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"Philippe Urraca est un grand sentimental" - Virginie Guilhaume

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Adèle Chaput

Alors que la nouvelle saison de « Qui sera le prochain grand pâtissier ? » va tout juste commencer sur France 2, Virginie Guilhaume a accepté de répondre à nos questions. L’animatrice évoque son amitié avec les chefs, mais aussi son engagement caritatif.

Paris Match : Pourquoi avoir signé pour une nouvelle saison de «Qui sera le prochain grand pâtissier ?»
Virginie Guilhaume : Avant tout, cette émission est humaine. Elle véhicule des valeurs importantes, comme le partage, la convivialité et la transmission. Je suis très proche des personnes avec qui je travaille, comme Nathalie Cottet, la productrice, qui fait un travail remarquable. Et avec les quatre chefs, on forme une super bande ! 

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Quelle est l’ambiance sur les tournages ?
On est tous très fatigués parce que les tournages sont longs. Ils peuvent commencer à 6 heures et finir à 3 heures du matin ! Pour autant, l’ambiance est toujours très studieuse. Les candidats travaillent d’arrache-pied. Bien sûr, on se permet de rigoler de temps en temps… Ce qui est bien, c’est que tout le monde se mélange. Je ris avec les techniciens pendant que les chefs parlent avec les maquilleuses… On forme un peu une colonie de vacances.

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«Christophe Michalak est un boulimique du kiff !»

Décrivez-nous le caractère des membres du jury.
Philippe Urraca est à la fois drôle et touchant. C’est un grand sentimental. Mais il sait également sévir quand il le faut ! Christophe Michalak , c’est certainement le plus sérieux. Mais en deux secondes, il peut déraper. Je le compare souvent à un enfant parce qu’il a un côté complètement fou et ultra-créatif. C’est un boulimique du kiff ! Christophe Adam, c’est l’électron libre de la bande. D’ailleurs, il déteste que je l’appelle comme ça. C’est un petit génie qui ne la ramène pas. Pierre Marcolini, c’est le plus drôle des quatre. Et il a toutes les qualités qu’on attend d’un Belge : le recul et le phrasé.

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Christophe Michalak nous a confié que vous étiez la plus fêtarde de toute l’équipe.

C’est vrai que c’est toujours moi qui finis par coucher les garçons ! (Rires)

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Racontez-nous un fou rire sur l’émission.
Il y en a tellement. Je me souviens d’un jour où l’on finissait très tard, et où personne n’arrivait plus à dire une phrase correctement. Je m’étais vautrée sur une chaise après avoir enlevé mes talons de douze centimètres ! Les garçons pleuraient de rire.

«Je sais que ma présence lui fait du bien»

Comment faites-vous pour garder la ligne en animant une émission de pâtisserie ?
Je ne la garde pas ! J’adapte simplement ma façon de m’habiller. Vous savez, c’est tout un art de masquer mes quatre kilos en trop. (Rires) Plus sérieusement, je continue à faire du sport pour ne pas exploser. En parisienne modèle, je me rends au centre du Tigre au moins une fois par semaine. C’est le lieu de référence du Pilates et du yoga.

Vous êtes également engagée dans plusieurs associations. Pouvez-vous nous en parler ?

C’est une démarche purement altruiste et humaine. Je me bats notamment pour l'association «Caméléon» qui aide les enfants maltraités aux Philippines, et «Sourire à la vie», qui s’occupe des enfants atteints d’un cancer . Même si je ne suis pas Superman, j’essaie de m’investir au maximum. Encore hier, j’ai eu Elsa au téléphone, une petite fille qui suit une chimiothérapie difficile. Je sais que ma présence lui fait du bien, c’est déjà ça. 

Réussissez-vous tout de même à trouver du temps pour vous ?
Oui, et notamment pour m’occuper de mon fils, Romeo, qui a quatre ans et demi. J’en profite pour l’emmener à la piscine, par exemple. 

Avez-vous retrouvé l’amour ?
Oui, cela fait un petit moment qu’un homme partage ma vie. J’ai l’amour dans le sang, ce n’est pas dans ma structure mentale de rester seule.

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