Chemins qui ne mènent nulle part
En la forêt déconcertante,
Trompeurs sont de nombreux sentiers ;
Se perdent des troupeaux entiers
Qui suivent ces voies déroutantes.
D’y pénétrer, cela te tente,
Pour suivre un parcours forestier ;
Guide, ce n’est pas mon métier,
D’être rimeur je me contente.
Tu veux donc partir à tout prix
Car de ces bois tu es épris ;
Je trouve la chose insensée.
Tu t’en iras, j’en suis d’accord,
Préserve ton âme et ton corps ;
Moi, je t’accompagne, en pensée.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/en-la-foret-de-longue-attente
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=orleans/en-la-foret-de-longue-attente
sans oublier
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/chemins-qui-ne-menent-nulle-part
et voir également
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=rilke/chemins-qui-ne-menent-nulle-part
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