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Leurre et malheur du transhumanisme Broché – Grand livre, 3 octobre 2018
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Olivier Rey est chercheur au CNRS, membre de l'Institut d'histoire et de philosophie des sciences et des techniques. Il a enseigné les mathématiques à l'École polytechnique et enseigne aujourd'hui la philosophie à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il a publié plusieurs ouvrages dont Une folle solitude. Le fantasme de l'homme auto-construit (2006), Après la chute (2014) et Une question de taille (2014).
- ISBN-102220095517
- ISBN-13978-2220095516
- ÉditeurDesclée De Brouwer
- Date de publication3 octobre 2018
- LangueFrançais
- Dimensions13 x 1.5 x 19 cm
- Nombre de pages de l'édition imprimée196 pages
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Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : Desclée De Brouwer (3 octobre 2018)
- Langue : Français
- Broché : 196 pages
- ISBN-10 : 2220095517
- ISBN-13 : 978-2220095516
- Poids de l'article : 229 g
- Dimensions : 13 x 1.5 x 19 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 361,183 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
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Olivier Rey, à qui l’on doit « le fantasme de l’homme autoconstruit », analyse cette fois les racines métaphysiques de cette idéologie, en remontant aux sources de l’Humanisme. L’Humanisme supposait déjà le refus - par principe - de recevoir ses normes et ses lois de la nature, et la croyance que l’Homme se grandit en les définissant lui-même. En clair, l’Homme ne connaît plus d’autre limites à ses désirs que celles de sa technologie. On comprend pourquoi les chantres de l’humanisme glissent aussi facilement vers l’idéologie du transhumanisme: c’est au fond la même. Mais alors, qui posera les limites ? L’Homme lui-même, répondent en chœur les transhumanistes.
Or, que nous apprend notre Histoire? Certes, après s’être égaré dans les idéologies nationaliste et marxiste, l’Homme a finalement su poser des limites, même fragiles. Face à l’idéologie capitaliste de surexploitation de la planète, il essaie de le faire. Mais combien de drames aura-t-il fallu subir aux hommes, combien leur faudra-t-il encore en éprouver avant d’y parvenir ? Ne leur serait-il pas utile de se demander si, au fond, accepter de reconnaître le langage de la Création ne serait pas le plus grand progrès qu’ils puissent accomplir ?