits <strong>de</strong>s films suivants :<br />
Catherine, une vie sans joie (1924), La Fille <strong>de</strong> l'eau, Nana, Sur un air <strong>de</strong> Charleston (1926), Marquitta (1927), La Petite<br />
marchan<strong>de</strong> d'allumettes (1928), Tire-au-flanc, Le Tournoi, Le Bled (1929), On purge bébé (1931), La Chienne, La Nuit du<br />
carrefour (1932), Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux, Chotard et Compagnie (1933), Madame Bovary, Toni (1934), Le Crime <strong>de</strong> Monsieur<br />
Lange (1935), La Vie est à nous (1936), Une Partie <strong>de</strong> campagne, Les Bas-fonds, La Gran<strong>de</strong> illusion (1937), La Marseillaise<br />
(1938), La Bête humaine, La Règle du jeu (1939), La Tosca (1940), L'etang tragique / Swamp Water (1941), Vivre libre/This<br />
Land is mine (1943), L'homme du Sud /The Southerner (1945), La Femme sur la plage/The Woman on the Beach (1946), Le<br />
Fleuve (1951), Le Carrosse d'or (1952), French Cancan (1955), Eléna et les hommes (1956), Le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier<br />
(1959), Le Déjeuner sur l'herbe, Le Caporal épinglé (1962), Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir (1969).<br />
- Emissions INA dont sont extraites certains interviews <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />
- interviews issus du journal télévisé, du magazine Bibliothèque <strong>de</strong> poche.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/11/1978<br />
Durée : 00 h 55 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
205
Titre propre<br />
Cinéma<br />
Titre collection<br />
Salle <strong>de</strong>s fêtes<br />
Résumé<br />
Reportage sur l'exposition itinérante Hommage à Jean Renoir organisée par la Fédération<br />
française <strong>de</strong>s Cinés Clubs. Divers extrait <strong>de</strong> divers films, dont La Vie est à nous et Eléna et les<br />
hommes, extrait <strong>de</strong> la fin <strong>de</strong> La Règle du jeu. Courts extraits <strong>de</strong>s films, L'Ouragan vient <strong>de</strong> Navarone, Pair et<br />
impair, Rue <strong>de</strong> la joie.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/12/1978<br />
Durée : 00 h 50 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
206
Titre propre<br />
Jean Renoir ou l'amour du paradoxe<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : Le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
L'enfance <strong>de</strong> Jean Renoir illustrée <strong>de</strong> vues actuelles <strong>de</strong> Montmartre, puis évocation <strong>de</strong> ses débuts au cinéma :<br />
l'influence <strong>de</strong> la peinture impressionniste et l'importance <strong>de</strong> l'eau, sans laquelle il ne concevait pas le cinéma.<br />
Extrait d'un film <strong>de</strong> Chaplin qu'il admirait beaucoup ainsi que Griffith et von Stroheim. Le rôle <strong>de</strong> Catherine<br />
Hessling qui fût son inspiratrice. Extraits <strong>de</strong>s films suivants, tous réalisés avec Catherine Hessling : La Fille <strong>de</strong> l'eau,<br />
La Petite marchan<strong>de</strong> d'allumettes, Nana, Sur un air <strong>de</strong> Charleston.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, PARIS : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, PARIS : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/01/1979<br />
Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 37 min 30 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
207
Titre propre<br />
La naissance du cinéma parlant ou le ren<strong>de</strong>z-vous du son avec l'image<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Cette émission également intitulée le ren<strong>de</strong>z-vous du son avec l'image fait revivre l'évolution <strong>de</strong> la technique<br />
cinématographique a la fin <strong>de</strong>s années 20 et les nouvelles réalisations <strong>de</strong>s créateurs s'adaptant avec plus ou moins<br />
<strong>de</strong> facilite au cinéma parlant. La première projection <strong>de</strong> cinéma parlant eut lieu a l'exposition universelle <strong>de</strong> 1900<br />
avec Cyrano <strong>de</strong> Bergerac et en octobre 1927 les français découvrent le premier film parlant avec Le Chanteur <strong>de</strong> jazz.<br />
L'émission est également composée d'extraits <strong>de</strong>s films suivants : On purge bébé (Jean Renoir<br />
1931), Les Deux timi<strong>de</strong>s, Sous les toits <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> René Clair, Le Mystère <strong>de</strong> la chambre jaune et Le Parfum <strong>de</strong> la dame en noir<br />
<strong>de</strong> Marcel L’Herbier, La Petite Lise <strong>de</strong> Jean Grémillon et La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : le Seuil audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/01/1979<br />
Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 37 min 15 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
208
Titre propre<br />
La nuit <strong>de</strong>s césars 1979<br />
Résumé<br />
hommages sont rendus à C. Vanel, Mickey et à 4 grands réalisateur français R. Clair, J. Renoir, M.<br />
L’Herbier et A. gance (extraits <strong>de</strong>s portraits réalisés par Panigel)<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/02/1979<br />
Durée : 02 h 58 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
209
Titre propre<br />
Le cinéma en son temps : les années trente ou le paradis perdu<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : Le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Documents d'archives sur le cinéma <strong>de</strong>s années 1930, un cinéma engagé, militant, dénonçant la société, prenant<br />
le parti <strong>de</strong>s ouvriers. Extraits <strong>de</strong>s films A nous la liberté <strong>de</strong> R. Clair, La Vie est à nous et La Règle du jeu <strong>de</strong> J.<br />
Renoir, La Belle équipe <strong>de</strong> J. Duvivier, Le Jour se lève <strong>de</strong> M. Carné, L’Espoir d'A. Malraux et Paradis perdu d'A.<br />
gance. Documents Actualités sur :l'Allemagne et Hitler, en France : la marche <strong>de</strong>s chômeurs <strong>de</strong> 33,<br />
manifestations, victoire du front populaire et départ <strong>de</strong>s soldats pour la guerre.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, paris : Le Seuil audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 04/02/1979<br />
Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 57 min 47 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
210
Titre propre<br />
Rétro Renoir<br />
Titre collection<br />
Soir 3<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean-Louis Barrault<br />
Résumé<br />
Annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir : rediffusion d'une interview du cinéaste (ARCH INA, 20h du 23/05/1961) à<br />
propos <strong>de</strong> son film Le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier ; témoignage <strong>de</strong> Jean-Louis Barrault sur la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Renoir<br />
pour diriger les acteurs.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/02/1979<br />
Durée : 00 h 00 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
211
Titre propre<br />
Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Midi 2<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean Renoir<br />
Résumé<br />
Suite à l'annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir, courte retrospective : photos du cinéaste, <strong>de</strong> son père, Auguste<br />
Renoir, photos <strong>de</strong> ses films, extraits d'interviews (issues <strong>de</strong> l'émission Bibliothèque <strong>de</strong> poche et du 20h du<br />
23/05/1961).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/02/1979<br />
Durée : 00 h 01 min 50 sec<br />
Heure : 12 h 53 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
212
Titre propre<br />
Nécrologie Renoir<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Georges Begot ; Présentateur : Patrick Poivre d'Arvor<br />
Résumé<br />
Retrospective en images sur la carrière, la personnalité <strong>de</strong> Jean Renoir dont on vient d'apprendre le décès :<br />
- Interview <strong>de</strong> Renoir sur sa difficulté à choisir une profession artistique « d'expression personnelle » du fait qu'il était<br />
impressionné par l'exemple <strong>de</strong> son père<br />
- Photo <strong>de</strong> Jean Renoir avec son père Auguste Renoir<br />
- Photos d'un <strong>de</strong> ses premiers films La Petite marchan<strong>de</strong> d'allumettes<br />
- Autre interview (extrait <strong>de</strong> l'émission Bibliothèque <strong>de</strong> poche)<br />
- Photos <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, <strong>de</strong> La Bête humaine<br />
- Interview<br />
- Photos <strong>de</strong> La Règle du jeu du Carrosse d'or, affiche du film Le Testament du Docteur Cor<strong>de</strong>lier<br />
- Extrait d'une interview <strong>de</strong> Jean Renoir (extrait 20h du 23/05/1961) à propos <strong>de</strong> ce film et <strong>de</strong>s moyens<br />
techniques utilisés (caméras multiples)<br />
- Photo <strong>de</strong> son <strong>de</strong>rnier film Le Petite théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/02/1979<br />
Durée : 00 h 02 min 44 sec<br />
Heure : 20 h 02 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
213
Titre propre<br />
Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
IT1 13H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Marion Desmarres<br />
Résumé<br />
Retrospective en images, suite à l'annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />
- Remise <strong>de</strong> la légion d'honneur à Renoir par Françoise Giroud<br />
- Interview <strong>de</strong> Renoir extrait <strong>de</strong> Jean Renoir, le patron, film réalisé par Jacques Rivette en 1966<br />
- Extrait <strong>de</strong> Une Partie <strong>de</strong> campagne<br />
- Photos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/02/1979<br />
Durée : 00 h 04 min 20 sec<br />
Heure : 13 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
214
Titre propre<br />
Rétrospective Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
IT1 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Marion Desmarres<br />
Résumé<br />
Retrospective en images, suite à l'annonce du décès <strong>de</strong> Jean Renoir :<br />
- Interview <strong>de</strong> Renoir au bord <strong>de</strong> la Marne, extrait <strong>de</strong> Jean Renoir, le patron, film réalisé par Jacques Rivette en<br />
1966<br />
- Extraits <strong>de</strong>s films Une Partie <strong>de</strong> campagne et Les Bas-fonds<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Boulogne : Télévision Française 1 (TF1)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/02/1979<br />
Durée : 00 h 04 min 08 sec<br />
Heure : 20 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
215
Titre propre<br />
Interview. JL Barrault<br />
Titre collection<br />
Soir 3<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Jean-Jacques Peyraud<br />
Résumé<br />
Interview J.L. Barrault a propos du décès <strong>de</strong> J. Renoir. Parle du tournage du Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/02/1979<br />
Durée : 00 h 01 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
216
Titre propre<br />
Les obsèques <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Soir 3<br />
Résumé<br />
Dans le petit cimetière d'Essoyes dans l'Aube où Jean Renoir a voulu être enterré : hommes portant le cercueil,<br />
plan <strong>de</strong> la femme et du fils du cinéaste, bénissant le cercueil. Plan <strong>de</strong> la tombe et du buste d'Auguste Renoir la<br />
surmontant.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Dijon : France 3 Dijon Bourgogne Franche-Comté (F3DJ)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/02/1979<br />
Durée : 00 h 00 min 30 sec<br />
Heure : 22 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
217
Titre propre<br />
Obsèques Renoir<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste: Patrick Poivre d'Arvor<br />
Résumé<br />
Courts plans <strong>de</strong> la cérémonie au cimetière d'Essoyes pour les obsèques <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Reims : France Régions 3 (FR3RE)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Sujet repris <strong>de</strong> France 3 régions<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/02/1979<br />
Durée : 00 h 00 min 33 sec<br />
Heure : 20 h 13 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
218
Titre propre<br />
Obsèques Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
IT1 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Jean-Clau<strong>de</strong> Narcy ; Présentateur : Roger Gicquel<br />
Résumé<br />
Obsèques du cinéaste Jean Renoir dans le petit cimetière d'Essoyes en Champagne, berceau <strong>de</strong> la famille Renoir<br />
: hommes portant le cercueil ; plan d'une femme (Madame Renoir)<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Dijon : France 3 Dijon Bourgogne Franche-Comté (F3DJ)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/02/1979<br />
Durée : 00 h 00 min 00 sec<br />
Heure : 20 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
219
Titre propre<br />
Les années trente : Jean Renoir, la tendresse et le déchirement<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Emission consacrée à Jean Renoir et plus particulièrement aux films qu'il a réalisés dans les années 30. Cette<br />
émission est constituée d'extraits <strong>de</strong> films, uniquement : La Chienne (1931), Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (1932), Une Partie <strong>de</strong><br />
campagne (1936) et La Règle du jeu (1939). Photos d'autres films <strong>de</strong> Renoir, évocation <strong>de</strong>s différents rôles qu'il a tenus<br />
lui-même dans certains films ; le personnage d'Octave dans La Règle du jeu, en particulier. Sont évoqués aussi, le<br />
rôle, l'importance <strong>de</strong> l'environnement et <strong>de</strong> la nature dans l'oeuvre <strong>de</strong> Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 04/03/1979<br />
Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 36 min 55 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
220
Titre propre<br />
Michel Simon ou l'innocence du diable<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Auteur du texte original parlé : Clau<strong>de</strong>-<br />
Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
L'émission restitue l'univers et la personnalité <strong>de</strong> Michel Simon à travers sa biographie illustrée <strong>de</strong> photos, d'un<br />
extrait en couleur <strong>de</strong> L'Invite du dimanche du 11/10/1970 (réal Guy Seligmann) et d'extraits <strong>de</strong> ses films : Le Vieil<br />
homme et l'enfant <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Berri, Feu Mathias Pascal <strong>de</strong> Marcel L’Herbier, Tire au flanc <strong>de</strong> Jean Renoir,<br />
L'Atalante <strong>de</strong> Jean Vigo, Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux et La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir, La Vie d'un honnête homme <strong>de</strong><br />
René Clair, et Drôle <strong>de</strong> drame <strong>de</strong> Marcel Carné. Il est question <strong>de</strong> son association avec les Pitoeff, <strong>de</strong> ses débuts<br />
dans le théâtre <strong>de</strong> boulevard, <strong>de</strong> sa collaboration avec Jean Vigo, Jean Renoir, Sacha Guitry, <strong>de</strong> l'importance<br />
qu'il eût pour leurs films précités. A ces informations, se mêle l'analyse du caractère et du comportement du<br />
comédien.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 25/03/1979<br />
Durée : 00 h 27 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 33 min 55 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
221
Titre propre<br />
Le réalisme poétique ou l'école française <strong>de</strong>s années 30<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe fait découvrir les beautés du cinéma français <strong>de</strong>s années 30, la gran<strong>de</strong> époque du réalisme<br />
poétique à travres <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong>s films suivants : 14 juillet, A nous la liberté et Le Million <strong>de</strong> René Clair ; Jenny et Le<br />
Jour se lève <strong>de</strong> Marcel Carné ; L'Etrange Monsieur Victor <strong>de</strong> Jean Gremillon, Le Grand jeu <strong>de</strong> Jacques Fey<strong>de</strong>r, Le<br />
Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange <strong>de</strong> Jean Renoir et La Belle équipe <strong>de</strong> Julien Duvivier.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/04/1979<br />
Durée : 00 h 25 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 49 min 30 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
222
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Satyajit Ray à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre propre<br />
Satyajit Ray<br />
Titre collection<br />
Fenêtre sur<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Georges Luneau ; Participant : Satyajit Ray (Cinéaste)<br />
Résumé<br />
Le cinéaste Indien Satyajjt Ray évoque sa rencontre avec Renoir, comment il travailla sur les repérages du film<br />
Le Fleuve que Renoir réalisa en In<strong>de</strong>.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/05/1979<br />
Durée : 00 h 00 min 59 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
223
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Sur les <strong>de</strong>rniers romans <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre propre<br />
De Hollywood à Cannes<br />
Titre collection<br />
Apostrophes<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : François Truffaut, Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />
Résumé<br />
François Truffaut et Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe parlent <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rniers écrits <strong>de</strong> Jean Renoir : Le Crime <strong>de</strong> l'Anglais<br />
(roman). Julienne et son amour (scenario).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/05/1979<br />
Durée : 00 h 02 min 06 sec<br />
Heure : 21 h 30 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
224
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Ariane Mnouchkine à propos <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre propre<br />
Ariane Mnouchkine<br />
Titre collection<br />
L’Invité du jeudi<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Luc Leridon ; Présentateur : Hélène Vida ; Participant : Ariane Mnouchkine<br />
Résumé<br />
Ariane Mnouchkine, interviewée par Hélène Vida dans L'Invité du jeudi parle <strong>de</strong> son admiration pour Jean<br />
Renoir, le plus grand cinéaste français selon elle. Elle l'aime pour sa chaleur, son amour <strong>de</strong>s êtres humains, <strong>de</strong>s<br />
acteurs.<br />
Rediffusion (arch INA Bibliothèque <strong>de</strong> poche) d'une interview <strong>de</strong> Renoir à propos <strong>de</strong>s Contes d'An<strong>de</strong>rsen.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 29/06/1979<br />
Durée : 00 h 04 min 59 sec<br />
Heure : 16 h 05 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
225
Titre propre<br />
Paris<br />
Titre collection<br />
Les Gran<strong>de</strong>s villes du mon<strong>de</strong><br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jacques Dupont ; Commentateur : Jacques Laurent ; Interprète : Anne Sylvestre (Off) ; Participant :<br />
Pierre Chaunu (Sociologue), Michelle Perrot (Historienne), René Clair, James <strong>de</strong> Coquet (Journaliste), Stephen<br />
Cohen (Couturier), Raoul Girar<strong>de</strong>t (Historien)<br />
Résumé<br />
Evocation <strong>de</strong> Paris à travers l'histoire <strong>de</strong> ses révoltes, <strong>de</strong> ses monuments, <strong>de</strong> son peuple. Le commentaire off<br />
célèbre la renommée et l'influence mondiale <strong>de</strong> ses artistes, <strong>de</strong> son esprit et <strong>de</strong> sa mo<strong>de</strong>. Interview d'historiens, <strong>de</strong><br />
sociologues, d'un cinéaste (René Clair), d'un couturier (Stéphen Cohen). L'émission est illustrée par <strong>de</strong> nombreux<br />
plans <strong>de</strong> la ville et <strong>de</strong> ses habitants, par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films (le géant <strong>de</strong> la steppe d'Alexandre Touchko,<br />
Duguesclin <strong>de</strong> Bernard <strong>de</strong> la Tour, La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir, Les Misérables <strong>de</strong> Raymond Bernard, Les<br />
Enfants du paradis <strong>de</strong> Carne, La Nouvelle Babylone <strong>de</strong> G. Kozintsev, Le Silence est d'or <strong>de</strong> R. Clair), par <strong>de</strong>s séquences<br />
d'actualités et par la chanson off d'Anne Sylvestre La Seine. La compagnie <strong>de</strong>s saltimbanques interprète quelques<br />
scènes <strong>de</strong> théâtre en plein air.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/07/1979<br />
Durée : 00 h 58 min 00 sec<br />
Heure : 20 h 32 min 20 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
226
Titre propre<br />
Jean Gabin ou la vérité première<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Auteur du texte original parlé : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Compositeur<br />
musique originale oeuvre télé : Renaud Gagneux ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Cette émission retrace la carrière cinématographique <strong>de</strong> Jean Gabin, et est illustrée tout<br />
d'abord d'extraits <strong>de</strong>s films qu'il tourna avant la guerre, avec Carné, Prevert, Renoir, Duvivier<br />
et dans lesquels il interprétait souvent <strong>de</strong>s héros tragiques, puis <strong>de</strong> films réalisés pendant la secon<strong>de</strong> partie <strong>de</strong> sa<br />
carrière. Nous voyons entre autres <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Le Jour se lève, Remorque, La Traversée <strong>de</strong> Paris, Le plaisir, La Bête<br />
humaine (liste au générique)<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : le Seuil audovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 30/09/1979<br />
Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 53 min 10 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
227
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Pierre Braunberger sur Jean Renoir<br />
Titre propre<br />
Portrait d'un producteur : Pierre Braunberger<br />
Titre collection<br />
Fenêtre sur<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Robert Rea ; Présentateur : Jean-Jacques Bernard ; Participant : Pierre Braunberger<br />
Résumé<br />
Pierre Braunberger parle <strong>de</strong> Jean Renoir dont il a produit les premiers films : « un homme qui ne vivait que pour le<br />
cinéma... sa passion du geste, puis du verbe ». Il évoque la production, le tournage <strong>de</strong> Tire-au-flanc en 1929 avec Michel<br />
Simon, puis le tournage <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne interrompu plusieurs fois, qui trouva sa forme définitive juste avant<br />
le début <strong>de</strong> la guerre.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 22/10/1979<br />
Durée : 00 h 05 min 42 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
228
Titre propre<br />
Cinéma<br />
Titre collection<br />
Les ren<strong>de</strong>z-vous du dimanche<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Pierre Dux, Jean-Pierre Rawson, Jean Carmet, Veronique Muche, Woody Allen, Eve Darlan, Jean-<br />
Michel Ribes<br />
Résumé<br />
P. Dux pour son rôle dans la pièce La Fraîcheur <strong>de</strong> l'eau au théâtre <strong>de</strong> l'Athénée, sa charge au français, ses rôles au<br />
cinéma. JP Rawson pour son film Gros câlin. J. Carmet et V. Muchet pour leur rôle dans ce film avec Nino<br />
Manfredi extrait du film. Document Intrview <strong>de</strong> W. Allen pour son film Manhattan 4 extraits du film. E. Darlan<br />
parle <strong>de</strong> sa carrière. Jm. Ribes pour son film Avec elle rien ne va plus extrait du film. J Carmet reçoit Les<br />
Carnets du cinéma <strong>de</strong> J. Renoir qu'il évoque brièvement<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Télévision française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/12/1979<br />
Durée : 01 h 21 min 25 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
229
Titre propre<br />
Jacques Becker ou l'élégance morale<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Extraits <strong>de</strong> Touchez pas au grisbi, Boudu sauve <strong>de</strong>s eaux, La Gran<strong>de</strong> illusion, La Vie est à nous, Ren<strong>de</strong>z-vous<br />
<strong>de</strong> juillet, Goupi-mains rouges, Falbalas, Édouard et Caroline, Casque d'or, Le Trou pour illustrer le style et la carrière <strong>de</strong><br />
Jacques Becker <strong>de</strong>puis l'assistant <strong>de</strong> J. Renoir jusqu'à son <strong>de</strong>rnier film en 1960.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/12/1979<br />
Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 54 min 50 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
230
Titre propre<br />
Jean Renoir : propos ultimes<br />
Titre collection<br />
Encyclopédie audiovisuelle du cinéma : le cinéma français<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Commentateur : Jean Rochefort<br />
Résumé<br />
Emission consacrée à Jean Renoir, à la <strong>de</strong>rnière partie <strong>de</strong> sa filmographie plus particulièrement, composée<br />
d'extraits <strong>de</strong>s films suivant : Le Caporal épinglé (1962), Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier (1959), Le Carrosse d'or (1953),<br />
French-cancan (1955) et Le Petit theâtre <strong>de</strong> Jean Renoir (1971). Photos <strong>de</strong> Jean Renoir lors <strong>de</strong> tournages.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Le Seuil Audiovisuel (Seuil)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/12/1979<br />
Durée : 00 h 26 min 00 sec<br />
Heure : 21 h 54 min 33 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
231
Pour saluer Renoir<br />
Film montage <strong>de</strong> Roger Viry-Babel, Nancy, 1980, 120 mn.<br />
Titre propre<br />
Dalio<br />
Titre collection<br />
Mi fugue, mi raison<br />
Notes du titre<br />
Et si l’on jouait au cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Marcel Dalio ; Journaliste : Christine d' Izarny, Jean-Noël Ro<br />
Résumé<br />
Délicieux numéro <strong>de</strong> cabotinage <strong>de</strong> M. Dalio : ses rôles, l'humour au cinéma, sa collaboration avec Renoir.<br />
Extrait d'une scène avec Gabin.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 06/02/1980<br />
Durée : 02 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
232
Titre propre<br />
Jean Gabin: 1ere partie<br />
Titre collection<br />
Ces chers disparus<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Denis Derrien ; Participant : Fernand Ledoux, Edwige Feuillere, Ginette Leclerc, Viviane Romance<br />
Résumé<br />
Première émission d'une série <strong>de</strong> cinq consacrée à Gabin : le début <strong>de</strong> sa carrière au music-hall et au cinéma<br />
avec <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> films <strong>de</strong>s années 30 ( Renoir, Allegret, Duvivier) et d'émissions <strong>de</strong><br />
télévision ou il était interviewe. Fernand Ledoux, Edwige Feuillère, Ginette Leclerc et Viviane Romance<br />
évoquent le personnage qu'ils ont connu et avec qui ils ont travaillé.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Télévisio française 1 (TF1)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/11/1980<br />
Durée : 00 h 12 min 55 sec<br />
Canal : 1ere chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Télé Française 1<br />
233
Titre propre<br />
Histoire du film-annonce<br />
Titre collection<br />
Ciné regards<br />
Générique et auteurs<br />
Commentateur : Jean Martinelli ; Réalisateur : Moise Maatouk<br />
Résumé<br />
Evolution <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong>-annonce <strong>de</strong>puis les débuts <strong>de</strong> hollywood jusqu'à nos jours-premières Ban<strong>de</strong>-annonces <strong>de</strong><br />
films i<strong>de</strong>ntifiés : Marguerite Gauthier <strong>de</strong> Cukor. La Rivière sans retour <strong>de</strong> Preminger.Cléopatre <strong>de</strong> Mankiewicz. Les<br />
Parapluies <strong>de</strong> Cherbourg <strong>de</strong> Demy. Superman <strong>de</strong> Lester. Rosemary's Baby <strong>de</strong> Polanski. Orange mécanique <strong>de</strong> Kubrick. Tout<br />
le mon<strong>de</strong> il est beau... <strong>de</strong> Jean Yanne. Emmanuelle Just Jaeckin. Jean Renoir présente La Gran<strong>de</strong> illusion.<br />
Fernan<strong>de</strong>l présente Un <strong>de</strong> la légion. Hitchcock présente Psychose. Présentation <strong>de</strong> Que viva Mexico d’Eisenstein par<br />
celui qui termina le film. Cécil B. <strong>de</strong> Mille présenté Les 10 comman<strong>de</strong>ments. Ban<strong>de</strong> Annonce fictive réunissant tous<br />
les grands noms du cinéma mondial.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 26/09/1981<br />
Durée : 00 h 30 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
234
Titre propre<br />
Des Renoir<br />
Titre collection<br />
Voyage entre les lignes<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Michel Guillet ; Producteur : Roger Babel-Viry ; Interprète : Marcel Dalio, Françoise Arnoul,<br />
Marcel Dalio, Clau<strong>de</strong> Renoir<br />
Résumé<br />
Cette émission est consacrée à la famille Renoir, à Auguste et à Jean Renoir :<br />
Françoise Arnoul, actrice <strong>de</strong> French Cancan et Marcel Dalio, acteur dans La Règle du jeu, parlent <strong>de</strong> Jean Renoir et<br />
évoquent <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> tournage ; ils lisent <strong>de</strong>s passages <strong>de</strong> livres <strong>de</strong> Renoir, l'un consacré à ses souvenirs<br />
d'enfance et à son père, l'autre constitué d'écrits sur le cinéma ; Clau<strong>de</strong> Renoir (neveu <strong>de</strong> Jean Renoir ) et <strong>de</strong>s<br />
habitants d'Essoyes en Champagne où vécurent les Renoir, apportent aussi leurs témoignages ; témoignages qui<br />
sont entrecoupés d'images d'illustration (reportage à Essoyes où vécut la famille Renoir) et d'images d'archives :<br />
extrait d'un film sur Auguste Renoir, Comme <strong>de</strong> chez nous, réalisé par Sacha Guitry, tableaux <strong>de</strong> Renoir, extraits du<br />
film La Direction d'acteurs <strong>de</strong> Gisèle Braunberger, interviews off <strong>de</strong> Jean Renoir, images d'actualités ainsi que <strong>de</strong><br />
nombreuses photos <strong>de</strong> la famille et <strong>de</strong> Montmartre au temps d'Auguste Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Nancy : France 3 Nancy (F3NY)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/12/1981<br />
Durée : 00 h 55 min 00S sec<br />
Heure : 15 h 43 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
235
Titre propre<br />
Paris au bord <strong>de</strong>s lèvres<br />
Générique et auteurs<br />
Interprète : Colette Renard ; Réalisateur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Producteur : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />
Résumé<br />
Une magnifique promena<strong>de</strong> à travers Paris <strong>de</strong> 1897 à mai 68. Films, documents, chansons, poèmes,<br />
photographies témoignent <strong>de</strong>s grands moments et <strong>de</strong> la vie quotidienne à Paris. Les chansons interprétées par C.<br />
Renard et le commentaire off <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-JeanPhilippe relient les documents sélectionnés, les uns aux autres.<br />
L'ensemble révèle l'amour profond <strong>de</strong> l'auteur pour cette ville chargée <strong>de</strong> l'histoire <strong>de</strong> son peuple, documents sur<br />
les chansons :M. Chevalier :Paris, je t'aime, Les Gars <strong>de</strong> Menilmontant, en off : Sous les ponts <strong>de</strong> Paris ; C.Trénet : Le Bal<br />
<strong>de</strong> la nuit et en off : La Ma<strong>de</strong>lon ; Mistinguett : Oui je suis Paris, en off : Ca c'est Paris ; J.Gréco : Là rue <strong>de</strong>s blancs<br />
manteaux Y. Montand : Les Grands boulevards ; Patachou : Le Bal chez temporel ; E.Piaf : Milord ; J.Brel : Vesoul, J.<br />
Dutronc : Paris s'éveille ; documents historiques : exposition universelle 1900, promena<strong>de</strong> au bois <strong>de</strong> Boulogne<br />
1914, mobilisation août 14, charleston, tramways, mouvement dada, circulation, guinguettes <strong>de</strong> Nogent 1929,<br />
défiles front populaire, paris occupe, guerre 39.45, bal paris libéré, 6 jours du vel'd'hiv., mort <strong>de</strong> Piaf, événements<br />
mai 68, photographies <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> R. Moineau.<br />
extraits <strong>de</strong>s films : Le Silence est d'or <strong>de</strong> René Clair (1945), Les Femmes chauffeurs, La Ma<strong>de</strong>lon, Entr'acte, Sous les toits <strong>de</strong><br />
Paris <strong>de</strong> R. Clair ; Nogent, eldorado du dimanche <strong>de</strong> M. Carné, La chanson <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> J. <strong>de</strong> Baroncelli ; Faubourg<br />
Montmartre <strong>de</strong> R. Bernard, Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> J. Renoir ; L’Atalante <strong>de</strong> J. Vigo ; La Belle équipe <strong>de</strong> J.<br />
Duvivier, Le Jour se lève <strong>de</strong> M. Carné ; Rigolboche <strong>de</strong> Christian-Jaque. Copie conforme et La Libération <strong>de</strong> Paris <strong>de</strong> J.<br />
Dréville, Pourvu qu'on ait l'ivresse <strong>de</strong> J. Pollet, Orphée <strong>de</strong> J. Cocteau ; en off C.J. Philippe dit <strong>de</strong>s poèmes<br />
d'Appollinaire, Elvard ; C. Renard chante pour l'émission : Paris ; Rue st-Vincent, Le Doux caboulot, Du gris, Une Java,<br />
Ici, l'on pèche, Seule ce soir Irma la douce, Ce sacre bistrot, Le Rô<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> Paris.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 28/12/1981<br />
Durée : 01 h 32 min 00 sec<br />
Heure : 20 h 31 min 08 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
236
Titre propre<br />
Le cinéma d'Angelo Rinaldi<br />
Titre collection<br />
Ciném Cinémas<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong> Ventura, Gérard Guegan, Raphaël Sorin ; Participant : Angelo Rinaldi<br />
Résumé<br />
L'écrivain Angelo Rinaldi s'est rendu au château <strong>de</strong> La Ferté Saint-Aubin où Jean Renoir tourna La Règle du jeu<br />
qui est le « film <strong>de</strong> sa vie ». Dans la voiture qui l'y conduit il évoque son enfance, sa découverte du cinéma et les<br />
films <strong>de</strong> cette époque. Des extraits du film <strong>de</strong> J. Renoir alternent avec <strong>de</strong>s plans du château tel qu'il est<br />
aujourd'hui.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/01/1982<br />
Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 30 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
237
Titre propre<br />
Dépêches retardées<br />
Titre collection<br />
Cinéma Cinémas<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : André S. Labarthe ; Interprète : Jean-Clau<strong>de</strong> Dauphin<br />
Résumé<br />
Nouvelles brèves du cinéma et <strong>de</strong>s cinéastes : Jean Clau<strong>de</strong> Dauphin lit <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Paris-province un projet <strong>de</strong><br />
film <strong>de</strong> Jean Renoir illustré par <strong>de</strong>s photos et un extrait <strong>de</strong> Une Partie <strong>de</strong> campagne dont l'univers est proche.<br />
Ce projet <strong>de</strong> film fait partie d'un recueil <strong>de</strong> récits inédits <strong>de</strong> Renoir intitulé Jean Renoir, oeuvres <strong>de</strong> cinéma inédites,<br />
synopsis, traitements, continuités dialoguées, découpages que publient les Cahiers du cinéma et les Editions Gallimard.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/01/1982<br />
Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
238
Titre propre<br />
Il était trente cinq fois cannes : émission du 17 mai 1982<br />
Titre collection<br />
Il étais trente cinq fois Cannes<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : France Roche ; Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, Jack Lang, Joseph Losey, Ruggero Raimondi,<br />
Satyajit Ray, Giorgio Strehler, Gabriel Garcia Marquez, Géraldine Chaplin, Jean-Jacques Annaud, Volker<br />
Schlondorff, Michelangelo Antonioni, John Boorman, Brigitte Fossey, Charles Aznavour, Julien Clerc, Miou-<br />
Miou ; Réalisateur, Jacques Meny ; Producteur : France Roche<br />
Résumé<br />
Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, sur la Croisette à Cannes, commente le gala d'inauguration du 35eme festival <strong>de</strong> cannes, au<br />
cours duquel on reconnaît les personnalités susnommées. Il commente aussi un montage <strong>de</strong> documents avec<br />
Alfred Hitchcock, Fritz Lang, Orson Welles, Erich von Stroheim, Charles Chaplin, Roberto Rossellini, Luchino<br />
Visconti, William Wyler, Jacques Becker, Henri-Georges Clouzot, Jean Renoir, Jean Cocteau et JC Brialy. Il<br />
évoque ses souvenirs : son premier festival il y a 24 ans avec Alain Delon et Brigitte Auber, sa rencontre avec<br />
Cocteau.<br />
il parle <strong>de</strong> son rôle dans La Nuit <strong>de</strong> Varennes d'Ettore Scola (extrait) et <strong>de</strong> Diane Keaton qu'il rêve <strong>de</strong> rencontrer<br />
(extrait L’Usure du temps d' Alan Parker). Diverses vues <strong>de</strong> Cannes.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/05/1982<br />
Durée : 00 h 10 min 50 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
239
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
François Truffaut à propos d’André Bazin<br />
Titre propre<br />
Sous le regard du public<br />
Titre collection<br />
Apostrophes<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Luc Leridon ; Présentateur : Bernard Pivot ; Participant : François Truffaut<br />
Résumé<br />
Interview plateau par Bernard Pivot du cinéaste François Truffaut présente un livre qu'il a préfacé, une<br />
biographie du critique <strong>de</strong> cinéma André Bazin écrite par un écrivain Américain, Dudley Andrew.<br />
François Truffaut explique que André Bazin était le plus grand critique <strong>de</strong> cinéma, un véritable "écrivain" <strong>de</strong><br />
cinéma et un animateur <strong>de</strong> ciné-clubs. Selon lui il a eu <strong>de</strong> l'influence sur le public mais aussi sur <strong>de</strong>s<br />
metteurs en scène plus âgés que lui, comme Jean Renoir. Il regrette qu'il soit mort avant<br />
l'éclosion <strong>de</strong> la « Nouvelle vague », car il aurait sans doute apprécié les films <strong>de</strong> cette pério<strong>de</strong><br />
car ils étaient plus « personnels ».<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/04/1983<br />
Durée : 00 h 05 min 16 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
240
Titre propre<br />
Le cinéma <strong>de</strong> Ray<br />
Titre collection<br />
Itinéraires<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Fabienne Strouve ; Journaliste : Sophie Richard ; Présentateur : Sophie Richard, Clau<strong>de</strong>-Jean<br />
Philippe ; Participant : Satyajit Ray, Jean-Loup Passek<br />
Résumé<br />
Cette série d'émission nous propose <strong>de</strong> découvrir le cinéma <strong>de</strong>s pays d'Afrique, d'Asie ou d'Amérique latine. La<br />
parole sera donnée chaque fois a un grand cinéaste. Aujourd'hui le cinéma Indien est illustré par <strong>de</strong> nombreux<br />
extraits <strong>de</strong> films et un interview <strong>de</strong> Satyajit Ray. S. Richard et Clau<strong>de</strong>-Jean. Philippe présentent le cinéma Indien<br />
selon trois tendances :le cinéma populaire avec <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Amar Akbar Antony <strong>de</strong> M Abai et <strong>de</strong> Sholay <strong>de</strong><br />
Ramesh Sippy. S. Ray explique qu'en <strong>de</strong>hors <strong>de</strong>s thèmes ces films sont bien réalisés.<br />
le cinéma <strong>de</strong> Ray :avec un long interview <strong>de</strong> Ray sur ses influences, le rôle <strong>de</strong>s femmes et le poids <strong>de</strong>s traditions<br />
au travers <strong>de</strong> ses films et <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Pather Pantchali, Le Mon<strong>de</strong> d'Apu, La Gran<strong>de</strong> cité et Les Joueurs d'échec. S. Ray<br />
témoigne <strong>de</strong> son amitié pour J. Renoir dont il a été l'assistant pour le film Le Fleuve. La <strong>de</strong>rnière<br />
partie est consacrée au nouveau cinéma Indien avec <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Ankur <strong>de</strong> S. Benegal et d'Affaire classée <strong>de</strong><br />
Mrinal Sen. J-Loup Passek, responsable d'une rétro du cinéma Indien à Beaubourg, explique que Cannes a un<br />
peu oublié le cinéma Indien et que les festivals <strong>de</strong> Nantes et <strong>de</strong> la Rochelle ont fait découvrir ce renouveau du<br />
cinéma Indien.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/06/1983<br />
Durée : 00 h 45 min 00 sec<br />
Heure : 16 h 54 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
241
Titre propre<br />
Autoportrait d'un inconnu<br />
Notes du titre<br />
Diffusé dans Le Grand échiquier : Cocteau vivant<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean Cocteau ; Réalisateur : Carole Weisweiller, Edgardo Cozarinsky<br />
Résumé<br />
Film réalisé à partir d'archives INA, <strong>de</strong> nombreux documents, d'archives privées inédites et conçu comme un<br />
autoportrait, le fil conducteur <strong>de</strong> l'émission étant donné par la voix <strong>de</strong> J. Cocteau et illustré par ses <strong>de</strong>ssins et ses<br />
films, en particulier Le Testament d'Orphée. Le poète nous parle <strong>de</strong> sa famille, <strong>de</strong> son enfance, <strong>de</strong> ses débuts. Il<br />
évoque ses rencontres avec Stravinsky, Picasso, Satie. Diaghilev créateur <strong>de</strong>s ballets russes, Coco Chanel,<br />
Nejinsky.<br />
il évoque son travail avec Picasso sur le spectacle Para<strong>de</strong> qui fît scandale tout comme Les mariés <strong>de</strong> la Tour Eiffel.<br />
Pendant la guerre 14-18, il est réformé, mais se fait photographier en uniforme. Cocteau décore <strong>de</strong>s chapelles. Il<br />
montre sa décoration <strong>de</strong> la salle <strong>de</strong>s mariages <strong>de</strong> Menton à Jean Renoir. Il parle <strong>de</strong> son <strong>de</strong>ssin<br />
ressemblant a l'improvisation <strong>de</strong> jazz. Film Cocteau sur son bateau Orphée 2, film couleur murs <strong>de</strong> la chapelle<br />
<strong>de</strong> villefranche.<br />
film NB Cocteau peignant la chapelle. Il parle <strong>de</strong> ses films « véhicules <strong>de</strong> poésie ». Extrait Testament d'Orphée, tournage<br />
<strong>de</strong> film. Il évoque les acteurs <strong>de</strong> théâtre du début XXeme, parle <strong>de</strong>s Parents terribles, Orphée, Le Sang d'un poète<br />
(extraits). Il évoque longuement R. Radiguet qu'il considérait comme son fils, parle <strong>de</strong> sa mort qui l'a frappé. Il<br />
évoque sa pério<strong>de</strong> d'opiomane (<strong>de</strong>ssins), parle <strong>de</strong>s Parents terribles, <strong>de</strong>s transpositions <strong>de</strong> tragédies. Film NB<br />
Cocteau, Marais sous la coupole, peignant avec Dali, parlant à sa statue <strong>de</strong> cire au musée Grévin, avec Chaplin à<br />
Villefranche.<br />
interview NB ou il évoque la gravité <strong>de</strong> son oeuvre, l'amitié sur images Villa Santo Sospir à st-Jean-Cap-Ferrât il<br />
parle <strong>de</strong> la mort qui change « un académicien en fauteuil ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production<br />
Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/10/1983<br />
Durée : 01 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
242
Titre propre<br />
Les grands metteurs en scène<br />
Titre collection<br />
Apostrophes<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Roman Polanski, François Truffaut, Marcello Mastroianni, Suso Cecchi d'Amico ; Réalisateur :<br />
Jean-Luc Leridon<br />
Résumé<br />
Emission consacrée aux grands metteurs en scène <strong>de</strong> cinéma. Avec R. Polanski pour son autobiographie intitulée<br />
Roman, F. Truffaut pour Hitchcock, Truffaut livre écrit en 1962, réédite aujourd'hui. M. Mastroiani présente Fellini<br />
par Fellini. Enfin F. Truffaut parle <strong>de</strong>s Lettres d'Amérique <strong>de</strong> J. Renoir. La discussion tourne autour <strong>de</strong><br />
la carrière <strong>de</strong>s metteurs en scène cités ou présents sur le plateau, chacun apportant son témoignage<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/04/1984<br />
Durée : 01 h 10 min 00S sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
243
Titre propre<br />
Les captifs <strong>de</strong> l'an 40<br />
Notes du titre<br />
Titre <strong>de</strong> fabrication : Les prisonniers <strong>de</strong> guerre<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean Cherasse ; Journaliste : Guylaine Gui<strong>de</strong> ; Interprète : Marc Allgeyer, Fabrice Bouhier, Gérard<br />
Probst, Jacky Viallon ; Participant : Pierre Marizier, Joseph Grospiron, Robert Paumier, René Dufour, Alberic<br />
Vaillant, Pierre Durr, René Virlouvet, François Mitterrand, Francis Le Bruno, Armand Mereau, Rene Picard,<br />
Michel Cailliau, André Lolmè<strong>de</strong>, Marguerite Gui<strong>de</strong>z, Paulette Auroux, Pierre Migault, Pierre Levrard, Jean<br />
Bemer, Pierre Marti, Emmanuel Godard, René Foin, Georges Le Peltier, Albert Becart, Fred Pithon, Gérard<br />
Rommelaers, Julien Azoulay, Victorien Chabidon, Lucien Meloux, Raymond Thomin, Jean-André Bas,<br />
Maxime Denaix, Alphonse Echasseriau, André Baumert, Auguste Panchout, Rudolph Klages, Arthur Hasse,<br />
Henri Mielle, Louis Devaux, Paul Garrouste, Philippe Dechartre, Edouard Cosserat, Raoul Brun, Louis<br />
Rebeyrol, Maxime Husson, Pierre Bugeaud, Jean Vedrine, Edouard Tribouillard, Henri Jardry, Pierre<br />
Perrigueur, Pierre Gascar, Jacques Benet, René Landrieux, Leopold Moreau, Marcel Simoneau, Samuel<br />
Bigotteau, Franck David, Bernard Pelle, Raoul Maubert, Gertrud Pawlovski, August Glenewinkel<br />
Résumé<br />
Apres l'effondrement du front en juin 1940, plus d'un million et <strong>de</strong>mi <strong>de</strong> soldats français sont faits prisonniers. En<br />
1944, il reste encore plus <strong>de</strong> 900 000 prisonniers <strong>de</strong> guerre en Allemagne. C'est les conditions <strong>de</strong> vie <strong>de</strong> ces<br />
hommes que retracent l'émission .<br />
- celle-ci se compose essentiellement <strong>de</strong> nombreux témoignages, montés alternativement en fonction <strong>de</strong>s thèmes<br />
traites : là capture ; le régime <strong>de</strong>s camps (les colis, les lettres) ; la journéee du prisonnier (le théâtre, les universités<br />
<strong>de</strong> la captivité) ; le dimanche du captif ; Noël au stalag, noël à l'oflag ; le travail en usine, la vie à la ferme ; la<br />
cohabitation avec la population ; la résistance <strong>de</strong>rrière les barbelés (l'évasion, la répression, la désinformation); le<br />
retour.<br />
- parmi ces témoignages, à noter celui <strong>de</strong> François Mitterand qui fait le récit <strong>de</strong> sa 1ere tentative d'évasion, et<br />
raconte comment il interrompît à son retour André Masson (commissaire général aux prisonniers) lors d'un<br />
meeting a la mutualité.<br />
- divers documents d'archives (INA /ECPA /bun<strong>de</strong>sarchiv) illustrent les propos <strong>de</strong>s participants : la vie à l'oflag<br />
et au stalag, allocution <strong>de</strong> Georges Scapini ("ambassa<strong>de</strong>ur <strong>de</strong>s prisonniers <strong>de</strong> guerre") aux prisonniers libérés,<br />
André Masson à la mutualité, va <strong>de</strong> Dres<strong>de</strong> bombardée... ils sont complétés par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> Camera sous le<br />
manteau, film clan<strong>de</strong>stin en 8 mm tourne a l'oflag par un groupe d'officiers français ; ainsi que <strong>de</strong> films <strong>de</strong><br />
fiction : Le Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir, La Vache et le prisonnier d' Henri Verneuil, Les Culottes rouges<br />
d'Alex Joffé, Retour à la vie d'Henri-Georges Clouzot ; et Le Retour <strong>de</strong> Cartier-Bresson et La Prise du pouvoir par<br />
Philippe Pétain <strong>de</strong> Jean-André Chérasse.<br />
- <strong>de</strong>s comédiens interprètent en outre quelques scènes écrites et jouées dans les stalag : La Comédie du prisonnier,<br />
Montmartre en Moravie.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/06/1985<br />
Durée : 02 h 41 min 45 sec<br />
Heure : 20 h 31 min 15 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
244
Titre propre<br />
Interview Gérard Oury<br />
Titre collection<br />
C’est la vie<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Catherine Ceylac<br />
Résumé<br />
Interview Gérard Oury sur les livres qu'il va lire en vacances : Neropolis, La Pique du jour <strong>de</strong> Robert Merle. Lettres<br />
d'Amérique <strong>de</strong> Jean Renoir . « Dans ce livre, il y a <strong>de</strong>ux lettres qu'il a envoyées a ma mère ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/07/1985<br />
Durée : 00 h 02 min 00 sec<br />
Heure : 18 h 43 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
245
Titre propre<br />
Les centres provinciaux <strong>de</strong> production cinématographique et audiovisuelle<br />
Titre collection<br />
La mémoire aux images<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean-Marie Bertineau (réalisateur, Bor<strong>de</strong>aux), Jacques-Rémy Girerd (réalisateur, Valence), Nicole<br />
Le Garrec, Guy Cavagnac (prési<strong>de</strong>nt ACS, Toulouse), Jean-Pierre Bailly (MCAV, Grenoble), Jean-François<br />
Laguionie ; Réalisateur : Maurice Delbez<br />
Résumé<br />
Interviews <strong>de</strong> cinéastes ou directeurs <strong>de</strong> centres <strong>de</strong> production cinématographique et audiovisuelle dans les<br />
régions : Jean Marie Bertineau, réalisateur travaillant dans la région <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, Jacques Rémy Girerd,<br />
réalisateur <strong>de</strong> Valence, Nicole Le Garrec, Prési<strong>de</strong>nte <strong>de</strong> l’Arc, centre <strong>de</strong> Bretagne, Guy Cavagnac, Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong><br />
l'ACS, centre situé à Toulouse, Jean Pierre Bailly <strong>de</strong> la MCAV à Grenoble, Jean François Laguionie, cinéaste et<br />
directeur <strong>de</strong> la Fabrique à Montpellier ; photos <strong>de</strong> cinéastes français et extrait N/B d'un interview <strong>de</strong><br />
Jean Renoir à la télévision ; montage <strong>de</strong>s sigles <strong>de</strong>s centres <strong>de</strong> production ; affiche du film d'animation <strong>de</strong><br />
Jean François Laguionie Gwen ; extrait <strong>de</strong> films : Tant que fera Atal <strong>de</strong> Roger Souza (prod. ACS) ; Le Temps d'un<br />
instant <strong>de</strong> Pierre Jallaud (prod. MCAV).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Lyon : France régions 3 (FR3LY)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/12/1985<br />
Durée : 00 h 16 min 25 sec<br />
Heure : 17 h 42 min 42 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
246
Titre propre<br />
Scripte sur La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Cinéma cinémas<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Françoise Giroud ; Journaliste : Alain Nahum, Anne Andreu<br />
Résumé<br />
Françoise Giroud qui a été scripte sur le film <strong>de</strong> Jean Renoir La Gran<strong>de</strong> illusion tourné en 1937, nous emmène sur<br />
les lieux même du tournage : un château du Haut-Koenigsbourg. Elle y raconte les conditions <strong>de</strong> tournage, assez<br />
dures en raison du froid qui y régnait, le caractère <strong>de</strong>s différents comédiens qui participèrent à ce film (Jean<br />
Gabin, Pierre Fresnay, Erich von Stroheim et Dalio) et éventuellement leurs petites manies ou « trucs » d'acteurs.<br />
Des extraits du film se superposent aux images du reportage et font revivre ainsi ce château maintenant désert.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/05/1986<br />
Heure : 22 h 45 min 49 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
247
Titre propre<br />
Historique conservatoire<br />
Titre collection<br />
Midi 2<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : France Roche<br />
Résumé<br />
Le conservatoire fête son bicentenaire, pour l'évoquer France Roche nous présente un banc-titré à partir <strong>de</strong><br />
diapos et photos NB retraçant l'historique <strong>de</strong> l'école et <strong>de</strong>s grands acteurs qui l'ont marquée.<br />
- -photo <strong>de</strong> la création du conservatoire, scène <strong>de</strong> théâtre <strong>de</strong> 1913, concours <strong>de</strong> comédie, photo <strong>de</strong> la classe <strong>de</strong><br />
Sarah Bernard en 1907 ; Jouvet et Renoir qui ont été <strong>de</strong>ux <strong>de</strong>s illustres professeurs, la classe <strong>de</strong> Bruno<br />
en 1919, photo <strong>de</strong>s promotions <strong>de</strong>s années 1942 avec Micheline Presles et Sophie Desmaret, 1945, 1954 avec<br />
Jean-Paul Belmondo, 1960 avec Bidaut et Laurent Cochet.<br />
photos <strong>de</strong> certains enseignants célèbres :Michel Bouquet, Antoine Vitez, Gérard Desarthe et Daniel Mesguich.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/06/1986<br />
Durée : 00 h 00 min 57 sec<br />
Heure : 13 h 12 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
248
Titre propre<br />
Plateau Christine Boisson, François Cluzet, Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />
Titre collection<br />
Midi 2<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Hervé Clau<strong>de</strong>, Nicole Cornuz Langlois ; Participant : Christine Boisson, François Cluzet, Clau<strong>de</strong>-<br />
Jean Philippe<br />
Résumé<br />
Les comédiens Christine Boisson et François Cluzet présentent leur film réalisé par Tony Gatlif, Rue du départ. Le<br />
journaliste Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe participe à la conversation et parle ensuite du 15ème anniversaire <strong>de</strong> l'émission<br />
d'A2, le Ciné-Club, diffusé tous les vendredis soir <strong>de</strong>puis 1971. Il présente le film programmé pour cet<br />
anniversaire : la version originale (anglaise) du Carrosse d'or <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 10/10/1986<br />
Durée : 00 h 06 min 44 sec<br />
Heure : 13 h 34 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
249
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Jean Clau<strong>de</strong> Brialy à propos <strong>de</strong> la Nouvelle Vague<br />
Titre propre<br />
Brialy entre les livres<br />
Titre collection<br />
Boîte aux lettres<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Daniel Verhaeghe ; Présentateur : Jérôme Garcin ; Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy<br />
Résumé<br />
Interviewé par Jérôme Garcin, Jean Clau<strong>de</strong> Brialy évoque la Nouvelle Vague et parle <strong>de</strong> ses débuts au cinéma :<br />
photo <strong>de</strong> Jean Renoir et François Truffaut.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Toulouse : France 3 (F3TL)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/10/1986<br />
Durée : 00 h 04 min 35 sec<br />
Heure : 22 h 28 min 13 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
250
Titre propre<br />
Orsay<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Christian Hirou<br />
Résumé<br />
Clip à la gloire d'Orsay, gare qui est <strong>de</strong>venue le musée du xixeme siècle. En parallèle, extrait du film La<br />
Bête humaine <strong>de</strong> Jean Renoir et <strong>de</strong>s vues du musée intérieur et extérieur. Images poétiques du musée.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 30/11/1986<br />
Durée : 00 h 01 min 46 sec<br />
Heure : 20 h 00 min 11 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes :France 2<br />
251
Titre propre<br />
Les acteurs meurent le dimanche<br />
Titre collection<br />
Cinéma cinémas<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy ; Réalisateur : André Sylvain Labarthe<br />
Résumé<br />
Interview du comédien Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy dans son appartement <strong>de</strong> la place <strong>de</strong>s Vosges : il commente <strong>de</strong>s<br />
photos d'artistes (Marlene Dietrich, Edwige Feuillères, Jean Cocteau et Jean Marais, Jean-Paul Belmondo,<br />
Piaf, Renoir et Truffaut, Gabin et Marilyn), ainsi que <strong>de</strong>s photos <strong>de</strong> famille (son grand père : « c'était un homme<br />
libre »). En montrant une photo <strong>de</strong> Marilyn parue dans Paris-Match, il dit : « Cà, c'est une photo <strong>de</strong> la plus belle femme<br />
du mon<strong>de</strong> ; elle est morte un dimanche d'août...souvent, les acteurs meurent le dimanche... »<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs :Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 30/12/1986<br />
Durée : 00 h 08 min 00 sec<br />
Heure : 23 h 20 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
252
Actors studio Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Frédéric Mitterand, 1987, 90 mn.<br />
Titre propre<br />
La nuit <strong>de</strong>s Césars 1987<br />
Résumé<br />
- Des hommages particuliers sont rendus à Jean Gabin disparu il y a 10 ans, à la Gaumont dont on fête le 90ème<br />
anniversaire, au Prix Louis Delluc attribué pour la première fois en 1937 au film <strong>de</strong> Renoir Les Bas Fonds et à<br />
l'ECPA<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/03/1987<br />
Durée : 02 h 25 min 21 sec<br />
Heure : 20 h 36 min 32 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
253
Titre propre<br />
Plateau Jean-Clau<strong>de</strong> Romer + banctitre 40 ans <strong>de</strong> Cannes<br />
Titre collection<br />
Midi 2<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : William Leymergie ; Participant : Jean-Clau<strong>de</strong> Romer<br />
Résumé<br />
Spécialiste <strong>de</strong> cinéma, Jean-Clau<strong>de</strong> Romer présente le livre officiel qu'il a réalisé pour le 40ème festival <strong>de</strong><br />
Cannes. En illustration, photos du livre en banc titre.<br />
- Morgan, affiche du festival <strong>de</strong> 1949, affiche du 3ème homme, affiche du festival 54, G. Philipe, Marty, J. Renoir ,<br />
Pagnol, BB, La loi du seigneur, E. Taylor, Le Guépard, Godard, manifestation en 68 + Truffaut, Frenzy, Chronique <strong>de</strong>s<br />
années <strong>de</strong> braise, Huston avec Deneuve et Ventura, Bacall avec Montand, Mission, Coluche avec Boujenah, affiche<br />
du festival 87, [gros plan] livre <strong>de</strong> Romer en voix off sur les images.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 01/05/1987<br />
Durée : 00 h 05 min 07 sec<br />
Heure : 13 h 23 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
254
Titre propre<br />
Mardi cinéma : émission du 12 mai 1987<br />
Titre collection<br />
Mardi cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pierre Tchernia,; Présentateur : Jacques Rouland ; Participant : Claudine Auger, Michel Vossart,<br />
Françoise Arnoul, Gilles Jacob, Alonee Planel, Katia Tchenko, France Roche, Pauline Lafont, Jean-Pierre<br />
Mocky, Berna<strong>de</strong>tte Lafont, Ivry Gitlis ; Réalisateur : Nino Monti<br />
Résumé<br />
Pierre Tchernia et Jacques Rouland, en direct <strong>de</strong> Cannes, présentent l'émission <strong>de</strong>puis le Grand Salon du Palm<br />
Beach. Film <strong>de</strong> la soirée : Les spécialistes <strong>de</strong> Patrice Leconte. Outre les jeux auxquels participe le public dans la<br />
salle, la soirée est consacrée à <strong>de</strong> nombreux interviews <strong>de</strong> festivaliers parmi lesquels, Claudine Auger venue à<br />
Cannes pour la promotion <strong>de</strong> 2 films, l'un <strong>de</strong> Pierre Etaix, l'autre d'Alain Jessua<br />
- Michel Vossart, « Monsieur Festival » <strong>de</strong> l'année<br />
- Françoise Arnoul interprète du film <strong>de</strong> Guy Gilles Nuit docile, présenté dans la sélection "Perspectives du cinéma<br />
français" et <strong>de</strong> French cancan <strong>de</strong> Jean Renoir présenté hors compétition<br />
- Gilles Jacob, délégué général du festival <strong>de</strong>puis 1978 et co-auteur avec son fils d'un film <strong>de</strong> montage <strong>de</strong> 72<br />
extraits <strong>de</strong> films primés à Cannes <strong>de</strong>puis 1946 Le cinéma dans les yeux<br />
- Alomée Planel, auteur <strong>de</strong> 40 ans <strong>de</strong> festival, livre préfacé par Robert Fabre-Lebret<br />
- Katia Tchenko qui vient lire les réponses <strong>de</strong> Jean Luc Godart, Louis Malle, Jacques Doillon, Philippe <strong>de</strong> Broca<br />
et Jean Jacques Beineix publiées dans l'enquête <strong>de</strong> Libération, "Pourquoi filmez-vous ?"<br />
- Pauline Lafont venue promotionner L'été en pente douce <strong>de</strong> Gérard Krawczyk<br />
- Berna<strong>de</strong>tte Lafont, <strong>de</strong>venue chroniqueur festivalier à RMC pour le temps du festival, elle dit au passage ce<br />
qu'elle pense du film <strong>de</strong> Paul Newman Glass menagerie et parle <strong>de</strong> sa fille<br />
- France Roche, qui évoque ses souvenirs <strong>de</strong> festivals précé<strong>de</strong>nts et reproche à celui d'aujourd'hui <strong>de</strong> ne plus<br />
s'occuper beaucoup <strong>de</strong> cinéma<br />
-Jean Pierre Mocky, qui a reçu le prix <strong>de</strong> la meilleure ban<strong>de</strong> annonce <strong>de</strong> film français pour Le Miraculé, réalisée<br />
par ses soins<br />
- Ivry Gitlis, violoniste qui accompagne au violon le défilé final <strong>de</strong>s robes <strong>de</strong> stars <strong>de</strong> cinéma<br />
- Les jeux présentés par Jacques Rouland concernent 3 interprètes féminines ayant reçu un Grand Prix<br />
d'interprétation à Cannes, 3 films primés à Cannes, <strong>de</strong>s comédiennes Françaises Prix d'interprétation et enfin, 20<br />
affirmations permettant <strong>de</strong> gagner le livre « Guiness » du cinéma<br />
- archives : images <strong>de</strong> pré-cinéma <strong>de</strong> Jules Maret (décomposition du mouvement d'une poule, d'un chien, <strong>de</strong><br />
bateaux, d'un cheval sautant, d'un chat tombant et d'un homme marchant) ; jingle <strong>de</strong> la "Caméra d'or", décernée<br />
aux caméramen ; extrait <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> annonce parodique du film Tartarin <strong>de</strong> Tarascon avec Francis Blanche, pour<br />
illustrer le festival <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> annonce ; extrait <strong>de</strong> Reflets <strong>de</strong> Cannes <strong>de</strong> François Chalais, festival 1954 avec Robert<br />
Mitchum, Michèle Morgan, Nicole Courcel, Edwige Feuillère...<br />
- extraits <strong>de</strong> films et <strong>de</strong> ban<strong>de</strong>s annonces : extrait Mélodie en sous sol <strong>de</strong> Verneuil (scène finale <strong>de</strong> la piscine du Palm<br />
Beach) ; Un homme amoureux <strong>de</strong> Diane Kurys ; Radio Days <strong>de</strong> Woody Allen ; Good morning, Babylonia <strong>de</strong>s frères<br />
Taviani ; L'été en pente douce <strong>de</strong> Gérard Krawczyk ; ban<strong>de</strong> annonce du Miraculé <strong>de</strong> Jean Pierre Mocky ; ban<strong>de</strong><br />
annonce <strong>de</strong> La Couleur <strong>de</strong> l'argent <strong>de</strong> Martin Scorsese.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/05/1987<br />
Durée : 01 h 14 min 35 sec<br />
Heure : 22 h 13 min 55 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
255
Titre propre<br />
Bernanos Pialat : sous le soleil <strong>de</strong> Satan<br />
Titre collection<br />
Océaniques <strong>de</strong>s oeuvres<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Maurice Pialat<br />
Résumé<br />
Interview <strong>de</strong> Maurice Pialat, en gros plan.<br />
La « révélation » cinématographique <strong>de</strong> Maurice Pialat a été La Bête humaine <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
Pialat évoque ses débuts très timi<strong>de</strong>s dans le milieu du cinéma, et la peinture « seul métier qu'il ait appris ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/09/1987<br />
Durée : 00 h 04 min 44 sec<br />
Heure : 22 h 41 min 02 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
256
Titre propre<br />
Jean Marais octobre 87<br />
Titre collection<br />
Cinéma cinémas<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Jean Marais ; Réalisateur : Raoul Sangla<br />
Résumé<br />
Entretien avec Jean Marais réalisé en octobre 1987 dans le parc <strong>de</strong> sa propriété. Il parle <strong>de</strong> sa découverte du<br />
cinéma, <strong>de</strong> ses rôles <strong>de</strong> jeune premier, <strong>de</strong> son physique. Il évoque ensuite Visconti, pour lui le plus grand metteur<br />
en scène, Cocteau dont il refusait les indications <strong>de</strong> mise en scène et Renoir qui l'a décu comme directeur<br />
d'acteurs. Il cite ensuite ses films préférés, parle <strong>de</strong>s critiques et <strong>de</strong> ses regrets d’en n’avoir pu tourner sous la<br />
direction <strong>de</strong> Truffaut.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 25/01/1988<br />
Durée : 00 h 10 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 50 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
257
Titre propre<br />
Spécial festival <strong>de</strong> Cannes<br />
Titre collection<br />
Champs-Elysées<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Michel Drucker ; Chef d'orchestre : Marc Goldfe<strong>de</strong>r (orchestre <strong>de</strong>s Champs-Elysées) ; Participant :<br />
François Chalais, Michèle Morgan, Clau<strong>de</strong> Lelouch, Jean Barthet, Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, Marie-José Nat, Pierre<br />
Viot (Prési<strong>de</strong>nt du festival <strong>de</strong> Cannes) ; Interprète, Ute Lemper, Nicole Croisille, Bernard Arcadio (pianiste),<br />
Desireless, Malavoi, Eddy Mitchell, Sa<strong>de</strong>, Cora Vaucair ; Réalisateur : Jean-Pierre Spiero<br />
Résumé<br />
Michel Druckerprésente un Champs-Elysées entièrement consacré au cinéma, en l'honneur du Festival <strong>de</strong> Cannes<br />
qui débute. Pour ce faire, il a comme invité d'honneur, comme il se doit, François Chalais, accompagné <strong>de</strong> ses<br />
documents d'archives tournés au long <strong>de</strong>s différents festivals du nom. Chalais regar<strong>de</strong> avec une gran<strong>de</strong><br />
émotion ces reliques du passé, évoque, raconte, parle <strong>de</strong> Jean Gabin, Hitchkock, Renoir, Scola,<br />
Visconti, Sofia Loren (très gran<strong>de</strong>, l'émotion), l'immense célébrité <strong>de</strong> Brigitte Bardot... D'autres invités viennent<br />
sur le plateau raconter à leur tour « leur » festival :<br />
- Michèle Morgan évoque le film La symphonie pastorale <strong>de</strong> Jean Delannoy, qui lui valut un prix d'interprétation à<br />
Cannes et une gran<strong>de</strong> célébrité.<br />
- Clau<strong>de</strong> Lelouch parle <strong>de</strong> sa « palme d'or » pour Un homme et une femme, et du succès qui lui succéda, forcément...<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Dany et michel Drucker productions (DMD)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/05/1988<br />
Durée : 01 h 26 min 17 sec<br />
Heure : 20 h 37 min 09 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
258
Titre propre<br />
Les artisans <strong>de</strong> Jean Renoir - Première partie : les débuts d'un cinéaste en marge<br />
Titre collection<br />
Océaniques <strong>de</strong>s oeuvres<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Yves Laumet ; Participant : Clau<strong>de</strong> Renoir, Pierre Braunberger, Clau<strong>de</strong> Heymann, Albert Viguier,<br />
Jean-Paul Alphen, Jean Bourgoin<br />
Résumé<br />
Première partie d'une émission consacrée à Jean Renoir et à son oeuvre, couvrant la pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1924 à 1936,<br />
composée <strong>de</strong>s témoignages <strong>de</strong> personnes ayant collaboré sur ses films : son neveu Clau<strong>de</strong> Renoir, Pierre<br />
Braunberger, producteur, Clau<strong>de</strong> Heymann, assistant <strong>de</strong> Renoir, Albert Viguier, Jean-Paul Alphen et Jean<br />
Bourgoin, assistant-opérateurs :<br />
- L'émission s'ouvre sur un extrait du <strong>de</strong>rnier film <strong>de</strong> Jean Renoir, Le Petit théâtre <strong>de</strong> Jean Renoir réalisé en 1971 ; il<br />
s'agit d'un épiso<strong>de</strong> intitulé La Chanteuse où Jeanne Moreau dans un décor 1900 interprète la chanson Quand l'amour<br />
meurt.<br />
- Photograpie <strong>de</strong> Jean Renoir, âgé, avec un tableau <strong>de</strong> son père.<br />
- Dans le petit cimetière d'Essoyes – berceau <strong>de</strong> la famille Renoir – buste <strong>de</strong> Madame Renoir sculpté par Auguste<br />
Renoir tombe d'Auguste Renoir où sont enterrés également ses fils, Pierre et Jean .<br />
- Plan <strong>de</strong> la <strong>de</strong>meure familiale à Essoyes où Clau<strong>de</strong> Renoir qui fut opérateur sur Le Fleuve est interviewé. Il<br />
évoque la famille Renoir et la jeunesse <strong>de</strong> son oncle ; il raconte comment celui-ci en est venu au cinéma, poussé<br />
par la passion et aidé par la fortune familiale. Il évoque le premier amour <strong>de</strong> Jean, un modèle <strong>de</strong> son père. Puis,<br />
comment il a travaillé comme chef opérateur sur le film La Partie <strong>de</strong> campagne.<br />
- Pierre Braunberger, producteur <strong>de</strong> Jean Renoir, est interviewé dans son bureau.<br />
Il se souvient <strong>de</strong> leur rencontre, <strong>de</strong> leur collaboration, du premier grand film parlant <strong>de</strong> Renoir La Chienne. De<br />
l'aventure éprouvante que fut le tournage <strong>de</strong> La Partie <strong>de</strong> campagne<br />
- Clau<strong>de</strong> Heymann fut assistant <strong>de</strong> Renoir. Il brosse le portrait du cinéaste et se souvient lui aussi <strong>de</strong> La Partie <strong>de</strong><br />
campagne.<br />
- Albert Viguier, assistant opérateur évoque la révolution du parlant et quelques souvenirs <strong>de</strong> tournage.<br />
-Jean-Paul Alphen, également assistant opérateur, s'infiltre dans l'équipe aux studios Eclair. Il raconte quelques<br />
anecdotes sur les les rapports entre Jean Renoir et Michel Simon.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d'édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision (SEPT)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 18/05/1988<br />
Durée : 00 h 45 min 05 sec<br />
Heure : 22 h 58 min 21 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
259
Titre propre<br />
Les artisans <strong>de</strong> Jean Renoir - Deuxième partie : le temps <strong>de</strong>s malentendus<br />
Titre collection<br />
Océaniques <strong>de</strong>s oeuvres<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Yves Laumet ; Participant : Clau<strong>de</strong> Renoir , Marc Maurette, Jean-Paul Alphen, Pierre<br />
Braunberger, Clau<strong>de</strong> Heymann, Sam Levin, Jean Bourgouin, Max Douy<br />
Résumé<br />
Yves Laumet s'entretient avec différents techniciens, photographes ou producteurs ayant travaillé avec Jean<br />
Renoir et les interroge sur les métho<strong>de</strong>s du cinéaste et sur son engagement politique. Cette secon<strong>de</strong> partie <strong>de</strong><br />
l'émission couvre la pério<strong>de</strong> 1936-1939 :<br />
- Le Front Populaire 1936, Clau<strong>de</strong> Renoir, neveu et collaborateur <strong>de</strong> Jean Renoir, estime que son oncle<br />
s'intéressait peu à la politique et que, <strong>de</strong>vant le danger <strong>de</strong> « la Cagoule », parti d'extrême-droite, tous les gens<br />
sont <strong>de</strong>venus <strong>de</strong> gauche.<br />
C'est pourquoi il a accepté <strong>de</strong> faire La Vie est à nous, film commandité par le Parti Communiste. Marc Maurette,<br />
assistant à la réalisation, parle <strong>de</strong> la construction du film et raconte quelques anecdotes.<br />
- La Marseillaise, Jean-Pierre Alphen, assistant réalisateur, pense que Renoir avait <strong>de</strong>s idées libérales et qu'il a<br />
simplement traité un sujet qui l'intéressait. Il raconte sa sensation <strong>de</strong> participer à une oeuvre importante.<br />
- Pour Pierre Braunberger, producteur, Renoir était un homme plutôt à droite, pour qui seul le cinéma était<br />
important.<br />
Ce que confirment Marc Maurette et Clau<strong>de</strong> Heymann, assistant à la réalisation : selon eux, Renoir haïssait<br />
l'exploitation <strong>de</strong> l'homme par l'homme.<br />
- Sam Levin, photographe, parle <strong>de</strong> ses rapports avec le cinéaste durant le tournage <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion, rapports<br />
d'abord houleux, à cause d'un malentendu, puis bons.<br />
- Max Douy (décorateur), à propos <strong>de</strong> La Bête humaine, rapporte l'importance que Renoir accordait aux décors et<br />
aux facilités <strong>de</strong> tournage qu'ils pouvaient amener. Lui aussi raconte quelques anecdotes <strong>de</strong> tournage (construction<br />
d'un praticable avec la chambre <strong>de</strong> Roubot, scène <strong>de</strong> la locomotive entrant dans le tunnel).<br />
- Renoir et les comédiens, Jean Bourgoin, Marc Maurette, Sam Levin rapportent que Renoir adorait les artistes<br />
<strong>de</strong> music-hall, pour leur connaissance <strong>de</strong>s différentes techniques <strong>de</strong> spectacle, et qu'il était très diplomate dans sa<br />
conduite avec les comédiens : il ne leur disait jamais qu'une scène était mauvaise.<br />
Par contre, selon Clau<strong>de</strong> Renoir, il détestait que les techniciens interviennent pour corriger les attitu<strong>de</strong>s ou le ton<br />
<strong>de</strong>s acteurs.<br />
- A propos <strong>de</strong> Marguerite Renoir, Clau<strong>de</strong> Renoir rapporte son grand respect et sa gran<strong>de</strong> diplomatie à l'égard<br />
<strong>de</strong>s comédiens. Son jugement sur leur jeu était celui d'une monteuse qui voit le montage définitif.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d'édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision (SEPT)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/05/1988<br />
Durée : 00 h 47 min 03 sec<br />
Heure : 23 h 05 min 40 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
260
Titre propre<br />
Le Magazine : émission du 12 février 1989<br />
Titre collection<br />
Océnaniques, le magazine<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Michel Le Bris, Xuan Thuan Trinh ; Réalisateur : Philippe Le More ; Producteur : Pierre-André<br />
Boutang, Dominique Rabourdin ; Journaliste : Michel Cazenave (entretien, question off)<br />
Résumé<br />
Trois sujets au sommaire <strong>de</strong> cette émission :<br />
- Robert-Louis Stevenson : à propos <strong>de</strong> la réédition <strong>de</strong>s Essais sur l'art <strong>de</strong> la fiction (La Table ron<strong>de</strong>), oeuvre <strong>de</strong><br />
critique peu connue <strong>de</strong> Robert-Louis Stevenson, l'écrivain Michel Le Bris, admirateur passionné <strong>de</strong>puis l'enfance<br />
<strong>de</strong> l'auteur écossais, parle longuement <strong>de</strong> la personnalité et <strong>de</strong> l'oeuvre (fiction et critique) <strong>de</strong> celui-ci. Il dit aussi<br />
ce que son oeuvre personnelle doit à cet auteur-référence selon sa propre conception <strong>de</strong> la littérature.<br />
-Jean Renoir et Marcel Dalio : diffusion d'un document d'archives : en 1966, dans la série<br />
Cinéastes <strong>de</strong> notre temps, Jacques Rivette a consacré trois émissions à Jean Renoir Jean Renoir,<br />
le patron. Après un rappel <strong>de</strong> la filmographie <strong>de</strong> Jean Renoir, nous voyons un extrait <strong>de</strong> la<br />
<strong>de</strong>uxième émission, La Règle et l'exception, dans lequel Jean Renoir retrouve Marcel Dalio sur<br />
les lieux du tournage <strong>de</strong> La Règle du jeu (1939) et parle avec lui <strong>de</strong> ce film (utilisation du décor<br />
extérieur) et du rôle du marquis <strong>de</strong> La Chesnaye interprété par Marcel Dalio.<br />
- Trinh Xuan Thuan, scientifique, auteur <strong>de</strong> La Mélodie secrète répond aux questions (off) <strong>de</strong> Michel Cazenave sur<br />
la création <strong>de</strong> l'univers, sur les théories actuelles en matière <strong>de</strong> cosmologie et sur l'éventuelle existence d'un<br />
"créateur" divin. Il expose brièvement la théorie du "big bang", explosion originelle à partir <strong>de</strong> laquelle l'univers<br />
aurait acquis une dimension historique, puis il rappelle les questions qui se posent à propos <strong>de</strong> l'apparition <strong>de</strong><br />
l'homme, estimant que la science ne peut donner <strong>de</strong> réponse satisfaisante aux questions métaphysiques<br />
traditionnelles « d'où venons-nous ? » « Où allons-nous ? » et que l'explication théologique (Dieu ?) n'est pas à exclure.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/02/1989<br />
Durée : 00 h 32 min 29 sec<br />
Heure : 21 h 35 min 51 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
261
Titre propre<br />
Tif et tondu : avril 1966<br />
Titre collection<br />
Cinéma cinémas<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : André Labarthe, Jacques Rivette<br />
Résumé<br />
Extrait d'un portrait <strong>de</strong> Jean Renoir intitulé Portrait <strong>de</strong> Michel Simon par Jean Renoir ou portrait <strong>de</strong> Jean Renoir par Michel<br />
Simon, réalisé par Jacques Rivette en1966. Il s'agit du <strong>de</strong>uxième volet d'un document en trois partie (avec pour<br />
titre général Jean Renoir, le patron) dont seules, la première et la troisième partie, avaient été diffusés à l'époque.<br />
Attablés dans une guinguette <strong>de</strong>s bords <strong>de</strong> la Marne, dans une ambiance très détendue, Jean Renoir et Michel<br />
Simon se retrouvent pour évoquer <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> tournage et parler <strong>de</strong> leur travail et <strong>de</strong> leurs carrières<br />
respectives :<br />
-Renoir développe l'idée qu'on ne découvre le sens d'un travail que lorsqu'il est terminé ; il se livre à une petite<br />
démonstration en empilant <strong>de</strong>s soucoupes sur la table<br />
- Michel Simon parle <strong>de</strong> Sacha Guitry<br />
-Renoir rappelle qu'un « comédien, c'est très fragile »<br />
- Evocation du tournage <strong>de</strong> La Chienne qui fut le premier rôle dramatique <strong>de</strong> Michel Simon<br />
- Discussion sur le danger <strong>de</strong> <strong>de</strong>venir trop « malin », <strong>de</strong> perdre une certaine innocence, ce qui nuit au travail<br />
artistique ; le personnage <strong>de</strong> Boudu<br />
- Michel Simon rappelle qu'ils étaient, lui et Jean Renoir, « comme <strong>de</strong>ux frères » sur le tournage ; Jean Renoir parle<br />
<strong>de</strong> l'exaltation <strong>de</strong> travailler avec Michel Simon<br />
- Ils fredonnent une chanson <strong>de</strong> Boudu<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 05/03/1989<br />
Durée : 00 h 00 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 16 min 40 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
262
Titre propre<br />
Centre culturel : Liban<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Alain Labouze<br />
Résumé<br />
Dans un village situé dans le pays chrétien, à cinquante kilomètres <strong>de</strong> Beyrouth, une projection<br />
du film La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir a été organisée à l'initiative d'un professeur <strong>de</strong> français.<br />
- Gros plan projecteur, chaises disposées en rangs, projection du film La Marseillaise.<br />
- interview spectateurs sur la Révolution française symbole <strong>de</strong> la liberté et <strong>de</strong> l'indépendance.<br />
- Linge séchant sur une terrasse, gros plan vieux Monsieur, faça<strong>de</strong> Palma Hotel, montagne (Baalbek se trouve <strong>de</strong><br />
l'autre côté).<br />
- interview Jean-Louis Héry (professeur <strong>de</strong> français à Beyrouth, coopérant civil) souhaite aux Libanais <strong>de</strong> faire<br />
leur révolution.<br />
- coucher <strong>de</strong> soleil vu <strong>de</strong> l'intérieur d'une grotte.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 14/04/1989<br />
Durée : 00 h 02 min 02 sec<br />
Heure : 20 h 06 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
263
Titre propre<br />
Le cinéma et les droits <strong>de</strong> l’Homme<br />
Titre collection<br />
Du Côté <strong>de</strong> chez Fred<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Michel Hermant ; Compositeur musique préexistante : Henry Purcell ; Présentateur : Frédéric<br />
Mitterrand, Lila Spiegel ; Interprète : Ray Lema ; Participant : Jean Rouch, Vladimir Karassev (cineaste), Lino<br />
Brocka, Pierre Viot, Georges Kiejman, Jules Dassin, Danièle Mitterrand, Souleymane Cissé, Euzhan Palcy<br />
Résumé<br />
A l'occasion du festival <strong>de</strong> Cannes et du colloque Cinéma et liberté qui s'y est tenu, Frédéric Mitterand anime<br />
aujourd'hui un débat sur la liberté pour les cinéastes. Il reçoit Jean Rouch, prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Cinémathèque et<br />
cinéaste, Vladimir Karassev cinéaste estonien vivant en France et Lino broca, cinéaste philippin.<br />
- V Karassev raconte les difficultés qu'il a eu pour réaliser l'un <strong>de</strong> ses films dont il n'a pu apporter en France<br />
qu'un extrait <strong>de</strong> la ban<strong>de</strong> son ; il explique également comment il travaillait dans son pays et <strong>de</strong> quelle façon<br />
s'exerce la censure. Extrait <strong>de</strong> l'un <strong>de</strong> ses films. Lino Broca (qui s'exprime en anglais) reste très pessimiste quant à<br />
la liberté d'expression dans son pays où il faut encore se battre pour présenter un film au public. Extrait <strong>de</strong> son<br />
film Les Insoumis présenté à Cannes.<br />
- -Au cours d'un reportage sur le colloque Cinéma et liberté quelques personnalités invitées parlent du but <strong>de</strong> ce<br />
colloque, du rôle du cinéma au service <strong>de</strong> la liberté, du plaisir <strong>de</strong>s réalisateurs à se retrouver ensemble.<br />
- Sur le plateau Jean Rouch parle longuement du cycle Les Ecrans <strong>de</strong> la liberté qu'il a mis en<br />
place à la Cinémathèque et qui permet <strong>de</strong> présenter et <strong>de</strong> découvrir <strong>de</strong>s films inconnus ou<br />
oubliés. Extrait d'une interview <strong>de</strong> François Truffaut et d'une autre <strong>de</strong> Jean Renoir sur le film<br />
La Règle du jeu.<br />
- Lila présente quelques livres sur le thème <strong>de</strong> l'émission d'aujourd'hui ainsi que le passeport pour la vie.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/05/1989<br />
Durée : 01 h 08 min 27 sec<br />
Heure : 15 h 06 min 22 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
264
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Renoir et l'In<strong>de</strong><br />
Titre propre<br />
Les femmes d’exception<br />
Titre collection<br />
Du Côté <strong>de</strong> chez Fred<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Michel Hermant ; Journaliste : Paul Albertini ; Compositeur musique préexistante : Gioachino<br />
Rossini ; Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Participant : Celia Bertin<br />
Résumé<br />
Après la diffusion d'un extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir, Le Fleuve, réalisé en In<strong>de</strong> en 1950, Frédéric Mitterrand<br />
interviewe Celia Bertin (auteur d'un livre sur Vienne et sur Alma Mahler). Elle dit que Renoir est tombé<br />
amoureux <strong>de</strong> l'In<strong>de</strong>, qu'il a vu la gran<strong>de</strong> spiritualité <strong>de</strong>s êtres et que pour cette raison les Indiens l'ont beaucoup<br />
aimé.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/06/1989<br />
Durée : 00 h 04 min 12 sec<br />
Heure : 15 h 09 min 35 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
265
Titre propre<br />
Défilé Marseillaise<br />
Titre collection<br />
Midi 2<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Jacques Violet<br />
Résumé<br />
Le défilé <strong>de</strong> Jean Paul Gou<strong>de</strong>, La Marseillaise, sur les Champs-Elysées à Paris, célébrant par une extraordinaire<br />
« gran<strong>de</strong> para<strong>de</strong> <strong>de</strong>s tribus planétaires » <strong>de</strong> 6000 figurants le Bicentenaire <strong>de</strong> la Révolution française.<br />
- De nuit, brefs plans feux d'artifice, char composé <strong>de</strong> bidons regroupant <strong>de</strong>s percussionnistes guinéens, le<br />
musicien sénégalais Doudou N'Diaye Rose dirigeant une vingtaine <strong>de</strong> tambours africains sur un escalier géant,<br />
les soldats coloniaux français, plan d’ensemble <strong>de</strong>s étudiants chinois <strong>de</strong> Paris marchant en silence en tenant leur<br />
vélo et encadrant un immense tambour rouge, les tambours français, les valseuses tournant dans leurs<br />
gigantesques robes noires en tenant dans leurs bras <strong>de</strong>s enfants <strong>de</strong> tous les continents, les interprètes<br />
d'instruments traditionnels venus <strong>de</strong> toutes les régions <strong>de</strong> France jouant La Marche <strong>de</strong>s mille <strong>de</strong> Wally Badarou, les<br />
joueurs <strong>de</strong> cornemuse et <strong>de</strong> tambour du régiment Royal Tatoo, les gar<strong>de</strong>s soviétiques du mausolée <strong>de</strong> Lenine<br />
avançant au pas <strong>de</strong> l'oie, camion citerne leur propulsant <strong>de</strong> la neige artificielle, plan d’ensemble <strong>de</strong> la<br />
locomotive gran<strong>de</strong>ur nature en hommage au film <strong>de</strong> Jean Renoir La Bête humaine, sosie <strong>de</strong> Jean<br />
Gabin par la fenêtre <strong>de</strong> la loco ; plan d’ensemble <strong>de</strong> la place <strong>de</strong> la Concor<strong>de</strong>, Jessie Norman chantant La<br />
Marseillaise drapée dans une soie bleu, blanc, rouge, plan rapproché <strong>de</strong> George et Barbara Bush.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Producteur ou Co-producteur, Aubervilliers : téléma images (télémaima)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/07/1989<br />
Durée : 00 h 02 min 19 sec<br />
Heure : 13 h 09 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
266
Titre propre<br />
Centenaire Jean Cocteau<br />
Titre collection<br />
Soir 3<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Michel Vial<br />
Résumé<br />
Cocteau aurait eu 100 ans cet été. rétrospective <strong>de</strong> son oeuvre.<br />
- Cocteau chez lui, à Milly la Forêt puis parlant à son double « je ne t'aime pas, c'est toi le Parisien ».<br />
- Archives n et b : Cocteau avec Picasso puis avec Jean Renoir.<br />
- Cocteau lors d'une soirée mondaine.<br />
- Dali et Cocteau signant sur un mur.<br />
- Chapelle <strong>de</strong> Milly la Forêt, décorée par l'artiste, Cocteau y recevant Chaplin et sa fille, Géraldine.<br />
- Cocteau en habit d'Académicien et Jean Marais.<br />
- interview <strong>de</strong> Jean Marais « on se rend compte qu'il reste un éternel jeune homme qui est souvent très vulnérable, qui est très<br />
sensible, qui est enthousiaste ; on ne se rend pas compte dans l'oeuvre <strong>de</strong> Cocteau à quel point il était enthousiaste »<br />
- Différents extraits du film Les Parents terribles.<br />
- Archives : Cocteau <strong>de</strong>ssinant un portrait <strong>de</strong> Colette.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/08/1989<br />
Durée : 00 h 02 min 13 sec<br />
Heure : 22 h 09 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
267
Titre propre<br />
La Bête humaine<br />
Titre collection<br />
Du Côté <strong>de</strong> chez Fred<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Interprète : Tambours du Bronx, chorale (<strong>de</strong> la SNCF Paris sud) ;<br />
Participant : Marcel Peroche, Henri Williaume (ancien chauffeur <strong>de</strong> locomotive à vapeur), Paul Arrault (gar<strong>de</strong>barrière),<br />
Georges Ribeill (historien), Jean-Clau<strong>de</strong> Arnault (conducteur <strong>de</strong> TGV), Jean-Pierre Farandon (chargé<br />
d’étu<strong>de</strong>s à la SNCF), Monsieur Tancher (Cantonnier) ; Réalisateur : Michel Hermant<br />
Résumé<br />
Frédéric Mitterrand dédie son émission à Jean-Paul Gou<strong>de</strong> (l'auteur du défilé du quatorze juillet sur les Champs-<br />
Elysées pour la commémoration du bicentenaire <strong>de</strong> la Révolution) et à tous ceux qui ont piloté les gran<strong>de</strong>s<br />
locomotives à vapeur, les cheminots français (immortalisés au cinéma par Jean Gabin dans La Bête<br />
humaine). Il a réuni sur le plateau Marcel Perroche, ancien conducteur <strong>de</strong> locomotive à vapeur (auteur du livre<br />
: Mémoires d'un sénateur du rail) et son chauffeur André Williaume, Paul Arnault et sa femme (d'origine tahitienne)<br />
tous <strong>de</strong>ux gar<strong>de</strong>-barrière, Georges Ribeill (historien), Jean Clau<strong>de</strong> Arnault (conducteur <strong>de</strong> TGV), Jean-Pierre<br />
Farandon (chargé d'étu<strong>de</strong>s à la SNCF) et Monsieur Tancher, cantonnier <strong>de</strong>s voies <strong>de</strong> chemin <strong>de</strong> fer.<br />
- Marcel Perroche parle avec nostalgie <strong>de</strong> son métier <strong>de</strong> mécanicien-vapeur, évoque la gran<strong>de</strong> famille <strong>de</strong> la<br />
traction-vapeur, la vie d'équipe à bord <strong>de</strong>s locos ; son chauffeur explique le rôle qu'il jouait (entretien <strong>de</strong> la<br />
machine et respect <strong>de</strong>s ordres du mécanicien) ; Georges Ribeill apporte <strong>de</strong>s précisions sur les métiers du rail<br />
d'hier et d'aujourd'hui, Jean Clau<strong>de</strong> Arnault témoigne <strong>de</strong> la solitu<strong>de</strong> vécue par les conducteurs <strong>de</strong> TGV et<br />
montre son admiration pour son aîné ; M.Tancher, cantonnier responsable <strong>de</strong> 26 kms <strong>de</strong> voies, souligne<br />
l'importance <strong>de</strong> son travail; Jean-Pierre Farandon apporte quelques précisions sur les quelques locomotives à<br />
vapeur encore en service en <strong>de</strong>hors du réseau SNCF ; quant à M.et Mme Arault, ils racontent quelques<br />
anecdotes sur leur métier <strong>de</strong> gar<strong>de</strong>-barrière (un métier où l'on a l'obsession <strong>de</strong> la sécurité, où la vigilance prime<br />
tout).<br />
- Séquencs filmées illustratives:<br />
- -un extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir : La Bête humaine (1938)<br />
- -<strong>de</strong>s images d'archives n et b sur le départ <strong>de</strong>s locomotives à vapeur<br />
- -un reportage à La Vie du rail, la revue <strong>de</strong>s cheminots, avec une interview <strong>de</strong> Christian Fauvet (directeur <strong>de</strong> la<br />
rédaction) et <strong>de</strong> Jean Genesseaux (collaborateur <strong>de</strong> la revue).<br />
- -un reportage dans un dépôt <strong>de</strong> locomotives à vapeur avec interview d'hommes jeunes ou moins jeunes sur leur<br />
passion <strong>de</strong>s trains à vapeur.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 18/09/1989<br />
Durée : 00 h 53 min 42 sec<br />
Heure : 15 h 17 min 47 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
268
Titre propre<br />
Jean Gabin<br />
Titre collection<br />
Etoiles<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Participant : Mathias Moncorg, Gaby Basset ; Réalisateur : Philippe Venault<br />
Résumé<br />
Frédéric Mitterrand raconte la vie Jean Gabin (Jean Alexis Montcorgé), en illustrant ses propos par un montage<br />
d'archives, d'extraits <strong>de</strong> films et <strong>de</strong> photos, et par <strong>de</strong>ux témoignages : Interview <strong>de</strong> Gaby Basset, l'une <strong>de</strong>s<br />
compagnes <strong>de</strong> Jean Gabin, et <strong>de</strong> Mathias Montcorgé, son fils.<br />
Séquences<br />
Extraits <strong>de</strong> films : La Gran<strong>de</strong> illusion (Jean Renoir), Nogent, eldorado du dimanche (Marcel Carné), Chacun sa<br />
chance, Le chant <strong>de</strong>s boulevards, Zouzou, Gueule d'amour ( Jean Gremillon), Pépé le moko, La Bête humaine (Jean<br />
Renoir), Remorques (Jean Grémillon), Le jour se lève (Marcel Carné), L'exil et l'honneur, Moontime (Idalopino), Touchez<br />
pas au grizzbi, French cancan (Renoir), En cas <strong>de</strong> malheur (Clau<strong>de</strong> Autant-Lara), Un singe en hiver (Henri<br />
Verneuil).<br />
- Archives nb : Paris le 14 juillet 1919, Paris en 1910, Revue <strong>de</strong> Mistinguett, sketch <strong>de</strong> Maurice Chevalier, Gabin<br />
et Mistinguett, Gabin en cycliste, pique-nique, Tournage aux studios <strong>de</strong> Joinville en 1928, Joséphine Baker<br />
visitant un bidonville, Vélodrome, Casino <strong>de</strong> Paris en 1931, 1936 : Front populaire, (Animation) : marionnette <strong>de</strong><br />
Hitler donnant un coup <strong>de</strong> poing dans le globe terrestre, Fernan<strong>de</strong>l chantant Barnabé, Gabin jouant au football,<br />
Gabin embarquant pour les Etats-Unis en 1941, Général De Gaulle passant les troupes en revue à Alger, Gabin<br />
<strong>de</strong>vant un char, Char allié pénétrant dans une ville d'Allemagne, Marlène donnant un spectacle pour les troupes,<br />
Caves <strong>de</strong> Saint-Germain-<strong>de</strong>s-Prés, Combat <strong>de</strong> boxe <strong>de</strong> Marcel Cerdan, Gabin avec Jean-Pierre Aumont,<br />
Interview <strong>de</strong> Maurice Chevalier après la libération, enterrement <strong>de</strong> Raimu (1948), Mariage <strong>de</strong> Jean Gabin et <strong>de</strong><br />
Dominique, Cirque : Marlène en « Mr Loyal », Gabin en famille chez lui, soirée au Moulin Rouge, <strong>de</strong>scente<br />
d'avion <strong>de</strong> Marlène Dietrich, interview <strong>de</strong> Gabin à 60 ans, Joséphine Baker dans son home d'enfants, Harras <strong>de</strong><br />
Jean Gabin, 1964 : harras saccagé par paysans voisins <strong>de</strong> Gabin, Gabin lors du procès qui suivit, Dominique et<br />
les enfants aux Sports d'hiver, 1975 : Gabin sur le bateau où son fils accomplit son service militaire, 3 avril 1976 :<br />
adieux <strong>de</strong> Gabin au public, en présence <strong>de</strong> Michèle Morgan.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/10/1989<br />
Heure : 22 h 23 min 50 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
269
Titre propre<br />
Marcel Carné<br />
Titre collection<br />
Figures<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Jacques Chancel ; Participant : Marcel Carné ; Réalisateur : Jacques Brialy<br />
Résumé<br />
Jacques Chancel reçoit le réalisateur Marcel Carné, qui vient <strong>de</strong> publier un livre La vie à pleines <strong>de</strong>nts à 38 ans<br />
(« dans le désordre » précise-t-il avec malice) et qui malgré son palmarès impressionnant, et la reconnaissance<br />
planétaire <strong>de</strong> son talent <strong>de</strong> cinéaste, connait les difficultés d'un débutant pour monter le film qui lui tient à coeur<br />
(il serait intitulé Le Bel été et serait consacré aux impressionnistes, d'après une nouvelle <strong>de</strong> Maupassant: Mouche).<br />
- J.Chancel l'interroge sur ses débuts dans le mon<strong>de</strong> du 7ème art (« J'aurais été un bon ébéniste comme mon père, j'ai<br />
débuté dans le music hall et je suis passé au cinéma par hasard... grâce à un dîner entr'amis où j'ai rencontré Françoise Rosay »), sur<br />
sa vieille amie Arletty, sur ses chefs d'oeuvre (Quai <strong>de</strong>s brumes, Drôle <strong>de</strong> drame, Hôtel du nord ainsi que Les Enfants du<br />
paradis, Les Visiteurs du soir ou Juliette et la clef <strong>de</strong>s songes, son film préféré), sur sa collaboration avec Prévert et<br />
Jeanson, sur ses réalisateurs préférés. Il évoque Jean Gabin (furieux <strong>de</strong> n'avoir pu jouer dans Les Portes <strong>de</strong> la nuit),<br />
Gérard Philippe (le seul comédien à avoir rendu hommage publiquement à son metteur en scène), Delon et<br />
Belmondo (« Je m'en suis fait <strong>de</strong>ux ennemis car je leur ai préféré Terzieff et Charrier pour Les Tricheurs »), Roland Lesaffre<br />
(« Mon fils adoptif, ma mascotte, un bon acteur qui n'a pas réussi sa carrière »), Cocteau et Renoir (qui lui ont causé<br />
<strong>de</strong>s « peines amicales ou spirituelles »). Il conclut en s'estimant privilégié, et en se montrant optimiste<br />
quant à son projet <strong>de</strong> film pour lequel il engagera cinq acteurs inconnus, plus une actrice....<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 22/11/1989<br />
Durée : 01 h 03 min 15 sec<br />
Heure : 00 h 35 min 54 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
270
Titre propre<br />
Le Bar <strong>de</strong> l’entracte : émission du 8 mars 1990<br />
Titre collection<br />
Le Bar <strong>de</strong> l’Entracte<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Nino Monti ; Présentateur : Pierre Tchernia, Henri Chapie, Patrick Brion ; Participant : Bernard<br />
Haller, Serge Gainsbourg, Jean Marais, Robin Davis, Nathalie Cardone, Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy, Marcel Carné,<br />
Françoise Giroud, Jean-Clau<strong>de</strong> Penchenat<br />
Résumé<br />
Premier numéro du nouveau magazine <strong>de</strong> cinéma présenté par Pierre Tchernia avec aujourd'hui Bernard Haller<br />
dans le role du barman.<br />
- Actualités : extrait du film Stan the flasher puis interview <strong>de</strong> Serge Gainsbourg qui explique comment lui est<br />
venue l'idée <strong>de</strong> ce film, parle <strong>de</strong> ses liens avec Clau<strong>de</strong> Berri et d'une scène du film avec Michel Robin.<br />
- Reportage retraçant l'inauguration du train cinéma à la gare <strong>de</strong> l'est. Jean Marais parle du thème <strong>de</strong> cette expo<br />
qui sillonera la France : les transports au cinéma puis évoque un souvenir <strong>de</strong> train lié à Jean Cocteau ; visite <strong>de</strong>s<br />
wagon avion et bateau.<br />
- La chanson : Charles trénet chante La Romance <strong>de</strong> Paris, extrait du film <strong>de</strong> Jean Boyer.<br />
- Tournage : Robin Davis tourne actuellement La Fille <strong>de</strong>s collines ; extrait du tournage d'une scène <strong>de</strong> tempête<br />
avec Nathalie Cardone.<br />
- Un film raconté par un témoin : Marcel Carné raconte <strong>de</strong>s scènes du tournage <strong>de</strong> son film Drôle <strong>de</strong> drame<br />
notamment celle entre Michel Simon et Louis Jouvet et celle où Jean-Louis Barrault est nu. Extraits.<br />
-Jean-Clau<strong>de</strong> Brialy évoque avec Pierre Tchernia la mémoire <strong>de</strong> Michel Simon, raconte quelques anecdotes à<br />
son sujet puis hommage à Juliet berto avec un extrait <strong>de</strong> son film sur Damia.<br />
- Jeu <strong>de</strong>s petits carreaux : extrait <strong>de</strong>s Visiteurs du soir.<br />
- Mon ciné : Françoise Giroud évoque son premier souvenir <strong>de</strong> cinéma, un film <strong>de</strong> Charlot puis<br />
raconte à Pierre Tchernia son expérience <strong>de</strong> scipte sur le tournage <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir .<br />
-Jean-Clau<strong>de</strong> Penchenat <strong>de</strong> la Cie du Campagnole présente son nouveau spectacle 1, place Garibaldi écrit en<br />
hommage à la passion du cinéma. Extrait d'un document qu'il a utilisé dans lequel une femme parle du cinéma<br />
<strong>de</strong> sa jeunesse.<br />
- Le coup <strong>de</strong> cour d’Henri Chapier qui présente un livre <strong>de</strong> Fe<strong>de</strong>rico Fellini Giuletta, recueil <strong>de</strong> notes <strong>de</strong> la<br />
préparation <strong>de</strong> Juliette <strong>de</strong>s esprits. Il évoque la carrière <strong>de</strong> l'actrice et ses rapports avec Fellini dans la vie et au<br />
cinéma.<br />
- Le plus petit ciné-club du mon<strong>de</strong> : Sons of liberty <strong>de</strong> Michaël Curtiz (extérieur).<br />
- Extraits <strong>de</strong> Elementaire mon Sherlock Holmes, Suzie et les Baker boys, La Fête <strong>de</strong>s pères, Always, Potins <strong>de</strong> femmes, Le Roman<br />
<strong>de</strong> Renart et La Guerre <strong>de</strong>s roses.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/03/1990<br />
Heure : 23 h 00 min 41 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
271
Titre propre<br />
Le mon<strong>de</strong> est à vous : émission du 8 avril 1990<br />
Titre collection<br />
Le Mon<strong>de</strong> est à vous<br />
Notes du titre<br />
Dans Dimanche Martin<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Jacques Martin ; Interprète : Fanfare <strong>de</strong> cavalerie <strong>de</strong> la Gar<strong>de</strong> républicaine, Grand orchestre <strong>de</strong><br />
Robert Quibel, Orchestre symphonique <strong>de</strong> la Gar<strong>de</strong> républicaine, Lonnie Gordon, Vagabonds-groupe, Sandychanteuse,<br />
Jacques Martin, Basia, Orchestre <strong>de</strong>s Solistes <strong>de</strong> Versailles, Nelson Freire, Ban<strong>de</strong> à Basile, Roger<br />
Boutry ; Réalisateur : Gérard Thomas ; Compositeur musique préexistante : Louis Ganne, Ludwig van<br />
Beethoven, George Gershwin<br />
Résumé<br />
Au cours <strong>de</strong> cette émission avec, en invité ve<strong>de</strong>tte, les différentes formations <strong>de</strong> la Gar<strong>de</strong> Républicaine, Jacques<br />
Martin accueille trois candidats. Ces <strong>de</strong>rniers, tous militaires <strong>de</strong> carrière, tentent en cinq questions, <strong>de</strong> gagner un<br />
voyage lointain. Les questions portent sur les thèmes suivants : l'Amérique, l'actualité <strong>de</strong> la semaine, la guerre ou<br />
l'armée, l'amour, la république. Le vainqueur partira pour Saint-Martin. L'émission comporte également<br />
un extrait du Caporal épinglé <strong>de</strong> Jean Renoir et <strong>de</strong>s images d'archives <strong>de</strong> Patachou chantant L’Amour au<br />
quotidien.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 08/04/1990<br />
Durée : 01 h 22 min 36 sec<br />
Heure : 14 h 43 min 22 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
272
Titre propre<br />
Mon frère Jacques : 2eme partie<br />
Titre collection<br />
Océaniques<br />
Générique et auteurs<br />
Directeur <strong>de</strong> la photo : Willy Kurant ; Participant : Jacques Prévert, Pierre Prévert, Raymond Bussieres, Jacques-<br />
Bernard Brunius, Alexandre Trauner, Marcel Carné, Jean Gabin ; Ingénieur du son : Robert Jacob ; Monteur :<br />
Jacques Cogniaux ; Réalisateur : Pierre Prévert<br />
Résumé<br />
Second volet d'une série <strong>de</strong> quatre émissions dans laquelle Pierre Prevert raconte son frère Jacques. Réalisée en<br />
1961, elle reconstitue la carrière <strong>de</strong> Jacques Prévert à travers <strong>de</strong>s entretiens entre les <strong>de</strong>ux frères et quelques vieux<br />
amis, illustrés d'extraits <strong>de</strong> films.<br />
- Pierre et Jacques évoquent la pério<strong>de</strong> qui a suivi leur premier film en 1928. L'acteur, Raymond Bussières se<br />
joint à eux pour parler du Groupe Octobre et <strong>de</strong> leur première rencontre, <strong>de</strong> Pierre Batcheff et <strong>de</strong> Pomies dont<br />
nous voyons <strong>de</strong>s photos. Bussières dit un texte <strong>de</strong> Prévert: Objets <strong>de</strong> première nécessité. Il évoque ensuite avec Jacques<br />
Prévert leur voyage en Russie avec la troupe du Groupe Octobre et leur représentation <strong>de</strong> La Bataille <strong>de</strong> Fontenoy à<br />
Moscou. Enfin, il dit regretter <strong>de</strong> n'avoir pas joué dans L'Affaire est dans le sac (extrait)<br />
- Jacques-Bernard Brunius, un <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> l'équipe surréaliste du Groupe Octobre et fondateur <strong>de</strong> la Revue<br />
du Cinéma se souvient <strong>de</strong> L'Affaire est dans le sac dans lequel il est <strong>de</strong>venu « l'homme au béret français ». Il parle <strong>de</strong> sa<br />
première rencontre avec les frères Prévert, Marcel Duhamel et Tanguy. Jacques Prévert évoque un « joli film » <strong>de</strong><br />
Brunius, Violons d'Ingres réalisé en 1937 (extrait)<br />
- Pierre Prévert et Alexandre Trauner rappellent leur première rencontre en 1932 lors d'une projection <strong>de</strong><br />
L'Affaire est dans le sac. Jacques Prévert évoque sa collaboration avec Trauner qui a fait les décors <strong>de</strong> Ciboulette<br />
avant Drôle <strong>de</strong> drame.<br />
- Pierre et Jacques parlent <strong>de</strong> Pomies, « un merveilleux danseur », puis d'Agnès Capri et Marianne Oswald qui<br />
interprétèrent les premières chansons <strong>de</strong> Prévert (photos). Jacques Prévert dit Histoire du cheval sur <strong>de</strong>s illustrations<br />
d'Elsa Henriquez.<br />
- Pierre Prévert évoque le film <strong>de</strong> Renoir Le Crime <strong>de</strong> Mr Lange dont l'adaptation et les<br />
dialogues sont signés Jacques Prévert. Jacques Bernard Brunius, interprète du film, parle<br />
« d'expérience effroyable » face à Jules Berry. Après un extrait, Pierre Prévert se souvient avec<br />
plaisir <strong>de</strong> ce film fait entre amis.<br />
- Les frères Prévert et Marcel Carné se rappellent <strong>de</strong> leur première rencontre et <strong>de</strong> leur première collaboration<br />
dans Drôle <strong>de</strong> drame en 1937. Pierre Prévert parle du caractère colérique <strong>de</strong> Carné. Extrait du film avec Louis<br />
Jouvet et Michel Simon (bizarre, bizarre)<br />
-Jean Gabin et Jacques Prévert racontent la préparation <strong>de</strong> Quai <strong>de</strong>s brumes et leurs démêlés avec le producteur<br />
dont se souvient aussi Marcel Carné. Gabin et Prévert se rappellent <strong>de</strong> leur attente après la sortie du film.<br />
Extraits <strong>de</strong> Quai <strong>de</strong>s brumes : rencontre Gabin-Morgan et scène <strong>de</strong> la boutique avec Michel Simon.<br />
- Après une évocation <strong>de</strong> Maurice Jaubert qui a composé la musique <strong>de</strong> nombreux films <strong>de</strong> Carné, Gabin et<br />
Prévert parlent du Jour se lève. Gabin se souvient <strong>de</strong>s débuts du « môme Blier » dans ce film et du jeu <strong>de</strong> Jules Berry,<br />
« grand acteur jamais remplacé ». Extrait Le Jour se lève: Arletty, Gabin et Berry dans la chambre d'hôtel.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bruxelles : radio télévision Belge <strong>de</strong> la Communauté Française (RTBF)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/04/1990<br />
Durée : 01 h 00 min 14 sec<br />
Heure : 22 h 38 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
273
Titre propre<br />
Andrex<br />
Titre collection<br />
Du côté <strong>de</strong> chez Fred<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Frédéric Mitterrand, Lila Spiegel ; Interprète : Simone Langlois, Jean-Pierre Passaga (piano) ;<br />
Participant : Dominique Andrex, Paulette Brun, Michel Creton, Colette Darfeuil, Franck Fernan<strong>de</strong>l, Armand<br />
Mestral ; Réalisateur : Michel Hermant ; Journaliste : Paul Albertini<br />
Résumé<br />
Dans cette émission d'hommage à Andrex à l'occasion <strong>de</strong> la parution <strong>de</strong> ses mémoires, Frédéric Mitterrand<br />
associe largement le comédien au grand Raimu et à Fernan<strong>de</strong>l. Il a réuni les enfants respectifs <strong>de</strong>s trois acteurs,<br />
Colette Darfeuil, l'une <strong>de</strong> leurs partenaires, Armand Mestral, leur contemporain, et Michel Creton.<br />
- Ils parlent d'abord <strong>de</strong> Marseille, la ville d'origine d'Andrex, fertile en talents et riche d'une tradition<br />
particulière. Les invités évoquent le rôle privilégié <strong>de</strong>s cabarets et autres lieux <strong>de</strong> spectacle dans la formation <strong>de</strong>s<br />
artistes. Franck Fernan<strong>de</strong>l raconte l'amitié qui lia, dès la jeunesse, Andrex et son père. Après un extrait <strong>de</strong><br />
Toni <strong>de</strong> Jean Renoir, ils passent à la carrière professionnelle d'Andrex et à ses qualités <strong>de</strong> chanteur, d'acteur et<br />
<strong>de</strong> partenaire. Quelques images d'archives illustrent sa montée à Paris dans les années 30 et ses débuts au<br />
cinéma. Ils notent la joie <strong>de</strong> vivre <strong>de</strong>s acteurs marseillais, heureux <strong>de</strong> leur métier, convaincus <strong>de</strong> leur statut<br />
privilégié, amoureux du travail (extrait <strong>de</strong> La Marseillaise <strong>de</strong> Jean Renoir) puis ils parlent du registre<br />
d'Andrex, un peu frustré d'être cantonné aux mauvais garçons.<br />
- La <strong>de</strong>uxième partie <strong>de</strong> l'émission tourne autour <strong>de</strong> Raimu. Sa fille insiste sur sa notoriété internationale et parle<br />
<strong>de</strong> sa personnalité inquiète et perfectionniste. Il est aussi question <strong>de</strong> ses rapports avec les metteurs en scène,<br />
Pagnol notamment, et ses partenaires dont Andrex. Un extrait d'Hôtel du nord <strong>de</strong> Carné illustre leurs propos.<br />
Parallèlement, Paulette Dubost, dans un entretien avec Paul Albertini, raconte une anecdote pour évoquer la<br />
séduction d'Andrex.<br />
- Au cours <strong>de</strong> cette discussion, Michel Creton et les enfants <strong>de</strong>s trois comédiens, parlent <strong>de</strong> leur gentillesse et <strong>de</strong><br />
leur enseignement. Un <strong>de</strong>rnier extrait <strong>de</strong> Cap Canaille clôt l'émission.<br />
- Avec aussi l'agenda <strong>de</strong> Lila Spiegel.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/05/1990<br />
Durée : 01 h 09 min 45 sec<br />
Heure : 00 h 20 min 55 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
274
Titre propre<br />
Luchino Visconti<br />
Titre collection<br />
Etoiles<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Commentateur : Frédéric Mitterrand ; Réalisateur : Jean-Christophe Rose ;<br />
Producteur : Jean-Christophe Rose, Frédéric Mitterrand<br />
Résumé<br />
Portrait très documenté du cinéaste italien Luchino Visconti qui fût aussi un homme <strong>de</strong> théâtre et un metteur en<br />
scène <strong>de</strong> ballets et d'opéra. Né en 1906 dans une gran<strong>de</strong> famille aristocratique, il est mort en 1976, riche et adulé.<br />
- Frédéric Mitterrand raconte le parcours artistique et affectif <strong>de</strong> Visconti, appuyant son commentaire sur une<br />
multitu<strong>de</strong> d'images d'archives qui situe l'artiste et l'homme dans le contexte social et historique <strong>de</strong> la première<br />
moitié du XXème siècle. Fasciné par la montée en puissance <strong>de</strong> l'Allemagne et lié par sa famille à l'Italie<br />
mussolinienne, il suit la route du parti communiste à partir <strong>de</strong> 1946 par admiration pour son lea<strong>de</strong>r Toriati.<br />
- Sa rencontre en 1935 avec Renoir à Paris marque les débuts <strong>de</strong> sa carrière<br />
cinématographique. Son premier film Ossessione est censuré. De nombreuses images inédites illustrent<br />
l'évocation <strong>de</strong> son oeuvre et <strong>de</strong> ses rapports avec les acteurrs et artistes qu'il cotoyait (Magnani, Cocteau, Chanel,<br />
Callas, Delon et Romy Schnei<strong>de</strong>r, Burt Lancaster Thomas Mann). En ce qui concerne sa vie privée et<br />
sentimentale, Mitterrand évoque la mère, l'homosexualité du père, la mort du frère, les attirances homosexuelles<br />
<strong>de</strong> Visconti qui imprègne tout son cinéma, le <strong>de</strong>rnier amour pour Helmut Berger.<br />
- Les <strong>de</strong>rnières images du document sont celles <strong>de</strong> l'ovation faite à Visconti au Théâtre Argentina <strong>de</strong> Rome en<br />
1973, où tous ses amis viennent embrasser le maître.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/05/1990<br />
Durée : 01 h 13 min 19 sec<br />
Heure : 22 h 39 min 20 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
275
Titre propre<br />
Anna Magnani<br />
Titre collection<br />
Du côté <strong>de</strong> chez Fred<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Michel Hermant ; Présentateur : Frédéric Mitterrand ; Interprète : Zaniboni, Michel Tardieu ;<br />
Participant : Anna Magnani, Luca Magnani, Elsa De Giorgi, Marc Maurette, Chris Vermorcken<br />
Résumé<br />
Frédéric Mitterrand présente une émission consacrée à la gran<strong>de</strong> actrice italienne Anna Magnani en présence <strong>de</strong><br />
son fils Luca Magnani. Il cite, en ouverture, <strong>de</strong>s propos <strong>de</strong> Magnani concernant la place <strong>de</strong> son fils dans sa vie.<br />
- Pour évoquer les différentes facettes <strong>de</strong> la personnalité <strong>de</strong> l'actrice sont réunis Elsa <strong>de</strong> Giorgi actrice elle aussi et<br />
amie d'Anna, Chris Vermorcken réalisatrice d'un film <strong>de</strong> montage sur Magnani, Marc Maurette ancien<br />
assistant <strong>de</strong> Renoir. Le débat est émaillé <strong>de</strong> photos retraçants la carrière <strong>de</strong> Magnani ainsi que d'extraits <strong>de</strong>s<br />
films qu'elle a tourné (Rome ville ouverte, Bellissima, Le Carosse d'or, Amore) et <strong>de</strong>s interviews.<br />
- Luca Magnani parle avec parcimonie <strong>de</strong> sa mère, rejetant l'image fausse <strong>de</strong> femme violente que l'on a attribuée<br />
à Anna Magnani.Il répond aux questions concernant la vie qu'il menait aux côtés <strong>de</strong> sa mère, <strong>de</strong>s gens qu'ils<br />
rencontraient, <strong>de</strong> la place <strong>de</strong>s spectacles dans la vie italienne, <strong>de</strong> la pauvreté actuelle <strong>de</strong> la télévision dans son<br />
pays.<br />
- Elsa <strong>de</strong> Giorgi raconte ses souvenirs, Chris Vermorcken parle du néo-réalisme italien, <strong>de</strong>s relations <strong>de</strong> l'actrice<br />
avec les metteurs en scène, <strong>de</strong> sa carrière américaine et <strong>de</strong> son goût pour les animaux. Marc Maurette<br />
raconte <strong>de</strong>s anecdotes concernant le tournage du Carrosse d'or.<br />
- Off, chanson interprétée par Anna Magnani en 1944 La Vita è bella.<br />
- Agenda <strong>de</strong> Lila fait d'annonces culturelles diverses.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/05/1990<br />
Durée : 01 h 24 min 01 sec<br />
Heure : 23 h 23 min 39 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programme : France 2<br />
276
Titre propre<br />
Dieu protège la France<br />
Notes du titre<br />
Mémoire en ricochets 1958-1969 : 1ere partie dans Océaniques<br />
Générique et auteurs<br />
Commentateur : Michel Mitrani ; Réalisateur : Michel Mitrani ; Auteur oeuvre préexistante : Michel Mitrani<br />
Résumé<br />
Première d'une émission en trois chapitres réunissant, assortis d'un nouveau commentaire <strong>de</strong> l'auteur, <strong>de</strong>s extraits<br />
et séquences d'émissions documentaires réalisées par Michel Mitrani entre 1958 et 1969. Prenant Colombey<br />
comme point <strong>de</strong> départ <strong>de</strong> ce retour en arrière, Mitrani se penche sur la France <strong>de</strong>s années gaulliennes,<br />
s'attardant sur le thème <strong>de</strong> la décolonisation et sur le débat peinture figurative / art abstrait qui faisait alors<br />
fureur.<br />
- La séquence d'introduction nous mène donc à Colombey, à l'ombre <strong>de</strong> la croix <strong>de</strong> <strong>Lorraine</strong>, symbole pour<br />
Mitrani « d'un permis <strong>de</strong> vivre rétabli », et où fructifie maintenant le commerce <strong>de</strong> l'idolâtrie.<br />
- Michel Mitrani nous permet ensuite <strong>de</strong> retrouver les témoignages <strong>de</strong> François Mauriac, Mac<br />
Orlan, du prési<strong>de</strong>nt Léopold Senghor, d'Edouard Leclerc, frais émoulu du séminaire, <strong>de</strong> Pierre Desgraupes,<br />
César, Jacques Audiberti, Eugène Ionesco, Manessier, Louis Aragon, Simone Signoret, Bazaine, Adrien Maeght,<br />
Pierre Soulages, Jean Cocteau, Jean Renoir, Man Ray, Juliette gréco, Robert Bresson, et <strong>de</strong> revoir <strong>de</strong>s<br />
séquences consacrées à l'Algérie <strong>de</strong> 1960, à l'accession à l'indépendance <strong>de</strong>s anciennes colonies, à la Bretagne, au<br />
développement <strong>de</strong> l'informatique.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry sur Marne : Institut national <strong>de</strong> l’auiovisuel (INA)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d’édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision. (SEPT)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 14/01/1991<br />
Durée : 00 h 52 min 00 sec<br />
Heure : 23 h 19 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
277
Titre propre<br />
La 16eme nuit <strong>de</strong>s Césars<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Christian Vidali, Daniel Bart (montages) ; Producteur : Georges Cravenne ; Présentateur : Jean-<br />
Loup Dabadie, Guy Marchand, Richard Bohringer, Patrick Chesnais, Smain ; Commentateur : Christian<br />
Defaye<br />
Résumé<br />
- Archives : extrait <strong>de</strong> la leçon <strong>de</strong> comédie donnée par Renoir à Gisèle Braunberger.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris: Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 09/03/1991<br />
Heure : 20 h 52 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
278
Titre propre<br />
Les gran<strong>de</strong>s espérances<br />
Titre collection<br />
Les Aventures <strong>de</strong> la liberté<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Bernard-Henri Lévy ; Participant : Jean-Denis Bredin, Emmanuel Levinas, Yvonne Sadoul<br />
(épouse <strong>de</strong> Jacques Sadoul), Pierre Naville, Henri Lefebvre, Henriette Nizan, Maurice Na<strong>de</strong>au, André Thirion,<br />
Jean-Toussaint Desanti ; Réalisateur : Alain Ferrari<br />
Résumé<br />
La première émission <strong>de</strong> la série que Bernard-Henri Lévy a conçue sur les intellectuels français est consacrée à la<br />
pério<strong>de</strong> allant <strong>de</strong> l'affaire Dreyfus jusqu'aux procès <strong>de</strong> Moscou (dans les années trente). Elle pourrait être<br />
intitulée: La tentation communiste. Elle évoque longuement la France <strong>de</strong> la fin du XIXème siècle et <strong>de</strong> la Belle<br />
Epoque (la formule « intellectuel » apparait pour la première fois au moment <strong>de</strong> l'affaire Dreyfus quand Zola<br />
écrivait J'accuse et Barrès sa trilogie définissant les principes <strong>de</strong> son nationalisme). Elle se poursuit par une<br />
évocation <strong>de</strong> la guerre <strong>de</strong> 14-18 et <strong>de</strong> la Révolution d'Octobre, une réaction antimilitariste <strong>de</strong> la plupart <strong>de</strong>s<br />
intellectuels et une fascination pour la révolution lointaine venue <strong>de</strong> l'Est. Cette adhésion au communisme, BHL<br />
n'y croit pas, il le proclame et s'interroge: « comment les intellectuels <strong>de</strong> cette époque ont-ils pu s'accomo<strong>de</strong>r <strong>de</strong> tous ces crimes,<br />
ces procès, cet archipel <strong>de</strong> souffrance, ce cauchemar? ».<br />
- Parmi les grands témoins <strong>de</strong> ces événements: François Mauriac et Jean-Denis Bredin évoquent la France du<br />
début du siècle, d'Emmanuel Levinas et Yvonne Sadoul (101 ans, veuve <strong>de</strong> Jacques Sadoul) sur la Révolution<br />
d'Octobre et le Congrès <strong>de</strong> Tours, <strong>de</strong> Pierre Naville sur Souvarine et d'Henri Lefebvre sur Politzer, d'Henriette<br />
Nizan sur son mari, <strong>de</strong> Maurice Na<strong>de</strong>au sur l'engagement <strong>de</strong> Breton et <strong>de</strong>s Surréalistes au Pcf, d'André Thirion<br />
sur le rôle <strong>de</strong> Louis Aragon au sein du groupe, et <strong>de</strong> Jean-Toussaint Desanti qui explique que le parti<br />
communiste russe ne pouvait être que la vertu même, aux yeux <strong>de</strong>s intellectuels engagés <strong>de</strong> cette époque.<br />
- documents illustratifs:<br />
- Extraits <strong>de</strong> films: L'Affaire Dreyfus <strong>de</strong> Ferdinand Zecca-1907, Ceux <strong>de</strong> chez nous <strong>de</strong> Sacha Guitry-1915, Retour à la<br />
raison <strong>de</strong> Man Ray-1923, Emak'Bakia <strong>de</strong> Man Ray-1926, Autoportrait <strong>de</strong> Man Ray-1930, Entracte <strong>de</strong> René Clair-<br />
1924, Faits divers <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Autant-Lara-1924, Mathusalem <strong>de</strong> Jean Painlevé-1926, Un chien andalou <strong>de</strong> Luis<br />
Bunuel-1929, Les Croix <strong>de</strong> bois <strong>de</strong> Raymond Bernard 1932, La Vie est à nous Jean Renoir 1936, Paris 1900<br />
Nicole Vedrès 1947, Avec André Gi<strong>de</strong> Marc Allégret 1952, La Demoiselle et le voyou Eugène Skvinski 1918, Le Cuirassé<br />
Potemkine Eisenstein 1925, Octobre Eisenstein 1927, La Ligne générale Eisenstein 1929, La Terre Dovjenko 1930, Mes<br />
Universités Marc Donskoi 1940.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry sur Marne : Institut national <strong>de</strong> l’auiovisuel (INA)<br />
Producteur ou Co-producteur, Pais : Télé images (telim)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/03/1991<br />
Durée : 00 h 55 min 58 sec<br />
Heure : 22 h 26 min 19 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
279
Titre propre<br />
Paulette Dubost<br />
Titre collection<br />
Bouillon <strong>de</strong> culture<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Elisabeth Preschey, Gérard Sanas (reportage pin's) ; Journaliste : Isabelle Giordano ; Auteur oeuvre<br />
préexistante : Pierre Augustin Caron <strong>de</strong> Beaumarchais ; Compositeur musique préexistante : Fritz Kreisler ;<br />
Présentateur : Bernard Pivot ; Metteur en scène <strong>de</strong> théatre : Jean-Luc Boutte ; Interprète : Trio Wan<strong>de</strong>rer, Anne<br />
Kessler (Rosine), Thierry Hancisse (Figaro) ; Participant : Paulette Dubost, Marie-Clau<strong>de</strong> Treilhou, Jacques<br />
Charrier, Anne Kessler, Judith Henry, Céline Buanic, Nina Bouraoui, Trio Wan<strong>de</strong>rer, Brigitte Orfali<br />
(psychosociologue), Mambo (graffeur)<br />
Résumé<br />
Paulette Dubostest l'invitée principale <strong>de</strong> Bernard Pivot. Elle rappelle avec humour les débuts <strong>de</strong> sa carrière au<br />
cabaret et dans <strong>de</strong>s revues très dénudées. Elle évoque sans remords les « navets » qui ont jalonné sa<br />
vie professionnelle mais aussi les grands cinéastes, notamment Renoir pour La Règle du jeu et<br />
Louis Malle pour Milou en mai (extraits), qui l'ont fait jouer. Avec Marie-Clau<strong>de</strong> Trilhou, metteur en scène du Jour<br />
<strong>de</strong>s Rois, elle parle <strong>de</strong> son rôle <strong>de</strong> vieille dame gentille et faible, <strong>de</strong> ses partenaires et du sujet du film. Jacques<br />
Charrier, dont les toiles décorent le studio, est un ami <strong>de</strong> Paulette Dubost. Il dit quelques mots sur sa carrière<br />
cinématographique entreprise en dilletante puis explique sa peinture faite <strong>de</strong> « mécaniques imaginaires » et son goût<br />
<strong>de</strong>s pastels. Cette première partie se termine par un extrait <strong>de</strong> l'émission <strong>de</strong> Christine Ockrent, Qu'avez vous fait <strong>de</strong><br />
vos 20 ans, consacré à Michel Rocard.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/03/1991<br />
Durée : 01 h 34 min 17 sec<br />
Heure : 22 h 11 min 31 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
280
Titre propre<br />
Le Regard du zappeur<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Régis Debray ; Participant : Serge Daney ; Réalisateur : Dominique Rabourdin, Pierre-André<br />
Boutang<br />
Résumé<br />
Troisième partie <strong>de</strong> la trilogie Itinéraire d'un ciné-fils consacrée à Serge Daney et présentée par Régis Debray (off).<br />
- Dans les différents thèmes abordés dans cette émission : le passage à Libération <strong>de</strong> 1981 à 1986 comme<br />
responsable <strong>de</strong> la rubrique cinéma, la crise ouverte du cinéma, la télévision-téléphone, la psychologie du français<br />
moyen et sa responsabilité dans l'évolution <strong>de</strong>s programmes (jeux et autres réality show) recopiés mot à mot sur la<br />
TV américaine, l'évolution <strong>de</strong> la société et <strong>de</strong>s idéologies, « du discours <strong>de</strong> l'écologie comme ressurgence rampante du<br />
fascisme » (Pub pour la Fondation Yoplait), et enfin sur le mythe et le modèle d'i<strong>de</strong>ntification.<br />
- Au-<strong>de</strong>la <strong>de</strong>s thèmes abordés, <strong>de</strong>s réactions ou <strong>de</strong>s analyses <strong>de</strong> Serge Daney, c'est une rencontre avec un<br />
itinéraire intellectuel sans complaisance qui pose les termes <strong>de</strong> l'évolution culturelle <strong>de</strong> notre civilisation comme<br />
irréductibles et sans espoirs.<br />
- extraits <strong>de</strong> films :<br />
- Fanny et Alexandre, Ingmar Bergman.<br />
- Ginger et Fred, Fe<strong>de</strong>rico Fellini.<br />
- La Règle du Jeu, Jean Renoir .<br />
- articles <strong>de</strong> Libé signés Serge Daney.<br />
- Zapping rapi<strong>de</strong> d'émissions <strong>de</strong> TV.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (FR3), 1992<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Société d’édition et <strong>de</strong> programmes <strong>de</strong> télévision (SEPT)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Sodaperaga (SODAP)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/05/1992<br />
Durée : 01 h 05 min 45 sec<br />
Heure : 00 h 27 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
281
Titre propre<br />
Jean-Jacques Beineix<br />
Titre collection<br />
Bouillon <strong>de</strong> culture<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Bernard Pivot ; Participant : Jean-Jacques Beineix, Paulette Dubost, Olivier Martinez, Sekkou<br />
Sall, Robert Harrison ; Réalisateur : Alexandre Tarta<br />
Résumé<br />
Bernard Pivotprésente ses invités : Jean-Jacques Beineix, réalisateurdu film IP5 (le <strong>de</strong>rnier d'Yves Montand),<br />
Olivier Martinez et Sekkou Sall, acteurs dans ce film, Robert Harrison, philosophe, auteur du livre Forêts paru<br />
aux éditions Flammarion et Paulette Dubost, à l'occasion <strong>de</strong> la sortie <strong>de</strong> son livre C'est court la vie aux éditions<br />
Flammarions.<br />
- Paulette Dubost qui dans son livre révèle quelques vérités sur <strong>de</strong> nombreux comédiens avoue avoir adoré les<br />
<strong>de</strong>ux enfants dans le film IP5, sur Montand elle reconnait avoir envié Simone Signoret. Elle nous retrace sa<br />
carrière <strong>de</strong> comédienne tout au long <strong>de</strong>s 166 films qu'elle a tourné. Diffusion d'extrait <strong>de</strong> La Règle du jeu<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir, <strong>de</strong> Le Plaisir et Lola Montes <strong>de</strong> Max Ophuls et <strong>de</strong> Viva Maria <strong>de</strong> Louis Malle. Toujours pétillante<br />
<strong>de</strong> vie, elle nous raconte quelques épiso<strong>de</strong>s <strong>de</strong> sa vie privée et déclare trouver du charme à Robert Harrison.<br />
- Bernard Pivot présente ensuite différents livres dont notamment le Story Board du film IP5.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Antenne 2 (A2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/06/1992<br />
Durée : 01 h 27 min 12 sec<br />
Heure : 22 h 38 min 33 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
282
Titre <strong>de</strong> l'extrait<br />
Tavernier, John Ford, Henry Hathaway et le cinéma américain<br />
Titre propre<br />
Bertrand Tavernier : 1ere partie<br />
Titre collection<br />
Le Divan<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jean-Clau<strong>de</strong> Longin ; Présentateur : Henry Chapier ; Participant : Bertrand Tavernier<br />
Résumé<br />
Tavernier raconte sa découverte du cinéma américain à travers quelques grands noms Ford, Wellman,<br />
Hathaway et puis comme acteur Gary Cooper, il cite comme films culte Les Naufrageurs <strong>de</strong>s mers du Sud, Les<br />
Ecumeurs <strong>de</strong>s monts Apache Les Aventures du capitaine Wyatt <strong>de</strong> Raoul Walsh puis sa découverte <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong><br />
illusion <strong>de</strong> Renoir par la suite<br />
il dit avoir appris à aimer la vie grâce au cinéma, par exemple il a été sensibilisé au problème indien en voyant<br />
<strong>de</strong>s westerns Le Massacre <strong>de</strong> Fort Apache, les films <strong>de</strong> Ford, Delmer Daves, il a compris le New Deal à travers Les<br />
Raisins <strong>de</strong> la colère, son goût <strong>de</strong> la politique, du social lui est venu du cinéma<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France Régions 3 (FR3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 06/09/1992<br />
Durée : 00 h 04 min 23 sec<br />
Heure : 21 h 58 min 51 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
283
Tournage à la campagne, à partir d’une Partie <strong>de</strong> Campagne<br />
d’Alain Fleisher, 1993, 90 mn.<br />
Je m’appelle Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1993, amission diffusée en quatre parties (<strong>de</strong>ux émissions <strong>de</strong> 60 mn; une <strong>de</strong> 75 mn et la<br />
<strong>de</strong>rnière <strong>de</strong> 90 mn).<br />
Titre propre<br />
Plateau : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />
Titre collection<br />
JA2 <strong>de</strong>rnière<br />
Générique et auteurs<br />
Participant : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe ; Journaliste : Catherine Ceylac<br />
Résumé<br />
Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe qui est venu parler du film <strong>de</strong> Jean Renoir La Marseillaise diffusé ce soir<br />
au Ciné-club, exprime l'émotion qu'il a ressenti à l'annonce du décès <strong>de</strong> Cyril Collard : « ... on avait peur que ça<br />
arrive à quelqu'un le jour <strong>de</strong> la remise <strong>de</strong>s Césars...Ce qui était frappant dans le film Les Nuits fauves c'était la correspondance entre le<br />
film et son public... les passions, les pulsions et les espoirs d'une génération y étaient exprimés.. ». Puis evoquant le film <strong>de</strong><br />
Jean Renoir : « ... La Marseillaise se passe en 1937 à l'époque où Jean Renoir était sympathisant<br />
du PC et <strong>de</strong> l'extrême gauche... le film a été produit comme une souscription, les spectateurs<br />
payaient à l'avance... A l'époque Jean Renoir a été attaqué sur le plan politique... aujourd'hui on<br />
découvre sa faculté <strong>de</strong> se mettre à la place <strong>de</strong> quiconque: le roi, le peuple... son film est un film<br />
d'humanité... ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 05/03/1993<br />
Heure : 00 h 10 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
284
Titre propre<br />
Pierre Braunberger : 1ere partie<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Pierre-André Boutang ; Journaliste : Pierre-André Boutang, Serge Toubiana ; Participant : Pierre<br />
Braunberger<br />
Résumé<br />
Assis <strong>de</strong>rrière son bureau, Pierre Braunberger s'entretient avec Pierre-André Boutang (off) sur sa carrière <strong>de</strong><br />
producteur, qui fut aussi la passion <strong>de</strong> sa vie et se confond avec l'histoire du cinéma <strong>de</strong> ce siècle.Après avoir défini<br />
la notion <strong>de</strong> producteur en France et analysé les qualités requises pour ce métier, un montage rappelle les<br />
principales étapes <strong>de</strong> sa vie, <strong>de</strong>puis sa rencontre avec Jean Renoir jusqu'à la Nouvelle Vague, vie qui<br />
s'achève en Novembre 90. Rappelons qu'il fut décoré par François Mitterrand en Mai 86 <strong>de</strong> l'Ordre du Mérite.<br />
- Né en 1920 dans une famille <strong>de</strong> mé<strong>de</strong>cins, son père est passionné <strong>de</strong> cinéma et a comme client Louis Lumière.<br />
A 8 ans il voit Le Mur qui saigne <strong>de</strong> Louis Feuilla<strong>de</strong>, c'est la révélation. Il passe son adolescence entre le Lycée<br />
Voltaire et les salles obscures, souvent avec <strong>de</strong> fausses cartes. Son baccalauréat en poche, il part en Angleterre<br />
travailler chez Brockliss, un distributeur qui le charge <strong>de</strong> choisir <strong>de</strong>s films qui pourrait plaire aux Anglais. Très<br />
vite il comprend qu'il veut être producteur, sachant qu'il n'a pas les qualités d'un metteur en scène. Auparavant, il<br />
avait vu en Allemagne Nosferatu <strong>de</strong> Murnau et Einstein, film <strong>de</strong> démonstration scientifique aujourd'hui disparu.Il<br />
s'embarque ensuite pour les Etats-Unis. Après un bref séjour à New-York, il est engagé par la Metro Goldwin<br />
Mayer à Los Angeles, auprès <strong>de</strong> Irving Thalberg, le plus grand producteur <strong>de</strong> l'époque. Chargé <strong>de</strong> visionner les<br />
"rushes" et <strong>de</strong> dire ce qu'il en pense, il est bientot détesté <strong>de</strong> tout le mon<strong>de</strong> et doit rentrer en France. Mais il a<br />
découvert le cinéma américain et les nouveaux matériels <strong>de</strong> tournage.<br />
- En 1924 il rencontre Jean Renoir, et c'est le début d'une longue amitié entre les <strong>de</strong>ux hommes.<br />
Il monte Nana film franco allemand, Une partie <strong>de</strong> campagne, et lui rachète Catherine qui s'était<br />
révélé être un échec. . Il parle <strong>de</strong> la façon <strong>de</strong> travailler <strong>de</strong> Renoir « il savait diriger les acteurs,<br />
s'intéressait à la technique, au cadrage… » et raconte quelques anecdotes sur leur<br />
collaboration..<br />
- L'émission est illustrée d'extraits <strong>de</strong> films : archives <strong>de</strong> New-York, extrait <strong>de</strong> Catherine,<br />
extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne. Extrait : Renoir dirige et fait répéter une comédienne.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Sodaperaga (SODAP)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/05/1993<br />
Durée : 00 h 53 min 48 sec<br />
Heure : 09 h 28 min 05 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
285
Titre propre<br />
Pierre Braunberger producteur <strong>de</strong> films : 2eme partie<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Pierre-André Boutang ; Participant : Pierre Braunberger<br />
Résumé<br />
Pierre Braunberger, tout au long <strong>de</strong> cette émission raconte sa carrière, ses rencontres avec quelques personnes du<br />
cinéma, certains films qui lui ont tenu à cœur ; il définit le métier <strong>de</strong> producteur comme celui du « collaborateur à la<br />
création », parle <strong>de</strong> Bunuel qu'il a connu, évoque les débuts du cinéma parlant en 1929 auquel le public ne portait<br />
aucun intérêt et parle <strong>de</strong> son premier film La Route est belle (extrait). Dans L'Amour chante il a voulu retourner au<br />
principe du cinéma muet en y ajoutant la parole (extrait); parle <strong>de</strong> Jean Renoir qui s'est enthousiasmé<br />
pour le cinéma parlant (extrait du film On purge bébé) et qui a appris à Louis Jouvet à faire du<br />
cinéma. Il parle <strong>de</strong> la distribution du film La Chienne <strong>de</strong> Jean Renoir pour lequel il a eu<br />
beaucoup <strong>de</strong> problèmes et <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne du même réalisateur dans lequel jouait<br />
Sylvia Bataille, une femme qu'il a beaucoup aimée ; le producteur raconte les difficultés qu'il a<br />
eues pour terminer ce film, Renoir se trouvant en Amérique (c'était la guerre) (extrait du film).<br />
Parle du film Vous n'avez rien à déclarer et ceux qui y ont collaboré ainsi que <strong>de</strong> Forfaiture <strong>de</strong> Marcel L'Herbier. Il<br />
raconte enfin l'idée qu'il a eue <strong>de</strong> tuer Hitler en 1939 : il avait acheté un revolver mais la veille<br />
du jour J en a informé Jean Renoir qui l'en a empêché.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Sodaperaga (SODAP)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 25/05/1993<br />
Durée : 00 h 55 min 42 sec<br />
Heure : 09 h 30 min 01 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
286
Titre propre<br />
Henri Salvador<br />
Titre collection<br />
Le mon<strong>de</strong> est à vous<br />
Notes du titre<br />
Dans Dimanche Martin<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Jacques Martin ; Interprète : Ballet Sikulu (danseurs d'Afrique du sud), Henri Salvador, Pow Wow,<br />
Gilbert Montagne, Native-groupe, Orchestre <strong>de</strong>s Concerts Colonne, Gérard Presgurvic, Grand orchestre <strong>de</strong><br />
Robert Quibel, Antonello Allemandi, Lucia Aliberti ; Réalisateur : Gérard Thomas ; Compositeur musique<br />
préexistante : Vincenzo Bellini, Gioachino Rossini<br />
Résumé<br />
L'invité d'honneur <strong>de</strong> Jacques Martin est Henri Salvador.<br />
- Les trois candidats du jeu sont facteurs.<br />
- Des images d'archives <strong>de</strong> l'année 1947 (Gaumont) son proposées ainsi qu'un extrait du film <strong>de</strong><br />
Jean Renoir Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Jacqus Martin production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/10/1993<br />
Durée : 01 h 31 min 44 sec<br />
Heure : 13 h 26 min 08 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
287
Titre propre<br />
Hommage à Jean-Clau<strong>de</strong> Pascal<br />
Titre collection<br />
La Chance aux chansons<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Pascal Sevran ; Interprète : Jacqueline Boyer, Isabelle Aubret, Michele Beaumont ; Participant :<br />
Françoise Arnoul ; Réalisateur : Gérard Marchadier<br />
Résumé<br />
- P.Sevran accueille Françoise Arnoul : elle évoque ses souvenirs, les débuts <strong>de</strong> la carrière <strong>de</strong> J-C.Pascal et précise<br />
qu'il savait tout faire : comédien, chanteur, écrivain, couturier. P.Sevran mentionne le Musée <strong>de</strong> la Chemiserie à<br />
Argenton-sur-Creuse, créé par les cousins <strong>de</strong> J-C.Pascal, où l'on peut voir <strong>de</strong>s costumes <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier.<br />
- Archives : J-C.Pascal chante C'était moi.<br />
- F.Arnoul évoque ses relations avec J-C.Pascal : ils étaient les enfants gâtés du cinéma français, ils se sentaient<br />
frères et soeurs.<br />
- archives coul.: J-C.Passcal chante Revoir Paris (Décembre 1985).<br />
- Ils évoquent la carrière <strong>de</strong> F.Arnoul: elle a eu les plus grands partenaires du cinéma français<br />
<strong>de</strong> l'époque et se souvient avec nostalgie du film French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir, qu'elle revoit<br />
toujours avec plaisir. Elle annonce qu'elle vient <strong>de</strong> tourner un Cinq <strong>de</strong>rnières minutes.<br />
- archives noir t blanc : J-C.Pascal chante L'Amour c'est comme un jour.<br />
- F.Arnoul raconte que J-C.Pascal était très exigeant sur son bon profil. Elle évoque l'immense succés qu'il a<br />
connu dans sa jeunesse et le compare à Patrick Bruel.<br />
- archives : Cora Vaucaire chante La Vie d'artiste.<br />
- Et pour terminer l'émission, archives coul.: Jean-Clau<strong>de</strong> Pascal chante Soirées <strong>de</strong> Prince. Le générique défile sur la<br />
fin <strong>de</strong> la chanson.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/10/1993<br />
Durée : 01 h 31 min 44 sec<br />
Heure : 15 h 59 min 46 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
288
Titre propre<br />
Extérieurs nuits : émission du 4 janvier 1994<br />
Titre collection<br />
Extérieurs nuits : magazine sur le cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Commentateur : Christine Quenon, Serge Toubiana ; Présentateur : Serge Toubiana ; Participant : Diane<br />
Kurys, Patrick Aurignac, Béatrice Dalle, Andrei Mikhalkov Konchalovski, Jean-Pierre Ameris, Bojena<br />
Horackova, Laurent Chevallier, Patrice Chéreau, Danièle Thompson, Pedro Almodovar ; Réalisateur : Matthias<br />
San<strong>de</strong>rson, Bernard Laurent, Denis Van Waerebeke ; Journaliste : Christine Quenon, Solveig Anspach, Serge<br />
Toubiana, Pascal Rémy, Jean-Dominique Ferrucci, Michel Arowns, Xavier Villetard<br />
Résumé<br />
- En prélu<strong>de</strong> à l'émission, Serge Toubiana rend hommage à Jean-Louis Barrault dont il rappelle que la carrière<br />
s'inscrit sous le signe du doube : théâtre/cinéma et tragique/burlesque. Extrait d'une interview <strong>de</strong> J.L.<br />
Barrault qui parle <strong>de</strong> son rôle dans Le Testament du Dr Cor<strong>de</strong>lier et <strong>de</strong> la technique <strong>de</strong> tournage<br />
<strong>de</strong> Jean Renoir dans ce film. Extrait du film (1961) : transformation du Dr Cor<strong>de</strong>lier en Opale.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3(F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, paris : Flach film (FLACH)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 24/01/1994<br />
Durée : 00 h 52 min 58 sec<br />
Heure : 00 h 26 min 11 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
289
Titre propre<br />
Françoise Giroud (1916)<br />
Titre collection<br />
Passions <strong>de</strong> jeunesse : Qu’avez-vous fait <strong>de</strong> vos vingt ans<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Sylvia Folgoas ; Présentateur : Christine Ockrent ; Participant : Françoise Giroud<br />
Résumé<br />
A vingt ans « j'étais une jeune fille appétissante »... ainsi commence l'évocation par Françoise Giroud <strong>de</strong> sa jeunesse.<br />
Face à Christine Ockrent, elle retrace sa vie.<br />
- Le personnage phare <strong>de</strong> Françoise Giroud fut sa mère « belle, adorable, gaie, inventive, généreuse ». Ses parents,<br />
d'origine turque avaient immigré en France pour <strong>de</strong>s raisons politiques (son père fut le fondateur d'une agence <strong>de</strong><br />
presse en Turquie).Très jeune, à la mort <strong>de</strong> son père, elle dut assumer la responsabilité économique <strong>de</strong> sa famille.<br />
Elle est embauchée comme sténo-dactylo, puis comme ven<strong>de</strong>use dans une librairie.<br />
- Elle évoque sa rencontre avec André Gi<strong>de</strong>, qui l'introduit dans le mon<strong>de</strong> du cinéma. Elle débute comme scriptgirl<br />
du film Fanny <strong>de</strong> Marc Allégret. En 1936, elle travailla dans La Gran<strong>de</strong> illusion, <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
Le cinéaste reste son maître, il lui a appris sur le plateau l'art <strong>de</strong> diriger avec autorité et<br />
tendresse. Ministre <strong>de</strong> la Culture, elle lui a remis la médaille <strong>de</strong> la légion d'honneur.<br />
- Cinéma : diffusion d'extraits La vie est à nous et La gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Pathé Télévision (Pathé)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/02/1994<br />
Durée : 00 h 47 min 12 sec<br />
Heure : 23 h 08 min 58 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
290
Titre propre<br />
Nécro : Jean Carmet<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Pascale Deschamps<br />
Résumé<br />
Décès Jean Carmet : Hommage à Jean Carmet décédé hier à l'âge <strong>de</strong> 73 ans. Rétrospective.<br />
- 26/02/1994 : Gérard Depardieu remet un César à Jean Carmet / Jean carmet remercie / toute la salle<br />
l'applaudit.<br />
- Diffusion d’extraits <strong>de</strong> film : LesFugitifs, avec Pierre Richard / extrait <strong>de</strong> Roulez jeunesse / extrait <strong>de</strong> Le Sucre, avec<br />
Gérard Depardieu / extrait <strong>de</strong> Dupont la joie / extrait <strong>de</strong> (film N&B <strong>de</strong> Jean Renoir ).<br />
- Brefs plans <strong>de</strong> Jean Carmet pendant le tournage d'un film.<br />
- Bourgueil 1988 : Jean Carmet goûtant du vin et analysant sa saveur.<br />
- interview Jean carmet au sujet du pâté <strong>de</strong> tête.<br />
- archives INA : Jean carmet reçoit un « Sept d'Or ».<br />
- Bref plan <strong>de</strong> Jean Carmet dans un jardin, cueillant une fleur.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Documents d'archives<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/04/1994<br />
Durée : 00 h 03 min 37 sec<br />
Heure : 20 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
291
Titre propre<br />
Hommage à Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Le Cercle <strong>de</strong> minuit<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Gilles Dau<strong>de</strong> ; Présentateur : Michel Field, Thierry Jousse ; Interprète : Urban Sax, Elie Pennont,<br />
Alfred Fantone, Guy Cavagnac ; Participant : Dominique Paini, Paulette Dubost, Françoise Arnoul, Serge<br />
Toubiana, Gilbert Artman (directeur du groupe Urban Sax), Elie Pennont (comédien), Alfred Fantone (conteur)<br />
Résumé<br />
Michel Field consacre cette émission au centenaire <strong>de</strong> Jean Renoir avec <strong>de</strong>s invités venant témoigner sur sa<br />
personnalité et sa façon <strong>de</strong> travailler. Il rend aussi hommage à Serge Daney à l'occasion <strong>de</strong> la publication <strong>de</strong> ses<br />
entretiens avec Serge Toubiana.<br />
- Hommag à Jean Renoir<br />
- Guy Cavagnac, à travers son livre Jean Renoir, le désir du mon<strong>de</strong> parle <strong>de</strong>s relations entre Renoir et ses acteurs. Il<br />
estime que pour ses films, Jean Renoir était en avance sur son temps et donne un exemple avec Le Déjeuner sur<br />
l'herbe.<br />
- Dominique Paini vient présenter la rétrospective que consacre la Cinémathèque à Jean Renoir . Il parle <strong>de</strong>s<br />
prise <strong>de</strong> vues non retenues <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne retrouvées et qui vont être diffusées. Sur le travail du cinéaste, il<br />
insiste sur le côté expérimental <strong>de</strong> Renoir .<br />
- Paulette Dubost qui a tourné dans La Règle du jeu raconte les tournages avec Jean Renoir. Dans les cinéastes<br />
d'aujourd'hui, elle ne reconnait que Louis Malle, dans lequel elle pense retrouver du Renoir. Au début <strong>de</strong> son<br />
entretien, son micro se décroche et Michel Field va le lui remettre. Elle lui fait une remarque humoristique à ce<br />
propos.<br />
- Françoise Arnoul, héroïne <strong>de</strong> French Cancan, évoque elle aussi la personnalité <strong>de</strong> Jean Renoir. Elle raconte<br />
comment elle a obtenu son rôle dans French Cancan et qualifie ce film d'hommage au public.<br />
- Serge Toubiana donne sa propre analyse du phénomène Renoir. Pour lui, la force du cinéaste, c'est d'être<br />
« naturellement dans le milieu <strong>de</strong> l'art ».<br />
- thierry Jousse analyse le cinéma <strong>de</strong> Renoir en insistant sur le côté dansant <strong>de</strong> ses films et la présence <strong>de</strong>s<br />
chansons.<br />
- extraits : La Règle du jeu, French Cancan et Le Crime <strong>de</strong> Monsieur Lange.<br />
- Archives : Essais muets <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne et essais du baiser et scène finale. interview <strong>de</strong> Jean Renoir au bord<br />
<strong>de</strong> l'eau et explication d'une scène dans La Règle du jeu (Cinéastes <strong>de</strong> notre temps, Jacques Rivette, INA, 1967).<br />
Jean Renoir parlant <strong>de</strong> La Règle du jeu (Les écrans <strong>de</strong> la ville, C. Thiriet, INA, 1965).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/05/1994<br />
Durée : 01 h 18 min 42 sec<br />
Heure : 01 h 17 min 37 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
292
Titre propre<br />
Extrait La Gran<strong>de</strong> Illusion<br />
Titre collection<br />
Signé croisette<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Pascale Deschamps<br />
Résumé<br />
Le Festival <strong>de</strong> Cannes rend hommage à Jean Renoir (qui aurait eu cent ans) avec une rétrospective complète.<br />
- ce soir extrait <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> Illusion <strong>de</strong> 1937.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/05/1994<br />
Heure : 00 h 16 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
293
Titre propre<br />
Cannes rétrospective Renoir<br />
Titre collection<br />
19/20<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Michel Vial ; Participant : Françoise Arnoul, Paulette Dubost<br />
Résumé<br />
A Cannes, hommage à Jean Renoir dont c'est le centenaire, avec la projection <strong>de</strong> Un tournage à la campagne,<br />
montage d'Alain Fleischer, réalisé à partir <strong>de</strong> rushes <strong>de</strong> Une partie <strong>de</strong> campagne tourné en 1936.<br />
Photos <strong>de</strong> Renoir lors tournages<br />
Court extrait du film Le Déjeuner sur l'herbe<br />
Témoignages <strong>de</strong> Françoise Arnoul et <strong>de</strong> Paulette Dubost qui dit que Renoir a apporté la révolution dans le<br />
cinéma : « ...avant, la caméra était statique… La Règle du jeu, c'est un véritable ballet » .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 14/05/1994<br />
Durée : 00 h 01 min 33 sec<br />
Heure : 19 h 49 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
294
Titre propre<br />
Hommage à Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Signé Croisette<br />
Résumé<br />
Le Festival <strong>de</strong> Cannes rend hommage à Jean Renoir (qui aurait cent ans cette année) avec une rétrospective<br />
complète <strong>de</strong> ses films.<br />
- ce soir extrait du Caporal épinglé<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 16/05/1994<br />
Heure : 23 h 56 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
295
Titre propre<br />
Hommage à Jean Renoir : extrait Le Fleuve<br />
Titre collection<br />
Signé croisette<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Pascale Deschamps<br />
Résumé<br />
Cinéma : Hommage à Jean Renoir<br />
- Extrait du film Le Fleuve<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 17/05/1994<br />
Heure : 00 h 25 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
296
Titre propre<br />
Extrait Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier<br />
Titre collection<br />
Signé croisette<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Pascale Deschamps<br />
Résumé<br />
Extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir Le Testament du docteur Cor<strong>de</strong>lier.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/05/1994<br />
Heure : 01 h 07 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
297
Titre propre<br />
Hommage à Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Signé croisette<br />
Résumé<br />
A l'occasion du centième anniversaire <strong>de</strong> la naissance du cinéaste français Jean Renoir, extrait <strong>de</strong> son film La<br />
Marseillaise <strong>de</strong> 1938.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/05/1994<br />
Heure : 00 h 20 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
298
Titre propre<br />
Hommage à Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Signé croisette<br />
Résumé<br />
A l'occasion du centième anniversaire <strong>de</strong> la naissance du cinéaste Jean Renoir, extrait <strong>de</strong> son film : Le Déjeuner sur<br />
l’herbe (1959).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/05/1994<br />
Heure : 23 h 50 min 03 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
299
Titre propre<br />
Spécial Cannes<br />
Titre collection<br />
Extérieurs nuits : magazine sur le cinéma<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Matthias San<strong>de</strong>rson, Denis Van Waerebeke (reportage photo), Philippe Truffault (Cannes Quizz),<br />
Michel Fourca<strong>de</strong> (plateau) ; Journaliste : Christine Quenon ; Présentateur, Serge Toubiana ; Directeur <strong>de</strong> la<br />
photo : Lionel Carrlet ; Participant : Jean-Michel Frodon, Pierre Rissient, Bernard Girau<strong>de</strong>au, Mathieu<br />
Kassovitz, Jacques Rozier, André Techine, Gilles Taurand, Philippe Truffault, Marthe Keller, Nanni Moretti,<br />
Pascale Ferran, Nella Banfi, Patrice Chéreau, Michel Blanc, Atom Egoyan<br />
Résumé<br />
Ce numéro spécial Cannes d'Extérieurs Nuits a lieu quelques heures après la proclamation du palmarès et fait le<br />
bilan du déroulement du 47ème festival et <strong>de</strong> son palmares. L'émission a lieu en direct <strong>de</strong>puis le pont du yacht<br />
« Lady Jersey », à Cannes, où Serge Toubiana reçoit <strong>de</strong> nombreux invités du mon<strong>de</strong> du cinéma (il fait nuit).<br />
- Jacques Rozier, cinéaste, évoque Jean Renoir, dont on fête à Cannes le centenaire <strong>de</strong> sa<br />
naissance. Il raconte être allé camper sur le lieu <strong>de</strong> tournage <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne, film<br />
inachevé dont les rushes ont été montés à l'initiative <strong>de</strong> la Cinémathèque française.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Flach Film (FLACH)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 23/05/1994<br />
Durée : 01 h 12 min 31 sec<br />
Heure : 23 h 18 min 21 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
300
Titre propre<br />
Marc Lavoine<br />
Titre collection<br />
Vincent à l’heure<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Vincent Perro, Esthel Graf, Christine Richard, Isabelle Lestocquoy, Jean-Yves Espie, Laurent<br />
Sorcelle, Isabelle Duhamel, Jacques Capelovici ; Interprète : Enzo Enzo, Jean-François Derec, Guy Lecluyse ;<br />
Participant : Jean-Pierre Cuny, Marc Lavoine, Patrick Fillian (musee du barbier), Jacques Douy ; Réalisateur :<br />
Olivier Bressy ; Journaliste : Arnaud Blin<br />
Résumé<br />
Vincent Perrot présente cette première émission <strong>de</strong> la série <strong>de</strong>puis les studios <strong>de</strong> Bry, en compagnie <strong>de</strong> Marc<br />
Lavoine. Ce <strong>de</strong>rnier a joué les animateurs sur Europe 2 tout l'été. Il sort un album: For Ever. Il parle <strong>de</strong> sa<br />
rencontre avec Elie Chouraquie qui a réalisé le clip. Marc Lavoine qui s'intéresse aux gens fragilisés, commente<br />
<strong>de</strong>s images <strong>de</strong> l'hopital <strong>de</strong> jour d'Antony où vivent <strong>de</strong>s autistes qui rédigent le journal du Papotin.<br />
- Vincent Perrot annonce la soirée spéciale Jean Renoir . Extrait <strong>de</strong> French Cancan. Jacques<br />
Douy avait participé aux décors du film réalisé à Joinville et au studio Frankeur. Il parle <strong>de</strong> Jean<br />
Renoir : un homme mo<strong>de</strong>ste et charmant.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/09/1994<br />
Durée : 01 h 37 min 00 sec<br />
Heure : 13 h 05 min 55 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
301
Titre propre<br />
Jean Renoir, le patron (2) : Portrait <strong>de</strong> Michel Simon par Jean Renoir<br />
Titre collection<br />
Cinéma <strong>de</strong> notre temps<br />
Notes du titre<br />
Intitulé complet du <strong>de</strong>uxième épiso<strong>de</strong> du film <strong>de</strong> Jacques Rivette, Jean Renoir, le patron : portrait <strong>de</strong> Michel<br />
Simon par Jean Renoir ou portrait <strong>de</strong> Jean Renoir par Michel Simon ou la direction d'acteurs : dialogue"<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Jacques Rivette ; Producteur : André S. Labarthe, Jeanine Bazin ; Monteur : Jean Eustache ;<br />
Participant : Jean Renoir, Michel Simon<br />
Résumé<br />
Ce film a été tourné et réalisé par Jacques Rivette, André Labarthe et Janine Bazin sur les bords <strong>de</strong> la Marne, le<br />
25 mai 1966. Il constitue le <strong>de</strong>uxième volet d'un triptyque consacré à Jean Renoir, intitulé Jean Renoir, le patron,<br />
dont seuls, les premiers et troisièmes volets ont été diffusés à l'époque.<br />
Jean Renoir et Michel Simon attablés dans une guinguette, évoquent <strong>de</strong>s souvenirs <strong>de</strong> tournage, parlent <strong>de</strong> leur<br />
métier et livrent leur conception <strong>de</strong> leur art. Leurs interlocuteurs sont Jacques Rivette, Janine Bazin et André<br />
Labarthe. De nombreux extraits <strong>de</strong> films – films <strong>de</strong> Renoir tournés avec Michel Simon uniquement – jalonnent<br />
cet entretien :<br />
Tire-au-flanc (1928), On purge bébé (1931), La Chienne, Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (1932) et La Tosca (1940).<br />
- Courts extraits <strong>de</strong> ces quatre films<br />
- Michel Simon dit que La Chienne l'a sauvé <strong>de</strong> l'image d'acteur comique qu'on lui attribuait à l'époque ; parle<br />
d'une fraternité avec Renoir qu'il n'a jamais retrouvé <strong>de</strong>puis dans toute sa carrière. A travers <strong>de</strong>s anecdotes<br />
concernant les actrices, les tournages <strong>de</strong> ces films, Renoir dit « qu'un acteur, c'est très fragile », que le personnage <strong>de</strong><br />
Boudu, c'est l'innoncence ; innocence qu'il faut préserver pour créer.<br />
- Extrait <strong>de</strong> Tir-au-flanc<br />
- Extrait <strong>de</strong> La Tosca tourné à Rome dans le Forum ; évocation du tournage, anecdotes...<br />
- Long extrait <strong>de</strong> La Chienne : scène tragique où Michel Simon tue sa partenaire. Renoir revient sur <strong>de</strong>s thèmes<br />
qui lui sont chers : le lien humain : au-<strong>de</strong>là <strong>de</strong>s intérêts et <strong>de</strong>s goûts communs, il existe <strong>de</strong>s liens entre certains<br />
êtres, comme un "radar" ; c'est pourquoi « il faut faire un film avec les gens qui sont réunis par ce radar"..."sentir qu'une<br />
pellicule entres les êtres est tombée... qu'on se touche, c'est la base <strong>de</strong> tout ». A ce propos, il parle <strong>de</strong> son livre Les Cahiers du<br />
capitaine Georges. Il s'intéresse <strong>de</strong> ce fait au comportement, à la présence <strong>de</strong>s animaux. ; l'homme a perdu le goût<br />
<strong>de</strong>s choses et <strong>de</strong>s êtres, parcequ'il a trop cueilli les fruits <strong>de</strong> la science, autre thème cher au cinéaste.<br />
- Extraits <strong>de</strong> Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux ; tout en plaisantant et en louant la « merveilleuse intelligence » <strong>de</strong> Shakespeare et <strong>de</strong><br />
Rabelais (extraits d'un film sur Hamlet) Renoir insiste sur une autre idée qui lui est chère : il faut faire d'abord ; et<br />
le sens <strong>de</strong> ce qu'on a voulu faire se dégage seulement après. Les gens qui croient au motif, au thème ou à<br />
l'intrigue font <strong>de</strong>s oeuvres fausses et ennuyeuses ; Boudu, c'est le contraire. Michel Simon parle <strong>de</strong> complicité<br />
avec le public, pense aussi que trop d'explications empêche l'émerveillement, la création. Boudu (autres extraits),<br />
c'est la poésie, le mépris absolu <strong>de</strong> la forme extérieure ; ils chantonnent les chansons du film et rappellent<br />
comment le film fit scandale à sa sortie et fut retiré <strong>de</strong>s écrans au bout <strong>de</strong> trois jours, par ordre <strong>de</strong> la police.<br />
L'entretien se termine par un autre extrait du film et par l'évocation nostalgique d'un Paris où « les gens étaient<br />
gentils et généreux » et dont il ne reste plus que quelques traces.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Audiovisuel Multimédia Int. Production (AMIP)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/09/1994<br />
Durée : 01 h 35 min 00 sec<br />
Heure : 22 h 00 min 00 sec<br />
Canal : 5eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : Institut National Audiovisuel<br />
302
Titre propre<br />
Cent ans <strong>de</strong> cinéma<br />
Titre collection<br />
Génération trois<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Philippe Kimmerling ; Présentateur : Marie-Laure Augry ; Participant : Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe<br />
Résumé<br />
Marie-Laure Augry fête le centenaire du cinéma avec son invité Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe et les lycéens <strong>de</strong> Melun :<br />
Cent ans <strong>de</strong> cinéma<br />
- Après la diffusion <strong>de</strong> la Famille Stewart : A real Stewart, Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe raconte ses premiers souvenirs <strong>de</strong><br />
cinéma et introduit le document sur le cinéma <strong>de</strong>s Frères Lumière (Louis Saul Production 1990).<br />
- Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe répond aux questions <strong>de</strong>s lycéens sur l'invention du cinéma, sur l'activité <strong>de</strong>s frères<br />
Lumière.<br />
- Document sur la firme Pathé (Les films Minerve 1989). Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe parle <strong>de</strong> la continuité et <strong>de</strong>s<br />
ruptures dans l'histoire du cinéma.<br />
- Document sur Louis Lumière (interview <strong>de</strong> Jean Renoir et Henri Langlois sur le cinéma <strong>de</strong><br />
Lumiere avec extraits (CNDP). Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe parle ensuite <strong>de</strong> Melies, <strong>de</strong> langage<br />
cinématographique.<br />
- Séquence défi : les frères Lumiere se reconnaitraient ils dans le cinéma d'aujourd'hui.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : Centre national <strong>de</strong> documentation pédagogique (CNDP)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 12/12/1994<br />
Durée : 01 h 30 min 51 sec<br />
Heure : 09 h 36 min 31 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
303
Titre propre<br />
Les Années d’illusion<br />
Titre collection<br />
Les bruits <strong>de</strong> l’Europe. L’Allemaggne, la France et l’air du temps<br />
Notes du titre<br />
Dans Les Cavaliers <strong>de</strong> la nuit : thème d’une musique à l’autre<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Clau<strong>de</strong> Fleouter, Guy Andreani, Joachim Lang<br />
Résumé<br />
- Montage d'archives sur les chansons importantes en France et en Allemagne, <strong>de</strong> 1918 : signature <strong>de</strong> l'Armistice<br />
entre les 2 pays à 1945 : fin <strong>de</strong> la 2ème guerre mondiale. Les archives, commentées off, nous montrent<br />
parallèlement la situation politique à Paris et à Berlin et les artistes et chansons en vogue dans les 2 villes.<br />
- 1929 : krach <strong>de</strong> Wall Street. Chômeurs en Allemagne. Extrait du film La Vie est à nous <strong>de</strong> Jean Renoir.<br />
Jeunesses communistes dans les rues <strong>de</strong> Berlin. Propagan<strong>de</strong> nazie. Lilian Harvey chante Quelque part en ce mon<strong>de</strong>, il<br />
y a un petit coin <strong>de</strong> bonheur. Charles Trénet et Johnny Hess chantent Quand les beaux jours seront là. Essai <strong>de</strong> Marlène<br />
Dietrich pour L’Ange bleu.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Lille : France 3 (F3LL)<br />
Producteur ou Co-producteur, : Téléscope audiovisuel (TELES)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/12/1994<br />
Durée : 00 h 52 min 46 sec<br />
Heure : 23 h 55 min 28 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
304
Titre propre<br />
Eléction Miss France 1995<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Julien Lepers ; Interprète : Glenn Miller Memorial Orchestra, Gilles Arthur ; Participant :<br />
Geneviève <strong>de</strong> Fontenay, Xavier <strong>de</strong> Fontenay, Valérie Claisse, Melody Vilbert (MISS FRANCE 1995) ;<br />
Réalisateur : Gilles Amado<br />
Résumé<br />
Election <strong>de</strong> Miss France 1995, en direct du CNIT, présentée par Julien Lepers. Thème : le cinéma. Quarantetrois<br />
candidates postulent au titre.<br />
- Extrait du film French Cancan <strong>de</strong> Jean Renoir et prestation troupe du Paradis Lation French<br />
Cancan.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 27/12/1994<br />
Durée : 02 h 17 min 46 sec<br />
Heure : 20 h 51 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
305
Heurs et malheurs <strong>de</strong> La règle du jeu<br />
<strong>de</strong> Christophe Champclaux, 1995, 26 mn.<br />
Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> David Thompson, 1995, 2 émissions <strong>de</strong> 60 mn.<br />
Autour <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> Campagne<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1995, 13 mn.<br />
Titre propre<br />
Lignes <strong>de</strong> mire : émission du 15 janvier 1995<br />
Titre collection<br />
Lignes <strong>de</strong> mire<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Jacques Chancel ; Participant : Michel Drucker, Isabelle Giordano, Woody Allen, Ludovic Rapin<br />
(Chef <strong>de</strong> production France Télévision), Gérard Holtz, Alain Eppstein (Ingénieur du son), Hubert Bellaiche<br />
(Ingénieur <strong>de</strong> la vision), Patrick Fabry (Directeur photo), Jean-Paul François (Régisseur <strong>de</strong> plateau), Kristelle Zoz<br />
(Scripte), Antoine Galey, Rodolphe Chabrier (Créateur effets spéciaux), Christian Guillon (Directeur effets<br />
spéciaux Ex Machina), Laurent Tirard (Journaliste), Pierre Murat (Journaliste), Anna-Maria Tato (Journaliste),<br />
Marc Voinchet (Journaliste), Christine Masson (Journaliste), Bernard Pivot ; Réalisateur : Bernard Gonner ;<br />
Journaliste : Clarence Rodriguez (Sujet Dakar), Gilles Ganzmann (Sujet Studio Gabriel, sujet chaines cablées sur<br />
le cinéma), Pascal Mourier (Sujet Woody Allen), Liliane Vittori (Sujet Morphing)<br />
Résumé<br />
Jacques Chancel met l'accent sur l'Evènement <strong>de</strong> la semaine : Pierre Boulez au Cercle <strong>de</strong> minuit, les voeux du<br />
prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> France Télévision et la révélation avec Patricia Kaas dans l'émission Je te dis vous sur TF1.<br />
- Jacques Chancel s'entretient avec Woody Allen (sujet enregistré). Le cinéaste (vo traduction off) a une vue très<br />
critique sur la télévision qu'il considère comme médiocre. Selon lui, la télévision à une influence si considérable<br />
sur les gens, qu'elle donne lieu à <strong>de</strong>s abus. Les films <strong>de</strong> Woody Allen sont très appréciés en Europe : « c'est un<br />
honneur », avoue-t'il. Il cite plusieurs metteurs en scène français qu'il aime particulièrement :<br />
Renoir, Carné, Truffaut, Tavernier, etc. Concernant ses films, il a une préférence pour La Rose pourpre du Caire et<br />
Maris et femmes. Il évoque ensuite son film Coup <strong>de</strong> feu sur Broadway, donne une définition <strong>de</strong> l'artiste : « être artiste,<br />
c'est inné, c'est génétique ». Lui-même aimerait bien être un artiste (il reste mo<strong>de</strong>ste !). Il avoue se sentir « petit » face<br />
à Kurosawa ou Picasso.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 15/01/1995<br />
Durée : 00 h 52 min 00 sec<br />
Heure : 17 h 59 min 35 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
306
Titre propre<br />
Michel Simon<br />
Titre collection<br />
Les Monstres sacrés<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Moise Maatouk ; Monteur : Janice Jones<br />
Résumé<br />
Portrait <strong>de</strong> Michel Simon réalisé à l'occasion du centième anniversaire <strong>de</strong> sa naissance et du vingtième<br />
anniversaire <strong>de</strong> sa disparition avec <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> films et d'émissions <strong>de</strong> télévisions auxquels il avait<br />
participé. Ce documentaire en noir et blanc fait correspondre <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> films dans lequel il a joué à <strong>de</strong>s<br />
interviews qu'il a donné à la télévision<br />
Michel Simon évoque son enfance à Genève, l'école qu'il n'aimait pas, ses parents charcutiers, son arrivée à Paris<br />
à l'hôtel <strong>de</strong> la renaissance, une maison <strong>de</strong> passe. Il raconte sa vie dans les rues : les copains, souvenirs <strong>de</strong> bagarres,<br />
les petits métiers, les talents <strong>de</strong> comique qu'il exerçait lors <strong>de</strong> la mobilisation, son premier rôle comme danseur<br />
acrobatique.<br />
Dans une conversation avec Jean Renoir, ils évoquent divers films dont La Chienne avec un<br />
souvenir ému pour sa partenaire Janie Marèze, les rôles <strong>de</strong> clochards inspirés <strong>de</strong> ceux qu'il<br />
rencontrait. Michel Simon parle <strong>de</strong> sa collaboration avec Sacha Guitry dont il lit une lettre d'admiration que<br />
ce <strong>de</strong>rnier lui avait écrit, évoque Prévert et ses répliques, Jean Boyer. Arletty sa partenaire dans <strong>de</strong> nombreux<br />
films, parle en voix off <strong>de</strong> Michel Simon. Michel Simon raconte comment il s'est mis à chanter, sa rencontre avec<br />
Jean Vigo. Enfin le document s'achève sur son amour <strong>de</strong>s bêtes en particulier son singe Zaza, ses confi<strong>de</strong>nces sur<br />
les femmes, un souvenir émouvant <strong>de</strong> Rosa, une femme assassinée à la sortie <strong>de</strong> la radio où elle venait <strong>de</strong><br />
témoigner sur lui, ses considérations sur la mort qui approche, et son enterrement filmé en couleur.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : INA Entreprise (INAEN)<br />
Producteur ou Co-producteur, Paris : Trans Europe Production (TREUR)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Coproduction<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 23/08/1995<br />
Durée : 00 h 52 min 13 sec<br />
Heure : 23 h 26 min 57 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
307
Titre propre<br />
L’Actualité du cinéma<br />
Titre collection<br />
Le Cercle <strong>de</strong> minuit<br />
Générique et auteurs<br />
Interprète : Marla Glen ; Présentateur : Laure Adler ; Participant : Emir Kusturica, Alexandre Adler, Miki<br />
Manojlovic, Goran Bregovic, Serge Regourd, Serge Grunberg, Guy Konopnicki, Jacques Tiano, Pierre<br />
Bourgea<strong>de</strong> ; Réalisateur : Pierre Desfons, Jean-Pierre Barizien<br />
Résumé<br />
L'événement traité ce soir et qui occupe la majeure partie <strong>de</strong> l'émission est le film Un<strong>de</strong>rground d'Emir Kusturica,<br />
métaphore <strong>de</strong> l'histoire <strong>de</strong> la Yougoslavie <strong>de</strong>puis l'invasion alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong> 1941 jusqu'à la récente pério<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />
guerre qui a abouti à sa <strong>de</strong>struction. Kusturica présent et donne <strong>de</strong> nombreuses précisions sur son film: il a<br />
essayé <strong>de</strong> combiner Renoir et le néo-réalisme italien, lorsqu'il fait ses films il se réclame <strong>de</strong><br />
« ses ancêtres en cinéma ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/10/1995<br />
Durée : 01 h 23 min 10 sec<br />
Heure : 01 h 30 min 10 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
308
Jean Renoir : les adaptations littéraires<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 23 mn.<br />
L’espace encadré chez Jean Renoir<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 17 mn.<br />
La Gran<strong>de</strong> Illusion par ceux qui l’ont faite<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 17 mn.<br />
Renoir père et fils<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1996, 17 mn.<br />
Titre propre<br />
Cinéma : Perrone joue sur <strong>de</strong>s films muets<br />
Titre collection<br />
Actualités régionales Ile <strong>de</strong> France<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Serge Cimino<br />
Résumé<br />
Marc Perrone joue en direct sur les images muettes <strong>de</strong> Tire-au-flanc et La Petite marchan<strong>de</strong> d’allumettes <strong>de</strong> Jean Renoir<br />
das plusieurs salles <strong>de</strong> cinéma.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 (F3PA)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 07/02/1996<br />
Durée : 00 h 02 min 00 sec<br />
Heure : 19 h 15 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
309
Titre propre<br />
Ccordéon et cinéma<br />
Titre collection<br />
Paris 6<br />
Résumé<br />
Marc Perrone met en musique 2 films muets <strong>de</strong> Jean Renoir tout juste restaurés : Tire-au-flanc et La Petite<br />
marchan<strong>de</strong> d’allumettes. Interview <strong>de</strong> Marc Perrone.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France régions 3 Paris – Ile <strong>de</strong> France (F3PA)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/02/1996<br />
Durée : 00 h 01 min 05 sec<br />
Heure : 19 h 02 min 20 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
310
Titre propre<br />
Jean Gabin vingt ans déjà<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Michel Leeb ; Participant : Le Chanois (chef monteuse), Ma<strong>de</strong>leine Robinson, Marie-José Nat,<br />
Françoise Arnoul, Jacques Deray, Florence Moncorgé (fille <strong>de</strong> Jean Gabin), Jean Desailly, Denys <strong>de</strong> La<br />
Patellière, Roger Dumas, Jacques Bar (producteur), Alphonse Boudard, Simone Valère, Annie Cordy, Magali<br />
Noël, Danièle Delorme, Mathias Moncorgé ; Réalisateur : Jean-Clau<strong>de</strong> Missiaen ; Producteu : Agnès Vincent<br />
Résumé<br />
Michel Leeb présente cet hommage consacré à Jean Gabin à l'occasion du vingtième anniversaire <strong>de</strong> sa mort. Ce<br />
portrait conçu <strong>de</strong> façon chronologique, comporte <strong>de</strong> nombreux extraits <strong>de</strong> ses films et les témoignages <strong>de</strong>s artistes<br />
et réalisateurs qui ont travaillé avec lui. Quelques images d'archives INA <strong>de</strong> l'acteur et d'artistes disparus<br />
illustrent aussi ce document.<br />
- Michel Leeb retrace la carrière cinématographique <strong>de</strong> Jean Gabin en insistant sur sa personnalité et ses<br />
relations avec ses partenaires et les cinéastes. Chaque étape importante est illustrée d'extraits <strong>de</strong> films. Il est<br />
souvent présent aux côtés <strong>de</strong>s artistes et cinéastes durant leurs témoignages.<br />
- Françoise Arnoul se souvient <strong>de</strong> French Cancan et raconte quelques anecdotes <strong>de</strong> tournage.<br />
- Extraits <strong>de</strong>s films suivants : Le Prési<strong>de</strong>nt (Verneuil), Chacun sa chance, Zouzou (Allégret), La Belle équipe (Duvivier),<br />
La Gran<strong>de</strong> illusion (Renoir), Gueule d'amour (Grémillon), Le Jour se lève (Carné), Remorques (Grémillon), French<br />
Cancan (Renoir), La Traversée <strong>de</strong> Paris, Maigret tend un piège (Delannoy), Les Gran<strong>de</strong>s familles (La Patellière), Rue <strong>de</strong>s<br />
prairies (La Patellière), Un singe en hiver (Verneuil), Mélodie en sous-sol (Verneuil).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/11/1996<br />
Durée : 00 h 56 min 08 sec<br />
Heure : 23 h 03 min 55 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
311
Titre propre<br />
Anniveraire <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Jean Gabin<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Patrice Rome<strong>de</strong>nne<br />
Résumé<br />
A l'occasion du vingtième anniversaire <strong>de</strong> la mort <strong>de</strong> Jean Gabin :<br />
- Nombreuses photos, NB et couleur,<br />
- Extraits du film La Gran<strong>de</strong> illusion réalisé par Renoir<br />
- interview du 3/12/1959 par Léon Zitrone « je suis parti à la guerre à 35 ans, quand je suis revenu j'avais les cheveux<br />
blanc, je ne pouvais plus penser jouer les emplois d'avant guerre, j'ai eu une énorme chance <strong>de</strong> tourner Touchez pas au Grisbi »<br />
- Extraits <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier film<br />
- Extrait du tournage Le Tonnerrre <strong>de</strong> Dieu (sujet actu Interview <strong>de</strong> Jean Gabin du 06/09/1965).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits <strong>de</strong> diffusion<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/11/1996<br />
Durée : 00 h 02 min 47 sec<br />
Heure : 20 h 31 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
312
Titre propre<br />
Le Pen dans le texte / 2eme partie<br />
Titre collection<br />
Envoyé spécial<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Jean-Pierre Metivet<br />
Résumé<br />
Deuxième partie du document Le Pen dans le texte.<br />
- Extrait du film <strong>de</strong> Jean Renoir intitulé Toni (1934) en noir et blanc sur l'immigration italienne<br />
en France / extrait <strong>de</strong> Buon giorno dalla Francia (réalisateur Axel Clévenot, Agence du Court Métrage) sur<br />
l'immigration italienne en France.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 20/02/1997<br />
Durée : 00 h 59 min 07 sec<br />
Heure : 20 h 50 min 01 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
313
Titre propre<br />
Cinéma : émission du 11 mars 1997<br />
Titre collection<br />
Le cercle <strong>de</strong> minuit<br />
Générique et auteurs<br />
Réalisateur : Dominique Colonna ; Présentateur : Laure Adler ; Interprète : Etoiles ; Participant : Ab<strong>de</strong>rrhamane<br />
Bouguermouh, Baya Zouaou, Abraham Segal, Vincent Lindon, Leslie Caron, Pierre Jolivet, Nicolas Philibert<br />
Résumé<br />
Laure Adlerprésente <strong>de</strong>s films récents, La Colline oubliée <strong>de</strong> Ab<strong>de</strong>rrhamane Bouguermouh, Enquête sur Abraham <strong>de</strong><br />
Abraham Segal, Fred <strong>de</strong> Pierre Jolivet et La Moindre <strong>de</strong>s choses <strong>de</strong> Nicolas Philibert. Elle reçoit, en outre Leslie<br />
caron qui évoque sa carrière cinématographique.<br />
- Leslie caron rappelle les personnages qu'elle a joués. Photos <strong>de</strong> l'actrice avec Gene Kelly. Elle avait signé un<br />
contrat <strong>de</strong> 7 ans avec la MGM. Elle raconte aussi ses relations avec Jean Renoir et le tournage d'un<br />
américain à Paris. Extraits : entretien avec Jean Renoir à propos du Docteur Cor<strong>de</strong>lier, Gigi (séquence<br />
du restaurant et chanson d'amour).<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 11/03/1997<br />
Durée : 01 h 30 min 00 sec<br />
Heure : 01 h 19 min 38 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
314
Titre propre<br />
Sélection française à Cannes<br />
Titre collection<br />
Midi 2<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Pascale Deschamps<br />
Résumé<br />
Préparatifs du cinquantième anniversaire du Festival <strong>de</strong> Cannes et présentation par Gilles Jacob <strong>de</strong> la sélection<br />
française.<br />
- Interview Gilles jacob, délégué général du Festival <strong>de</strong> Cannes (en médaillon dans le logo puis<br />
plein écran) : « dans cette sélection il y a la jeune génération qui arrive à maturité, ils sont les<br />
petits enfants <strong>de</strong> Jean Renoir ».<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 22/04/1997<br />
Durée : 00 h 02 min 07 sec<br />
Heure : 13 h 25 min 00 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
315
Titre propre<br />
Sortir : le domaine <strong>de</strong> Renoir<br />
Titre collection<br />
Soir 3<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Thierry Stampfler<br />
Résumé<br />
Cagnes-sur-Mer :Visite du domaine d’Auguste Renoir, peintre impressionniste du XIXème siècle : 3 concerts<br />
consacrés à la musique <strong>de</strong> film seront donnés.<br />
- plan d’ensemble jardins autour <strong>de</strong> la villa<br />
- divers plans à l'interieur<br />
- divers plans <strong>de</strong> l’atelier du peintre<br />
- divers plans <strong>de</strong> la maison avec peinture <strong>de</strong> Renoir aux murs<br />
- interview <strong>de</strong> Jacques Renoir (Arrière petit fils du peintre) : « on jouait à la balle autour <strong>de</strong>s tableaux... »<br />
- Extrait <strong>de</strong> Partie <strong>de</strong> campagne <strong>de</strong> Joseph Kosma (Orchestre opéra <strong>de</strong> Nice)<br />
- photos <strong>de</strong> Jean Renoir, le cinéaste<br />
- Extrait film (UGC) Le Déjeuner sur l'herbe qui fut tourné dans les jardins <strong>de</strong> la propriété<br />
- gros plans <strong>de</strong>s tableaux <strong>de</strong> Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 13/07/1997<br />
Durée : 00 h 01 min 46 sec<br />
Heure : 00 h 02 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
316
Titre propre<br />
Cannes 98 : journée à Cannes<br />
Titre collection<br />
Soir 3<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Michel Vial, Dominique Poncet<br />
Résumé<br />
Cannes 1998 - Résumé <strong>de</strong> cette journée (21mai) ponctuée par la visite <strong>de</strong> Robert Hue, et la montée <strong>de</strong>s marches<br />
<strong>de</strong> Sharon Stone :<br />
- Robert Hue aux côtés <strong>de</strong> Philippe Gildas, entourés <strong>de</strong> l'équipe du film Illuminata <strong>de</strong> John Turturro.<br />
- Extrait Illuminata<br />
- interview Katherine Borowitz, comédienne, sur le film « ...Ca représente toute la vie... Les comédiens sont comme tout le<br />
mon<strong>de</strong> ».<br />
- Extrait Illuminata.<br />
- interview John Turturro, réalisateur, parlant <strong>de</strong> Jean Renoir « ...on se sent en amitié avec<br />
lui.. »<br />
- Extrait du film russe Khroustaliov, ma voiture, en noir et blanc.<br />
- interview Alexei Guerman, réalisateur sur le choix du noir et blanc.<br />
- Gros plan Sharon Stone souriante / Elle embrasse son compagnon, et salue le public.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Mixte<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 21/05/1998<br />
Durée : 00 h 03 min 00 sec<br />
Heure : 23 h 02 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
317
Titre propre<br />
Démons et merveilles<br />
Générique et auteurs<br />
Metteur en scène <strong>de</strong> théatre : Tilly ; Chef d'orchestre : Bruno Fontaine ; Interprète : Lambert Wilson, Jean-<br />
Philippe Audin (violoncelle), Thierry Caens (trompette), Bruno Fontaine (piano), Serge Garcia (violon), Jean-<br />
Louis Matinier (accor<strong>de</strong>on), Dominique Vidal (clarinette) ; Réalisateur : Jean-Pierre Barizien ; Auteur oeuvre<br />
originale écrite pour la télé : Lambert Wilson, Bruno Fontaine, Tilly ; Compositeur musique préexistante : Bruno<br />
Fontaine (Arrangements)<br />
Résumé<br />
Au Théâtre <strong>de</strong>s Abbesses, Lambert Wilson consacre son spectacle aux chansons qui ont accompagné les films<br />
français <strong>de</strong> 1930 à 1960 avec, en arrière-plan, projection d'images <strong>de</strong> ces films.<br />
- Extraits d'oeuvres cinématographiques : Les Enfants du Paradis (Carné). La Romance <strong>de</strong> Paris (Jean Boyer).<br />
Une partie <strong>de</strong> campagne ( Jean Renoir). Circonstances atténuantes (Jean Boyer). La Bête humaine (Jean<br />
Renoir). Les Visiteurs du soir (Marcel Carné). Boudu sauvé <strong>de</strong>s eaux (Jean Renoir)<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Rennes France 3 (F3RN)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 03/10/1998<br />
Durée : 01 h 17 min 54 sec<br />
Heure : 23 h 59 min 46 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
318
Renoir à Hollywood<br />
<strong>de</strong> Christophe Champclaux, 1999, 50 mn.<br />
Les Renoir ou l’esprit <strong>de</strong> famille<br />
<strong>de</strong> Clau<strong>de</strong>-Jean Philippe, 1999, 52 mn.<br />
Jean Renoir/Octave Mirbeau : rencontres thématiques<br />
<strong>de</strong> Roger Viry-Babel, 1999, 30 mn.<br />
Colloque : Jean Renoir et l’écriture<br />
au Moulin d’Andé, septembre 1999, interventions filmées par Roger Viry-Babel. Non édité<br />
Titre propre<br />
Epreuves <strong>de</strong> cinéma au bac<br />
Titre collection<br />
JA2 20H<br />
Générique et auteurs<br />
Journaliste : Sébastien Hirou<br />
Résumé<br />
Nouveauté pour le Bac littéraire 1999 : les élèves <strong>de</strong>vront présenté l'étu<strong>de</strong> d'un film qui sera notée au même titre<br />
qu'une oeuvre écrite. Cette année, c'est le film <strong>de</strong> Jean Renoir : La Règle du Jeu.<br />
- Rennes : divers plans d'élèves <strong>de</strong> terminale littéraire arrivant dans une salle <strong>de</strong> cinéma.<br />
- Générique <strong>de</strong> La Règle du jeu et bref extrait.<br />
- interview <strong>de</strong> 2 jeunes filles « très vau<strong>de</strong>ville » « j'ai pas trop aimé » « c'est lourd, très lourd »<br />
« C'est marrant, mais un chef d'oeuvre, je ne vois pas... »<br />
- Autre extrait.<br />
- Lycée Jean Macé <strong>de</strong> Rennes : étu<strong>de</strong> d'un film en classe sur un moniteur <strong>de</strong> télévision/jprofesseur/lycéens.<br />
- plan rapproché du professeur interrogeant les élèves.<br />
- interview <strong>de</strong> Michel <strong>de</strong>ligne, professeur <strong>de</strong> français : « J'adore le cinéma, mais <strong>de</strong> là à passer au niveau critique, analyste...<br />
j'ai pris <strong>de</strong>s bouquins et j'ai étudié... »<br />
- interview d'un élève : « Dans notre vie <strong>de</strong> tous les jours on va voir les films différemment, mainenant, d'un aspect plus technique,<br />
moins spectateur... »<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Production propre<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 26/02/1999<br />
Durée : 00 h 02 min 14 sec<br />
Heure : 20 h 29 min 07 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
319
Titre propre<br />
Décès <strong>de</strong> Françoise Giroud<br />
Titre collection<br />
12 14. Edition nationale<br />
Résumé<br />
La journaliste et écrivain Françoise Giroud, décédée ce matin près <strong>de</strong> Paris à l'âge <strong>de</strong> 86 ans, a été la seule<br />
femme à diriger un grand organe <strong>de</strong> presse durant 20 ans, l'Express, fondé en 1953 avec Jean-Louis Servan-<br />
Schreiber.<br />
Deux fois Secrétaire d'Etat sous la prési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> Valéry Giscard d'Estaing, à la Condition féminine (1974-76) et à<br />
la Culture (1976-77), Mme Giroud auteur d'une vingtaine <strong>de</strong> livres, était éditorialiste sur la télévision au Nouvel<br />
Observateur <strong>de</strong>puis 1983.<br />
Née à Genève le 21 septembre 1916, dans une famille aux origines russe et turque, Françoise Giroud, <strong>de</strong> son vrai<br />
nom France Gourdji, débute sa vie professionnelle à l'âge <strong>de</strong> 16 ans comme sténo-dactylo, puis comme<br />
script-girl au cinéma aux côtés <strong>de</strong> Marc Allegret puis Jean Renoir. Pendant la Secon<strong>de</strong> Guerre<br />
mondiale, elle est agent <strong>de</strong> liaison dans la Résistance. Arrêtée par la Gestapo en 1943, elle est incarcérée à<br />
Fresnes.<br />
A la Libération, la jeune femme entame une carrière <strong>de</strong> journaliste à Elle, ou Hélène Lazareff la fait venir comme<br />
directrice <strong>de</strong> la rédaction (1946-1953). Elle écrit également pour l'Intransigeant et France-Soir, et brosse <strong>de</strong>s portraits<br />
<strong>de</strong> personnalités pour France-Dimanche.<br />
En 1953 commence l'aventure <strong>de</strong> L'Express. Elle sera directrice <strong>de</strong> la rédaction du premier « news magazine »<br />
français, puis directrice <strong>de</strong> la publication à partir <strong>de</strong> 1971, tout en présidant le groupe éditeur Express-Union<br />
(1970-74).<br />
En 1974, François Giroud se lance en politique, expérience qu'elle racontera dans La Comédie du pouvoir (1977).<br />
Vice-prési<strong>de</strong>nte du Parti radical (1977-79), elle se prononce en 1981 pour François Mitterrand.<br />
Membre du jury du prix Fémina, elle a publié <strong>de</strong> nombreux livres dont Si je mens (1972), Ce que je crois (1979), Le<br />
Bon plaisir (1979, porté à l'écran par Francis Girod en 1984), Une femme honorable (1981), Alma Mahler ou l'art d'être<br />
aimée (1985), Jenny Marx ou la femme du diable (1992) et en 1997 son autobiographie, Arthur ou le bonheur <strong>de</strong> vivre. En<br />
2001 elle avait publié Profession journaliste.<br />
Françoise Giroud était mère <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux enfants, dont un fils décédé, et une fille, Caroline Eliacheff.<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 3 (F3)<br />
Producteur ou Co-producteur, Bry-sur-Marne : Institut national <strong>de</strong> l'audiovisuel (INA)<br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 19/01/2003<br />
Durée : 00 h 00 min 20 sec<br />
Heure : 12 h 27 min 00 sec<br />
Canal : 3eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 3<br />
320
Titre propre<br />
Spéciale Gabin<br />
Titre collection<br />
Vivement dimanche<br />
Générique et auteurs<br />
Présentateur : Michel Drucker ; Participant : Florence Moncorgé Gabin, Michèle Morgan, Mathias Moncorgé,<br />
Freddy Head, André Aubert, Alain Delon, Bernard Girau<strong>de</strong>au, Jose Giovanni ; Réalisateur : Dominique<br />
Colonna ; Producteur : Françoise Coquet, Michel Drucker<br />
Résumé<br />
Emission spéciale consacrée à Jean Gabin retraçant la vie, l'oeuvre et la personnalité <strong>de</strong> l'acteur. Michel Drucker<br />
reçoit Florence Moncorgé-Gabin, fille <strong>de</strong> Jean Gabin pour son ouvrage biographique sur son père intitulé Quitte<br />
à avoir un père autant qu'il s'appelle Gabin et son fils Mathias Moncorgé, étalonnier. Des célébrités l'ayant connu,<br />
viennent parler du grand acteur et <strong>de</strong> leurs relations.<br />
Aternance plateau invités et images d'archives souvent illustrées par <strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong> film.<br />
- Archives : interviews <strong>de</strong> Jean Gabin sur les grands réalisateurs avec lesquels il a tourné,<br />
extrait du film <strong>de</strong> Pépé le Moko <strong>de</strong> Julien Duvivier, <strong>de</strong> La Gran<strong>de</strong> illusion <strong>de</strong> Jean Renoir .<br />
Informations <strong>de</strong> production<br />
Producteurs : Producteur ou Co-producteur, Paris : France 2 (F2)<br />
Commanditaire, Paris : Dany Et Michel Drucker Productions (DMD)<br />
Nature <strong>de</strong> production : Achat <strong>de</strong> droits comman<strong>de</strong><br />
Informations <strong>de</strong> diffusion<br />
Date : 06/04/2003<br />
Durée : 01 h 44 min 09 sec<br />
Heure : 13 h 52 min 58 sec<br />
Canal : 2eme chaine<br />
Société <strong>de</strong> programmes : France 2<br />
321
CREDIT PHOTOGRAPHIQUE<br />
Toutes les photographies contenues dans le corpus et le catalogue sont issues <strong>de</strong> photographies<br />
<strong>de</strong> plateau ou <strong>de</strong> tournage puisées dans le fonds personnel <strong>de</strong> Monsieur Roger Viry-Babel<br />
déposé au Conservatoire <strong>de</strong> l’Image, rue Michel Ney à Nancy.<br />
322