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Cafouillage à la tête de la délégation d'El Kram
20/10/2015 | 20:26 , mis à jour à 09:31
1 min
Cafouillage à la tête de la délégation d'El Kram

 

Business News a appris ce mardi 20 octobre 2015, qu’un nouveau délégué a été nommé, la veille,  à El Kram, délégation de la banlieue nord de Tunis. Se rendant, aujourd’hui, pour prendre ses fonctions, il s’est vu refuser l’entrée par l’ancienne déléguée, qui a assuré n’avoir reçu aucune information quant à cette récente nomination.

 

Face à ce problème de passation, Business News a contacté la délégation d’El Kram pour plus ample information. Sauf que la délégation n’était pas au courant de tels faits, nous révélant qu’aucun délégué n’a été nommé à ce poste, celui-ci étant resté vacant.

 

Mise à jour :

 

Contactée par Business News, ce matin du mercredi 21 octobre 2015, la délégation d’El Kram a révélé que l’ancienne déléguée a repris ses activités ce matin et que la passation du poste n’a pas eu lieu.

 

R.B.H

20/10/2015 | 20:26 , mis à jour à 09:31
1 min
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Commentaires (3)

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Mansour Lahyani
| 21-10-2015 18:19
Cette "ancienne" déléguée était probablement adoubée par Dghij, Recoba et leur maudite LPR ! Donc, pas question qu'elle laisse la place à la légalité et à la légitimité ! Celle des LPR lui sert d'alibi et de moyen de "travail"'

Angel
| 21-10-2015 14:04
j'espère que BN nous donnera un suivi de cette affaire et quelques précisions!
Qui est cette ancienne déléguée?
Depuis combien de temps est-elle nommée?
Pendant combien de temps a-t-elle laissé son poste "vide"? Pourquoi?
De quel bord est-elle?
Qui aurait nommé un nouveau délégué? Pourquoi?
De quel bord est-il?

Qui est à la manoeuvre? l'ex-RCD? la nahdha? les LPR?
Dans une banlieue aussi sensible que signifie un tel non-évènement?

takilas
| 20-10-2015 22:50
L'invasion de la capitale et de ses banlieues connues depuis les affres et les banditismes subis depuis le R .C.D. jusqu'à Ennahdha et ses protecteurs de la révolution, continuent davantage.
Et les dépassements de ce nouveau colonialisme interne, sont les seuls objectifs d'une partie de la population tunisienne qui s'est habituée à renier catégoriquement les villes natales respectives de chacun de cette partie. Même les prétentions de régions marginalisées n'est qu'un faux alibi ; et personne en fin de compte n'en veut d'un prétendu développement régional. Seul Tunis compte ; à prouver son appartenance à cette ville est devenue la phobie majeure de quelques citoyens, et le comble c'est que paradoxalement au moment opportun ou lors des jours de fêtes, ou de dialogues favorables, ils se ressaisissent inconsciemment et se rappellent (parfois par illusoire vantardise) de leurs villes natales respectives.
Que d'habiter et s'imposer dans cette massacrée capitale, devient une des priorités de leur existence, quitte à le réaliser par la force et la corruption, et c'est la raison pour laquelle ces gens soutiennent aveuglement (et ont soutenu) le R.C.D. (Ben Ali) et Ennahdha. Ces partis ont ainsi abusé de leur naïveté pour les employer comme applaudisseurs potentiels (leur promettant l'éden rêvé) dans leurs campagnes électorales.
En conséquence, que d'habiter Tunis est devenu une finalité et une des causes, par ailleurs, de tout ce qui survient dans tout les domaines, dans toutes les activités et dans tous les medias soit audiovisuels ou écrits ; la vie du tunisien s'est transformé par cette obsession en on calvaire pour l'Etat et pour toute l'enfance et la jeunesse de ce pays.
Une débandade peut en cacher une autre.
Et, en fin de compte c'est à cause de cette phobie et cette obsession, qu'il n'y aura que de faibles espoirs pour que ce pays arrive à « survivre », avec n'importe quel parti et n'importe quel gouvernement.
Si cette calamité persiste, et apparemment elle le sera, la décadence (provoquée intentionnellement par des malfaiteurs et malfrats étrangers à ce pays) sera irréversible. Il s'agit en quelque sorte, sans se répéter, la raison essentielle du malheur de La Tunisie.
Toutefois, parole d'un simple citoyen takilas votre actuel interlocuteur sur ce site, les dites élections municipales seront (ils ne les réaliseront pas d'ailleurs) un vrai fiasco. Et un conseil, il est préférable de trouver d'autres solutions surtout pour les quatre gouvernorats de Tunis ; qui auraient pu être au nombre minimum de seize.