Après plusieurs nuits d’émeutes, jour de deuil à Nanterre

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Par Laëtitia Lallement

Ce samedi 1er juillet ont eu lieu, à Nanterre, les obsèques du jeune Nahel, tué par un policier quatre jours plus tôt. Les funérailles ont apporté un moment de pause, nécessaire au recueillement, au milieu des tensions créées par les émeutes.

Les stigmates des émeutes sont toujours visibles à Nanterre.
Les stigmates des émeutes sont toujours visibles à Nanterre. (Photo Laëtitia Lallement)

Arrêts non desservis, bus annulés. Le meilleur moyen de se rendre à Nanterre depuis La Défense reste la marche. La rue Pablo Picasso, du nom du quartier sensible, est accessible par une passerelle, liant le quartier des affaires au quartier tout court. Au bout d’une centaine de mètres, côté Nanterre, les premières séquelles des quatre jours d’émeutes sont visibles : carcasses de voitures brûlées, macadam noirci par les feux, éclats de verre.

« Une amende, mais pas le tuer ! »

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