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Carmen Kassovitz : 5 choses à savoir sur la fille aînée de Mathieu Kassovitz

Le à 09:00 par Alexandra Ayo Barro

Modifié le à 10:54

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Mercredi 22 février 2023, Carmen Kassovitz est à l'affiche de Pulse, le premier thriller de la réalisatrice finlandaise Aino Suni. À cette occasion, la jeune actrice a accepté de se livrer auprès de Télé-Loisirs et de dévoiler un peu d'elle-même.

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Carmen Kassovitz revient au cinéma mercredi 22 février 2023 dans Pulse, le premier thriller de la réalisatrice finlandaise Aino Suni. En deux ans, la jeune femme de 20 ans a joué dans quatre longs métrages et prêté ses traits à Alma dans la série Stalk de France.tv Slash. Un début de carrière marqué par des films forts, parfois même lourds, dans les pas de son célèbre papa, Mathieu Kassovitz. Ce dernier l'a toujours encouragée à suivre cette voie, si bien que dans une interview au Parisien en 2020, le réalisateur de La Haine avait déclaré : "Elle est chanteuse, actrice, elle danse… et ça fonctionne. Elle fait des castings, les gens l'aiment bien. Moi, je ne trouve pas ça intéressant le bac si tu veux être acteur. Mais elle va quand même le passer par correspondance". À la veille de la sortie de Pulse, dans lequel elle interprète Sofia, une danseuse en proie à de nombreux démons, Carmen Kassovitz se livre à Télé-Loisirs. L'occasion de découvrir cinq choses sur la jeune actrice.

1. Elle est la fille de Mathieu Kassovitz et de Julie Mauduech

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Carmen Kassovitz naît en 2002 des amours de Mathieu Kassovitz et de Julie Mauduech. Après quelques années de mariage, la paire s'est séparée et chacun a refait sa vie de son côté. Des unions de ses parents avec d'autres partenaires, la jeune Carmen Kassovitz a deux demi-sœurs, Raïka Hazanavicius et Ava Kassovitz, ainsi qu'un demi-frère, Max Kassovitz. "Pour moi demi-frère, demi-sœur ça ne veut pas dire grand-chose. Ce sont mes frères et sœurs. J’ai la chance d’avoir une famille unie. Je suis proche d’eux. On a des relations normales", explique l'actrice à Télé-Loisirs. Quant à ses parents, elle les décrit comme étant "absolument géniaux". "J’ai beaucoup de respect pour ma mère et mon père. J’admire mon père, et j’admire ma mère parce qu’elle a su se relever. C’est une femme très indépendante qui a su faire son chemin de manière admirable. J’ai deux bons exemples en face de moi et je suis très chanceuse", affirme-t-elle.

2. Elle rêvait de travailler avec les animaux

Avant de marcher dans les pas de ses parents, Carmen Kassovitz se voyait vétérinaire ou cavalière. "Je préfère les animaux aux humains je pense", plaisante celle qui est férue d'équitation. Amoureuse des animaux depuis l'enfance, elle s'imagine d'abord travailler à leurs côtés. C'est finalement la voie des plateaux de tournage qu'elle emprunte, mais sans regrets. "J’aurais aimé travailler avec les animaux. Mais le truc dans le cinéma, c’est qu'on a accès à plein de métiers et à plein de choses qu’on ne pourrait jamais faire si on faisait un autre métier. J’ai fait le film Tempête, où j’ai eu la chance de travailler avec des chevaux et avec mes idoles. Pour moi c’est gagnant-gagnant", se satisfait-elle.

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3. Un début de carrière au cinéma

C'est peu avant ses 18 ans que Carmen Kassovitz fait ses premiers pas devant une caméra. "Je n"avais pas de bonnes notes à l’école", s'amuse-t-elle. Pour elle, ce choix de carrière s'est imposé comme une évidence. "Mon père est dans le milieu, ma mère est dans le milieu, toute ma famille depuis des générations est dans le milieu", explique la jeune femme à Télé-Loisirs. Il est vrai que sa généalogie se compose de dessinateurs, acteurs, monteurs, réalisateurs et autres métiers de création. Une véritable inspiration pour la jeune actrice. "J’ai fait du théâtre et de la danse très jeune. J’étais beaucoup sur scène pour les concours et les représentations. C’est devenu une passion. Le chemin s’est fait naturellement. Maintenant je suis là. [...] Je ne suis pas encore overbookée à tourner cinq films en même temps. J’espère que ça arrivera un jour". Aujourd'hui, elle espère avoir le privilège de faire carrière, à l'image de certaines de ses idoles comme Gena Rowlands qu'elle aime énormément, Juliette Binoche, Audrey Hepburn, Jack Nicholson, Patrick Dewaere, Michel Blanc, ou encore la troupe du Splendid. "Des comédiens hors pair", selon l'artiste en herbe. "J’aime cet effet de groupe, la création en groupe. Chaque acteur ou actrice a quelque chose d’unique". Peut-être que dans son cas, ce sera de cumuler les rôles dramatiques. "C’est le registre qui m’attire le plus. Je suis plus castée sur des thrillers et des drames, ce qui me va très bien parce que c’est exactement ce que j’aime", confie-t-elle.

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4. Des rêves de passer derrière la caméra

Quand elle parle de Lars Von Trier, Darren Aronofsky (aux manettes de Requiem for a Dream, qui est un de ses films préférés), Martin Scorcese, ou encore Martin McDonagh la jeune femme exulte. Mais si elle admire le travail de ces réalisateurs et aurait adoré tourner pour eux, elle rêve aussi de passer derrière la caméra. "Je suis en train d’écrire un film, ça fait bien 8 mois que je suis dessus", révèle Carmen Kassovitz. Un exercice difficile, mais formateur. "Ça me rapproche du métier, ça m’aide à comprendre à quel point faire un film, c’est complexe, et à quel point il faut mériter ces choses-là". Mais "plus [elle] travaille en tant qu’actrice sur les tournages, plus ça [la] passionne et [la] fascine". "Pouvoir mettre à l’écran sa vision et pouvoir raconter une histoire avec ses mots et les mettre en images... c’est magnifique", s'émeut Carmen Kassovitz. Malgré la peur et l'aspect "puzzle" de la tâche, elle persévère et conserve l'espoir de mettre en forme un de ses projets. "Si un jour je réalise, [le drame, ndlr] c’est la direction dans laquelle je veux aller. La comédie, c’est plus dur à mettre en place et à jouer que le drame. Je trouve ça pointu, alors que le drame ça me vient plus naturellement. Il y a plus de choses à exprimer dans la douleur et la peine. C’est plus profond".

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5. Très prudente sur les réseaux sociaux

Pendant un an, Carmen Kassovitz a interprété Alma dans Stalk sur France.tv Slash. La série se concentre sur Lucas, une victime de harcèlement reconvertie à son tour dans le cyber-harcèlement. Une thématique très actuelle et dont la jeune femme est amplement consciente. "En tant que femme, quand on s’expose sur les réseaux sociaux, on a des surprises. Ce qui est assez triste, c’est qu’on s’y habitue, alors que ce n’est pas normal. Depuis que j’ai un peu d’abonnés sur Instagram, je reçois des messages… des choses pas très catholiques. Des choses que je n’ai pas envie de voir", déplore-t-elle auprès de Télé-Loisirs. "Je n’aime pas exposer ma vie privée sur les réseaux sociaux, ça ne regarde personne. Et je me sens plus en sécurité comme ça. Internet est dangereux, il faut savoir le gérer et prendre du recul sur ce qu’on a envie de montrer au monde". Carmen Kassovitz avoue par ailleurs que la perspective de la célébrité et ce que cela pourrait engendrer comme réactions sur Internet ne la rassure pas. "Ce côté là du métier ce n'est pas celui qui m’attire. Je veux être sur les plateaux et jouer. Le reste me fait un peu peur", conclut la jeune actrice.

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