Stéphane Plaza accusé de violences conjugales : il brise le silence pour la toute première fois

Stéphane Plaza
Stéphane Plaza a réagi pour la toute première fois aux accusations de violences conjugales © Sipa
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Solène Delinger
Dans un message partagé sur son compte Instagram, Stéphane Plaza a pour la toute première fois fait allusion aux accusations de violences conjugales dont il fait l'objet. L'animateur de M6 a notamment sous-entendu qu'il devait "rester fort" car "les choses vont s'arranger".

Deux mois après avoir été accusé de violences conjugales par trois de ses anciennes compagnes, Stéphane Plaza a décidé de briser le silence de manière très philosophique sur son compte Instagram. L'animateur de M6 a ainsi publié une photo de trèfle à quatre feuilles avec un message faisant visiblement allusion à la tempête médiatique dans laquelle il se trouve depuis plusieurs semaines. 

"Il faut tenir bon et garder espoir !"

"Les circonstances de la vie nous apprennent à devenir attentif au moindre signe qui se présente à nous…. Parfois ces signes sont connotés de sens et sont limpides. (...) Ces signes nous aident à tenir bon et à garder espoir !", a ainsi écrit l'agent immobilier en légende sa photo prise en pleine nature. Stéphane Plaza a ensuite cité un célèbre proverbe suédois : "Reste fort car les choses vont s'arranger. Le temps est peut-être orageux, mais il ne peut pas pleuvoir pour toujours…".

Stéphane Plaza "commence à aller mieux", selon son avocate

Stéphane Plaza n'avait jusqu'à présent jamais évoqué les accusations dont il fait l'objet. L'animateur s'était juste contenté de nier les faits par le biais de son avocate Maître Hélène Plumet. Cette dernière était d'ailleurs sur le plateau de TPMP la semaine dernière pour donner des nouvelles de son client. "Il est encore sous le choc... Mais il commence à aller mieux", avait-elle fait savoir face à Cyril Hanouna.

Stéphane Plaza attend toujours les résultats de l'enquête pour violences conjugales ouverte par le parquet de Paris. M6 a de son côté décidé de ne pas le sanctionner après avoir mené une enquête interne qui n'aurait rien révélé.