En images Découvrez les 1001 trésors du musée Miniature et cinéma du Vieux Lyon

Delphine GIVORD - 19 févr. 2022 à 06:00 | mis à jour le 21 févr. 2022 à 06:44 - Temps de lecture :

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Julien Dumont devant la vitrine des Gremlins. Ils n’ont beau pas être sympas, les Gremlins n’en sont pas moins trop mignons ! Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le petit Gizmo (Gremlins 2 : la nouvelle génération de Joe Dante, 1990). C’est la vraie marionnette, dont les yeux étaient actionnés à distance. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Ne manquez pas sa voisine (la seule femme, Greta, verte et « sexy »). Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La reine Alien. C’est l’une des plus imposantes du musée : la Reine Alien de James Cameron. Designée par le réalisateur lui-même pour le premier volet en 1986, elle a repris du service en 2004 pour Aliens vs predator et a dû être reconstruite. A l’origine, elle était télécommandée et activée par deux techniciens. Celle-ci est animatronique et entièrement automatisée. Elle « marche » encore d’ailleurs, mais est en cours de restauration après avoir subi les affres de visiteurs indélicats. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Plus de 500 objets originaux issus de tournages de grands films. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Les poulets animatroniques d'OSS 117. Elles ont permis à Jean Dujardin de les jeter au visage de son adversaire dans le premier, "Le Caire, nid d'espions". Photo Progrès/Delphine GIVORD
$La tête du tricératops de Jurassic park. Avant que tout ne dégénère dans le Jurassic park de Steven Spielberg (1993), les personnages font connaissance avec les dinosaures avec émerveillement. Cette tête de tricératops plus vraie que nature a été utilisée dans la scène où Laura Dern et Sam Neill s’occupent d’une femelle malade. Elle a été réalisée, en mousse de latex, par Stan Winston studio d’après une sculpture signée Joey Orosco, qui a signé des effets spéciaux pour des dizaines de films : Avatar, Entretien avec un vampire, les Gremlins, Indiana Jones… Photo Progrès/Delphine GIVORD$

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La tête du tricératops de Jurassic park. Avant que tout ne dégénère dans le Jurassic park de Steven Spielberg (1993), les personnages font connaissance avec les dinosaures avec émerveillement. Cette tête de tricératops plus vraie que nature a été utilisée dans la scène où Laura Dern et Sam Neill s’occupent d’une femelle malade. Elle a été réalisée, en mousse de latex, par Stan Winston studio d’après une sculpture signée Joey Orosco, qui a signé des effets spéciaux pour des dizaines de films : Avatar, Entretien avec un vampire, les Gremlins, Indiana Jones… Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le lézard d’Indochine. A part, ce lézard a une histoire sympa. Figurine du clip en stop-motion « Les Tzars » sorti en 1987, il a été confié au musée par Nicola Sirkis pour restauration, lors d’un passage à Lyon, en 2019. Il l’attend dans une vitrine. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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L'avion de Top Gun. D'abord réalisée avec un vrai avion, la cascade s'est terminée avec une maquette (et on sait comment ça finit pour Goose...) Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le Capitole d'Independance Day. Deux maquettes avaient été réalisées, mais la première a suffi pour réaliser la destruction par les aliens. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Les différentes prothèses portées par Eddie Murphy pour se transformer en Professeur Foldingue. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le visage de Madame Doubtfire. Ce « visage » a une vraie présence. C’est la vraie prothèse portée par le génial Robin Williams pour se transformer en nounou de ses propres enfants dans le film Madame Doubtfire de Chris Colombus (199 3). C’est en fait un assemblage de 13 prothèses (+ perruque) qui nécessitait 4 heures de maquillage ! Elle a été créée par la star du maquillage de cinéma, Ve Neill, à qui elle a d’ailleurs rapporté un Oscar. Elle a été depuis restaurée dans les ateliers du musée. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le(s) masque(s) de The Mask. Dans le film culte The Mask interprété par Jim Carrey (Chuck Russell, 1994), il y a bien sûr le masque vert fluo mais aussi deux autres : celui qui lui permet de se transformer et celui de la scène de transformation (réalisée ensuite par images de synthèse). Le principal a été sculpté d’après l’empreinte du visage du comédien et est devenu une référence du genre. Ssspllendiiiiiddddee ! Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Dans le clip d’anthologie « Moonwalker » de Michael Jackson (1988), (la vidéo musicale la plus vendue de tous les temps) , qui a donné son nom à son pas, il se transforme en robot. Voici le masque qui a été utilisé. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le masque de Scream. Autre icône du film d’horreur, le masque de Scream, porté par le(s) tueur(s), et son costume noir, dans la pentalogie (les 5 volets) de Wes Craven. Le design est inspiré du Cri (tableau d’Edward Munch) ; celui-ci a servi au tournage du 4. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Bien avant les cigarettes électroniques, la fausse pipe fabriquée pour Tom Hanks dans "Les Sentiers de la perdition": il ne voulait pas fumer! Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le parapluie de Mary PoppinsC’est sûrement (avec ceux de Cherbourg) le parapluie le plus célèbre de l’histoire du cinéma : celui de Mary Poppins (1964), à tête de perroquet, (il parle, elle vole avec, etc…) Il y en a plusieurs exemplaires, mais il a vraiment été utilisé dans le film par Julie Andrews. Super(califragilistic!) Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La main d’Edward aux mains d’argent Difficile pour Edward aux mains d’argent, campé par Johnny Depp dans le film de Tim Burton de 1990, d’avoir des contacts avec d’autres humains, à cause de sa « main-ciseau ». Cette main est en réalité un gant en plastique et caoutchouc, utilisée dans la plupart des scènes pour ne pas blesser les comédiens. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Les chaussures de Retour vers le FuturCe sont des icônes : les chaussures de Michael J Fox (Marty McFly ) dans Retour vers le Futur 2, qui se lacent toutes seules. Elles ont rejoint son hoverboard. Ces Nike ont été fabriquées spécialement. Anecdote de tournage: c'est un technicien qui tirait les lacets, par en-dessous ! Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La vitrine "Retour vers le futur". Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Les premières lunettes d’Harry PotterLe plus célèbre des petits sorciers a sa propre vitrine, avec une baguette magique, la lettre ??? et ses premières lunettes, portées par Harry, alias Daniel Radcliffe, tout petit, dans le premier volet de la saga, Harry Potter à l’école des sorciers (2001) de Chris Columbus. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Julien Dumont sous la chauve souris de Batman. Elle "peut" voler. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La poupée ChuckyElle fait venir beaucoup de monde et de touristes au musée : la poupée de Chucky (vue dans La Fiancée de Chucky de Ronny You, sorti en 1998). Cette poupée flippante (avec une tête animatronique) a été utilisée dans le 4e épisode des aventures de Chucky, une poupée possédée par l’esprit d’un tueur en série, icône des films d’horreur ??? Ses vêtements ont été fabriqués pour le suivant, Le Fils de Chucky (2004). Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La tête de singe d’Indiana JonesC’est la vraie (et heureusement c’est une fausse !). La tête de singe, servie en sorbet de cervelle dans une coupe à Harrison Ford, Kate Capshaw et Ke Huy Kan lors de la scène du banquet dans Indiana Jones et le temple maudit de Steven Spielberg (1984) est sous vitrine. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Les costumes de superhéros. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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L’armure de RobocopC’est la vraie armure du policier-robot Robocop, campé par Peter Weller dans le film de Paul Verhoeven (1987). La seule qui reste. Elle appartient au nouveau directeur du musée, Julien Dumont, qui l’avait prêtée au lieu dès 2010. Elle a aussi servi à l’épisode dédié de « That movie that made us » pour Netflix. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le musée est installé sur plusieurs étages, dans une magnifique demeure du Vieux Lyon. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La visite commence par les décors du film "Le Parfum", coproduit par la mécène du lieu. Sachez qu'il n'y a pas de fenêtres: tout est réalisé comme un décor de cinéma, avec des projecteurs. Bluffant! Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Les armes factices. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La canne de Charlot. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le masque de Catwoman, porté par Michelle Pfeiffer. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Le bateau de Cléopâtre, tout en bois, utilisé en 1963 dans le film avec Elizabeth Taylor. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La mouche géante de "Chérie, j'ai rétréci les gosses. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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C'est Forrest Gump qui vous accueillera au musée, dans son vrai costume de cérémonie. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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La tête de la girafe, arrachée par un pont dans "Very bad trip". Photo Progrès/Delphine GIVORD
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Il y a encore des trésors plein les réserves. Julien Dumont a bien l'intention d'agrandir encore la collection. Photo Progrès/Delphine GIVORD
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On s'arrête là, on ne va quand même pas tout vous montrer ! Le reste vous attend au musée Miniature et cinéma, ouvert tous les jours au 60 de la rue Saint-Jean (Lyon 5e). Photo Progrès/Delphine GIVORD

Ouvert dans les années 1990, le musée Miniature et cinéma, dans le Vieux Lyon (5e), privé, est une institution parfois plus connue des touristes que des Lyonnais eux-mêmes. Il abrite pourtant, au-delà des miniatures de son fondateur, Dan Ohlmann, quelque 500 objets originaux de tournages de films, parmi les plus grands. Nous avons fait la visite avec son nouveau propriétaire, Julien Dumont, qui n'a qu'une hâte: ajouter encore des merveilles à la collection. Voici, en images, les pièces qui, par leur histoire ou simplement leur existence, nous ont tapé dans l’œil.