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Michaël Grégorio : cette star à la mode qu’il n’arrive pas à imiter

À 37 ans, Michaël Grégorio est devenu l'un des imitateurs préférés des Français. Mais si son impressionnant éventail de voix a séduit le public, le jeune homme a confié dans les colonnes du JDD le dimanche 8 août que certains artistes étaient difficiles à imiter…

Michaël Grégorio a un talent certain ! Grâce à sa voix souple, il permet aux spectateurs de retrouver sur scène des artistes variés et populaires le temps d'une même soirée. L'imitateur star de 37 ans, qui maîtrise à la presque perfection les voix de stars telles que Céline Dion, Booba, George Harrison ou même Clara Luciani, n'en finit pas d'étonner ses fans qui observent depuis déjà dix ans son ascension fulgurante. De retour sur scène avec un nouveau spectacle, en tournée dans toute la France à partir du vendredi 17 septembre 2021 puis du 28 octobre au 4 décembre au Casino de Paris, Michaël Grégorio se confie dans les pages du JDD le dimanche 8 août 2021 au sujet de son métier si particulier. Et assure que rien n'est acquis. Mieux, le jeune homme a avoué avoir eu du mal à s'approprier certaines voix "notamment Serge Gainsbourg, Stevie Wonder, Daniel Balavoine". Mais une autre star, planétaire et plus récente, l'a vu également échouer : Aya Nakamura.

Aya Nakamura remixée à la sauce Michaël Grégorio

Au sujet de la chanteuse au succès international, Michaël Grégorio a déclaré : "Elle avance sans se soucier de l’avis des gens, j’en suis incapable, donc forcément je suis admiratif. J’ai un respect infini pour les artistes qui sortent des sentiers battus". Mais hors de question pour lui de ne pas ajouter cette touche moderne dans son spectacle. Ainsi, s'il n'a pas réussi à imiter la voix d'Aya Nakamura, il a trouvé une combine. "À défaut d’incarner la diva, il a trouvé une parade réjouissante en déclinant son tube Djadja en version opéra, country, reggae, flamenco", écrivent nos confrères. Une solution qui convient parfaitement à Michaël Grégorio comme il l'a expliqué : "J’adore les mariages musicaux iconoclastes, sans chercher à calquer vocalement un artiste. Cet exercice me procure beaucoup plus de plaisir car le terrain de l’interprétation est plus ouvert, moins contraignant et balisé".

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