Quatre saisons, quatre fleurs
Composition de Cochonfucius
Le nénuphar de sable aimait l’obscurité ;
De gueules, son comparse était vraiment splendide ;
D’hermine, leur cousin prenait des airs morbides.
Le nénuphar d’argent embellissait l’été.
Ils ne venaient pas tous aux endroits souhaités ;
Au bord de leur étang, le sol parfois aride
Faisait le désespoir de l’ondine timide
Dont j’aimais la tendresse et l’immobilité.
Aucunement, vois-tu, de préférence n’ai-je
Pour un jour de soleil ou pour un jour de neige :
De l’ondine, jamais ne varie la pâleur.
La feuille de sinople accueille une grenouille
À peine distinguée, tant la brume la brouille ;
Du fier printemps, déjà, se montre la couleur.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/paysages-metaphysiques-nenuphares
ainsi que
http://chat-poete.blogspot.fr/2015/02/blanche-neige.html
et aussi
http://udolphe.blogspot.fr/2008/04/nymphea.html
sans oublier
http://heraldie.blogspot.fr/2015/02/quatre-saisons-quatre-fleurs.html
LikeLike
Pingback: Quatre saisons, quatre fleurs – Héraldie, seconde fondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Poésie)
Sommeil paradoxal
——–
Grenouille au printemps
Qui se croit dans un bocal,
Juste un cauchemar.
Pierrette en Héraldie
LikeLike
Quatre fleurs bleues
———-
Dans les confins de l’univers
Sont des planètes sans hiver,
Quatre fleurs sur l’une d’entre elles,
D’azur sous un grand soleil vert.
LikeLike