Brèves - Les Goncourt, ces langues de vipère

Et aussi : Albert avant Camus, « Sur l’album de la Comtesse », l’exposition « Sculptures infinies » à l’Ecole des beaux-arts de Paris…

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Les Goncourt, ces langues de vipère

Edmond et Jules de Goncourt, incisifs et féroces.

Biographie. Que reste-t-il des frères Goncourt ? Le prix, bien sûr, effet d’un testament qui manqua d’être cassé. Le Journal, enfin, boule atomique puante si redoutée de leurs contemporains. Ce monstre bicéphale méchant comme deux teignes y étale sa misanthropie, sa peur d’être oublié, son sentiment d’injustice et son égocentrisme : « Les Goncourt n’ont de plus grands ennemis que leur propre personne », affirme avec justesse Pierre Ménard, brillant biographe de 28 ans que nous avions déjà salué pour son travail consacré au financier Crozat. Il récidive avec une alacrité de bon aloi pour ces...

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