Salzbourg, “la Rome des Alpes”, abrite des trésors d’architecture inspirés du baroque italien. Mais son joyau le plus cher reste Mozart, qui y passa ses jeunes années.
Réservé aux abonnés
Publié le 26 janvier 2020 à 12h00
Mis à jour le 08 décembre 2020 à 00h33
Un bocal asphyxiant. Voilà la vision que Mozart (1756-1791) avait de sa bourgade natale. Il est vrai que Salzbourg, coincée entre ses trois montagnes, agglutinée autour de sa rivière Salzach, peut avoir des allures de cité sous cloche. Surtout lorsqu’on vit coincé entre les pattes d’un employeur aussi ingrat que le prince-archevêque Colloredo. Car si Mozart n’aimait pas Salzbourg, Salzbourg le lui rendait bien. Alors que l’Europe entière le fêtait, sa propre ville le dédaignait.
« À Salzbourg, je ne sais pas qui je suis », gémit-il dans une lettre à son père, Leopold, n’en pouvant plus de rester confiné dans cette principauté dorée. Il étouffait. S’étiolait. Jusqu’à ce jour
Offre flash
S’abonner, 1,99€/mois pendant 1 an
sans engagement
Offre exclusive : 0,99€ par mois pendant 6 mois
Déjà abonné ? Se connecter
Cher lecteur, chère lectrice, Nous travaillons sur une nouvelle interface de commentaires afin de vous offrir le plus grand confort pour dialoguer. Merci de votre patience.