Armoiries quenaldiennes
Composition de Cochonfucius
En haut du bouclier, on lit : Raymond, satrape.
La pointe est de sinople, incomparable émail ;
On n’y voit point la plume, outil de son travail,
Mais un oiseau d’azur et, de sable, deux grappes.
On aurait pu y mettre, au naturel, Priape ;
Le sang de la sirène et son coeur de corail ;
Le fils du charpentier dans l’éclat d’un vitrail
Ou Félix Dupanloup dans sa papale cape ;
Mais rien de tout cela dans l’écu que forgea
L’armurier du Collège, en un temps où déjà
Était passé de mode un trop foisonnant thème.
Tu aurais pu, buvant le vin de ton tonneau,
Tracer sur cet écu, ô mon seigneur Queneau,
Dix puissance quatorze admirables poèmes.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/l-estoc
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=heredia/l-estoc
et encore
http://heraldie.blogspot.fr/2014/10/armoiries-quenaldiennes.html
et aussi
http://www.qenherkhopeshef.org/nomHieroPHP/
sans oublier
http://x42.com/active/queneau.html
ou même
https://paysdepoesie.wordpress.com/2017/03/18/ambipaon/
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