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Jean Lurçat au seul bruit du soleil

Publié le , par Anne Doridou-Heim

L’expression de l’artiste lui-même, en hommage à ses amis poètes, sert de fil rouge à l’exposition de la Galerie des Gobelins et plus encore à retracer son parcours singulier.

Jean Lurçat, Paris, 1958-1960, tapisserie de lisse, 680 x 357 cm. Jean Lurçat au seul bruit du soleil
Jean Lurçat, Paris, 1958-1960, tapisserie de lisse, 680 x 357 cm.
© Isabelle Bideau
Lors de la présentation de l’exposition à la presse, Hervé Barbaret, le nouveau directeur du Mobilier National et des Manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie tenait à faire part de son bonheur d’ouvrir «sa» maison à d’autres institutions. Le choix de l’Institut de France est des plus judicieux. Et Jean Lurçat (1892-1966), dont la fondation siège à l’Académie des beaux-arts, est le premier à en profiter. C’était la moindre des choses pour un homme qui est à l’origine du renouveau de la tapisserie française dans l’immédiat après-guerre… Il est question ici de mettre dans la lumière du soleil  motif récurrent  le parcours d’un artiste prolixe et pluriel, tout à la fois illustrateur, cartonnier, chef de file, peintre,…
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