Au fil de la Seine
Jeanne au tombeau n’eut jamais à descendre ;
Car l’eau de la Seine emporta ses cendres.
Il ne fut permis de porter son deuil,
Le menuisier n’a point fait son cercueil.
Grise est la cendre au fil de cette eau sombre,
C’est à l’heure où vont s’allongeant les ombres.
L’eau de la mer va bientôt recueillir
Cette cendre ; et nos coeurs, le souvenir.
Vous qui vous souvenez de la pucelle
Dont vous étiez les compagnons fidèles,
En son honneur, faites bien vos métiers,
Comme autrefois le fils du charpentier.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/aux-freres-de-pange
ainsi que
http://www.paradis-des-albatros.fr/?poeme=dumas/jeanne-d-arc-au-bucher
et aussi
https://paysdepoesie.wordpress.com/2013/10/27/la-chanson-de-jeanne/
sans oublier
https://paysdepoesie.wordpress.com/2013/08/11/cendres-de-jeanne/
et puis il y a
http://nouvelleheraldie.blogspot.fr/2018/02/la-geste-de-jeanne-ou-lepopee-dune.html
LikeLike