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« Il y avait tout sur place, à boire et à manger, le téléphone, des messagers urbains, de la papeterie, […]. Ici il y avait tout, sauf une horloge, si bien qu’on oubliait le temps et ce n’était pas grave car personne n’allait nous mettre à la porte même après le chant du coq et c’était d’ailleurs la raison pour laquelle venait la plupart des visiteurs : oublier le temps, le présent mais plus encore le passé. » August Strindberg connaît bien Zum Scwharzen Ferkel (Au Petit Cochon noir) pour en avoir été un pilier ! L’auteur suédois se targue même d’avoir inspiré le nom de la taverne : le sac à vin suspendu à l’entrée lui rappelait un porcelet.
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