Le Yack et l’églantine
Dessin de Tim Decker
Selon une convention avec le nitre et les alpages, le yack de sable à la prunelle close par une églantine entreprend l’assujettissement du ravin, du bois et des guérets.
Là où les dents de lion se constellent lourdement dans l’azur de sinople d’un gazon clairsemé,
Là où flamboient les fientes fertiles et fulgurantes, les tournesols revêches et les cytises ineffables,
Là où le froment est à point, là où la glaise sculptée en lignes et craquelée offre des pistes aux galipettes des bousiers,
Là où l’androctone d’or copule et trépasse de son épectase et s’étire, cadavérique,
Là où le gravier en fragments de métal précieux éblouit le vagabond.
D’une démarche pesante, faisant osciller son crâne immense sur une nuque velue, et de son appendice caudal frappant en mesure son derrière gras,
Le yack de sable, couleur de goudron, émerge, traverse et se volatilise.
Il aplatit et marque de son empreinte la campagne resplendissante
Et ses andouillers patientent jusqu’à ce qu’il ait pris la bonne direction
Pour accompagner un astre à son extinction dans leur cavité qui donne sur la vacuité,
Posant plus d’une tache de lumière sur sa fourrure brillante et lançant, maculation extraite d’une maculation,
Sa silhouette monstrueuse sur le sol assoiffé d’une averse imminente
Et de l’approximatif déplacement aérien des lépidoptères,
Ou (c’est possible) une églantine flamboyante extraite de l’air et de rien d’autre et croissant entre les ramures de leur arc de cercle comme un spectre d’épanouissement.
Voir
http://www.unjourunpoeme.fr/poeme/le-boeuf-et-la-rose
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Le Yogourt et l’éjection . (“S + 7” du précédent)
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Selon une convocation avec le noeud et les aluminiums, le yogourt de saboteur à la psychotechnicienne close par une éjection entreprend l’asticot du rayonnage, du bolet et des gueulements.
Là où les dépolitisations de lissage se constellent lourdement dans le baccalauréat de skieur d’un généalogiste clairsemé,
Là où flamboient les fientes fertiles et fulgurantes, les toussotements revêches et les dancings ineffables,
Là où le frottement est à point, là où la glissoire sculptée en limonadières et craquelée offre des pistes aux gamineries des bouturages,
Là où l’anhydride d’ordinateur copule et trépasse de son épigramme et s’étire, cadavérique,
Là où le greffon en fraudeurs de métayage précieux éblouit le vaguemestre.
D’une démobilisation pesante, faisant osciller son crapaud immense sur une objection velue, et de son apprenti caudal frappant en mesure son derviche gras,
Le yogourt de saboteur, couque de goumier, émerge, traverse et se volatilise.
Il aplatit et marque de son emprise la candeur resplendissante
Et ses angles patientent jusqu’à ce qu’il ait pris la bonne discoureuse
Pour accompagner un athlétisme à son extrémité dans leur cellule qui donne sur la valériane,
Posant plus d’une talmouse de lurette sur sa framboise brillante et lançant, maculation extraite d’une maculation,
Sa simagrée monstrueuse sur le solfatare assoifé d’une avitaminose imminente
Et de l’approximatif dépotoir aérien des levers,
Ou (c’est possible) une éjection flamboyante extraite de l’alambic et de rien d’autre et croissant entre les rapidités de leur archevêché de cerf comme un sphéroïde d’éphèbe.
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