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Le rendez-vous a été donné dans un café de l'Est parisien. Un banal troquet comme il en existe à chaque coin de rue ou presque dans la capitale. Rien de particulier ne s'en dégage, hormis une vague odeur de thé à la menthe. Un drapeau berbère (« amazigh ») dépasse de la large carrure du patron, campé derrière son comptoir. Un homme entre, costume gris clair, cravate rouge. D'une main, il arrange ses cheveux, d'un blanc nacré comme sa fine moustache. Il s'avance et tend l'autre main : « Ferhat Mehenni, président du gouvernement provisoire kabyle. Enchanté. » Un coup d'œil dans la salle, il désigne une table dans le fond. Il s'assied et prend ses aises. L'homme est un peu chez lui ici, comme dans la plupart des cafés-bars de Paris tenus par des Kabyles. Un serveur apporte du thé et le sal...
KHANH RENAUD POUR « LE POINT » – Julien Peyron – Farouk BATICHE/REA POUR « LE POINT » – RYAD KRAMDI/AFP – SAMIR MAOUCHE/Hans Lucas via AFP – MOUSAAB ROUIBI/Anadolu Agency via AFP
... Déplorable que les jeunes fuient leur propre pays au lieu de le reconstruire
Il ne vous reste plus qu'à appeler à leur élimination, de préférence au moyen du fameux "sourire kabyle".
Quant à vos remerciements...
Je suis moi même berbère et je considère ces makistes comme des clowns ET traitres en effet.
Merci de la précision !