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Eric-Emmanuel Schmitt : « Quand la Callas lâche l’art pour la vie, l’art la lâche »

Avec La Rivale, Eric-Emmanuel Schmitt brosse un portrait en creux de Maria Callas. À travers les yeux assassins de sa rivale imaginaire, Carlotta Berlumi, c’est le génie de La Callas qui apparaît. Lisez le premier chapitre. Article réservé aux abonnés
Journaliste au pôle Culture Temps de lecture: 4 min

Vous dressez un portrait de La Callas, mais en creux, à travers ce qu’en dit sa rivale, Carlotta. Pourquoi ?

Parce que c’est ironique, et j’adore l’écriture ironique. Je ne la pratique pas toujours, mais là je trouvais que c’était absolument croustillant d’avoir ce point de vue, de faire décrire La Callas par quelqu’un qui la hait et qui ne comprend ni sa différence ni son génie.

Comment avez-vous construit le personnage de Carlotta ?

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