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«Fugue d'été». Les premiers émois d'Alain Roger
Depuis sa naissance, Alain Roger passe ses vacances dans la maison de ses grands-parents, sur la presqu'île de Quiberon. Dans son livre «Fugue d'été», il dévoile pudiquement et de façon poétique, l'éveil des sens de la préadolescence. Il entraîne ses lecteurs des années 1712 aux années 1980, passant du peintre Watteau et de ses «Fêtes Galantes» aux chemins sinueux de la presqu'île. Rencontre.
Quel point commun entre vous et Watteau? Watteau prend beaucoup de distance dans ses peintures quand il retrace des moments intimes. Cette subtilité, cette pudeur, c'est celle que j'ai voulu donner pour raconter un épisode dans la vie d'un garçon.
Vous retracez poétiquement vos vacances sur la presqu'île. Que retrouve-t-on quand on devient un adulte? Ici, je retrouve le plaisir, non plus comme un enfant, mais avec un regard d'enfant. Avec de la poésie, on embellit les choses et on les partage, c'est pourquoi je mets de la poésie dans la prose, sans que ce soit ni poésie, ni prose! J'aime que l'on se retrouve dans mes oeuvres.
Pratique «Fugue d'été», aux éditions Sipayat (12EUR). Site: www.alainroger.com
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