Retour a RIVOLI
En mai 1984, l’inauguration du premier musée italien d’art contemporain, installé au sein du château de Rivoli, est un événement. L’architecte Andrea Bruno y met en œuvre un projet contrasté. D’un côté, il développe une approche très « ruskinienne », déterminée par le respect de l’authenticité matérielle et artistique des éléments architectoniques qu’a laissés en 1727 l’interruption du chantier de Filippo Juvarra. De l’autre, il pousse le postulat de réversibilité de ses propres actions à ses extrêmes, tant techniques que symboliques, oscillant entre métaphysique et jubilation.
Par hubert lempereur
Cette architecture, aussi attentive aux enjeux archéologiques [...]
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