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Dans le rétro : Stéphane Guillon

À retrouver dans l'émission
- Mis à jour le
Par
  • France Bleu

Concerné et consterné par le monde qui l’entoure, chroniqueur, comédien, humoriste aux revues de presse dynamitées, il dézingue l’actualité, a le rire acide et l’œil féroce. Son humour a du sens et il a le sens de la formule. Stéphane Guillon est l'invité de Déborah Grunwald.

Stéphane Guillon est l'invité de Déborah Grunwald
Stéphane Guillon est l'invité de Déborah Grunwald © Radio France

Le coup de promo

Traducteurs de nos indignations, il dégaine, nous engraine et nous entraine dans les bas fonds de l’humour, prohibé, censuré. Sa parole est libre sur scène. Loin d’être consensuel, il a le verbe incisif, la verve enthousiaste. Tout le monde en prend pour son grade, comme ça, pas de jaloux ! Stéphane Guillon sur scène, c’est en ce moment au théâtre Tristan Bernard à Paris.

Stéphane Guillon "sur scène" - Bande-annonce

Son nouveau spectacle, analyse, questionne, décortique, compile 18 mois d’absurdités, de non-sens, de revirements comme rarement une société en avait produit. Une heure trente durant laquelle, l’humoriste rattrape avec bonheur et truculence le temps perdu.

Dans cette édition de l'émission "Dans le rétro" : 

"L'Homme ne comprend jamais rien de ses erreurs."

"Je me définis comme le bouffon du roi. J'ai tapé sur la droite quand elle était au pouvoir, j'ai tapé sur la gauche quand elle était au pouvoir."

"Les gens confondent la notoriété et l'argent. [...] Un bon boucher ou un bon plombier gagne souvent plus qu'un comédien même un peu connu, mais souvent, c'est indécent de le dire."

"J'ai perdu les 17 premières années de ma vie à glander. C'est un vrai regret, j'ai des lacunes encore aujourd'hui de culture générale".

"J'ai été un grand amoureux, je le suis encore. J'ai parfois pris des coups mais je ne regrette absolument pas d'avoir aimé comme j'ai aimé".

"La libération de la parole est extrêmement importante mais dans toute révolution, il y a des excès. Ca fait parti de ce qu'il se passe, et ce qu'il se passe est plus important que les excès."

"Je peux comprendre le combat des anti-pass, je trouve violent de devoir montrer un pass vaccinal pour rentrer dans un cinéma. Ce que je comprends moins, c'est quand on parle de dictature ou d'atteinte aux droits de l'Homme. On perd de sa force quand on est extrême dans ses propos". 

"Je ne me lève pas le matin en me disant que je vais être méchant". 

"J'ai toujours voulu faire rire".

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