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Marie Drucker : ses rares confidences sur la mort de son père

Journaliste indépendante et studieuse, Marie Drucker a été profondément marquée par la mort de son père lorsqu'elle avait 28 ans. Elle évoque cette période difficile dans une interview exclusive.

Marie Drucker
Marie, Lea et Michel Drucker
Marie Drucker
Marie Drucker
Lea Drucker et Michel Drucker
Christine Kelly, Tal et Marie Drucker
Marie Drucker
Marie Drucker
Marie Drucker
Michel Drucker
Marie Drucker
Marie Drucker

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Contrairement aux apparences, Marie Drucker n'aime pas être dans la lumière. Le plus important à ses yeux ? Être libre. Une leçon qu'elle a retenue de ses parents, et plus particulièrement de son père, Jean, PDG historique de M6 mort d'une crise d'asthme en 2003. Marie avait alors 28 ans. Elle ne s'en remettra jamais totalement, comme elle le confie en interview au magazine Elle : « J'ai eu un immense chagrin face à la perte, à la brutalité. » A-t-elle perdu à ce moment tous ses repères comme on pourrait facilement le supposer ? Pas vraiment : « Ma mère a été bien plus structurante que n'importe qui dans ma vie professionnelle, dans mes choix et mes intuitions, sans jamais être complaisante. »

Marie Drucker doit en effet beaucoup à sa mère, une femme qu'elle qualifie de « lucide », « détachée » mais profondément persuadée que « dans la vie, le principal, c'est d'être heureuse. » Son père, Jean, lui a appris en revanche à travailler pour gagner son indépendance et ainsi profiter de ces instants de bonheur dans un quotidien très studieux. Car oui, la petite Marie était une dure à cuire ! Elle était même « réfractaire à l'école. »

Les confidences de Marie Drucker

Autrefois en révolte contre l'autorité scolaire, Marie Drucker est désormais reconnaissante envers son père de lui avoir appris le goût du travail bien fait, condition indispensable pour apprécier le vrai goût de la la liberté. Quel héritage souhaite-t-elle léguer à son tour à sa descendance ? La confiance, une tâche pas aussi facile qu'on ne pourrait le croire : « Je rate, sûrement, comme tout le monde, je fais mal... » Si elle avoue manquer parfois de confiance en elle, Marie Drucker peut être sûre d'une chose : elle n'a pas les chevilles qui enflent !

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