Comment prépare-t-on un spectacle ponctuel comme celui-ci ?
Il y a d’abord eu l’Hyper Week-end Festival, à Paris, fin janvier, où on a eu 3-4 répétitions, plus un filage et demi le jour du concert (c'était le premier acte de cette création sur Françoise Hardy, pour Radio France, NDLR). C’est important d’apprendre à se connaître, de sentir les choses les uns avec les autres. Et puis on se lance. On ne peut pas connaître les chansons par cœur. Pour deux concerts, c'est trop de travail, donc on travaille avec des prompteurs. On est tous dans le même bateau, je me souviens du prompteur qui s’est mis en panne devant Clara Luciani sur le premier concert. C’est un peu le cauchemar à la radio... Là, à Bourges (le deuxième acte de cette création, pour le Printemps de Bourges), c’est un concert, c’est moins stressant car s'il y a un problème, les spectateurs comprendront.
COMMENTEZ CET ARTICLE
Soyez le premier à commenter cet article