Didier van Cauwelaert au «Soir»: «Je suis un écrivain du réel en devenir»
Avec « Le pouvoir des animaux », Didier van Cauwelaert fait fort. Ses deux narrateurs sont un tardigrade et un mammouth.
Le mammouth, vous connaissez, bien sûr. Jusqu’à 5 mètres au garrot, de 6 à 8 tonnes, peut-être plus. Animal éteint. Le tardigrade, là, vous ignorez, non ? C’est une bestiole d’un millimètre maximum, qui a l’allure d’un bibendum, adore les milieux extrêmes, style températures de −272 à 150 ºC, pressions jusqu’à 6.000 bars, rayonnements ultraviolets ou X, vide spatial. Et quasiment indestructible : privé d’eau et de nourriture, il se replie en cryptobiose et se place en état de stase jusqu’à réactivation de ses processus métaboliques.
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