Maître Hippotaure
Le calme règne sur mes terres,
Chacun s’y sent comme chez soi ;
Nul n’y transgresse aucune loi,
En taverne on s’y désaltère.
Modestes sont les dignitaires,
Assidus aux lieux où l’on boit ;
Leur pouvoir n’est pas d’un grand poids,
Leur quotidien n’est pas austère.
Nous goûtons le plaisir d’amour
Au son du luth des troubadours ;
C’est merveilleux, c’est un délice.
La tristesse, il faut la bannir,
Il faut éloigner ce calice ;
Le mal, il faut s’en abstenir.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/mon-dernier-poeme
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=ronsard/helas-voici-le-jour-que-mon-maitre-on-enterre
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