À travers l'Europe, croquis de cavalerie : ouvrage illustré de 300 gravures dans le texte. 1893

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À travers l'Europe, croquis de cavalerie : ouvrage illustré de 300 gravures dans le texte et 50 en couleurs, d'après les [...]

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À travers l'Europe, croquis de cavalerie : ouvrage illustré de 300 gravures dans le texte et 50 en couleurs, d'après les dessins de l'auteur / L. Vallet,... ; préface de M. Roger de Beauvoir. 1893. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.



Le Chic à Cheval (2e

a TRAVERS CROQUIS

DE

Série)

L'EUROPE

CAVALERIE


A TRAVERS

L'EUROPE

CROQUIS DE CAVALERIE


TYPOGRAPHIE FIRMIN-DIDOT ET

Cie —

MESNIL (EURE).



N° 1.—

Officier des hussards de Hanovre ; rég. n° 15. Officier du rég. de cuirassiers de la Garde.

N°2. — N° 3. — Officier du

dragons de la Garde. N° 4. — Officier du 3e rég. des hulans de la Garde. N° 5. — Officier des gardes du 6. — Officier des reîtres de la Garde saxonne. 2e rég. des

cOrps.

OFFICIERS DE CAVALERIE DE

LA

GARDE EN TENUE DE GALA.


L.

VALLET

ANCIEN CAVALIER-ÉLÈVE DE L'ÉCOLE DE SAUMUR

PRÉFACE DE M. ROGER DE BEAUVOIR

OUVRAGE ILLUSTRÉ DE 300 GRAVURES DANS LE TEXTE ET 50 EN COULEURS D'APRÈS LES DESSINS DE L'AUTEUR

PARIS LIBRAIRIE

DE

FIRMIN-DIDOT ET

IMPRIMEURS DE L'INSTITUT, RUE JACOB,

1893 Reproduction et traduction réservées.

56

CIE


A SON ALTESSE ROYALE

MGR

LE. DUC D'AUMALE

TRÈS RESPECTUEUX HOMMAGE L. VALLET.


MARMONT.

A

cavalerie ! ce nom évoque aussitôt d'éclatantes fanfares, un

bruissement d'acier, d'étonnantes chevauchées, d'incroyables victoires, mais aussi, hélas ! de glorieux revers. Depuis le jour où Alexandre franchissait l'Hydaspe à la tête de ses 6.000 cavaliers devant l'armée de Porus, depuis Zama où la cavalerie de Scipion renversaitla fortune d'Annibal ; en passant par l'épopée romaine, celle des Gaulois, des Germains et des Francs, de Charlemagne et des Saxons, de Charles Martel et des Sarrasins ; en traversant le moyen âge, la chevalerie, les croisades, lès guerres de Cent, de Trente et de Sept ans pour arriver à nos jours au milieu des luttes de la Révolution et de l'Empire, que n'a-t-on pas dit et écrit sur la cavalerie, l'exaltant jusqu'à l'apothéose ou l'écrasant sous le plus cruel etde plus injuste dédain ? Aujourd'hui encore, son existence, son utilité, son mode d'emploi, ce qu'on peut en attendre, autant de sujets sur lesquels s'exercent nombre d'écrivains, militaires ou non. Inutile, encombrante, ruineuse, il faut la supprimer, disent les uns. Solidement organisée, riche en officiers, en hommes et en chevaux, telle il la faut désormais, répliquent les autres. Eh bien, il n'y a pas de moyen terme : elle est utile ou elle ne l'est pas. La grosse difficulté a toujours été de rencontrer un véritable général de cavalerie.


Le maréchal Marmont affirme que, pendant vingt années de guerre,

il n'en

a

connu que trois : Kellermann, Montbrun et Lasalle. « Eussiez-vous un coup d'oeil rapide et un éclat de détermination « plus soudain que le coursier emporté au galop, a écrit le général « Foy, ce n'est rien si vous n'y joignez la vigueur de la jeunesse, de « bons yeux, une voix retentissante, l'adresse d'un athlète et l'agi« lité d'un centaure. Avant tout, il faudra que le ciel vous ait dé« parti avec prodigalité cette qualité précieuse qu'aucune ne remplace et dont il est plus avare qu'on ne le croit communément, la « « bravoure! »

la

cavalerie est; par excellence, l'arme de l'offensive et de l'à-propos. Son élément est la rapidité, l'audace est son caractère. Rares et fugitifs sont les moments qui s'offrent à l'action dela cavalerie sur le champ de bataille ; il faut les saisir, et l'inspiration seule sait en profiter. C'est elle qui sacre les généraux de cavalerie. C'est que

L'histoire de la guerre nous apprend ; du reste, que partout où la cavalerie a décidé de la victoire, elle agissait en grande masse. La guerre de Sept ans et celles de l'Empire le prouvent. au trône, Frédéric II s'exprimait ainsi à propos de la cavalerie prussienne. « Elle était composée de très grands « hommes montés sur des chevaux énormes ; c'étaient des colosses éléphants, qui ne savaient ni manoeuvrer ni combattre; « sur des « il ne se faisait aucune revue où, par maladresse, il ne tombât « quelques cavaliers par terre. Deux ans après, cette même cavalerie, dirigée, instruite, bien commandée, obtenait des succès merveilleux à Czaslau, à Friedberg, à Sorr et à Kasseldorf. Cela n'empêchaitpas Frédéric II d'écrire à de Ziethen, le commandant de sa cavalerie : « Je, vous recommande, avant tout, de pourlui donner le temps de respirer « suivre l'ennemi à outrance, sans Je veux croire que votre monde est fatigué, « et de se reconnaître: mais songez que l'ennemi l'est mille fois davantage et qu'il im« « porte de le pousser, de le poursuivre, de ne pas Lâcher prise. « Mon cher Zieten, à l'époque où nous sommes, un jour de fatigue nous en procure toujours le cul sur la selle! toujours aux trousses « cent de repos. Allons, général, « de l'ennemi ! » A son avènement

»


Dans ces conditions, la cavalerie contribuera en tout temps aux succès d'une armée. C'est pour avoir oublié les principes de Frédéric le Grand que la cavalerie prussienne a succombé à Iéna et à Auerstadt, et après la retraite sur l'Oder et les côtes de la Baltique, à Eylau, à Heilsberg, à Friedland. « «

a «

a

Si j'en voulais bien à quelqu'un, écrivait Napoléon à Lannes, le 18 novembre 1805,

c'était à Walter, parce qu'il faut qu'un général de cavalerie suive toujours l'ennemi l'épée dans les reins, surtout dans les retraites, que je ne veux pas qu'on ménage les chevaux quand ils peuvent prendre des hommes et parce que j'ai la conscience qu'on pouvait faire hier ce que l'on fait aujourd'hui. »

Aussi est-ce à la rapidité des marches de la cavalerie impériale, à l'emploi intelligent que sut faire d'elle un commandant jeune, ardent, audacieux, ne doutant de rien, qu'il faut attribuer surtout les prodigieux succès obtenus. En voici un exemple frappant. Du 7 octobre au 7 novembre, la cavalerie d'avantgarde, sous les ordres de Lassalle, n'a jamais séjourné plus de 24 heures dans le même cantonnement. Elle a livré 17 combats et parcouru en moyenne 42 kilomètres par jour, distance qui, par certaines journées, a été portée au double. Comme résultats des brillantes chevauchées du corps de cavalerie de Murat, le général Belliard, son chef d'état-major, dressait, le 7 novembre, le tableau des prises faites depuis le 9 octobre, c'est-à-dire depuis le combat de Saalfeld jusqu'à la capitulation de

Lubeck : Officiers, 975 ; soldats, 71.897 ; étendards, 77.

Canons, 509 ; chevaux, 18.450 ; caissons et fourgons, 617. La simplicité de la conception, la vigueur de l'exécution, telles furent les principaux facteurs de la victoire. « La cavalerie, s'écriait l'Empereur, demande de l'audace, de l'habileté et surtout de « ne pas être dominée par l'esprit de conservation et d'avarice. »


L'action de la cavalerie s'exerce notamment en grande masse. Le plus grand corps de cette armée réuni sous un même commandement fut le 4e corps, en Russie; il avait à sa tête le général Latour-Maubourg ; il comprenait 11 régiments 5 de cuirassiers et : 6 de lanciers, soit 43 escadrons de 160 à 170 chevaux, avec 4 batteries d'artillerie ; au

total 7.000 sabres et 8.000 chevaux.

Par la réunion en grande masse, la cavalerie, nouvellement formée et peu instruite, devenait capable de hauts faits de guerre. De 1813 à 1815, elle en a témoigné. Avec elle, Napoléon accomplit des prodiges. Par contre, comme le déclare le général Koehler, la cavalerie prussienne, pendant ces mêmes campagnes de 1813 à 1815, ne sut pas conserver sa place d'honneur parmi des autres armes. Blücher, lui-même, partage cette opinion. Quoique employée en petit nombre, la cavalerie peut rendre d'importants services. C'est ainsi qu'à la bataille de Custozza, le colonel Pultz, à la tête de deux brigades autrichiennes, chargeant les divisions Bixio et Humbert, passa sur le corps des tirailleurs, enfonça quelques carrés et répandit la panique jusqu'aux lignes les plus reculées. L'attaque avait eu lieu à 7 heures du matin, et de 11 heures à 4 heures du soir, les deux divisions italiennes, sous l'empire de la frayeur que leur avaient inspirée ces charges à outrance, se tenaient encore en avant de Villafranca, immobilisées et terrifiées. 700 cavaliers vigoureusement menés avaient empêché 30,000 hommes de prendre part

à la bataille. En 1875, à Eraül, un petit corps carliste aux ordres du général espagnol Dorregaray, luttait depuis plusieurs heures contre des forces régulières très supérieures en nombre ; le combat se poursuivait pied à pied sur des pentes couvertes de bois ; tout à coup le vieux marquis de Valdespina se précipite du haut en bas des pentes avec 15 cavaliers sur les bataillons réguliers déjà victorieux. Cet héroïque peloton renverse tout sur son passage; il succombe presque en entier, mais l'infanteriecarliste utilise l'instant psychologique, elle charge une dernière fois l'ennemi surpris et hésitant, le culbute définitivement vers la plaine, lui prend ses canons et son chef, le colonel Navarro. L'histoire de la cavalerie fourmille de ces exemples.

L'exploration est le premier devoir de cette arme. Rechercher les positions de l'adversaire, dissimuler celles de l'armée. Voilà sa mission principale. Combien a été utile à l'Allemagne, en 1870, ce rideau impénétrable de hulans qui, sur 20 lieues de profondeur, a tantôt couvert les mouvements de l'armée prussienne et tan¬


tôt les a masqués. Tous se le rappellent encore. Que n'auraient pu faire les corps de la province si la cavalerie ne leur eût manqué ? A qui les généraux allemands ont-ils dû leurs renseignements, malheureusement si exacts? A la cavalerie. N'insistons pas sur ces souvenirs douloureux ; ils sont à la mémoire de tous. Rien n'est venu modifier le grand rôle de la cavalerie; elle le conservera tant que la loi des rapidités existera.

La rapidité, c'est l'imprévu, la surprise, la variété dans l'action. Actionde choc vis-à-visdes autres armes, combat individuel, poursuite ; en résumé : sabre et offensive prêts à faire face à tous les incidents multiples qui peuvent naître des combinaisons nouvelles de la tactique. Les troupes engagées dans les plus sanglantes affaires pendant ces campagnes récentes, contre des adversaires pourvus de l'armement le plus perfectionné, ont rarement subi des pertes aussi fortes que celles supportées par la cavalerie impériale, à la journée d'Aspern, le 21 mai 1809, où dans une charge de 5.000 cuirassiers, 3.000 hommes res-

taient sur le terrain. Cela prouve que l'armement moderne ne doit pas, comme l'ont affirmé beaucoup d'écrivains contemporains, interdire à la cavalerie l'action en masse sur les champs de bataille de l'avenir. Si les champs de bataille étaient des champs de tir, les feux mériteraient les succès qu'on leur attribue. Mais les champs de bataille ne sont pas des champs de tir. Il est tout aussi illogique de croire que la cavalerie a pour mission de tout culbuter que de la proclamer incapable désormais d'une action

décisive. Ce qui est certain, toutes les armes ayant fait d'immenses progrès, pour ne pas rester en arrière, la cavalerie doit mieux monter ses chevaux, leur donner plus de sang et partant plus d'avoine, et aussi, le moins possible de poids à porter. Avec les armes actuelles, la cavalerie, maintenue à distance de 2.000

mètres de l'ennemi, devra, pour l'atteindre, être en état de parcourir cet espace au galop allongé. Il est donc nécessaire de décharger les che¬


vaux en conséquence, afin qu'ils soient toujours précepte de l'Arabe :

en condition, et se

souvenir du sage

la montée, épargne-moi ; A la descente, soutiens-moi; En plaine, use de moi; A l'écurie, soigne-moi. A

C'est dans cet ordre d'idées, dans cet esprit d'impartialité et avec compétence, que M. Louis Vallet, l'auteur du Chic à cheval, a exposé l'organisation des cavaleries de l'Europe. Il a augmenté le texte de son ouvrage de jolies illustrations. Elles ajoutent au

mérite de son livre et en sont un commentaire heureux. Il sera lu partout avec fruit, mais il aura un attrait de plus par l'application artistique qu'en a fait l'auteur soit des récits du texte, soit des théories techniques. Les militaires, eux-mêmes, y hônoreront les glorieux faits d'armes de leurs aînés et ils rediront avec fierté que la cavalerie disposa d'une couronne en une seule bataille. Richard III, que Shakspeare a immortalisé plus que ne le pouvaient faire ses crimes, ne s'écriait-il pas à Boswortth : « Un cheval, un cheval, mon royaume pour un cheval ! » ROGER DE BEAUVOIR. Août 1892.


AVIS AU LECTEUR

Les pages de ce

livre consacrées à l'Allemagne ayant été imprimées depuis longtemps, il est

nécessaire d'appeler l'attention du lecteur sur certaines modifications introduites depuis cette date, notamment dans la compositionet la répartition de l'armée de l'Empire allemand. C'est ainsi que le nombre de corps d'armée a été augmenté de deux et s'élève à dix-neuf non compris la Garde. Leur dénombrement, au point de vue du recrutement et des réserves, rectifiant celui donné à la page 18, est le suivant, avec l'indication de leurs quartiers généraux respectifs. 1er CORPS (Koenigsberg). — Prusse orientale partie est, jusqu'à la Vistule. 2e CORPS (Stettin). — Prusse occidentale partie ouest, Poméranie et le nord de la Posnanie. 3e CORPS (Berlin). — Brandebourg. 4e CORPS (Magdebourg).— Province de Saxe, duchés d'Anhalt et de Saxe-Altenbourg, principautés de Schwarzbourg et celles de Reuss. 5e CORPS (Posen). — Posnanie partie sud et le nord-ouest de la Silésie. 6e CORPS (Breslau). —Silésiepartie sud-est. 7e CORPS (Munster). — Westphalie septentrionale, province Rhénane partie nord, principautés de Lippe-Detmold et de Schaumbourg-Lippe. 8e CORPS (Coblentz). — Province Rhénane partie sud. 9e CORPS (Altona). — Schleswig-Holstein, grand-duchés de Mecklembourg-Schwerin et de Mecklembourg-Strélitz,villes libres de Brême, Hambourg et Lubeck. de Brunswick. 10E CORPS (Hanovre). — Hanovre, grands-duché d'Oldenbourg, duché 11e CORPS (Cassel). — Westphalie méridionale, Hesse électorale, Francfort-sur-le-Main,grandduché de Saxe-Weimar, duchés de Saxe-Cobourg-Gotha et de Saxe-Meiningen, principauté de Waldeck, grand-duché de Hesse-Darmstadt. 12e CORPS (Dresde).— Royaumede Saxe. 13e CORPS (Stuttgart). Wurtemberg. — Royaume de 14e CORPS (Carlsruhe). — Grand-Duché de Ba de et Haute-Alsace. 15e CORPS (Strasbourg). — Basse-Alsace et partie nord-est de la Lorraine. 16e CORPS (Metz). — Lorraine nord-ouest et sud. 17e CORPS (Dantzig). —Prusse orientale partie ouest et Prusse occidentale partie est. Le royaume de Bavière fournit deux corps d'armées indépendants : le 1er comprenant la


partie méridionale (quartier général à Munich); le 2e la partie septentrionale et le Palatinat (quartier général à Wurzbourg). La 5e brigade de cavalerie de ce dernier corps est en partie en garnison en Lorraine, à Dieuze et à Sarreguemines. Dans l'énumération des régiments de cavalerie allemande (pages 2 à 8), il y a à rectifier certains changements de garnison, d'après les indications fournies à cet égard par les listes insérées aux p. 33 et suivantes, qui rectifient également la composition de la division de cavalerie de la Garde (p. 9). Par suite d'une faute d'impression aux pages, 2, 3,4, 5, 6 et 15, on a mis à plusieurs reprises du Schleswig, au lieu de de Silésie ; de môme, il faut lire de Lithuanie, au lieu de de Litthau (p. 3 et 6). A la p. 8, pour le 3e régiment de chevau-légers de Bavière, au lieu de : ex-régiment Archiduc Maximilien d'Autriche, il faut lire : ex-régiment du duc Maximilien de Bavière. Enfin, il faut rectifier comme il suit le cinquième alinéa de la page 24 : « Actuellement, il? y a quatre officiers généraux ayant rang de maréchal, mais qui portent des titres particuliers : le général-feldmaréchalvon Pape, qui est colonel-général d'infanterie; puis le grand-duc de Bade, le grand-duc de Saxe-Weimar et le prince de Bismarck, qui sont colonels-générauxde cavalerie (General-Oberst der Cavallerie).


CROQUIS

CAVALERIE DE

CHAPITRE PREMIER ALLEMAGNE

les événements de 1814-1815 la Prusse procéda à la réorganisation de sa cavalerie. Tout d'abord cette cavalerie fut composée de 64 régiments, 32. de ligne et 32 de landwehr ; dans ce nombre étaient compris les régiments de la Garde, savoir : 2 régiments cuirassés, de hulans, 2 de dragons, 1 de hussards, I de landwehr. 2 — L'armée prussienne étant alors répartie en 4 corps d'armée, la cavalerie comptait donc, en moyenne, 8 régiments par corps d'armée. Ces 32 régiments de la ligne se répartissaient de la façon suivante : 8 régiments de cuirassiers, de hulans, 8 — de dragons, 4 — de hussards. 12 — Les régiments de la landwehr correspondant à ceux de la ligne formèrentjusqu'en 1852 des brigades distinctes. En 1852 l'embrigadementfut ainsi modifié : Au lieu des divisions mixtes constituées par la réunion des brigades de la ligne et de PRÈS


celles de la landwehr, on forma des brigades mixtes en accolant à chaque régiment de ligne le régiment de la landwehr de même numéro. Cet état de choses dura jusqu'en 1860.

année, etremplacée

deligne etles

partir de cette dernière landwehr fut supprimée 8 nouveaux régiments lans nos 9, 10, 11 et 12, A

la cavalerie de la

par la création de : les régiments de hurégiments de dragons

En même temps on créa dans la Garde le régiment de hulans n° 3, et le régi¬ ment de dragons n° 2. casquette d'officier de la landwehr C'étaient donc 48 que comptait alors la cavalerie prussienne : 40 régiments de ligne et 8 régiments de la Garde. En outre, en temps de guerre, il était formé, avec les réservistes et les landwehriens disponibles, 16 nouveaux régiments, dits RÉGIMENTS DE RÉSERVE. Après les rapides succès de la campagne de 1866, 20 autres régiments de cavalerie furent formés, soit avec les contingents des pays annexés à la Prusse soit avec ceux des États de la Confédération de l'Allemagne du Nord. Ces 20 nouveaux régiments prirent à la suite de la cavalerie prussienne les numéros suivants : CUIRASSIERS.

régi-ments

4 régiments de hulans : nos 13, 14, 15 et 16 ; 11 régiments de dragons : nos 9, 10. 11, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18 et 19 ; 5 régiments de hussards : nos 13, 14, 15, 16 et 17 ; Auxquels il convient d'ajouter la cavalerie saxonne qui comprenait 2 régiments de hulans et 4 régiments de REITER. A l'heure actuelle et sur le pied de paix, la cavalerie allemande se décompose de

la manière suivante : Régimentsdes gardes du corps, en garnison à Potsdam ; Régiments des cuirassiers de la Garde, en garnison à Berlin ; Leib-cuirassiers, du Schleswig, Grosser Kurfürst, régiment n° 1, en garnison à Breslau ; Cuirassiers de Poméranie, régiment de la Reine, n° 2, en garnison à Pasewalk ; Cuirassiers de la Prusse orientale, régiment du comte de Wrangel, n°3, en garnison à Konigsberg ; Cuirassiers de Westphalie,régiment von Driesen, n°4, en garnison à Münster ;


5e

Cuirassiers de la Prusse occidentale, régiment du duc Frédéric-Eugène de Wurtemberg, n° 5 (1er, 2e, 4e et escadrons à Grandenz, 3e escadron à Eylau, Cuirassiers

du Brandebourg, régiment de l'empereur Nicolas 1er de Russie, Brandebourg ; n° 6, en garnison à Cuirassiers de Magdebourg, régiment de Sedlitz, n° 7 (1er, 2e et 5e escadrons à Halberstadt, 3e et 4e escadrons à Quedlinbourg) ; Cuirassiers du Rhin, régiment du comte Gessler, n° 8, en garnison à Deutz. DRAGONS.

Dragons de la Garde, régiment de la reine d'Angleterre, en garnison à Berlin : 2e Dragons de la Garde, en garnison à Berlin ; Dragons de Litthau, régiment du prince Albert de Prusse, n° 1, en garnison à Tilsitt ; Dragons de Brandebourg, régiment n° 2, en garnison à Schwedt (a. O.) ; Dragons de Neumarck, régiment du baron de Derfflinger, n° 3, à Bromberg ; Dragons du Schleswig, régiment de Bredow, n° 4, en garnison à Lüben ; Dragons du Rhin, régiment du baron de Manteuffel, n° 5, en garnison à Hofgeismar ; Dragons de Magdebourg, régiment n° 6, en garnison à Diedenhofen ; Dragons de Westphalie, régiment n° 7, en garnison à Saarbruck ; 2e Dragons du Schleswig, régiment du roi Frédéric III, n° 8 (1er escadron à Oels, 2e escadron à Creutzbourg, 3e escadron à Bernstadt, 4e et 5e escadrons à Hamslau ; 1er Dragons du Hanovre, régiment n° 10, en garnison à Metz ; 1er


Dragons de la Prusse orientale, régiment n° 10, en garnison à Allenstein ; Dragons de Poméranie, régiment de Wedell, n° 11 (1er, 2e et 5e escadrons à Gumbirmen, 3e et 4e escadrons à Stallüponen) ; 2e Dragons de Brandebourg, régiment d'Arnim, n° 12, en garnison à Gnesen ; Dragons du Schleswig-Holstein, régiment n° 13, en garnison à Metz ; Dragons de Kürmarck, régiment n°14, en garnison à Colmar ; 3e Dragons du Schleswig, régiment n°15, en garnison à Haguenau ; 2e Dragons du Hanovre, régiment n° 16 (1er, 2e, 3e et 5e escadrons à Lünebourg, 4e escadron à Nelzen. 1er Dragons du grand-duché de Mecklembourg, régiment n° 17, en garnison à Ludwigslust; 2e Dragons du grand-duché de Mecklembourg, régiment n° 18, en garnison à Parchim

;

Dragons d'Oldenbourg, régiment n°19, en garnison à Oldenbourg ; 1er Leib-dragons badois, régimentn° 20, en garnison à Carlsruhe ; 2e Dragons badois, régiment n° 21 (1er, 2e, 3e et 5e escadrons, à Bruchsal, 4e escadron à Schwetzingen) ; 3e Dragons badois, régiment du prince Charles, n° 22, en garnison à Mulhouse ; 1er Dragons du grand duché de Hesse, régiment de la Gardé, n° 23 (escadron de la Garde et 5e escadron, à Darmstadt, 2e, 3e et 4e escadrons à Babentsausen) ; 2e Dragons du grand duché de Hesse-Leib, régiment n° 24 (escadron de la Garde, 2e et 5e escadrons à Darmstadt, 3e et 4e escadrons à Butzbach) ; 1er Dragons du Wurtemberg, régiment de la reine Olga, n° 25, en garnison à Ludwigsbourg ; 2e Dragons du Wurtemberg, régiment n° 26 (3 escadrons à Ulm et 2 escadrons à Wiblingen). HUSSARDS.

Leib-garde, régiment en garnison à Potsdam ; 1er Leib-hussards, régiment n° 1 (1er, 2e et 5e escadrons, à Dantzig et Langfuhr, 3e et 4e escadrons à Sargardt (4e escadron destiné à Dantzig) ; 2e Leib-hussards, régiment de l'Impératrice, n° 2, en garnison a Posen ;


PRINCESSE, COLONEL HONORAIRE D'UN RÉGIMENT DE HUSSARDS.



Hussards de Brandebourg, régiment de Ziethen, n° 3, en garnison à Rathenow ; Hussards, 1er du Schleswig, régiment Schill, n° 4, en garnison (1er, 2e et 5e escaStrehlen) ; drons à Ohlau. 3e et 4e escadrons à Blücher, n° 5 (1er escadron Hussards de Poméranie, régiment 3e, à Stolp) ; 4e et 5e escadrons à Schlawe, 2e, comte de Goetzen, n° 6 (1er, Hussards, 2e du Schleswig, 3e escadron à Ober2e, 4e et 5e escadrons, à

de

régimentdu Leobschütz,

régiment Bonn ;

du roi Guillaume Ier, n° 7, Hussards 1er du Rhin, landwher : en garnison à de la n° 8 (1er, 3e et 4e escaHussards 1er de Westphalie, drons à Neuhaus, 2e et 5e escadrons, à Paderborn) ; Hussards, 2e du Rhin, régiment n° 9, en garnison à Trier ; Hussards de Magdebourg, régiment n° 10, en garnison à Stendal ; Hussards, 2e de Westphalie, régiment n° 11 (1er, 3e, 4e et 5e escadrons à Dusseldorf, 2e escadron à Benrath) ; Hussards deThuringe, régiment n° 12 (1er et 2e escadrons à Weissenfels, 3e, 4e et 5e escadrons à Mersebourg) ; 1er Hussards hessois, régiment nc 13 (1er, 2e et 5e escadrons à Francfort, 3e et 4e escadrons à Mainz) ; 2e Hussards hessois, régiment du Landgrave Frédéric II de Hesse-Hombourg,n° 14, en garnison à Cassel ; Hussards de Hanovre, régiment n° 15, en garnison à Wandsbeck ; Hussards du Schleswig-Holstein, régiment de l'empereur François-Joseph d'Autriche, n° 16, en garnison à Schleswig ; Hussards du Brunswick, régiment n° 17, en garnison à Brunswick ; 1er Hussards du royaume de Saxe, régiment n° 18, en garnison à Grossenhain ; 2e Hussards du royaume de Saxe, régiment n° 19 (1er, 3e et 5e escadrons à Grimma, 2e et 4e escadrons à Lansigk).

régiment

HULANS. 1er

Hulans de la Garde, en garnison à Potsdam ;


Hulans de la Garde en garnison à Berlin ; à Potsdam ; 3e — — Hulans de la Prusse occidentale, régiment de l'empereur Alexandre III de Russie, n° 1 (1er, 2e, 3e et 5e escadrons à Militsch, 4e escadron à Ostrowo) ; Hulans du Schleswig, régiment de Katzler, n° 2 (1er et 3e escadrons à Ratibor, 2e escadron à Pless, 4e escadron à Sohrau, 5e escadron à Gleiwitz) ; 1er Hulans du Brandebourg, régiment de l'empereur Alexandre II de Russie, n° 3 (1er et 2e escadrons, à Francfort-surl'Oder, 3e, 4e et 5e escadrons à Furtenswalde) ; 1er Hulans de Poméranie, régiment de Schmidt, n° 4, en garnison à Thorn ; Hulans de Westphalie, régiment n° 5, en garnison à Dusseldorf; Hulans de Thuringe, régiment, n° 6 (1er, 2e et 5e escadrons à Mulhouse, 3e et 4e escadrons à Langensalza) ; Hulans du Rhin, régiment n° 7, en garnison à Sarrebourg ; Hulans de la Prusse orientale, régiment du comte de Dohna, n° 8 (1er, 2e, 3e et 5e escadrons à Lyck, 4e escadron à Marggrabowa) ; 2e Hulans de Poméranie, régiment n° 9, en garnison à Demmin ; Hulans de Posen, régiment du prince Auguste de Wurtemberg, n° 19, en garnison à Züllichau ; régiment n° 11, 2e Hulans de ; en garnison à Hulans de Litthau, n° 12 (1er esca5e escadrons à Intersdron Goldhap (2e, 3e, 4e 2e

et à

Brande-bourg, Sarrebourg

régiment Hano-vre Hanovre Hanovre,

Hulans du n° 13 en garnison à 5e Hulans de 3e, 4e et 5e escadrons 1er

Hulans de

régiment du Roi, ;

régiment n° 14 (1er,

Saint-Avold,

2e

esca-

Schleswig-Holstein, Stras-bourg

(1er, escadrons

en garnison à Hulans de de Treffenfeld n° 16 wedel, 3e et 4e 1er Hulans du royau-

Altmark,

de la

régiment n° 15,

;

régiment et

Garde prussiennne.

2e

de Hennings 5e escadrons à Salz-

à Gardelegen) ; me de Saxe, regiment



Hulans de Bavière, régiment de l'empereur Guillaume 11, roi de Prusse, en garnison à Bamberg ; 2e Hulans de Bavière, régiment du Roi, en garnison à Ansbach. 1er

SCHWERE REITER (grosse cavalerie). Royaume de Saxe, Garde-Reiter, régiment en garnison à Dresde ; Royaume de Saxe, régiment de carabiniers (1er, 2e et 4e escadrons à Borna, 3e et 5e escadrons à Pegau) ; Royaume de Bavière, 1er Schweres-Reiter, régiment du prince Charles de Bavière, à Munich ; Royaume de Bavière, 2e Schweres-Reiter, ex-régiment de l'archiduc Rodolphe d'Autriche, en garnison à Landshut.

CHEVAU-LÉGERS (ROYAUME DE

BAVIÈRE).

régiment, empereur Alexandre de Russie, en garnison à Nurenberg ; 2e régiment, Taxis, en garnison à Dillingen ; 3e régiment, ex-régimentarchiduc Maximilien d'Autriche, en garnison à Dieuze ; 4e régiment du Roi (4 escadrons à Augsbourg, 1 escadron à Neu-Ulm) ; 5e régiment, archiduc Albert d'Autriche (4 escadrons à Saargemünd, un escadron à Sweibruken) ; 6e régiment, grand-duc Constantin Nicolajevitch (2 escadrons à Bayreuth, 2 escaà Neumarck). drons à Amberg, 1 (1) compte 10 régiEn résumé le royaume 28 régiments de draments cuirassés dont 2 de régiments de hulans, dont gons dont 2 de la Garde 1er

;

escadron.. de Prusse

laGarde; 21

régiments régimentde

:(1)

Le royaume de Saxe : 2 ments de hulans, 1 de grosse cavalerie (Schw.

Le royaume de Bavière 2 régiments de hulans, 2 de

de hussards, 2 régicarabiniers et un régiment de la garde du roi

Reiter)

compris les Badois, Hessois, Wurtembergeois,etc. (1) Y

Chevau-légersbavarois ;

1812.


A

L'ÉTAPE : HUSSARD DE LA GARDE.




pendant

la campagne de 1870-71, ce qu'on pouvait attendre d-elle ; aussi, comme lignes

générales, est-elle devenue le modèle imité par toutes les grandes armées européennes. Les ressources chevalines de l'Allemagne peuvent s'évaluer à près de quatre millions d'animaux. L'introduction très suivie et très généralisée du sang anglais a donné des résultats fort brillants. Nulle part les officiers de cavalerie ne sont aussi bien montés. Les races nombreuses que produit le pays permettent une répartition conforme aux services exigés par chaque subdivision d'arme. Mais les chevaux des cuirassiers et ceux des hussards sont peut-être, entre tous, les plus remarquables. Un haras très renommé, celui de Trakenen, dans la Prusse orientale, a hérité de la vieille réputation des produits de l'ancienne race lithuanienne si heureusement modifiée par les croisements anglais et arabes. Les chevaux de ce haras ont du reste une marque spéciale et bien connue des amateurs : un bois d'élan à cinq pointes et une couronne surmontée d'une croix servent de signe distinctif aux produits étrangers au haras, mais nés de ses étalons. Le Mecklembourg, le Hanovre, et surtout la vieille Prusse, jouissent, au point de vue des soins donnés à la race valine, d'une réputation légendaire. La province de Prusse, sur laquelle se trouve le 1er corps chevaux que le reste de l'Ald'armée, vend à elle seule plus de

la ar¬

che-

La réquisition basée sur nirait en temps de guerre le ce système qu'on eut 71(1) où le nombre des chevaux 280.000. Oh estime chevaux réquisitionnés pour

conscription des chevaux fourcomplet réglementaire. C'est à la guerre de 1870s'éleva en tout à il faudrait environ 250.000 river au completréglementaire. zones de remontes attribuées Ces zones ne coïnterritoriales ; elles sont chaque corps d'armée. Voici ans on fait un recensement résultats en sont soumis au nier, s'entendant avec son colchaque corps d'armée la porqui lui est nécessaire. fixe le nombre et la

recours incorporés pendant

qu'aujourd'hui

Le pays

militaire est divisé

en

légions

à chaque corps d'armée pour là cident pas toujours avec les proportionnées aux besoins de comme il est procédé tous les général. Ce travail terminé, ministre de l'intérieur. Ce lègue de la guerre, attribue tion ou plutôt la zone de proLe commandant de corps

à

mobilisation.

six les

der¬duction

(1)

Pendant la guerre de 1870-71, les

petite

d'armée

tenue.

pertes eh chevaux ont été de 14,979 têtes.


OFFICIERS DES DRAGÖNS DE NEUMARCK (RÉGIMENT N° 3) ET DES HUSSARDS DE BRUNSWICK (RÉG. N° 17).



catégorie des animaux à fournir en cas de mobilisation et communique cette décision aux autorités civiles. Celles-ci fixent alors la répartition entre les différentes subdivisions de la zone, de façon à ce que chaque subdivision sache la quantité et la animaux qu'elle aura à Dans chacune des

race des subdivisions gée

administratives existe de tenir à jour le conen cas de mode chevaux qui lui est augmentant ce contintoutes les éventualités. soins de la commission d'une commission nombre de membres pour fixer le taux des dépossédés. sur place le nombre dont il vient

bre en parerà auxmains

une commissioncivile, chartrôle de réquisition. Cette bilisation, réunirait le nomdemandé ou plutôt gent d'un tiers pour Les animaux réunis par civile seraient remis militaire comportant civils, ceux-ci n'ayant indemnités à payer aux La commission d'animaux nécessaire d'être question. Des hommes de la landwehr, de la réserve ou de la landsturm prennent ensuite possession des chevaux réquisitionnés et les aux corps destinataires. On peut compter tout serait exéplus simplementdu monde. cuté le plus rapidement et le Dépôt de remonte au domaine de Kommeraut, à Karlkreuth : la Saxe adopte le système prussien de remonte. Un rescrit impérial a abaissé les conditions de fortune exigées pour divers officiers. L'effectif de la cavalerie est de 465 escadrons. Les escadrons entretiennent 4 krümperferde ou chevaux déclassés mais utilisables, qui sont nourris sur les économies régimentaires. Ils sont surtout employés comme chevaux de trait, soit un total de 1860 krumperfer de pour la cavalerie. La vacance de recrues n'existe pas dans la cavalerie ; tous les hommes de troupe de cette arme accomplissent intégralement leurs trois années de service.

commission,

imposé,

uncertain voixque

propriétaires militaire fixe l'indemnité

et

condui-sent qu'éventuellement,

enSaxe,


L'armée allemande compte, comme officiers généraux :

Feld-maréchaux.

Généraux de l'infanterie, de la cavalerie, et de l'artillerie.. Généraux-lieutenants. Généraux-majors

Exerçant un commandement Non pourvus de commandement et investis du grade à titre ou remplissant honorifique. un service.

45

43

4 2 366

Officiers de cavalerie

2

51

2.576 + 186 détachés dans les divers

services de l'état-major. 67.142, dont 1.200 volontaires d'un an Cavaliers et 509 sous-officiersvétérinaires, armuriers et selliers. Chevaux 72.511, dont 1,200 des volontaires et 1.860 krümperferde. Vétérinaires : 157 vétérinaires supérieurs, dont 21 de corps d'ar mée et 136 de régiment (cavalerie et artillerie) 93 régiments à 5 escadrons = 465 escadrons.

tants. Il faut faire

la distinction, dans l'armée allemande, de ceux qui font partie du

soldatensland qui sont lés combattants et des employés qui ne sont pas des combat-

Les officiers de cavalerie, jusqu'au grade de capitaine inclusivement, se pourvoient de montures à leurs frais ; les lieutenants de cavalerie reçoivent un cheval à titre gra-

tuit, chargenferde, qui devient leur propriété au bout de quatre ans.


Pour faciliter aux officiers l'acquisition des montures, il est créé à titre provisoire,

Le 5 novembre 1891 a paru un nouveau règlement sur le recrutement d'armes dans la

cavalerie, Vorschrift für die Waffenübungen der Kavallerie, qui concerne exclusivement le maniement du sabre et de la lance. 25 brigades de cavalerie sont commandées par des colonels. Dans l'armée allemande, l'avancement a lieu à l'ancienneté par sélection. Tout officier omis dans une promotion qui comprend un ou plusieurs officiers du même grade moins anciens que lui, se considère comme autorisé ou invité à demander sa mise à la retraite. La moyenne d'âge au moment de la nomination au grade de second lieutenant est de 20 ans. La carrière normale de l'officier allemand se déduit ainsi qu'il suit : 8 à 10 ans dans le grade de second lieu-

tenant ; 5 à 6 ans

de premier lieu-

tenant; 9 à 10 ans 5 à 7 ans

de capitaine; de major;


3 ans dans le grade de lieutenant-colonel. 3 ans de colonel. — L'âge des colonels nommés genéraux-majors varie de quarante-sept à cinquante-cinq ans.

Pour le recrutementdes hommes, on procède suivant la loi générale de recrutement. D'après cette loi le service est obligatoire pour tout citoyen allemand, de dix-sept jusqu'à quarante-deux ans. Aucune exemption complète du service, même en faveur des ecclésiastiques, n'est admise. Les conscrits sont ordinairement appelés dans le courant de l'année où leur vingtième année est révolue. En principe, tout homme reconnu apte au service actif doit passer trois ans (1) sous les drapeaux ; il est ensuite versé dans la réserve où il reste pendant quatre et six mois, puis dans la landwehr où il compte pendant cinq ans. Officier supérieur des cui- Enfin il est inscrit sur les registres de la landméranie) régiment n°2 sturm. Dans la cavalerie, on accepte dés engagements pour quatre années; et afin de conserver plus longtemps les cavaliers au corps et de pouvoir leur une instruction plus parfaite, de deux on ans de service dans pour ceux qui les consentent à rester ans sous drapeaux. Ces passent alors dans la landsturm bout de dix et six mois. Sortis de active, les homen temps ordimes peuventêtre naire, sous les deux fois penla réserve, dant qu'ils comptent pour semaines au plus à une durée de huit

;

la

La cavalerie (1) Depuis

la

donner ré¬il duit landwehr quatre hommes au l'armée rappelés drapeaux, ;

reçoit

dans

du dequi

aussi des volontaires

régularisation malgré

landwehr en 1815, la durée prussienne a toujours été question en ce moment temps du service, et cela, tion des officiers, opposition dans la cavalerie, avec juste

de l'institution de la service actifdans l'année trois ans. Il est fortement d'une nouvelle réductiondu

Étendards des gardes du corps, de la cavalerie de la garde et de la ligne.

l'énergique opposi-

se manifeste surtout raison.


Lesla

d'un an et de quatre ans. Les premiers sont généralement peu nombreux, à cause des dépenses assez considérables que doit s'imposer un jeune homme qui veut faire son volontariat dans la cavalerie. Les volontaires de quatre ans, dispensés de deux années de service dans la landwehr, contraire, parfois en très grand nombre, dans certaines garnisons. Garde, par exemple, en sont presque composés. sont Les volontaires de quatre ans reçus par les régiments, volontiers que les derniers sont de 35 recrues du à 45 par escadron, Les hommes de peuvent être également rappelés fois ; mais seulement pour quatorze jours chaque fois « ces trois ans d'activité, on avait à servir deux ans dans la réserve, puis quatorze ans dans la landwehr : sept dans le 1er ban et sept dans le 2e. A partir de 1859, la durée du service dans la réserve fut portée à quatre ans, et celle dans la landwehr réduite à douze ans pour cinq années dans le 1er ban et sept dans le 2e. Le 2e ban de la landwehr a été supprimé par la loi du 9 novembre 1867 ; mais cette suppression ne s'est pas faite en une fois, aussitôt la promulgation de la loi. Tout au contraire, d'après les dispositions transitoires adoptées, le gouvernement prussien a eu la faculté de libérer successivement, selon les besoins et les éventualités, les contingents de la landwehr de plus de douze ans de service, en commençant par les plus anciens. En 1870, on disposait encore de la sorte le contingent ayant seize ans de service, et c'est seulement en 1882 que fut libéré le dernier contingent ayant treize ans de service. La loi du 2 mai 1874 avait étendu à tout l'empire les fixations de la loi prussienne du 9 novembre 1867. Mais la loi du 6 mai 1880 a augmenté de six mois la durée totale du service en prescrivant qu'à l'avenir le passage de la réserve dans la landwehr aurait lieu, non plus en automne comme l'incorporation dans l'armée active,

au sur-tout

sont, ex-clusivement beaucoupplus contingent. Ces ac-tuellement. lalandwehr

deux

Primitivement,

après


mais au printemps suivant. » (État militaire des principales puissances étrangères. par M. S. Rau, du service d'état-major.) Voici quelle est la division du territoire, au point de vue du recrutement et des réserd'armée dont 11 pour les ves : 17 régions de corps provinces de la 3 pour la Saxe et le Wurtemberg et le de Bade, 2 pour la Bavière et 1 pour les En voici le dénom-

monarchieprussienne,

grand-duché PAYS-ANNEXÉS.

1er CORPS.

— Prusse

2e Corps. —

de

orientale occidentale

Prusse

de

jusqu'à la Vistule. et Poméranie.

Saxe,

Province duchés d'Anhalt et de Saxe-Altenbourg, principauté Reuss. 5e CORPS.—Posnanie. gardes du corps ; Prusse. 6e CORPS. — Silésie. 7E CORPS. — Westphalie septentrionale, Rhin septentrional, Lippe-Detmold et Schaumbourg-Lippe. 8e CORPS. — Rhin méridional. 9E CORPS. — Sleswig-Holstein, Mecklembourg-Schwerin et Strelitz, villes libres de Lubek, Hambourg et Brême. 10e CORPS. — Hanovre, grand-duché d'Oldenbourg, duché de Brunswick. 11e CORPS. — Westphalie méridionale, Hesuché de 4e CORPS. —

méridio-nale

Corps, partie du royaume de Bavière ; 2 corps, partie Septentrionale du Timbales du rég. des gardes du corps ; Prusse. royaume. Les conscrits désignés pour la cavalerie doivent être vigoureusement constitués, choisis parmi ceux qui sont accoutumés au cheval, et ceux dont les aptitudes physiques sont particulièrement propres au service de l'arme. Les recrues de cavalerie arrivent dans la ligne vers le milieu d'octobre, tandis que la garde reçoit les recrues dans la première moitié de novembre, en même temps que


HULAN (RÉG. N° 12).



celles destinées à son infanterie, la taille nécessaire est de 1m67 pour les régiments de la garde et pour la cavalerie de ligne. Elle est de 1m 62 pour la cavalerie légère de la ligne. La limite du poids est d'environ 65 kilogrammes pour la cavalerie légère et de 70 kilogrammes pour la grosse cavalerie. Il y a dans la cavalerie allemande 5 grades différents pour les sous-officiers : 1° UNTEROFFIZIER:

le sous-officier proprement dit; il rem-

plit les fonctions dont sont chargés les brigadiers dans l'armée française; 2e SERGEANT : l'équivalent de notre maréchal des logis. 3e VICE-WACHTMEISTER;

maréchal des logis chef; 5° PORTE-ÉPÉE-FANRICH: enseigne ayant la dragonne d'officier (le mot porte-épée signifie dragonne). Les enseignes ayant passé les examens de sous-lieutenants ont le droit de porter l'épée d'officier. Les distributions et, en route, le logement, sont faits par des sous-officiers nommés FOURRIERS. L'habillement et les maîtres ouvriers sont dirigés et surveillés par des QUARTIERS-MAITRES. La cavalerie reçoit des ouvriers des deux sortes : les OEkonomie-Handwerke, qui ne comptent pas dans le rang, qui sont habillés en tireurs à pied, c'est-à-dire qu'ils portent le costume particulier à leur corps, mais avec le pantalon différent et la botte sans éperons ; les ouvriers ne font aucun service militaire; — puis ceux qui font au contraire partie de l'effectif combattant, et parmi lesquels se trouvent des maréchaux et des selliers. 4° WACHTMEISTER

:


Les sous-officiers qui ne sortent pas des écoles sont en généraitd'anciens soldats rengagés après leurs quatre ans de service actif, et promus de suite après

leur rengagement. Quand la pénurie des cadres l'exige, on nomme sous-officiers des Gefreite (soldats de première classe) ayant moins de trois ans de vice, quoique le principe soit de ne nommer sous-officier que des soldats ayant plus dé trois ans de service actif. Sauf, pour des actions" d'éclat devant l'ennemi, les

ser-

sous-

officieirs allemands ne peuvent devenir officiers. Mais comme

sous-officier est beaucoup plus considéré qu'il ne l'est en France (par la population, s'entend), les sous-officiers allemands sont très fiers de leur Hussards du Brunswick. grade et n'ambitionnent pas d'autres galons. Tous les officiers prussiens, sont pris parmi les porte-épée-fahnrich, après un examen devant une commission spéciale, Ober-Militair-Examination-Commission; cette même commissionfait passer aussi l'examen de porte-épée-fahnrich, aux candidats à ce dernier grade. Il suffit, pour être admis à la première épreuve, d'être âgé de dix-sept à vingt-trois ans et davoir servi six mois au moins dans un corps de troupe: fil n'est fait d'exception à cette règle générale qu'en faveur d'un très petit nombre de jeunes gens provenant des corps de cadets et qui peuvent être promus directement officiers s'ils ont subi avec succès. l'examen final de la classe la plus élevée (selecta) de cette institution. Tous les autres sont envoyés dans les régiments sans autre titre que lé droit au grade de porte-épéefahnrich, auquel ils sont promus au fur et à mesure des vacances. Mais pour arriver porte-épée-fahnrich, il est indispensable d'obtenir un certificat d'acceptation du chef de corps dans lequel le candidat veut entrer. Les porte-épée-fanrich sont, au contraire, tous des aspirants au grade d'officier. PourêtrePORTE-ÉPÉE-FANRICH,il faut avoir été AVANTAGEURou CADET. On appelle AVANTAGEURS, des jeunes gens qui s'engagent en déclarant qu'ils désirent devenir officiers et qui en conséquence jouissent de privilèges spéciaux. Ces jeunes gens, il va sans dire, passent avant leur incorporation un examen, dont un diplôme de bonnes études peut leur tenir lieu. Les privilèges accordés aux AVANTAGEURS sont assez variables, suivant les régiments; les colonels ayant à cet effet une assez grande latitude. en Allemagne le grade de


L'un des moyens jugés les plus propres à compléter leur éducation est de les admettre à la table des officiers et à tous leurs entretiens et conférences militaires. Les CADETS sont les jeunes gens élevés dans les écoles militaires destinées à fournir des officiers à l'armée allemande. Ces écoles comprennent six classes successives, et l'examen à passer par le candidat, qui doit être âgé d'au moins onze ans, varie suivant le nombre de ses années et la classe où il désire entrer. Le temps passé dans les écoles de cadets ne compte pas comme service effectif. Les cadets après avoir passé six ans à l'école, une année pour chaque classe, passent l'examen de porte-épée-fanhrich.S'ils satisfont aux examens de sortie, ils sont dirigés sur un régiment où ils servent pendant trois mois dans les mêmes conditions que les avantageurs. Les limites d'âge pour pouvoir être enseigne sont de dix-sept ans au moins et de vingt-trois ans au plus. Tous les officiers de l'armée allemande passent donc par la troupe avant d'obtenir l'épaulette, et vivent avec elle et avec les sous-officiers en contact direct pendant les cinq mois que durent leur stage d'enseigné. Une seule exception à cette règle est faite en faveur des élèves qui ont obtenu les meilleurs numéros des écoles de Lichterfeld, Dresde et Munich. Ces derniers ne sont pas envoyés dans les corps de troupe et peuvent rester, à leur gré, dans ces écoles où ils sont réunis en sections spéciales. Ces sections suivent des cours semblables à ceux des écoles de guerre. Ces cours terminés, les cadets qui en font partie se présentent pour subir l'examen d'officier. Les jeunes gens qui passent brillamment cet examen sont, toujours à titre exceptionnel, nommés sous-lieutenants sans avoir servi dans un corps de troupe, ni subi le vote d'acceptation du corps des officiers. Mais ces privilègesqui ne sont accordés


s'étendent

nombrede tinction

chaque année qu'à un mérite très réel, ne sujets; on les considère qu'à un fort petit exceptionnelle. toujours comme une disLes cadets sont donc, nous l'avons dit, enpartie, pendant cinq mois, voyés, pour la majeure titre que le droit ou dans un régiment, sans ils sont promus au de de porte-épée-fahnrich, fur et à mesure des ces. Au bout de ces cinq mois, nouvel examen et au grade d'enseigne porte-épée. mois au moins dans le Nouveau stage de six grade d'enseigne, nouvel examen et admission à la KRIEGS-SCHULE (École de guerre). A l'École de guerre, les candidats officiers suivent des cours variant entre huit et dix mois, et enfin subissent l'examen d'officier devant l'Ober-Militair-Examination-Commission. Après quoi ils retournent à leur corps attendre qu'il s'y produise des vacances. Mais il ne suffit pas d'avoir passé par toutes ces épreuves échelonnées pour être promu officier. Il faut que le candidat obtienne le consentement du corps d'officiers dans lequel il désire entrer ; sans ce consentement, solennellement exprimé dans le procès-verbal d'une réunion tenue à cet effet par tous les officiers, nul ne peut être promu au grade d'officier d'un régiment quelconque. Si l'unanimité des voix se prononce en faveur du candidat, il est de suite présenté au gouvernement pour le grade d'officier. Si le candidat n'a pour lui que la majorité des voix, tous les officiers qui se sont prononcés contre doivent formuler leur opinion par écrit, en indiquant les motifs de leur opposition, et c'est alors le commandant du corps d'armée qui prononce, et si l'avis est favorable, le candidat est présenté au gouvernement pour le grade d'officier. Si enfin la majorité des officiers du régiment déclare le candidat indigne d'en porter l'uniforme, il est immédiatement écarté. Avant de présenter un candidat à l'acceptation du corps d'officiers, on fait une enquête des plus minutieuses sur toutes les circonstancesde sa vie privée. La hiérarchie des officiers allemands est la suivante : 1° SECOND LIEUTENANT, équivalant à notre grade de sous-lieutenant ;

comme

gra-autre auquel vacan¬ nomination


OFFICIERS DE HUSSARDS (RÉG. N° 4) ET DES CUIRASSIERS DE LA GARDE.



PREMIER LIEUTENANT COMPAGNIE FURHER,

gnie ;

RITTMEISTER ESKADRONCHEF,

lonel commandantde brigade.

— premier lieutenant commandant de compa-

capitaine, caractérisé major; OBERST KOMMANDEUR, — co-

Ainsi, des lieutenants-colonelscommandant quelquefois des escadrons, des majors peuvent commander un régiment, un colonel peut commander une brigade. C'est du reste l'usage assez fréquent de nommer à la fonction quelque temps avant de nommer au grade.

D'autre part, un officier peut être CARACTÉRISÉd'un grade supérieur en n'occupant que la fonction d'un grade inférieur. Le principe de l'avancement est l'ancienneté, les officiers restant jusques et y compris le grade de major dans le même régiment, puis avançant ensuite sur toute l'armée, y compris l'étatmajor. Mais ce n'est là qu'un principe. Il n'existe pas en Allemagne de loi sur l'avancement ; celui-ci n'est dirigé que par des traditions, très respectées, et par la volonté suprême du souverain. Les officiers non promus au grade supérieur, quand arrive leur tour d'avancement, quittent habituellement l'armée active, et sont pourvus d'emplois dans la landwehr et aussi d'emplois civils. La retraite proportionnelle existe du reste dans l'armée allemande.


L'Empereur s'est du reste réservé le droit de faire avancer les officiers d'un mérite exceptionnel, en dehors de toute règle. Il fait en outre usage de ce droit pour les personnages princiers, dont les grades sont généralement honorifiques. L'empereur actuel, Guillaume II, poursuit le rajeunissement des cadres. Après avoir épuré les hauts commandements par la mise à la retraite d'office ou gracieuse des vieux colonels et généraux, il renvoie les lieutenants et les capitaines âgés de cinquante ans et dont les capacités n'ont pas été reconnues suffisantes.

La hiérarchie des officiers généraux comprend quatre grades différents, savoir : 1° GÉNÉRAL-MAJOR (général de brigade) 2e LIEUTENANT-GÉNÉRAL (général de division) ; 3° GÉNÉRAL d'infanterie, de la cavalerie ou de l'artillerie, selon l'arme d'origine, placés généralement à la tête d'un corps d'armée, ou inspecteurs généraux ; 4° GÉNÉRAL FELDMARSHAL.

Actuellement 3 officiers généraux ayant rang de maréchal portent, en outre, des titres particuliers. Ce sont : le prince Luitpold de Bavière, qui est feldzeugmeister général; le prince Auguste de Wurtemberg, et le grand-duc de Mecklembourg-Schwerin, qui sont colonels-généraux. Voici maintenant quels sont, en résumé, fies insignes distinctifs des différents grades. Les VOLONTAIRES D'UN AN ont un liséré aux couleurs nationales autour des pattes d'épaules ou des épaulettes pour les hulans, savoir : Noir et blanc pour la Prusse,


COLONEL DU RÉG. DE DRAGONS N° 8 ; LIEUTENANT DE DRAGONS N° 22.



Bleu et blanc pour la Bavière,

Vert et blanc pour la Saxe, Noir, blanc et rouge pour le Wurtemberg. Les GEFREITE, portent au collet un bouton de métal estampillé des armes du pays auquel leur régiment appartient. Les UNTEROFFIZIER ont un galon d'or ou d'argent, suivant de

métal du bouton, autour du collet et des parements des manches. Les SERGEANTENont un galon d'or ou d'argent autour du collet et des manches, et en outre un bouton de chaque côté du collet. Les VICE-WACHTMEISTER, WACHTMEISTER, PORTE-ÉPÉE-FAHNRICH, ont le bouton et le galon de sous-officier autour du collet et des parements des manches, et en plus, la dragonne d'officier; les autres sous-officiers ont une dragonne spéciale. Tous les sousofficiers allemands portent des gants et ont la casquette à visière. OFFICIERS.

Tous les officiers allemands, sauf les hussards; portent les épaulettes. Les épaulettes sont sans franges pour les officiers subalternes, à franges d'argent pour les officiers supérieurs et à torsades d'argent pour les officiers généraux.

Épaulettes simples, sans franges. LIEUTENANT Épaulettes sans franges : avec une étoile de métal sur le corps PREMIER de l'épaulette. Le RITTMEISTER : Épaulettes sans franges avec deux étoiles. Le MAJOR : Épaulettes à franges sans étoiles. Le OBERSTLEITNANT : Épaulettes à franges avec une .étoile. Le OBERST : Épaulettes à franges avec deux étoiles. Le GÉNÉRAL-MAJOR : « Épaulettes à torsades sans étoiles. Le GÉNÉRAL-LIEUTENANT : Épaulettes à torsades avec une étoile. Général de l'infanterie, de la cavalerie et de l'artillerie. Le GÉNÉRAL DE CAVALERIE : Épaulettes à torsades avec deux étoiles. Le GÉNÉRAL OBERST : Épaulettes à torsades avec trois étoiles. Le GÉNÉRAL FELDMARSCHALL : Épaulettes à torsades avec deux bâtons en croix. Ces épaulettes sont réservées à la grande tenue. En tenue ordinaire, Le Le

SECOND LIEUTENANT :


elles sont remplacées par des pattes d'épaules, lisses pour les officiers subalternes, en tresses pour les officiers supérieurs, et en grosses torsades pour les officiers généraux. Sur ces pattes d'épaules se retrouvent les mêmes étoiles que sur les épaulettes. Les officiers de hussards ne portent pas d'épaulettes, mais toujours des pattes

d'épaules. L'insigne du service, pour tous les officiers combattants, est la ceinture. Cette ceinture à gros glands est : Argent et soie noire pour les officiers prussiens, Argent et soie bleue et blanche pour les Bavarois, Argent et soie verte pour la Saxe, Argent et soie noire et rouge pour le Wurtemberg, Argent et soie rouge pour les Hessois, Or et soie bleue et rouge pour le Mecklembourg, Argent et soie noire et rouge pour les Badois, Argent et soie bleue pour le Brunswick. Les porte-épées (dragonnes) des officiers sont également en argent ou en or tissé des couleurs nationales. Les feldwebel-leitnants n'ont ni ceinture ni épaulettes (sauf dans les régiments de hulans) ; leurs pattes d'épaules, sans étoiles, sont plus étroites que celles des seconds lieutenants. Les officiers de hussardsportent une ceinture d'un modèle spécial, Husaren-Scharpen, d'argent mélangée des couleurs nationales. Les musiciens et trompettes portent des épaulettes d'un modèle spécial appelées Schwalbenneister.(nids d'hirondelle), argent ou or, sur fond de couleurs différentes suivant les régiments. Hors du service, les officiers de tout grade portent habituellement une redingote d'une coupe fort élégante, appelée Intérim uberrock, bleu de ciel ou foncé, suivant les régiments. La tenue des officiers allemands comporte toujours le sabre ou l'épée, dans le service comme hors du service. Dans tous les régiments de cavaleriefies escadrons sont différenciés entre eux par fine couleur distinctive qui se porte au bourrelet du gland de la dragonne. Ces couleurs sont : 1er Escadron, blanc, 2e — rouge, jaune, 3e — 4e bleu de ciel, — 5e vert. —


Les différents contingents de l'armée allemande sont distingués par la cocarde et

l'emblème héraldique du casque. Les régiments des pays suivants portent la cocarde de leur pays respectif.

sont : Grand-duché de Bade, cocarde rouge et jaune (1) ; Hesse, rouge et blanc ; — — Mecklembourg, rouge, jaune et bleu ; — Saxe, vert et blanc ; Duchés-d'Anhalt, vert; Principautés de Reuss, jaune, rouge et hoir ; Principauté de Schwarstbourg-Rudolstadt, bleu et blanc ; Grand-duché de Saxe-Weimar, jaune, vert, noir ; Royaume de Saxe, blanc, vert et blanc ; de Bavière, blanc, bleu et blanc ; — de. Wurtemberg, noir, rouge et noir; — Duché de Brunswick, jaune et bleu ; Royaume de Prusse, noir, blanc et noir; Les contingents des pays suivants portent simultanément deux cocardes : la cocarde prussienne et la cocarde de leur pays d'origine. Ce sont : Grand-duché d'Oldenbourg, croix rouge sur fond bleu, blanc ; Principauté de Lippe-Detmold, rouge et jaune; Schaumbourg-Lippe, rouge, bleu et blanc ; — de Waldeck, jaune, rouge et noir ; — Villes de Hambourg et de Brême, croix rouge sur fond blanc; Lubeck, rouget et blanc. — La cocarde de la landwehr est noire avec une croix blanche sur le fond. Une institution dont l'initiative appartient en propre à la Prusse et qui a été adoptée par la plupart des grandes armées européennes, est celle des volontaires d'un an. Il est fort juste, en effet, et d'une importance dont dépend la supériorité intellectuelle d'un pays, que les jeunes hommes aspirant à une carrière qui demande de longues études préparatoires, ne voient pas le résultat de ces études absolument compromis par une interruption de trois années. Le volontariat d'un an est une satisfaction donnée à ce très légitime desideratum. D'autre part, et quoi qu'en puissent dire les partisans d'une égalité chimérique dans laquelle le niveau intellectuel de l'étudiant serait ramené à la mesure de celui du portefaix, il est bien évident que l'éducation, le rang social, l'instruction de la classe Ce

(1) Le jaune

est d'or et le blanc en argent pour les officiers.


pouvant profiter du volontariat, comportent un certain degré d'intelligence et des facultés d'assimilation qui rendent bien suffisant, au point de vue militaire, le séjour d'un an sous les drapeaux. Quiconque a passé par notre armée, sait combien peu de loisirs laissait aux volontaires d'un an, le tableau de travail. Il en est de même en Allemagne, où tout ce qui touche aux questions militaires est traité avec le plus grand sérieux. Leur année de volontariat terminée, les EIJAHRIG-FREIWILLIGEN passent un examen; et selon leur instruction militaire-théorique et pratique, d'après leurs notes del'armée, le zèle qu'ils ont montré, leur aptitude physique, ils sont proposés pour être officiers, de réserve. Et puisque nous parlons des officiers de réserve, disons de suite que le recrutement en est assuré : 1° au moyen des officiers démissionnaires de l'armée active; 2° par le moyen de la promotion au grade de sous-lieutenants, des volontaires d'un an proposés à cet effet et reconnus aptes au grade après un stage de deux mois au moins accompli dans un régiment. La nomination définitive de ces derniers est du reste subordonnée à leur acceptation par les officiers du régiment où ils désirent entrer, comme pour les officiers de l'armée permanente. Une seule classé d'officiers où plutôt d'assimilés, est dispensée de cette acceptation par le corps d'officiers, celle des FELDWEBEL-LEITNANTS. Ce grade, créé en octobre 1877, n'est en réalité qu'un grade intermédiaire entre celui de watchmeister et celui de sous-lieutenant; quelque chose en un mot qui correspond par certains côtés avec le grade d'adjudant dans l'armée française. Les feldwebel-leitnants remplissent les fonctions de sous-lieutenants et en touchent la paye. Anciens sous-officiers de l'armée permanente, ils marchent immédiatement après les sous-lieutenants. En cas de mobilisation, l'armée allemande dispose encore d'une autre catégorie d'officiers : ceux dits ZUR DISPOSITION (à la disposition). Anciens officiers, pour la plupart retraités, les officiers A LA DISPOSITION ont obtenu, à titre de faveur spéciale, de continuer à faire partie de l'armée, contre l'engagement de reprendre, en cas de guerre ou de besoin, du service actif.


droit de porter leur ancien uniforme, ce qui n'est pas une mince faveur dans un pays où la tenue a tant de prestige. Cette faveur très appréciée est une fort juste satisfaction donnée à toute une classe de gens ayant rendu de grands services et prêts à en rendre de nouveaux; c'est d'ailleurs une habile façon, de rehausser le prestige de l'armée, que de considérer comme une haute faveur le droit d'en faire encore partie apparente. Une des choses qui, du reste, contribue grandement à maintenir l'amour et le prestige de l'uniforme est la répugnance, soigneusement entretenue d'ailleurs, qu'ont les officiers allemands à s'habiller en civil. Dotés d'une tenue de ville à la fois élégante et commode, à peu près sûrs de ne rencontrer, partout où ils montrent leur uniforme, que considération ou respect, les officiers allemands sont fort jaloux de paraître en officiers et de ne pas risquer d'être confondus avec le premier civil venu. Aussi les voit-on, dans le monde, où ils sont très recherchés, à la promenade où ils attirent, naturellement et par comparaison avec le piètre accoutrement moderne, tous îles regards, au théâtre et dans les coulisses, vêtus d'uniformes impeccables, et d'une tenue, d'une correction de mise, dont on trouverait difficilement l'équivalent chez les autres peuples. Je ne vois pas qu'il y ait un manquement aux devoirs du patriotisme dans cette déclaration. Les officiers allemands, pour être nos ennemis, n'en ont pas moins des qualités de premier ordre. N'y aurait-il pas plutôt mauvaise grâce, et même apparence de mesquine jalousie, à les critiquer sans mesure et sans bonne foi, pour cette seule raison qu'ils demeurent nos ennemis? Il faut bien mettre un peu sur le compte de leur réelle valeur, leurs succès d'il y a vingt ans. Ce qui n'implique en aucune façon dans ma pensée qu'ils auraient cette fois aussi facilement raison de nous. Et quand ce ne serait que pour nous tenir en haleine, il peut sembler utile à l'occasion de constater qualités. l'importance de leurs intéressant de placer Peut-être sera-t-il le petit taà la suite de cette bleau suivant qui à la date du 1er ocrelatives, en escatobre 1890, les forces drons, des principales armées d'Europe. A cette date, la occupe le premier rang, avec 687 L'Allemagne ensuite et compte 465 Ces officiers conservent le

digression montre, Russie esc -drons.

escadrons

vienty

La France tient le 420 escadrons. Puis viennent :

L'Autriche-Hongrie avec 252 escadrons, L'Italie avec 144 escadrons.

troisième rang avec


Les escadrons russes, réunis à ceux de la France, donneraient donc un total de 1.107

escadrons. Ceux de l'Allemagne, de l'Autriche et de l'Italie, 861 escadrons. Avec l'Angleterre, l'Allemagne est aujourd'hui le seul pays qui ait conservé les uniformes brillants et variés des temps passés. Les chefs de l'armée ont compris qu'il fallait de belles tenues pour que les soldats fussent fiers de les porter. Les beaux uniformes surexcitent les passions guerrières, des jeunes gens. Cette vérité admise par tous les hommes de guerre de valeur, Napoléon, Frédéric, etc., est si évidente, que les engagements sont toujours proportionnés à la renommée et à la brillante tenue des régiments. Les hussards de Ziethen, par exemple, recrutent un nombre considérable de volontaires. Le luxe des uniformes de la cavalerie allemande est obtenu très adroitement et très économiquement. 11 consiste surtout dans la variété des couleurs, dans l'élégance très militaire de la coupe des vêtements, et surtout dans le port, pour toute la cavalerie ; dé la culotte noire, demi-collante, et de la botte (1). En outre, dans chaque arme, aucun régiment n'est absolument pareil ; chacun a sa couleur distinctive au collet, aux parements ou aux lisières, la couleur du fond restant cependant la même, sauf aux hussards, dans toute l'arme. Ainsi les dragons portent tous la tunique bleu de ciel ; mais le col, les parements des manches varient de couleur avec le régiment ; et si deux régiments se rencontrent qui aient la même couleur distinctive, ils sont différenciés par lé métal du bouton ou par le plumet du casque. Il en est de même pour les hulans. Les régiments de hussards sont plus différents encore, entre eux. Comme jadis en France et par une vieille coutume qui a eu force de loi dans toute l'Europe, chacun, dis-je, a sa couleur absolument particulière, auquel il tient comme à sa légende même, et que chaque régiment croit Allemands ont comme presque toutes les nations fait l'essai de l'odieux pantalon basané, et comme toutes les nations militaires, sauf la France, ils l'ont vite abandonné. (1) Les


ORDONNANCE; CUIRASSIER (RÉG. N° 5).



porter plus glorieusement que le voisin. Les hussards ont en outre conservé le joli colbach de fourrure qu'ils portent depuis Frédéric le Grand ; la dimension seule en a été réduite de façon à en faire une coiffure très élégante, légère et parant un coup de sabre. Ces distinctions qui maintiennent soigneusement l'esprit du corps, entretiennent entre chaque régiment une émulation qui ne peut que profiter à la cause générale ; et, il faut bien croire qu'elles se peuvent obtenir sans dépenses exagérées, avec un peu d'ordre et un judicieux emploi des deniers du budget, puisque plus nombreuse que le nôtre, la cavalerie allemande, comptant même une Garde impériale, coûte moins cher que la cavalerie française. Certes, ce n'est pas la tournure des hommes d'outre-Rhin qui fait valoir leur uniforme. Le troupier allemand est en général lourd et d'aspect peu dégagé. La discipline rigoureuse peut seule avoir raison de ces défauts qui sont inhérents à la race même et à son alimentation. Les officiers sont, ai-je dit plus haut, très fiers de leur tenue et ne la quittent que rarement. La cavalerie compte fort peu d'officiers qui ne soient nobles, et quelques régiments, les cuirassiers et les hussards surtout, sont commandés par les noms les plus aristocratiques de l'Allemagne. Les officiers de la cavalerie de la Garde renchérissent encore sur cette élégance, et ceux des gardes du corps mènent souvent un train princier contre lequel l'Empereur est obligé de réagir. Néanmoins, il s'en faut que cette élégance soit absolument la nôtre; certaines de ses pratiques nous sembleraient au moins curieuses. Il n'est pas rare, par exemple, de voir un officier allemand sortir un peigne et une brosse de sa poche et s'en servir avant de s'asseoir à table. Bon nombre de ces officiers montrent cependant le plus grand mérite à conserver une tenue irréprochable, car beaucoup, peu fortunés, emploient une partie appréciable de leur solde à payer leur uniforme. Naturellement, les officiers prussiens sont ceux dont la tenue est la plus correcte. Ce sont eux qui donnent le ton. Ainsi, depuis quelques années les officiers prussiens ont mis à. la mode la casquette minuscule, ce qui, entre parenthèses, est fort peu seyant; depuis lors, tous les officiers allemands ont diminué le volume de la casquette. Ajoutons avant de clore ce chapitre, que, dans son ensemble, l'armée allemande présentait un aspect plus brillant, plus militaire même, sous le règne du vieil Empereur. Il n'y a là assurément encore que des nuances, perceptibles seulement pour un oeil militaire exercé, mais cependant ces nuances existent. Ne seraient-ce pas là des symptômes de l'énervement que cause à toute armée, et surtout aux plus robustes, les longues années de paix ?


Je crois, dans cette courte étude, avoir fait preuve d'impartialité et dit exactement ce que j'avais vu, me rappelant les éloquentes paroles de deux hommes célèbres, à des points de vue bien différents.

«

L'injustice envers son ennemi, a dit le général de Brack, est toujours une mauvaise et fausse politique, et la meilleure manière de se créer des ressources pour combattre ne se trouve pas dans l'insulte, mais bien dans l'observation. »

«

Ne contraignons pas notre admiration pour cette grandeur, écrit M. de Vogüé, à propos de la mort de l'empereur Guillaume Ier ; en la méconnaissant, nous nous mé-

«

«

«

« «

connaîtrions nous-mêmes. Il n'a fallu rien moins que notre sang pour la porter si haut ; QUI LA RABAISSERAITDIMINUERAIT LE PRIX DE CE SANG. »


PRINCIPAUX OFFICIERS

DE LA CAVADERIE ALLEMANDE EN 1892

PRUSSE.

4° Brigade, à

DIVISION DE CAVALERIE DE LA GARDE.

POTSDAM.

(Hussards de la Garde du corps et 2e Hulans de la Garde.)

Michaelis. ADJUDANT : PREMIERLIEUTENANTComte von Schmettow, du 2e hulans de la Garde. COMMANDANT : GENERAL-MAJOR von

CHEF-LIEU DE LA DIVISION : BERLIN (1).

Edler von der Pla-

COMMANDANT : GENERAL-LIEUTENANT

nitz.

CAVALERIE DE LIGNE.

Natzmer, de L'état-major. RITTMEISTER von Dewitz, des hussards de la

CHEF D'ÉTAT-MAJOR : MAJOR von ADJUDANT :

1re

Garde.

Brigade

(3e

Cuirassiers, 1er Dragons),

à KOENIGSBERG (1). 1re

Brigade, à

BERLIN.

(Régimentdes Gardes du corps et celui des Cuirassiers de la Garde.) COMMANDANT : OBERST Prince Édouard de Salm-Horstmar, à la suite des cuirassiers de la Garde. ADJUDANT: PREMIERLIEUTENANT Comte von der Asseburg. des gardes du corps. 2° Brigade, à POTSDAM. (1er et 3e Hulans de la Garde.) COMMANDANT : GENERAL-MAJOR von

Kleist.

Wrochem-Gellhorn, à la suite des hussards de la garde du corps.

COMMANDANT : GENERAL-MAJOR

2e

COMMANDANT : OBERST von

Kotze, à la suite du 1er dra-

:

suite du 8e dragons). 3e Brigade (2e Cuirassiers, 9e Hulans), à STETTIN. COMMANDANT : GENERAL-MAJOR

4e

Brigade

(3e

et

12e

7e

5e

BROMBERG.

von Schüz (à la suite du

hussards).

Brigade (2e Dragons, 3e Hulans), à

FRANCFORT-SUR-

L'ODER. COMMANDANT: GENERAL-MAJOR Baron

6e

Brigade

(6e

von Stosch.

Cuirassiers, 3e Hussards), BURG A.

von Bülow, du 1er hu-

von Wurmb Ier.

Dragons), à

COMMANDANT: OBERST Synold

gons de la Garde. ADJUDANT : SECOND LIEUTENANT

Dragons, 8e Hulans), à ALLENSTEIN. OBERST Baron von Kleist (placé à la

(10e

COMMANDANT

ADJUDANT: RITTMEISTER von

3° Brigade, à BERLIN. (1er et 2e Dragons de la Garde.)

Brigade

von Below.

à

BRANDE-

H.

COMMANDANT: GENERAL-MAJOR von

Langenbeck.

lans de la Garde. Le numéro de chaque brigade est celui de la division dont elle fait partie, l'exception de la 37e, qui appartient à à la 1t division. Chaque corps d'armée comprend deux divisions, sauf ' les XIe et XIIe, qui en comptent trois. (1)

Les renseignementsdonnés ici ont été puisésdans l'Annuaire militaire de 1892 ; ils différent sur quelques points secondairesde ceux du texte. (1)


Baron von Humboldt-Dachroeden (à la suite du 7e dragons).

ADJUDANT : RITTMEISTER

7e

Brigade

Ilussards,

(10e

16e

Hulans), à MAGDE-

sards de la Garde).

Comte von Wartensle-

21e Brigade (5e Dragons, 13e Hussards), à FRANCFORTSUR-LE-MEIN).

ben

von Pachelbl-Gehag(à la suite

ADJUDANT : RITTMEISTER

du

16e

hussards).

8e Brigade (7e Cuirassiers, 12e Hussards), à ERFURT.

von Haeseler

COMMANDANT : OBERST

2e

9e

suite du

(4e

Dragons, 10e Hulans), à

GLOGAU.

Dincklage.

Brigade (2e Hussards, 1er Hulans), à POSEN.

COMMANDANT: GENERAL-MAJOR

Brigade

COMMANDANT:

von Rosen.

Cuirassiers, 8e Dragons, sards), à BRESLAU. OBERST von Naso. (1er

4e

Hus-

12e Brigade (6e Hussards, 2e Hulans), à NEISZE. COMMANDANT : OBERST

Baron von Entresz-Fürsteneck (à

la suite du 4° hulans). ADJUDANT : RITTMEISTER

10e

von Schwerin (à la suitesdu

hulans).

14e Brigade (11e Hussards, 5e Hulans); à DUSSELDOR). COMMANDANT: OBERST von

Brigade

(8e

Philippe de Croy. ADJUDANT : RITTMEISTER von Storch (à la suite du 13e hussards). 22e Brigade (14e Hussards, 6e Hulans), à CASSEL.

Sick.

Cuirassiers, 7e Hussards), à

COMMANDANT : OBERST

COLOGNE.

von Thümen (à la suite du 10e

hussards). ADJUDANT : RITTMEISTERvon

Engelbrecht (à la suite du

5e hulans).

16e Brigade (7e Dragons, 9e Hussards), à TRÊVES. COMMANDANT : OBERST Baron

von Gemmingen-Hornberg

(à la suite du 8e cuirassiers).

28e Brigade (2) (20e et 21e Dragons), à KARLSRUHE. COMMANDANT : OBERST von Nitkisch-Rosenegk (à la suite

du 3e hulans de la garde). 29e Brigade (14e et 22e Dragons), à COLMAR. COMMANDANT : OBERSTvon Lieres und Wilkau (à la suite du 14e hussards). 30e Brigade (7e et 11e Hulans), à STRASBOURG. COMMANDANT : OBERST VON Engel (à la suite du 19e dragons).

18e Brigade (15e et 16e Hussards), à

ALTONA.

(à la suite du 14e hulans). Comte von Kielmansegg (à la

COMMANDANT: OBERST Bothe ADJUDANT : RITTMEISTER

suite du 5e dragons). 19e Brigade (19e Dragons, 13e Hulans), à HANOVRE. COMMANDANT: GENERAL-MAJOR von

COMMANDANT : OBERST

16e

und zu Schachlen.

à STRASBOURG. von Bardeleben (a la suite du 15e Hulans),

dragons).

33e Brigade (1) (9e et 13e Dragons), à METZ. COMMANDANT : OBERST von Hantelmann (à la suite du 5e dragons). 34e (6e Dragons, 14e Hulans), à METZ. Brigade COMMANDANT: OBERST von

Thümen (à la suite du 16e

hussards). 35e Brigade (5e Cuirassiers, 4e Hulans), à GRAUDENZ. COMMANDANT : OBERST von Kaisenberg (à la suite du 12e

hulans).

36e Brigade (1er et COMMANDANT

17e Brigade (17e et 18e Dragons), à SCHWERIN. COMMANDANT: OBERST Henri XVIII, Prince de Reuss (à la suite du 17e dragons).

von Szczytniçki

25e Brigade (1) (23e et 24e Dragons), à DARMSTADT. COMMANDANT : GENERAL-MAJOR von Massow.

31e Brigade (15e Dragons,

13e Brigade (4e Cuirassiers,8e Hussards), à MUNSTER. COMMANDANT: GENERAL-MAJOR von Maltzan, Baron zu Wartenberg und Penzlin.

15E

COMMANDANT : GENERAL-MAJORPrince

COMMANDANT : GENERAL-MAJOR

COMMANDANT: GENERAL-MAJOR Baron von

11e

la

(à.

hussards).

Brigade

10e

Cleve (du 11e hulans).

ADJUDANT : RITTMEISTER von

BOURG. COMMANDANT : GENERAL-MAJOR

20e Brigade (16e Dragons, 17e Hussards), à HANOVRE. COMMANDANT: OBERST von Gottberg (à la suite des hus-

5e

Hussards), à

DANZIG.

: GENERAL-MAJOR

ADJUDANT : RITTMEISTER

Comte von Wartensleben 2e. Mosel (à la suite du 6e dra-

gons). 37e Brigade (11e Dragons, 12e Hulans), à INSTERBURG. (à la suite COMMANDANT : OBERST von Kraatz-Kosehlau du 10e dragons). ADJUDANT : RITTMEISTER von Blücher (à la suite du 2e

cuirassiers). (1) Les 23e, 24e et 32e brigades appartiennentà l'armée savonne (12e corps). (2) Les 26e et 27e brigades appartiennent à l'armée wurtembergeoise (13e corps).


OFFICIER DES GARDES DU CORPS ; TENUE DE GALA. PRUSSE.



COMITÉ DE CAVALERIE. GENERAL-LIEUTENANTvon Krosigk,

inspecteur de la ca-

valerie, président. GENERAL-LIEUTENANT von Rosenberg, inspecteur de la cavalerie (à la suite du 3e hussards). GENERAL-LIEUTENANT Edler von der Planitz Ier, com mandant la division de la cavalerie de la Garde. OBERST-LIEUTENANTS: Baron von Schele. Von Sluyterman Langeweyde. MAJOR von Einem, dit von Rothmaler. RITTMEISTER Baron von Hollen.

Comte von Matuschka, baron von Toppolezan-Spaetgen II. A

1ER

Krosigk. RITTMEISTER von Keller, du 15e dragons.

INSPECTEUR : GENERAL-LIEUTENANTvon

ADJUDANT : 2e INSPECTEUR: GENERAI.-LIEUTENANT von ADJUDANT : MAJOR

Rosenberg. von Beneckendorff und von Hinden-

burg, du 8e dragons.

:

GÉNÉRAL DE CAVALERIE : Comte von Brandenburg. MAJOR : Prince Frédéric Léopold de Prusse.

Comte von Brüht.

RITTMEISTERS :

Von Sydow. SECOND LIEUTENANT :

Comte von der Groeben.

CUIRASSIERSDE LA GARDE, à OBERST : Von MAJOR :

BERLIN.

Rothkirch und Panthen.

Comte von Klinckowstroem.

RITTMEISTERS : Von

INSPECTION DE LA CAVALERIE.

la suite (1)

Kramsta.

Comte von Einsiedel. Von Neumann-Cosel. Comte von Roedern. Comte von Schonborn-Wiesentheid. PREMIERS LIEUTENANTS: Comte von Posadowsky-Wehner. Comte von Blücher. Von Quistorp. Von Konemann.

Rothkirch und Panthen. SECONDS LIEUTENANTS : Von Arnim. Von

RÉGIMENT DES GARDES DU CORPS, à POTSDAM. CHEF

:

S. M. l'Empereur et Roi.

Baron von Bissing. Comte von der Asseburg. Comte von Hohenau.

OBERST : MAJORS :

RITTMEISTERS :

Von Kunheim.

Von Arnim.

Baron von Sauerma. Comte Droste zu Vischering von Nesselrode-Reichenstein. Von

Keudell.

PREMIERS LIEUTENANTS :

Prince Albert de Schleswig-

Holstein-Sonderburg-Glücksburg.

Leipziger. Comte von Seherr-Thosz. Comte von der Asseburg. Von

Comte zu Lynar. Von Kessel. SECONDS LIEUTENANTS :

Von Golsch.

Baron von Fürstenberg.

Lepel. Von Behr. Von Foerster. Von Krosigk. Von

Von Helldorff.

Prince Maximilien de Bade. Prince Frédéric de Schonburg-Waldenburg. Comte Henckel von Donnersmarck. A la suite : GÉNÉRAL DE CAVALERIE : Grand-duc FrédéricFrançois III de Mecklembourg-Schwerin. GENERAL-MAJOR : Prince Günther de SchwarzbourgRudolstadl. OBERST : Prince Edouard de Salm-Horstmar. SECOND LIEUTENANT : Von 1er

Comte von Spee.

Comte von Hahn. Comte von Sauerma-Jellsch.

der Osten. Comte von Radolin. Baron von der Lancken-Wakenitz. Comte von der Schulenburg. Von

Comte von Westphalen. Comte von Arnim-Boitzenburg. Comte von Mutuschka, baron von Toppolezan-Spaet

Wulffen.

RÉGIMENT DE DRAGONS DE LA GARDE.

Du

NOM

de la Reine de

la Grande-Bretagne et

d'Irlande, à CHEF

:

BERLIN.

S. M. la Reine d'Angleterre.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von

der Knesebeck.

Baron von Zedtwitz. Willich dit von Pollnitz. RITTMEISTERS : Comte d'Eulenburg. Comte Dohna. Baron Gedult von Jungenfeld. MAJORS :

gen Ier.

Comte Henckel von Donnersmarck. Comte von Platen-Hallermund. Comte Neidhardt von Gneisenau.

(1) Les officiers placés à la suite exercent des fonctions très variees, soit auprès du souverain, soit au ministère de la guerre, soit dans les commandementsdes brigades, soit comme attachés militaires d'ambassade, etc., etc.


Comte von Hohenau. Von Arnim. PREMIERS LIEUTENANTS : Von

Heyden.

Comte de Lynar. Von Sydow. Baron Löw von und zu Steinfurth.

Prince Aribert d'Anhalt.

Christian-Ernest, prince héritier de Stolberg-Wernigerode. Comte de Montgelas Ier. Baron von der Lancken- Wakenitz. Prince héritier de Solms-Hohensolms-Lich. Von Waldow. Baron von Ketteler.

Von Brocken.

Baron von Moeller-Lilienstern. Baron von Senden Ier.

SECONDS LIEUTENANTS :

Von Gadow.

Baron von Senden

Comte von Kageneck. Comte de Montgelas II.

II.

A

Gerlach. Comte von Konigsmarck. Comte von Behr-Negendank. Von

Comte von Spee. Baron von Senden III. Comte von Schweinitzund Krain, baron von Kauder.

Prince Hermann Stolberg-Wernigerode. Von Stumm.

GENERAL-LIEUTENANT :

bourg, duc en Saxe. OBERST : Von Gottberg. MAJOR : Von

Byern.

RITTMEISTER : Von 1er

GENERAL-FELDMARSCHALL:

Prince Albert de Prusse.

Prince Georges de la Grande-Bretagne. OBERSTS : Von Kotze.

Grand-duc héritier Auguste d'Oldenbourg.

Plüskow. RITTMEISTERS : Duc Georges d'Oldenbourg. Comte von Bismarch-Bohlen. Comte Dohna. SECONDS-LIEUTENANTS : Prince Frédéric-Charles de

MAJOR : Von

Hesse.

POTSDAM.

COMMANDANT : OBERST Rabe von

Von A la suite :

Wrochem-Gellhorn.

HULANS DE LA GARDE, A MAJORS : Von

Von Erchert. Von Foerster.

la suite : Prince Maurice de Saxe-Alten-

Pappenheim.

Tresckow.

Schmidt-Pauli.

Comte von Brühl. Von Loebenstein Ier. Von Loebenstein II. Comte Vollrath de Stolberg-Roszla. PREMIERS LIEUTENANTS : Von Oertzen.

RITTMEISTERS :

Von Pachelbl-Gehag. Von Unger.

Baron von Reibnitz. Von Doering. SECONDSLIEUTENANTS : Von Arenstorff.

Von Bülow.

Comte Finck von Finckenstein. Blecken von Schmeling.

Baron von Dungern. HUSSARDS DE LA GARDE DU CORPS, à POTSDAM.

Jobst-Hermann, comte et seigneur de Lippe-Biesterfeld- Weiszenfeld.

l'Empereur et Roi. S. M. Guillaume H, Roi de Wurtemberg.

CHEF : S. M.

Moszner. Jean-Albert, duc de Mecklembourg-Schwerin.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon

Prince Charles-Antoine de Hohenzollern.

MAJOR :

Comte von Bredow. Comte von Gersdorff. Von Levetzow. Comte von Lehndorff.

Miketta. RITTMEISTERS : Von Dewitz.

Von Goszler. Von Knorr. Von Blücher.

la suite : GENERAL-MAJOR : Frédéric, grand-duc héritier de Bade. A

Von Trotha.

Comte von Haugwitz. Von Keszycki.

RITTMEISTERS :

Von Klitzing. PREMIERS LIEUTENANTS : Von

Treutler.

Baron von Kap-Herr Ier. Von Chelius.

Comte de Solms-Laubach. Prince II. de Schonburg-Waldenbury. SECONDSLIEUTENANTS : Schmidt von Schwind. Baron von Bodelschwingh-Plettenberg. Baron von Kap-Herr II.

SECONDLIEUTENANT : Léopold, comteet

seigneur de Lip-

pe-Biesterfeld. 2e HULANS DE LA GARDE, COMMANDANT : OBERST MAJORS :

à BERLIN.

Comte d'Eulenbourg.

Von Oertzen.

Comte von Haslingen. RITTMEISTERS : Von Wiedebach und Nostitz-Jankendorf


Von Vollard-Bockelberg. Von Below. Von Tiedemann,dit Von Brandis.

3e HULANS DE LA GARDE,

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von

Baron Thumb von Neuburg. PREMIERS LIEUTENANTS : Comte von Beroldingen.

Katte. Von Bismarck. Von

Comte von Schmettow. Comte von der Goltz. SECONDS LIEUTENANTS :

Von Bernuth.

Von Wedell. Comte von Haslingen, dit Von Schiekfus. Comte von Magnis. Von

Brandenstein.

Comte von Götzen.

Comte von Wedel. Comte von Kalnein. Baron von Bernewitz. Von Brockhusen.

la suite :

DRAGONS DE LA GARDE, à BERLIN.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT Henry

XIX, prince

de Reuss. MAJORS : Von Czettritz und Neuhaus.

François, prince de Batibor et de Corvey. RITTMEISTERS : Baron von Lentz. Von der Marwitz. Comte von der Schulenburg. Von Scherff. Von Bülow. PREMIERS LIEUTENANTS :

Comte von der Schulenburg.

Gustedt.

Von Mitzlaff. Von Woyrsch. Von der Schulenburg. RITTMEISTERS : Von Koller.

Baron von Esebeck. Baron von Richthofen. Von Sydow. Von Mellenthin.

Comte de Westerholt et de Gysen-

PREMIERSLIEUTENANTS:

berg. Baron Roth von Schreckenstein.

Von Reden. Otto, comte de Solms-Wildenfels.

Frédéric, prince héritier de Waldeck et Pyrmont. Otto, prince de Salm-Horstmar. Baron von Hollen. Von Petersdorff. Comte de Reventlow.

Guillaume, prince de Salm-Horstmar. Ernest, comte de Solms-Rödelheim. Von Veltheim. A GÉNÉRAL DE CAVALERIE :

Prince Christian de Schleswig-

OBERST : Von Nickisch-Rosenegk. MAJOR : Von Massow.

Baron von Zedlitz-Leipe. Comte Finck von F ickenstein 1er. Comte von Fruncken-Sierstorpff.

RITTMEISTER : Von

Dycke.

la suite :

Holstein.

Won Sydow.

SECONDS LIEUTENANTS : Von

Krosigk.

RÉGIMENT DE CUIRASSIERS DE LA GARDE DU CORPS, N° 1, DIT DU « Grand Électeur » (RÉGIMENTDE SILÉSIE),

à

BRESLAU.

Von Kock. Von Borcke.

COMMANDANT : OBERST von

Baron von Hoverbeck, dit Von Schoenaich.

MAJORS : Von Pfuel.

Von Schierstaedt. Von Loesch. Von Beneckendorff und von Von Erckert. Von Seidlitz.

Hindenburg.

Baron von Broich. Baron von Eberstein. Von Dresky. Baron von Stolzenberg. Comte Finck von Finckenstein II. A GENERAL-LIEUTENANT OBERST : Von

la suite :

: Prince Frédéric de Hohenzollern.

Willich.

Hennigs.

Baron von Tessin. Prince Maurice de Hohenlohe-Schillingsfürst. Baron von Heinze.

RITTMEISTER: Otto, prince de Schaumbourg-Lippe. SECOND LIEUTENANT : Comte von Hahn. 2E

MAJORS : Von

POTSDAM.

Von Willich. Baron Von Esebeck. Comte Kuno de Stolberg-Roszla. SECONDS LIEUTENANTS : Von Kosz.

Frédéric, prince de Solms-Braunfels. Baron von Edelsheim.

A

à

Frankenberg und Proschlitz.

Comte von Moltke. RITTMEISTERS: Comte de Dohna. Baron von Schuckmann. Von Rochow. Comte von Schweinitz und Krain, baron von Kauder. Comte von Matuschka, baron von Toppolczan und

Spaetgen. 2e CUIRASSIERS, DIT

à COMMANDANT MAJORS :

«

de

la Reine »

(DE POMÉRANLE),

PASEWALK.

: OBERST-LIEUTENANT von Natzmer.

Von Ziegler und Klipphausen.

Comte von Schmettow.


Comte von Wachlmeister. RITTMEISTERS : Comte von Schwerin. Baron von der Goltz.

Comte von Schwerin. MAJOR : Von Spalding. RITTMEISTER : Baron von

Von Arnim. Von Schuckmann.

CUIRASSIERS, DIT « de Seydlitz » (DE MAGDEBOURG),

du comte de Wrangel » ORIENTALE), à KOENIGSBERG.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von

Rabe.

à

HALBERSTADT.

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE Ernest II,

:

Comte von Haugwitz. Baron von Bothmer.

RITTMEISTERS : Von

Orlop.

Schwerin.

Von Zitzewitz.

Von Pelet-Narbonne. Von Werdeck.

Comte von Reichenbach. Baron von Glaubitz und Altengabel.

la suite : Von Stangen. A

Briesen.

Von

Comte Henri de Stolberg-Stolberg.

Von der Groeben.

la suite

A 4e CUIRASSIERS, DIT

à

«

de Driesen »

(DE WESTPHALIE),

MUNSTER.

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE Pierre,

grand-duc d'Ol-

denbourg. COMMANDANT : OBERST von Sichart.

: Baron von Fürstenberg.

Baron von Toll : RITTMEISTERS: Von Branconi.

Von Bila.

Comte von Brockdorff-Ahlefeldt. Von der Groeben. A la suite :

RITTMEISTER : Von Elterlein.

5e CUIRASSIERS, DIT

du duc Frédéric Eugène de

«

(DE PRUSSE OCCIDENTALE),à RIESENBURG, ROSENBERG.

GENERAL-OBERST DE CAVALERIE (avec le rang de GENERAL-FELDMARSCHALL): Otto, prince de Bismarck, duc

de Lauenbourg(GRAND-CROIXDE LA LÉGION D'HONNEUR). MAJOR : Von Campbell-Laurentz.

à

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTComte von Lüttichau.

Enckevorl. BaronHiller von Gaertringen.

MAJORS : Von

Schallehn. Baron von Lersner.

RITTMEISTERS:

Fries. Von Hanisch.

Sieg. Von Rouppert. Massow.

la suite : RITTMEISTER : Duc Albert de Wurtemberg. A

6e CUIRASSIERS, DIT CHEF :

«

de l'Empereur Nicolas Ier de

(DE BRANDEBOURG), à BRANDEBOURG.

Grand-duc Paul Alexandrovitch de Russie.

COMMANDANT : OBERST von Bredow.

OBERST-LIEUTENANT : Von RITTMEISTERS : Von

Gruben.

Katte.

la suite :

Baron von Gemmingen-Hornberg. RITTMEISTER : Baron Pigeon de Monteton. OBERST :

DE DRAGONS, DIT

de Prusse

Weisz. Baron von Seherr-Thosz. Von Unruh.

Russie »

A

1ER RÉGIMENT

MAJORS :

Charles-Alexan-

dre, grand-duc de Saxe.

EYLAU et

S. M. GuillaumeII, Roi de Wurtemberg. COMMANDANT: OBERST LIEUTENANTComte von Matuschka, baron von Toppolczan und Spaetgen.

(DU RHIN),

DEUTZ.

CHEF : GENERAL-OBERST DE CAVALERIE

Haniel.

CHEF :

du comte Geszler »

8e CUIRASSIERS, DIT «

Wurtemberg »

RITTMEISTERS : Von

Rundstedt.

MAJORS :

Von Kunheim.

MAJORS

duc de Saxe-

Cobourg-Gotha. COMMANDANT OBERST-LIEUTENANT Von

MAJOR : Klockmann. RITTMEISTERS : Von Maubeuge.

RITTMEISTERS :

Hollen.

3e CUIRASSIERS, DIT « (DE PRUSSE

la suite :

A

»

(DE LITHUANIE),

COMMANDANT : OBERST von MAJORS :

«

du prince Albert

à TILSITT.

Meyer.

Baron von Senden Bibran.

Von Osterrohl.

Bohmer. Von Parpart. RITTMEISTERS :

Kullak.

Von Petersdorff. Von

Rüdgisch. A

la suite :

GENERAL-FELDMARSCHALL: Prince Albert de GÉNÉRAL DE CAVALERIE MAJOR :

:

Prusse.

Von Heuduck.

Wernitz.

2e DRAGONS (1er DE BRANDEBOURG),à SCHWEDT.

Von Besser. Von Meyer.

CHEF : GENERAL FELDMARSCHALL Prince

Comte Finck von Finckenstein.

COMMANDANT :

Albert de Prusse. OBERST von Blumenthal.


SOUS-OFFICIER DES HUSSARDS DE BLÜCHER (RÉG. N°

5).



Von Wright.

Baron von Rodde. Comte von der Schulenburg. Won Kalckreuth.

MAJORS :

Von

Chevalier et seigneur von Oetinger. A la suite : OBERSTS-LIEUTENANTS : Von Homeyer.

Platen.

Rosentreter.

Comte von Bismarck-Bohlen.

RITTMEISTERS :

RITTMEISTER : Von Nathusius.

Von Reusz. Von Arnim.

7e DRAGONS (DE WESTPHALIE),à SAARBRUCK.

la suite : Von Berger. A

RITTMEISTER :

3e DRAGONS, DIT « du baron de Derfflinger » (DE NOUVELLE MARCHE), à BROMBERG.

LA

Gustave, Prince royal de Suède et de Norvège. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT Comte von SchlipCHEF :

penbach. Comte von Klinckowstroem. RITTMEISTERS : Von Hagen.

MAJOR :

DRAGONS, DIT

«

MAJORS DE SILÉSIE),

Guillaume, Comte de

Baron Rüdt von Collenberg. RITTMEISTERS : Von Britzke. Comte von Schweinitzund Krain,baron von Kauder. Schmige. Comte von Oeynhausen.

la suite :

du baron de Manteuffel »

(DU RHIN),.

HOF-GEISMAR.

Braun.

Koppe.

Weisbrodt. Baron von Waldenfels.

Spangenberg. A RITTMEISTER : 6E

la suite :

Hantelmann. Comte von Kielmansegg.

DRAGONS (DE MAGDEBOURG), à THIONVILLE.

COMMANDANT : OBERST MAJOR :

Von Busse.

RITTMEISTERS :

Charles Ier, Roi de Roumanie.

RITTMEISTERS : Von

Strantz.

Gorne.

Baron von Maltzahn. Von Colomb. Von Windheim.

Lübbert. Hellwig. 10e DRAGONS (DE PRUSSE ORIENTALE),

von Rabe.

Schmid.

à

ALLENSTEIN.

de Saxe.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von Raven.

Baron von Esebeck. Von Arnim. Comte von der Schulenburg.

MAJORS :

RITTMEISTERS : Von

Wrochem.

Von Schiveinichen. Von Wilamowitz-Mollendorf.

Boy.

Venske.

Dehnicke.

à METZ.

9e DRAGONS (1er DE HANOVRE),

CHEF : S. M. Albert, Roi

Scriba. OBERST : Von

Schalscha von Ehrenfeld. RITTMEISTERS : Von Schack. Zahn. Von Bismarck. Von Boddien. A la suite : OBERST : Baron von Kleist. MAJOR : Von Festenberg-Pakisch.

Kieckebusch. Von Pawel-Rammingen.

Andersch.

RITTMEISTERS :

von Moltke.

MAJORS :

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von MAJOR :

: Baron von König.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von

Von Dresky.

à

KREUZBURG, BERNSTADT ET NAMSLAU.

CHEF : S. M.

OBERST : Von Krosigk.

5e DRAGONS, DIT «

du roi Frédéric III » (2e DE SILÉSIE),

Von Beneckendorffund von Hindenburg.

COMMANDANT : OBERST von Plato. MAJORS : Chevalier de Longchamps-Berier.

MAJOR :

«

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT Comte

Stolberg- Wernigerode.

A

Von Gusledt. RITTMEISTERS : Von Gustedt. Von Berg. Von Rosenstiel.

à

LUBEN.

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE

Arent.

8e DRAGONS, DIT

de Bredow » (1ER

à

MAJORS :

Hoth.

Von Platen. Von Schmiterlöw. Von der Decken. Von Witzleben-Normann. Von Wienskowski. 4E

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE.Prince Léopold de Bavière. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT Preuszer.

A OBERST :

la suite

Von Kraatz-Koschlau.

:


11e DRAGONS, DIT « de Wedell » (DE POMÉRANIE), à GUMBINNENET STALLUPOENEN. COMMANDANT : OBERST

MAJORS

:

Wolff von Schutter.

von Meyer.

Wolff.

16e DRAGONS (2e DE HANOVRE), à LUNEBOURGet UELZEN.

Baron von Stosch. Rademacher. RITTMEISTERS : Von

CHEF : S.

Rochow. RITTMEISTERS : Von Rauch. Von Bodecker. De Graaff. Baron von Uslar Gleichen. MAJOR : Von

Schultze-Moderow.

Gülcher.

la suite :

A MAJOR : Voitus.

Simon.

Weidlich.

:

d'Arnim

à CHEF : S. A. R.

» (2e DE BRANDEBOURG), GNESEN.

la princesse Frédéric-Charles de Prusse.

COMMANDANT : OBERST Comte

von Klinckowstroem.

von Werder.

Comte von Wartensleben.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von

Holtzenbecher.

Sichart von Sichartshoff.

Von Wickede.

: OBERST-LIEUTENANT Baron von

Comte von Hardenberg. RITTMEISTERS: Von Arnim. Comte de Dohna. Von Bernuth. Von Buch. Von Katzler.

la suite : OBERST : Henry XVIII, prince de Reuss. OBERST-LIEUTENANT : Paul-Frédéric, duc de Mecklembourg-Schwerin.' A

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTBaron

Dietz von Bayer. A

und zu

18e DRAGONS (2e DE MECKLEMBOURG),à PARCHIM.

Von Vosz.

Ziegler und Klipphausen. Von Muellern.

MAJORS : Von

14e DRAGONS (DE LA MARCHE ÉLECTORALE), a COLMAR. CHEF : S. M.Léopold II, Roi des Belges. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von Bachmayr. MAJORS : Bauer. Thies. Rau. RITTMEISTERS : Von Gaffron. Von Schmidt. Nehring. Lagatz. 15e DRAGONS (3e DE SILÉSIE), à HAGUENAU. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT

berg.

der Schulenburg.

Baron von Fürsten-

Von Busse. RITTMEISTERS : Von

Zieten,

Von Haugwitz. Von Faber du Faur. Von Sittmann. Von Levetzow. 19e DRAGONS (D'OLDENBOURG), à OLDENBOURG. CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE

Keller.

Pierre, grand-duc d'Ol-

denbourg. COMMANDANT : OBERST

Auguste, grand-duc héritier

d'Oldenbourg. MAJORS : Von

Witzleben.

Baron von Schrotter und von Slutterheim. RITTMEISTERS : Baron von Tettau. Von Allen.

Kienitz..

von Senden-

Bibran.

la suite :

Dann.

Von Haugwitz.

François III, grand-duc

RITTMEISTERS : Von Seeler.

Melms. Von Kemnitz.

RITTMEISTERS :

RITTMEISTERS : Von

GÉNÉRAL DE CAVALERIE

OBERST-LIEUTENANT :

13e DRAGONS (DE SCHLESWIG-HOLSTEIN), à METZ.

MAJORS : Von

:

Egloffstein.

Léonard, comte de Stolberg-Wernigerode. A la suite :

RITTMEISTER :

CHEF

COMMANDANT

Von Schön.

GÉNÉRAL DE CAVALERIE :

17e DRAGONS (1er DE MECKLEMBOURG),à LUDWIGSLUST.

de Mecklembourg-Schwerin.

Alberti. Prince von Schönaich-Carolath. RITTMEISTERS : Baron von Schrótter. Von Bistram.

MAJORS :

la suite : OBERST : Von Bardeleben. MAJOR : Baron von Massenbach. A

12e DRAGONS, DIT «

MAJORS ;

A.R. le comte de Flandres.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTMoritz.

Wedell.

Von Hertzberg.

RITTMEISTER

Von Prittwitz und Gaffron. Von Busse.

Baron von Massenbach. Von Baumbach.


A

COMMANDANT : OBERST

von Engel.

OBERST : MAJOR :

la suite :

MAJORS :

von Damnitz.

Baron von Ardenne.

Von Schmidt.

20e DRAGONS (DU CORPS, 1er

de

BADE), à KARLSRUHE

CHEF : GENERAL-OBERST DE CAVALERIE

Frédéric, Grand-

Duc de Bade. COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANT von Schmidt.

Wagenhoff. Strahl, baron von Salis-Soglio.

RITTMEISTERS:

Von

Rocholl.

Boddien.

Von Tresckow.

Baron von Lyncker. Baron von Starck. Otto.

OBERST-LIEUTENANT :

Liman.

MAJORS :

Brand.

la suite :

A

MAJORS : Von

RITTMEISTERS:

von Voigt.

Brinckmann.

Von Brockhusen.

Baron von der Recke von der Horst.

Dumrath.

DRAGONS(2ede BADE), à BRUCHSALet SCHWETZINGEN.

21e

1er HUSSARDS DU CORPS ; à DANTZIG, et à LANGFUHR. COMMANDANT:OBERST Comtede

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von MAJORS :

Uslar.

Von Kleist.

Mohr.

Von der Osten.

Herbst.

RITTMEISTERS :

Comte von Hardenberg. Clifford Kocq von Breugel.

Ligniez. Stark. Thiergärtner-Drummond. 22e DRAGONS, DIT «

Schulze.

la suite :

A

du prince Charles » à

(3e de BADE),

OBERST-LIEUTENANT

Hoffmann-Scholtz.

:

MULHOUSE.

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE Prince COMMANDANT : OBERST von Tresckow.

Charles de Bade.

: Kühls.

2e HUSSARDS DU CORPS, DIT

à

MAJORS :

Baron Grole. Jochmus.

l'Impératrice »,

POSEN.

Comte von Sponeck.

Schultz von Dratzig. Comte Schack von Wittenau. RITTMEISTERS : Hoffmann. Von Schack.

Preusz. A la suite : RITTMEISTER: Von Hesberg.

Comte von Schmettow.

23e DRAGONS (DE LA GARDE, 1er DE HESSE GRANDDUCALE), à DARMSTADT.

:

de

l'Impératrice et Reine Frédéric. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT,von Bassewitz.

Von Nathusius.

COMMANDANT OBERST-LIEUTENANT von

«

CHEF : S. M.

: Erdmann.

Kröcher.

Von Wedell. Von Rosen.

MAJORS :

RITTMEISTERS :

Gueldre-Egmond d'Arcen.

Douglas. Von Livonius.

Von Ernst.

RITTMEISTERS

A OBERST : Von Haeseler.

3e HUSSARDS, DIT

«

de Zieten » (de

à

Winsloe.

la suite :

CHEF :

BRANDEBOURG),

RATHENOW.

Arthur, duc de Connaught et Strathearne.

Von Steinau-Steinrück.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT von

Baron von Uckermann. Von Oertzen.

MAJORS

A MAJOR : Von

:

Von Owstien.

Von Seydlitz.

la suite :

RITTMEISTERS :

Zimmermann.

Bode.

Von Goetzen.

Hertzberg. Von Böhlendorff-Kolpin. Von

24E

STARGARDT

RITTMEISTERS :

Hardt.

MAJOR

MAJOR :

à

DRAGONS (DU CORPS, 2e de HESSE GRAND-DUCALE),

à

DARMSTADTet BUTZBACH.

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE Henri,

et sur le Rhin.

Prince de Hesse

A

la suite :

GENERAL-LIEUTENANT : Von Rosenberg. RITTMEISTERS Von Winterffeld. :

Griesheim.


4e HUSSARDS, DIT

à

«

de Schill

»

(1ER

DE SILÉSIE),

et

Grand-duc Michel Nicolaiévitch de Russie, COMMANDANT : OBERST von Müller. MAJOR : Baron von Senden-Bibran. RITTMEISTERS : Von Paczensky und Tenczin. Von Kemnitz.

Tzarévitch Nicolas de Russie.

CHEF :

COMMANDANT.: OBERST-LIEUTENANTvon Below.

Comte von Itzenplitz. Edler von Graeve. RITTMEISTERS : Michels. MAJORS :

Comte de Villers.

der Marwitz.

Von Burgsdorff.

von Buddenbrock.

A

5e HUSSARDS, DIT

CHEF :

«

du princeBlücher » à STOLP.

(DE POMÉRANIE),

RITTMEISTER

MAJOR :

:

la suite :

Brecht.

9e HUSSARDS (2e du RHIN), à TRÈVES.

Prince de Galles.

COMMANDANT : OBERST

NEUHAUS.

Von Bitter.

Baron von Wechmar. BARON

HUSSARDS (1ER DE WESTPHALIE), à PADERBORN

OHLAU et STREHLEN.

CHEF :

Von

8E

von Natzmer.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon

von Zitzewitz.

MAJOR :

RITTMEISTERS : Von der Knesebeck.

Seederer. Schotten.

RITTMEISTERS :

Von Bonin.

Von Loos.

Schillow.

Baron Seutter von Lötzen.

Lederbogen.

Grolman.

Baarth.

Abegg. Baron von Uslar-Gleichen.

la suite : MAJOR :Von Rothkirch und Panthen. A

10e HUSSARDS (de MAGDEBOURG), à

6e HUSSARDS, DIT « du comte Goetzen » (2e DE SILÉSIE), à LEOBSCHÜTZ et OBER-GLOGAU.

Alexis Alexandrovitch de Russie. OBERST Baron von Sauerma.

CHEF : Grand-duc COMMANDANT :

MAJORS

Von Wrochem.

Baron von der Knesebeck-Milendonck.

Ernst. Glasenapp.

Von Müller. RITTMEISTERS: Von Hertell.

Bartsch von Sigsfeld.

11e HUSSARDS (2e

A la suite : RITTMEISTER : Von Heuduck.

de

WESTPHALIE), à DUSSELDORF

et BENRATH. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon

7E HUSSARDS, DIT «

du roi Guillaume Ier

»

(1ERDU RHIN),

à BONN. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon

Winterfeld.

Wallenberg. RITTMEISTERS : Von Hellmann. Von Kossecki. Baron von Tettau. Prince Adolphe de Schaumbourg-Lippe. MAJOR : Von

Von

Wallenberg. A

la suite :

LES GÉNÉRAUX DE CAVALERIE : Comte von

Baron von Loë. Prince Henri de Hesse. Prince Charles de Suède et Norvège. OBERST : Synold von Schüz. MAJOR : Von

Mühlberg.

Bonin.

Baron von Lützow, dit von Dorgelo. A la suite : OBERST : Von Thümen. RITTMEISTER : Böhm.

Kleist.

Von Rothkirchund Panthen.

Von

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon MAJORS : Briesen.

Stendal.

Von Katzler.

Von Lautz. RITTMEISTERS : Von

Hagenow.

MAJORS

:

Britzke.

Von Ziethen.

Baron von Fritsch. RITTMEISTERS : Von Arnstedt. Von Borries. Von Blücher. Von Cossel.

Baron von Wrede. 12e HUSSARDS (DE THURINGE),

à

MERSEBURG

ET WEISZENFELS.

der Goltz.

Grand-duc Vladimir Alexandrovitch de Russie. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon Liebermann. MAJORS : Baron von Stesch. CHEF :

Von Katte. RITTMEISTERS:

Von Hagke.

Conrad.


OFFICIER DE HUSSARDS ; SAXE.



Baron von und zu Egloffstein.

16e HUSSARDS, DIT « de l'Empereur d'Autriche SCHLESWIG-HOLSTEIN),à SCHLESWIG.

Von Oheimb. Von Rumohr. Von Schnchen.

CHEF : S. M.

la suite : GÉNÉRAL D'INFANTERIE : Ernest, duc de Saxe-Altenbourg. A

OBERST

:

Von Goszler.

CHEF

à

FRANCFORT et

à

S. M. le Roi d'Italie.

:

COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANTvon Schmeling. MAJORS : Von Bornstädt.

Von Holy-Poniecitz.

Bochm.

COMMANDANT:

MAJORS : Von Byern. Von Rundstedt. RITTMEISTERS : Von

Mackensen. Von Bülow. Von Dechend. A

OBERST Baron von Bissing.

Issendorff.

la suite :

OBERST : Von Thümen. RITTMEISTER : Von Pachelbl-Gehag. 17e HUSSARDS (DE BRUNSWICK),à BRUNSWICK.

Von Schmeling. Von Jagemann.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon

Jacobi.

MAJORS : Von

Von Westernhagen.

Versen.

Hirschfeld.

Schweppe.

Baron Digeon de Montelon. A

(de

l'Empereur d'Autriche.

RITTMEISTERS :

13e HUSSARDS (1er de HESSE), MAYENCE.

»

la suite

der Marwitz.

RITTMEISTERS: Von

Von Koppy.

:

Victor-Emmanuel, prince héritier d'Italie. MAJOR : Von Stullerheim. RITTMEISTER : Von Storch.

Walther- Weisbeck. Comte von Pfeil.

Hoffmann.

Von

la suite : Von Kresigk. A

14e HUSSARDS, DIT « de Frédéric II, landgrave de HesseHombourg » (2e de HESSE), à CASSEL. CHEF : Frédéric, prince héritier de Danemark. COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANTBaron von Werthern.

Baron von Langermann und Erlencamp.

MAJORS :

Von Mechow. RITTMEISTERS : Von Schönfeldt.

OBERST

15e CHEF

:

:

la suite :

OCCIDENTALE),

CHEF

:

Frédéric-François III,

Grand-Duc de Mecklembourg-Schwerin. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTVon

MILITSCH ET OSTROWO.

S. M. l'Empereur Alexandre III.

OBERST-LIEUTENANT: Von

Rohr.

Briesen.

MAJORS : Von

Troost. Von Frankenberg und RITTMEISTERS

Ludwigsdorf.

Torgany.

:

A

la suite :

Grand-duc Georges Alexandrovitch de Russie. Sembach.

RITTMEISTERS :

Keibel.

Huth. 2e HULANS, DIT

Gersdorff.

«

de

Katzler » (de SILÉSIE), à RATIBOR,

PLESS, SOHRAU et GLEIWITZ.

Von Blumenthai.

Comte von und zu Westerholt und Gysenberg. RITTMEISTERS : Engels. Baron von und zu Weichs an der Glon. Von Koenig.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon MAJOR : Von RITTMEISTERS

A GENERAL-LIEUTENANT :

la suite :

Charles-Auguste, grand-duc héri-

tier de Saxe.

:

Prince Egon von Ratibor und Corvey.

Biela. Breyer.

Baron von Diepenbroick-Grüter.

Comte von Schlieffen.

Gergonne. Von

Papen.

Quast.

Von

Von Hake.

RITTMEISTERS :

à

Von Lieber.

HUSSARDS (de HANOVRE), à WANDSBECK.

MAJORS : Von

l'Empereur de Russie » (de PRUSSE

Schwerin.

Von Lieres et Wilkau.

GÉNÉRAL DE CAVALERIE

1er HULANS, DIT « de

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTKuhlmay.

Comte von Hullen-Czapski. Baron von Fritsch. Kühne. Baron von Langermann und Erlencamp. A

RITTMEISTER :

Brixen.

la suite : RITTMEISTER : Von Stangen. A


3e HULANS, DIT

Russie

»

(1ER

de l'Empereur Alexandre

«

de

BRANDEBOURG),

à

II

de

Grand-Duc Serge Alexandrovitch de Russie.

COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANT Von MAJORS : Von

Wickede.

Niebelschütz.

»

(du RHIN),

SAARBURG. CHEF : GENERAL-OBERSTDE CAVALERIE Frédéric,

Grand-

Duc de Bade. COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANT MAJORS :

Jagow.

von-Czettritz und

Von Vollard-Bockelberg.

Von Bredow. Von Mechow.

derMarwitz. Von Kramsta. Von Prittwitz und Gaffron. Von

RITTMEISTERS :

Krahmer.

Von Erhardt. Loeb.

Von Glasenapp. A

du Grand-Duc de Bade

Neuhaus.

Von Alten. RITTMEISTERS : Von

«

FRANCFORT,

FURSTENWALDEet BEESKOW. CHEF :

7e HULANS, DIT

la suite :

Winsloe.

RITTMEISTER: Comte von Pückler.

8e HULANS, DIT 4e HULANS, DIT « de Schmidt

» (1er

de POMÉRANIE),à

THORN.

MAJORS : Von

Fuchs.

COMMANDANT : OBERST von MAJORS : Von

Mandelsloh.

Scheffer.

RITTMEISTERS:

Baron von Wrangel.

Comte von der Groeben. Becker. Geiger. A

Von Dewitz. Von Below. Von Tschirschky. A

la suite :

Baron Von Entresz-Fürsteneck.

Adolphe, Grand-Duc de

la suite :

ArchiducFrançois-Ferdinand d'Autriche. MAJOR Von Keller. :

5e HULANS (de WESTPHALIE), à DUSSELDORF. CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE

Fenner.

Krieger.

Heidborn.

OBERST :

Archiduc Charles-Louis d'Autriche.

Von Horn.

Comte von Merveldt. RITTMEISTERS :

à LYCK et MARGGRABOWA.

OCCIDENTALE),

CHEF :

CHEF : GÉNÉRAL DE CAVALERIE Prince Georges de Prusse. COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANT von Humbracht.

du comte de Dohna » (de PRUSSE

«

9e HULANS (2e DE POMÉRANIE), CHEF

:

GÉNÉRAL

DE

CAVALERIE

à

DEMMIN.

Frédéric-Guillaume,

Luxembourg, Duc de Nassau. COMMANDANT: OBERST von Bayer-Ehrenberg (à la suite du 1er hulans de Wurtemberg). MAJORS : Von Schmidt. Von Buch.

Grand-Duc de Mecklembourg-Strélitz. COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANTvon Bärensprung. MAJORS : Baron Von Kirchbach.

Baron von Brenken. Von Engelcken. Von Boehn. Von Nimptsch. A la suite : RITTMEISTER : Von Engelbrecht.

RITTMEISTERS : Von Plüskow.

RITTMEISTERS :

6° HULANS (DE THURINGE),à MULHOUSE et LANGENSALZA. CHEF : S. M.

le Roi de Danemark.

COMMANDANT: OBERST Von Wenden.

Beamish-Bernard. Von Neumann-Cosel. Von Rohr-Wahlen-Jürgasz.

Dreher. Von Bernstorff. A GENERAL-LIEUTENANT:

Von

Heiligenstedl. Von Wittich.

Kühne. Von Blumenthal. Schmidt. Riedesel.

RITTMEISTERS :

Bayer.

Grand-Duc héritier de Mecklem-

burg-Strélitz. RITTMEISTER: Eben. 10e HULANS, DIT

«

du prince Auguste de Wurtemberg »

(de POSNANIE), à ZULLICHAU.

OBERST-LIEUTENANT: Baron von Hövel. MAJORS :

la suite :

COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANTvon

Gersdorff. Von Bornstedt. Von Hagen. RITTMEISTERS : Von Rohr. MAJORS : Von

De Graaff.

Baron von Wechmar.

Boehm.


Von

Winterfeld.

15e HULANS

Baron von Wolff. A RITTMEISTER : Von

dit von Nyvenheim. MAJORS :

de

à SAARBURG.

BRANDEBOURG),

Schaumberg.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon MAJOR :

Oelrichs.

Baron von Manteuffel. Comte von der Recke Volmerstein.

RITTMEISTERS :

Von Richthofen. Von

Mitzlaff.

von Boddien. Von Dassel-Wellersen. Comte von Rohde.

RITTMEISTERS:

OBERST

: Von Müller.

la suite :

16e HULANS, DIT « de Hennigs von Treffenfeld » (DE LA VIEILLE-MARCHE), à SALZWEDEL et GARDELEGEN.

Von Cleve.

(de LITHUANIE), à INSTERBURG et GOLDAP.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTLange.

MAJORS : Von

Von Borcke.

A

Baron Grote. Von Berg. Von Borcke.

12e HULANS

STRASBOURG.

COMMANDANT: OBERST-LIEUTENANT Baron von Neukirchen,

la suite :

Schwerin.

11e HULANS (2e

(de SCHLESWIG-HOLSTEIN), à

Massow.

CHEF : GENERAL-FELDMARSCHALL Georges, Prince de Saxe. COMMANDANT : OBERST Baron Von MAJORS : Von

Bernewitz.

Szymonski.

Von Koblinski.

Junk. Von Bismarck. Von Klatte. Schalscha Von Ehrenfeld.

RITTMEISTERS :

Jaraczewski. RITTMEISTERS : Dreher. Von

Von Schimmelpfennig,

dit Von der Oye.

Seiffert. Hennig.

Ziermann. A la suite : OBERST : Von

13e HULANS, DIT « CHEF :

INSTITUT MILITAIRE DE CAVALERIE, à HANOVRE.

Kaisenberg. du Roi »

(1er de HANOVRE), à HANOVRE.

S. M. l'Empereur et Roi.

COMMANDANT : OBERST-LIEUTENANTvon

MAJORS : Von

Bülow.

Krosigk.

A

6e

dragons).

lans). MAÎTRES D'ÉQUITATION : MAJORS : von Rottkirch und Pan-

Waldersee.

Comte von Perponcher-Sedlnitzky.

de HANOVRE), à

SAINT-AVOLD.

: OBERST-LIEUTENANTVon Colmar.

Meiling. Meier. RITTMEISTERS : Baron von Esebeck. MAJORS :

Dommes. Von Schultz.

Bayer von Ehrenberg. Roth. A la suite :

Bothe.

DIRECTEUR DE L'ÉCOLE DE CAVALERIE DES OFFICIERS : OBERST-LIEUTENANT von Homeyer (à la suite du

Brinckmann (à la suite du 24e dragons). ADJUDANTS : PREMIER LIEUTENANT.Von Fuchs-Nordhoff (du 10e hussards) ; Comte von der Schulenburg-Wolfsburg(du 13e hu-

la suite :

GÉNÉRAL DE CAVALERIE Comte von : RITTMEISTERS Von Seydewitz.

OBERST :

de la Garde).

MAJOR

Baron de Beaulieu-Marconnay. RITTMEISTERS ; Von Heyden-Linden. Von Uechtritz und Steinkirch. Von Pieschel.

COMMANDANT

Willich (à la suite du 2e dragons

DIRECTEUR DE L'ÉCOLEDE CAVALERIE DES SOUS-OFFICIERS :

Von Dittmar. Von Biegeleben.

14e HULANS (2e

CHEF : OBERST Von

then (à la suite du 5e hussards); Wernitz (à la suite du 1er dragons). RITTMEISTERS: Von Winterfeld (à la suite du 3e hussards); Von Stangen (à la suite du 2° hulans); Von Seeler (à la suite du 17e dragons);

Eben (à la suite du 9e hulans); Brecht (à la suite du 8e hussards); Baron Digeon de Monteton (à la suite du 8e cuirassiers) ; Von Sydow (à la suite du rég. des Gardes du corps); Keibel(à la suite du 1er hulans) ; Weidlich (à la suite du 11e dragons). PREMIERLIEUTENANT : Comte von Wengersky(à la suite

du

4e

hussards).


ROYAUME DE SAXE.

Baron von Friesen. Von Nostilz-Wallwitz.

(XIIe CORPS D'ARMÉE DE L'EMPIRE.)

Comte von Rex. Von Arnim. Von Heynitz.

PREMIÈRE DIVISION. GENERAL-LIEUTENANT : Von CHEF D'ÉTAT-MAJOR : MAJOR

1re

Brigade (n° 23) (Garde-Reiter et 1er à

Weiszenfeld. Prince Ulrich von Schönburg-Waldanburg. Baron von Fritsch.

Hulans),

DRESDE.

Baron von Hammerstein (à la

COMMANDEUR: OBERST

Ernest, comte et seigneur de Lippe-Biesterfeld-

Reyher. Baron von Friesen-Millitz.

suite du 2e hussards). Baron von Salza und Lichtenau (à la suite des Gardes-Reiter).

ADJUDANT : RITTMEISTER

Von Oppell. Von Zeschau. Von der Decken-Ringelheim. Von Hake. PORTE-ÉTENDARDS : Von Cerrini di Monte Von Carlowitz. A

DEUXIÈME DIVISION.

RITTMEISTERS

Brigade (n° 24)

(1er et 2e

COMMANDEUR: OBERST Preusser

Hussards), à LEIPZIG. (à la suite du 2e

hus-

sards). ADJUDANT : RITTMEISTER Von

Schonberg (à la suite des

carabiniers). TROISIÈME DIVISION.

Baron von dem Bussche-Streithorst.

CARABINIERS, à

COMMANDEUR : OBERST

Baron von Friesen. RITTMEISTERS: Baron von Stein zu Lausnitz. Von Anderlen.

MAJOR :

Arnold.

hus-

sards). du 2e

RITTMEISTER :

la suite :

Von Schönberg.

DRESDE.

Schultze (à la suite du 1er

1er

HUSSARDS,DIT « du Roi » (N° 18), à

CHEF

ADJUDANT : RITTMEISTER

PEGAU.

Von Nostitz-Wallwilz. Von Carlowitz-Maxen.

(n° 32) (Carabiniers et 2e Hulans),

à

et

D'HONNEUR).

A

Brigade

BORNA

COMMANDEUR: OBERST Kirchner (OFFICIER DE LA LÉGION

GENERAL-LIEUTENANT : Von Kirchbach. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : MAJOR Baron von Wagner.

3e

la suite :

Baron von Salza et Lichtenau. SECOND LIEUTENANT : Prince Hermann von SchönburgWaldenburg.

GENERAL-LIEUTENANT: Von Tschirschnits. CHEF D'ETAT-MAJOR : MAJOR Barth.

2e

:

Barchi.

Baron von Weissdorf (à la suite

hussards).

:

GROSZENHAIN,

S. M. le Roi.

Baron von Hoenning O'Carroll

COMMANDEUR : OBERST

OBERST-LIEUTENANT : Baron von RITTMEISTERS : Ton Carlowitz.

Stralenheim.

Von Walter-Jeschki,

REGIMENT de

«

GARDE-REITER », à DRESDE.

CHEF : S. M. le Roi. COMMANDEUR: OBERST Edler von

der Planits.

von Wülfingen. MAJOR : Von Oppen-Huldenberg. RITTMEISTERS : Von Zehmen. Von Tschirschky und Bogendorff. Comte von Fabrice. Von Mangoldt-Reiboldt. PREMIERS LIEUTENANTS : Comte Vitzthum von Eckstadt. Baron von Bodenhausen. Von Arnim. Comte Wilding von Konigsbrück. Baron von Rochow. SECONDS LIEUTENANTS : Von Metzsch-Reichenbach. OBERST-LIEUTENANT: Bock

Baron von Campe. Baron von Gayl. Baron von Milkau.

la suite

A GENERAL LIEUTENANT:

:

Charles-Auguste,grand-duc héri-

tier de Saxe-Weimar-Eisenach. OBERST :

Schultze.

OBERST-LIEUTENANT :

Prince Frédéric-Auguste, duc en

Saxe. RITTMEISTER : Von

Laffert.

2e HUSSARDS,DIT

«

de

la Reine »

(N° 19),

à GRIMMA et

LAUSIGK.

CHEF : S. M.

la Reine.

COMMANDEUR: OBERST-LIEUTENANTBaron

OBERST LIEUTENANT : Von

Stieglitz.

von Ende.


RITTMEISTERS :

Baron von Hagen.

2e

Baron Grote. Senfft von Pilsa h. Von Kiesemwetter.

COMMANDEUR : GENERAL-MAJOR von

A la suite GÉNÉRAL DE CAVALERIE :

ADJUDANT: RITTMEISTERErnst(à la

:

1er

«

de l'Empereur d'Autriche » (N° 17),

à CHEF : S. M. MAJORS :

Olga

»

(n° 25),

OSCHATZ.

Reine douairière. COMMANDEUR : MAJOR Baron von Roder. MAJORS : Baron von Massenbach,

Franzinger. RITTMEISTERS

: Renner.

Etzel. Bieber, aide de camp du roi.

l'EmpereurFrançois-Josephd'Autriche.

COMMANDEUR : OBERST

suite du 1er dragons).

CHEF : S. M. la

Baron Leuckart von Weissdorf.

HULANS, DIT

à ULM.

Krell (à la suite de

1er DRAGONS, DIT « de la reine à LUDWIGSBURG.

Senfft von Pilsach.

OBERST : Baron von Hammerstein. MAJOR : Von Sandersleben. RITTMEISTER :

2e Hulans),

l'armée prussienne).

Carlowitz-Hartitzsch.

Von

Brigade (n° 27) (2e Dragons,

Krausze. Baron Thumb von Neuburg.

von Schimpff.

Baron von Milkau.

Scharnke.

la suite : GENERAL-MAJOR : François, Duc de Teck. OBERST : von Sick, commandantla 14e brigade de cavalerie prussienne.

Von Kommerstaedt.

MAJOR :

Von Boddien. RITTMEISTERS:

A

Götz von Olenhusen.

Baron von Welck.

Griesinger.

RITTMEISTER 2e HULANS (N°

18), à

ROCHLITZ

et

2E

COMMANDEUR : OBERST

Reinhardt.

Baron von dem Bussche-Streithorst.

Carlowitz. A

OBERST :

von Krosigk (à la suite du 4e dra-

gons prussien). MAJOR : Baron von Speth-Schülzburg. RITTMEISTERS : Lauenstein. Spiesz.

Gadegast. Bader. Von

DRAGONS, DIT « du Roi » (n° 26), à ULM et WIBLINGEN.

CHEF : S. M. le Roi..

Schmaltz.

RITTMEISTERS: Von

Ernst.

GEITHAIN.

COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANT Poten. MAJOR :

:

Wotschke.

la suite :

Preusser.

Kinder, aide de camp du prince Georges, due en Saxe, commandant en chef de l'armée.

Von Poser. Von der Lühe.

RITTMEISTER:

A

la suite

:

GÉNÉRAL DE CAVALERIE: Bernard, prince de

Saxe-Wei-

mar-Eisenach. ÉCOLE D'ÉQUITATION, à DRESDE. INSPECTEUR : OBERST SCHULTZE,

commandant la 3e bri-

gade de cavalerie. DIRECTEUR

2e

:

von Sandersleben (à

MAJOR

la suite du

hussards).

ROYAUME DE WURTEMBERG. (XIIe CORPS D'ARMÉE DE L'EMPIRE.) 1re

Brigade

(n° 26) (1er Dragons, 1er Hulans),

à STUTTGART. COMMANDEUR: OBERST

lans prussien).

von Müller (à la suite du 15e hu-

1er HULANS, DIT «

à CHEF : S. M. le Roi. 2e CHEF : S. A. I.

du roi Charles

» (n° 19),

STUTTGART.

la duchesse -Vera de Wurtemberg, grande-duchessede Russie. COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANT Baumann. MAJOR : Benzinger. RITTMEISTERS : Baron von Hayn. Baron von Gemmingen-Guttenberg. Baron von Roder. S. A. R. Albert duc de Wurtemberg. Duc Guillaume d'Urach, comte de Wurtemberg. Baron von Ow-Wachendorf. A la suite : GENERAL-LIEUTENANT: Philippe, duc de Wurtemberg. OBERST von Bayer-Ehrenberg, commandant le 5e hulans

prussien.


Baron von Falkenstein. Pohl, chef d'escadrons au 13e dragons prussien. Prince Charles d'Urach, comte de Wurtemberg.

RITTMEISTERS

2e HULANS, DIT

A

«

LUDWIGSBURG.

MAJOR :

von Le Suire. 2e SCHWERE-REITER,

Mühlberg (à la suite du 7e hussards prus:

sien). RITTMEISTERS

EX-RÉGIMENT DE

E. Gôtzl.

A la suite :

H.

Beckh.

: Baron Seutten von Lôtzen, chefd'escadrons

A la suite :

RITTMEISTER

: Prince Louis-Ferdinand de

au 9e hussardsprussien.

GENERAL-MAJOR

1er CHEF : S. M.

ROYAUME DE BAVIERE (1).

ron M. von Sazenhofen. 1re Brigade (1re et 2e Schwere-Reiter), à COMMANDEUR : GENERAL-MAJORH.

HULANS, à

l'Empereur Guillaume II.

RITTMEISTERS :

F. Cronnenbold.

F. Wallner. MUNICH.

L. Seitz. Baron von Gebsattel. L. Suttner.

F. Martin (à la suite du

1er

la suite : Duc Maximilien Emmanue. de

hulans).

COMMANDEUR

GENERAL-LIEUTENANT:

AUGSBOURG.

Bavière.

: GÉNERAL-MAJOR Baron G. von Horn.

MAJOR : H.

2e HULANS, COMMANDEUR : OBERST

BAMBERG.

MAJOR

Passavant.

COMMANDEUR : OBERST A.

Schmidt (à la suite du

3e

K.

|

1er SCHWERE-REITER,

à MUNICH. Prince Charles de Bavière.

COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANT Baron

Schacky

MAJORS :

Prince Alphonse de Bavière. RITTMEISTERS :

E. von Le Bret-Nucourt.

Baron A. Bonnet de Meantry. (1)Le Militär-Handbuch (Annuaire militaire) bavarois n'étant établi que tous les deux ans, nous sommes forcés de prendre nos

renseignements dans celui de 1891.

E. von Oelhafen.

Winkler von Mohrenfels.

H.

Bouhler. A

la suite

:

A. Koch.

1er CHEVAU-LÉGERS, à NUREMBERG.

auf

F. Hartmann.

Baron A. von Könitz.

Comte A. von Seinsheim.

RITTMEISTER :

Schonfeld.

ANSPACH.

R. Forster. F .baron von Falkenhausen.

che-

vau-légers).

DU NOM DU

:

RITTMEISTERS :

Brigade (3e et 5e Chevau-légers),à DIEUZE.

à

S. M. le Roi.

CHEF :

4e Brigade (1er et 2e Hulans), à 5e

F. Martin.

F. von Steiling zu

Boden und Stainling.

COMMANDEUR : GENERAL-MAJORA*.

Gràff.

RITTMEISTER :

3e Brigade (1eret 6e Chevau-légers),à NUREMBERG. COMMANDEUR : GENERAL-MAJORBaron

chevalier von Po-

schinger. MAJOR : K. Horadam.

von Nagel zu Aichberg.

Chevau-légers), à

Bavière.

BAMBERG.

COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANT

INSPECTEUR DE LA CAVALERIE: GENERAL-LIEUTENANTBa-

4e

Herman.

M. Kolb. K. Thompson.

Baron von Degenfeld.

Brigade (2e et

LANDSHUT.

MAJOR : E. Rosenbusch. RITTMEISTERS : A. Dingler.

Von Strantz. Von Pentz.

ADJUDANT : RITTMEISTER

à

l'Archiduc Rodolphe d'Autriche.

COMMANDEUR : OBERST A.

Frank.

:

Kuntzen.

2e

Léopold de Bavière.

la Reine.

COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANT Saulter.

MAJOR : Von

la suite :

GÉNÉRAL DE CAVALERIE : Prince OBERST : Baron von Reck.

du roi Guillaume Ier » (n° 20),

à CHEF : S. M.

Baron T. von Pfetten-Arnbach. L. von Heffels.

:

l'Empereur de Russie. COMMANDEUR : MAJOR Baron A. von Falkenhausen. CHEF : S. M.

A. von Muffel. RITTMEISTERS : A. Streittel. K. von Spies. II. Kästner. K. Hacker.

MAJOR :

H.

Pracher.


TABLEAU SYNOPTIQUE -DES UNIFORMES DE LA CAVALERIE.



TABLEAU SYNOPTIQUE DES UNIFORMES DE LA CAVALERIE.



la suite :

A MAJOR :

Baron von Seefried auf Buttenheim.

RITTMEISTERS :

F. Killinger.

CHEF :

L. Backert.

à

DILLINGEN.

Prince Albert von Thurn und Taxis. COMMANDEUR : MAJOR II. Sandner. CHEF :

MAJOR :

E. Haufstängl.

K. Schreiber. Baron L. von Rotenhan.

Hutter.

Baron R. von Geyso.

Klein.

A. Baron von Reitzenstein.

A la suite :

K. Desch. F. Schweiger. Baron L. du Jarrys de la Roche. A la suite : RITTMEISTER :

Gutermann von Bibern. RITTMEISTER: von Baldinger. MAJOR :

.

6e CHEVAU-LÉGERS,

Baron J. von Falkenhausen.

3e CHEVAU-LÉGERS,à DIEUZE. EX-RÉGIMENT DU COMMANDEUR : MAJOR

duc Maximilien de Bavière.

E. Beulwitz.

Baron E. von Berchem. RITTMEISTERS : Baron L. von und zu der Tann. Baron M. von Brück. F. von Hartlieb, dit Wallsporn. E. Nüszler. K. Arnold. MAJOR :

A OBERST : A. Schmidt. RITTMEISTERS : Baron

la suite :

H. von

Ovo

à

auf Wachendorf.

AUGSBOURG et NEU-ULM.

CHEF : S. M. le Roi. COMMANDEUR: Baron K.

von Pechmann. MAJOR : Comte E. von Geldern. RITTMEISTERS : Baron K. von Schacky auf Schönfeld. Baron G. von Gienanth. M. Cronnenbold. Chevalier F. von Reichert. T. Kimmerle. A la suite : GÉNÉRAL DE CAVALERIE :

et EX-RÉGIMENT DU

Louis, duc en Ravière.

à BAYREUTH,

MAJOR : C.

AMBERG

NEUMARKT.

Grand-Luc Constantin de Russie.

COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANTG.

von Schwarz.

von Schmaltz.

RITTMEISTERS:

R. Furtner.

A. Müller. J. Dichtel.

E. Heinze. J. Schneider. A RITTMEISTER:

Baron E. von Perfall.

4e CHEVAU-LÉGERS,

Dotzauer.

Baron F. von Geuder.

RITTMEISTERS :

H.

A. von Klöber.

RITTMEISTERS : K.

Archiduc Albert d'Autriche.

COMMANDEUR : OBERST-LIEUTENANTA.

2e CHEVAU-LÉGERS,

MAJOR :

5e CHEVAU-LÉGERS, à SAARGEMUEND et ZWEIBRUECKEN.

la suite :

Baron F. von Tautphoeus.

ECOLE D'ÉQUITATION, CRÉÉE EN 1868, à MUNICH.

Maximilien-Emmanuel,duc en Bavière, général-lieutenant à la suite du 1er hulans. ADJUDANT : Baron M. von Redwitz, second lieutenant à là suite dû 1er hulans. COMMANDEUR :

MAÎTRES D'ÉQUITATION :

F. Killinger, rittmeister à la

suite du 1er chevau-légers. Baron F. von Tautphoeus, rittmeister à la. suite du 6e chevau-légers. Baron J. von Falkenhausen, rittmeister à la suite du 2e chevau-légers. E. Buxbaum,premier lieutenant àla suite du 3e chevau-légers.


CHAPITRE II ANGLETERRE

assiste au printemps à la revue d'Aldershot ou à un « military tournament in Ihe agricultural Hall », on se trouve reporté à cent ans en arrière : plumets, hauts bonnets de grenadiers, aiguillettes, plastrons blancs ou rouges, tambours galonnés comme des tambours de Gardes-Françaises, petits fifres marchant comme dans les gravures de Moreau, tout cela est déjà d'un autre âge pour les armées de la poudre sans fumée, et l'on croirait assister à la revue de la maison du Roi, au Trou d'Enfer. Aussi, est-ce un délicieux spectacle, que ces revues, pour ceux qui aiment les beaux uniformes superbement portés. Cela fait penser au temps où la guerre n'étant pas encore tout à fait une question de chiffres, la bravoure individuelle, l'héroïsme d'un régiment comptaient pour quelque chose. de service Moutluc se révoltait de ce qu'un goujat, un poltron armé d'une arqueà pied. buse, pût avoir raison à distance et sans danger, de l'homme le plus brave du monde. Que penserait-il des temps qui s'avancent, où un chimiste qui ne seraitjamais sorti de son laboratoire et de ses cornues, pourrait, en mettant le doigt sur un bouton, faire sauter toute une armée ! A des temps pareils, il faut des soldats qui se cachent, des troupeaux dhommes sombres qui tirent et qui meurent au hasard ; la prudence du poltron devient une grande vertu militaire, alors que l'héroïsme de l'homme brave n'est plus qu'une folle et embarrassante témérité. Dans « la Débâcle », M. Zola a peint, aussi exactement que peut le faire un homme ignorant des choses militaires (1), l'impuissance du ORSQU'ON

(1) Tout le monde 19 sept. 1892).

se souvient de la très remarquable lettre qu'écrivit à ce sujet le capitaine Tanera (Figaro du


contrôle et de la discipline sur de pareilles bandes, livrées aux hasards d'une escarmouche. Et cependant, n'exagérons rien ; peut-être, en somme, est-ce justement le mal d'où naîtra le remède. Il est bien certain que dans la guerre prochaine, ces énormes attroupements seront vite entamés, ébranlés, mis hors d'état d'obéir et de pouvoir même entendre ou comprendre un ordre. S'il se trouve alors dans les mains d'un homme énergique et brave quelques régiments, bien encadrés, bien entraînés, surtout fortement disciplinés et composés de gens dans la force de l'âge, comme l'étaient les vieux soldats, comme peuvent l'être encore nos réservistes, la bravoure, la qualité des troupes reprendront leurs droits, et ces soldats auront facilement raison de cette cohue de malheureux, incapables d'obéissance. C'est à un moment pareil qu'un général paierait cher pour avoir derrière lui quelques vieux soldats comme ceux qui firent la campagne de France en 1814, comme les habits rouges qui montaient à l'assaut de l'Alma, alignés et l'arme au bras; comme les hussards de lord Cardigan, comme les grenadiers de Magenta. Personne, même les nationaux, n'a aussi bien rendu le type du militaire anglais que notre grand peintre E. Detaille ; son dessin impeccable, son amour des beaux uniformes, la distinction inimitable qu'il sait donner à tous ses personnages, l'indiquaient avant tout autre pour peindre et dessiner ces magnifiques soldats. Les Grenadiers à la tour de Londres, le Régiment revenant de l'exercice, le Porte-Étendard des HorseGuards, sont de purs chefs-d'oeuvre, qui d'un seul coup nous transportent en plein Londres; et je sais tel hôtel de Ryde Street, quartier de St-James-palace, où se trouve un croquis de Dragon, une simple mine de plomb, petite merveille qui est la synthèse même de la cavalerie anglaise. Il est assez de mode de répéter que l'armée d'outre-Manche n'est qu'une armée de parade; elle se moque avec raison de ces critiques superficielles autant que mensongères,


ayant prouvé, toutes les fois qu'il l'a fallu, que son héroïsme, son courage, son indomptable ténacité étaient les qualités soeurs de son admirable tenue. Bugeaud disait de l'infanterie anglaise qu'elle était la première du monde, et qu'il fallait se féliciter de ne lavoir pas plus souvent à combattre, et le général de Brack, en

parlant de la cavalerie du même pays, écrit que si elle savait la guerre, elle serait la première de l'Europe. En aucun pays du monde, en effet, on ne peut voir une cavalerie mieux habillée, mieux nourrie, mieux équipée et mieux montée. Les hommes en sont superbes, soignés, astiqués, superlativement fiers de leur tenue et admirés avec passion par leurs nationaux. Les officiers, gentlemen accomplis, sont d'une distinction irréprochable, d'une correction et d'un luxe de tenue qui défie toute espèce de comparaison. Leurs mess, leurs endroits de réunion sont légendaires pour l'aristocratique et luxueuse façon dont ils sont entendus. Leur club Army and Navy est un des plus somptueux et des mieux cotés de Londres ; n'est-ce pas dire du monde entier?


Par exemple et à l'encontre des officiers allemands, les officiers anglais ne portent que très rarement, pour ne pas dire jamais, l'uniforme, en dehors des réunions militaires. Jamais, dans le monde, sauf dans les réceptions officielles, on ne voit un officier en tenue, et c'est grand dommage. S'ils chassent, c'est en habit rouge ; s'ils sont au cercle sans être de service, c'est en habit bourgeois. Dans les rues, les quelques uniformes que l'on aperçoit sont portés par les officiers de service. En revanche, et à la grande joie des yeux, dans ce Londres si souventet si tristement enveloppé de brouillard, on rencontre presque à chaque pas des soldats en habit rouge. Les sous-officiers ont une fort belle prestance. Tous, officiers, sous-officiers, soldats, se tiennent bien dans la rue, et cette raideur qui paraît un peu exagérée sous le vêtement civil, sied fort bien en tenue militaire. C'est là, du reste, une sorte d'intermédiaire entre la rigidité allemande et le laisser-aller français, qui semble être le juste point aimé des militaires de tous pays. Tous les hommes de l'armée anglaise portent dans la rue une badine (stick) ; souvent, dans la cavalerie, une cravache; et toute la cavalerie porte en petite tenue le pantalon de drap, d'une coupe absolument correcte, comme en général les vêtements de l'armée anglaise. INSIGNES DES DIFFÉRENTS GRADES.

Tous les sous-officiers ont dans le service une écharpe en laine ou en soie cramoisie, suivant le grade, et portée en sautoir sur l'épaule droite. Voici quelle est la hiérarchie des grades et quels en sont les signes distinctifs :

un chevron en laine; CAPORAL LANCE-SERGEANT(caporal de 1re classe) : un chevron en or ; SERGEANT : 2 chevrons en or ; COLOUR-SERGEANT : 3 chevrons en or surmontés de 2 petits drapeaux brodés ; WARRANT-OFFICIER(adjudant) : 4 chevrons en or surmontés des deux petits drapeaux. Tous ces chevrons se portent sur le bras droit, la pointe en CAPORAL :

bas. Les officiers portent comme insigne de service l'écharpe cramoisie en sautoir sur l'épaule gauche. Les grades sont marqués sur les pattes d'épaule, qui sont en or pour la grande tenue, en soie noire pour la petite. Les manches sont garnies de passementeries d'or en forme de


OFFICIER SUPÉRIEUR DU 15e HUSSARDS (1832).



noeuds hongrois et variant, ainsi que les broderies du col, selon l'importance du grade. Le motif pour le collet est généralement la rose, dans les corps anglais, le chardon,

dans les corps écossais, le trèfle, dans les corps irlandais, et le dragon, dans ceux du pays de Galles.

Les insignes des pattes d'épaules sont les suivants :

aucun signe ; LIEUTENANT EN PREMIER : une étoile en or ; CAPITAINE : deux étoiles en or ; MAJOR : une couronne en or ; LIEUTENANT-COLONEL : une couronne et une étoile en or ; COLONEL : une couronne et deux étoiles en or ; MAJOR-GÉNÉRAL : une épée et un bâton en croix, et une étoile en or ; LIEUTENANT GÉNÉRAL : une épée et un bâton en croix, et une couronne ; GÉNÉRAL COMMANDANTDE CORPS D'ARMÉE : une épée et un bâton en croix, avec une couronne et une étoile ; MARÉCHAL : deux bâtons en croix. La petite tenue des officiers de cavalerie est des plus variées. Ils portent indifféremment le dolman-spencer, la veste, la pelisse, et une redingote à revers et à brandebourgs ; mais la petite tenue habituelle de service consiste généralementen une grande redingote ornée de tresses larges et plates. Cette redingote fort élégante est en drap noir bleuté; elle se porte avec la culotte et les bottes chantilly. Comme coiffure, la calotte ou la casquette bleu foncé, avec le bandeau rouge pour les corps royaux, d'or pour les officiers de la Garde, noir pour les autres. La casquette des officiers du 12e lanciers, 11e et 15e hussards, est rouge. LIEUTENANT EN SECOND

:


Avant dentrer dans le détail du recrutement et de l'organisation générale, donnons en quelques mots un rapide aperçu de l'historique des différentes armes de la cavalerie anglaise. THE HOUSEHOLD CAVALRY. La cavalerie de la maison royale consistait, vers le milieu du dix-huitième siècle, en 4 TROOPS de HORSE GUARDS, tous gentilhommes. Les « PRIVATE GENTLEMEN gentilshommes) de ce corps d'élite, chacun 100 livres d'appointement, importante pour l'époque. Magnifiquement équipés, d'uniformes couverts de galons d'or, ils étaient montés en chevaux

»(simples touchaient somme habillés

de la grenadiers.

En outre, la cavalerie nait 2 troops de

maison royale compregardes à cheval (Horse gre-

nadier-guards), montés noirs, et portant l'habit

également en chevaux

rouge à retroussis bleus, ouvrant sur gilet blanc. 1803. grenadier

à ornements d'or et

un

Comme Dragons lourds ; coiffure, la mitre de en drap bleu brodé de différents attributs d'or. Plusieurs de ces mitres sont conservées au South Kensington Museum et sont d'une grande richesse. Toute cette cavalerie portait la grande botte à l'écuyère qu'elle a du reste conservée. Les trompettes et les musiciens ont gardé exactement le costume qu'ils portaient en 1742. La seule modification, pas heureuse du reste, a été la substitution de la casquette de

velours noir au chapeau tricorne. En 1746, le roi Georges II fait de notables économies militaires et réduit la cavalerie de sa maison à 2 troops. Le Parlement lui en adresse ses remerciements. En 1786, un remaniement complet de l'armée amène la réorganisation de la cavalerie de la maison royale. Le 1er et lé 2e régiments de Life-Guards (gardes du corps) sont créés, les grenadiers à cheval servent de noyau de formation au 1er de ces régiments. Ceux du private gentlemen qui ne font pas partie des nouveaux corps sont pourvus de commissions d'officiers dans l'armée. Jusqu'en 1812 ces beaux régiments gardent 4e chapeau à cornes ; à cette époque ils adoptent le casque, longtemps à chenille, et enfin de la forme actuelle. La cuirasse apparaît pour la première fois au couronnement de Georges IV, en 1821. DRAGONS-GARDES.

Les régiments de dragons-gardes (Dragoon guards) ont pour ancêtresdes 7 régiments appelés Horse qui se distinguaient des dragons proprement dits formant le


reste de la cavalerie. Ces régiments de cavalerie (Horse, cheval) étaient brillamment équipés et touchaient une paye supérieure à celle des dragons; mais peu à peu, par mesure d'économie, la paye fut diminuée, et ils furent progressivement mis sur le même pied que les autres régiments de dragons, prenant seulement comme compensation le titre de dragons-gardes. Les régiments de la maison royale sont aujourd'hui les seuls portant le titre de « Horse » et forment avec le 1er et le 2e dragons, la cavalerie lourde (grosse cavalerie) ; les dragons-gardes, le

dragons et les lanciers forment la medium cavalry et les hussards sont dits cavalerie légère. 6e

DRAGONS.

L'histoire des dragons anglais se divise en deux catégories : les dragons légers et les dragons lourds. Au dix-huitième siècle, la cavalerie anglaise était assez lourdement équipée : une énorme giberne, un gigantesque sabre dont la gaine ressemblait fort à celle des claymores écossaises, un fusil à baïonnette comme celui de l'infanterie et une paire de pistolets n'étaient pas pour faire de chaque homme un cavalier léger. Les guerres du continent, celles d'Amérique, démontrèrent la nécessité d'avoir une cavalerie plus légère, et firent former dans chaque régiment une « troop » légèrement armée et équipée. Ces nouveaux cavaliers légers, devenant de plus en plus nécessaires, on en forme en 1763 un certain nombre de régiments. Une gravure de 1775 nous montre le 17e dragons employé en Amérique et portant un fort joli costume; casque léger à crinière rouge, habit rouge à col, revers et retroussis blancs, gilet et culotte blanches, bottes à l'écuyère (jack-boots), équipage blanc galonné d'argent avec le chiffre et la couronne royale sur le couvre-fonte, et le cartouche du régiment entouré de roses sur la schabraque. Sur le devant du casque une tête de mort destinée à rappeler à chaque soldat que le régiment escortait le général Wolfe, lorsque celui tomba glorieusement frappé à la bataille de Québec, en 1759.


En 1784, tous les régiments de dragons légers sont habillés de bleu foncé, et portent jusqu'en 1812 un casque à chenille semblable à celui que portèrent en 1789 les chasseurs à cheval français. En 1812 le shako remplace le casque, et le pantalon gris à bandes, la culotte blanche et les bottes. Peu à peu tous les régiments sont convertis en hussards et en lanciers (1), et en 1861 ce qui en restait devient des hussards. DRAGONS LOURDS.

Nous avons vu qu'au dix-huitième siècle les dragons com-

1er

et le

2e

posaient la grosse cavalerie anglaise. Ils portent alors l'habit rouge galonné de blanc ou de jaune, et le tricorne avec l'équipement que nous avons décrit plus haut. Vers 1812 ils adoptent de casque d'abord à crinière, puis à chenille ; la culotte et les bottes sont peu à peu remplacées par le pantalon gris ou noir. Le 2e régiment, très populaire sous le nom de SCOTS GREYS, les gallant greys, a toujours conservé le bonnet de. peau d'ours. Il fournit à Waterloo une charge célèbre au cri de : Scotland for ever. Cette charge a été le sujet de nombreux tableaux anglais. Celui de miss Elisabeth Thompson est fort connu ; on en voit la gravure chez tous les marchands d'estampes de Piccadilly. En 1854, en Crimée, la grosse cavalerie s'illustre par ses charges brillantes à Balaklava. Les régiments de dragonsgardes et le 6e dragons étant devenus « médium cavalry » le dragons sont aujourd'hui les seuls représentants de la grosse cavalerie de

ligne. LANCIERS.

On ne voit apparaître les lanciers dans l'armée anglaise que vers 1816. À cette époque, 6 régiments de dragons légers sont armés et équipés en lanciers. En 1858, la place de l'ancien 5e royal dragons irlandais est prise par le 5e lanciers, après avoir été vacante depuis 1798, époque du licenciement de ce régiment de dragons. (1)

4 régiments deviennent hussards en 1805, et après Waterloo 6 autres sont transformés en lanciers.


TIMBALIER DU 2nd DRAGOONS-GUARDS (BAIS DE LA REINE).



et le bonnet de fourrure appelé busbie.

En 1820, le busbie est remplacé par le shako très élevé et orné d'un énorme plumet, porté jusqu'en 1850 où le busbie redevient à la mode. Le 11e hussards, qui est un des régimentspopulaires de la Grande-Bretagne, porte lé pantalon rouge qui lui a été donné par le prince Consort, dont il portait le nom. Sous le commandement de lord Cardigan dont le nom est légendaire, il participa à la charge héroïque de Balaklava. En 1885, pendant la campagne d'Égypte, le 19e hussards se montra fort brillant, notamment dans la marche du « corps des chameaux » à travers le désert de Bayunda. Nous donnons ici, hors texte, une planche représentant un officier du 15e hussards vers 1832. Ce costume est certes un des plus beaux et des plus riches qui se puisse voir : pantalon collant en drap noir bleu, à larges bandes d'or ; dolman noir à tresses et à galons d'or ; pelisse de drap rouge toute galonnée d'or ; haut shako rouge et orné d'un plumet en plumes de coq ; giberne, ceinturon, sabretache en galons d'or. Il est impossible de rien imaginer de plus brillant ni de plus élégant. ORGANISATION GÉNÉRALE.

L'effectif de l'armée active et de la milice est fixé chaque année par le vote du budget. De

tout temps les Anglais ont eu la plus grande antipathie pour le service obligatoire,


quel qu'il soit : ils repoussent avec horreur le système de la conscription, le considèrent comme attentatoire à la liberté individuelle et désastreux pour le commerce et l'in-

dustrie.

Il existe cependant une vieille loi datant de 1752 par laquelle tout sujet anglais doit le service et la milice de 18 à 45 ans. Mais cette loi reste lettre morte. Chaque année le Parlement en suspend l'application, tout en conservant soigneusement le principe. La seule application de cette loi, dans les temps modernes, eut lieu en 1832, au moment du siège d'Anvers et de l'occupation d'Ancône. Cette loi (Conf. Ballot, Le tirage au sort) admet du reste de nombreux cas d'exemption et même l'exonération à prix d'argent. La loi de recrutement la plus récente date de 1881. Aux termes de cette loi, les engagements sont reçus de dix-neuf ans à trente-cinq ans révolus, pour une durée de douze ans, à savoir : sept ans sous les drapeaux et cinq dans la 1re classe de la réserve. Dans la cavalerie de la maison de la Reine, tous les engagements sont contractés pour douze ans. Aux Indes et dans les colonies, les engagés doi-

vent avoir au moins vingt ans et restent huit années au lieu de sept sous les drapeaux; le ministre pouvant, du reste, les autoriser à y rester douze ans. L'enrôlement volontaire est donc l'unique forme de recrutement appliquée en Angleterre ; le sergent recruteur, type fort curieux, rappelle, lui aussi, les traditions et les temps anciens ; et rien n'est plus curieux que de l'entendre débiter ses boniments dans les public-houses : trois repas succulents par jour; vêtements chauds l'hiver, frais l'été, considération, bien-être, il promet tout; et, il faut bien le dire, la vie militaire est autrement confortable et saine que celle que peuvent mener les pauvres diables dans les docks ou dans White-Chapel. « Comme une des craintes du paysan anglais, s'il s'en-


gage, est d'être envoyé dans les colonies, l'orateur à la langue déliée s'attache surtout à combattre ce préjugé misérable. A l'entendre, le soldat britannique est un touriste

qui voyage pour son plaisir, aux frais du gouvernement.Vient alors la description plus ou moins fantastique de ces terres lointaines où coulent le lait et le miel, et peut-être l'ale et le whiskey. Abusant du privilège de mentir qu'ont les hommes qui viennent de

loin, il fait, à l'usage de ses auditeurs, une histoire naturelle des contrées qu'il est censé avoir vues : à l'en croire, dans tout pays où stationnent des garnisons anglaises, les plantes et les animaux n'ont qu'un souci, c'est de plaire au soldat, de le nourrir et de l'hahiller. Quant aux marches dans les plaines sèches et arides de l;Inde, il n'y a point à s'en préoccuper, puisque le soldat malade est porté dans un palanquin, comme une sultane. » L'affaire du sergent recruteur est donc de se procurer des hommes propres à être soldats, et non mariés. Dans les vingt-quatre heures, il doit amener ses captifs au magistrat, afin qu'ils prêtent serment; et si lengagement n a pas été loyal, si la recrue juge à propos de le désavouer, elle tient là une occasion de recouvrer sa liberté. Une fois au quartier, et soumis à la visite médicale, l'engagé devient membre de l'armée anglaise, et dès lors, il ne peut plus vagabonderà son aise. S'il est régulier et soumis, il est fort bien traité ; on le dégrossit, on le forme, on en fait un homme propre et bien portant. Au lieu de la misérable existence qu'il traînait le plus souvent, il est habillé et nourri très confortablement, et sa paye ajoute encore à ce modeste confort. L'ordinaire, quoique sans raffinement, est plus que suffisant pour un homme bien disposé et qui fait son devoir. En outre, à la fin de son temps, Tommy Atkins (1), s'il a été bon soldat, s'il a reçu son congé avec un certificat de bon caractère, est apte à plusieurs emplois honorables, et met très souvent la main sur une enviable situation. Il y a sans doute là quelque •différence avec le métier de CITOYEN LIBRE qui le laissait coucher à la belle étoile, manger de temps eh temps, et le faisait le plus souvent finir au bagne. Les caporaux et les sous-officiers, leur temps de service terminé, peuvent contracter (1)

Nom populaire du soldat anglais.



OFFICIER DU ROYAL SCOT-GREYS; 2nd DRAGOONS.



Dans la Yeomanry (milice à cheval) les miliciens

sont habillés, équipés et armés par l'État, mais fournissent eux-mêmes leurs chevaux. Au rengagement, il est perçu une seconde prime de francs. Remarquons en passant que le corps de la Yeomanry, composé de gentlemen d'une certaine fortune, ayant l'habitude journalière du cheval, est très supérieurement monté et formerait un corps très remarquable et très vigoureux d'éclaireurs et de batteurs d'estrade (1). Il existe en outre un assez grand nombre de corps volontaires, mais leur composition est essentiellement variable et je ne crois pas que les autorités militaires fassent grand cas de leur fond en cas de guerre, — quoique, dans une certaine mesure, les corps à cheval puissent faire exception à cause de la classe dans laquelle ils se recrutent et des qualités de discipline qu'on trouve plus facilement, de tout temps et dans tout pays, chez les cavaliers que chez les fantassins (2).

REMONTES.

Avant 1887, les corps de cavalerie se remontaient eux-mêmes, achetant directementleurs chevaux soit aux éleveurs, soit aux marchands de chevaux. volontaires fournissent 5 corps de cavalerie et la Yeomanry 39 corps d'effectifs variables. Lorsque le corps est réuni, les chevaux de Yeomanry sont nourris au frais de l'État. Une école d'instruction de cavalerie est établie au camp d'Aldershot et spécialement destinée aux officiers du corps de volontaires et de la Yeomanry. (2) Création d'escadrons dans l'armée anglaise. The army order du 11 février 1892 a supprimé les troops et donné à l'escadron une existence administrative. Dorénavant chaque régiment de cavalerie comprendra4 escadrons ayant chacun un cadre composé d'un major et d'un capitaine, ou à défaut, de deux capitaines, et de deux officiers subalternes au moins. L'effectif d'un régiment comprend : 1 lieutenant-colonel, 3 majors, 6 capitaines, 8 lieutenants, 3 seconds lieutenants, 1 adjudant, un écuyer, un quartier-maître, 2 adjudants sous-officiers, 43 sous-officiers, 8 trompettes, 333 cavaliers et ouvriers ; au total, 24 officiers, 50 sous-officiers,34 cavaliers, avec 270 chevaux seulement. Toutefois, certains corps stationnés en Grande-Bretagneont un effectif supérieur de 291 cavaliers et de 154 chevaux. Les régiments détachés dans l'Inde comptent 30 officiers, 726 hommes de troupe et (1) Les


En 1885, fut créé le service de la remonte, composé d'un certain nombres d'officiers spéciaux. Ces officiers sont sous les ordres du colonel Ravenhill, qui porte le titre d'inspecteur général ; ils achètent les chevaux destinés à la troupe et les lui livrent. Les dépôts de remonte qui fonctionnent actuellement sont ceux de Londres, Cork, Dublin et Woolwich. Tous les officiers, sans exception, se remontent à leurs frais, dans le commerce. On estime que la durée moyenne d'un cheval est de dix années. Les juments étant d'un prix moins élevé que les chevaux, 1.000 francs environ, la cavalerie est presque entièrement remontée en juments. On estime que la remonte annuelle est d'environ 2.600 animaux ; l'Angleterre et le Canada en fournissent à peu près 1.600. Les 1.000 autres, qui sont affectés à la remonte des troupes de l'Inde, viennent presque exclusivement de d'Australie. L'effectif de la cavalerie anglaise sur le pied de paix est d'environ 13.000 chevaux." Il n'existe pas en Angleterre de conscription des chevaux, comme en France, par exemple. La seule loi destinée à parer aux éventualités d'un danger national est la loi de 1888, dite de DÉFENSE NATIONALE. Cette loi assure, en cas de mobilisation; la fourniture d'un certain nombre d'ani-

maux, au moyen de l'ENREGISTREMENT DES CHEVAUX, dont la principale disposition consiste à s'engager vis-à-vis de certainspropriétaires à payer une indemnité annuelle de 12fr. 50c. 561 chevaux répartis en 9 troops, dont 1 de dépôt. — Dans l'Inde, le 4e

régiment de cavalerie légère de Madras

(Prince de Galles) est supprimé. Les trois régiments restants sont portés à 4 escadrons.


par animal. Moyennant cette indemnité, les propriétaires seraient tenus, en cas de mobilisation, de mettre leurs chevaux à la disposition de l'État.

Yeomanry, presque tous ses chevaux, au nombre de 14.450, sont des hunters. On voit ce que pourrait faire un bon MAÎTRE DE LA CAVALERIE avec des corps pareillement montés. Un des grands vices de l'armée anglaise, au point de vue d'une prompte mobilisation générale, c'est le manque d'une loi sur la conscription des chevaux. On estime qu'il faudrait, en cas de prise d'armes générale, environ 100.000 chevaux. Le marché anglais serait sûrementhors d'état de fournir un nombre pareil d'animaux dans un temps res-

treint. CADRES.

La hiérarchie des officiers se compose de six grades 1° LIEUTENANT EN SECOND, 2° LIEUTENANT

:

EN PREMIER,

3° CAPITAINE, 4° MAJOR, 5° LIEUTENANT-COLONEL, 6° COLONEL.

Celle des sous-officiers est la suivante

:

comptant pas comme sous-officier), 2° CAPORAL-LANCE-SERGEANT(caporal de 1re classe), 3° SERGEANT (maréchal des logis), 4e COLOUR-SERGEANT (maréchal des logis chef), 5° SERGEANT-MAJOR (correspondant à peu près au grade d'adjudant. Il n'y en a qu'un par régiment). En outre, entre le grade d'officier et celui de sous-officier, est celui de warrant officier. Sur le chapitre de l'avancement, qu'il me soit permis de 1° CAPORAL (ne


citer une boutade fort spirituelle de M. Lewis Sergeant, écrivain anglais, mais non sans lui en laisser la responsabilité : « Si votre ambition est d'être officier, ayez une petite intelligence et beaucoup d'argent. Le plus mauvais moyen serait de vous engager et d'attendre l'avancement. La carrière n'est pas ouverte dans l'armée anglaise. De loin en loin, et ces dernières années notamment, on a pu voir tel ou tel individu sortir des rangs, recevoir une commission à titre de récompense et grâce à un mérite exceptionnel. Mais de tels cas sont rares. Les simples soldats favorisés entrent pour ainsi dire en fraude dans l'enceinte privilégiée ; ils n'ont pas pratiqué dans la haie une brèche par où d'autres pourront le suivre. Depuis labolition de lachat des grades en 1871, la différence entre les officiers commission nés et les officiers non commissionnés n'est pas aussi marquée qu'autrefois. Mais elle est encore suffisamment visible. Bien que le système en question fût condamné par tous les gens raisonnables, il devint impossible à un gouvernement puissant et libéral de décider le Parlement à porter la main dessus. Les classes privilégiées le regardaient comme l'arche même de l'alliance, et les ministres d'alors furent obligés d'user de l'espingole chargée d'un ordre royal pour arriver à leurs fins. Alors, tous les officiers commissionnés, depuis le porte-drapeau qui venait à peine d'entrer dans le régimentjusqu'au feld-maréchal à tête grise, déclarèrent que c'était la fin de l'armée, et, comme Rachel, ne voulurent pas être consolés. changement, après tout, avait été beaucoup moins impor« Le tant que ne l'espéraient les réformateurs. Quels qu'aient été d'ailleurs ses résultats, il n'a pas démocratisé le service. Les hauts grades restent ce qu'ils étaient il y a vingt ans, et continuent à faire partie de ce qu'on a appelé « le gigantesque système de secours aux indigents de l'aristocratie ». Si le jeune officier n'a plus à acheter son grade, il a toujours à payer bon prix pour l'avoir. D'abord il lui faut préparer son examen préliminaire, et le salaire de ses maîtres est très élevé. Une fois entré au collège royal de Sandhurst ou à l'académie royale militaire à Woolwich,


OFFICIER DU 14e HUSSARDS.



sa dépense annuelle s'accroît dans de larges proportions; et s'il a des amis capables de lui faire une belle pension, il ne faut point qu'il songe à

accepter le brevet. « Sous le nouvel ordre de choses, les examens se suivent avec une régularité pénible, et il n'y a, — du moins en théorie, — pas de place pour les paresseux dans la carrière qui avait été jusque-là le paradis des frelons de la société. L'adolescent qui s'imagine avoir une vocation spéciale pour la guerre, qui est convaincu que sa vie est toute tracée vers celle du mess ou de la caserne, agrémentée de ses compléments nécessaires : mise élégante, joyeux club, chaud accueil dans tous les salons et abondants loisirs en temps de paix, celui-là doit travailler dur avant de s'être assuré la position qu'il désire. C'est un spectacle à fendre le coeur des hommes et des anges que celui de tel ou tel infortuné spécimen de la jeunesse dorée se torturant le cerveau ou se le faisant torturer par ses répétiteurs, dans l'effort désespéré qu'il tente pour compter au nombre des admis à Sandhurst. Après tout, c'est moins la faute du jeune Plantagenet Fitznoodle que sa marque même d'origine, s'il est entièrement dénué d'aptitudes intellectuelles, au point de ne pouvoir jamais se rappeler s'il doit écrire wagon ou waggon, agreeable ou agréable, de ne jamais trouver deux fois le même total dans une addition, et de voir les exami-


nateurs toujours moins bien disposés pour lui que pour les autres. Cependant il garde constamment son ambition devant ses yeux, et puisque les politiciens ont eu le mauvais goût de juger que l'instruction qualifie mieux pour le brevet que l'argent et l'éducation, il fait son possible pour fournir l'article demandé. Les efforts sont parfois héroïques. Il passe ses jours et une partie de ses nuits à tourner obstinément et laborieusement sa meule. Est-ce un bien pour lui? S'en battra-t-il mieux ? Le but est de faire un soldat, et sur le champ de bataille, on peut gagner la croix de Victoria sans savoir comment épeler agreeable. Aussi on. entend dire encore aujourd'hui que la vieille organisation était la bonne, que les officiers devraient être avant tout des gentlemen anglais de saine et forte pousse, et qu'au besoin on pourrait fermer les yeux sur leur ignorance. Les arguments de l'autre bord sont ceux qui ont prévalu, et je n'ai pas besoin de les répéter. L'abolition de l'achat des grades est justifiée par ses résultats. Les officiers anglais se recrutent toujours dans la même classe, mais les jeunes gens capables ont un avantage sur ceux qui ne sont que riches. Si Plantagenet est extrêmement ignorant et incurablement paresseux, il ne peut arriver au brevet, et l'armée n'a pas pire allure en des jours où l'on gagne les batailles par l'intelligence autant que par le courage. Woolwich, les cadets continuentleurs études en s'attachant désor« A Sandhurst et à mais davantage aux sujets qui leur seront utiles dans leur carrière professionnelle. Il n'en faudrait pas conclure qu'ils n'aient que du travail et pas de récréations. L'exercice physique est considéré à juste titre comme un élément nécessaire de l'éducation du solaime à chasser, à tirer, à condat, et si notre Plantagenet s'il a les moyens de s'offrir duire, ou même à faire courir, — il trouvera pour ces plaisirs dans le style qui l'encouragement voulu, eux toute la camaraderie avant et après son entrée

ettout au

convient,

régiment.

cadetssont l'allure

Aussitôt que les promus officiers, ils font gaie et vive, et pressés d'étaler irruption chez eux, Casqueporté aux colonies par cousines et fiancées, leur brilaux yeux ravis de leurs soeurs, de paradis. A cette épolant et riche plumage que de sa vie, quelques mois suffisent à indiquer si un homme fera un soldat sérieux, utile, ou s'il sera gâté et efféminé par la terrible flatterie qui l'accueille partout où il «

d'oiseaux


d'autres, au contraire, sont immédiatement cotés comme des gens sur qui l'on peut compter. Ces derniers, on est certain de les voir se distinguer, atteindre des grades supérieurs, et maintenir

va. C'est ainsi que beaucoup sont perdus pour jamais, et que

liaisons agréables avec le beaux sexe n'est pas vu d'un oeil aussi sévère qu'une infraction à l'étiquette ou à la discipline, ou que telles preuves d'un caractère intraitable. modèle, par cela seul qu'il porte « Toutefois l'officier modèle est généralementl'homme en lui, jusqu'à l'extrême, le sentiment de la loyauté, de l'honneur. Celui qui est parvenu au brevet peut être religieux, studieux, et même économe, — bien que sur ce dernier point j'aie de la défiance, — sans se faire mal noter ni même remarquer. Le colonel, qui est le père de famille de son régiment, est censé tenir tous ses subordonnés clans la main, et principalement ne pas perdre de vue l'en-

seigne Fitznoodle, tant que ce subalterne doué d'ambition n'aura pas appris à se diriger d'un pas ferme dans les sentiers glissants où le voilà maintenant. Un bon colonel doit rendre de grands services aux nouveaux venus au MESS. Si le régiment a un ton peu distingué, qu'il soit noté comme enclin au jeu ou à l'inaction, ou pour les farces grossières qui donnent lieu


à des commentaires bruyants, c'est en grande partie la faute du colonel, et il est probable que celui-ci aura à s'en expliquer devant le commandant en chef. « Le mess des officiers d'un régiment est un club qui peut être comparé aux mieux compris de Pall Mall. La table est aussi appétissante, le service aussi soigné, le dessert autant de règle, les vins aussi choisis, que dans la maison paternelle. C'est une heure troublante pour le jouvenceau que celle où assis pour la première fois dans la chambre meublée et décorée avec goût, tendue des drapeaux de son pays et de son régiment, habillé qu'il est lui-même de sa courte jaquette rouge, de son gilet blanc et de son pantalon bleu, il élève son verre qu'on vient d'emplir pour un toast à la « Reine ». La musique attaque l'hymne royal, ses compagnons sont (du moins pour la circonstance) droits, dignes, pleins d'enthousiasme, et le nouveau venu sent qu'il est enfin entré dans cette carrière après laquelle il a soupiré si longtemps, pour laquelle il s'est tant préparé ; dans cette carrière qui peut le conduire « à la mort ou à Westminster Abbey » et en tous cas une à vie de considération et de renom. » On sait la place prépondérante que tiennent les clubs dans la vie anglaise, et avec quel luxe ils sont montés; situés pour la plupart dans Pall Mall, ils comptent parmi les plus beaux monuments de Londres. Ceux de l'armée se distinguent entre les plus and Navy, dont nous riches. En première ligne vient et la richesse; viennent avons déjà parlé et vanté l'United service Club, le Guard's ensuite le Naval and officiers de la Garde ; pluclub, dont tous les importance. sieurs autres sont de idée de l'élégance, de l'intelliRien ne saurait donner service de ces différents gent confort et de la richesse clubs; ils n'ont leur équivalent dans aucun pays du monde. L'ancien mess des guides de Impériale, si souvent cité sur le continent, n'a été très pâle imitation des rien de commun avec les mess d'officiers anglais et militaire des Armées de clubs de Londres. Quant à notre beaucoup plus justement Cercle terre et de mer qui territoriale, il est de beaucoup des officiers de réserve et de distancé par n'importe quel club Canada ou de la Nouvelle-

l'Army labeauté

military,

sont moindre une

membres

du la qu'une n'avait Garde

Cercle s'intitulerait

du

de

mess officiersportent

Dans les réunions à leurs sont fort luxueux, les spécial, qui se compose du pan-

petite tenue de service.

régiments, dont quelques-uns en général un uniforme talon bleu noir a bandes, du


AU ZULULAND ;

17e LANCIERS

(DUC DE CAMBRIDGE)



gilet blanc sur lequel ouvre une veste bordée d'une broderie d'or. Ce costume ne se porte absolument qu'au mess ou au club. Les domestiques ont une livrée spéciale aux couleurs du régiment. Le mess des officiers est installé dans un pavillon spécial attenant à la caserne du

Les sous-officiers non mariés couchent dans une chambre commune, située près de celle des hommes. En général, le casernes anglaisessont composées de plusieurs pavillons d'un seul étage,

reliés entre eux et dans chacun desquels se trouvent deux grandes chambres séparées par une chambre de sous-officier. Dans chaque chambrée, les lits sont groupés par deux ou par trois, dans l'intervalle des fenêtres. Ces lits en fer, à coulisses, ont un mécanisme fort ingénieux qui permet de les démonter et de les réduire à un petit volume. Deux étagères, superposées, — celle du haut fermée par un grillage de fer, — servent à ranger les effets des hommes; chaque escouade de six hommes a une table commune. Séparée des chambrées par un vestibule, une salle de lavabos. Dans chacune de ces salles une cuvette pour dix hommes et un bassin bain de pieds pour vingt-cinq hommes, chaque bassin et chaque cuvette se remplissant et se vidant à volonté. Les cuisines sont séparées des pavillons de logement; des marmites servent à faire le thé et le café; elles sont également pourvues de fourneaux pour faire rôtir la viande et cuire les légumes. Dans chaque caserne ou quartier est installé un casino. Entretenus au moyen d'une faible rétribution que verse chaque homme et d'une allocation de l'État, ces casinos renferment des salles de jeux d'adresse et de force, une salle de lecture, une bibliothèque, un buffet de


rafraîchissement où l'on ne peut prendre que du thé, du café, du pain et du beurre ; le chef de corps en contrôle la gestion, qui est faite par une commission régimentaire chargée de l'administration, de l'achat des livres, des journaux périodiques et des objets de jeux. Les sous-officiers et les soldats peuvent être autorisés à se marier dans une proportion de 8 % de l'effectif régimentaire. Ils sont alors logés dans des pavillons séparés, chaque ménage jouissant d'une chambre à coucher, d'une chambre à feu et d'une cuisine. La cavalerie régulière comprend 31 régiments (sans compter la cavalerie coloniale). Ce sont d'abord les trois magnifiques régiments dits Household cavalry, cavalerie de la maison de la Reine : 1er et 2e LIFE GUARDS, ROYAL HORSE HUARDS.

L'effectif de ces trois régiments ; qui sont peut-être les plus beaux du monde, est de 1.020 hommes et 825 chevaux, 182 sous-officiers et 81 officiers. Le corps d'officiers de la maison de la Reine présente un ensemble de fortune et d'aristocratie qu'on ne rencontre nulle part ailleurs (1). Après ces régiments qui sont l'orgueil des Anglais viennent 7 régiments de dragons-gardes, numérotés de 1 à 7 ; le régiment n° 6 est appelé régiment de carabiniers et porte l'uniforme bleu foncé à garnitures blanches; les nos 4 et 5, montés en chevaux de grande taille, comptent comme grosse cavalerie ; les 4 autres ont des chevaux moins grands. Enfin 21 régiments, numérotés de 1 à 21, se décomposant ainsi : 3 régiments de dragons (nos 1, 2 et 6), 1 et 2 comptant comme grosse cavalerie ; le n° 2 est le fameux SCOTS GREYS ; 5 régiments de lanciers. (nos 5, 9, 12, 16, 17) portant la tunique bleu foncé, à plastron rouge; le 17e régiment (duc de Cambridge) porte le plastron et les bandes blanches, et le 16e régiment la tunique rouge à plastron noir ; régiments ont la garde de la personne du Souverain. L'escorte de voyage de la Reine consiste en 1 officier, 2 officiers non commissionnés et 12 cavaliers. En full state, cette escorte est de 100 cavaliers avec l'étendard, sous les ordres d'un officier supérieur et d'un nombre proportionné d'officiers commis(1) Ces

sionnés ou non.


régiments de hussards tant tous l'uniformenoir 13

3, 4, 7, 8, 10, 11, 13, 14, 15, 18, 19, 20, 21), por-

lecollet abruns. sabre-

régimentporte

nes, le

11e

sie, le

régiment a

3e

(nos

rouges,le 13e les

à tresses et bandes jaula culotte cramoiet les parements Le 14e hussards (KING'S tache et sur la schabrasouvenir de l'époque, pelait DUCHESS OF YORK'S Altesse Royale portant de Prusse. sont en service aux

9le

s'ap¬ Son princesse

porte sur la que l'aigle de Prusse en 1798 à 1830, où il OWN)

OWN

LIGHT DRAGONS,

la couronne de De ces 28 régiments,

An-gleterre formant

Indes et n'ont en et 10 chevaux

que 90 hommes dépôt sous les ordres réunis à Canterbury. détaché à Natal.

d'un colonel. Ils sont cavalerie anglaise pendant la campagne d'Égypte 1 régiment se trouve ments détachés aux Les cadres des régiIndes y restent d'une façon permanente pendant seize ans. Mais aucun officier ni soldat ne doit y rester plus de huit ans. Les régiments, aux Indes, sont à 3 escadrons ; en Angleterre, ils sont à 4 escadrons. Tous les régiments anglais sont à 8 troojos (compagnie) qui se réunissent 2 à 2 pour former des escadrons, la troop étant l'unité administrative et l'escadron l'unité de manoeuvre. Sur ces 8 troops, 3 sont commandées par des majors, 5 par des capitaines. Le cadre d'un régiment se compose de : 2 LIEUTENANTS-COLONELS,le plus ancien commandant le régiment, l'autre un escadron ; 3 MAJORS, 5 CAPITAINES, 1 ADJUDANT-MAJOR,

12 1

LIEUTENANTS,

WARRANT-OFFICIER,

chargé des disributions et des logements, 1

SERGENT QUARTIER-MAITRE

1

CHEF DE-MUSIQUE,

1 TROMPETTE MAJOR, 1

SERGENT MAITRE D'ARMES,

1

SERGENT PAYEUR,

1 SERGENT ARMURIER, (1)

Voir à l'Annuaire, page 75.


1

SERGENT SELLIER,

1

MARÉCHAL FERRANT MAJOR,

1

SERGENT SECRÉTAIRE,

1

SERGENT DE CUISINE,

8 COLOURS SERGENTS, 24 SERGENTS, 8 SERGENTS MARÉCHAUX, 32 CAPORAUX, De 410 A 540 HOMMES, Sur le pied de guerre, l'effectif réglementaire est de 600 sabres. La compagnie ou troop se décompose ainsi en temps de paix : 53 hommes dont 2 officiers, avec 40 chevaux dont 5 d'officiers, pour ies gardes; — 75 hommes dont 2 officiers avec 55 chevaux dont 5 d'officiers, pour les 6 régiments premiers à marcher ; — de 80 hommes dont 2 officiers, avec 77 chevaux dont 5 d'officiers, pour les régiments en service à l'extérieur ; — de 61 hommes dont 2 officiers, avec 43 chevaux dont 5 d'officiers, pour les autres régiments. Sur le pied de guerre, chaque ré-

giment forme un dépôt, soit en créant de nouvelles compagnies, soit en détachant des compagnies de son pied de paix. Les 31 régiments représenteraient donc sur le pied de guerre un effectif de 19.000 hommes, sans compter les dépôts. Chaque régiment est suivi de 14 voitures. Un matériel de 10 outils est porté par 4 cavaliers pionniers de chaque escadron sous le commandement d'un sous-officier. Ces pionniers reçoivent une instruction spéciale pour le maniement de ces outils. Les armes de la cavalerie sont le sabre, la carabine Martini-Henry et le revolver; les lanciers ont en outre une lance. Dans chaque régiment, il y a un colonel pourvu du commandementnominal ; mais depuis quelque temps, le commandement effectif a été dévolu aux lieutenantscolonels, le grade de colonel devenant purement honorifique et occupé par un officier général. Le colonel en chef des régiments de cavalerie de la


OFFICIER DU 16e LANCIERS.



maison de la Reine est inscrit en ces termes sur les états de l'armée comme feld-maréchal ; c'est : H.R.H. Albert Edward, prince de Galles et duc de Cornouailles K.G., K.T., K.P., G.C.B., G.C.S.I., G.C.M.G., G.C.I.E., A.D.C. La cavalerie des Indes est répartie dans les trois gouvernements de Bengale, Madras et Bombay qui ont chacun leur armée spéciale, auxquelles il convient d'ajouter

les forces de la frontière du Punjab, le Hyderabad contingent et plusieurs troupes indépendantes. Les indigènes qui forment

cette cavalerie doivent avoir, pour s'engager, de seize à vingt-quatre ans, et peuvent servir trente-deux ans par des engagements successifs de trois ans, après quoi ils ont droit à une retraite. La cavalerie anglaise proprement dite fournit" à l'armée des Indes 9 régiments à 6 troops.

Chaque régiment présente un effectif de 22 officiers, 40 sous-officiers, 24 caporaux, 6 trompettes, 384 cavaliers et 396 chevaux. Un très nombreux personnel indigène est attaché à chaque régiment, notamment un coupeur d'herbes avec un poney par cheval. La cavalerie indienne porte le nom général de NATIVE CAVALRY. Les officiers anglais qui désirent en faire partie doiventavoir accompliau moins une année de service dans un régiment anglais et avoir moins de vingt-cinq ans. Ils sont d'abord ce qu'on appelle « PRO¬


et doivent être en état de subir un examen sur la langue indienne dans les huit mois qui suivent leur entrée au corps. Après un stage d'une année et l'examen ci-dessus passé, ils sont admis dans les corps ou dans l'état-major « INDIAN STAFF CORPS, » selon leur choix. Une grande partie des officiers sont indigènes, mais ils ne peuvent monter plus haut que le grade de capitaine ; le cadre est donc composé ainsi qu'il suit : LIEUTENANT-COLONEL commandant le régiment,

BATIONERS »

3

COMMANDANTS D'ESCADRONS,

5 OFFICIERS D'ESCADRONS, MÉDECIN.

Ces dix officiers sont Anglais.

Les indigènes sont : 3 RUSSALDARS (capitaines en premier), 3

RESSAIDARS

(capitaines en se-

cond), 1

WORDIC-MAJOR(adjudant-major),

6 JAMARDAS (lieutenants), 6 KOT D'AFFADARS (maréchaux des logis), 48 D'AFFADARS (maréchaux des logis), 6

TROMPETTES,

477 SOWARS (cavaliers) ; soit : 10 officiers anglais et 625 indigènes. Chaque cavalier reçoit son armement et une solde variant de 75 francs à 67 fr. 50 par mois, avec laquelle il doit se pourvoir de tout le reste. Dans chaque gouvernement de présidence, un corps d'élite, composé de 60 à 100 hommes, est entretenu pour servir d'escorte au vice-roi, sous la dénomination de

l'uniforme, très somptueux, est rouge galonné de jaune. Pour toute la cavalerieindigène, l'uniforme consiste en une blouse nommée alkhalak et variant de couleur et d'ornement suivant les provinces et les régiments. Cette blouse est serrée à la taille par une large ceinture en châle, ou plus exactement shawl, ap« VICEROY'S BODY GUARD » ;


pelé

kamarband, sur

la¬quelle

mêmede grandetenue ou Jack lesbottes puttes, avec régiments, les indigène. Dans mi-militaire et

Comme coiffure, un turban

se boucle le ceinturon.

de plusieurs mètres de long, forme, suivant les régipyjareligion. Culottes, avec des hautes bottes boots). En tenue ordi-

variant de couleur et ments, les provinces et la mas, portées en à l'écuyère (Napoléon naire et de campagne, sont remplacées par des bandes d'étoffes, s'enroulant autour de la jambe, et par des souliers éperons à la chevalière. Dans plusieurs officiers anglais ont adopté l'uniforme d'autres, ils ont conservé un uniforme mi-touriste qui, il faut l'avouer, est d'un goût et fait d'autant plus mauvais effet qu'il transur les pittoresques costumes des indigènes. de cavalerie. Le Bengale fournit 19 Au Punjab, le célèbre corps des guides, dont la mission spéciale est la garde de la frontière Nord-Ouest, fut 1846. Il consiste en 6 créé par sir Harry 400 SOWARS). troops de cavalerie Le quartier général à Mardan. Constamment les turbulentes tribus de en campagne pour la frontière, les Guides une renommée légendaire, notamment dans la campagne contre les Afghans où on les avait surnommés « les yeux et les oreilles de l'armée ». Ce sont eux aussi qui escortaient le lieutenant Hamilton et le major Cavagnari envoyés à Kaboul, où ils se firent héroïquement massacrer. Le Punjab, outre les guides, fournit 4 régiments de cavalerie d'environ chacun 500 hommes. Tous ces régiments ont servi de 1879 à 1880 en Afghanistan, et le 3e Punjab cavalry, notamment, prit part à la fameuse marche de Kaboul à Kandahar. Madras compte 4 régiments, dont les élégants uniformes bleu de ciel galonnés de blanc et d'argent datent de l'ancienne Compagnie des Indes. Le 1er lanciers de Madras a servi dans la campagne d'Afghanistan. Bombay fournit 7 régiments, dont les uniformes gris ou verts à pattes d'épaules de métal sont célèbres. Les 2e, 3e, 4e, 5e et 6e régiments ont pris part à la campagne de

trèsmauvais che

régiments

en

enest maintenir ontacquis

Lumsden,

(environ

1879-80. Un détachement de 80 sowars stationné à Aden compte

parmi la cavalerie de Bombay.


Deux régiments formant ce qu'on appelle CENTRAL

contribuent au service général et ont été employés dans la campagne de 1879-80. Les cavaliers sont armés du sabre et de la carabine. Ceux du premier rang ont en outre la lance. Le contingent d'Hyderabad consiste en 4 régiments habillés de vert foncé, étant, d'après la convention conclue entre le gouvernement anglais et le Nizam, commandés par des officiers anglais et entretenus par la colonie. En outre, différents autres petits États sous la protection de l'Angleterre ont organisé leur cavalerie sur le modèle de la cavalerie anglaise. Tout cet équipage indigène forme un ensemble admirable et auquel seuls nos spahis peuvent être comparés. Les officiers indigènes, au dire même des officiers anglais, sont de très remarquables soldats; tous ont du reste montré en Egypte et en Afghanistan des qualités de premier ordre. Résumons. Il est certain que si d'autres pays que l'Angleterre comptent une cavalerie plus nombreuse, et peut-être, quoiqu'il y ait là matière à discussion, plus entraînée, aucun État du monde n'en possède une mieux montée, plus belle d'aspect, où les officiers aient plus grand air, les soldats plus martiale allure et, en un mot, où chaque homme soit plus fier et plus digne du bel uniforme qu'il porte. Comme le dit un Anglais, « son armée permanente est peu nombreuse mais étonnamment facile à développer. En un mot, la force de l'Angleterre ne fait peur à personne, sur le papier; mais la force de sa richesse, de ses arsenaux, de sa flotte, de son indomptable résolution est une force que nul de ses amis n'ignore, et qu'un ennemi aurait tort de mépriser. » INDIA HORSE


OFFICIERS EN PETITE TENUE.



PRINCIPAUX OFFICIERS

LA CAVALERIE ANGLAISE

DE

EN 1892

Nous citerons, dans l'armée anglaise, les

Comme aides de camp de la Reine

noms suivants au titre de la cavalerie

:

:

H. R. H. le prince de Galles, KG. KT. KP. GCB. GCSI. GCMG. GCIE,, propriétaire du 10e hussards et colonel en chef du 1er et 2e Life Guards et du Royal Horse Guards. H. R. H. le duc de Cambridge, KG. KT. KP. GCB. GCSI. GCMG. GCIE., commandant en chef de l'armée anglaise, colonel en chef du 17e lanciers.

LES FELD-MARÉCHAUX

LES COLONELS

:

:

Hon. Reg. A.

J. Talbot,

CB., anc. du

1er

Life Guards.

John Palmer Brabazon, lieutenant-colonel du 4e hussards. Dans l'état-major du duc de Cambridge : COLONEL : A. C. F. FitzGeorge, anc. du 11e hussards, secrétaire particulier. G. W. A. FitzGeorge, anc. du 20e hussards, aide de camp.

Parmi des officiers généraux : LIEUTENANTS GÉNÉRAUX : Sir Drury Curzon Drury Lowe, KCB., colonel du 17e lanciers. avec le 17e Lanciers, en Crimée, depuis juin 1855 ; prend part à la bataille de la Tchernaïa, au siège et à la prise de Sébastopol. A la campagne des Indes (1858-59), prend part à la poursuite des rebelles sous Tantia Topee, à l'actionde Zeerapore. Commande le 17e lanciers et la cavalerie de la 2e division dans la guerre du Zoulouland en 1879, prend part à l'action d'Ulundi (blessé). Commande, sous Sir Evelyn Wood, la brigade de cavalerie dans la guerre des Boers (1881). Commande,dans la guerre d'Égypte, la brigade de cavalerie (1882) ; il assiste aux engagements de El-Magfar, Mahsama, Kassasin, Tel-el-Kebir. Immédiatement après cette dernière bataille, il conduit une marche forcée de la cavalerie qui fait livrer le Caire, détermine la reddition de la citadelle et la capture d'Arabi-Pacha.) (A servi


Hon. Charles Wemyss Thesieger, colonel du

5e

lanciers.

à la campagne de Chine, en 1860, comme officier d'ordonnancedu brigadier Pattle, commandant de la brigade de cavalerie; est présent aux affaires des 12 août, 18 et 21 septembreet à la prise de Pékin.). (Assiste

Alexandre George Montgomery Moore, colonel du MAJORS-GÉNÉRAUX :

18e

hussards.

James Keith Fraser, C. M.G., inspecteur général de cavalerie.

(Sert comme officier d'ordonnance de Sir Edmund Lyons dans l'expédition de Kinbourn, 1855 ; assiste au bombardement et à la reddition de la place. A REÇU DU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE UNE MÉDAILLE D'OR, EN RECONNAISSANCEDE SES DÉVOUÉS SERVICES ET DE SA BLESSURE SUR LE CHAMPDE BATAILLE PENDANT LA GUERRE FRANCOALLEMANDEEN

1870-71.)

Sir Baker Creed Russell, KCB. KCMG., commandant Aldershot.

la brigade

de cavalerie à

(Prend part à la répression de la révolte des Cipayes, avec les carabiniers à Meerut, et à Kurnaul quand le ; colonel Gerrard est tué ; fait partie de la colonne mobile de Seaton et, à la bataille de Gungarie, les trois plus anciens officiers étant tués, prend le commandement de l'escadron de son régiment et d'un détachement du 8e lanciers ; le 17 décembre 1857, il commande la cavalerie dans l'action de Putteali, où 700 Cipayes sont tués; il commande encore la cavalerie à Mynpoore, où 250 rebelles sont tués ; assiste à la reddition de Bareilly, de Shahjehanpoore, à la prise du fort de Remai, du fort de Mahundee, action de Bunkagaon, etc., etc., etc. Accompagne Sir Garnet Wolseley à la Côte d'Or, en septembre 1873. Organise le corps indigène « Russell's Regiment » et le commandedans la guerre dés Achantis, 1873-74. A Abrakrampail commande les forces qui repoussent les indigènes, etc., etc., etc. Accompagne Sir Garnet Wolseley dans le Sud de l'Afrique en 1879 et commande les forces d'opérations contre Sekukuni,etc., etc. Sert pendant la guerre d'Égypte, en 1882, d'abord comme assistant adjudant général de cavalerie, puis comme commandant d'une brigade de cavalerie; prend part aux engagements de ElMagfar, Tel-el-Mahuta, Kassasin, Tel-el-Kebir et à la prise du Caire. Nombreuses citationsà l'ordre du jour.)

Dépôt de cavalerie de Canterbury. COMMANDANT:

Colonel Hon.

W.

J. Stewart, anc. du

12e

lanciers.

COMMANDANT ADJOINT ET SUPERINTENDANT DE L'ÉQUITATION : ADJUDANT : Major H. M. Ridley, 7e hussards.

OFFICIER PAYEUR :

D. C.

O.

Spiller.

Henry Jones. Lieutenant Henry Thomas Naylor.

MAÎTRE D'ÉQUITATION : Major QUARTIER-MAÎTRE :

Colonel G. M. Onslow, anc. du 20e hussards.

Thomas

Établissement de remonte. INSPECTEUR GÉNÉRAL (avec rang

de major-général) : Colonel F. G. Bavenhill.

Colonel F. M. Drew, anc. du 7e hussards, Charleville (comté de Cork). Colonel C. F. Morton, anc. du 14e hussards, Londres. Lieutenant-colonel B. L. Tollner, anc. du R. Art. Woolwich. DÉLÉGUÉ ASSISTANT ADJUDANT GÉNÉRAL : Capitaine P. F. Dwyer, du 3e hussards, État-major général. CAPITAINES D'ÉTAT-MAJOR : Major H. J. Blagrove, du 13e hussards, Dublin. Capitaine J. J. Porteous,du R. Art. Woolwich.

INSPECTEURS ADJOINTS :

Gentlemen-at-arms. (Gardes du corps particuliers du souverain,créés en 1509.)

Joh. Walrond Clarke, ancien capitaine au 10e hussards. Ch. Edwyn Wyatt, ancien major au 8e hussards.


OFFICIER INDIGÈNE ; CAVALERIE LÉGÈRE DE MADRAS.



Waller Cloplon Wingfield, ancien

major au Montgomery Yeomanry Cavalry. John Grant Malcolmson, ancien lieutenantau Bombay Cavalry. Lord Henry Edward BrudenellSomerset, ancien lieutenant au R. Horse Guards. Henry Arthur Fletcher,ancien lieutenant-colonel du Bengal Cavalry. Adjudant : Aubone George Fife, ancien colonel du 6e dragons-gardes. Sous-officier : Lieutenant-colonelJ. G. Sandeman, ancien capitaine au 1er dragons.

Régiments. 1er

LIFE GUARDS, à WINDSOR.

Insignes du régiment : les armes royales. COLONEL EN CHEF :

H. R. H. le prince de Galles. 29 mai

1880 (1).

H. S. H. le prince Guill. Aug. Saxe-Weimar(2). 14 novembre 1888.

COLONEL :

LIEUTENANT-COLONEL :

Hon. W. Spencer Bateman-Hanbury.21 janvier 1885. Houston French. 24 septembre 1887. MountifortJohn Courtnay Longfield. 14 mars 1888. Herbert Scarisbrick Naylor-Leyland. 12 janvier 1891.

Éd. de

ROYAL HORSE GUARDS, à HYDE PARK.

Charles Needham, commandant

le régiment. 18 novembre 1886. MAJORS : Hon. Charles Cavendish George Byng (3).

Insignesdu régiment : les armes royales. COLONEL EN CHEF :

1880.

1er juillet 1881.

Sir Simon Macdonald Lockhart. 21 juillet 1886. Reginald Charles Turnor. 1er juillet 1889. CAPITAINES : Algernon Fox Eric Smith. 2 mars 1880. Hon. Arthur William Hill-Trevor. 7 juillet 1880. Ch. Napier Miles. 24 novembre 1882. Th. Ch. Pleydell Calley. 21 juillet 1886. Gordon Carter. 28 septembre 1887. G. Lindsay Holford. 1er juillet 1888. J. Glynne Richards Homfray. 20 octobre 1888. H. G. Leigh. 23 mai 1890. Lionel EdwardBarry. 23 mai 1890. R. HamiltonRawson. 17

septembre 1890.

2e LIFE GUARDS, QUARTIER DE SAINT JOHN'S WOOD.

Insignes du régiment : les armes royales. COLONEL EN CHEF : H. R. H. le prince de Galles. 29 mai, 1880. COLONEL : Richard William Penn, comte Howe (4). 5 janvier 1890. LIEUTENANT-COLONEL :

Edward Hanning Hanning-Lee.

12 janvier 1891.

Hamilton, comte de Dundonald (5). 12 janvier 1885. Audley Dallas Neeld. 24 septembre 1887.

MAJORS : Douglas Mackinnon Baillie

John Anstruther Smith-Cuninghame. 12 janvier 1891. CAPITAINES : Anthony Charles Sykes Abdy. 26 novembre 1883.

Charles Fred. St Clair Anstruther-Thomson. 12

vier 1885. (1) Dates de la nomination au grade. (2) (3) (4) (5)

Général du 14 novembre 1879. Colonel du 15 juin 1889. Général du 16 mars 1880. Colonel du 15 jnin 1889.

jan-

H. R. H. le prince de Galles. 29 mai

COLONEL :

Sir Patrick Grant (1).

LIEUTENANT-COLONEL:

Charles Gore, comte d'Erroll.

18 janvier 1891.

John Fielden Brocklehurst (2). 24 septembre 1887. Evelyn George Hammond Atherley. 6 novembre 1889. Hon. Lionel Francis George Byng. 18 janvier 1881. CAPITAINES Charles William Selwyn. 16 février 1885. : George, lord Binning. 14 mai 1887. SirJohn Christopher Willoughby.-14 mai 1887. Christian Combe. 1er juillet 1887. Victor John Fergus Ferguson. 7 mars 1888. Julian John Newton Spicer. 30 juin 1881. JamesBurns. 1er juin 1889. Edward George, lord Skelmersdale. 21 mai 1890. Henry Thomas Fenwick. 15 avril 1891.

MAJORS :

1er DRAGONS-GARDES(DU ROI), à SHORTICLIFFE; UN ESCADRON EN

ÉGYPTE.

Insignes du régiment : le chiffreroyal entouré de la jarretière. COLONEL : James Robert Steadman Sayer (3). 25 juin 1886. LIEUTENANT-COLONEL : Henry Percy Douglas Willan.

14 juin 1890.

Hamilton Campbell Wetch. 6 mai 1882. Richard Ch. Bernard Lawrence. 25 janvier 1888. Aug. Campbell Spencer. 18 janvier 1888. CAPITAINES : W. Richard Goold-Adams. 11 juin 1884. George Wentworth Forbes. 4 décembre 1886. John Saltren Willeit. 15 juin 1887. John Edward Benbow. 25 janvier 1888. MAJORS :

(1) Général du 19 novembre 1870. Feld-marécehal du 24 juin 1888.

(2) Colonel du 18 janvier 1891. (3) Lieutenant-généraldu 18 mars 1885.


II. Lee Pennell. 25 octobre 1888.. F. E. Younghusband. 18 février 1889.

LIEUTENANT-COLONEL :

A.H.

MAJORS :

1892.

Mackenzie Edwards. 18 février 1889. W. H. Birbeck. 31 janvier 1890. Ch. Loftus Bates. 14 juin 1890. John Flint. 16 octobre 1891. Stewart Bogle Smith. 17 février 1892. Arthur Grant Crosse. 8 mars 1892. 2e DRAGONS-GARDES(BAIS DE LA REINE), SEALKOTE (BENGALE) ; DÉPÔT à CANTERBURY.

A. Abney Sandys. 8 octobre 1890. J. Álgernon Aylmer. 6 mai 1891. R. Le Mesurier Willoughby. 7 mars 1892.

à

Sir Ch. Pyndar Beauchamps Walker (1). 22 décembre 1881. LIEUTENANT-COLONEL : Foster CunliffeLister Kay. 15 août COLONEL :

1888. MAJORS : W. Rose Wynter. 24 juillet 1885. J. A. Lambert. 21 juillet 1888. N. Sadlier. 25 juillet 1888. H. Clerk. 15 août 1888. CAPITAINES : C. Pilkington Dawson. 12 juin 1885. B. S. Scott. 1er janvier 1885. G. Berthon Preston. 20 janvier 1886. G. Prescott Douglas. 20 juillet 1887. E. Dewar. 20 juillet 1887. G. O'Connor. 1er juin 1888. W. Kirk. 25 juillet 1888. J. C. Appold Anstice. 8 septembre 1888.

J

3e DRAGONS-GARDES(DU PRINCE DE GALLES), RAWUL PINDEE (BENGALE) ; DÉPÔT à CANTERBURY.

Insignes du régiment : les trois plumes du cimier des princes de Galles, le soleil levant et le dragon rouge.

Conyers Tower (2). 5 janvier 1891. LIEUTENANT-COLONEL: Ernle Kerr Amyatt Burney. 24 COLONEL :

novembre 1888. Ulting Cole. 24 novembre 1886. R. Kennedy Parke. 21 décembre 1887. J. E. Fitzmaurice Hughes Roche. 24 nov. 1888. F. Stevens Dimond. 8 avril 1890. CAPITAINES : W. Hutchinson Hillas. 22 juillet 1885. Ch. Herbert Farquharson. 12 février 1887. A. P. Douglas Lushington. 7 mai 1887. E. Donough John O'Brien. 17 janvier 1887. Herbert Mercer. 8 avril 1890. S. Walter. 22 janvier 1890.

H. Plumridge Levita. 5 août 1891. H. Read Darley. 13 avril 1892. Malcolm M'Neill. 4 mai 1892. 5e DRAGONS-GARDES (DE LA PRINCESSE

CHARLOTTE DE GALLES), à Insignes : la devise ; COLONEL :

à

ALDERSHOT.

Insignes : la harpe, la couronne et l'étoile de saint Patrick avec cette devise : « Quis separabit ? ». COLONEL :

Sir E. Cooper Hodge (3). 6 janvier 1874.

(1) Général du

7 octobre 1884.

(2) Lieutenant général du 20 mars 1883. (3) Généraldu 1er octobre 1877.

«

ALDERSHOT.

Vestigia nulla retrorsum

».

Hon. Sommerset J. Gough Calthorpe (1). 24

janvier 1892. LIEUTENANT-COLONEL :

J. Baillie Ballantyne Dickson,

commandant le régiment (2). 25 avril 1885. MAJORS : Maunsell Bowers. 21 avril 1883. F. W. Hemming. 19 décembre 1883.

E. Hegan. 22 décembre 1887.

J.

Mackeson. 2 mai 1883. St. John Corbet Gore. 25 février 1885. J. H. Aspinwall. 26 août 1884. W. Eden Stobart. 24 août 1887. Llewellin Washington Matthews. Ier octobre 1887. A. R. Heneage. 23 mai 1888. Colquhoun Grant Morrison. 27 mars 1889. H. Bagwell-Purefoy. 27 mars 1889.

CAPITAINES : W.

MAJORS : W.

4e DRAGONS-GARDES(ROYAL IRLANDAIS),

J.W.

Dent. 18 janvier. 1885. C. M. Edgeworth Brinkley. 7 mars 1888. F. Blayney Lucas Woodwright. 8 mai 1888. G. Burrell Geach. 18 juin 1890. E. Wilson Dawes. 5 mars 1891. Hon. W. Wrotesley. 5 mars 1891. R. Wilton Morley. 8 avril 1891. J. Medlicott Vercher. 6 mai 1891.

CAPITAINES :

Insignes du régiment: le chiffre royal entoure de la jarretiere.

à

Ph. Kavanagh Doyne. 7 mars

6° DRAGONS-GARDES (CARABINIERS),

à

ÉDIMBOURG.

J. Hardy Eliott (3). 3 janvier 1892. LIEUTENANT-COLONEL : W. H. MacGeorge. 1er juillet 1891. COLONEL : MAJORS :

A.

Th. Cole Porter. 17 mars 1886.

A. Sprot. .19 juillet 1889. Th. R. F. Brabazon Hallowes. 1er juillet 1891. CAPITAINES

: P. H. Hamon Massy. 19 juillet 1882.

Mostyn Owen. 4 décembre 1886. E. C. Bethune. 1er février 1884. H.

F. H. A. Des Voeux. 1er juillet 1887. F. Sudlow Garratt. 3 octobre 1887. Montagu Cradock. 20 octobre 1887. A. Cochrane Hamillon. 13 juin 1888.

J. B. Donne. 11janvier 1890. (1) Lieutenant général du 1er juillet 1881. (2) Colonel du 25 avril 1889. (3) Major-général du 1er juillet 1881.


7e DRAGONS-GARDES À

(DE LA PRINCESSE ROYALE),

MUTTRA (BENGALE) ; DÉPÔT

COLONEL :

à

CANTERBURY.

A. Nagent (1). 30 avril 1892.

Creagh. 31 mars 1891. MAJORS : W. E. Morrison Rough. 26 août 1884. U. G. Campbell de Burgh. 31 octobre 1890. LIEUTENANT-COLONEL : W.

Donald MacDougall. 2 mars 1892. W. H. Muir Lowe. 2 mars 1892. CAPITAINES :

A. Cholmeley Earle Welby. 21 octobre 1885. Hon. W. P. Alexander. 5 juillet 1886. Montague George Johnstone. 5 juillet 1888. CAPITAINES : J. A. Wellesley O'Neill Torrens. 15 août MAJORS :

1883. W. H.

E. Ditmas. 4 janvier 1887.

Ch. W. Thompson. 9

mars 1887. Beverly W. R. Ussher. 23 décembre 1885. W. Edwin Danby. 19 décembre.1887. W. H. Rycroft. 11 avril 1888. R. W. Burton-Phillipson. 31 octobre 1890. J. Weston Parsons Peters. 31 mars 1891. F. G. Bick Smerdon. 31 mars 1891.

Hippisley. 1er juin 1884. Crawford Middleton. 21 octobre 1885.

W. H.

J. Scobell. 27 janvier 1886. W.

F.

H. Toovey Hawley. 1er octobre 1887.

B. H. Adams. 9 octobre 1889. J. Crabbie. 9 octobre 1889. H. C. Thornton Littledale. 8 mars 1882. C. W. Montague Feilden. 14 février 1891. F. Blake Simpson. 19 août 1891.

J. Maxwell.19 août 1891.

C.

H. Spencer Follett. 2 mars 1892. 1er (ROYAL) DRAGONS,

3e HUSSARDS (DU ROI),

à

YORK.

Insignes de régiment : le crest d'Angleterreentouré de la jarretière. Un aigle. — Devise : « Spectemur agendo ». COLONEL :

F. Marshall

(2). 29

LIEUTENANT-COLONEL : H.

mars 1890. Tomkinson. 20 mai 1891.

G. Vivian Ames. 3 juin 1885. W. H. M' Laren. 19 juin 1885. F. W. Rhodes. 19 septembre 1885. W. F. O Shaughnessy. 18 novembre 1886. CAPITAINES : .T. F. Burn-Murdoch. 18 janvier 1885. F. W. Greatrex. 19 juin 1885. Ch. Rosdew Burn. 2 février 1885. E. G. Troyte-Bullock. 21 octobre 1885. J. A. Murphy. 13 mai 1885. J. E. Lindley. 18 novembre 1886. Hon. G. LimbreySclater-Booth. 1er octobre 1887. R. H. Carr-Ellison. 25 novembre 1891. MAJORS :

J. Middleton Rogers. 25 novembre 1891. 2e DRAGONS (ROYAL SCOTS GREYS) (3), à NEWBRIDGE.

Insignes du régiment : le chardon entouré du cercle et la devise de saint André. Un aigle. — « Second to none. » COLONEL : G.

Calvert Clarke (4). 23 septembre 1891.

LIEUTENANT-COLONEL :

J.

C.

Mordaunt Richards. 5 juillet 1886.

A.

Maberly. 5 juillet 1888.

(1) Lieutenant général du 13 novembre 1886. (2) Lieutenant général du 5 septembre 1884. (3) Levé en Ecosse en 1678 et envoyé en Flandres en 1694. En Écosse, 1698. En Hollande, 1702 (batailles de Blenheim, Ramillies, Oudenarde,Malplaquet). En Angleterre,1713. Surlecontinent, 1743. EnAngleterre, 1748. En Allemagne,1758. En Angleterre,1763.Quatre « troops » en Hollande de 1793 à 1795. Le régiment s'embarque pour la Belgique, 1815 (Waterloo).En Angleterre, 1816. En Crimée, 1854 (Balaklava et Sébastopol).En Angleterre, 1856. En Irlande, 1856. En Écosse, 1861.En Angleterre,1863. En Irlande, 1865. En Ecosse,1871. EnAngleterre, 1873. En Irlande, 1878. En Écosse, 1883. En Angleterre, 1885. En Irlande, 1888. (4) Général du 1er juillet 1881.

à

DUBLIN.

Insignes du régiment : le cheval blanc entoure de la jarretière. Devise : COLONEL :

«

aspera terrent ».

Nec

E.'Howard- Vyse

septembre 1891. Hawker Helyar. 15 avril

(1). 23

LIEUTENANT-COLONEL: C. W.

1891. MAJORS : C.

E. Beckett. 4 novembre 1884.

R. Grosso Godson. 5 août 1885. R. G. Alexander. 9 mars 1886. CAPITAINES: A. J. Ramsay van Cortlandl. 15 octobre 1881. J. Selby Robson Scott. 18 juillet 1885. F. W. N. Wogan-Browne. 15 août 1885. St. Clair Oswald. 17 octobre 1885. A. Bingham Crabbe. 9 mars 1886. H. Beihume Palton-Bethume. 13 avril 1887. R. G. Walmesley Chaloner. 1er juillet 1887. D. Vernon Pirie. 16 décembre 1885. F. Kingscote FitzhardingeChapman. 1eroctobre 1889.

J.

W.

Burns. 13 février 1891.

P. Fogarty Dwyer. 25 mars 1891. Goring. 10 avril 1891. W. R. Jones-Byrom. 3 juin 1891. W.

4° HUSSARDS (DE LA COLONEL : A. Low (2). 27 LIEUTENANT-COLONEL

REINE), à

COLCITESTER.

octobre 1881.

: J. Palmer Brabazon

(3). 12

vrier 1891. MAJORS : W.

A. Ramsay. 21 mai 1884.

F.C. Pearson. 13 mai 1891. 4 novembre 1891. Follett. 24 août 1881.

C. Wyburn Peters. CAPITAINES :

S.

W.

E. Asheton Critchley. 25 juillet 1885. R. Kincaid-Smith. 6 février 1887. G. Robertson Cuninghame. 19 octobre 1887. (1) Lieutenant général du 25 avril 1885. (2) Général du 22 mai 1880. (3) Colonel 28 août 1889.

fé-


L. E. Starkey. 17 décembre 1887. F. D. Baillie. 1er juillet 1888.

LIEUTENANT-COLONEL :

Hon. F. Rossmore Wauchope Eveleigh de Moleyns.

MAJORS :

mai 1890. W. Higson. 4 novembre 1891. 5e LANCIERS (ROYAL IRLANDAIS), à MEERUT (BENGALE) ; DÉPÔT à CANTERBURY.

Insignes : la harpe et la couronne. — « Quis separabit ?

»

COLONEL :

Hon. Ch. Wemyss Thesiger (1). 24 janv. 1892. LIEUTENANT-COLONEL : A. Bissel Harvey(2), commandant le régiment. 31 mars 1889. MAJORS : Th. Fletcher. 14 novembre 1885. C. F. Johnstone-Douglas. 5 mai 1888. A. Weston. 13 juin 1888. J. J. Scott Chisholme. 15 décembre 1884. CAPITAINES : A. Cosmo Little. 7 mars 1883. J. Farish Malcolm Fawcett. 9 juin 1884. H. J. MLaughlin. 30 mai 1888. A. Carter King. 21 août 1889. M. Berners Doyne. 6 novembre 1889. A. W. Daniel. 4 juin 1890. P. L. Stevenson. 7 mai 1890. W. H. Goodair. 9 mars 1892.

(INNISKILLING), à BRIGHTON.

Insignes : le château d'Inniskilling.

bre 1890. A. Green Thompson. 29 juillet 1885. E. Graham Pennefalher. 25 juillet 1885. C. -W. Crosse. 17 septembre 1890. CAPITAINES : H. Cockcroft Page-Henderson. 20 octobre 1883. Ch. Travers Breton. 5 juin 1885.

MAJORS :

Hon. R. T. Lawley. 21 juillet 1885. G. A. Penrhys Evans. 8 août 1880. R. L. Walter. 15 décembre 1886. Hon. E. H. Lascelles. 18 septembre 1889. *G. A. Lade Carew. 19 décembre 1889. J. Sanctuary Nicholson. 23 janvier 1891. Douglas Haig. 23 janvier 1891. G. L. Holdsworth. 6 février 1891. C. H. Agnew. 28 août 1886. C. B. FitzHenry. 11 février 1891.

CAPITAINES :

8eHUSSARDS(ROYALIRLANDAIS DU ROI), à NORWICH. Insignes : la harpe et la couronne.— « Pristinaevirtutis memores». COLONEL :

Grey. 29 juillet 1885. P. W. Forbes. 26 octobre 1887. M. F. Rimington. 26 octobre 1887. E. H. Hynman Allenhy. 10 janvier 1888. John Watkins Yardley. 17 octobre 1888. G. Lindsey Jennings-Bramly. 16 novembre 1888. C. Haweis Paynter. 8 mai 1889. A. R. Mosley. 23 mai 1891. C. H. Saunders-Knox-Gore. 23 mai 1891. C. E. Pierce. 8 juin 1891. A. Brack-Boyd-Wilson.8 juin 1891.

DÉPÔT

à

(BOMBAY);

CANTERBURY.

Insignes : le chiffre royal entouré de la jarretière. COLONEL :

W.

F. Dickson

(4). 19 juillet 1884.

(1) Lieutenant général du 1er avril 1891. (2) Colonel du 15 juin 1889. (3) Général du 1er juillet 1881. (4) Lieutenant général du 1er juillet 1881.

Sir Charles Craufurd Fraser (1). 25 juin 1886.

T. Astell St. Quintin (2), commandant le régiment. 20 juillet 1887. MAJORS : J. Davidson. 4 novembre 1883. P. Legh Clowes. 2 octobre 1885. E. Groves Paley. 28 novembre 1883. CAPITAINES : D. E. Wood. 3 octobre 1883. LIEUTENANT-COLONEL :

1884.

E. Duff. 19 septembre 1885. N. Colthurst Vesey. 9 décembre 1885. W. J. Bird. 4 décembre 1886.

C. C.

P.

W.

J. Le Gallois. 19 mars 1888.

B. T. Mahon. 19 avril 1888. W. H. E. Lawless. 2 mai 1889. H. de Teissier. 19 mars 1890. 9e LANCIERS (ROYAL DE LA REINE), à DuNDALK.

Insignes : le chiffre royal entouré de la jarretière.

R.

à Mnow

décembre

H. Archbold Reid. 19 décembre 1883. C. F. Thomson. 5 mai 1886. H. Paget. 5 mai 1886. H. M. Ridley. 21 février 1890.

F. J. Carandini. 1er avril

COLONEL : Sir Ch. Cameron Shute (3). 28 mars 1886. LIEUTENANT-COLONEL : A. ChalmersM'Kean. 17 septem-

7e HUSSARDS (DE LA REINE),

19

1889.

1er

6e DRAGONS

J. Lombard Hunt.

COLONEL : W. Drysdale (3). 11 juin 1891. LIEUTENANT-COLONEL : J. A. F. Humberston

Stewart

Mackenzie. 15 décembre 1890. MAJORS : Bloomfield Gough. 8 décembre 1886. H. Courtenay Morland. 20 novembre 1888. J. H. Lamont. 15 décembre 1890. CAPITAINES : F. H. Reynard. 7 août 1886. M. Orme Little. 20 octobre 1886. C. Bishop. 8 décembre 1886. C. St. Clair Cameron. 30 mars 1887.

Jenner. 23 mai 1888. F. F. Colvin. 10 août 1888. F. W. Duff. 10 mars 1889. Hon. C. H. C. Willonghby. 4 décembre 1889. F. T. Lund. 11 mai 1892. W.

K. W.

(1) Lieutenant général du 1er octobre 1886. (2) Colonel du 31 mars 1890. (3) Lieutenant général du

1er

juillet 1881.


10E

HUSSARDS (ROYAL DU PRINCE DE GALLES),

à DUBLIN. Insignes : Les trois plumes du cimier des princes de Galles, le soleil levant et le dragon rouge.

le prince de Galles. 16 avril 1863. LIEUTENANT-COLONEL: Hugh Richard, vicomteDowne (1), commandant le régiment. 13 septembre 1887. MAJORS : M. C. Wood. 6 avril 1882. Hon. J. P. Napier. 1er mars 1884. R. B. W. Fisher. 12 février 1891. CAPITAINES : P. F. Durham. 18 février 1884. D. S. W. comte d'Airlie. 18 février 1884. R. H. F. Wharton Wilson. 1er mars 1884. Hon. G. L. Bryan. 13 septembre 1887. H. Alexander. 16 mars 1889. C. B. Harvey. 21 juillet 1889. A. Hughes-Onslow.4 janvier 1890. Hon. J. H. G. Byng. 4 janvier 1890. C. T. M'MurraghKavanagh. 1er février 1890. Hon. E. Baring. 1er février 1890. C. Barclay. 23 mars 1892. COLONEL : H. R. H.

11e HUSSARDS (DU PRINCE MÉRIDIONALE; DÉPÔT

à

ALBERT), AFRIQUE CANTERBURY,

Les armes et la devise de feu le prince consort.

Forrest (2). 8 février 1886. LIEUTENANT-COLONEL : C. E. Swaine. 19 novembre 1891. MAJORS : K. Borrowes. 14 juillet 1886. COLONEL :

W. C.

E.R. Courtenay.10 avril 1889. Lord E. B. Talbot. 19 novembre 1891. CAPITAINES : Hon. H. A. Ormsby Gore. 25 juillet 1883. C. H. E. Coole. 14 octobre 1885. T. M. Jones-Tailby. 29 septembre 1886. W. W. Waring. 2 mars 1887. Hon. O. V. G. A. Lumley. 2 mars 1887. A. H. Lehmann. 19 novembre 1887. A. T. L. Gilroy. 16 décembre 1890. J. E. H. Balfour. 31 mars 1891. B. Combe. 19 novembre 1891. E. S. E. Harrison. 4 janvier 1892. 12e LANCIERS (ROYAL DU PRINCE

DE GALLES),

à PRESTON. Les trois plumes, le soleil levant et le dragon rouge.

E. Burgoyne Cureton (3). 30 avril 1892. LIEUTENANT-COLONEL : F. M. Wardrop (4). 21 déc. 1887. COLONEL :

G. R. R. Poole. 1ER juillet 1881. E. Bock. 30 novembre 1885.

MAJORS :

C.

novembre 1885. CAPITAINES : T. A. Hill. 30 novembre 1881. A. G. Churchill. 1er mai 1886. T. J. Atherton. 2 février 1887. M. H. Archdale. 30

(1) Colonel du 7 août 1890. (2) Général du 1er juillet 1881. (3) Lieutenant général du juillet 1881. (4) Colonel du 15 juin 1889.

A. S. Ralli. 1er janvier 1888. R. G. Broadwood. 15 février 1888.

J. J. J.

F. H. Hinde.

15 août 1888. H. Ensor. 30 novembre 1888. C. B. Eastwood. 10 juin 1889. M. Gordon. 17 septembre 1890.

W.

13e HUSSARDS, à BALLINCOLLIG. «

Viret in aeternum.

»

H. Seymour (1). 5 janvier 1891. LIEUTENANT-COLONEL : J. K. Spilling (2), commandant le régiment. 1er juillet 1887. MAJORS : E. R. H. Torin. 29 septembre 1885. COLONEL : W.

H. J. Blagrove. 8 janvier 1890. M. A. Close. 25 juillet 1890. CAPITAINES : R. S. S. Baden-Powell. 16 mai 1883.

Smithson. 29 septembre 1885. A. Leetham. 9 septembre 1885. F. J. Murphy. 18 août 1883. W.

C.

G. J. C.

K. A. T.

Noble. 27 octobre 1886. Williams. 24 novembre 1886. MacLaren. 3 août 1887. H. R. Ogilvy. 1er juillet 1888. B. Phillips. 1er janvier 1890. W.

E. W. Jaffray. 1er août 1890. E. W. N. Pedder. 8 octobre 1890. E. A. Wiggin. 12 novembre 1890. 14e HUSSARDS ( DU ROI), à LEEDS. Le chiffre royal entouré de la jarretière. L'aigle de Prusse. COLONEL : C. W. Thompson (3). 1er mai 1882. LIEUTENANT-COLONEL : Hon. G. H. Gough (4), 1er juillet

1891.

A. J. English. 17 août 1887. M. A. Burke. 28 juillet 1886. A. C. King. 1erjuillet 1891. CAPITAINES: G. H. C. Hamilton. 24 juillet 1885. H. W. Mitchell. 26 novembre 1886. MAJORS :

II. Kirk. .1er juillet 1887. A. B. Broadhurst. 31 décembre 1887.

L. J. Richardson. 24 mars 1888. R. M. Richardson. 25 juillet 1888. Sir J. P. Miller. 8 septembre 1888. E. D. Brown. 8 septembre 1888. W. Spencer-Stanhope.11 juin 1890. John Murray. 1er juillet 1891.

E. J. Tickell.

1er

juin 1892.

15e HUSSARDS

(DU ROI),

À CAHIR.

Le crest d'Angleterre entouré de la jarretiere. — « Merebimur.» COLONEL : Sir F. W. J. Fitz Wygram (5). 19 avril 1891. LIEUTENANT-COLONEL:

F.

H. Beck. 12 juin 1889.

(1) Lieutenant généraL du 1er janvier 1885. (2) Colonel du 29 septembre 1889. (3) Général du 1er juillet 1881.

(4) Colonel du 16 décembre 1889. (5) Lieutenant généraldu 1er avril 1883.


MAJORS :

J. B. S. Bullen.

9

avril 1884.

G. D. F. Sulivan. 15 août 1888. A. G. Holland. 12 juin 1889. CAPITAINES : P. J. Waldron. 29 septembre 1881. Hon. R. Leigh. 17 mars 1886. Ch. E. Browne. 16 mars 1887. J. R. P. Gordon. 15 août 1888. H. E. S. Pocklington. 15 août 1888. T. O. W. Champion de Crespigny. 24 août 1888. R. Cokayne Cokayne-Frith. 24 août 1888. B. St. John Mundy. 10 août 1887. F. C. Meyrick. 2 mars 1891. H. H. P. Dundas. 25 mai 1892.

vier 1892 (2). LIEUTENANT-COLONEL : MAJORS :

à

COLONEL : C.

H. W. R. Ricardo. 7 avril 1888, Hon. H. L. A. Lawrence. 25 février 1892.

CANTERBURY.

de la jarretière. Autcursu aut cominus armis. »

DÉPÔT «

régiment. 10 août 1889.

C. James. 8 octobre 1890. Frewen. 27 janvier 1892.

W.

MAJORS : G.

J. Oswald. 8 décembre 1886. J. A. Orr-Ewing. 21 juillet 1888. L. Stamer. 25 juillet 1888. Dugdale. 9 janvier 1889. J. D. Calley. 9 janvier 1889. H. P. Kirkpatrick. 2 septembre 1890. G. P. Wyndham. 10 septembre 1890. E. de Grey Beaumont. 27 janvier 1892. A. G. Dallas. 7 mars 1892. C.

(1) Formé en

E.

C. T.

M. Sherston. 8 août 1888. D. Saint George Daly. 14 août 1889. H. A. F. C. F. S. Greville. 1er octobre 1891. 19e HUSSARDS (DE LA PRINCESSE DE

à

BANGALORE (MADRAS); DÉPÔT

le duc de Cambridge. 21 juin.

H.

à

GALLES),

CANTERBURY.

Insignes : L'éléphant. COLONEL : C. S. Hatchinson (5). 24 mars 1889. LIEUTENANT-COLONEL : J. D. P. French (6), comman-

1759 comme 16e régiment de Dragons légers.

dant le régiment. 27 septembre 1888.

Siège de Belle-Isle et en Portugal jusqu'à, la fin de la guerre de Sept ans. En Amérique 1776. Quatre « troops » en Flandres 1793.

En Angleterre 1796. En Irlande 1802. En Angleterre 1805. En Espagne 1809 (bataille de Talavera,Fuentes d'Onor, Salamanque, Vittoria, Nive). En Angleterre 1814. En Belgique 1815 (Waterloo). En Angleterre 2815. En Irlande 1816. En Angleterre 1819. En Irlande 1821. En Angleterre 1822. Dans l'Inde 1822 (bataille de Bhurtpore, prise de Ghuznee, batailles de Maharajpore, Aliwal et Sobraon). En Angleterre 1846. En Irlande 1852. En Écosse 1857. En Angleterre 1859. Dans l'Inde 1865. En Angleterre 1876. En Irlande 1882. En Angleterre 1888. Dans l'Inde 1890. (2) Général du 13 mars 1885. (8)Formé en 1759 comme 18e Dragons légers. Licencié en 1763 et reformé comme 17e Dragons légers. En Irlande 1764. Indes occidentales 1765. Amérique du Nord 1776. En Angleterre 1783. En Angleterre 1797. Amérique du Sud 1806 (prise de Montevideo). Dans l'Inde 1808. En Angleterre et devenu Lanciers

P. Curzon. 30 avril 1887. Laming. 14 mars 1888.

W.

Insignes : une tête de mort avec la devise : « Or glory

1876.

C. Knox. 14

H.

HOUNSLOW.

H. R.

E.

avril 1886. P. S. Marling. 22 décembre 1886.

17e LANCIERS (DU DEC DE CAMBRIDGE) (3),

COLONEL EN CHEF :

E. B. Browne. 18 avril 1835.

B. D. Möller, 7 juillet 1886. R. H. Morrison. 19 novembre 1889. F. D. Tagart. 1er août 1890. CAPITAINES : F. J. P. Buttler. 13 février 1884. G. R. B. Patten. 1er avril 1883.

Wyndham-Quin. 23 juin 1886.

à

Pro rege, pro lege, pro patria conamur. »

COLONEL : A. G. Montgomery Moore (3), 4 janv, 1892. LIEUTENANT-COLONEL : H. S. Gough (4), commandant le

H. Graham. 27 janvier 1886. H. L. Aylmer. 10 septembre 1890.

MAJORS :

H.

à UMBALLA (BENGALE) ; à CANTERBURY.

18e HUSSARDS,

J. Forster (2). 28 mars 1886.

CAPITAINES : W. H.

Benson. 27 avril 1886.

Fortescue. 6 juin 1882. E. B. Herbert. 27 avril 1886. Hon. L. H. Dudley Fortescue. 6 novembre 1886. C. J. Anstruther-Thomson. 6 novembre 1886. W. G. Renton. 15 janvier 1888. C. Coventry. 15 janvier 1888.

LIEUTENANT-COLONEL : J. M. Babington. 27 janvier 1892.

S.

W.

15 janvier 1892.

H.

Le chiffre royal entoure «

F.

E. A. Belford.

M. G. Neeld. 27 avril 1886. H. C. Jenkins. 6 novembre 1886. CAPITAINES : C. H. Purvis. 5 juin 1882.

16e LANCIERS (DE LA REINE) (1), à LUCKNOW (BENGALE) ; DÉPÔT

Sir Drury Curzon Drury-Lowe (1). 24 jan-

COLONEL :

|

1823. Irlande 1828. Angleterre 1832. Irlande 1838. Ecosse 1841. Angleterre 1842. Irlande 1846. Crimée 1854 (Alma, Balaklava, Inkermann, Sébastopol). Irlande 1856. Angleterre 1857. Indes orientales et Indes centrales 1857 (révolte de l'Inde). Angleterre 1865. Écosse 1869. Irlande 1870. Angleterre 1876. Guerre du Zoulouland 1879. Indes 1879. Angleterre 1890 (un escadron reste en Egypte). (1) Généraldu 1er avril 1890.

(2) Six fois mentionné à l'ordre du jour. Félicitations des deux Chambres du Parlement pour sa belle conduite en Égypte (voir page 75).

(3) Lieutenant général du 10 mars 1892.

(4) Colonel du 21 mai 1888.

(5) Lieutenant généraldu 1er juillet 1881. (6) Colonel du 7 février 1889.


OFFICIER INDIGÈNE EN TENUE DE CAMPAGNE ;

3e

BENGALE.



Hanford-Flood.20 septembre 1884. C. B. H. Jenkins. 11 novembre 1884. H. M. A. Warde. 7 février 1885. D.R. Apthorp. 2 septembre 1891. CAPITAINES : E. K. G. Aylmer. 7 novembre 1883. H. D. Fanshawe. 2 juillet 1884. H. G. Marsh. 18 avril 1885. MAJORS :

J.

CAVALERIE DES INDES.

C.

J. C. A. Walker. 20 janvier 1886. A. H. Brooksbank. 1er juillet 1887. H. G. S. Young. 6 février 1889. H. G. De Pledge. 11 juin 1890.

P. J. Zigomala. 2 septembre 1891.

GARDES DU CORPS DU GOUVERNEUR GÉNÉRAL

COMMANDANT :

(crées en 1762).

Capitaine R. C. Onslow. BENGALE.

1er BENGALE CAVALERIE (1803) (1).

COLONEL : R.

Morris. 2e BENGALE LANCIERS (1809).

COLONEL :

R. M.

Clifford.

3e BENGALE CAVALERIE (1814). 20e HUSSARDS,

à

ALDERSHOT.

H. Palmer (1). 11 juin 1891. LIEUTENANT-COLONEL : Miles, lord Beaumont. 9 septembre 1891. MAJORS : W J. Irwin. 9 septembre 1885. COLONEL :

Sir R.

W.

T. B. Weston. 1er juillet 1888.

A. W. N. Thomas. 9 septembre 1891.

L. E. Gurney. 1er octobre 1881 S. H. J. Stewart. 20 juin 1883. H. G. P. Beauchamp. 15 octobre 1884. II. Graham. 14 juillet 1886. W. D. Whatman. 16 mars 1887. N. Legge. 23 décembre 1887. J.R. Beech. 11 décembre 1889. A. M. B. Jones.11 décembre 1889. W. C. Vaughan. 9 septembre 1891.

CAPITAINES :

21e HUSSARDS, à SECUNDERABAD (MADRAS) ; DÉPÔT

à

CANTERBURY.

R. White (2). 28 mars 1886. LIEUTENANT-COLONEL : T. E. S. Hickman, commandant régiment. 17 août 1887. MAJORS : J. Lovell. 18 mars 1882. R. H. Martin. 2 février 1884. W. G. C. Wyndham. 16 juillet 1884. P. M. King. 1er octobre 1887. CAPITAINES: C. B. Pigott. 31 janvier 1883. R. Owen. 13 juin 1883. J. Fowle. 23 novembre 1887. H. Finn. 23 novembre 1887. H. C. Higgs. 16 juillet 1888. H. L. Pilkington. 16 août 1888. COLONEL :

le

septembre 1888. F. H. Eadon. 6 novembre 1889. W.

M. Doyne. 9

COLONEL :

E. A. Money. 4e BENGALE CAVALERIE (1840).

COLONEL :

J.D. Macpherson. 5e BENGALE CAVALERIE (1841).

LIEUTENANT-COLONEL :

J. P. D. Vanrenen.

6e BENGALE CAVALERIE (DU PRINCE DE GALLES) (1842). COLONEL HONORAIRE : H. R. H. COLONEL : R. M. Jennings.

le prince de Galles,

7e BENGALE CAVALERIE (1846). COLONEL

:

J.

C. Stewart. 8e BENGALE CAVALERIE (1846).

LIEUTENANT-COLONEL :

J. A.

M' Neale.

9e BENGALE LANCIERS (1857). COLONEL : D. H.

Robertson.

10e BENGALE LANCIERS (DU DUC DE CAMBRIDGE) (1857). COLONEL HONORAIRE : H. R. COLONEL : D. M. Strong.

H. le duc de Cambridge.

11e BENGALE LANCIERS (DU PRINCE DE GALLES) (1857).

R. H. le prince de Galles. LIEUTENANT-COLONEL: W. W. H. Scott. COLONEL HONORAIRE : H.

12e BENGALE CAVALERIE (1857). MAJOR :

J. B. Lynch.

13e BENGALE LANCIERS (DU DUC DE CONNAUGHT) (1858). COLONEL HONORAIRE : H. COLONEL :

F.

H. R. le duc de Connaught.

W. Macmullen. 14e BENGALE LANCIERS (1857).

COLONEL :

R. Eardley-Wilmot. 15e'BENGALE LANCIERS (1858).

COLONEL :

(1) Lieutenantgénéral du 1er juillet 1881. (2) Généraldu 11 novembre 1890.

R. Atkins. 16e BENGALE CAVALERIE (1857).

COLONEL : G.

T. Halliday.

(1) La date entre parenthèses est celle de la création du régiment.


17e BENGALE CAVALERIE (1858). COLONEL

W. A.

:

2e

Lawrence.

MAJOR :

A. B. Fenton.

18e BENGALE LANCIERS (1858). LIEUTENANT-COLONEL : G.

3e

L. R. Richardson.

(1784).

MADRAS LANCIERS

MADRAS LANCIERS

LIEUTENANT-COLONEL: D.

(1784).

J. S. M' Leod.

19e BENGALE LANCIERS (1860). COLONEL : W. W.

Biscoe.

BOMBAY.

PUNJAB. 1ER

GARDES DU CORPS DU GOUVERNEUR (1865).

PUNJAB CAVALERIE (DU PRINCE ALBERT-VICTOR)

(1849).

J. R.B. Atkinson.

COLONEL :

1ER

2e PUNJAB CAVALERIE (1849).

C.R. Clifford.

COLONEL : R.

CAPITAINE : G.

T. Shepherd.

COLONEL HONORAIRE : H. R. H. MAJOR : E. L. Elliot.

2e COLONEL

5e PUNJAB CAVALERIE (1849). LIEUTENANT-COLONEL : W.

J. Vausden.

CORPS DES GUIDES (DE LA REINE) (CAVALERIE ET INFANTERIE) (1846). COLONEL HONORAIRE : H. R. H. le COLONEL : A. G. Hammond.

prince de Galles.

CENTRAL INDIA HORSE COLONEL : H. M.

Buller. MADRAS.

L.

W. C.

Kerrich.

B. Warner.

(1817).

(1820).

Galles.

BOMBAY CAVALERIE (DU PRINCE ALBERT-VICTOR)

COLONEL :

MAJOR :

A. Currie. BOMBAY CAVALERIE

(1839).

M. James. 6e BOMBAY CAVALERIE (1846).

LIEUTENANT-COLONEL :

A. M. Hogg.

7e BOMBAY LANCIERS (1885). LIEUTENANT-COLONEL :

A. L. M'Nair.

DÉTACHEMENT D'ADEN (1867).

1er MADRAS LANCIERS (1787). COLONEL : W.

BOMBAY LANCIERS

COLONEL HONORAIRE : H. R. H. le prince de LIEUTENANT-COLONEL : J. F. Wittoughby.

GARDES DU CORPS DU GOUVERNEUR.. CAPITAINE :

le duc de Connaught.

3E BOMBAY CAVALERIE (DE LA HEINE)

4e

(1817).

: J. G. Fagan.

5e

(1860).

. Gott.

BOMBAY LANCIERS (DU DUC DE CONNAUGHT)

3e PUNJAB CAVALERIE (1849). COLONEL :

A

CAPITAINE :

J. R.

C. Domvile.

(1817).


CHAPITRE

III

AUTRICHE

autrichienne, jusqu'aux événements de l'an 1866, a été la plus belle et la plus brillante de l'Europe. Ses beaux uniformes blancs sont restés à ce point légendaires, qu'aujourd'hui encore, c'est habillés de cette couleur qu'on représente les soldats autrichiens dans les peintures symboliques ou synthétiques. Constamment citée comme un modèle d'organisation et de manoeuvre, la cavalerie autrichienne, on peut le dire sans toucher en rien à son honneur, fut rarement heureuse (1). Cependant elle peut affirmer hautement et sans crainte d'un démenti, que ses cavaliers, hongrois, slaves ou allemands, ont toujours compté parmi les premiers de l'Europe ; que bravoure, agilité, esprit de discipline, foi patriotique,ils possèdent toutes les qualités qui font les excellents soldats qu'ils sont en réalité. C'est la cavalerie autrichienne que le général L'Hotte (2) étudia, lors de la réorganisaARMÉE

J'allais oublier la bataille de Custozza et le colonel Pultz terrorisant avec ses quelqueshommes deux divisions italiennes. Il est vrai que partout où les Italiens et les Autrichiens ont été en présence, ces derniers ont eu la vic(1)

toire facile. (2) Le nom du général est resté si sympathique en Autriche, qu'il suffit de l'invoquer pour voir s'ouvrir toutes les portes du monde militaire et officiel.


;

lion de notre cavalerie, et c'est de cette étude que sont sortis les règlements de manoeuvre en vigueur depuis 1876 dans la cavalerie française : règlements d'une simplicité, d'une lucidité remarquables, et dont les résultats semblent avoir tenu tout ce qu'ils mettaient. Comme dans tous les l'Empereur est S. M. François-Joseph a une le chef suprême de prédilection toute pour elle, et les rudes coups qui ont frappé l'héritier ont encore augvieil Empereur jouit auprès menté la juste popularité de ses soldats. fut complètement modifiée et Depuis 1868, époque où elle Cuirasse ; 1840 réorganisée, l'armée a perdu son brillant plumage : les uniformes blancs que, seule entre les armées européennes, elle avait conservés presque sans changements depuis Marie-Thérèse. Tels le beau tableau de Detaille nous les a montrés assistant en 1815 à la reddition d'Huningue, tels ils étaient encore il y a vingt ans. Aujourd'hui, ce prestigieux appareil a disparu ; et, à l'inverse des autres pays, c'est peut-être la cavalerie autrichienne qui a le moins gardé des traditions anciennes. Les beaux régiments de cuirassiers et de dragons blancs et bleus sont devenus des dragons à la blouse bleu foncé, au large pantalon rouge sale, rentré dans des bottes de forme disgracieuse. Les soldats autrichiens, et particulièrement les cavaliers, sauf pourtant ceux de la Garde, sont les plus mal fagotés de l'Europe ; il ne leur manque, pour devenir de parfaits spécimens d'inélégance, que notre pantalon à basane et notre cravate de coton bleu. Quoi qu'il en soit, les officiers autrichiens ont gardé le grand air et la distinction qui les a toujours caractérisés, et les gardes hongroises et impériales sont fort imposantes. Le cadre restreint de cette modeste étude ne nous permet pas d'étudier les questions ethnographiques qui passionnent la presse et les étudiants de l'empire austro-hongrois, thèses dont la discussion, chaque fois plus étendue et plus envenimée, est un juste sujet de crainte pour tous ceux qui voient dans un avenir plus ou moins éloigné la dislocation de ce qui fut l'EMPIRE et n'est plus que l'empire d'Autriche-Hongrie. Disons seulement que ces différences de races et ce particularisme s'affirment davantage encore depuis la retraite du général Bylandt-Rheidt, ministre de la

pro¬ pays

l'armée particulière

des dont

hiérarchiques,

le

Habsbourg

autri-chienne


OFFICIER INDIGÈNE; 2e LANCIERS DE BOMBAY.



guerre de 1876 à 1888, et qui, pendant les douze années de son administration, fût, en même temps qu'un réformateur distingué, le plus énergique défenseur du principe de la langue allemandeobligatoire dans l'armée ; car c'est sur ce principede l'allemand langue de service dans l'armée impériale, qu'est basée de cette armée. C'est par la tolérance langue autre que l'allemand dans les épreuves du que le particularisme, devenant bientôt le fait son dangereux chemin dans la monarchie désagrégeant l'armée de cavalerie. et l'État. Général l'Autriche comptait En 1859, lors de la 40 régiments de cavalerie, qui se répartissaient ainsi : 8 régiments de cuirassiers, de dragons, 8 — de hulans, 12 — de hussards ; 12 — auxquels il convient d'ajouter les régiments formés pendantla guerre, avec des volontaires, savoir l'régiment de hulans et 2 régiments de hussards. La campagne de 1859 ne fournit, tant à la cavalerie française qu'à la cavalerie autrichienne, que peu d'occasions de se déployer. Tous honorablement leur devoir, et les ces régiments firent néanmoins officiers français qui prirent part à la guerre ont gardé une très haute estime des troupes qu'ils eurent à La campagne terminée, on supprima 2 régiments de dragons et on en transforma 4 autres en* cuirassiers, ce qui portait cette arme à 12 régiments. Les

unique l'unité

d'une volontariat, séparatisme,

austro-hongroise, guerre

d'Italie,

combattre.

rous

ces régi-ments, habillés uniformément de blanc,

Tirailleur du

Tyrol.


la

avec les bottes à l'écuyère et le casque à chenille, avaient le collet et les parements des manches de couleurs distinctives; ils présentaient un aspect réellement magnifique. Dans le tableau cité plus haut, de M. Edouard Detaille, on voit suite de l'archiduc. Cet officier un officier de cuirassiers de porte, avec une élégance et de race absolument admirables, un des plus beaux costumes militaires qui se

une

distinction

puissent voir. Après 1859, les volontaires qui avaient servi pendant la campagne transformés en régiments réguliers et devinrent 13e et 14e hussards. Après la guerre de 1866, furent définitivement supprimés et ce qui porta à quatorze le nombre des cette arme. Les hulans gardèrent régiments et les hussards, leurs quatorze régiments. Enfin, en 1873, on régiments frontières, on ments de hussards et on réporta à 16 le nombre des duisit à 11 celui des hulans, 9 et 10 restant vacants. Actuellement, on compte en, Officier du régiment de dra- Autriche-Hongrie : 42 régiments de cavalerie en 13 brigades. Ces régiments se répartissent ainsi qu'il suit : 15 régiments de dragons numérotés de 1 à 15 (1) ; 11 régiments de hulans numérotés de 1 à 13, les numéros 9 et 10 manquant; 16 régiments de hussards numérotés de 1 à 16. Ces régiments se recrutent de la façon suivante : Les dragons sont fournis par la Bohême et les pays allemands, les hulans sont Galiciens ou Polonais, sauf 3 régiments fournis par tous les autres Slaves de l'empire ; enfin, les hussards sont exclusivement recrutés en Hongrie et en Transylvanie. Tous les régiments autrichiens sont comptés comme CAVALERIE LÉGÈRE, armés et équipés de la même façon depuis 1884, époque où la lance fut retirée aux hulans. La monarchie austro-hongroise est donc, en somme, de seul pays possédant une cavalerie absolument uniforme comme équipement et comme armement (2). Cet armement se compose du sabre et de la carabine Werndl, portant à 1.600 mètres les sous-officiers et les trompettes remplacent la carabine par le revolver. ;

régiments furent hulans,

13e descuirassiers devinrent dragons, régimentsde leurstreize

régiles

supprima

Les

numéros

divisés

Le régiment n°15 a été formé à la date du. 1er janvier 1891. (2) Depuis quelque temps seulement l'Allemagne a aussi armé tous ses cavaliers uniformémentdu sabre, de la carabine et de la lance. (1)


Indépendamment de son numéro, chaque régiment porte le nom de son colonelpropriétaire.

Le 13e régiment de hussards est en outre appelé JAZYGUES ET KUMANS

d'un nom de pays,

« HUSSARDS

».

En temps de paix, la cavalerie austro-hongroise compte environ 252. escadrons, soit 1.806 officiers et 43.554 hommes; en temps de guerre, environ 2.600 officiers, 69.200 hommes et 68.600 chevaux. Sur le pied de paix chaque régiment comprend : 1 état-major de régiment, 2 états-majors de divisions, 6 escadrons formant 2 divisions, 1 cadre de dépôt. Au moment de la mobilisation chaque régiment forme : 1° : 1 état-major de régiment, comprenant : 1

COLONEL,

1

LIEUTENANT-ADJOINT,

1

OFFICIER D'APPROVISIONNEMENT,

1

MÉDECIN DE RÉGIMENT, 1 CAPITAINE COMPTABLE, 1

VÉTÉRINAIRE,

2

MARÉCHAUX DES LOGIS CHEFS,

1 MARÉCHAL DES LOGIS SECRÉTAIRE,

2

BRIGADIERS SECRÉTAIRES,

1 TROMPETTE DE RÉGIMENT, 1

ARMURIER,

5

SOLDATS ORDONNANCES D'OFFICIERS.

:

2 2 2

2 états-majors de divisions, comprenant :

MAJORS, MÉDECINS, TROMPETTES,

4 SOLDATS ORDONNANCES D'OFFICIERS ; 6 escadrons de guerre, se composant chacun de

:


capitaine commandant, 1 capitaine en second, 1 premier lieutenant, 2 lieutenants, 1 cadet suppléant, 1 maréchal des logis chef pour le service, 1 maréchal des logis chef comptable, 4 maréchaux des logis, 4 brigadiers, 6 trompettes, 130 cavaliers montés, 1 maréchal ferrant, 1 sellier, 5 ordonnances d'officiers. Ce qui fait pour le régiment sur le pied de guerre : 39 officiers, 1.067 cavaliers, 1.074 chevaux de selle, 70 chevaux de trait et 28 voitures. En outre, chaque régiment fournit : 2 pelotons d'escorte ayant chacun 1 officier, 43 cavaliers et 42 chevaux. Ces pelotons sont affectés au service des quartiers généraux de brigades, de divisions et de corps d'armée ; 1 escadron de réserve composé de : 1 officier, 171 cavaliers et 169 chevaux ; 1 escadron de dépôt composé de 8 officiers, 169 cavaliers et 161 chevaux. Cet escadron a pour mission d'alimenter les escadrons de guerre par l'envoi des réservistes, hommes et chevaux, successivement et au fur et à mesure de leur dressage. Enfin, un certain nombre de sous-officiers,brigadiers et cavaliers, sont destinés à faire le service de la gendarmerie de campagne. Dans chaque régiment, le 4e peloton du 6e escadron, et cinq cavaliers dans chacun des autres escadrons, reçoivent une instruction spéciale pour servir de pionniers de régiments; ils sont naturellement munis des outils nécessaires. Le peloton de pionniers est ainsi composé : 1

1

3

5

LIEUTENANT,

5

BRIGADIERS,10 —

DE SACOCHES

HOMMES POUR GARDER LES

PORTEURS DE PELLES,

gar-nies portant

placée

de divers instruments et

outils; chacun des pionniers en outre une cartouche dans une sacoche en cuir, de 1 kilogr. de dynamite à la ceintuie, Tirailleurs à cheval dit Vorarlberg. de bât. 2 CONDUCTEURS de chevaux En outre des 42 régiments de cavalerie, il existe différents corps de la Garde qui sont : Les archers de la garde du corps, exclusivement composés d'officiers, La garde du corps royale hongroise, également composée d'officiers, L'escadron des cavaliers de la garde du corps impériale et royale, comprenant des sous-officiers et de simples gardes.


GÉNÉRAL DE CAVALERIE.



entreteminishon-

La Garde groise est nue par le tre hongrois; les deux autres corps le sont aux frais de

haentièred'argent

fort belle prestance et de brillante tenue, servent d'escorte au souverain. Les gardes hongrois sont billes à la hongroise,

ment en rouge brodé avec le colbach de fourrure et une peau de panthère comme pelisse; l'équipage du cheval est vert brodé d'argent. Les archers portent les hautes bottes molles, vernies, la culotte blanche, la tunique rouge tronnée d'or et le casque à panache Les gardes du corps autrichiens ont la tunique vert foncé lisérée de rouge, la culotte bottes et le casque à panache noir. Les gardes hongrois sont entièrement montés en chevaux gris et les archers en chevaux noirs. Profitons de ce que nous sommes sur le chapitre des uniformes de la Garde pour noter que les généraux qui ont commandé un régiment de hussards et les généraux de landwehr hongroise portent, en tenue de gala, un uniforme qui dépasse en splendeur tous ceux qui ont jamais été portés. Ce merveilleux uniforme se compose de la culotte hongroise rouge à bandes et à hongroises d'or, des bottes hongroises en cuir verni noir, bordées d'or, du dolman rouge a tresses et broderies d'or, ceinture tissée d'or ; sur d'épaule pelisse blanche doublée et bordée de fourrure marron, les tresses et les broderies d'or ; colbach de fourrure à flamme rouge et aigrette blanche.

blanc. les plasd'acier

blanche,

Dragon.


Voici comment se compose, en Autriche-Hongrie, la hiérarchie des grades : dans la

cavalerie. OFFICIERS GÉNÉRAUX. FELD-MARÉCHIAL (1),

commandant de corps d'armée, FELD-MARÉCHAL LIEUTENANT, ou général de division, GÉNÉRAL-MAJOR (2) ; ou général de brigade. GÉNÉRAL DE CAVALERIE,

OFFICIERS SUPÉRIEURS. OBERST,

colonel,

OBERSTLIEUTENANT,lieutenant-colonel, MAJOR. OFFICIERS INFÉRIEURS.

capitaine, OBERLIEUTENANT,lieutenant en LIEUTENANT, lieutenant. RITTMEISTER,

1er,

SOUS-OFFICIERS. CADET-OFFICIER-STELLVERTRETER,

cadet suppléant of-

ficier,

maréchal des logis chef, ZUGSFUEHRER, sergent ou maréchal des logis, CORPORAL, caporal ou brigadier comptant comme sous-officier. WACHTMEISTER,

TROUPE. GEFREITE, cavalier

de

1re

classe.

Les insignes distinctifs de ces différents grades sont

les suivants : GÉNÉRAL DE CAVALERIE,

3 étoiles d'or au collet,

2 étoiles d'or, GÉNÉRAL-MAJOR, 1 étoile d'or, OBERST, 3 étoiles du métal du bouton, FELD-MARÉCHAL LIEUTENANT,

Il n'y a actuellement en Autriche que l'archiduc Albert qui soit feld-maréchal; il est également inspecteur général de l'armée permanente. (2) Tous les généraux ont droit au titre d'Excellence. Ceux qui ne sont pas nobles sont presque toujours anoblis par l'Empereur. (1)


DRAGONS.



métal métaldu

2 étoiles du métal du bouton, bouton, MAJOR, 1 étoile du métal du RITTMEISTER, 3 étoiles du du bouton, métal du bouton, OBERLIEUTENANT, 2 étoiles du bouton, LIEUTENANT, 1 étoile du CADET-SUPPLÉANT-OFFICIER, galon d'or au collet et 3 étoiles en laine de la couleur WACHTMEISTER, 3 étoiles de la couleur du bouton avec en galon en soie jaune au ; ZUGSFUEHRER laine, 3 étoiles en , CORPORAL, 2 étoiles en laine, OBERSTLIEUTENANT,

mince dubouton, laine

collet

généraux uniforme col-

étoile. En outre, les officiers ciers supérieurs par leur galon d'or au shako et au Les officiers supérieurs se diségalement par les différences et au collet. L'insigne du ceinture de soie jaune et noire, GEFREITE, 1

de ser¬

sont distingués des offispécial et par un large

let. tinguent des officiers inférieurs, largeur du galon d'or au shako vice pour les officiers, est la officier de hulans ; rég. n°4. mélangée d'or ; cette ceinture d'ordonnance. se porte en sautoir pour tous les officiers de quelque grade qu'ils soient se coiffent en petite tenue de la casquette noire ornée d'un simple galon et d'un bouton-cocarde d'or. Les sous-officiers portent seuls des gants. Les hommes de troupe même en grande tenue n'en mettent pas. L'hiver seulement, les soldats font usage de moufles en drap. Chaque régiment possède deux drapeaux, dans l'armée active. Le premier, le drapeau national, est jaune, bordé de triangles alternativement rouges, jaunes et noirs; au centre est brodée l'aigle impériale à deux têtes supportant les écussons de l'Empire austro-hongrois. Le second drapeau est blanc ; il porte sur une face l'aigle impériale et sur l'autre les armes du pays auquel appartient le régiment. Les régiments de la landwehr cisleithane ont le drapeau blanc de l'armée active. Ceux de la landwehr hongroise portent le drapeau blanc avec une bordure aux couleurs nationales, rouge, blanc et vert, disposées en triangles alternatifs. et au centre les armes de la Hongrie ou de la Croatie, suivant le cas.

lesofficiers


Jetons un rapide coup d'oeil sur les décorations fort nombreuses et dont quelquesunes dérivent directement des anciens ordres de chevalerie : Ordre de Saint-Jean de Jérusalem (ou de Malte), qui remonte à 1048 ; Teutonique, qui date de 1191 ; — (autrichien) de la Toison d'or, qui fut créé en 1429 ; — militaire de Marie-Thérèse, dont le ruban est noir ; — de Saint-Étienne, ruban lie de vin bordé de vert ; — de Léopold, au ruban rouge bordé de blanc; — fer ; le ruban en est jaune bordé de la Couronne de — très jolie forme, est destinée à de bleu. Cette décoration, elle porte au revers la récompenser les services inscription : Avita et aucta ; dote de 1815. Le crachat ruban rouge; Ordre de Croix de mérite militaire en 1849 ; Croix du mérite pieux, argent, destinée aux aumôniers militaires, au ruban rayé Officier de cavalerie, rouge et blanc; Médaille de bravoure, or ou argent; Croix de bon et loyal service pour les officiers ; pour la troupe ; — — (Les rubans de ces deux dernières croix sont jaune bordé de noir) ; Médaille commémorative de la campagne de 1864 en Danemark, ruban jaune, noir et blanc ; Médaille commémorative de la défense du Tyrol en 1848, ruban vert et blanc; de la défense du Tyrol en 1866, ruban rouge et blanc; — de guerre créée en 1873, à l'occasion du 25e anniversaire du couronnement — de l'Empereur François-Joseph et dont le ruban est à fond jaune bordé de deux larges raies noires réunies par de petites raies noires transversales.

;orou

d'une deguerre;

portecette François-Joseph,

créée

Entrons maintenant dans les détails de l'organisation générale. Nous avons dit que l'Empire austro-hongrois se compose de : 1° L'Autriche proprement dite, ou pays cisleithans, c'est-à-dire à l'ouest de la Leitha,


auxquels on rattache la Dalmatie, la Bukovine et la Galicie. Les pays cisleithans sont régis par le ; 2° Les pays transleithans, qui comprennent la Hongrie, la Transylvanie, la Croatie, l'Esclavonie,

REICHSRATH

pays administrés par

le

REICHSTAG ;

La Bosnie et l'Herzégovine, considérés comme pays occupés et qui sont soumis au régime politique. 3°

Le

REICHSRATH

et le

REICHSTAG

votent chacun un budget distinct. Ces budgets sont ensuite soumis au vote des DÉLÉGATIONS, qui opèrent pour la totalité de l'Empire. Cette division politique s'applique également à l'armée, qui, outre l'armée commune, se décompose en

:

LANDESSCHUTZEN DU TYROL ET DU VORARLBERG, TROUPES SPÉCIALES DE LA BOSNIE

ET DE L'HERZÉGOVINE.


Toutes ces troupes sont sous l'autorité de trois ministères : 1° Le ministère de la guerre, commun centralisateur et responsable vis-à-vis des

délégations (général d'infanterie baron V. Bauer) ; 2°Le ministère de la défense nationale cisleithane ; 3°Le ministère de là défense nationale transleithane ou honved. L'Empereur et Roi, généralissime de toutes les forces de la monarchie, exerce son autorité par le moyen DE LA MILITAIRE, organe particulier qui lui sert médiaire entre les trois mi-

CHANCELLERIE

d'inter-

Le feld-maréchal

archiduc

Ilde

Albert exerce les

il la

fonctions

ne relève que de l'Empereur la surveillance génépréparation à la guerre). droit la direction de touassiste. et l'archiduc Joseph des attributions corAlbert pour l'armée

principalement (état d'armée a de

d'INSPECTEUR GÉNÉRAL D'ARMÉE.

et ses attributions sont

rale du KRIEGSBEREITSCHAFT L'inspecteur général tes les manoeuvres auxquelles L'archiduc Regnier en en Transleithanie, ont pour respondantes à celles de

Cisleithanie landwehr

l'ar-chiduc

a

INSPECTEURS

Il existe en outre 5 GÉNÉRAUX PERMANENTS dont le pour la cavalerie. La loi de recrutement de la monarchie austro-hongroise date du 5 décembre 1868, elle été remaniée et modifiée en 1882 (1) et depuis 1873 à toute la monarchie. Avant cette dernière époque, les pays appelés CONFINS MILITAIRES étaient encore régis par des institutions qui remontaient au règne de Marie-Thérèse. pour tous des individus capables « Aux termes de cette loi, le service est obligatoire de porter les armes, depuis dix-neufjusqu'à quarante-deux ans révolus, et même jusqu'à soixante ans pour les anciens officiers ou employés militaires, assimilés en nonactivité ou en retraite. Il n'est admis aucune espèce d'exemption complète du service, pas même en faveur du clergé. » (Colonel S. Rau, État militaire des principales puissances étrangères.) Chaque année a lieu le classement pour les différentes armes. Les 12 années de service se décomposent, en 3 années dansd'armée active, 7 dans la réserve et 2 dans la landwehr. Tous les individus n'atteignant pas la taille réglementaire de 1m 55 sont déclarés impropres pour le service.

s'applique

(1) Cette loi

a été complétée en 1886 pour la landsturm et remaniée de nouveau en 1889.


Un certain nombre de jeunes gens sont chaque année ajournés à un ou deux ans, si leur constitution n'est pas jugée comme suffisamment développée.

Les contingents annuels sont divisés ensuite ainsi qu'il suit

:

jusqu'à nouvel ordre dispensés de tout service. Ceux de ces jeunes gens qui se destinent à d'état ecclésiastique sont mis en congé immédiatement après leur tirage au sort, et, dès qu'ils ont été ordonnés, ils sont classés comme aumôniers militaires pour y rester inscrits pendant les 12 années qu'ils doivent à l'État. La deuxième portion du contingent est formée par les numéros de tirage au sort qui suivent immédiatementceux de la première portion. Cette deuxième portion est habituellementfixée au 1/10 du contingent de l'armée active. Elle constitue ce qu'on nomme l'Ersatz-Reserve (réserve de recrutement). Les hommes versés dans l'Ersatz-Reserve peuvent être appelés à compléter le nombre des hommes bons pour le service, dans l'armée active, au cas où ce nombre ne serait pas suffisant pour parfaire le contingent. Au bout de la quatrième année, ils passent définitivement dans la réserve et y accomplissent les douze années de services exigées par la loi. Les hommes de l'Ersatz-Reserve reçoivent, avec les autres dispensés dont nous avons parlé plus haut, une instruction militaire d'une durée de huit semaines.


suffisant, soit d'hommes désignés à tour de rôle pour entretenir cette force permanente au moyen d'un roulement organisé de façon à faire passer à chaque militaire quelques mois au service. De même que dans les pays allemands, les hommes qui sont versés directement dans la landwehr commencent par recevoir tous une instruction préparatoire de huit semaines. Après cette instruction, ils sont renvoyés dans leurs foyers, d'où ils peuvent être rappelés pour des exercices d'une durée de cinq semaines au plus, et cela, cinq fois en tout pendant leurs cinq années de service. Enfin à l'armée active, à la réserve et à la landwehr viendraient s'ajouter, en cas de guerre, les corps de la LANDSTURM. Cette landsturm devrait être exclusivement formée avec des volontaires. En Autriche-Hongrie,de volontariat d'un an existe, comme en Allemagne. La classe des engagés volontaires est formée par les jeunes gens ayant dix-sept ans, qui ont obtenu un certificat de fin d'études ou passé l'examen indiqué. Ces jeunes gens peuvent dans certains cas être autorisés à retarder leur incorporation jusqu'à leur vingt-cinquième année. Les engagés volontaires doivent s'habiller et se nourrir à leurs frais, ils choisissent le corps dans lequel ils veulent servir. Leur année de service terminée, les volontaires sont classés dans la réserve pendant neuf ans, puis dans la land wehr pendant deux ans. Enfin, comme dernière disposition de la loi de recrutement, les hommes de dix-sept à trente-six ans, libres de toute obligation dans l'armée active ouï la réserve, peuvent contracter un engagement volontaire de trois ans. Dans l'armée active, les soldats et des sous-officiers qui ont terminé leurs trois ans de service effectif peuvent être admis à contracter des rengagements successifs d'un an jusqu'à l'âge de trentesix ans. Le recrutement des officiers est fourni- par le corps des Cadets, qui proviennent en général des nombreuses écoles de cadets (1) instituées en Autriche-Hongrie. Mais on peut se présenter simplement aux examens de sortie de ces écoles, et si l'on satisfait à ces examens, on acquiert par cela même les droits des élèves des écoles. La durée des cours des écoles est de quatre ans; mais suivant les facultés et l'instruction de l'élève, ces quatre années peuvent être réduites à trois et même à deux ans. Des examens d'entrée fixent la classe où doit être admis le candidat. (1)

L'école des cadets pour la cavalerie est à Weisskirchen.


ARCHER DE LA GARDE DU CORPS.



sont nommés suppléants-officiers ; les autres reçoivent, en attendant, des grades honoraires et même des grades effectifs de sous-officiers. Mais les grades honoraires ne comportent que les insignes et le rang, sans les fonctions ni la solde. Les cadets suppléants-officiers sont promus sous-lieutenants à. l'ancienneté et au choix, après avoir été au préalable acceptés par le corps d'officiers de leur futur régiment. Le corps des cadets fournit environ les 5/6 des officiers, le dernier sixième étant donné par les ÉCOLES SPÉCIALES, de Wiener-Neustadt pour l'infanterie, la cavalerie et les pionniers, et de Vienne pour l'artillerie et le génie. La durée des cours de ces écoles est de trois ans, au bout desquels on est promu officier, après avoir toutefois satisfait aux examens réglementaires. L'avancement a lieu ensuite partie au choix et partie à l'ancienneté, la proportion étant de 5 sur 6 à l'ancienneté pour les grades inférieurs, et de 3 sur 4 pour les grades supérieurs. L'avancement au choix n'est donné qu'aux lieutenants et capitaines ayant passé par l'école de guerre et y ayant suivi des cours de deux ans, cours qui se terminent par des examens. L'avancement à l'ancienneté n'a lieu que d'après les notes des commissions annuelles. En outre, les capitaines ne peuvent passer majors, à l'ancienneté, qu'après avoir passé avec succès un examen réglementaire. Les officiers supérieurs : majors, lieutenants-colonels et colonels ne peuvent être proposés au choix que s'ils réunissent l'unanimité des voix des officiers composant les commissions annuelles.


Ces commissions sont, pour chaque grade, composées d'officiers

du grade immédiate-

ment supérieur à celui de l'officier qu'ils ont à noter. La solde, la fameuse solde du soldat « dans le service de l'Autriche... » ne comprend que les centimes de poche ; elle est de 0, 25 pour toutes des armes et tous les services, sauf pour les troupes techniques dont nous n'avons pas à nous occuper ici. Comme il y existe peu de casernes (1) et de quartiers, les troupes sont généralementlogées soit dans des bâtiments prêtés par l'autorité civile, soit même chez l'habitant. Le système d'alimentation du soldat autrichien est donc assez variable. Dans les conditionsnormales, les vivres sont, comme dans les autres pays,, distribués en nature ; dans quelques endroits de soldat est nourri par l'habitant chez lequel il loge ; enfin, les troupes peuvent percevoir une indemnité d'ordinaire dont le taux, variant en maison du cours du marché, est fixé chaque mois. Lorsque les vivres sont touchés en nature, voici quelles en sont les quantités journalières — 1 ration de viande : 187 grammes de viande fraîche ; 1 ration de légumes : 500 grammesde pommes de terre, où 120 grammes de lentilles, ou pois secs, mélangés de 104 grammes de gruau de sarrasin et de 120 grammes de gruau d'orge ; 4/7 de ; centilitre de ; 17 de grammes 9 grammes de saindoux; 7 grammes d'oignons, ou 5 décigrammes de poivre. La ration de pain est 875 grammes, celle de biscuit est de 500 grammes. ne reçoivent pas la ration « Les troupes en ; le soldat droit à a en nature, sont nourries plat de légumes variant 280 grammes de viande et un suivant les Cette nourriture est rembourusages locaux. logement, le chauffage et l'ésée à l'habitant, ainsi que tous les ans. clairage, d'après un tarif hiver et en été ; le soldat re« La ration d'étape varie çoit : Dragon ; régiment n° 8.

haricots

vinaigre sel ;

de

àen le

d'ail, marche, qui chez l'habitant

pu-blié

(1)Les sous-officiers, au-dessous du grade de sergent-major couchent dans la même chambre que. la troupe; leur lit est séparé de celui des hommes, et ils peuvent s'isoler au moyen de rideaux. Les sous-officiers mariés, à partir du grade de sergent-majoront droit à un logement de sous-officier,composé de : une grande chambre, une cuisine, un bûcher et un grenier.


Pour le déjeuner : 6 centilitres de rhum ou 9 centilitres d'eau-de-vie, ou 35 centilitres de vin, ou « 18 centilitres de café noir, ou bien une soupe de farine grillée faite avec 20 grammes de farine de froment, 8 grammes de saindoux et 2 grammes de cumin. dîner : 280 grammes de viande fraîche avec un tiers de litre de bouillon « Pour le viande fraîche peut être remet une ration de légumes. La placée par de la semoule ou par des conserves. souper : de viande fraîche « Pour le D'HIVER. « RATION

deviande 140 grammes diffère de centilitres devin

la précédente que pour le soune de rhum, 9 centilitres per, qui se compose de 6 d'eau-de-vie, 35 centilitres ou 71 centilitres de bière. alaux troupes pendant les « Cette ration d'étape est on y ajoute une ration de tamanoeuvres. En campagne, bac de 36 grammes: sous forme de tablettes « La soupe de farine qui n'exigent que quelques minutes pour la préparation. « Comme vivres de sac, on délivre à chaque homme une boîte de viande de conserve qui n'est consommée que le dernier jour des manoeuvres, comme vivres de gratifi«

LA RATION D'ÉTÉ

louée

estdonnée

cation. Pour que chaque homme, en arrivant au cantonnement ou au bivouac, puisse « prendre aussitôt un léger repas chaud, sans être astreint à attendre la distribution du pain et la préparation du dîner, il est alloué journellement une tablette de conserve de purée de pois, qui n'exige pour sa cuisson, que quelques morceaux de bois secs (1). » REMONTE ET CONSCRIPTION DES CHEVAUX.

Les premiers dépôts de remonte proprement dits n'ont été créés en Autriche qu'en

à Piber, en Styrie, et en 1881, à Billak, en Transylvanie, à titre d'essai. Les chevaux sont achetés dans les pays de la monarchie à l'âge de quatre ou cinq

1879,

ans, soit par des commissions permanentes d'achats qui les livrent directement aux corps de troupe, soit par les corps de troupe eux-mêmes. (1)

Lieutenant colonel Dailly, Uniformes de l'armée autrichienne.


L'effectif de paix est d'environ 40.000 chevaux pour la cavalerie, sur lesquels 1.500 environ sont comptés comme appartenant aux fractions actives de la cavalerie honved : Jusqu'au grade de capitaine exclusivement, les officiers sont remontés à leurs frais. A partir du grade de capitaine, les officiers se remontent à leurs frais en ayant le droit de choisir leurs montures parmi les chevaux des corps de troupe. La durée moyenne d'un cheval est fixée à neuf ans, la remonte annuelle est donc du 1/9e de l'effectif. La population chevaline de la monarchie est estimée à environ 3.500.000 che-

vaux. Les pays les plus riches en ressources chevalines sont la Hongrie proprement dite et la Galicie. Ces pays fournissent la race très estimée des chevaux hongrois, dérivant des races orientales. En 1877, un assez grand nombre de chevaux hongrois furent achetés pour être mis en service, à titre d'essai, dans la cavalerie française. Ceux qu'il m'a été donné de voir, au-18e régiment de dragons, dont je faisais partie à cette époque, n'eurent pas, si mes souvenirs sont exacts, un très grand succès, et soit que l'on n'eût acheté que des sujets inférieurs, soit pour d'autres motifs, les achats ne furent pas renouvelés. Vers cette même époque, en 1878, eut lieu l'exposition universelle; celle des chevaux se tint dans des baraquements construits sur l'esplanade des Invalides, et un assez fort détachement de chevaux hongrois, conduits et soignés par des hommes du pays portant le costume national, y figurèrent. Sauf un peu plus de distinction chez les sujets, ces chevaux étaient bien en tout point semblables à ceux que nous avions en essai ; même finesse du poil, même degré très appréciable de sang et de race, très bel oeil, doux et limpide. Mais, en général tête busquée, croupe en pupitre et faiblesse relative des membres inférieurs. En somme, si l'essai demeura sans résultat, il faut dire qu'il fut fort incomplet, au moins pour notre régiment. En Hongrie et dans toute la monarchie autrichienne, l'élevage est l'objet des plus grands soins. Ces croisementsfaits avec un soin fortjudicieux sont admirablement réglés, et dans ce but on achète constamment des étalons anglais, arabes, normands, etc. Les haras sont du reste une institutionabsolument militaire, dirigée par un corps d'officiers appartenant à l'armée et portant ainsi que les soldats sous leurs ordres l'uniforme de hussards avec la pelisse marron. La BRANCHE MILITAIRE DES HARAS, c'est le nom que porte ce service, compte environ 150 officiers et 5.000 hommes de troupe. Le haras le plus important, celui de Mezohegyes, en Hongrie, compte jusqu'à 8.000 chevaux. C'est dans le haras de Mezohegyes qu'est élevée la fameuse race de chevaux dont l'origine remonte, prétend-on, aux Romains. Cette race célèbre se divise en deux branches, l'une dérivant » de l'étalon arabe Gidras, l'autre d'un étalon anglo-normand appelé Nonius. Les produits du haras de Mezohegyes portent le


«

LEIB-GARDE-REITER

».



nom de l'un de ces glorieux ancêtres suivant qu'ils descendent de l'un ou de l'autre. Une autre réunion de chevaux fort intéressante est le célèbre manège de la Cour, à Vienne. L'Empereur y entretient une fort brillante écurie dans laquelle sont un certain nombre de purs sangs espagnols, dont les croisements donnent lieu à des très recherchés.

de ont

produits trois

chevaux descendent fameux étalons : Con versano, Majestoso et Pluto. Ces 3 chevaux espagnols également" produit des dans les haras de Kladrubb races renommées élevées et de Lipizza. Pour la mobilisation, le completnécessaire, évalué à environ 150.000 animaux pour l'armée permanente, 15.000 pour landwehr et 20.000 pour l'armée honved), doit fourni par la réquisition. La loi de conscription des date de 1873. En voici, d'après M. Rau, d'état-major, les principales dispositions : général des ressour« Tous les ans, un soins de l'autorité civile. Ce ces doit être fait par les inspection et d'un classerecensement est suivi ment des animaux auxquels doivent procéder des commissions civiles ; des officiers peuvent d'ailleurs être adjoints à ces commissions, ou même être seuls chargés des opérations, dans le cas où l'autorité politique administrative le demande. D'après les résultats du classement, le ministre de la guerre et les deux ministres de la défense du pays, chacun en ce qui les concerne, procèdent à la répartition des ressources disponibles entre les divers corps au service tant de l'armée que de la landwehr ; et leur attribuent, en conséquence, des portions du territoire pour assurer leur remonte en cas de mobilisation. « Pour l'exécution des réquisitions, le territoire est divisé en circonscriptions de remonte dans lesquelles on organise des commissions mixtes de réception. « Celles-ci se composent d'un officier, ayant seul qualité pour décider si les animaux présents peuvent convenir au service de l'armée, et de membres civils, chargés de prononcer la réquisition des chevaux déclarés bons pour le nombre militaire, jusqu'à concurrence du chiffre des besoins. « Ces membres civils fixent en même temps, sur place, le montant de l'indemnité à allouer aux propriétaires dépossédés. « En principe, il ne doit y avoir qu'une seule commission par circonscription de remonte; ce n'est qu'exceptionnellement, lorsque les circonstances l'exigent, qu'on peut faire fonctionner simultanément plusieurs commissions dans une même circonscrip¬ Ces

la être officier

(115.000

chevaux

recensement Invalide.

d'une


tion, ou n'instituer qu'une seule commission pour plusieurs circonscriptions à la fois. « Le rassemblement des chevaux se fait, au moment du besoin, par, les soins de l'autorité civile, conformément aux indications données à cet égard par l'autorité militaire. de les faire conduire au siège de la commis« Les propriétairesd'animaux sont tenus sion qui opère dans la circonscription. « Au fur et à mesure que les animaux sont réquisitionnés, la commission les livre immédiatement aux détachements que les corps destinataires ont dû envoyer sur les différents points d'où leurs chevaux doivent leur parvenir. »


OFFICIER DE HUSSARDS ; PETITE TENUE.



PRINCIPAUX OFFICIERS

DE LA CAVALERIE AUSTRO-HONGROSSE EN 1892

INSPECTEUR GÉNÉRAL DES ARMÉES IMPÉRIALESET ROYALES:

P. Spilvogl.

S. A. I. et R. Archiduc Albert d'Autriche. AIDES DE CAMP : Comte Breda, chef d'escadrons au

A. von Adam. A. Kopietz.

12e

hussards.

Comte Chotek, chef d'escadrons au 1er dragons. COLONEL DES GARDES DU CORPS IMPÉRIALES ET ROYALES

:

INSPECTEUR GÉNÉRAL DE LA CAVALERIE : Baron Otto von Gagern,feldmaréchal-lieutenant. ADJOINT : E. von

Bohm-Ermolli,chef d'escadrons d'État-major.

PREMIERS ARCHERS DE LA GARDE •DU CORPS IMPÉRIALE ET ROYALE. Créé en 1763.

Prince Joseph de Windisch-Graetz, général de cavalerie, chef durégiment de hussards :

n° 11. Baron Charles von Lederer, feldmaréchal-lieutenant. GARDES-LIEUTENANTS : P. Edl. von Ther, feldmaréchalGARDE-OBERSTLIEUTENANT :

lieutenant. Baron von Mensshengen, colonel. Joseph Tesach, chef d'escadrons. GARDES-VICE-WACHTMEISTERS : Zuber Edl. von Sommacampagna, chefs d'escadrons. Froschauer von Moosburg und Muhlrain, capitaine. Antoine de Majneri, capitaine. Comte Joseph Auersperg, capitaine. GARDESAVEC LE RANG DE CAPITAINE : H. E. von Schmidt. G. E. von Suess. GARDE-WACHTMEISTER:

V.

Matzner.

Nawratil E. von Kronenschild. Otto E. von Lesonitsky. C.

Prince Constantin de Hohenlohe-Schillingsfürst.

CARDE-CAPITAINE

J. Zohrer. J. von Glass.

M. Scharoch. Cher. G. de Bellmond. Chev. M. von Arenslorff. Chev. J. von Heiss. A. Grimm von Hohenringen.

F. Schmid.

Baron C. von Villani. G. Buml von Schreckenegg. F. Heyda. H.

Grau.

BaronH. Daublebsky von Sterneck zu Ehrenstei. C. Holasek.

L. Benesch. A. Skrem. Chev. H. von Bockmann. Baron B. von Ditfurth. G.

Paulovils.

L. Nechwalsky. Baron F. von Liechtenstern. B. von Lackenbacher. J. Soukup. Comte E. Wurmbrand-Stuppach. Comte J. von Melchiori.

J. Kranzl.

J. von Frankl.

GARDE-ADJUDANT :

A. Emmel. C. Geiger von Klingenberg.

GARDE-MÉDECIN :

Comte J. Auersperg.

Chev. R. von Töply.

GARDE-COMPTABLE :

J. Borde.


GARDE DU CORPS DU ROYAUME DE HONGRIE. Créée en 1760 par l'Impératrice Marie-Thérèse. Réorganisée en 1810.

A. Jaksie. GARDEAVEC LE RANG DE OBERLIEUTENANT:

pary.

Licenciée en 1850. Rétablie en 1867.

GARDE-CAPITAINE

:

Comte Andréas Palffy ab Erdod,

membre de la chambre des Magnats, feldmaréchallieutenant, chef du 8e régiment de hussards. GARDE-OBERSTLIEUTENANT :

Chev. A. von Baccarcich,

général-major. GARDE-LIEUTENANT:

Baron S. Foldvary de Foldvar, gé-

néral-major. GARDES-WACHTMEISTERS:

Baron L. Ambrus de Velencze,

lieutenant-colonel. A. Stoffer de Vecseglo, chef d'escadrons. GARDES-VICE-WACHTMEISTERS:

J. Eolvos de Szeged, chef

d'escadrons. J. Korbass von Sashalom et Baranyalak, capitaine. A. Koreska von Szakoleza, capitaine. Neszter de Mindszent,capitaine. GARDES AVEC LE RANGDE CAPITAINE:

J. Balint de Nemes-

Csó.

J. von Zsarnay. C. Scherz de Csehlesz. C. Harmos-de Hihalom. : J. Szerdahelyi de Ag-Csernyöet Szerduhely. J. Baresay de Nagy-Baresa (membre de la chambre des Magnats). Baron J. von Pàszthory. A. Farkas von Obànfalva. A. Keraus. E. E. von Korbuss. Baron H. Günthervon Sternegg. Comte E. Pàlffy ab Erdöd. Baron L. von Gussich. A. Fellermayer. A. Igallfy von Igaly. J. Soja von Solyomko. M. Novakovic' von Gjuraboj. A. Jagodics de Kernyécsa. T. Bunyodi-Arpashalom. A. Prennschitz von Schützenau. Comte A. Csaky von Keresztszegand Adorjan. F. Borsiezky. D. Sajatovie. E. Szimic' Edl. von Majdangrad. A. Zgorski. J. von Koszeghy. S. Manojlovic'. Chev. A. von Denkslein. C.

Puntigam.

GARDE-ADJUDANT:

GARDE-MÉDECIN: J. GARDE-COMPTABLE:

J. von Paszthory.

Habart. A. Sievert.

ESCADRON DE LA GARDE DU CORPS IMPÉRIALE ET ROYALE. Créé en 1849.

Prince Emerich de Thurn et Taxis (membre de la Chambre des seigneurs), chef du 3e régiment de hussards. GARDE-ESCADRONS-COMMANDANT. : J. Gorgeyde Gorgö et Topporez, lieutenant-colonel. GARDE-RITTMEISTER : Prince E. de Schonburg-Hartenstein. GARDES-OBERSTLIEUTENANTS: Prince A. de Lobkowitz. GARDE-CAPITAINE :

Comte F. Kinsky. Baron C. de Vaux. GARDE-LIEUTENANT :

N. A. Troszt. H. Kiener.

GARDE-HOF-STABS-ADJUDANT : GARDE-COMPTABLE:

CORPS D'ARMÉE.

1er

DIVISION DES TROUPES DE CAVALERIE, à CRACOVIE.

Baron G. von Wersebe, feldmaréchallieutenant. 11e Brigade (2e et 11e Hulans), à TARNOW. COMMANDANT : Comte E. de Lippe-Weissenfeld, généralmajor. COMMANDANT :

20e Brigade (12e Dragons et 1er Hulans), à CRACOVIE. COMMANDANT : Baron C. von Mertens, général-major. 2e CORPS

D'ARMÉE.

DIVISION DES TROUPES DE CAVALERIE, à VIENNE.

W.

COMMANDANT :

10e

Brigade

Gradl, feldmaréchal-lieutenant.

(3e, 6e

et 13e Dragons), à VIENNE.

Chev. J. Bordolo von Boreo, général-

COMMANDANT :

major. 17e Brigade (2e Dragons et 5e Hussards). à VIENNE. COMMANDANT : Baron W. von Bothmer, général-major. 3e 3e

CORPS D'ARMÉE.

Brigade (5e Dragons et à

L. Kiss de Szent-Gyorgy- Volgye. Geza von Toth. A. Torok de Erdöd. A. Kiraly de Szathmar. Comte L. Bethlen. Comte O. Wass de Czege.

Baron

Comte A. Sza-

COMMANDANT :

MARBOURG.

CORPS D'ARMÉE.

(4e et 7e Hussards), à BUDAPEST. G. von Robonczy, général-major.

Brigade

COMMANDANT :

Hussards),

Chev. B. von Eisenstein, général-major. 4e

4e

8e


Brigade (10e et 13e Hussards), à

18e

COMMANDANT :

13e CORPS D'ARMÉE.

BUDAPEST.

Baron A. von Norman, colonel du 5e dra-

gons.

13e

Brigade (5e et

CORPS D'ARMÉE.

14e CORPS D'ARMÉE.

16e Brigade (6e, 9e et 11e Hussards), à PRESSBURG. COMMANDANT : G. Georgevits de Apadia, général-major. 6e

Brigade (12e et 14e Hussards), à KASCHAU. COMMANDANT : H. E. von Pokorny, général-major.

COMMANDANT :

C. Zaitsek von Egbell,

8e

COMMANDANT

TEMESVAR.

général-major.

CORPS D'ARMÉE.

Brigade (7e et

8e

14e

RÉGIMENTS DE CAVALERIE DE LIGNE. 1er DRAGONS, DE LA BOHÊME,

à

CORPS D'ARMÉE.

Brigade (3e et 15e Hussards), à

7e

4e et 15e Dragons.

CORPS D'ARMÉE.

6e

7e

AGRAM.

Comte H. Lamberg, général-major.

COMMANDANT :

5e

12e Hullans), à

Dragons), à

PRAGUE.

: Comte H. Wurmbrand-Stuppach,colonel

du 1er dragons.

THERESIENSTADT

et

POSTELBERG.

Créé en 1768 comme 2e régimentde carabiniers. — 1798, 1er cuiras-

siers. — 1867, 1er dragons.

CHEF NOMINAL :

François Ier, Empereur d'Autriche

(mort en 1835). CHEF : S. M. L'Empereur François-Joseph. OBERST : Comte H. WurmbrandStuppach, commandant la 8e brigade de cavalerie. OBERSTLIEUTENANTS : C. Weiss, commandant le régi-

ment. 9e

CORPS D'ARMÉE.

Brigade (1er et

9e

COMMANDANT :

8e Dragons), à PARDUBITZ. Comte A. Paar, général-major.

10e

CORPS-D'ARMÉE.

COMMANDANT :

14e

Hulans),

à

3e

Hulans),

von Risch. Koneczny.

H.

Wenke.

Prince Zdenko de Lobkowitz. R. von Froreich. Comte O. Huyyn.

CORPS D'ARMÉE.

2e DRAGONS, DE LA BOHÊME, à WR.-NEUSTADT.

DIVISION DES TROUPES DE CAVALERIE, à LÉOPOL.

Baron II. von Lohneysen,feldmaréchallieutenant. 15e Brigade (9e et 10e Dragons), à TARNOPOL. COMMANDANT : Baron J. von Ripp, général-major. COMMANDANT :

21e Brigade (7e, 8e

et 13e Hulans), à

LÉOPOL.

Chev. O. Gorger von St.-Jorgen, général-

COMMANDANT :

major. 12e 12e

Brigade (1er et

COMMANDANT :

gons.

Chev.

2e

1672

CHEF

Comte

:

1798, 2e

L. Powa, président de la commission de remonte, n° 4. Comte H. Kalnoky de Korospatak, commandantle régiment.

OBERSTS :

E. von Remiz.

MAJOR : Baron E. von Magdeburg. RITTMEISTERS : H. Janoch.

R. Clausnilz.

HERMANNSTADT.

7e

dra-

cuiras-

E. Paar, général de cavalerie.

E. Poten.

Hussards),

E. von Engel, colonel du

comme régiment de cuirassiers. — siers.— 1867, 2e dragons.

Créé en

OBERSTLIEUTENANTS: M.

CORPS D'ARMÉE. à

von Audritzky.

C. von Risch.

RZESZOW.

N.

11e

R.

A. Dietl. Chev. S. von Wiszniowski. Baron W. Giesl von Gieslingen.

J. E.

Comte A. Hübner, général-major.

Brigade (16e Hussards et

COMMANDANT :

6e

Baron

RITTMEISTERS :

E. Weinmann.

à JAROSLAU. COMMANDANT: L. Hegedüs de Tiszavölgy, général-major.

Brigade (11e Dragons, 4e et à JAROSLAU.

Comte E. Chotek. A. Fritsch.

DIVISION DES TROUPES DE CAVALERIE,

5e

E. von Pflügl. MAJORS : F. Herb Edl. von Houblon. R.

Baron E. Unterrichter von Rechtenthal. S. Danek.


A. Groterjahn. A. Dischendorfer V. Loimann. E. Korber. Chev. M. von Stenilzer. H. E. von Istler.

P. Arnold.

F. Haas. J. Jelinek. A. Schranzhofer. A. Tränkel. Chev. S. von Ursyn-Pruszynski.

S. Driancourt. H Schaffgotsch von Kynast, baron de Trachenberg.

O. Mold

E. von Molheim.

5e DRAGONS, DE LA STYRIE-CARINTHIE-CARNIOLE, 3e DRAGONS, DE LA BASSE-AUTRICHE,

à

STOCKERAU.

Créé en 1768 comme 1er rég. de carabiniers. —1798, 3e cuirassiers. — 1867, 3e dragons.

CHEF : S. M. Albert, Roi de Saxe. OBERST : J. Freund, commandant le OBERSTLIEUTENANTS: S.

MARBURG.

Créé on 1721 comme régiment de cuirassiers. — 1798-1802, 9e puis 5e cuirassiers. — 1867, 5e dragons. CHEF NOMINAL : Nicolas Ier,Empereur de Russie. OBERSTS: Baron A. von Norman, commandant la 18e

régiment.

A. R. Prince Frédéric-Auguste,

duc en Saxe. J. Sahlogl E. von Ehrenkreuz. MAJOR : Chev. V. von Jaworski. RITTMEISTERS : J. Grossmann. S. Davidov. G. Herrmann.

brigade de cavalerie. H. E. von Schulheim, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANTS: C.

Renner.

A. Ströhr. MAJOR : A. Kaiser. RITTMETSTERS: J. Krenn.

von Sagburg. A. Werner. W.

O.

C. Heiss.

L. Metzler. Comte F. Alberti de Poja. Chev. E. von Herbert. Chev. E. Taulow von Rosenthal. A. Henke. Baron M. von Lilien. W. E. von Swogetinsky. J. Teufel. R. Smutny. Baron T. von Leonhardi. Comte A. Bylandt-Rheidt. Baron A. von Graff. Baron F. von Cnobloch. A. von Euen. Chev. L. von Friedel. 4e DRAGONS, DE LA HAUTE-AUTRICHE,

à ENNS. Créé eu 1672 comme régiment de cuirassiers. — 1798, 12e cuiras-

siers. — 1802, 4e cuirassiers. — 1867, 4e dragons.

CHEF NOMINAL Ferdinand Ier, CHEF : Archiduc Albert.

Empereur d'Autriche.

Baron F. von Weigelsperg, commandant le régiment.

OBERST :

OBERSTLIEUTENANT: MAJOR : Chev. RITTMEISTERS :

à

Wittmann. E. Berghofer. Chev. F. von Nalepa. C. Fuchs. Comte H. Hohenwart zu Gerlachstein. Baron J. von Hohenbühel, dit Heufler zu Rasen. A. Hausner. . Baron R. Fellner von Feldegg. G. Welschan.

Loserth. Baron A. Abele von und su Lilienberg. Chev. P. von Springensfeld. G.

DRAGONS, DE LA MORAVIE, à BRUNN et

Crée en 1701 comme régiment de cuirassiers. — De 1798 à 1802. 10e puis 6e

CHEF :

cuirassiers.

6e — 1867,

dragons.

Prince Albert de Prusse, régent du duché de

Brunswick. OBERST : J. Siebert, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANT: E. Rieger. MAJOR : Baron E. Forstner von Dambenois. RITTMEISTERS : F. von Thielau. G. E. von Anthoine. F. Kundmann.

N.

F. Zwackk von Holzhausen.

C. Büchler.

E. Riller.

A. Wagner. Baron M. von Weber. G.E. von Lehmann. A. Petschig. Chev. R. Maurig von Sarnfeld.

N. Adzia. A. Oxenbauer. Chev. A. Pechmann von Massen. Comte F. Folliot de Crenneville-Poulet. Baron H. von Gemmingen.

GOEDING.

E.Wojtéchowsky.


OFFICIER DE DRAGONS; 1838.



BOHÊME,à BRANDEIS-SUR-L'ELBE, 7e DRAGONS, DE LA

9e DRAGONS, DE LA GALICIE

à

PRAGUE, ALTBUNZLAU.

cuirassiers. —

Crée en 1663 comme régiment de

siers. — 1867,

CHEF NOMINAL

7e

1798, 7e cuiras-

dragons.

Charles V, duc de Lorraine et de Bar

:

(mort en 1690). OBERSTS :

Chev.

E. von Engel, commandant la 12e bri-

gade de cavalerie. Comte M. Attems, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANTS: Comte M. Orsini et Rosenberg. A. E. von Remiz. MAJOR :

J. Lusar.

Hanusz. J. Fleischmann von Theissruck.

RITTMEISTERS : C.

Pizzighelli. F. Barth E. von Wehrenalp. Chev. J. Hubalius von Kottnov. O.

Hirsch. Baron A. von Schuster. Baron E. Schröckinger von Neudenberg. Baron A von Abele. M.

et

Comte Raymond de Montecuccoli, duc de

Melfi, feldmaréchal (mort en 1681). CHEF : Comte Leopold Sternberg, général de cavalerie. OBERST : J. Bayer von Bayersburg, commandant le T. Schwarz E. von Sawall. MAJOR : C. Moschitz. RITTMEISTERS : Comte F. Alberti de Poja. Baron E. von Tomaschek.

F. Prziza. Baron

M.

von Falkenstein.

Peter Baie'.

Baron C.

F.

Burkhardt von der Klee.

Kozurik,

Comte F. Nostitz-Rieneck. C. von Roth. A. Kühne.

Landsteiner. II. Korber. Comte L. von Hoditz und Wolframitz. C. Smutny. Baron A. von Dachenhausen. H.

Chev. C. von Pollini. A. Friesz.

MAJOR :

Baron E. von Thüngen.

D. Perpic'.

RITTMEISTERS :

J.

Wolff.

Baron H. von Gehring. J. Hrehorowicz. P. Opaczic'. J. Iskierski. A. Rotter. R. Morgenstern. Baron C. von Kirchbach. T. Szaszkiewicz.

DRAGONS, DE LA GALICIE, à TARNOPOL, TREMBOWLA

— 1867, 8e dragons.

OBERSTLIEUTENANT:

OBERSTLIEUTENANT :

10e

Recruté en 1618 pour du grand-duc Cosme II de Médicis. — Pris au service de l'Empire en 1619 et complété avec 200 cuirassiers et 300 arquebusiers. — Devenu, en 1620, le régiment d'arquebusiers,et réforméen 1623.—1626,cuirassiers. —1798, 8e cuirassiers.

régiment.

1682 comme régiment de cuirassiers. — 1798-1802,dragons légers puis 1er dragons. — 1860, 9e cuirassiers. — 1867, 9e dragons. CHEF : Baron E. Piret de Bihaïn, général de cavalerie. OBERST : F. Weiss, commandant le régiment.

Créé en

E. Hanikirz. Comte F. Thun-Hohenstein.

KÖNIGGRAETZ.

:

NEU-ZUCZKA.

Chev. B. von Arenstorff.

Przyborski. Chev. M. von Flick. A. Riegler.

CHEF NOMINAL

et

J. Frey.

G.

8e DRAGONS, DE LA BOHÊME, à PARDUBITZ

CZERNOWITZ

ET BUKOVINE,

et

STANISLAU.

Créé en 1640 comme régiment de dragons. — 1773, chevau-légers. — 1798, 12e dragons légers. — 1802, 5e chevau-légers. — 1851, 8e hulans.—1873, 10e dragons.

CHEF NOMINAL :

Prince Jean-Joseph de Liechtenstein,

feldmaréchal (mort en 1836).

Prince de Montenuovo, général de. cavalerie. OBERST : Chev. J. von Zaleski, commandant le régiment.

CHEF :

A. Seyd. MAJOR : A. Weiss von Weissenfeld. RITTMEISTERS : R. Delena. A. Hoppe. OBERTSLIEUTENANT:

J. Pollo. J. Moser. AE.

Kleeberg.

D. Tarangul. Baron J. von Bamberg. A. E. von Goebel. L. E. von Zalenski. Chev. C. Ofenheim von Ponteuxin. A. Baumann.

L. Longardt. L. Srnka. 11e DRAGONS, DE LA MORAVIE, et LÉOPOL.

à

GRODEK, HRUSZOW

Créé en 1688 comme régiment de dragons. — 1798, 8e dragons légers. — 1802, 3e dragons. — 1860, 11e cuirassiers. — 1860, 11e dragons.

CHEF

:

S.

OBERSTS :

M.

l'Empereur François-Joseph.

J. Huber

von Penig.

H. Pauer, commandant le régiment.


J. Edenberger.

F. Bayer von Bayersburg.

Chev. E. von Czerny. A. Hubrich.

F. von Liel.

E. Fischer.

OBERSTLIEUTENANTS:

MAJOR :

N.

A. Spallek. W. Mendelein.

Schramek.

RITTMEISTERS : C.

Baron F. Dahlen von Orlaburg.

B. Pollo.

Chev. J. Regner von Bleyleben. Baron E. Fleissner von Wostrowitz, Comte M. Thun-Hohenstein.

Z. Pokorny.

J. Mikulaszek. A. Fuchs. F. von Gortz. Baron C. von Wallisch. I. E. von Korda. A. Kuezera. C. Dydynski E. von Martynowicz. Chev. C. von Kleyle.

14e DRAGONS, DE LA BOHÊME,

à

Créé en 1725 comme dragons. —1760, chevau-légers. — 1765, dragons. — 1791, chevau-légers.— 1798, 11e dragons légers. — 1802, 4e chevau-légers—1851;7e dragons. —1854, 8e dragons. —1860,

F. Eichinger.

2e dragons. — 1867, 14e dragons.

12e DRAGONS, DE LA MORAVIE ET SILÉSIE, à OLMUTZ et BISENZ. Créé en 1798 comme 12e cuirassiers,puis dénommé 6e cuirassiers. cuirassiers. 1867, — 1802, 6e dragons. —1860, de nouveau 12e 12e

dragons.

ComteErwin von Neipperg, général de cavalerie. OBERST : Adolf von Hagen, commandant le régiment. CHEF

:

OBERSTLIEUTENANT: MAJOR : F. Erbes.

N.

C. Blasius. R. Mertelmeyer. E. Albrecht. M. von Gortz. Baron L. Unterrichter von Rechtenthal. E. Swoboda. Comte L. Cavriani.

RITTMEISTERS :

L. E. von Prager. W. Anisch. A. von Belnay. J. Barisch. F. Innerhofer von Innhof. A. Hilvety. F. Strobl E. von Ravelsberg. Baron H. von Palm. 13e DRAGONS, DE LA BOHÊME,

et

F. Botschan.

Chev. F. von Urban. Comte P. Wurmbrand-Stuppach. S. von Ettingshausen. C. Schwarz.

Baron A. von Koller. J. Hruby. 15E

DRAGONS, DE LA BASSE-AUTRICHE ET DE LA MORAVIE, à WELS.

Baron A. von Bechtolsheim, feldmaréchal-lieute-

OBERST :

Comte Carl Auersperg, commandant le

régi-

ment. OBERSTLIEUTENANT: Baron M. MAJOR : H. von Mandelsloh.

à

VIENNE

Prince Eugène de Savoie, comte de Soissons, lieutenant général (mort en. 1736). OBERST : Baron V. von-Kraus, commandant le régiment.

V. Edelmann.

Comte C. de Solms-Wildenfels. Baron E. von Hartelmüller. F. Sachse von Rothenberg.

RITTMEISTERS :

nant.

CHEF NOMINAL :

Baron E. von Hagen.

A. Schwartz. RITTMEISTERS : A. Riedel. Comte A. Bigot de Saint-Quentin.

Prince Albert de Windisch-Graetz,feld-

maréchal (mort en 1862). OBERST : Chev. R. von Brudermann, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANT: Chev. O. Kiwisch von Botterau. MAJOR : W. Gauff.

CHEF :

GROSS-ENZERSDORF.

OBERSTLIEUTENANT:

CHEF NOMINAL :

Crée en 1891.

Créé en 1682.—De 1798 à 1802,13e dragons légers. — De 1802 à 1860, 5° dragons. — De 1860 à 1867, Ier dragons. —1867, 13e dragons.

MAJOR :

KLATTAU et DOBRZAN.

RITTMEISTERS :

von Boineburg-Lengsfeld.

S. A. I. et B. l'archiduc François-Sal-

vator. W. Schokiza. A. Gayer von Gayersfeld. Chev. W. von Wilezynski. A. Ambros Edl. von Rechtenberg. Chev. G. von Urban. C. Skala.

Comte M. Marschall auf Burgholzhausen. Baron M. von Skrbensky von Hrzischye. J. Ostermuth. Comte H. Heussenstamm. Z. Grocholski.


HUSSARDS DE HONGRIE. 1er

HUSSARDS, à

KRONSTADT.

Créé en 1736. CHEF :

S.

OBERST :

L'EmpereurFrançois-Joseph. A. Farkas de Felsö-Eór, commandant le régiM.

ment. OBERSTLIEUTENANT:

E. Turkovits.

Korner.

H.

Chev. C. von Henriquez. W. Gutt. M. Fleischmann von Theissruck. J. Dengler. Chev. H. von Henriquez. Comte E. Toldalagi.

Bachzelt.

M.

A. Sényi de Nagy-Unyom. RITTMEISTERS : A. von Boboczky. Baron C. von Leonhardi. C. Sretkow. MAJOR :

4e HUSSARDS, à MARIA-THERESIOPOL. Créé en 1734.

CHEF

A. Rauscher. Chev. J. Rainer von Lindenbüchl. A. Mariassy de Markus et Batizfalva. A. Dadanyi de Gyulvész.

A. Kendefi. Comte F. von Bissingen und Nippenbury.

E. Röszner.

Crée en 1743. :

N.

OBERST :

T.

valerie. OBERST

:

Baron A. von Lederer, commandant le régi-

ment. OBERSTLIEUTENANT : MAJORS

:

Zalay de Hagyaros, commandant le régi-

A. Sturz.

G. Jovanovic'.

A. Decleva. G. Bach von Klarenbach. J. Ogris. A. Szontagh. Baron A. Vécsey von Véese und Hajnaesko. W.

Niebauer.

G. Hegeler.

ment. Fliesser von Thierstenberg. H. Fontaine von Felsenbrunn. MAJOR : M. Novaczck E. von Rahor. RITTMEISTERS: J. Kaunz. F. Jungnikl. OBERSTLIEUTENANTS : Baron C.

A. Baumayer. F. Békefly von Sallovolgy. Baron F. von Lepel. 5e HUSSARDS,

A. Thomac. A. Hroch. CHEF NOMINAL

von Kopal.

Comte Joseph Radetzkyvon Radetz, feld-

militaire à l'ambassade de Londres.

F. Kornitz. C.

:

maréchal (mort en 1858). OBERSTS : Prince A. Esterhazy von Galantha, attaché

Szilassy de Szilas et Pilis.

W.

à VIENNE.

Créé en 1798.

E. Jäger. O.

N.

RITTMEISTERS :

2e HUSSARDS, à HERMANNSTADT.

CHEF

Baron L. von Edelsheim-Gyulai, général do ca-

:

L. Krauchenberg, commandantle régiment.

Romer von Ravenstein.

E. Merhal. F. Tschurl.

OBERSTLIEUTENANT : MAJORS :

Comte Marenzi de Tagliuno et Talgale, marquis de Val Oliola, baron de Marenzfeldt et Scheneck.

N.

A. Alexander.

J. Schmidt. RITTMEISTERS

:

E. Feigl.

J. Jovanovic'. 3e

HUSSARDS, à

WEISSKIRCHEN

et

GROSS-KIKINDA.

Créé en 1702. CHEF NOMINAL :

Comte A. Hadik von Futak, feldmaré-

chal (mort en 1790). CHEF : Prince Emerich de Thurn et Taxis. OBERST : Gaudernak, commandant le régiment.

J.

L. Maron de Rovid. OBERSTLIEUTENANT: MAJORS :

N.

J. Talarlzy.

II. von Thien. RITTMEISTERS : C.

Jamborffy.

Baron P. von Wernhardt.

F. Swaty.

J. Hauschka von Treuenfels. L. Mieling. T. Wukellic' Edl. von Wukovgrad. O. Redlich.

Marquis A. Pallavicini. R. Beyer.

Baron

W.

von Schnehen.

C. Schlauch.

S. Pronay von Tot-Prona und Blatnieza. N. Kapy von Kapivar. Chev. P. von Goldegg und Lindenburg. Chev. F. Gerstenbergervon Reichsegg. Chev. C. von Hoffinger. E. Horvath de Szt.-György.


6e HUSSARDS,

à

PRESSBURG.

Crée en 1734.

S. M. GuillaumeII, Roi de Wurtemberg. OBERST : J. Nechwalsky, commandant le régiment. CHEF

:

OBERSTLIEUTENANT:

J. Dvoraczek.

F. Tschurl. Baron E. von Schrenk auf Notzing. RITTMEISTERS : F. Rumpf.

MAJORS :

C. Mitiezky de Nemes-Mitiez et Csotörtok. C. Scheff.

Baron S. Apor de Al-Torja. A. Vajda de Raba-Bogyoszlo el Zala-Koppany. F. Ziegler. C. von Jékey.

Schwer. O. Sedlak. J. Kluge. O.

O. Eschwig.

J. von Belnay.

J.

9E

Welkow.

Créé en 1688.

J. Leilgeb. L. Koch. J. von Boroviczenyi. Z. Szabadhegyi de Csallokoz-Megyerts. Prince A. Sulkowski. A. Hatz. J. von Illés.

F. Krainz.

MAJOR :

KECSKEMET et CZEGLED.

Créé en 1798.

Guillaume II, Empereur d'Allemagne. OBERSTS : J. Benkeo de Kezdi-Sarfalva, commandant le régiment. S. A. R. Don Miguel, prince de Bragance. OBERSTLIEUTENANT : J. Ruttkay von Felso nnd AlsoRuttka. MAJORS : I. Kaffka. A. Littke. A. Lonyay de Nagy-Lonya et Vasaros-Namény. M.

F. Stadler uon Gestirner.

S. Uzelac. J. Nagy de Radnolfay.

E. Somogyi von

Gyöngyos.

F. Lessmann. Chev. Th. von Worafka.

E. Zuna. I. Dolnay. W. BardachEdl. von Chlumberg. L. von Elek. Baron A. Schell von Bauschlott. V.

Pulz.

C. Otschinek von Karlsheim.

R. Maldaner. 10e HUSSARDS,

B. von Forster. E. von Kecskéssy. A. Marianlsik. A. Vogler.

à

FULNFKIRCHEN et TOLNA.

Créé en 1741. CHEF NOMINAL

:

Frédéric-Guillaume III, Roi de Prusse

(mort en 1840).

F. Seyff.

OBERSTS : V.

D. Gantzstuckhvon Hammersberg. Comte V. Breda. A. Ebersberg. G. Gibara. A. Müller. Baron

feldmaréchal (mort en 1783). CHEF : Prince Lamoralde Thurn et Taxis, feldmaréchal. OBERSTS : S. A. I. et R. l'archiduc François-Ferdinand, commandant le régiment.

RITTMEISTERS :

HUSSARDS, à

RITTMEISTERS :

8e HUSSARDS, à

Edl. von Teinzmann, commandant le ré-

giment. J. Karoly. OBERSTLIEUTENANT : MAJOR

:

E. Bohus.

S. Dienesch.

RITTMEISTERS : W.

F. von Ulm.

Braun Edl. von Braunwehr.

J. Wandrusch. KLAGENFURT et

SEEBACH.

Créé en 1696.

A. Felzmann. S. von Bacsak. Chev. G. von Henriquez.

: Comte Andreas Palffy ab Erdod. OBERST : G. von Szakonyi, commandant le régiment.

E. Radnilzki.

OBERSTLIEUTENANT: N.

A. Scheuer. A. von Brezovay. Baron H. von Waldegg.

CHEF

Wirth von der Westburg. A. Brandl Edl. von Traubenbach.

MAJORS : R.

RITTMEISTERS : W.

auf Fogaras,

S. Szmrecsanyi de Szmrecsany. Baron P. von Baumgartner von Baumgarten.

C. Lersch.

: S.

Comte F.-L. Nadasdy

:

OBERSTLIEUTENANTS:

Baron A. von Hammerstein Gesmold. 7e

CHEF NOMINAL

J. von Keonczeoll.

J. Balogh de Galantha.

CHEF

HUSSARDS, à OEDENBURG et RAAB.

A. Weeber.

Karger.

F. Manger von Kirchsberg.

C. Tschida.

F. Szluka. N. Baar. Comte M. Strachwitz.


OFFICIER DE HULANS.



11e HUSSARDS,

à

M. Dembicki.

STEINAMANGER.

Créé en 1762.

Prince Joseph de Windisch-Graetz, général de cavalerie. OBERST : Baron W. Kotz von Dobrz, commandant le régiment. CHEF

:

Zientkiewiez. RITTMEISTERS: L. Tschebulz Edl. von Tsebuly. A. von Jékey. OBERSTLIEUTENANT: A.

E. Walther. F. Bene von Röjtok. Comte A. Bombelles. Comte A. Cappy. E. von Suhay. N. von Hodaszy. G. Gaisin. V. Baumann. Blaskovits.

W.

J. Luksandor. C. Bercsenyi.

14e HUSSARDS,

F. Prévost. F. Krill.

à

NYIREGYHAZA.

Créé en 1839.

Baron L. von Hauer. Baron W. von Hauer. Comte G. Wallis, baron de Carighmain. J. Marklowsky von Pernstein. Baron II. von Gablenz-Eskeles. IV. Rieger.

Grand-duc Wladimir de Russie. OBERSTS : A. Lenk von Treuenfeld, commandant le ré CHEF

:

giment. A. Agoston de Kis-Joka. OBERSTLIEUTENANT :

N. Dolleschall.

B. Erben. T. Stupka von Gyorvar. V. von Nagy. W. Reimer.

MAJORS

L. Krautil.

E. Radl. F. Kriszt.

:

F. Lazar. à

12e HUSSARDS,

GYÖNGYÖS

et

MISKOLCZ.

Créé en 1800. CHEF NOMINAL : Albert-Édouard, prince de Galles. OBERST : R. Anderle von Sylor, commandant le

régi-

ment. MAJORS :

J. Hrabouszky von Hrabova.

Comte L. Breda.

J. Kolouch. J. Adler. P. Nagy de Kislegh. Baron B. von Schönberger.

Bartl.

C.

B. Soltesz. O. Heilingotter. J. von Horvath. J. Delinowski.

S. Hager. Schuster.

RITTMEISTERS : H.

Baron H. von Mylius. T. Kubinyi von Felsó-Kubin. A. Pokorny Edl. von Fürstenschild. E. Weber. J. von Riegler. Baron A. von Szegedy-Ensch. Chev. C. von Czaderski. A. von Sponer. 13e

HUSSARDS, à BUDAPEST. Crée en 1839.

CHEF :

N. S. A. I. et R. l'archiduc Eugène, comman-

OBERSTS :

dant le régiment. S. von Kovach.

F. Bessenyey de Galantha. OBERSTLIEUTENANT: N. MAJORS :

J. Herezegh.

Quirini. RITTMEISTERS : E. Weiss. A. von

Baron F. Fekete von Galantha.

15e

HUSSARDS,à DEBRECZIN.

Cré en 1701 comme régiment de dragons. — 1760, chevau-legers. 1798, dragons légers n° 7. — 1802, 2e dra— 1763, dragons. —

gons. — 1860,

13e

10e

hussards.

CHEF :

cuirassiers. —

1867, 10°

dragons.

Comte M. Palffy ab Erdod, feldmaréchal-lieu-

tenant. Ballacs, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANTS : E. Meyer von Mada. V. Mouillard. MAJOR : N. OBERST

:

V.

RITTMEISTERS

:

R. Kranzbauer.

L. Kunzl. L. Mariassy de Markus et Batizfalva. O.

— 1873,

Pachner.

A. Udvarnoky de Kis-Joka. R. Bassler. R. Sebetic'. M. Hoyer. S. von Remenyik. Baron A. Baselli von Süssenberg. P. von Scarpa.

E. Schwarz.


à

16e HUSSARDS, Crue en 1798 comme 10e

CHEF :

RZESZOW

et

GROSSWARDEIN.

13e dragons. — 1802, 6e chevau-légers. — 1831, hulans. — 1873, 16e hussards.

Comte A. Uxküll-Gyllenband, feldmaréchal-lieuT. Pitroff, commandant le régiment.

:

OBERSTLIEUTENANT:

OBERSTLIEUTENANTS:

Comte R. von Arz und zu Vasegg. E. Antosch. R. Nechansky.

RITTMEISTERS

C.

:

MAJOR :

Japp.

Baron A. von Gelan. Chev. H. von Brzozowski. O. Eberle. O. Volckers.

J. Pisulinski.

J. von Tilemann, dit Schenk. E. Kando de Egerfarmos. Comte W. Eckbrecht von Dürckheim-Montmartin. S. von Tajthy.

R. Krauszler. J. Steciuk. 3e HULANS, DE LA GALICIE, à LANÇUT.

J. Kahler. L. Dadanyi de Gyülvesz.

Crée on CHEF NOMINAL

Chev. L. von Allram. L. Hor wath. Chev. A. Peteani von Steinberg. A. Tokarski. T. Ilosvay von Nayy-Ilosva. F. Malskasi von Tinkova. 1er HULANS,

à

OBERST

Archiduc Charles, feldmaréchal (mort

C. Morawetz von Moranow, commandant le

:

régiment.

J. Longurd.

OBERSTLIEUTENANT :

J. Creutzer. RITTMEISTERS: J. Turkovic'. J. Gryziecki.

MAJOR :

DE LA GALICIE,

CHACOVIE et KOBIERZYN.

de chevau-légers.

N.

A. Berzeviczy de Berzevieze et Kakas-Lomnitz. Comte A. Nostitz-Rieneck, commandant le régiment. :

Mayhirt.

OBERSTLIEUTENANTS :

:

E. Schediwy.

Fischer.

G.

J. Kunkel. C. Hanl Edl. von Kirchtreu.

R. Henike. H. Smolik.

E. Luy. Chev. E. von Zaremba. A. Heidmann. Comte M. Ledochowski.

E. Mayer.

J. Kutschka. MAJOR : F. Flanderka.

4e HULANS, DE LA GALICIE,

A. Holmes. G. Igalffy von Igaly. Baron A. Gayer von Ehrenberg. Baron H. von Kulmer.

RITTMEISTERS :

V.

J. Schilling.

OBERSTLIEUTENANT: MAJORS :

Comte J. Noslitz-Rieneck.

E. Löffler.

Comte

O.

Ludolf.

RITTMEISTERS : V.

Lenk.

R. Gotz.

BaronE. von Pillerstorff. C.

Nahlik.

L. Miaczynski. C. Hüller. TARNOW.

Créé en 1790.

Prince Charles-Philippe de Schwurzenberg, feldmaréchal (mort en 1820). :

:

Chev. A. von Koscicki.

E. von Hubicki. F. Englichl.

CHEF NOMINAL

LÉOPOL.

S. M. l'Empereur François-Joseph. OBERST : Comte A. Christalnigg von und zu Gillitzstein, commandant le régiment. CHEF

Chev. A. von Brudermann. F. Merz. Chev. J. Jordan-Stojowskivon Zakliesyn. Comte F. Coudenhove. A. Eybner. F. Schonetl.

HULANS, DE LA GALICIE, à

à JAROSLAU et

Créé en 1813.

Mayr.

2e

1801.

en 1847).

Crée en 1791 à l'aide des divisions de hulans des régiments

C.

J. Billig.

A. Halbaerth.

C. von Hanke.

OBERSTS

F. Neuhaus.

N.

RITTMEISTERS :

N.

MAJORS :

CHEF :

:

F. Schneider.

tenant. OBERST

Comte L. Wurmbrand-Stuppach. Baron A. Malowetz von Malowitzund Kosorz, commandant le régiment.

OBERSTS

J. Lebert. Chevalier E. Ruiz de Roxas. J. von Thierry. Chev. J. von Zubrzycki. Chev. J. von Sobolewski.


5e HULANS, DE LA CROATIE, à WARASDIN. Créé en 1848 comme banderial-hussards. — 1851, devenurégiment

de hulans.

S. A. I. Nicolas Alexandrowitch, grand-duc héritier de Russie. OBERST : Baron H. Komers von Lindenbach, commandant le régiment. CHEF

:

OBERSTLIEUTENANTS:

A. Helff.

A. Winzor.

N.

MAJOR :

Dujmovie'.| Blaszkovec.

RITTMEISTERS : W.

Dorsner von Dornimthal.

D. Gerba.

A. A. Labasz von V.

Longchamps de Berier.

A. Joviczic'. A. Fleischer von Kämpfimfeld. Comte G. Jellaczic' de Buzim.

PRZEMYSL et RADYMNO.

GALICIE, à

II

CHEF NOMINAL : Empereur Joseph (mort CHEF : S. M. l'Empereur François-Joseph.

en 1790).

Comte H. Salm-Hoogstracten. commandantle

régiment.

S. Constantinovic'. N. Krahl. Chev. L. Pollack von Klumberg.

S. Düll.

Baron V. von Ramberg, feldmaréchal. OBERST : A. Redlich, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANT : MAJOR :

A. von Brezanij.

N.

RITTMEISTERS : G.

Ehrler von Erlenburg.

J. Stankovic'. A. Stôgl. A. Stockner Edl. von Sturmau.

Pokorny.

9e HULANS

Comte C. Huyn. G. Selezy-Berski. Baron A. Odkolek von Augezd. R. Maschke.

(devenu, en 1873, 10e dragons).

10e HULANS (devenu,

en 1873, 16e hussards).

11e HULANS, DE LA BOHÊME, à CRACOYIE, BOCHNIA et STRYJ.

Baron H. von Oberländer. W. Pivnitzka. C. Maczak von Ottenburg. G. von Rodt.

Créé en 1814, 7e chevau-légers.— 1831,

11e

hulans.

CHEF NOMINAL : Alexandre II, Empereur de Russie. CHEF : S. M. Alexandre III, Empereur de Russie.

à LÉOPOL et

BRZEZAN.

Créé en 1758, dragons. — 1759, chevau-légers. — 1798,4e, dragons légers. —1802, 2° chevau-légers.—1851, 7° hulans.

Archiduc Charles-Louis, général de cavalerie. OBERST : F. Czeyda, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANTS: Baron C. Preuschen von Liebenstein.

STANISLAU, TLUMACZ,

B. Komarnicki. E. Fleischmann von Theissruck. C. Füger von Rechtborn.

A. Czerny. Baron J. von Boulles-Russig.

:

à

A. von Carina. Baron W. von Welden-Grosslaupheim.

G. Welzl von Wellenheim.

CHEF

Chev. S. von Micewski. G. Kuhn.

L. Voitl. A. Foser. Baron F. Enis von Atler und Iveaghe.

J. Rezniczek.

7e HULANS, DE LA GALICIE,

Baselli von Süssenberg,

J. Schlögel. J. Roller.

C.

N.

R. Klammerth.

RITTMEISTERS :

W.

CHEF :

Créé en 1688 comme régiment de dragons. —1763, chevau-légers. — 1790, 1er chevau-légers.— 1851, 6° hulans.

MAJOR :

Baron

Créé en 1718, dragons. —1779, chevau-legers.— 1798, 10e dragonslégers.—1802,3e chevau-légers. — 1851, 8° hulans.

Gross. A. Le Gay Edl.von Lierfels.

OBERSTLIEUTENANT:

C. Gärtler von Blumenfeld.

MONASTERZYSKA et KOLOMEA.

V.

OBERST ;

F. Kohsz. Chev. F. von Dondorf. E. Parizek. F. Wiesauer. E. Acht.

8e HULANS, DE LA GALICIE,

F. Seewaldt. F. Chomicki.

6e HULANS, DE LA

Chev. S. Nachodskyvon Neudorf. MAJOR : N. RITTMEISTERS : A. von Stankiewicz. F. Janowski. A. Breisky.

Polko, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANT : Comte M. von Hoditz und Wolframitz. MAJOR : E. Edl. von Lehmann. RITTMEISTERS : B. Zagajewski. B. von Scheidlin. Baron O. Obenaus de Felsöhaz. O. Poten. OBERST : H.


Chev. A. Mayer de Monte-Arabico. Chev. A. von Manasterski. L. Vetter. Chev. S. von Zagorski. Chev. A. von Ziemblice-Bogusz. Chev. C. von Laczynski.

J. Fischer.

A. Graff. C. Edl. von Swogelinsky. G. Thymann. C. Lofler.

R. Lesonitzky. INSTITUT MILITAIRE DE CAVALERIE, à VIENNE.

Chev. A. von Ujeyski.

Lang.

H.

12e HOLANS, DE LA CROATIE ET SLAVONIE,

à RUMA,VUKOVAR et ESSEG. Créé en 1834. CHEF

crée en

:

François II, ex-Roi des Deux Siciles.

Baron C. Dlauhowesky von Langendorf. Baron G. von Goumoëns, commandant le régiment. OBERSTLIEUTENANT: N. MAJORS : Comte V. Schaffgotsch. Comte A. Montecuccoli-Polinago. E. Lyro. RITTSIEISTERS : J. Matic' von Dravodol. OBERSTS

:

BardachEdl. von Chlumberg, Rittmeister au 9e hussards. MAITRESD'ÉQUITATION: Baron P. Baumgartnervon Baumgarten, Oberstlieutenant au 9e hussards. G. Edl. von Petzer, Oberstlieutenant d'état-major d'artillerie.

ADJUDANT : W.

F. Sachse von Rothenberg, Rittmeister au

Chev. A. von Brudermann, Rittmeister au Ier hulans. A. Edl. von Goebel, Rittmeister au 10e dragons. DÉPOTS DE REMONTE.

Matic' von Dravodol.

Chev. C. Froschmair von Scheibenhot. V. von Koller. Baron V. von Abele. A. Quirini.

à BILAK (Transylvanie). COMMANDANT : Comte R. Arz von und zu Vasegg, Major au 16e hussards. 1°

J. Thomann.

2° à NAGY-DAAD-SARI (Hongrie).

V. Fritsche.

Baron

H.

14e dra-

gons.

M. Zivkovic'. H.

1875.

Frölich von Salionze.

COMMANDANT :

E. Konig. Baron E. von Appel.

J. von Keonezeoll, Oberst. au 9e hussards.

COMMISSIONS DE REMONTE. N° 1, à BUDAPEST.

13e HULANS, DE LA GALICIE, à ZLOCZOW.

PRÉSIDENT

: J. Karoly, Oberst au 10E hussards.

Créé en 1860.

MEMBRES :

S. von Kovach, Oberst au 13e hussards.

CHEF

:

Comte II. Noslitz-Rieneck, feldmaréchal-lieute-

A. Agoston de Kis-Joka, Oberst au 14e hussards.

N°2, à SZEGEDIN.

nant. OBERSTS :

F. Oehl, commandant le régiment.

M. Scherenberg. Chev. V. Mathes von Bilabruck. MAJORS : Baron J. von Türkheim-Geisslern. E. von Böhm-Ermolli. L. von Pütz. RITTMEISTERS : Baron H. von Prochazka. OBERSTLIEUTENANT:

Sieber G. von Suchan. H.

E. Redlich. F. Nowak.

PRÉSIDENT

:

J. Ruttkay von Felsö-und Also-Ruttka,

Oberst lieutenant au 7e hussards. MEMBRE : Comte R. Arz von und zu Vasegg, Major au 16e

hussards.

N° 3, à LÉOPOL. PRÉSIDENT :

E. Schediwy, Oberstlieutenant au

lans. N° 4, à RZESZOW. PRÉSIDENT

:

L. Powa, Oberst au 2e dragons.

1er

hu-


TABLEAU SYNOPTIQUE DES UNIFORMES DE LA CAVALERIE.



CHAPITRE IV BELGIQUE

'ALMANACH royal

officiel publié depuis 1840, en exécu-

tion d'un arrêté du Roi, nous donne pour l'année 1892 les renseignementssuivants sur la législation et l'organisation de la force publique en Belgique. Cette force armée se compose : 1° De

la garde civique, 2° De l'armée. La garde civique, institution constitutionnelle, est active dans les communes d'une population agglomérée de plus de 10.000 âmes et non active dans les autres communes, à moins d'une disposition contraire du Gouvernement; elle est chargée de veiller au maintien de l'ordre et desdois, à la conservation de l'indépendance et de l'intégrité du territoire. Là mobilisation de la garde civique ne peut avoir lieu qu'en vertu d'une loi. Sont appelés au service, dans le lieu de leur résidence réelle, tous les Belges et les étrangers admis à établir leur domicile en Belgique, âgés de vingt et un à cinquante ans. Les titulaires des grades dans chaque escadron ou compagnie sont nommés par les gardes ; les chefs d'escadrons, médecins et médecins adjoints sont élus par les officiers de Officier de Guides l'escadron ; les autres officiers sont nommés par le Roi. La cavalerie de la garde civique se compose de 1 escadron, celui de Bruxelles, commandé par le comte d'Oultremont, de 5 1/2 escadrons et de 2 pelotons.


Le recrutement de l'armée proprement dite s'effectue au moyen d'engagements volontaires et d'appels annuels. La durée du service est fixée à huit années, qui prennent cours à dater du 1er octobre de l'année de l'incorporation. En cas de guerre et lorsque le territoire est menacé, le Roi peut rappeler à l'activité la quantité de classes congédiées qu'il juge utile, en commençant par la dernière. Le contingent de chaque levée, fixé annuellement par une loi, est réparti par le Roi entre les provinces et par le gouverneur de la province entre les cantons de milice. La répartition est faite proportionnellement au nombre des inscrits de la levée. Tout Belge est tenu de se faire inscrire dans le mois de décembre de l'année où il a dix-neuf ans accomplis, à l'effet de concourir au tirage au sort pour la levée du contingent de l'année suivante. L'ordre dans lequel les inscrits pour la levée sont appelés à faire partie du contingent annuel est réglé par un tirage au sort. Le tirage a lieu au commencement de l'année qui suit l'inscription. Le gouverneur en fixe le lieu et le jour pour chaque canton de milice. Tout individu désigné pour la milice peut se faire remplacer. Le département de la guerre pourvoit au remplacement des miliciens au moyen de volontaires avec prime. Le prix du remplacement est fixé, chaque année, par arrêté royal; trois mois avant le tirage. Il ne peut dépasser 1.800 francs. Le remplacement a lieu dans d'ordre de priorité établi par le tirage au sort. Les miliciens que le département de la guerre ne pourra pas faire remplacer avant fie 2er octobre, sont admis à chercher directement et à présenter avant le 1er janvier suivant, des hommes qui consentent à marcher à leur place. Les miliciens et remplaçants ont droit chacun à six semaines de congé en moyenne par année de service actif, fil sont envoyés en congé inimité lorsqu'ils ont passé au service actif, à partir du jour de l'appel sous les armes de leur contingent, le temps ciaprès déterminé : Vingt-huit mois dans le cours des trois premières années, s'ils appartiennent à l'infanterie de ligne, aux chasseurs à pied ou au train ; Trente-six mois pendant les quatre premières années, s'ils appartiennent au régiment des grenadiers ou au régiment des carabiniers ; Trois ans, s'ils appartiennentà l'artillerie de siège, au régiment du génie, à la compagnie des pontonniers, à celles des artificiers ou au bataillon d'administration ; Quatre ans, s'ils appartiennent aux batteries à cheval, aux batteries montées ou aux ; escadrons de cavalerie. Les congés temporaires et les congés illimités sont refusés à ceux que leur conduite n'en a pas rendus dignes.


Dans les circonstances spéciales, le Gouvernement est autorisé à suspendre ou à modifier la durée du service. Les miliciens ou remplaçants en congé illimité, c'est-à-dire ceux qui n'ont pas accompli un terme de huit années, sont passés en revue, une fois par an, par les commandants du district. Le Roi confère les grades dans l'armée. En temps de paix, nul ne peut être nommé sous-lieutenant : 1° s'il n'est âgé de dix-neuf

n'a servi activement au moins deux ans comme sous-officier ou s'il n'a passé deux ans à l'école militaire, et s'il n'a satisfait aux conditions de sortie de cette école pour être promu au grade de sous-lieutenant ; nul ne peut être lieutenant s'il n'a servi au moins deux ans dans le grade de sous-lieutenant ; nul ne peut être capitaine sil n'a servi au moins deux ans dans le grade de lieutenant; nul ne peut être major s'il n'a servi au moins quatre ans dans le grade de capitaine ; nul ne peut être lieutenantcolonel s'il n'a servi au moins trois ans dans le grade de major nul ; ne peut être colonel s'il n'a servi au moins deux ans dans le grade de lieutenant-colonel ; nul ne peut être nommé à un grade supérieur à celui de colonel s'il n'a servi au moins trois ans dans le grade immédiatement inférieur. Dans les corps de cavalerie, le tiers de tous les emplois de sous-lieutenants vacants ans accomplis ; 2e s'il


est dévolu aux sous-officiers du corps où les emplois sont vacants ; les deux autres tiers, au choix du Roi, parmi les élèves de l'école militaire et parmi les sous-officiers. Le cadre spécial du corps d'état-major se recrute parmi les officiers de toutes armes qui ont suivi avec fruit les cours de l'école de guerre. La moitié des emplois vacants de lieutenant et de capitaine est accordée à l'ancienneté ; l'autre moitié est au choix du Roi. La pension de retraite est due aux militaires de tout grade et de toutes armes qui comptent quarante années de service et cinquante-cinq ans d'âge. Les officiers ne peuvent se marier sans lautorisation du Roi ; aucun officier subalterne ne peut obtenir l'autorisation de se marier, s'il ne fournit la preuve que lui ou sa future ou les deux conjointement jouissent d'un revenu annuel de 1.600 francs. Telles sont, succinctement résumées, les principales dispositions de la loi du recrutement belge. La cavalerie belge est remontée soit par voie d'adjudication publique, soit par les soins d'officiers désignés par les corps et qui achètent directement aux propriétaires. Beaucoup des chevaux de cette dernière catégorie étant achetés en Irlande, on comprend sans peine que la moyenne des chevaux de la cavalerie belge est très supérieure. L'effectif de paix est d'environ 5.500 chevaux pour la cavalerie. Les officiers se remontent à leurs frais, mais sont autorisés à choisir leur monture parmi les chevaux de troupe contre remboursementd'un prix fixé par les règlements. On évalue la durée d'un cheval à 8 ans, et le prix en est en moyenne de 900 francs. On estime généralement les ressources chevalines de la Belgique à environ 300.500 animaux. Mais ce sont principalement des sujets de la race flamande, qui fournit des animaux renommés pour le gros trait et des chevaux de race ordinaire, qui sont plus spécialement aptes au service de d'artillerie. Il convient d'ajouter que le cheval et l'équitation sont en grand honneur en Belgique ; les officiers de cavalerie dans certains régiments, mais surtout aux guides, sont très horsemen et sportmen. On calcule que, pour toute l'armée, le complément nécessaire à la mobilisation pour passer du pied de paix au pied de guerre serait d'environ 15.000. Ces chevaux, d'après la loi de 1887, seraient fournis par voie de réquisition. Cadres. — La hiérarchie est exactement la même qu'en France : BRIGADIER, MARÉCHAL DES LOGIS, MARÉCHAL DES LOGIS CHEF,

ADJUDANT, SOUS-LIEUTENANT,


OFFICIER DE GUIDES.



LIEUTENANT, CAPITAINE, MAJOR OU CHEF D'ESCADRONS,

LIEUTENANT-COLONEL, COLONEL.

Le corps des sous-officiers est recruté parmi les volontaires (les remplaçants ne doivent pas être nommés sous-officiers). Ils sont formés dans des ÉCOLES dites RÉGIMENTAIRES,

qui souvent sont établies dans une garnison différente du corps auquel elles appartiennent. Les officiers proviennent pour un tiers de sous-officiers qui ont été formés dans les corps après un minimum de deux ans de grade au moyen de COURS POUR LES SOUS-OFFICIERS; faits par les officiers même du corps, et après avoir subi l'examen réglementaire des candidats à l'épaulette. Les deux autres tiers viennent de l'école militaire d'Ixelles. L'admission à l'école adieu après concours, pour les jeunes gens âgés de 17 à 21 ans La durée des cours est de deux ans pour la cavalerie, l'école étant partagée en deux sections, l'une pour l'infanterie et la cavalerie, l'autre pour l'artillerie et le génie. Au bout des deux années d'école et après avoir satisfait à l'examen de sortie, les élèves sont nommés sous-lieutenants et dirigés sur leur corps.


L'avancement a lieu moitié au choix et moitié à l'ancienneté jusqu'au grade de capitaine en second. A partir de ce grade il n'est plus donné qu'au choix. La démission des officiers n'est acceptée que s'ils s'engagent à reprendre du service, en cas de guerre, dans les cinq années qui suivent celle de leur démission. En outre, et pour former des cadres, en cas de mobilisation, les chefs de corps sont autorisés à recevoir l'engagement de jeunes gens qui prennent le nom de VOLONTAIRES AGRÉÉS et qui sont destinés à former des officiers de réserve. Ces jeunes gens doivent subir un examen prouvant qu'ils ont l'instruction nécessaire pour prétendre à l'épaulette. Ils s'équipent et se nourrissent à leurs frais et font leur service d'abord comme brigadiers, puis comme sous-officiers. Après deux ans de grade de sous-officier ils passent un examen destiné à prouver leur aptitude au grade de sous-lieutenant, et s'ils satisfont à cet examen ils sont nommés et renvoyés en congé illimité. La cavalerie compte 2 divisions : Ces deux divisions comprennent chacune 4 régiments et se subdivisent en 4 brigades de 2 régiments. Les 2 régiments de guides forment la 1re brigade, Les 2 régiments de chasseurs — la 2e Les 4 régiments de lanciers la 3e et la 4e brigade. — Cette cavalerie est commandée par 8 colonels, 8 lieutenants-colonels, 16 majors, 56 capitaines commandants,40 capitaines en second, 176 lieutenants et sous-lieutenants. Tous les régiments comptent 5 escadrons actifs et 1 escadron de dépôt. Chaque escadron comprend : 1 capitaine-commandant, 1 capitaine en second, 2 lieutenants, 2 sous-lieutenants, 1 maréchal des logis chef, 1 premier maréchal des logis, 1 maréchal des logis fourrier, 7 maréchaux des logis, 13 brigadiers, 3 trompettes, 2 maréchaux ferrants, 24 cavaliers de 1re classe, 69 cavaliers de 2e classe, 20 cavaliers, de 2e classe non montés. Mais les régiments ne partiraient eh campagne qu'avec quatre escadrons, les 5es escadrons des guides et des chasseurs seraient détachés et ceux des quatre régiments de lanciers devraient former un nouveau régiment. L'effectif d'un escadron sur le pied de paix est de 5 officiers, 140 hommes, 130 chevaux; celui de l'escadron de dépôt n'est que de 4 officiers,13 gradés, 16 chevaux. En cas de mobilisation il serait complété par les réserves et deviendrait escadron de renfort. On compte que sur le pied de guerre la cavalerie belge donnerait : 40 escadrons actifs, soit 6.000 chevaux, 8 — de renfort — 1.000 —

Total

:

7.000 chevaux.


Les chasseurs et les guides sont armés du mousqueton Cornblain (modèle 1871). Les lanciers n'ont plus, depuis 1885, que 3 pelotons armés de la lance ; le 4e a le mous-

queton.

pour les guides : amarante et jaune; pour les chasseurs, jaune et écarlate ; pour les lanciers, amarante, jaune, blanc, bleu. Les établissements d'instruction comprennent : l'École de guerre et l'École militaire, toutes deux à Ixelles-lez-Bruxelles ; l'École des volontaires à Louvain ; l'École des enfants de troupe à Host ; l'école d'équitation à Ypres. Nous ne saurions terminer cette courte étude sans un éloge pour le corps d'officiers de la cavalerie belge dont la composition est fort remarquable. D'ailleurs il n'est pas surprenant que dans un pays où chacun semble averti de tout ce qui touche aux questions de goût et d'élégance la cavalerie y soit montée avec soin et que l'équitation s'y trouve en grand honneur. Les deux régiments des guides, notamment, sont de premier ordre, et leurs cadres, même inférieurs, sont remplis par les plus beaux noms de la Belgique ; quant à la remonte de ces deux superbes régiments, elle est absolument hors de pair. Le nom de « guide » est en Belgique, comme jadis chez nous, synonyme d'élégance et de belle Les couleurs distinctives sont

:

tenue.

Et puis, n'oublions pas qu'aux temps de l'Épopée, l'armée belge a combattu avec nous et moissonné des lauriers sur tous les champs de bataille de l'Europe ; certes, si Waterloo attriste ces souvenirs, l'accueil hospitalier et sympathique que le peuple belge fit à nos malheureux soldats après Sedan, nous permet d'espérer que ce brave petit pays aurait à l'occasion le coeur aussi français que le langage.



PRINCIPAUX OFFICIERS

DE LA CAVALERIE BELGE EN 1892

COMMANDANT SUPÉRIEUR DE LA CAVALERIE.

S. A. R. Philippe comte de Flandre. Le comte de Flandre est en môme temps commandant honorairedu 1er régiment des guides.

LE LIEUTENANT GÉNÉRAL

Henot, commandantle 2e lanciers. Montégnie, commandant le 3e lanciers. Bricoux, attaché à la maison militaire du Roi, comptant au 3e régiment de lanciers. LIEUTENANTS COLONELS.

COMMANDANTS DES DEUX DIVISIONS DE LA CAVALERIE. LE LIEUTENANT GÉNÉRAL

Fischer, commandeur de la

Légion d'honneur (1), commande la

LE

division. LIEUTENANT GÉNÉRAL Olivier della Trebia, officier de la Légion d'honneur, commande la 2e division. 1re

COMMANDANTSDES QUATRE BRIGADES. 1RE

2e 3e

4e

Général-major O'Sullivan de Terdeck. BRIGADE : Général-major de Faudeur, officier de la Légion d'honneur. BRIGADE : Général-major Baron Lunden, chevalier de la Légion d'honneur. BRIGADE : Général-major de la section de réserve BRIGADE :

Van Eechout. COLONELS.

baron de Wykerslooth de Rooyestein,chevalier de la Légion d'honneur, officier d'ordonnance du Roi, commandantle 1er régiment de guides. Boël, adjoint d'état-major, commandant le 2e guides. Avanzo, commandant le 1er chasseurs. Lutens, commandant le 2e chasseurs. Baron Greindl, commandantle 1er lanciers.

MM.

bien entendu que, dans cette énumération des officiers de la cavalerie belge, nous ne mentionnons comme décorations, que celle de la Légion d'honneur. . (1) Il est

MM. de Coune, chevalier

de la Légion d'honneur, ad-

joint d'état-major à l'état-majordu commandant supérieur de la cavalerie, 1er guides. Van Iseghem, commandant l'école d'équitation, 2e guides. Servaes, 1er chasseurs. Delfosse, 2e chasseurs. Huyghé, 1er lanciers. N... 2e lanciers. Vanvinkeroy, adjoint d'état-major, 3e lanciers. Van Bomberghen,4e lanciers. MAJORS.

Delacenserie, 1er guides. Gillain, 1er guides. Baron de Menten de Horne,

MM.

2e

guides.

Pinte, 2e guides. Bayet, 1er chasseurs. Graff, 1er chasseurs. Comte d'Oultremont, chevalier de la Légion d'honneur, officier d'ordonnance de S. A. R. le comte de Flandre, 2e chasseurs. Mersch, adjoint d'état-major, 2e chasseurs. Baron Van den Straten de Waillet. 1er lanciers. Cholel, 1er lanciers. Couche, 2e lanciers. Poskïn, 2e lanciers. Stevens, 3e lanciers. Van Malcote, 3e lanciers.


De Boniver, 4e lanciers.

Letellier, Maître d'équitation à l'École militaire,

Magis, 4e lanciers.

lanciers. Ysebeque, 2° chasseurs. De Mazière, 4e lanciers. 2e

CAPITAINES COMMANDANTS PAR RANG D'ANCIENNETÉ.

MM. Comte G. M.

J. Van der Slegen du Putte.

2e

chas-

seurs. Lamury, 1er chasseurs. Dethy, 1er chasseurs. Courtin, 2e chasseurs. Burnell, chevalier de la Légion d'honneur, officier d'ordonnance de S. A. R. le comte de Flandre, 1er lanciers. Pitsaer, adjoint d'état major, 2e guides. Boutelier, 1er guides. Dehase, adj. d'état-major, 2e guides. Comte Van der Burch, 1er guides. Linard, 2e lanciers. ComteF. M.A. Van der Stegen de Putte, 1er chasseurs. Depiere, 2e lanciers. Lambert, 2e guides. Frantzen, 2e chasseurs. Bricoux, 3e lanciers. Coucke, 4e lanciers. Bolle, 1er guides. Dupont, 1er lanciers. Sizaire, 2e chasseurs. Van Damme, 1er lanciers. Settegast, adjoint d'état-major, 1er guides.

Fivé (D. G. E.), 2e lanciers. Braconnier, adj. d'état-major, 4e lanciers. Bernaert, commandant l'escadron d'instruction à l'école d'équitation, 3e lanciers. Ablay,1 er guides. Lengrand, 2e chasseurs. Fivé (G. G. E.), prov. à l'Institut cartographique militaire, 2e guides. Goffinet, 1er guides.

Galère, 4e lanciers. Baron d'Oldenneel, attaché prov. à la maison militaire du Roi, 1er chasseurs. Rommel, 1er lanciers. Baron Comhaire de Sprimont, 1er guides. Clooten, adjoint d'état-major, aide de camp du lieu-

tenant général Fischer. Baron Snoy, officier d'ordonnance du Roi, 1re classe. Struuck, 2e lanciers. Baron de Combrugghe, 2e guides. Comte du Chastel Andelot de la Howarderie, officier d'ordonnance du Roi, 4e lanciers. Degeneffe, 4e lanciers.

Saillez, 1er lanciers. Delvaux, 1er lanciers. chasseurs. Wilmet, 2e chasseurs. Preud'homme, 3e lanciers. Mathot, 1er chasseurs. Hollanders, 2e guides. Aranzo (E. H. P.), prov. à l'état-major du commandant supérieur de la cavalerie, 1er guides. Jacquet, 1er lanciers. Art,

1er

Tillier, 3e lanciers. Poinsot,

Haan,

1er lanciers.

lanciers. Coekelbergh, 3e lanciers. Kenens, 2e lanciers. De Ridder, 3e lanciers. 4e

SERVICE VÉTÉRINAIRE.

MM. Hardy,

vétérinaire en chef.

Dubois vétérinairesprincipaux. Brennet


CHAPITRE

V

DANEMARK

EU

de nations comptent dans leurs annales militaires une page aussi belle, aussi profondémentémouvante pour toute âme chevaleresque, que celle qui fut écrite par le Danemark, avec le sang de ses héroïques soldats, en l'année 1864. Il faut presque remonter aux luttes épiques des Grecs, défendant leur indépendance contre des Mèdes et les Perses, pour trouver un peuple si petit


par le nombre, si grand par le courage, acceptant" et soutenant la lutte avec une telle disproportion de forces. L'armée danoise, accablée, a montré ce que peuvent pour l'honneur de leur drapeau, des soldats disciplinés et animés au plus haut point du respect de leurs chefs et de l'amour de leur patrie. Cédant à la supériorité numérique, les Danois ont conservé dans l'insuccès les belles qualités qui sont la gloire de leur valeureuse nation. Combien de victoires sont moins illustres qu'une semblable défaite! Salut à ce peuple de héros, qui mutilé, terrassé, n'a pas désespéré du salut de la patrie ! Après 1864, le Danemark dut songer à reconstituer sa vaillante armée et lui donner une organisation capable d'assurer son indépendance. Tout Danois, à moins qu'il me soit reconnu impropre à toute espèce de service, est soldat, et des cas de dispenses sont excessivement rares. La durée du service est de seize années, à savoir : quatre ans dans l'armée active, quatre ans dans la réserve, et huit ans dans le RENFORT. Les jeunes gens font partie de l'armée dès qu'ils entrent dans leur vingt-deuxième année, mais ils peuvent devancer cette époque en s'engageant comme volontaires. Le Danemark est divisé en 5 cercles de recrutement qui correspondent aux 5 brigades d'infanterie et fournissent chacun un régiment de cavalerie. L'affectation des hommes du contingent à un des corps composant l'armée : la garde, la cavalerie, l'infanterie, l'artillerie et le génie, est déterminée par le tirage au sort dans

chaque circonscription. Les hommes dont la constitution paraît faible sont affectés aux services administratifs, au train, au service de santé, ou aux ouvrages militaires. Chaque contingent annuel est divisé en deux portions ; l'une reste au service pendant onze mois ; incorporée en novembre et composée des hommes qui ont tiré les numéros les plus élevés, cette portion sert à assurer lé service pendant l'hiver. La seconde portion, qui est la plus nombreuse, est incorporée au mois d'avril et ne fait que six mois de service actif. Pour compenser cette inégalité de durée de service, la loi stipule que les hommes de la première portion du contingent ne pourront, sous aucun prétexte, être retenus au corps, après leurs onze mois dé service terminés. En revanche, dans la deuxième portion, qui est, nous l'avons dit, la plus nombreuse, si le service est plus court, les hommes peuvent en certain nombre être retenus jusqu'au mois de décembre, c'est-àdire jusqu'au moment où les conscrits appelés en novembre ont acquis les premiers rudiments de l'instruction militaire. En outre, ainsi que nous le verrons plus loin, on garde dans chaque régiment 50 hommes pris dans la deuxième portion et destinés à former des caporaux et des sous-caporaux.


Renvoyés clans leurs foyers, les hommes, qu'ils appartiennent à la première ou à la seconde portion, ne sont plus astreints, tous les deux ans, en temps de paix, qu'à des périodes de manoeuvres dont la durée est de quarante-cinqjours. Ces manoeuvres ont lieu soit au camp de Hald, situé dans le Jutland à 7 kilomètres de Viborg, soit au camp" établi dans le parc de Jaegersborg, à 2 kilomètres de Lingby, clans le voisinage de Copenhague. Les troupes sont campées sous la tente, à raison d'une tente pour 14 hommes formant une escouade commandée par un caporal. Ces tentes sont du reste aménagées fort confortablement, le sol en est recouvert de planches, et chaque homme y est pourvu de matelas, draps et couvertures." Trois tentes par escadron sont affectées aux sous-offi-

ciers. Le capitaine et lé lieutenant en premier ont chacun une tente ; les autres officiers de l'escadron logent ensemble dans la même. Au camp, le tableau de travail est ainsi composé : Réveil à 4 heures, soins de propreté, pansage à 6 heures ; réunion en armes, manoeuvres jusqu'à midi et même jusqu'à 2 heures, puis nettoyage des armes et dîner ; de 5 à 7 heures, exercices par escadron ; à 10 heures, retraite. L'ordinaire du camp est bon et varié un jour de la viande de boeuf et du riz, le lendemain du lard et des pois ; une fois par semaine, du poisson avec des pommes de terre et du riz. Tous les deux jours, les hommes touchent 3 livres de pain et de l'eau-de-vie. La solde est de 44 centimes par jour pour d'argent de poche, de façon à ce que des hommes puissent se procurer du café ou du thé. Pendant les derniers jours que l'on passe au camp a lieu une grande manoeuvre, puis les troupes se séparent et des hommes retournent dans leurs foyers.

:


Outre les quelques mois de service actif et le séjour dans les camps, l'éducation militaire est développée et entretenue par de moyen des nombreuses sociétés de tir et de gymnastique dont le but n'est pas de jouer au soldat en arborant les costumes les plus bariolés et les plus contraires au bon goût, mais bien de compenser le peu de durée du service militaire et de maintenir soigneusement en haleine les jeunes gens qui peuvent être appelés à concourir à la défense du pays. Aussi ces sociétés jouissent-elles de la plus grande considération ; très intelligemment organisées, elles reçoivent une impulsion unique et marchent vers un but nettement déterminé. Il est inutile d'ajouter qu'on retrouve dans ces sociétés lès qualités qui sont inhérentes à la nation : une instruction et une éducation dont la moyenne dépasse celle de presque toutes les autres nations, une politesse légendaire et une propreté poussée jusqu'au dernier raffinement. Le gouvernement, qui protège et encourage très judicieusement ces sociétés de tir et de gymnastique, leur accorde une subvention d'environ 60.000 francs par an, et leur

délivre gratuitement 8 à 900 cartouches chaque année. Bien que ce qui va suivre ne rentre pas dans le domaine de cette étude, qu'il me soit permis de citer ce fait qui prouve à quel point la vaillante petite nation danoise pousse le souci et la compréhension de sa défense nationale. En 1885, plus de 20.000 femmes appartenant à toutes les classes de la société se sont unies et cotisées pour offrir au Roi une batterie de 8 pièces d'artillerie, destinées à la défense des forts de Copenhague,suivies de tout leur matériel et approvisionnées de leurs munitions. Un pays où les séntiments patriotiques se manifestent par de pareils ; faits n'est-il pas digne de tous des respects et de toutes les admirations? La très courte durée du service militaire ne permettant pas d'assurer le recrutement des cadres inférieurs, il a fallu y pourvoir au moyen de dispositions spéciales. Nous avons vu plus haut que, chaque année, 50 hommes de la 2e portion sont gardés dans chaque régiment, à l'expiration de leur cinq mois de service. Ces 50 hommes sont destinés à former des caporaux et des sous-caporaux. Outre les éléments fournis par le service obligatoire, et appartenant aux classes en activité de service ou de la réserve, des cadres permanents sont constitués au moyen des volontaires engagés et des rengagés. Mais il convient d'ajouter que la répartition de ces grades est exécutée de telle façon que si les cadres permanents formés par des engagés et des rengagés venaient à être incomplets, la mobilisation n'en souffrirait nullement et les unités pourraient entrer en campagne avec des escadrons suffisamment encadrés. Ainsi, un escadron composé dans les conditions normales, c'est-à-dire avec son cadre complet de volontaires ou de rengagés, se mettra en marche avec ses pelotons ayant le nombre de sergents, de caporaux et de sous-caporauxréglementaire. Mais si, par suite de circonstances inattendues, le régiment n'a ni engagés, ni ren¬


gagés, les sergents seront remplacés par des caporaux, et les caporaux par des sous-caporaux ; les fonctions de sergent-major, celles même d'adjudant pourront au besoin être remplies par les caporaux offrant le plus de capacité et auxquels on permettra de porter les insignes du grade. Dans ces conditions la hiérarchie ne sera donc nullement détruite et de service restera assuré. Nous avons vu que 50 hommes sont gardés, chaque année, dans les régiments. Ces jeunes gens sont destinés à faire partie de ce quon appelle L'ÉCOLE D'ÉLÈVES GRADÉS. Cette école, organisée dans chaque régiment, est divisée en 3 catégories qui sont :

L'école des sous-caporaux ; l'école des caporaux l'école des seconds lieutenants. Pour être admis à l'école des sous-caporaux, il faut, d'abord

tout, posséder l'aptitude nécessaire au commandement, et, ensuite, subir un examen dont l'épreuve orale consiste en une lecture à haute voix, et l'épreuve écrite, en une composition dont le sujet est toujours très simple, une page d'écriture, l'histoire sommaire du Danemark et un peu de et avant

géographie. L'école des élèves caporaux compte un certain nombre de caporaux, anciens soldats qui reprennent du service dans le but de devenir sergents et nommés caporaux au moment même où. ils se présentent devant le chef de leur escadron, ou de jeunes gens demandant à rester au service comme caporaux et s'engageant pour une année. Les conditions nécessaires pour faire partie de l'école des. seconds lieutenants sont : Avoir suivi de cours de la 4e classe d'un collège ou d'une REAL-SKOLE (école des arts et métiers) et passé un PRELIMINOEREXAMEN qui confère une certificat d'études. Lorsqu'on ne remplit pas les conditions ci-dessus, il faut subir un examen qui a lieu à la fin du mois d'août de chaque année, et qui se compose d'une lecture et d'une analyse à haute voix d'un auteur danois ; et comme épreuve écrite, de compositions portant sur des connaissances approfondies de l'histoire générale et de l'histoire danoise; sur la géographie générale; sur la lecture et la traduction du français, de l'allemand ou de l'anglais ; sur des éléments de physique et d'histoire naturelle. A ces connaissances est jointe une épreuve écrite et orale de mathématiques, d'algèbre et de géométrie plane. Les cours de ces écoles commencent au mois d'octobre pour se terminer au mois d'avril.


Le cadre chargé de la direction des écoles se compose de : 1 capitaine, 3 ou 4 premiers lieutenants et 10 sous-officiers. Il est désigné dans chaque régiment par le colonel. L'école des seconds lieutenants forme une escouade; les autres en forment deux. A partir de novembre, chaque élève exerce à son tour et pendant cinq jours les fonctions de caporal d'escouade, et est responsable de l'ordre et de la conservation du matériel dans les salles de cours. Les exercices pratiques sont communs aux trois subdivisions de l'école, mais l'enseignement théorique est spécial à chacune d'elles. La matinée est consacréé aux exercices pratiques, l'après-midi aux exercices théo-

riques. Sept heures par jour sont employées au travail. Pour les élèves sous-caporaux, on se contente de leur apprendre, avec les règlements militaires, l'écriture, l'orthographe, le calcul et la tenue d'un livret d'escouade. Les élèves caporaux font, sur le terrain, de petits croquis, des dictées où se trouvent des abréviations réglementaires, de la fortification passagère et de petites opérations de la guerre. Les élèves seconds lieutenants apprennentla comptabilité des corps de troupe, le dessin linéaire, la fortification ; ils ont de plus à résoudre des problèmes sur le service en campagne. A l'arrivée du contingent d'avril, tous les élèves gradés qui ont acquis line instruction, suffisante sont nommés sous-caporaux et attribués au bataillon qui reçoit le contingent de l'année pour être employés comme instructeurs des recrues. Au mois d'octobre,lors du renvoi de la classe, les sous-caporaux qui consentent à rester au service pendant une année sont nommés, selon leur origine, caporaux ou seconds lieutenants. Les autres restent sous-caporaux et ne deviennent caporaux ou seconds lieutenants que lors du rappel de leur classe pour une période d'exercices. (Lieutenant-colonel Dailly, L'Armée danoise.) Après un an de grade comme caporal, les jeunes gens qui en font la demande sont admis à l'école des sergents. Cette école, destinée à former les sous-officiers du cadre permanent, FASTE UNDER OFFICIERE, est sous la direction d'un capitaine, secondé par deux premiers lieutenants et cinq sous-officiers. Les cours commencent au mois d'octobre pour finir au mois d'avril. Les caporaux nommés sergents doivent servir quatre ans dans ce dernier grade. Très peu quittentl'armée après ces quatre années, généralementils se marient et peuvent devenir sergents majors ou adjudants; ils ont alors droit à la croix de cuivre, jouissent d'une haute paye, et peuvent aspirer au Danebrogsmoendqui est une sorte de médaille militaire. Ils ont droit à une pension de retraite après seize ans de service, et sont généralement nommés officiers dans le FORSTOERKNING (troupes de renfort). Les qualités nationales aidant, ce mode de recrutement des sous-officiers donne des


résultats tels, qu'on peut dire que l'armée danoise, dont en somme les sergents ont trois ans de service à leur nomination (1), possède un des meilleurs cadres de sous-officiers de l'Europe. La cavalerie danoise compte 5 régiments, dont 4 de dragons et 1 de hussards. Ces régiments sont à 3 escadrons, l'école régimentaire se transformant au moment de la mobilisation en escadron de dépôt. En outre, un escadron d'ordonnances affecté au service des états-majors, compte comme appartenant au régiment de hussards. L'effectif de la cavalerie sur le pied de guerre est de 139 officiers, 2.400 hommes et 3.110 chevaux. Sur le pied de paix, les 3/5 des chevaux sont entre les mains des cultivateurs qui les rendent au régiment pour les manoeuvres annuelles. Les cadres sont ainsi composés dans chaque régiment : l* colonel, l* adjudant premier lieutenant, 1 sergent-major secrétaire, 1 trompette-major,1 armurier, 1 sous-officier de dépôt, 4 capitaines, 5 premiers lieutenants, 6 seconds lieutenants, 2 sergents d'étatmajor, 4 sergents-majors, 11 sergents, 18 caporaux, 7 trompettes, 2 maîtres selliers, 2 maréchaux-ferrants. Chaque escadron compte 140 chevaux. Le cadre de l'escadron d'ordonnances (hussards) est de 1 capitaine, 2 premiers lieutenants, 2 seconds lieutenants, 1 sergent-major, 1 sergent, 6 caporaux. En temps ordinaire, et en dehors de l'époque des manoeuvres annuelles, une partie des hommes dont l'instruction est terminée, ainsi que des caporaux, sous-officiers et officiers, est renvoyée dans ses foyers. On ne garde au corps que le nombre d'hommes nécessaire pour assurer le service et soigner les chevaux. Le 1er juin de chaque année, des militaires de la dernière classe renvoyée sont convoqués pour un service d'une durée de cinq mois. Les grandes manoeuvres ont lieu après le 15 juin. A cette époque, les hommes renvoyés de la troisième année sont rappelés pour participer à ces manoeuvres. La durée de cette période d'instruction est de quarante-cinq jours. La cavalerie danoise est commandée par un général inspecteur ; mise sur le pied de guerre, avec toutes ses réserves, elle peut donner environ 4.000 cavaliers. Il existe une école d'équitation destinée à compléter l'instruction des officiers et des sous-officiers de cavalerie et d'artillerie. Les élèves se renouvellent par moitié tous les ans, les cours durant un an. L'effectif de l'école est de 12 élèves, 3 officiers et 9 sous-officiers âgés de moins de trente ans. L'école est commandée par un capitaine ayant sous ses ordres : 1 lieutenant, 1 sergent d'état-major, 3 sergents et 1 vétérinaire. Une école de maréchalerie comprenant 9 élèves est adjointe à l'école d'équitation. mois comme recrue, six mois à l'école des caporaux, six mois comme sous-caporal au bataillon ou escadron, un an comme caporal et six mois à l'école des sergents. (1) Six


Le recrutement des officiers qui font partie de l'armée active et qui ont droit à l'avancement et à la pension de retraite est assuré par l'Académie militaire de Frederiksberg. La durée des cours y est de deux ans. Mentionnons encore l'escadron de cavalerie formé à l'île de Bornholm, sous le titre de milices spéciales. En résumé, l'armée danoise, malgré son service au temps très court, forme un ensemble doué d'une grande cohésion et animé par le plus pur souffle patriotique, celui qui ne comporte ni chants bruyants, ni démonstrations emphatiques. Les recrues arrivent au corps bien pénétrés de leurs devoirs, concentrent, pendant leur séjour sous les drapeaux, toutes leurs facultés sur l'exécution précise de ce qu'on leur enseigne, et pleins de respect et d'estime pour leurs chefs, ils rejoignent leurs foyers affermis dans ce respect et cette estime mérités. On a dit des Danois que leur sentiment dominant étaient l'amour-propre, si on y joint la ferme volonté de bien faire, on a le secret de la solidité et de la vaillance de cette brave et sympathique petite armée.


CHAPITRE VI ESPAGNE

Il faut se hâter d'ajouter que, moyennant une somme de 1.500 francs, l'exonération est admise; quant aux substitutions, elles ne peuvent avoir lieu qu'entre frères seulement. En outre, il y a d'assez nombreux cas d'exemption,— fils unique de veuve, frère aîné d'orphelins, membres des congrégations; — mais parmi ces dernières, celles seulement qui sont vouées à l'enseignement, les autres ecclésiastiques ne peuvent recevoir les ordres qu'après avoir satisfait à la loi ou s'être fait exonérer.


com¬ con-tingent, ministrede

Les hommes de la classe appelée sont partagés au sort.

La première portion ACTIVE. Le chiffre de ce riable, est fixé par le

l'effectif du

en deux portions, fixées par le tirage pose let CONTINGENT DE

pied de paix fixé

L'ARMÉE

essentiellement vamanière à concorder avec par budget. pendant de mois et la durée des services est s'ensuit que la plupart vingt ans. contingent annuel est inscrite DISPONIBLES et pendant appelle la RÉSERVE SUP-

le

habituellement l'appel,

L'incorporation a lieu de février même de comptée à partir du 1er mars. des recrues n'ont pas encore La deuxième portion du pendant six ans comme six autres années dans ce

Il

RECRUES qu'on

PLÉMENTAIRE. la première

condrapeaux

Tout homme de portion, et" par conséquent compris dans le tingent de l'armée active, doit passer trois ans sous les ; il est ensuite en congé pendanttrois autres années et contribue à former ce qu'on appelle la 1re réserve ou active. Au bout de ces six premières années, il passe la 2e réserve où il termine ses douze années de service. Les hommes des réserves peuvent- être appelés sous les drapeaux deux ans, mais la période d'exercice ne doit pas dépasser six semaines. Dans les pays d'outre-mer, Cuba ; Porto-Rico, les Philippines, les troupes se recrutent, en principe, par voie d'engagements volontaires. Lorsque le nombre dès engagements n'est pas suffisant, il est completé au moyen d'un nouveau tirage au sort entre des jeunes gens de la 1re portion du contingent de chaque circonscription de recrutement. Ceux que le sort a désignés, servent aux colonies pendant quatre ans, comptant du jour de leur embarquement ils passent ensuite dans la réserve et ils ; y comptent pendant quatre ans, pouvant indifféremment, en cas de guerre, être appelés au titre colonial ou au titre continental. Le territoire est divisé, pour la cavalerie, en 24 circonscriptions de recrutement. Au chef-lieu de chacune de ces circonscriptions existe le cadre d'un escadron de dépôt. En cas de guerre, cet escadron est chargé de réunir des réservistes et de des diriger sur les

réserve dans

différentes tous les


OFFICIER DE CHASSEURS ; PETITE TENUE.



escadrons actifs. En temps de paix, c'est lui qui réunit les recrues de la circonscription. Les engagements. volontaires et les rengagements ont une durée de 1 à 4 ans (1). Une prime variant de 125 à 600 francs est payée de la façon suivante : moitié au rengagé dès son rengagement et moitié à l'expiration du temps de rengagement. Les enpremier quart au moment gagés touchent d'abord quart six mois après et de leur engagement, un enfin le reste de la somme à la fin de leur service. Cependant les ou rengagés pour quatre ans ont droit à la deuxième portion de fia prime au bout de deux années de service. Le montant de est formé par le versement ces primes de sommes payées par les exonérés; nous avons dit que francs pour le service cette somme était continental,ajoutons est de 2.000 francs pour le service aux colonies. y Un lieutenant général et membres tant civils que militaires composent appelle le conseil des ENGAGEMENTS EXONÉRATIONS ET MILITAIRES. Ce conseil, chardoit pourvoir aux gé de l'administration des les contingents ; cela, soit vacances existantes dans

un second

militairesengagés

de qu'elle ce

500

neuf qu'on

fonds, volontaire rengagement

par l'engagement l'engagement ou Les rengagés avec prime

La première comprend

par sans prime, soit avec prime. forment deux classes : deman-drapeaux après l'expiration

les militaires qui

dent à demeurer sous fies de leur temps de service. La seconde, les hommes qui demandent à rentrer dans l'armée après être sortis depuis moins d'un an. Les engagés volontaires sont aussi de deux catégories : 1° Les jeunes gens de là réserve, ou. ceux renvoyés en congé illimité à condition qu'ils aient quitté le régiment depuis plus d'une année. 2° Les jeunes gens ayant seize ans accomplis et qui désirent entrer volontairement dans l'armée avant l'époque que leur assigne la loi de recrutement. Les engagés et les rengagés ont droit à un supplément journalier de solde de 25 centimes, et après dix-sept ans de service à un supplément de 50 centimes. Le service militaire volontaire peut être prolongé jusqu'à quarante-cinq ans, après quoi les anciens militaires ont droit à une retraite allant de 22 à 65 francs ! (1)

Dans l'armée coloniale, la prime va de 250 à 1.200 francs.


à ces

Les sous-officiers ayant au moins douze ans de service dans d'armée ont droit à des emplois civils dont quelques-uns atteignent jusqu'à 1.250 francs. REMONTE ET CONSCRIPTION DES CHEVAUX. — Le siège du service

aussi

de la remonte et des haras est"

sements principaux sont Organisés militairement, d'étalons, 1° Dépôts d'élevage, 2° Dépôts

Cordoue, les autres établis-

en Andalousie. établissements se divisent en

dépôts de

:

dressage. Au nombre de quatre, les d'élevage sont situés : l'en Estramadure, 1 dans la province Grenade, 1 dans, celle de Cordoue et 1 dans celle de Achetant des chevaux de trois ans, ces établissements les gardent jusqu'à l'âge de quatre ans et les livrent alors soit aux deux dépôts d'étalons, soit aux dépôts de dressage. Ces derniers, au nombre de deux, l'un à Cordoue, l'autre à Grenade, conservent pendant un an les chevaux de selle de quatre ans et les dirigent ensuite sur les corps de troupe. Citons pour mémoire seulement le dépôt de remonte de Catalogne dont les produits sont spécialement destinés au trait d'artillerie. Aucun officier espagnol n'est remonté par l'État, mais moyennant une somme fort minime proportionnée à leur grade, dont ils font le versement au Trésor, les officiers de cavalerie peuvent acquérir des chevaux appartenant à l'État. En Espagne la durée moyenne d'un cheval est évaluée à huit ans. Les chevaux espagnols sont bien dégénérés, et le temps n'est plus où fie genet d'Espagne était le cheval de parade par excellence. Cependant l'Andalousie est encore la province qui fournit les chevaux les plus renommés, surtout ceux qui naissent dans la province de Séville. On fait de nombreux croisements avec le pur sang arabe dans le bût d'améliorer la race. Il est à présumer, malgré cela, que les races espagnoles ne retrouveront jamais leur ancienne notoriété. A quelques exceptions près, les officiers de cavalerie sont du reste fort peu sportsmen, et pour beaucoup d'entre eux le cheval qui s'agenouille au commandement semble résumer le type du dressage! RECRUTEMENT DES OFFICIERS. — Il y a quelques années encore, les écoles militaires étaient au nombre de quatre, une par arme, Tolède pour l'infanterie, Valladolid pour la 3° Dépôts de

Sé-villé.


cavalerie, Ségovie pour l'artillerie et Guadalajara pour le génie. Actuellement les officiers se recrutent dans une seule école qui porte le titre D'ACADÉMIE GÉNÉRALE MILITAIRE de Tolède. Cette académie, placée sous l'inspection du Directeur général de l'instruction militaire, est commandée par un officier général secondé par un assez nombreux personnel. Des sous-officiers, caporaux, ordonnances, musiciens, y sont attachés. En outre, une section de cavalerie est détachée pour le service de l'école. Voici en quelques mots quelles sont les conditions à remplir pour l'admission à l'Académie militaire de Tolède : Être Espagnol ; être âgé de quinze ans au moins (quatorze ans pour les fils de militaires) et dix-huit ans au plus; être bachelier ès arts (avant 1890 ce diplôme n'était pas exigé) ; remplir les conditions physiques nécessaires ; avoir une bonne conduite et enfin subir l'examen d'admission. Les fils d'officiers tués ou morts des suites de blessures reçues en combattant sont admissibles de droit; on leur compte le nombre minimum des points exigibles pour l'admission. didats versent une somme Avant de concourir, les canD'EXAMENS. Le prix de la pende 25 francs, comme DROITS de 3 francs par jour pour sion pour les élèves-officiers centimes pour les fils les élèves ordinaires, retraite, de 1 franc pour d'officiers dont le père est de service ; de 1 franc pour ceux dont le père est en actiet de 1 fr. 50 pour les les fils d'officiers généraux fils d'officiers généraux des retraités, Tous les mois, tous les ves, sauf lesfils versent la somme de 5 francs comme FRAIS D'IMMATRICULATION. Les fils d'officiers tués ou morts des suites de toute espèce de réde leurs blessures sont dis-

est de en 50

vité en retraite enactivité. élè-

àle ves séjourà le

l'ennemi

pensés

L'année scolaire commence juin de l'année suivante. Pendant cette année les élèchez leurs parents. Après deux années de classés, suivant leurs notes et en trois catégories.La 1re suit le

1er

officier de chasseurs.

septembre et finit le 30 peuvent loger en ville,

l'Académie, les élèves sont besoin des différentes armes, cours spécial d'infanterie ; la


artillerie, catégorie (cavalerie)

celui de cavalerie; la 3e catégorie est réservée aux officiers qui se préparent aux état-major. armes spéciales, génie, Les élèves de la 2e sortent de l'Académie de Tolède à la fin de leur deuxième année d'études et instruction à l'Académie sont envoyés pour terminer d'application de Valladolid où suivent un nouveau cours de deux ans. Nommés alferez à la fin de leur première année de Valladolid, ils passent clans les à la fin de la deuxième année, leur grade ne devenant effectif qu'à cette époque. Le premier et le second de chaque promotion reçoivent à leur sortie de l'académie une épée d'honneur sur laquelle est inscrit le nom de l'officier et le pour lequel ce don lui a été fait. Pendant leur séjour à l'école, élèves portent le ROS, la GUER(dolman) bleu foncé pantalon rouge à double bande RERA 2e

leur ils

régiments motif

bleue. HIÉRARCHIE. TOUS

les et le nomde sortes gracieshonoraires immédiatement

les officiers

de DON placé devant leur Il y a en Espagne deux fectifs, EMPLEOS, et les

espagnols ont droit au titre baptême. de grades : les grades efqui se subdivisent supérieur, et so-

grade honoraire BREGADOS ou supérieurs de deux degrés aux grades effectifs. Le GRADO ne confère aucun avantage immédiat; l'officier qui en est revêtu conserve les fonctions, lès prérogatives et la solde de son grade effectif. Mais, au moment de sa promotion au grade supérieur, sa nomination lui fait prendre rang dans son EMPLEO du jour où date son GRADO et par ce fait il acquiert de suite une ancienneté supérieure à celui qui ne jouit d'aucun GRADO. Il en est de même pour le SOBREGADO, qui se transen

GRADOS,

forme en GRADO le jour où d'officier est promu dans l'EMPLEO et assure, par conséquent, une certaine ancienneté dans le cas d'une promotion à un nouvel EMPLEO.


la hiérarchie militaire est appelée le DUALISME. Par exemple : un commandant peut être lieutenant-colonel ou colonel honoraire. L'EMPLEO, ou grade effectif, est indiqué sur la manche de la tunique par des étoiles, et le grade honoraire, par des galons. Les marques distinctives des différents, grades sont les suivantes : Cette particularité de

CAPITAINE-GÉNÉRAL (maréchal) :

3 torsades d'or plates autour du parement, surmontées

d'une baguette d'encadrement dentelée. FAJA (ceinture de commandement) ornée de 3 broderies. LIEUTENANTS GÉNÉRAUX (commandants de corps d'armée) : 2 torsades dor aux parements et à la FAJA. MARÉCHAUX DE CAMP (généraux de division) : 1 seule torsade aux parements et à la FAJA.

BRIGADIERS

en argent. COLONELS :

(généraux de brigade)

:

même torsadé que les maréchaux de camp, mais

3 galons plats en or ou en argent suivantle métal du bouton et 3 étoiles à

argent. LIEUTENANTS-COLONELS : 2 étoiles et 2 galons en or ou en argent suivant le métal du bouton. COMMANDANTS : 2 étoiles et 2 galons, une des étoiles et un des galons en or, l'autre galon et l'autre étoile eh argent. Pour les officiers supérieurs, les étoiles sont placées au-dessous des galons. CAPITAINES : 3 galons d'or ou d'argent et 3 étoiles à 6 pointes. LIEUTENANTS : 2 galons et 2 étoiles. ALFEREZ : 1 galon et 1 étoile. Les étoiles des officiers subalternes se portent au-dessus des galons. Les officiers qui jouissent d'un grade honoraire portent les étoiles du grade effectif et des galons du grade honoraire. LES SERGENTS-MAJORS GRADUÉS ALFEREZ portent 1 galon sur le parement. 8 pointes en or ou en


LES SERGENTS-MAJORS : 3

galons de sous-officiers dits

GALONS-GANSE,

en or ou en ar-

gent. LES SERGENTS : 2 galons-ganse. LES CAPORAUX EN Ier : 3 galons de

laine rouge. LES CAPORAUX EN 2E : 2 galons en laine rouge. Lorsque les sous-officiers quittent le service, ils passent dans la réserve avec leur grade. ORGANISATION GÉNÉRALE. La cavalerie est sous les ordres d'un officier général qui porte le nom de directeur de la cavalerie. Cette cavalerie se décompose ainsi : l'escadron d'Escorte royale. — 28 régiments dont : 8 régiments de lanciers; — 4 régiments de dragons ; — 14 régiments de chasseurs; — 2 régiments de hussards. En outre de leur numéro, ces régiments sont désignés par des noms particuliers. Chaque régiment est à 4 escadrons actifs et comprend un état-major ainsi composé : 1 colonel ; — 1 lieutenant-colonel; — 3 commandants; — 4 capitaines ; — 3 lieutenants ; — 2 alferez ; — 1 aumônier ; —1 médecin-major ; — 2 professeurs-vétérinaires; — 1 professeur d'équitation ; —1 armurier ; —1 sellier; — 1 trompette-major ;— 1 caporal-trompette ; — 2 sergents ; —1 premier caporal ; — 30 chevaux. Chaque escadron comprend : 4 lieutenants ; — 1 alferez ; —1 sergent-major: —4 seconds ser1 capitaine; gents ;— 8 premiers caporaux — 8 seconds caporaux; — 4 trompettes — 3maréchaux ferrants ;—1 forgeron ; —4 cavaliers de 1re classe; — 139 cavaliers de 2e classe. Ce qui fait pour le régiment sur le pied" de guerre : 43 officiers ; — 700 hommes de troupe ; — 649 chevaux. En outre de ces 28 régiments actifs, il existe 28 régiments de réserve entretenant sur le pied de paix : 1 colonel ; —1 lieutenant-colonel; — 2 commandants ; — 5 capitaines ; — 6 lieutenants; — 4 alferez ; — 4 sergents-majors ; — 2 seconds caporaux ; — 2 trompettes ; — 8 cavaliers de 2e classe. Ces 56 régimentsmobilisés doivent présenter un effectif d'environ 39 ou 40,000hommes. L'escadron d'Escorte royale se compose de : — 1 lieutenant-colonel; — 1 commandant; 1 colonel — 3 capitaines ; — 2 lieutenants adjudants-majors — 1 lieutenant trésorier; — 5 lieutenants; — 1 professeurvétérinaire ; — 1 sergent-major ; — 4 sergents; — 4 premiers caporaux; — 4 seconds, caporaux ; — 1 caporal trompette; 3 maréchaux ferrants; — 1 forgeron; —4 trompettes ; — 120 cavaliers de 1re classe; — 122 chevaux. La cavalerie coloniale se compose de : 3 régiments de cavalerie de l'île de Cuba ; — l'escadron de lanciers des îles Philippines.

;

;

;

;


PRINCIPAUX OFFICIERS

DE LA CAVALERIE ESPAGNOLE EN 1892

CAPITAINES GÉNÉRAUX :

Juan

de la Pezuela y Ceballos,

comte de Cheste. José Gutièrrez de la Concha é Irigoyen, marquis de la Havane.

J. Colomo y Puche, membre de la « Junta superior consultiva de guerra ». A. Moreno y Villar, capitaine général d'Aragon.

LIEUTENANTS GÉNÉRAUX :

GÉNÉRAUX DE DIVISION :

J. Pasqual de Bonanza y Soler

de Cornella.

J. Contreras y Martinez, membre de la

«

Junta

superior ». M. Sanchez y

Mira, gouverneur militaire de Cor-

doue. J. Pacheco y Gutiérrez, 2e chef militaire d'Aragon. G. Chacon y Romero, 2e chef militaire de Valence. M. Loresechay Rodriguez de Alburquerque, marquis de Hijosa de Alava, membre de la « Junta su-

perior ». GÉNÉRAUX DE BRIGADE :

E. Franch y Trasserra, chef de

brigade d'Aragon (1er et 18e régiments). P. Girón y Aragón, duc de Ahumada, chef de la brigade de la Nouvelle-Castille. F. Mendiculi y Suárez, gouverneur militaire d'Albacete. E. Sánchez Seijas, quartier général à Madrid. J. Léon y Barreda, gouverneur général de Ponte2e

vedra. L. Salbado y Santos, secrétaire de l'inspection de cavalerie. L. Lopez Cordón y Chacón, aide de camp du roi. J. de Zavala y Guzmán,marquis de Sierra Bullones, comte de Paredes de Nava y de Santa Marca, quartier général à Madrid.

M. González de la Rosa, chef de

la

1re

brigade de

Catalogne (3e et 4e rég.). C. Melguizo y González, quartier général à Madrid. H. Barbáchano y Aguirre, gouverneur militaire de

Santander. M. Gutiérrez Herràn, chef de brigade de la Vieille-

Castille.

J. Bosch y Mayoni, chef de la

1re

brigade de la

Nouvelle-Castille (10e et 12e rég.). J. Huguet y Ayuso, gouverneur militaire de Zamora. C. Coig y O'Donnell, chef de la 3e brigade de la Nouvelle-Castille (19e et 20e rég.). R. Balboa y Gibert, gouverneur militaire de Soria. L. de la Portilla y. Cobián, gouverneur militaire de

Lérida.

E. Torreblanca y Diaz, chef de la 1re brigade d'artillerie de la Nouvelle-Castille. E. Gutiérrez Cámara, quartier général à Cuba. A. Sanchez Campomanes, quartier général à Madrid : J. Ortiz y Borrás, chef d'une brigade d'infanterie à Valence.

P. González y Montero, chef de brigade de l'Andalousie. R. Rubalcava y Negrón, gouverneur militaire de

Teruel

INSPECTEUR GÉNÉRAL DE LA CAVALERIE

:

LIEUTENANT

Luis Prendergast y Gordon, marquis de Victoria de las Tunas. GÉNÉRAL :

ESCADRON DE L'ESCORTE ROYALE. COLONEL : Eduardo Manzano Garcia. LIEUTENANT-COLONEL : Federico González COMMANDANTS :

J. Nieulant y

Sotomayor.

Montero.

Villanueva, marquis de


A. Carvajal y Fernández de Córdova, comte de Aguitar de Inestrillas y de Villalba. CAPITAINES : Manuel Cortés y Garcia. Carlos Senespleda y Tapia. PREMIERS LIEUTENANTS : Francisco Tuero Cifuentes.

Gerardo Alvear de la Pedraja. Antonio Laso y Zayas. Agustin Aguilera Gamboa, comte de Alba de Yeltes. Enrique Chacón Sánchez. Victoriano Chaves Cistué. VictorianoDulce Antón. PROFESSEUR D'ÉQUITATION :

DU ROI, N° 1, à SARAGOSSE.

Pedro Sarrais y Taillaud. LIEUTENANT-COLONEL : José Beltrán y Mateos. COMMANDANTS : Manuel Plana Bretón. Guillebaldo Valderrabáno Ceballos. Francisco Pra Duarte. COLONEL :

Arturo Serrano Urgueta.

Juan Guerra Abellano. Federico Rodriguez Fito y Montero. Antonio Romàn Orejón. Cecilio Lafuente Deza.

Félix Fernández Bermúdez. Fermin Bernal Lasmarias. BOURBON, N° 4, à REUS. COLONEL : Maximino LIEUTENANT-COLONEL :

Creagch Treviño.

Juan Barrera Escurra.

Pedro Buch Mateos. Hipólito Garcia Alonso. Vicente Pons Alcober. CAPITAINES : Ramon Pagola Andueza. Severo Rodriguez Migueles. Félix Carrasco Pérez. José Aparicio Hernández. Restiluto González Solo. COMMANDANTS:

Rigoberto Ubach Lleó. Sebastian Velasco Ramos. Alonso Diego Moraleja. FARNÈSE, N° 5, à PALENCIA.

Andréa Royo Domeco. Ubaldo Leal Saleta. Juan Palau Boix. Antonio Ferrer Mur. FranciscoBonel Sánchez. Ignacio Segura Serrale. Andrés Lopez.Velilla. Ramón Bañuelos Pérez.

COLONEL : Diego Buil y Martin de Velasco. LIEUTENANT-COLONEL : José Vázquez Gómez y COMMANDANTS:

Miguel.

Venancio Centeno Tapioles.

Gregorio Prieto Villarreal.

Simón Santos Montero.. CAPITAINES :

Fernando Sanz Trigueros.

Juan Bravo Migueles.

Mariano Sierra Alonso. DE LA REINE, N° 2, à

Ten.

José Gregorisch Piña.

Eladio Pascual Govantes.

ALCALA DE HENARES.

COLONEL : Leopoldo Garcia Peña. LIEUTENANT-COLONEL : G. Sierra y

Vàzquez Novoa. COMMANDANTS: Francisco Ampudia López. José de la Prada y Estrada.

Luis MarchesiBútler. CAPITAINES :

Juan Sorli

Gerardo Oliveros Caballero.

RÉGIMENTS DE LANCIERS.

CAPITAINES :

Pelegrin Olmos González. Emilio Vázquez Prada y Pruneda. CAPITAINES : Jenaro Turrión Andrés. Maximino Torresano Collado. Lucio Jiménez Campillo. Valentin Martinez Malagón. José Suez Medina.

Antonio de la Lastra Rojas.

Antonio Garcia Ortiz.

José Sandoval Medel. Tomás González Ros.

Luis Diaz Figueroa. Pedro Carballo Cosada. FranciscoBurillo Vitaller. Manuel Sánchez Sánchez. DU PRINCE, N° 3, à VILLAFRANCA DEL PANADÈS. COLONEL : Vicente Cortijo Navarro. LIEUTENANT-COLONEL : Mariano Gómez de la Torre y Abréu. COMMANDANTS: Manuel Alonso Maestro.

Leandro Peñas Azañedo. Antonio Cumbres Caballero. Cándido Polo González. Enrique Jurado Giró.

Juan Morales Veneroso. Diego Doblado Badillo. VILLAVICIOSA, N° 6, à

BADAJOZ.

COLONEL : Tulio Agudo y Velasco. LIEUTENANT-COLONEL : José Fernández

de la Puente y

Patrón. Pedro Ezquerro Hemández. Ricardo Segurado Alberca. José Ruiz Lara y Poveda. CAPITAINES : Arturo Fernández Assas. Manuel Alba Fernández. COMMANDANTS :

Joaquin Piquer Alonso. Juan Alba Fernández. Ignacio Murillo Reyes. Francisco Lezcano Comendador. Antonio Rubio Pérez. Ruperto Agudo Gonzalez.


ESPAGNE, N° 7, à

Domingo González Martin.

BURGOS.

COLONEL : Braulio Campos é Hidalgo. LIEUTENANT-COLONEL : Eladio de Vinuesa

y Martinez de

Velasco. COMMANDANTS:

José Trabadelo Fernandez.

Dionisio Ibarreta Ayala. Manuel Rodriguez Losada. CAPITAINES : Dámaso Sanz Urrutia. Crescencio Jiménez Lázaro. Clemente Verges Campos.

Gumersindo Pèrez Ramos. Isidoro de la Fuente y Vázquez. NUMANCE, N° 11, à PAMPELUNE.

José D'Harcourt y Moriones. LIEUTENANT-COLONEL: José Ferrando Casanova.

COLONEL :

COMMANDANTS:

Pedro Garcia Bona. Raimundo López Santiago. Ricardo González Salazar. Daniel Morcillo Zarzola. Antonio Martinez Rituerto.

Cesareo Caravaca Urtiaga.

Bernardo FernándezSuárez. Domingo Rivero Castro.

Quintin Garcia Tarancón. Andrés Huerta Urrutia. Tomàs Felipe Gil. José Sánchez Nieto. Ciriaco Pozas é Izquierdo. Celeslino Muga Gómez. Analolio Cuadrado Romero. Lino López del Amo.

CAPITAINES :

SAGONTE,N° 8, à VALENCE. COLONEL : Clemente Mathé Cagigal. LIEUTENANT-COLONEL : Miguel Cañellas

Barceló. COMMANDANTS : Mariano Martinez Lopez. Julián Durán Clart. José Pérez Fernández. CAPITAINES : Pedro Font de Mora Jáuregui. Antonio Gómez Cano.

LUSITANIE, N° 12, à ALCALA DE HENARES. COLONEL :

Julián Ruiz y Ortega.

LIEUTENANT-COLONEL:

Félix Gazlambide Delgado.

COMMANDANTS:

Pedro Mayoral Martinez. Antonio Escribano Carrasco. José Rojas Belda. Inocencio Lopez Tamayo. Daniel Ruiz López.

Ramon Jurado y Egido.

Siro Atienza Garcia de la Huerta.

Ricardo Ramos Caspe. José Fernández Laredo. VictorianoAltemir Labad. Francisco Manchón Martin. Carlos Vàzquez Fernández. Claudio Fernández Rodriguez. Jorge Heredia Sainz. Blas Tofé Ledesma. GuillermoRodriguez Roldán. Emilio López de Letona y Lomelino.

CAPITAINES :

RÉGIMENTS DE DRAGONS. SANTIAGO, N° 9, à GRENADE. COLONEL :

José Buerba Antonio. Julio Lostaló Ribot. Manuel Ojeda Bestué.

Juan Ampudia López. Emilio López de Vinuesa y Diaz. Fernando Jáudenes Gómez.

LIEUTENANT-COLONEL : COMMANDANTS :

Cayelano

Ibarra Sánchez.

Pablo SánchezMachado. CAPITAINES : Pedro Brean Abellan. Santiago González Blázquez. Pedro Alonso Sánchez. Juan Martinez Sánchez.

Eduardo Sierra Lopez.

COLONEL : LuisPascual del Povil y Martos. LIEUTENANT-COLONEL : José Castaño y Guzmán. COMMANDANTS :

Enrique Queypo del Llano y Sánchez.

Ildefonso Gómez Nielo.

Luis Chapado Cobos. Crisanto Peña Ayala. Gaspar Pérez Barón. Fulgencio Garcia Gómez. Maximino González Suárez.

CAPITAINES :

MADRID.

Rafael López Cervera. LIEUTENANT-COLONEL : Fernando de Losada y Sada. COLONEL :

José Bérriz Armero. Ignacio Canas Farreng. Francisco Asensio Herrero. CAPITAINES : Juan Alvarez Masó. Ulpiano López Paramio.

COMMANDANTS:

ALMANSA, N° 13, à VALLADOLID.

Ambrosio Martin Garcia.

Manuel Cantero Piñar. Gregorio Porras Ayala. Ramón Alonso Ocón. MONTESA, N° 10, à

RÉGIMENTS DE CHASSEURS.

AntonioAmat y Micó. Julián Herranz Gordo. Manuel López González. ALCANTARA, N° 14, à BARCELONE. COLONEL : Carlos Andrade y de las Fuentes. LIEUTENANT-COLONEL : Eduardo Jalón Larragoiti.


Domingo Ruiz Rivero. Tomàs Cólogan Cólogan.

CASTILLEJOS, N° 18, à

COMMANDANTS:

COLONEL : Rafael Clavijo Mendoza. LIEUTENANT-COLONEL : Nicolás Azara

Ernesto Gómez Suárez. CAPITAINES : Rufino Montaño Subirá. Mariano Usúa Diaz.

COMMANDANTS:

Rafael Santapau Segura. Domingo Ramos Centeno. Felipe Moreno Huertas. SALAMANQUE.

COLONEL : Bernardo González del Rubin. LIEUTENANT-COLONEL : Hipolito Fernandez COMMANDANTS : Pedro Rodriguez Yuste.

Balbuena.

Pedro Lodos Seijo. Juan Camargo Rodriguez.

Satumino Salvador Hernandez. Francisco Hortigüela Tamayo. Andrès Ferreras Pequeño. Tomas Valverde Tambolea. Florentino Alonso Salgado.

Federico Gerona Enseñal. Facundo Belio Alonso. CAPITAINES : Antonio Heredia Carbonell. José Manzano Cuesta. Cipriano Blásquez Muñoz. Ildefonso CalatravaMarin. Agustin de Quinto Fernández. Tomàs Lamarca Campais. Tomàs Carnero Murillo. Antonio Calvo Antoni.

DE LA PRINCESSE, N° 19, à

MADRID.

COLONEL : Rafael Ibàñez de Aldecoa y Lara. LIEUTENANT-COLONEL : Manuel Azlor de Aragón

y San

Juan. COMMANDANTS :

José Arias López. Felipe González Garcia. Ricardo Parrilla Regalo.

Agustin de la Serna Entrecanales.

Juan Prim y Agüero. Francisco Bellido Labandero. CAPITAINES :

ALBUERA, N° 16, à

Ricardo Molló Izquierdo.

Fernando Garcia Lastra.

LOGRONO.

José Montojo Caslañeda. José Olona Santos. José Zabalza è Iturriria. José Rico Megina. Nicanor Poderoso Egurvide. Enrique de la O y López.

Ricardo Ojeda Perpiñàn. LIEUTENANT-COLONEL: Luis Béjar Mendoza. COLONEL :

Luis Andriani Rosique.

Nicanor Ruiz Delgado. Florentino Alonso Ruiz.

Eduardo Solo y Malagelada. Manuel Pinto Benitez.

CAPITAINES :

PAVIA, N° 20, à

Tomás Costillas Velasco.

MADRID.

COLONEL : Calixto Ruiz Ortega. LIEUTENANT-COLONEL : Angel Bielsa

Aquilino López Sáez. Federico Garcia Ibáñez Pedro Benilez Marin. Santiago Fernández Santos. TETUAN, N° 17, à

Eduardo Repiso Iribarren.

RÉGIMENTS DE HUSSARDS.

CAPITAINES :

COMMANDANTS :

y López de He-

redia.

Angel Dulce y Antón. Luis Trujillo del Olmo. Francisco Ortega González.

TALAVERA, N° 15, à

SARAGOSSE.

Martinez.

Federico Reinoso y Muñoz de Velasco. Joaquin Miláns del Bosch. Germàn Brandeis Gleicheauf. CAPITAINES : Manuel Diez de Mogrovejo. Balbino Ibáñez Conde. FernandoPastor Sanz. Rafael Esteban Torres. Andrès Aguirre Pacheco. Juan Planas Bretón. Gerardo Miguel Dehesa. COMMANDANTS :

BARCELONE.

COLONEL : Luis Mackenna Benavides. LIEUTENANT-COLONEL : Cipriano Jiménez

Rabadan. Antonio Rueda Gonzalez. Ricardo Benedicto Gálvez. Galo Colilla Espinosa. CAPITAINES : Cándido Urdiain Ros. Antonio Corlés Pérez. Diego Martin Canal. COMMANDANTS:

Mariano Felipe Naya. Maximiliano Soler Losada. Hilario Lasheras Léon. Juan Romà Sala.

Atanasio Serrano Bartolomé.

Frontin y

RÉGIMENTS DE CHASSEURS. ALPHONSE XII, N° 21, à

SÉVILLE.

COLONEL : Enrique Trechuelo y Osmant. LIEUTENANT-COLONEL : Francisco Campuzano

Torre. COMMANDANTS:

Manuel Ojeda y Perpiñán.

Rafael Ruiz Porras.

de la


Ramón Ugarte y Verda. Antonio Acebedo Sierra. Segundo Villalba Alonso.

Braulio Verde Robles. Guillermo Vázquez Rodriguez. Timoleo Garcia Casarrubios Minguez. CAPITAINES : Jacinto Pérez Amor. Alonso Núñez Núñez. Eugenio Gutiérrez Gutiérrez. Luis Cid Conde. Jerónimo Alonso Riesco. Joaquin López Matias. José Ronda Rebollo. Teodomiro Gordejuela Prieto. COMMANDANTS:

Juan Lozano Diaz. Juan RequenaBañón. Félix Blanco Montes. Antonio Ramos Calderón.

José Valenzuela Cernera. SESMA, N° 22, à VALENCE. COLONEL : Nicanor Picó y Garcia Pego. LIEUTENANT-COLONEL : Augusto Gracián Reboul.

Evaristo Cuena Cuena. Marcos Marqués Palafox. CAPITAINES : Luis Marquez Peris. Francisco Redondo López.

MAJORQUE, N° 26, à BARCELONE.

COMMANDANTS:

COLONEL : Miguel Manglano y Guajardo. LIEUTENANT-COLONEL : Nicasio Gerona Vera.

Eusebio Cabañas Pérez. José Carrasco Pérez. Agustin Bandres Fernandez.

COMMANDANTS :

Juan Guzmán Cobreros. Lorenso Palau Boix. Pedro Parra Vizcaino.

Roberto Taltabull Roselló. Amador de la Rosa Diaz. Rafael Rueda Muñoz. Francisco Orlega Ramos. Pedro Palau Boch.

CAPITAINES :

Océano Altolaguirre Labasta.

Manuel Serrano Puig. Estanislas Andrés de Pablo. VILLARROBLEDO, N° 23, à COLONEL : José Serrano Aizpurua. LIEUTENANT-COLONEL : Rafael P. Laso

CORDOUE.

de la Vega

Julián Valladolid Jiménez. Y

Ar-

güelles.

Joaquin Berniola Gascón. Miguel Nuñez de Prado. José Busón Pérez. CAPITAINES : Juan Ponce Barbosa. Eladio Monedero Gallo. Rafael Velasco Isaac Galán Rico. COMMANDANTS:

Vergel.

Mariano López Tuero. Alejandro Peñalver Gutiérrez Francisco Solano de la Cruz. Miguel Rodriguez Montes. ARLABAN, N° 24, à VITORIA. COLONEL : Arturo Ruiz Sanz. LIEUTENANT-COLONEL : Manuel Asas

Cea.

Serapio Riaño Castro. Domingo Borri y Sáens de Tejada. Segundo Pablo Barbero. CAPITAINES : Enrique Albero Calvo. Abdón Bercero Fernàndez.

COMMANDANTS :

Adolfo

Pascual Orlega.

EnriqueBautista Riverón. José Garcia Siñeriz. Florentino Flores Jiménez. Felipe Ramos Arcos. Manuel Gabin Fernandez. GALICE, N° 25, à SANTIAGO. COLONEL :

Emilio Puig Decrusaz.

LIEUTENANT-COLONEL :

José Pérez de Guzmán y Güell.

Constantino Villares de la Gala. Francisco Zapata Marin. MARIE-CHRISTINE, N° 27, à COLONEL :

ARANJUEZ.

Federico Monleón Garcia.

LIEUTENANT-COLONEL:

Victor SánchezMesa.

Antonio Carlos Alix. Manuel de Alarcón y Caspe. Antonio Guerra Martinez. CAPITAINES Leopoldo Sandoval Prieto. : Balbino Garcia López. Antonio Navarro Escalera. José MisericordiaArmellones. Antonio de la Fuente y Castrillo. José Pastor Sanz. Estanislao Tauste Goizueta. Manuel Jiménez y Morales de Setién. COMMANDANTS :

VITORIA, N° 28, à JEREZ

DE LA FRONTERA

COLONEL : José Guzmán Rodriguez. LIEUTENANT-COLONEL : Emilio Herrero

Cortés.

Joaquin de Souza Preciados. Anicelo Rebollo Pavón. Tomás Martin González.

COMMANDANTS:

José Domencch Ginovés. Ramon Villuendas Arjona. Vicente Hinojosa Luque. Antonio Pancorbo Orlega. Angel Salvatierra Grañon. Martin Vicioso Hidalgo. Antolin Agar Cincùnegui. Francisco Lucero Hernández.

CAPITAINES :


FERNAND CORTES, N° 29, à COLONEL : Joaquin Giroud Zaparit. LIEUTENANT-COLONEI. : Francisco Melgar

CUBA.

(CUBA).

Diaz.

Ramon Leal Gonzalez de Riva. Salvador Arizón Sánchez Fano. Prudencio Serrano Izquierdo. CAPITAINES : Pedro Ulecia Cardona. Juan Costo Pache. COMMANDANTS:

Pascual Herrera Orzáes.

LIEUTENANT-COLONEL : CAPITAINES : Leopoldo

CAPITAINE :

à

B. Garcia Veas. LIEUTENANT-COLONEL R. López Navarro.

ADJOINT :

ÉCOLE D'ÉQUITATION. DIRECTEUR : COMMANDANT E.

Andino del Solar.

DÉPOTS DE REMONTE. PREMIER, GRENADE, à

UBEDA.

COLONEL : AlfredoPessino Screess. LIEUTENANT-COLONEL : Pedro Rubalcava Muñoz.

Francisco Garcia Villar. CAPITAINES : Pedro Moreno Fernández. Pedro López Llana. COMMANDANT:

CUBA.

COLONEL : Emiliano de Loño y Pérez. LIEUTENANT-COLONEL : Clemente Obregón de

Carlos Palancas Cañas.

Eduardo BrusolaPerea. Angel Valimaña Arnay. Rafael Castellón Ruiz. Francisco del Campo Garcia. Miguel Rodriguez Lucas. Enrique Ubjeta Mauri. Juan Diaz Fernández. Miguel Socasar Navarro. Enrique Diaz Tejero. Babil López Ansó.

VALLADOLID.

DIRECTEUR : COLONEL

Jullian Lillo é Izquierdo.

CAPITAINES :

Martinez del Rincón y Lires.

Antonio Sousa Regoyos. Manuel Saavedra y Benito.

CUBA.

Julio de la Jara Atienza.

TACON, N° 31, à

Juan Garcia Celada y Madrigal.

ACADÉMIE D'APPLICATION DE CAVALERIE,

José Roméu Crespo. Manuel Canga Argüelles. CAPITAINES : Felipe Junciel Canellas Augusto Villares de la Gala. Felipe Páramo Constantini. José Serrano Puig. Juan Arnaldo Visa. Juan Agulló Ruiz. Enrique Hernández Ferrer. Luis Sartorius Chacón.

COMMANDANTS:

ESCADRON DES PHILIPPINES.

COMMANDANT:

Pablo Landa Arrieta.

COMMANDANTS:

Juan González Lendinez.

MILICE VOLONTAIRE DE CEUTA.

PIZARZE, N° 30, à LIEUTENANTCOLONEL :

Basilio Rubio Chaves.

CAPITAINES :

Roberto White y Gómez.

AntonioJiménez Albacete. Ramón Brandaris Rato. Ricardo Callol Jover. José Sanz Maza. Manuel Mariño Diozal.

COLONEL :

ESCADRON DE VOLONTAIRES DE CAMAJUANI

SECOND, CORDOUE à los Rios.

CORDOUE.

COLONEL : Eduardo Gonyora é Igea. LIEUTENANT-COLONEL : Federico Menduiña Ruffi.

José de Cárdenas y Diaz. CAPITAINES : Felipe Acedo Velado. Ciriaco Cascajo Ortiz. COMMANDANT :

TROISIÈME, ESTRÉMADURE, à

MORON.

COLONEL : Antonio Lozano Gámiz. LIEUTENANT-COLONEL : Francisco Jaquetot Garcia.

:

Antonio Contreras Montes. CAPITAINES : Angel Alarcón Verdú. Sebastian Ariza Bermúdez. COMMANDANT


CHAPITRE VII FRANCE

quelque chose de nouveau, ou même d'intéressant sur la cavalerie française, après la publication du remarquable ouvrage de MM. Detaille et Jules Richard nous semble une tâche malaisée pour ne pas dire impossible. Aussi bien, est-ce à titre de simples renseignements, et pour toucher aux limites du cadre que nous avons voulu donner à ce modeste ouvrage que nous parlerons ici de

DIRE

On

sait quels

immensesprogrès elle a faits depuis les tristes jours de 1871. Ces progrès, dus à l'impulsion énergique et intelligente de

chefs comme les généraux de Gallifet, L'Hotte, Thornton, Cornat, de Kerhué, Lardeur, Bonie, d'Espeuilles, etc., etc., qui ont rendu à MM.


notre cavalerie, au moins comme corps d'officiers et de sous-officiers, la place qu'elle doit occuper au premier rang dans les armées européennes. Ce qu'on peut avancer en toute confiance, c'est qu'en dépit des efforts de quelques esprits rétrogrades ou jaloux pour lesquels le passé fut une insuffisante leçon, nos officiers de cavalerie sont ceux qui montent le mieux à cheval de toute l'Europe. N'est-ce pas dire qu'ils sont les premiers cavaliers du monde ? D'une remonte souvent inférieure à celle d'autres cavaleries, ils savent, à leur plus grande gloire, tirer de leurs montures les résultats les plus brillants et à la fois les plus solides. Aucune école ne saurait être comparée, même de loin, à l'école de Saumur. Comptant dans ses cadres les noms les plus illustres de l'aristocratie et de la haute bourgeoisie de France, notre cavalerie maintient haut et ferme l'honneur de ses brillants étendards. Si aux mauvais jours, surprise par le nombre, endormie dans une trop grande confiance que justifiaient ses succès passés, elle a donné lieu à quelques critiques, l'héroïsme admirable qui se manifesta à Reischoffen, à Gravelotte et à Sedan, montre suffisamment que le sang des Murat, des Lassalle, des Hautpoul, des de Bracke, bouillait toujours dans les veines de leurs petits-fils. Viennent de nouveaux combats, et les « braves gens » qui faisaient l'admiration du Prince d'Orange et du roi Guillaume, n'auront pas certes à rougir de leurs successeurs. Modeste et ignoré membre de cette grande famille à laquelle j'ai appartenu pendant dix années, je suis heureux que cette humble étude me permette de dire toute l'estime que je professe pour les loyaux officiers sous lesquels j'ai eu l'honneur de servir.

La loi de recrutement, en France, date de 1889. Voici en quelques lignes quelles sont ses dispositions les plus importantes : Tout Français doit le service militaire personnel. L'obligation du service militaire est égale pour tous. Elle a une durée de vingt-cinq années.


Chaque année, pour la formation de la classe, les tableaux de recensementdes jeunes gens ayant atteint l'âge de vingt ans révolus dans l'année précédente et domiciliés dans sont dressés par les maires. l'une des communes du canton Le conseil de revision : président ; à défaut, du secrétaire gé1° Du préfet,

estcomposé son

du conseiller

néral, et exceptionnellement de préfecture et d'un

vice-président du conseil de préfecture désigné par

pré-fecture d'arrondissement,

désigné par le préfet ; D'un conseiller de autre que 3° D'un membre du conseil le représentant élu dans le canton où la révision a lieu, désigné par le préfet ; 4° D'un officier général ou supérieur désigné par l'autorité militaire. (Remarquons, sans insister, qu'il peut se produire qu'un général ayant soixante ans d'âge, vingt ou trente campagnes, plusieurs blessures et vingt-cinq ou trente ans de service, se trouve ainsi le simple membre, l'assesseur, d'un conseil présidé par un jeune secrétaire de vingt à vingt-cinq ans, et d'un mérite très relatif.) 5° Un sous-intendantmilitaire, le commandant de recrutement, un médecin militaire ou à défaut un médecin civil désigné par l'autorité militaire, assistent aux opérations du conseil de revision. Le conseil" ne peut statuer qu'après avoir entendu l'avis du médecin. Tout Français re2°

connu propre au ser-

vice militaire fait partie successivement

:

De l'armée active

pendant trois ans ; De la réserve de l'armée active pendant sept ans ; De l'arméeterritorialependantsixans ; De la réserve de l'armée territoriale pendant neuf ans. Le service mili¬


taire est réglé par classe. L'armée active comprend, indépendammentdes hommes qui ne proviennent pas des appels, tous les jeunes gens déclarés propres au service militaire et faisant partie des trois dernières classes appelées. La réserve de l'armée active comprend tous les hommes qui ont accompli le temps de service prescrit pour l'armée active. L'armée territoriale comprend tous les hommes qui ont accompli depuis moins de six ans le temps de service prescrit pour l'année active et sa réserve. La réserve de l'armée territoriale comprend tous les hommes qui ont accompli le temps de service prescrit pour cette dernière année. Chaque année, après l'achèvement des opérations du recrutement, le ministre de la guerre fixe sur la liste du tirage au sort de chaque canton et proportionnellement, en commençant par les numéros les plus élevés, le nombre d'hommes qui seront envoyés dans leurs foyers en disponibilité après leur première année de service. (Infant.) Ces jeunes soldats resteront néanmoins à la disposition du ministre, qui pourra les conserver sous les drapeaux ou les rappeler, si leur conduite et leur instruction laissent à désirer ou si l'effectif budgétaire le permet. La durée du service compte du 1e novembre de l'année de l'inscription sur les tableaux de recensement, et l'incorporation du contingent doit avoir lieu, au plus tard le 16 novembre de la même année. En temps de paix, chaque année, au 31 octobre, les militaires qui ont accompli le temps de service prescrit, dans l'année active, dans la réserve de l'armée active,


OFFICIER DE CUIRASSIERS.



dans l'armée territoriale, dans la réserve de l'armée territoriale, sont envoyés respectivement : dans la réserve de l'armée active, dans l'armée territoriale, dans la réserve de l'armée territoriale, dans leurs foyers, comme libérés à titre définitif.

Après les grandes manoeuvres, la totalité de la classe dont le service actif expire le 31 octobre suivant peut être renvoyée dans ses foyers en attendant son passage dans la réserve. Dans le cas où les circonstances paraîtraient l'exiger, le ministre de la guerre est autorisé à conserver provisoirement sous fies drapeaux la classe qui a terminé sa troisième année de service. Notification de cette décision sera faite aux Chambres dans le le plus bref délai possible. En temps de guerre, les passages et la libération n'ont lieu qu'après l'arrivée de la classe destinée à remplacer celle à laquelle les militaires appartiennent. Cette disposition est exceptionnellementapplicable, dès le temps de paix, aux hommes servant dans les colonies. Les hommes faisant partie des corps mobilisés peuvent y être maintenus jusqu'à cessation des hostilités, quelle que soit la classe à laquelle ils appartiennent. En temps de guerre, le ministre peut appeler par anticipationfia classe qui ne serait convoquée que le 1er novembre suivant. Le contingent à incorporer, dans l'armée active, est formé par les jeunes gens inscrits dans la première partie des listes de recrutement cantonal. Ce contingent est mis, à dater du 1er novembre, à fia disposition du ministre qui en arrêtefia répartition Le rappel de la réserve de l'armée active peut être fait d'une façon distincte et indépendante pour l'armée de terre, ou pour les troupes coloniales ; il peut être fait pour un, plusieurs ou tous les corps d'armée, et s'il y a lieu, distinctement par arme. Dans tous les cas, il a lieu par classe, en commençant par la moins ancienne. Les hommes de la réserve de l'armée active sont assujettis, pendant leur temps de service dans ladite réserve, à prendre part à deux manoeuvres, chacune d'une durée de quatre semaines.

la


Les hommes de l'armée territoriale sont assujettis à une période d'exercices dont la

durée sera de deux semaines. Les jeunes gens qui doivent être inscrits sur les tableaux de recensement ou qui sont autorisés par les lois à servir dans l'armée française peuvent volontaire. être admis à contracter un dans les services auxiliaires Les hommes exemptés ou peuvent, jusqu'à l'âge de ans accomplis, être admis à contracter des engagements Bonnet de police d'officier volontaires, s'ils réunissent les conditions d'aptitudes La durée de l'engagement est de trois, quatre ou cinq ans. Les jeunes gens remplissant les conditions stipulées peuvent être admis à contracter, dans les troupes coloniales, des engagements volontaires d'une durée de cinq ans, donnant droit, pendant les deux dernières années, à une prime. En cas de guerre, tout Français ayant accompli le temps de service prescrit pour l'armée active, la réserve de ladite armée et l'armée territoriale, est admis à contracter dans un corps de son choix, un engagement pour la durée de la guerre. Cette faculté cesse pour les hommes de la réserve de l'armée territoriale, lorsque leur classe est rappelée à l'activité. Les soldats décorés ou médaillés ou inscrits sur les listes d'aptitudes pour le grade de brigadier, ainsi que les brigadiers, pourront être admis à contracter des rengagements pour deux, trois ou cinq ans pendant le cours de leur dernière année de service sous les drapeaux. Tout homme faisant partie des troupes coloniales peut être admis à contracter des rengagements pour deux, trois ou cinq ans après six mois de service. Les rengagements datent du jour de l'expiration légale du service dans l'armée active. Ils sont renouvelables jusqu'à une durée totale de quinze années de service effectif. Les brigadiers et les soldats qui contractent un premier rengagement de deux, trois ou cinq ans ont droit à une prime payable immédiatementaprès la signature de l'acte ; cette prime varie suivant la durée de rengagement. En outre, des hautes payes journalières sont allouées aux rengagés à partir du jour où leur rengagement commence à courir.

en-gagement classés

trente-deux

physiquesexigées.

Après cinq années de rengagement, ces hautes payes seront augmentées de moitié pour les brigadiers et de 1/3 pour les soldats.


serve de l'armée active ; il passera dans l'armée territoriale, et par suite dans la réserve de cette armée, trois ans avant la classe à laquelle il appartient. Dans les troupes coloniales, les premiers rengagements donnent droit à une prime payée au moment de la signature de l'acte et à des gratifications annuelles. Les rengagements ultérieurs ne donnent droit qu'aux gratifications annuelles. Les hautes payes journalières pour les brigadiers et soldats sont augmentées de trois ans en trois ans.


Les militaires de toutes armes, les hommes de la réserve de l'armée active âgés de moins de vingt-huit ans, les hommes des régiments étrangers autorisés par les

ministres peuvent également contracter des rengagements dans l'armée coloniale. Dans un très intéressante étude sur le recrutement de la cavalerie, parue en 1887 (Journal des Sciences militaires), M. H. Martin, ancien officier de cavalerie, se plaignait fort justement de ce que l'ancienne loi ne s'occupait en rien de la cavalerie, au point de vue de son recrutement spécial; ses critiques, fort justes, sont également applicables à la loi de 1889. En effet, sauf l'article qui autorise les cavaliers à contracter un rengagement de un an, et dont les résultats sont nuls ou à peu près, les législateurs ne se sont que fort peu souciés des besoins spéciaux de l'armée. Parlant du recrutement, M. H. Martin écrit : « Il y a là besogne de législateur tout autant que d'officier. L'avenir d'une cavalerie dépend de la valeur bonne ou médiocre des éléments, — hommes et chevaux, — versés dans les corps de troupe conformément à la loi. Si un pays n'a que de mauvaises lois en ce qui concerne le recrutementet la remonte de sa cavalerie, il aura beau posséder des généraux capables de l'entraîner, de la manier, d'en user sans la ruiner, ces hommes n'auront jamais, sous leurs yeux attristés, qu'une cavalerie inconsistante, dont ils tireront parti, sans douté, mais non tout le parti qu'on est en droit d'attendre d'une ARME NE SUPPORTANT, GUÈRE LA MÉDIOCRITÉ. Bien constituée, la cavalerie rendra d'immenses services. Composée d'éléments insuffisants, ce ne sera plus qu'un amas de bouches inutiles et d'impedimenta. « Son recrutement est donc de la plus haute importance, mais il est malaisé. Les cavaliers sont tenus de savoir beaucoup,fies officiers beaucoup plus encore. LES UNS ET LES AUTRES DOIVENT ÊTRE SPÉCIAUX. Ils doivent être triés sur, le volet. C'est d'autant plus nécessaire qu'ils sont plus en évidence, qu'ils ENTRENT LES PREMIERS EN SCÈNE SUR LE THÉÂTRE DES HOSTILITÉS. QU'UNE CAVALERIE LANCÉE EN AVANT DES ARMÉES, JOUE ALLÈGREMENT LE PROLOGUE DE LA GUERRE, AUSSITOT LA CONFIANCE S'ACCROITRA PARTOUT DANS LES TROUPES ET CHEZ LES NATIONAUX. QUE CETTE CAVALERIE, AU CONTRAIRE, AUTANT PAR SA COMPOSITION QUE PAR SON ÉDUCATION, NE SOIT PAS A LA HAUTEUR DE SON ROLE DE BOUTE-EN-TRAIN, IMMÉDIATEMENTLES-RESSORTS MORAUX SE DÉTENDRONT PARTOUT. »

-

Il faut bien avouer, du reste, que cette indifférence vis-à-vis du recrutement

spécial


que comporte lu cavalerie se montre également dans toutes les lois précédentes. Ni la loi du 19 fructidor an VI, ni la loi du 28 germinal an VII, ni le règlement du 17 ventôse an VIII, ni l'arrêté du 18 thermidor an X, non plus que la loi du 18 fructidor an XIII, que le décret de 6 janvier 1807, que l'ordonnance du 30 août 1815, que les lois de 1818, du 5 juin 1824, du 11 décembre 1830, du 21 mars 1832, de 1868, 1872, 1875, ne s'occupent

d'un recrutement spécial pour assurer au pays une bonne cava-

lerie.

une plus logique et plus équitable composition du conseil de revision et des officiers de recrutement. Poursuivant, avec une dialectique très serrée, son étude sur les errements en usage, il dit : Dans les bureaux de recrutement, à la répartition de la pre« mière portion de chaque contingent annuel, on choisit bien, pour les verser dans les corps de troupe à cheval, les hommes ayant quelques habitudes des animaux, quelques notions des soins à leur donner, c'est-à-direles jeunes soldats originaires des régions agricoles ou des pays d'élevage ; on fait bien en sorte de n'affecter à la cavalerie que des hommes suffisamment conformés pour enfourcher un cheval; mais, dans ce mode de faire, on se base seulement sur des principes dictés par le bon sens, formulés par l'usage, résultant en somme d'opinions personnelles, par conséquent variables. Les officiers recruteurs ont parfois, pour se guider, des instructions ministérielles élaborées au comité de cavalerie. Or, il est arrivé que, dans ces dernières années, l'impulsion donnée a été aussi nuisible que les fantaisies du recrutement impérial. Sous le vain prétexte d'augmenter la vitesse de la cavalerie, d'élever le facteur v2 dans la formule mv2, qui donne la force de choc d'une cavalerie, on a voulu, à l'instar de ce qui se fait en sport hippique, monter de petits hommes sur de grands chevaux. taille de la cavalerie. On ne s'est pas sou« On a donc abaissé la venu que le cavalier doit pouvoir charger la selle paquetée sur le dos de son cheval, élever son pied gauche jusqu'à l'étrier et passer lestement sa jambe droitepar-dessus la croupe du cheval et le troussequin de la selle, sans caresser sa monture de l'éperon, maladroitement. On a oublié que le cavalier ne jouit pas du privilège qu'a le jockey, d'être hissé sur son cheval par un aide. instructions ministérielles s'entassant chaque année dans les « Des cartons des bureaux de recrutement, il faut retenir certaines dispositions qui témoignent du souci des ministres de la guerre à combler les lacunes dune législation imparfaite. Entre autres, citons celle qui consiste à faire tenir note, par les Avec raison M. H. Martin voit une partie du remède dans


officiers recruteurs, des demandes formulées par les jeunes gens en vue d'être versés dans l'arme de leur choix au jour de l'appel

sont là d'excellentes mesures. Il est de principe qu'on ne fait bien que ce que l'on fait volontiers. L'idéal serait de concilier l'intérêt général et les besoins des divers services avec les aptitudes et les goûts de chacun. Mais il est impossible d'y atteindre au moyen du tirage au sort, tel qu'il se pratique actuellement. Avec lui s'imposent, pour chaque arme, des.nécessités d'effectifs qui priment toutes autres considérations. Avec lui, on ne saurait faire l'essai loyal de la conciliation des différents intérêts en présence dans la question du recrutement. Sans lui, on pourrait certainement tenir compte des goûts individuels, qui la plupart du temps, en vertu de l'action réciproque du physique sur de moral et du moral sur le, physique, concordent avec les aptitudes de chacun. « Une ou deux remarques en passant. Dans les instructions signées du général Farre, ont trouve la préoccupation du recrutement des compagnies de, chemin de fer rattachées à l'arme dont sortait l'ancien ministre. On n'y voit point le souci du recrutement de la cavalerie, pas même de ses pionniers, dont il avait été question cinq années auparavant, mi des télégraphistes qu'il faudra tôt ou tard incorporer dans des compagnies spéciales de cavaliers d'état-major. militaire, quelle que soit son habitude per« Dans les conseils de revision, le médecin sonnelle de l'équitation, à moins qu'il n'ait servi longtemps dans la cavalerie, n'a pas une compétence suffisante pour apprécier le degré d'aptitude au chevaLdes hommes soumis à son examen. D'ailleurs, il doit se borner à donner un simple avis : il n'a point voix délibérative. Ainsi l'a voulu la loi. Elle ne s'en rapporte pas à la double honnêteté professionnelle, militaire et médicale ; à tort à ou raison elle entend mettre d'homme de «

Ce

reuse du fameux principe : « Cedant arma togae. » L'administrateur départemental, pourtant, n'a point de toge, mais bel et bien un uniforme brodé, et une épée au côté, tout comme un général. Aux séances, la plupart du temps le général opine purement et simplement du képi


des troupes à pied, ni ceux des troupes à cheval. Le commandant de recrutement, voilà la cheville ouvrière du Conseil. Très rarement aussi, il sort des troupes à cheval. Les officiers de cavalerie dégoûtés, ou devenus incapables d'un service actif, entrent de préférence dans le service des remontes. Ceux de l'artillerie éprouvant le besoin du


repos et de la vie sédentaire, ont de nombreux débouchés dans les établissements de l'arme qui leur offre des résidences à peu près fixes. Les officiers recruteurs sortent en général de l'infanterie. C'est donc, dans la plupart des départements, un officier

d'infanterie, qui, lorsque le Conseil, dans ses séances cantonales, a statué sur chaque examiné au point de vue du classement dans le service auxiliaire, reste seul maître, au sein de ses bureaux, de l'envoi dans telle ou telle arme des jeunes gens de la classe. Les-diverses armes ont souvent récriminé. On a voulu remédier au mal par force règlements à l'usage dés médecins et des officiers recruteurs. On n'a pas encore trouvé la prophylaxie de ce mal qui gangrène les armées les plus robustes, les plus désireuses de vie et de durée : un recrutement au hasard dans le tas des hommes abandonnés par le tirage au sort, à cette armée réputée, — EN DÉPIT DE TOUTES LES DÉCLARATIONS SO«

NORES SUR LE SERVICE PERSONNEL, OBLIGATOIRE, ÉGAL POUR TOUS, SUR LA NATION ARMÉE, LA GLOIRE L'HONNEUR — un minotaure, puisque les mauvais numéros seuls DU DRAPEAU, DES ARMES,

ont la malechance d'être appelés à constituer son noyau principal, l'armée active, ses cadres de sous-officiers, ses soldats d'élite, le dessus du panier militaire. » Comme dans cette très vigoureuse et très habile critique ont sent bien que l'auteur est officier de cavalerie ! Il n'y va pas de main morte et ne songe à ménager ni la chèvre bureaucratique ni le chou civil. Quant au remède, M. Martin nous le donne avec beaucoup de sens ; le voici : l'origine du mal ! Les dispositions de la loi sont mau« Les conseils de revision, voilà vaises. Qu'on transforme les conseils de revision en commissions de recrutement, quon y fasse entrer des, officiers des diverses armes, chacun défendant les droits de la sienne à une répartition équitable des hommes bien constitués de la classe ; qu'on remplace le recrutement départemental par un recrutement régional, — une commission par région de corps d'armée ; — qu'on réduise les officiers dits actuellement de recrutement à ce qu'ils peuvent être seulement, des confectionneurs de contrôle, non des estimateurs des aptitudes physiques des appelés ; que le tirage au sort, si l'on ne peut faire autrement que de le maintenir, suive au lieu de précéder ce qu'on appelle actuellement


AU CONCOURS

HIPPIQUE ;

OFFICIERS DE CHASSEURS ET DE HUSSARDS.



la revision, c'est-à-dire la visite médicale, le classement dans le service armé ou auxiliaire, l'examen, la solution des demandes de sursis d'appel et de dispenses du service actif en temps de paix; que, défalcation faite des invalides réformés, des exemptés provisoirement ou définitivement suivant les cas prévus par la loi, ce tirage distribue des faveurs aveugles seulement dans le tas des hommes bien conformés, déclarésfiions pour le service, bientôt tout changera comme par enchantement. Les diverses armes se recruteront bien. Et après l'incorporation de la classe, nulle ne pourra se plaindre. Chacune n'aura-t-elle point pris part à la formation du contingent à elle spécialement destiné? » Et poursuivant ses déductions avec une logique irréfutable, M. Martin demande pourquoi des opérations EXCLUSIVEMENT MILITAIRES comme le recrutement et la revision, etc., sont contrôlées, dirigées, présidées par l'administration civile. En effet, dans ce cas, l'élément militaire représente l'intérêt général, celui de la patrie; l'élément civil n'est ou plutôt ne devrait être que secondaire, il ne représente que les intérêts particuliers : ceux des familles et surtout des individus. Et avant tout, par-dessus tout, qu'on nous débarrasse de la tyrannie et de la stupide routine des bureaux et des bureaucrates! Qu'on les relègue au vingt-cinquième plan ! Qu'on leur ôte l'uniforme ! Les troupes combattantes devraient seules porter le sabre au coté. Quels magnifiques régiments on équiperait avec l'argent inutilement dépensé en paperasses ! C'est encore à M. Martin que j'emprunterai le mot de la fin de cette question : « Il importe, en effet, que dans un bureau de recrutement, on ne puisse plus dire, comme onl'a fait un jour à un MAITRE D'ÉQUITATION, DIRECTEUR D'UN MANÈGE CIVIL, demandant à être versé dans la cavalerie de l'armée territoriale : « Vous ÉTIEZ MOBILE PENDANT LA GUERRE. VOUS N'AVEZ JAMAIS SERVI DANS LA CAVALERIE. VOUS NE POUVEZ PAS ÊTRE CAVALIER.

LES RÈ-

GLEMENTS S'Y OPPOSENT. »

N'est-ce pas tout simplement exquis ! Disons maintenant, pour résumer cette question du recrutement, que la France est divisée en 145 subdivisions de régions. Il y a en outre 8 autres bureaux de recrutement : ceux de Lyon, Versailles,

les

6 bureaux de

la Seine, ce qui, ajouté

reaux d'Algérie, fait en tout 156.

aux 3

bu-


L'examen d'admission subi, tout candidat admis comme élève doit avoir contracté un engagement de trois ans avant d'entrer à l'École, ou justifié qu'il est inscrit sur la liste du contingent à laquelle il appartient par son âge. Les sous-officiers, brigadiers et soldats qui auront accompli le 1er juillet de l'année du concours, six mois de service réel et effectif, sont admis à concourir, pourvu qu'ils n'aient pas accompli leur vingtcinquième année et qu'ils soient encore sous les drapeaux au moment des compositions. Il est publié chaque année un programme des matières sur lesquelles les candidats doivent être examinés. L'École spéciale militaire est commandée par M. le général de brigade Motas d'Hestreux ; le directeur des exercices de la cavalerie est M. le chef d'escadron Daustel. Le prix de la pension est de 1.500 francs par an, celui du trousseau de 500 à 600 francs. La durée des cours est de deux années, au bout desquelles les élèves subissent l'examen de sortie et sont nommés sous-lieutenants dans un régiment. A leur arrivée, les élèves sont tous classés dans l'infanterie. Ceux qui désirent servir dans la cavalerie sont désignés, après six mois, selon la liste de classement de Pâques, en commençant par les premiers numéros. L'École d'application de cavalerie est constituée en vue : 1° de compléter et de perfectionner l'instruction des lieutenants de cavalerie désignés pour en suivre les cours ; 2e de compléter l'instruction des élèves de la section de cavalerie de Saint-Cyr (depuis 1891 ceux-ci ne sont envoyés à Saumur qu'après avoir servi un an dans la cavalerie, après leur sortie de l'École spéciale militaire) ; 3° de donner aux sous-officiers proposés pour l'épaulette les connaissances que tout officier doit posséder; 4° d'initier au service régimentaire les aides-vétérinaires stagiaires. La durée des cours est de onze mois. Ces cours sont gratuits.


Les sous-officiers élèves-officiers sont classés à la fin du cours suivant notes générales et celles de l'examen de sortie. Les pre-

leurs

miers numéros sont

immédiatement nommés souslieutenants en nombre variable suivant les besoins de l'arme ; les autres retournent à leur ancien mination

régi¬

L'École

nient pour y attendre leur noest commandée par M. le génégade Jacquemin. Le cadre en. composé : commandant en

ral de bri-

Lieutenant-colonel

est ainsi 2e

:

Trémeau (C. L.) ÉQUITATION.

Chef d'escadrons : Carbonnel de Canisy. Capitaines instructeurs : Mahot, Voisin, Domenech de Cellès, Durand de Mareuil, de Contades-Gizeux. Sous-instructeurs : Doynel de Quincey, L'Hotte, Gaborit de Monjou, Champion. EXERCICES MILITAIRES.

Chef d'escadrons, instructeur en chef : Odent. Capitaines instructeurs : Moret, Louvat, Le Bon de la Pointe, Caruel, Gouzil, Tercinier, Richard, Bréart de Boisanger.


ENSEIGNEMENT GÉNÉRAL.

Chefs d'escadrons : Paret, directeur des études et professeur d'art militaire ; Gillet, sous-directeur des études et professeur adjoint d'art militaire et de topographie.

Capitaines de cavalerie : Gouzil, professeur de fortification et de sciences appliquées à l'art militaire; Picard (1) professeur d'histoire et géographie militaires ; Purtscher, professeur d'allemand; Bourier, professeur de télégraphie militaire. ÉCOLE DE MARÉCHALERIE.

Vétérinaire en 1er : Dangel, commandant. ATELIER D'ARÇONNERIE.

Capitaine en

1er

d'artillerie : Durel. SERVICE DE SANTÉ.

Médecin-major de 1re classe : Yvert. Médecin-major de 2e classe : Géraud. Médecin aide-major de 1re classe : Jannot. SERVICE VÉTÉRINAIRE.

Vétérinaire principal de (1)

1re

classe : Logeay.

Auteur des Origines de l'École de cavalerie et d'autres ouvrages militaires.


Vétérinaire en 1er : Jacoulet. Vétérinaire en 2e : Joyeux. ADMINISTRATION ET COMPTABILITÉ.

Major de cavalerie : Ginet. Capitaine trésorier : Bréchoux. Officier d'habillement : Légier. Lieutenant adjudant au trésorier : Collignon. Lieutenant porte-étendard adjudant à l'habillement : Gibard. Capitaines adjudants-majors : Cornélis, Buhecker. REMONTES.

La France, au point de vue des remontes, est divisée ainsi qu'il suit : 1° Circonscription de Caen commandée par le colonel Bonn, comprenant les dépôts : Dépôt de Caen, départements explorés : Calvados. Manche. Dépôt de Saint-Lô, — Orne, Eure-et-Loir, Mayenne, Sarthe. Dépôt d'Alençon, — Eure, Oise (moins l'arrondissementde Senlis), Dépôt du Bec-Hellouin (1), —

Seine-Inférieure, Somme. Dépôt de Paris (2), départements explorés : Seine, Loiret, Oise (arrondissement de Senlis), Seine-et-Marne, Seine-etOise, Yonne. Dépôt d'Angers (3), départements explorés : Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Indre-et-Loir, Loir-et-Cher. Dépôt de Guingamp (4), départements explorés : Côtesdu-Nord, Finistère, Ille-et-Vilaine,Morbihan. 2° Circonscription de Tarbes commandée par le lieutenantcolonel de Pointe de Gévigny, comprenant les dépôts : Annexe d'Orgeville (Eure). (2) Annexe de Saint-Cyr (Oise). (3) Annexes de Beauval (Loir-et-Cher) et de Montoire (Loir-et-Cher). (4) Annexe de Lesnevar (Finistère). (1)


Dépôt de Tarbes'(1) explorant les départements des Hautes-Pyrénées, Ariège, HauteGaronne (arrondissement de Saint-Gaudens), Gers, Basses-Pyrénées. Dépôt d'Agen (2), explorant les départements de Lot-et-Garonne,Aude, Haute-Garonne (moins SaintGaudens ) Pyrénées-Orientales, Tarn, Tarn-et-Garonne. Dépôt de Mérignac (3), explorant les départements de Gironde, Dordogne, Landes. Dépôt de Guéret (4) explorant les départements de Creuse, Cher, Indre et Haute-Vienne. Dépôt d'Aurillac, explorant les départements : Cantal, Aveyron, Corrèze, Loire, Haute-Loire, Lot, Lozère, Puy-de-Dôme. 3° Les établissements en dehors des circonscriptionscomprenant : Dépôt deFontenay-le-Comte (5) explorant les départ, de Vienne, Vendée, Deux-Sèvres. Charente-Inférieure, Charente. Dépôt de Saint-Jean-d'Angely, — Ain, Allier, Côte-d'Or, Doubs, Dépôt de Mâcon (6), — Jura, Nièvre, Rhône, Saône-et-Loire, Savoie, Haute-Savoie. Dépôt d'Arles, explorant les départements : Ardèche, Basses-Alpes, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Bouches-du-Rhône, Drôme, Gard, Hérault, Isère, Var et Vaucluse. Dépôt de la Capelle*(7), explorant les départements d'Aisne, Nord, Pas-de-Calais, Ardennes, Aube, Belfort, Marne, Haute-Marne, Meuse, Meurthe-et-Moselle,Haute-Saône, Vosges. Chacun de ces dépôts est commandé par un chef d'escadrons ou un capitaine. Il comprend en outre un officier acheteur, à titre permanent, un officier comptable et un vétérinaire. Les établissements annexes sont en général dirigés par un vétérinaire; cependant, ceux de : Gibaud, Bellac, du Lys, de la Brosse sont commandés par un capitaine auquel est adjoint un vétérinaire. Tous ces établissementssont soumis à l'inspection du général Baillod inspecteur général permanent des ; remontes, auquel est adjoint le général Faverot de Kerbrech. d'arméé en Europe où les services accessoires « Il n'y a guère (1) Annexes de Bazet (Hautes-Pyrénées)et du Garros (Gers).

Annexes de Eymet (Dordogne),de Lastours (Tarn-et-Garonne), de Lavergne (Tarn-etGaronne). (3) Annexe du Gibaud (Charente-Inférieure). (4) Annexes de Bonnavois (Indre), de Bellac (Haute-Vienne), du Busson (Indre), de SaintJurrien (Haute-Vienne), (5) Annexes du Lys (Vendée), de la Brosse (Deux-Sèvres), Saint-Ouenne (Deux-Sèvres), de la Pissepole (Deux-Sèvres). (6) Annexe de Romanèche (Ain). (7) Annexe de Favernay (Haute-Saône). (2)


prélèvent plus que clans la nôtre au détriment des instruments actifs et essentiels « du combat; et parmi tous les services accessoires dé l'armée française, il n'y en a soient fait une place aussi se « peut-être pas qui la remonte. « large que C'est, dit-on, la qu'on a imitée en adop« tant le système des de transition. Il est « regrettable qu'on pas s'inspirer du « s'agit des cadres du « même exemple quand personnel ; au lieu dé officiers employés à « service de la remonte, « titre permanent n'en n'aurions que 6, et nous n'aurions « nous « pas un corps spécial de 2.500 cavaliers de remonte entretenus toute l'année dans des « dépôts pour accompagner pendant huit mois les commissions d'achats ; car il y a « quatre mois pendant lesquels, dans les dépôts, les achats sont nuls. « Par contre, la plupart de ces dépôts achètent du 1er au 31 octobre plus de 70 che« vaux et quelques-uns en achètent plus de 120. On voit où conduit le maintien « dans chaque dépôt d'un personnel fixe et permanent ; la quotité de ce personnel est « déterminée d'après le chiffre maximum de chevaux entrant pendant un mois sur « douze et, durant des quatre mois de morte saison, c'est-à-dire durant un tiers de « l'année, il y a dans la moitié des établissements 8 ou 10 chevaux et de 60 à « 100 hommes sans compter 4 ou 5 officiers. Entre la direction des remontes et le dépôt, oh a introduit un rouage inutile, la « « circonscription de remonte; dans chaque dépôt, on maintient en permanence un prétend que c'est grâce à leurs recherches et à leur « nombre exagéré d'officiers ; on « connaissance du pays que la remonte est toujours exactement renseignée sur les Ce n'est ipas pour fortifier cet argument que des « ressources dont la région disposé. « comités d'achat, — j'ai constaté le fait en 1885 et il s'est reproduit depuis, — partent « avec 25 cavaliers, voyagent pendant plusieurs jours et ramènent cinq chevaux. » Ces lignes sont extraites du discours de M. Casimir Périer sur « les effectifs de la cavalerie et l'administration de la remonte ». Ce discours ou plutôt cette très remarquable étude du président de la commission mixte des remontes, basée sur des documents et des faits rigoureusement exacts, est certes la plus redoutable critique qui ait jamais été faite du dispendieux système de remonte, système dans lequel « les faux frais dépassent le prix d'achat », affirme un officier général. Voici du reste les préliminaires et la «

Prusse dépôts ne 175 veuille dansle

il


conclusion de ce très remarquable discours qu'il faudrait pouvoir citer en entier.

Entretenir le cavalier sur le pied de guerre en temps de paix et d'une manière permanente ; maintenir constamment les effectifs mobilisables de nos escadrons aux chiffres fixés par la loi des cadres : telle a été la volontédu législateur de 1875. «

« «

Tous les ans, depuis 1876, les Chambres votent les sommes nécessaires pour que le jour de la déclaration de guerre, chaque régiment se mette en route avec 677 che«

«

vaux dans le rang. « Or, 8.000 chevaux environ qui comptent dans l'effectif fixé par la loi ; ne sont pas dans les escadrons ; et, si on les y versait, ils seraient hors d'état de faire campagne. ? « D'où vient cet état de choses « Pendant longtemps le service de la remonte n'a guère acheté que des chevaux qui; dirigés sur le corps, entraient immédiatement en dressage. Depuis quelques années, « « les achats de jeunes chevaux (trois ans et demi et quatre ans) se multiplient. les retient un an ou dix-huit mois, soit dans les dé« Avant de les livrer aux corps, on de remonte, soit dans des établissements créés ad hoc. Ces chevaux inutilisables « pôts n'en comptent pas moins dans l'effectif des escadrons, sf bien que chaque régiment « doit monter 677 cavaliers (troupe) n'en peut monter que 580. » « qui Et la conclusion : petits incidents, toutes les critiques de détail qui ne révèlent que « Mais tous ces persévérance dans la routine, ne doivent pas faire perdre de vue la réforme « trop la chevaux prêts à faire campagne les effectifs de la cavalerie « essentielle : reconstituer en et de l'artillerie, et pour y réussir, sacrifier les intérêts particuliers de la remonte aux « de la cavalerie et de l'artillerie. « intérêts «

Il faut que l'administration de la guerre, répondant à des voeux quihonorent l'armée, place, en regard des sacrifices immenses réclamés par la défense nationale, les économies qui doivent résulter, non seulement de la suppression des abus, mais de « l'application de ce principe : LES SERVICES ACCESSOIRES N'ONT DE «

« «

« RAISON D'ÊTRE QUE DANS LA SATISFACTION DES INTÉRÊTS ET DES BECOMBATTANTS « SOINS DES

«

Il faut que le ministre de la guerre triomphe de cet esprit de coterie qui gaspillé des forces physiques et morales pour satisfaire des amours-propres et maintenir des emplois inutiles ; il faut enfin qu'une volonté forte et rayonnant de haut, fasse un faisceau de tous les efforts et de toutes les énergies, pour lés mettre au service de cette grande unité qui s'appelle

«

l'Armée.

«

«

« «

«

»

Je ne me permettrai d'ajouter aucun commentaire à ces


SERVICE EN CAMPAGNE ; DRAGONS.



paroles. Je crois qu'il est difficile de mieux dire et de frapper plus juste. Cela ne fait pas l'affaire des marchands de chevaux; tant pis ! Voyons maintenant comment se décompose la cavalerie proprement dite, celle qui mettra le sabre au clair, et pour employer des termes chers aux bureau-

crates,

FERA LE NÉCESSAIRE, EN TEMPS UTILE.

La cavalerie se subdivise en : cuirassiers,dragons, chasseurs, hussards et spahis, CUIRASSIERS. Les cuirassiers descendent des chevau-légers Dauphin créés par Louis XIV et des régiments appelés régiments de cavalerie de bataille au commencement de la Révolution. Le plus ancien régiment cuirassé est le 7e de cavalerie, régiment du Roi, qui devint le 8e de cavalerie. Les 5e , 6e et 7e de cavalerie furent ensuite cuirassés. Enfin le décret du 1er vendémiaire an XII fixe à peu près définitivement les uniformes de la cavalerie, 12 régiments prirent le nom et l'uniforme de cuirassiers. Successivement augmentés et réduits par les différents gouvernements qui se sont succédé de cette époque (1803) à nos jours, ils comptent pour le moment 13 régiments armés du sabre et d'une carabine d'un modèle spécial qui pèse au plus 3 kilos ; ils ont en outre le casque à crinière qui pèse 1 kil. 250, et la cuirasse, 6 kil. 90. Il suffit de rappeler Friedland, Eylau, Wagram, Waterloo, Reischoffen, pour

titres de gloire des cuirassiers. Les 13 régiments actuels de cuirassiers sont répartis dans les divisions de cavalerie indépendantes. Comme dans tous les pays, ils comptent comme officiers les noms les plus aristocratiques du pays. La tenue des officiers de cuirassiers est du reste fort belle. Le casque à crinière est sans contredit celui de toutes les armées dont l'effet est le plus imposant. Un des plus beaux uniformes qu'il m'ait été donné d'admirer, est celui que portent nos officiers de cuirassiers lors de la répétition qui précède le grand carrousel de Saumur : casque et cuirasse, épaulettes à franges d'argent, tunique noire, bottes à l'écuyère et CULOTTE NOIRE ; la sévère élégance de cette tenue laisse bien loin la somptuosité de. celle de toutes les se souvenir des

gardes impériales et royales. Malheureusement, pour la troupe, l'odieux pantalon à basanevient tout gâter. Et ceux qui l'ont porté pendant de longues routes, sous la pluie, savent combien il est peu pratique. La botte jaune et la culotte demi-collante sont réclamées par tous depuis vingt ans. L'État y trouverait une économie et l'aspect général en même temps que le confortable y gagneraient cent pour cent. Mais les fournisseurs millionnairesont un stock à écouler, et ils ont bien soin d'alimenter sans cesse ce stock. Aussi ne sommes-nous pas près de voir disparaîtrel'horrible et incommode pantalon dont aucune grande nation n'a voulu.


DRAGONS.

Il est convenu que les dragons sont l'arme modèle par excellence. D'aucuns même en voudraient faire des fantassins à cheval ! Mais quoi qu'on en dise, les des cavaliers et bien des cava-

dragonssont liers. On avait réussi à les rendre aussi lourds et disgracieux que possible en leur imposant de dolman. On leur a rendu la tunique et les épaulettes ; on

leur a donné la lance,

Ceux qui ont pu voir, il y a deux ou

et

les voilà de nouveau bien cavaliers.

tes -rendre

trois ans, les dragons du colonel jaunes, diront avec moi qu'il ne à nos pauvres troupiers la veut bien se faire trouer la peau, et non dans une combinai-

Treymüller avec la culotte et les botfaut qu'un peu de bonne volonté pour belle allure de leurs ancêtres. Certes, mais au moins que ce soit dans un son de sacs, ce que M. Jules Richard appelle avec sa¬ spirituelle verve, ». « l'armée française en costume avaient-ils besoin d'être si Les cavaliers du nommé Murat à leur aise dans leurs dolmans et dans culottes pour traverhussards qui prit certaine ser toute l'Europe, et l'escadron ville forte d'Allemagne après Iéna* était-il en vareuse ? Sabre de l'époque L'arrêté du 1er vendémiaire du Consulat fixe à 30 le nombre des an régiments de dragons. En 1805, Napoléon organise des corps de dragons à pied ; ils eurent peu de succès ; et pour corroborer ce que nous disions plus haut, sur leur refus d'être fantassins, nous voyons que le grand Empereurfut obligé de leur redonner des chevaux. Après Austerlitz, les colonels de dragons (des 1er, 2e, 3e, 5e, 9e, 10e, 13e, 14e, 16e ,18e, 19e, 20e, 22e, 26e, 27e) sont proposés pour des récompenses. Aboukir, Marengo, Austerlitz, Iéna, Eylau, Wagram, Friedland, la Moskowa,=telssont les noms qu'on trouve en feuilletant l'histoire de ces cavaliers: L'arme compte actuellement 3l régiments ; les uns font partie de la cavalerie divisionnaire, des autres des. divisions de cavalerie indépendante. Les hommes du premier rang ont la lance, le sabre et le revolver. Ceux du second rang, la carabine et le sabre.

on uniforme

de

de

malade

leurs

XII

CHASSEURS.

Créés en 1779 avec le coquet uniforme que Detaille nous montre dans « l'Armée Française » le nombre des régiments de chasseurs a souventvarié: en 1788 il est de 12 régiments, de 21, en 1791, de 31, en 1811, de 24 régiments, en 1815. Ils comptent actuellement 21 régiments armés du sabre et de la carabine. L'uniforme est bien loin comme


élégance, de celui de la création, et la couleur bleu de ciel est la seule chose qui en re-

les plus belles troupes qu'on puisse voir, et sûrement l'uniforme du plus brillant

colonel moderne paraîtrait bien terne à côté de celui du moindre sous-lieutenant

d'une compagnie d'élite du 6e hussards. Je ne puis résister au désir de décrire ces beaux uniformes que nous ne reverrons, hélas! sans doute jamais. En voici le tableau synoptique :

Nos

DOLMANS.

PELISSE.

TRESSES.

CULOTTES.

1

Bleu de ciel.

Bleu de ciel.

Bleu de ciel.

2 3

Brun marron. Gris argentin. Bleu de roi. Écarlate. Écarlate. Vert foncé. Vert foncé. Écarlate. Bleu de ciel.

Brun marron. Gris argentin. Écarlate. Blanche. Bleue. Vert foncé. Vert foncé. Bleu de ciel.

Blanches. Blanches. Blanches. Jaunes. Citron. Jaunes. Jonquille.

4 5 6 7

8 9

10

Bleu de ciel.

Blanches.

Bleu de ciel. Gris argentin. Bleu de roi. Bleu de ciel. Écarlate. Écarlate. Écarlate.

Jaunes. Blanches.

Bleu de ciel. Bleu de ciel.


Et ce ne sont pas là des uniformes pour des régiments de parades. En revoyant ces hautes coiffures, aux couleurs rongées par le soleil et la pluie, aux ors éteints, ne se senton pas frissonner au souffle du vent de victoire qui a si glorieusement agité les hauts plumets et les panaches jadis flamboyants! Hélas, comme tout cela est loin! Et cependant c'était hier ; des hommes vivent encore qui ont vu cela, qui ont promené ces glorieux uniformes dans toutes les capitales de l'Europe. Lorsque Bismarck a dit que nous étions « un peuple, guerrier, mais non un peuple militaire », je pense qu'il ne songeait pas aux VIEUX, à ceux d'Iéna, d'Auerstaedt et de Saalfeld ! C'est à ceux de demain qu'il appartient de prouver que l'ex-grand chancelier, pour être de fer, n'en est pas moins susceptible de faillibilité, tout commeles autres mortels.

.

CHASSEURS D'AFRIQUE.

Trois Escadrons du 12e et 17e chasseurs à cheval furent le noyau de formation des chasseurs d'Afrique. Ces 3 escadrons, commandés par le colonel Bontemps-Dubarry, faisaient partie dés troupes de débarquement de l'expédition d'Alger. Ils portent successivement les noms de Chasseurs Algériens, Chasseurs Carabiniers, Chasseurs Lanciers. d'Afrique, et ont les uniformes les plus extraordinaires. La première organisation régulière est celle du 17 novembre 1831. 2 régiments, le 1er et le 2e Chasseurs d'Afrique sont créés à Alger et à Oran. Deux autres régiments furent successivement formés. Aujourd'hui, le nombre en est de 6 régiments. Il suffira de citer des noms inscrits sur les étendards des 4 premiers pour raconter toute leur histoire : 1er régiment, ISLY, BALAKLAVA, SOLFÉRINO, SAN PABLO DEL MONTE. 2e régiment, ISLY, SÉBASTOPOL, SOLFÉRINO, PUEBLA. 3e régiment, CONSTANTINE, SÉBASTOPOL, SOLFÉRINO. PUEBLA. 4e régiment, MILIANAH. TAGUIN, ISLY, BALAKLAVA. On a pu dire dé ces quatre magnifiques régiments, en 1854, « qu'ils représentaient le MAXIMUM de perfection qu'ait atteint notre cavalerie. Tout y était accompli : général, commandant, état-major, régiment, cadres et cavaliers. » On sait quel héroïsme la division Margueritte a déployé au calvaire d'Illy, en 1870, et avec quelle admirable bravoure le général de Galliffet la conduisit à la mort et à la gloire. Aujourd'hui que le mot d'ordre est de niveler tout ce qui s'élevait, ces régiments n'ont ni plus ni moins de qualités que ceux de la cavalerie de France. Pour eux, comme pour tous, l'avenir prouvera qui vaut le mieux, du nombre ou de la qualité. SPAHIS. Le nom de

SPAHIS,

en tant que troupe de cavalerie régulière, apparaît pour la pre¬


mière fois clans une ordonnance du général Clauzel datée de 1834, mais leur réelle organisation ne compte que du 7 décembre 1841. En 1845, ils sont définitivement régularisés et comptent 3 régiments. Aujourd'huinous possédons 4 régiments de Spahis. Tous ceux qui ont été en Afrique savent en quelle estime les officiers y tiennent les Margouillas ! Ce sont de merveilleux soldats, soumis, sobres, infatigables et dévoués. Aussi, qu'un officier parte en mission, en reconnaissance, en colonne, que demandet-il toujours comme escorte : des spahis, et toujours des spahis. Le goût exquis qui préside depuis quelques années à toutes les transformations d'uniformes, a fait donner aux officiers la même tenue qu'aux officiers de chasseurs de France, sauf quelques différences inappréciables, en remplacement de l'élégant spencer rouge que les officiers de spahis avaient promené glorieusement dans l'Afrique depuis 1841, et on a ainsi ce non-sens que l'armée Française est seule à connaître : des officiers ne portant pas l'uniforme de la troupe qu'ils commandent.



NOMS DES OFFICIERS

DE LA CAVALERIE FRANÇAISE AU

1ER

JANVIER 1892

CUIRASSIERS.

Besnard (C. P. G.). De Latouche (A. M. R.).

1er RÉGIMENT. 6e brigade de

cuirassiers, 3e division de cavalerie ; stationné dans la 9e région ; — à Angers.

COLONEL : Belbezé (M. C. LIEUTENANT-COLONEL : De

CHEFS D'ESCADRONS

:

E.). Cléric (T. A. M.). Elias (L.).

De Biré (P. M. J.). MAJOR : Allais (J. B. A.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Ferté

(C. H.).

Lallemant (F. L. J.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Maillot (G. L. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Calba (J. N. A.). PORTE-ÉTENDARD : Armilhon (L. S. A.), lieutenant. CAPITAINE TRÉSORIER :

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Barois (L. A. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Lansac

A.). (B.).

Ollier (J. C.). EN 2e : Thary (C. E. A.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Drappier (E.). CAPITAINES COMMANDANTS: De Place (L. P H.). Lens (C. C.). Dezaunay (F. L. M.). Gérard (A. C.). Macé de Gastines (L. M.). CAPITAINES EN SECOND : De Bouillé du Chariol (C. A. H. L. R.). Huyn de Verneville (P. F.). Tampé (G. M. A.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Millereau (G. A. C. J.). De Metz (J. F. M.).

De Malet (M. J. R.). De Castillon de Saint-Victor (P. J. J.). De Chappedelaine(M. O.). Conigliano (H.). Bizard (P. L.). Bounevialle (M. G. A. E.). Grénouilloux (J. A J.). De Villoutreys de Brignac (J. F.). Richard (N. A.). Doublat (C. L. L.). Delorière (F. P.). Bailloud de Masclary (J. M. P.). SOUS-LIEUTENANTS : Chabert (L. A. M.). Parmentier (L. A.). Diot (A. A.). LIEUTENANTS EN SECOND

Officiers de réserve. CAPITAINE : N. LIEUTENANT : Boëssé (A. H. SOUS-LIEUTENANT :

L. M.). Eluère (L. P. M.).

Louet (O. J. H.). Bordier (L. M. E.). De Couasnon (A. A. M. J.). 2e RÉGIMENT. 6e brigade de

cuirassiers, 3e division de cavalerie ; stationné dans la 9e région ; — à Niort.

COLONEL : Verdun (A. A. L.). LIEUTENANT-COLONEL : Delannoy (F.).

De Sartre (M. J. H.). Philipon de la Madelaine (V. E. R. O.). MAJOR : Finck (C. P. M.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Pressoir (C. F.). CHEFS D'ESCADRONS

Dürr (J. B.).

:

:


: Ferré (T. A.).

Bourelle (H. A.). LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER: De Negroni (H. P. R.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Moreau (F. A.). PORTE-ÉTENDARD: Courtade (J. S. P.).

CHEFS D'ESCADRONS

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : N. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE :

LIEUTENANTFAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER (J. M. G.).

CAPITAINETRÉSORIER :

VÉTÉRINAIRE EN 1re

:

Destrez (H. A.).

Ferris (V. F.).

Boulland (E. L.). AIDE-VÉTÉRINAIRE: Carré (A. E. C.). CAPITAINESCOMMANDANTS: De la Celle (J. F.). Soulas (J. J. E.). EN 2e :

Déan de Luigné (A. R. G.). Bourdériat (F. E.). Billaud (C. C.). CAPITAINESEN SECOND : Mathieu (C. M. A.). Varin (J. M. M.). Gerbaud (P. M. P.). Bonnéry (G. M.). De Renusson d'Hauteville (G. G. E.). LIEUTENANTSEN PREMIER : De Metz (E. L. M.). Champeaux (P. M. A.). Bazin de Jessey (J. M. C.). Virgile (A.). De Gratet du Bouchage (J. F.). LIEUTENANTSEN SECOND : De Tappie (J. M. G. R.). Michaud (A. M. V.).

Rambaud (L. J. A. L.). Devismes (M. L. V. A.). De Parseval (J. M. H.). Hue (A. L. S.). Chevallier-Rufigny(J. A. P.). Garnier de la Roche (C. F.). Legouz de Saint-Seine (S. E. M.). De Talode du Grail (M. J. E.). Macé de Gastines (C. A. M. G.). SOUS-LIEUTENANTS : De Lobit de Monval (P. M. C. V. J. H.). Lefeuvre (P. M. N.). Garnot (E. A.). Collet (A. H.). Humbert (H. J. V.). Offïciers de réserve. CAPITAINE :

N.

Brousseaud (J. B. M. F. A. R.). SOUS-LIEUTENANTS : Létissier (J. B. V.). Florimond (P. P. A.). De Combarieu du Grès (P. L. J. R.). Libault de la Chevasnerie (C. C. M. P.). Le Roux (M. E.).

LIEUTENANT :

3e RÉGIMENT. 3e

brigade de cuirassiers, 1re division de cavalerie; gouvernement militaire de Paris ; — à Versailles.

COLONEL : Poulot (J. T. E.). LIEUTENANT-COLONEL : Cersoy (J. M.

A.).

Gentil Saint-Alphonse (A. A. X.).

LechevallierLejumel de Barneville (P. H. J.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : D'Hautpoul (J. L. T. G.).

MAJOR :

:

Lepage

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Castex (B. B. CAPITAINE D'HABILLEMENT : Grebel (E. J. H.). PORTE-ÉTENDARD Lorensini (J. M.).

T.).

:

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE :

Baur (J.

B.

F. A.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Jouet (J. G. VÉTÉRINAIREEN 1er : Chardin (J. V.).

N.).

Didion (C.). Pécus (E. V ).

EN 2e :

AIDE-VÉTÉRINAIRE:

CAPITAINES COMMANDANTS:

Farcis

(M. V. H.).

Perrin (J. E.). Terreyre (J. B.). Mure de Pelanne (P. C. N.). Du Garreau de la Méchenie (M. C. A.). CAPITAINESEN SECOND : De Cornulier Lucinière (G. J. M. A.). Maumené (C. G. V.). Robert de Beauchamp (M. L. M. M.). De

la Motte Ango de Flers

(A. M.).

N. LIEUTENANTSEN PREMIER :

Auriac (L. D.

C. M.).

De Renusson d'Hauteville (R. A. G.). De Frévol d'Aubignac de Ribains (J. G. A.). Mertian (P.). De Chasteigner (F. X. L. M.). LIEUTENANTSEN SECOND : Lacombe-Cazal (J. P. G.). De Boisgelin (L. H.). Saulereau (P. P. L.). Rougevin (H. A.). Laclef (J. V. A.). Degand (J. L.). Duval (M. L. A.). De Villeneuve Bargemont (M. X. J.). Bussière de Nercy de Vestu (C. M. O. G.). Bandy de Nalêche (F. L. G.). De la Berrurière de Saint-Laon (R. L. F. M. J.). SOUS-LIEUTENANTS : Aymonin (M. L. E.). Bernard Chambinière (E.). De Molleral du Jeu (J. M. F.). De Ranst de Berchem de Saint-Brisson(A P. H. J.). Durrieux (M. J. B. P.). Poinsot (E. A. E.). Officiers de réserve.

N. LIEUTENANT: Soulange Bodin (T. E.). SOUS-LIEUTENANTS : Carron (P. A. M.) CAPITAINE :

Cassou (A. L. A.). Meynis de Paulin (H. V. M.). Foa (A. F. E. E. G.). De Monteynard (M. R. L.).


SOUS-OFFICIER DE HUSSARDS, ÉLÈVE-OFFICIER A SAUMUR.



4e RÉGIMENT. 4e

5e RÉGIMENT.

brigade de cuirassiers, 5e division de cavalerie; stationné dans la 1re région ; — à Cambrai.

COLONEL :

Rozat de Mandres (A. J. O.). Dor de Lastours (A.

CHEFS D'ESCADRONS :

Crotel (C. G.). CHEF D'ESCADRONS : Gautrot (L. V. A.). MAJOR : Jaquemin (J. F.).

M.

J.).

De Braüer (M. J. R.). MAJOR ; D'Aux (F.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR

:

bourg (A. C. R.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Fumeau (O. A.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

MEDECIN-MAJOR2e CLASSE : Blanchetière (V. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Dubar (A.

L.).

A.). G.).

Augier (B. L.).

EN 2e : Brunat (E. M. P.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Hardou (L. A.).

Mourier (P. A. F.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Clairin (A. E.). De Boissieu (C. M. A.). Souchon (M. C. G. R.). Sanglé-Ferrière (L.). CAPITAINES EN SECOND :

M.

Corvisier (L. A.).

EN 2e : Vagney (J. L. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Julian (M. A.).

CAPITAINES COMMANDANTS ;

I.).

Touleau (E. A.).

Giquet de Pressac (J. B. H.). De Font-Réaulx (L. M. J. J.). Michaux (E. H. J.).

LIEUTENANTS EN SECOND

Ferrier

(J. F. H. L.).

Le Prévost d'Iray (M. J. H. R.). Quéromesse (E. A. F.). Jallibert (E. A. H.). D'Aurelle de Paladines (P. A.). LIEUTENANTS EN SECOND ; Andrieu (F. J. P. E.).

:

Le Forestier (G. M. A.).

Colin (R. A H.)

Guerrin (M. E. A.). Seingeot (C. E.). Cuignet (A. L. D.).

Joannard (L. A.

De France (A. M. E.). Marchal (M. J. D.). Roset (J. B. M. A.). Lefebvre (L. A.).

Vial (F. A. F. V.).

Watier (G. M. J.). Huguet (C. N. E.). Ramolino de Coll'Alto (F. A. P. N.). SOUS-LIEUTENANTS ; De Ganay (E. G.). Demonchy (G. P. F.). Bullot (M. H.).

:

Lasson (H. A.). De Chabaud-Latour (G. A. C. J.) Percheron de Monchy (C. A.).

Bapst (L. A. J.).

Dupasquier (E.

A.). M.

R.).

Franc (J. V.). Christmann (T. H. A.). Boutaud de Lavilléon (J. L.). Worms (M. V. A.).

Martin (G. C. J.). SOUS-LIEUTENANTS: D'Huart (M. G. E. C.) De la Taille (G. I. M. E.).

Salins (G. R.).

Officiers de réserve.

Quénardel (R. P. G.). De Lestrange (M. J.). Officiers de réserve.

N.

SOUS-LIEUTENANTS: De

Beaussier (V. H. J.).

Maubert (J.). Taffin de Givenchy (X. M. C.). De Saint-Pol (A.).

A.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Courtois (M. Z. A. VÉTÉRINAIRE EN IER : Gallice (E. G. G. R.).

Clément de Givry (A. H.). Maubourguet (F.). Buttavand (P. E.). De Cougny Préfeln (H. E. P.).

A".

CAPITAINE :

De Branges de

PORTE-ÉTENDARD : Guilbert (A. E. D. R.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Bordes-Pagès (M. A.

LIEUTENANTS EN PREMIER

N. N. N. ;

Corne-

Monsenergue(A. P.).

N.

LIEUTENANTS EN PREMIER

:

J. V.).

CAPITAINE D'HABILLEMENT :

Batail (A. A.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Lim-

reau (P. R.). Bourcia (P.

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER ; Dillon (A. CAPITAINE D'HABILLEMENT : Noble (J. M.). PORTE-ÉTENDARD;

brigade de cuirassiers,6e division de cavalerie; stationné dans la 14e région ; — à Lyon.

COLONEL :

N.

LIEUTENANT-COLONEL:

1re

CAPITAINE :

N.

De Missolz (L. J. E. G.). SOUS-LIEUTENANTS: Dehaynin (A. E. G.). Chappet de Vangel (V. M. H.). Garnier (F.). De Riollet de Morteuil (M. F. A.). Verronet (M. B.). Le Boeuf de Valdahon (A. L. J.) LIEUTENANT :

F. ).


6e RÉGIMENT.

la 6e région ; — P.

C.

au camp de Châlons;

P. P. à Sainte-Mene-

hould.

3e

brigade de cuirassiers, 1re division de cavalerie ; gouvernement militaire de Paris ; — à Paris.

LIEUTENANT-COLONEL:

LIEUTENANT ADJOINT

Blache (C.).

MENT : Baumgarlner(J.). PORTE ÉTENDARD : Jubié (J. J.

C.).

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Durget (E. T.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : Estor (M.

Masse (C. M.), AU TRÉSORIER : Robert

CAPITAINE TRÉSORIER :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Bronne (A. J.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLE-

(A.

J. P.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLE-

Lecerf (S. G.). PORTE-ÉTENDARD : Kiffer (R. G.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Schmill (E.). MENT :

MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Spillman (J. A. R.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Audais (E. L. J.).

E. L.).

Chenier (G. D.). EN 2° : Ciattoni (E. T.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Huber (A. L.). CAPITAINES COMMANDANTS : Coffinières de Nordeck (F. F. VÉTÉRINAIRE EN 1er :

J. G.). D'Anglejan (L. M. R.). Breyh (J.).

Gaillot

L.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Brigault (C. A. H). CAPITAINES COMMANDANTS : Cornu (P. P. L.). Charneau (G. L.). De Bastide (C. F.). EN 2e :

(M.

Saint-Poulof (B. M.). Noetinger (M. J. C.). LIEUTENANTSEN PREMIER :

De Brauër (L. R.).

Loret (L.).

De Roussy de Sales (J. F. G.).

Devanlay (L.).

Lesieure-Desbrière(L. T. E.). Grasset (L.).

Terré (L. P. E. M.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Burnez (L. A.). De Galliffet (C. A. G.). Mallet (G. A.).

Froidure (P. L. G.). LIEUTENANTS EN SECOND :

LIEUTENANTS EN SECOND

:

Rousseaux(J. P.).

Ledoux (A. L. M. J.). Delaya de Lostanges-Beduer(M. M. G. R. A. L.). Bolcher (A. G.). Poussineau (R.). Delpech (A. E. L. M. P.). De Saint-Vincent (E. M. J.). Chevillot (J.).

Tardif de Moidrey (E. M. J.). Mena du Ménil (G. A. E.).

Armand (A. H. G.). De Brye (P. M. A. C.). De Virieu (M. J. H. G.).

Parison (C. M. M.). D'Aiguesvives de Malaret (G. IL J. A.). Dugué de la Fauconnerie (C. J. J. N.).

Soudant (L.). SOUS-LIEUTENANTS:

Gréau (H. H.).

Grasset (P.).

Feugère des Forts (E. M. J.). Le Gouesl (T. L. F. E.). De Joussineau de Tourdonnet (H. M. L.). De Cassagne de Beaufort de Miramon (L. J. Leloup (M. J. M. J.). Moog (E. P.). Hubert (H. O.).

De Guilhemanson (G. F. H.). Boucher de la Rupelle (P. M. A. A.). Bachelier (V. L. E. M.).

Gallois (G. R.). SOUS-LIEUTENANTS:

la Noüe (A. M.).

Rouvray (G. C. A.).

CHEF D'ESCADRONS: De Quinemont (A. C. M. T.). MAJOR : Villiers (M. A.). CAPITAINE TRÉSORIER :

COLONEL : De

Legendre (J. J. O.).

Baudesson (M. J. A. H.). Guiffrey (J. J. J.).

M.

J.).

Officiers de réserve. Officiers de rêserve. CAPITAINE :

CAPITAINE :

De Peyronnet (H. J. R.).

LIEUTENANT

:

De

Galard de Brassac de Béarn (R.

Loth (J. B.). SOUS-LIEUTENANTS: D'Alsace d'Hénin (C. M.). De Durfort-Civrac de Lorge (M. G. L. B.). LIEUTENANT :

M.

H). SOUS-LIEUTENANTS:

Lesaulnier (E. M.).

Bellenger (H. J. E.).

Juillard (A. F.).

Delaine (R. C. J.).

Pellier (L. J.). De Bertier (M. J. L.).

8e RÉGIMENT.

Delphieux (J. B. A. N.). 7e RÉGIMENT. 3e

N.

brigade de cuirassiers ;

4e

division de cavalerie ; stationné dans

1re

brigade de cuirassiers, 6e division de cavalerie ; stationné dans la 14e région ; — à Lyon.

Torel (E.). CHEF D'ESCADRONS : Rivoire (E. J.). COLONEL :


Du Pré de Saint-Maur (P. L. M.). CAPITAINE TRÉSORIER : Klein (F. M.).

MAJOR :

CAPITAINE D'HABILLEMENT :

LIEUTENANT ADJOINTAU TRÉSORIER : Vallette (A. X.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Fauchon (J. M. P.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR,2e

PORTE-ÉTENDARD:

Vioujard (T. F. E.). J.).

dit Becker (F.

L. G.). VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

Prieur (G. L.).

EN 2e : Périé (L. M. A.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Drouet (J. G. A. T.). CAPITAINES COMMANDANTS :

Jouan (F. B.).

Béret (P. L.). D'Amonville (M. F. J. R.). Manset (L. P. F.). Compère-Desfontaines (G. T. M.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Verrollot (A.).

Geoffroy (H. P. L.). Cottu (J. M. A.). Doncieux (J. A. S. R.).

Lemonnier (R. L. E.). LIEUTENANTS EN SECOND

:

Terme (C.

.T.

F.).

Brisson (H. L. J.). De Bonnnefoy (G. H.). De Corn (A.).

Bouchacourt (L. A. H.). Despréaux (L. F.).

Patissier (G.). Hinkelbein (C ). Gorichon (J. P.). De Bertier (A. M. J. J.). Élie de Beaumont (M. E. A. G.). De Foras (H. A.). SOUS-LIEUTENANTS:

PORTE-ÉTENDARD : Toussaint (M. E. G.), MÉDECIN-MAJOR2e classe : Goumy (A. L.). VÉTÉRINAIRE EN

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Lamps (G. P. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Benoit

Boy (A.). Watremez (G. F.). CAPITAINES COMMANDANTS : Courtois (P. A.). Touzet du Vigier (P. A.). De la Vaulx (L. M. R.). Deslandes (P. G.). De Marlimprey (A. D. M.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Choulet (J. E. J.). Brochand d'Auferville (E. R.). Chenon (E. P. J. B. A.). Cabaud (J. J. P.), stag. d'état-major. Teillard Rancilhac de Chazelles (M. J. R.). LIEUTENANTS EN SECOND : De Leusse (G. F.). Barthelemy de Saizieu (A. L. H.). De Vaulx (J. L. M.). De Froissard Broissia (S. G. J.). Trutat (C. G. R.). De Boigne (E. G. M. J.). Duchesne de Lamotte (J. P. E.). Vignes (L.). Desmonls (M. E. M.). Nivière (C.). De Bremoy (A. H. M.). Cadet de Chambine (M.). D'Esclaibes d'Hust (R. G. E.). SOUS-LIEUTENANTS: Levesque de Blives (M. P. A.). Calmettes (C. J. F.). Devanlay (C. A.). :

CAPITAINE : N. SOUS-LIEUTENANTS :

Majonenc (M. R.).

De Noailles de Mouchy de Poix (N. E. E.J. M. F.). De Beaurepairede Louvagny (M. J. U.). Froelicher (L. M. A.). Mariani (A. M. A. E. J.). Cauvet (G. E. L.). Bohère (E. C.).

Officiers de réserve.

N. De Chargère (J. G.).

Tollin (E. H.). B. A.).

De Bovis (E. L. A.). Duchamps (J. F. A.). Leboucq (E.).

10e RÉGIMENT.

brigade de cuirassiers, 4e division de cavalerie; stationné dans la 6e région ; — P. C. au camp de Châlons ; P. P. à Vouziers. COLONEL : Chauveau de Bourdon (J. E.). CHEF D'ESCADRONS: De Carné Trécesson (A. M. V.).

André (J. J. P.). 9e RÉGIMENT. 4e

classe : Patris de Broë (P.). Debrade (F.).

Officiers de réserve.

Boscals de Réals (C. M. F.).

Pradat (F. G. J.

lieutenant.

De Boyveau (J. E. M.).

Faure-Biguet (C. G.).

Bidault (E. G. J. M.).

SOUS-LIEUTENANTS:

1ER :

EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Ranon de la Vergne (P. M. A.).

CAPITAINE :

Bachard (A.).

brigade de cuirassiers, 5e division de cavalerie; d'armée ; — à Senlis.

2e

corps

MAJOR

:

Laroque (L.).

CAPITAINE TRÉSORIER :

Grosjean (C. F. A.).

COLONEL :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Ardoin (G. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Costolier (P. E. J.).

CAPITAINE TRÉSORIER :

PORTE-ÉTENDARD : Le Bon Desmottes (L. N. E.). MÉDECIN MAJOR 2e CLASSE : Audiguier (J. G. P. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2E CLASSE : Thiébault (H. P. J. A.).

De Guizelin (O. L. M.). CHEF D'ESCADRONS : Durand de Villers (P. F. E.). MAJOR : Du Bois de Meyrignac (J. S. H. H. C.).

Brousse (J.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Juillet (T. F.).


Beauchamps (A. S.). Col (J. B. E.). De Nourquer du Camper (P. M. A.). Poirot (L. C. H. J.).

Crevelle (E. L.). EN 2e : Pascaud (L. P.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Raynal (J. F. D.) CAPITAINES COMMANDANTS : Cournet (P. A. G.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Bunel (I. E.). Dumont (G. J.). Matuszinski (J. L.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Gueneau de Montbeillard (G..

Chevalier (A. M. F.).

R. R.).

LIEUTENANTSEN SECOND : Geng (M.

Galand (P. C. H).

Finot-Prévost (L. C.), détaché Ecole de cavalerie. Ducel (P. L.). De Rodellec du Porzic (A. P. A. M.). Raulx (J. L.). Lauras (D. L. X. M. J.). De Bucy (J. M. A.). Devedeix (E.). Bouchacourt (L. J.). Pénaud (M. L.). Pathiot (P. L.).

LIEUTENANTS EN SECOND

:

Jourdan du Mazot (E. E.). Robert (P. M.). Reynaud de Lajourdonnie (F. A.). SOUS-LIEUTENANTS: De Brémond d'Ars (F. M. L. T.). Thomas (A. L. J.).

Forel (P. G. A.). Ruellan (J. G.).

Durant de Saint-André (A. A. M.).

D'Achon (R. M. J.). Bocher (H.M. M. L.). De Bodin de Galembert (L. M. E.). SOUS-LIEUTENANTS : Margaine (F. L.). Le François des Courtis de la Groye (C.). Vuillermet (F. M. P.). Godard (L.).

De Bonnechose (G. L. C. A.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

12e RÉGIMENT.

Gaillard (P. L. F.) Raguin (J. L.).

6e

De Chabot (J. M.). CHEF D'ESCADRONS : De la Boulinière (A. E. M.). MAJOR : Rivet de Chaussepierre (A. H.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSDE TRÉSORIER : Lechevallier (J. V. G.).

11e RÉGIMENT.

ADJOINT AU TRÉSORIER : N. CAPITAINE D'HABILLEMENT:

brigade de cuirassiers, 2° div. de cavalerie; stationné dans la 6e région ; — P. C. à Troyes,P. P. à Lunéville.

Moitrier (A. M.). PORTE-ÉTENDARD : Beurné (L. N. I.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Namin (J. L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2E CLASSE : Vigneron (L. P.).

: Delafont (P. E.).

CHEF D'ESCADRONS :

De Bar (E. G.).

Charlery de la Masselière (J. E. G.). CAPITAINE TRÉSORIER : Tiennebrune (J. F.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Albertus (M. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Leclerc (E. D.). PORTE ÉTENDARD : Giannettini (L. S.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Achintre (A. C.).

VÉTÉRINAIRE EN

MAJOR :

MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Braün (A. VÉTÉRINAIRE EN 1er : Krait (C. A.).

Chavane (M. J.).

:

Sandrin (L.).

EN 2e : Nallet (J. J.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Poinsignon (F.

E.). CAPITAINES COMMANDANTS : Diémert (J. J. A.). Tillette de Clermont-Tonnerre(R.). André-Joubert (L. M. G.).

Lacroix de Laval (F. A.). Cochin (P. D. M. J.).

D.).

EN 2e ; Magnin (L. H. F.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Alem (J. L. F. V.).

1ER

LIEUTENANTS EN PREMIER

CAPITAINES COMMANDANTS :

brigade de cuirassiers, 2° div. de cavalerie; stationné dans la 6e région ; — P. C. à Troyes, P. P. à Lunéville.

COLONEL :

Mouillot (A. M.). Allard (P. J. L.). Pelletier (M. P.).

COLONEL

Limousin (M. M. R.).

Wurth (E. C.). Delafournière (M. C. A.).

André (H. L. N.). Arnaud (G. J.).

6e

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

Officiers de réserve. SOUS-LIEUTENANTS:

P.).

Des Courtils (M. R. C. J.). De Vergès (M. H.). Moranges (J. G. P.). Lefébure (E. A.). Beudant (E. P. F. A. M.).

De Menou (H. M.). Féraud (E. J. B.).

CAPITAINE :

M.).

Rolland (M. P. J. E.). Chapellier (J. B. F.), détaché à l'École militaire d'infanterie comme instructeur d'équitation. De Sainte-Maried'Agneaux (H. G. P.).

Vigogne (G. M. A.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Juin (L.

1

:

Prieur du Perray (G. L. J.).

De Tanouarn (L. M. J.), Mercier (P. T. M. A.).


De Place (R. L. G.), détaché à Saint-Cyr.

Reynart (E. T.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Doullé (D. A. P.).

Letourneur (G. F.). De Vaugiraud (R. C. M.), détaché École cavalerie. Maire (E.). Muaux (F. E. P. L.). De Viry (J. E. M.). Muller (L. G. P.). Goranflaux de la Giraudière (C. E. G.). De Vaulchier (M. P. R.). De Planterose (L. P.). SOUS-LIEUTENANTS: De Rosières (P.). De Bonnay de Breuïlle (H. C. P.). Constantin (N. A.). De Bourdage (F. T.). Florentin (P. L.). Officiers de réserve.

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

Officiers de réserve. CAPITAINE

N.

:

Millin de Grandmaison (G. C. A. M.). SOUS-LIEUTENANTS: De Vanssay (C. P. J. C. M.). De Villiers de l'Isle-Adam (A. F.). Henrys d'Aubigny D'Esmyards (P. R.).

LIEUTENANT :

Dubessey de Contenson (C. A. M.).

CAPITAINE :

Rambourg (M. P.). Meunier (M. E.). De Messey (J. F. M.). Charles (A. E. L.). Hermelin (C. T.). De la Forest d'Armaillé (H. C. R.). Delmas (A. J. J.). De Bremond (P. E. H.). Eudel du Gord (P. C. L.). Martin de la Bastide (P. L. G.). Cesbron-Lavau(J. H. R.). Schneider (F. A.). De Bouillé du Chariol (A. A. L.). SOUS-LIEUTENANTS : De Francqueville (M. A. E. G.).

Gérard (E. J. B.)

DRAGONS

Roux (P. V.). Duclos (T. V.). Jolly (L. A.). Millot (P. O.).

1er 7e

brigade de cuirassiers, 1re division de cavalerie, d'armée ; — à Chartres.

4e

corps

CHEFS D'ESCADRONS :

M.

S. P.). CAPITAINE TRÉSORIER

Thraen (H. O.). lieutenant.

MÉDECIN-MAJORDE 2e CLASSE : Godart (C. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR DE 1RE CLASSE : Benoit (A.

(P. F. E.). Geay de Montenon (M. J. E. H.).

MAJOR :

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLE-

J. L. F.).

Delcambre (E. G. D.). EN 2e : Lesbre (C.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Létard (M. A. F.). CAPITAINES COMMANDANTS : Dupin-Desvastines(D. M. A.). VÉTÉRINAIRE EN 1ER:

:

Moreau (P.).

SOUS-LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : CAPITAINE D'HABILLEMENT :

Sensamat (J. J.).

Rémiol (V.).

PORTE-ÉTENDARD : Protêt (C. M. A. J.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Lepagnez (L. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Tournier (A. J. C.). VÉTÉRINAIRE EN

EN

Debeuf (M.). 2e : Brunet (G. A. J.), détaché en Tu1er

:

nisie.

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Vidron (J. F. G.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Leddet (R. M.).

Lauth (J. M.).

De Vanssay (F. M.). D'Assier (C.). Prévost (L.).

Lefort (A.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

De Minette de Beaujeu (P.

F. M.). De Baudus (M. V. M.). Baudin (A. L.). Espivent de Villesboisnet (R.). De Moracin de Ramouzens (E. E. A.). LIEUTENANTS EN SECOND :

à Lure.

D'Haudicourt de Tartigny (C. E.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Larreguy de Civrieux (L.

Servat de Laisle (M. C. R.). CHEF D'ESCADRONS : Duparge (P. L.). MAJOR : De Marin de Montmarin (M. P. G.). CAPITAINE TRÉSORIER : Boudeville (F. E.).

MENT : Aguttes (G.). PORTE-ÉTENDARD : Burluranx (A.),

N.

COLONEL :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

brigade de cavalerie, 7e corps;

COLONEL : Teillard (E.). LIEUTENANT-COLONEL: Nadaud

13e RÉGIMENT. 3e

RÉGIMENT.

Rolloy (G.

Guillier de Souancé (J. H. H. J.).

M.

L.).

Cottin de Melville (L. L.). Labouré (P. L. C. J.). Gaillet (J. R.). CAPITAINES EN SECOND : Kessler (P. X.), détaché à la remonte. Petot (M. C. A.).

N.

Le Harivel de Gonneville (C. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Badel (H. J.).

G. M. A.).

De Salignac-Fénelon (H. J. G.). :


Blondel (L.C. A.). Secrettand (J. A. E.). Ruffier d'Epenoux (J. B. G. C. M.). LIEUTENANTS EN SECOND : Nozeran (E. P. V. J.), détaché à la remonte. A.). Audéoud, (M. C. H. Sarton du Jonchay (S. J. C.), détaché affaires indi-

Ruffier d'Epenoux (M. F. O.). Roze (P. F. X. A.). Lacour (J. P. H. M. R.). De Vitry d'Avaucourt (M. H. H. F.). Dutertre (G. O. J.).

H.F.).

Bellevue (M. Marcq de Saint-Hilaire (H. L. A.). Parisot (L. J. A.). Guise (H. A. D.). Domet de Vorges (M. P. F.). SOUS-LIEUTENANTS: Blachère (J. G. M. A.). Blondel (H. M. A.).

Silvestre (P. J.). Duperray,(J. A.). Olleris (J.). Demaret (P.). CAPITAINES EN SECOND

:

monte.

Greiner (C. A.). SOUS-LIEUTENANTS;

Ploncard (A. G.).

Perret (P. A. A.).

Guyon de Montlivault (M. E.). Leschevin de Prévoisin (E. J. M.). Baret (L. C. A.).

De Perpigna (G. A.). De Jouffroy (M. C. L. R.). Le Grand de Mercey (R. C. A. H.).

Lemaire (F. A. J.).

Lavenarde (C. M. J.).

Brac de la Perrière

H. A.). Guichard (M. X. H.). Martin (J. M. M.).

Parant (A.

(A. M.).

Boulenger (L.). Millier (A. M. E.)

Pertusier (F. F.).

Minot (J. P.). (B.

Mendigal (L.), détaché à la re-

Rehm (A. G. A.). De la Moussaye (G. G. M. G. J.). Metzger (J. B. D. M. L.).

Officiers de réserve.

Poncin

Marchal (M. E. A. A.).

Courier (J. F.), détaché à la remonte. Desligny (S. C.), détaché à la remonte. Des Rieux de la Villoubert (P. M. S.). N. LIEUTENANTS EN PREMIER : D'Albignac (M. M.). Hulot (A. H. J. P.), détaché officierd'ordonnance. De Cosnac (E. E.). Pichaud (N. P. E.). Durand (L.), détaché de l'École d'Autun. LIEUTENANTS EN SECOND : Brun (J. M. J. E.). Pouginde la Maisonneuve (A. C. M. R.).

gènes.

CAPITAINE : N. SOUS-LIEUTENANTS :

CAPITAINES COMMANDANTS :

Officiers de réserve.

J.). CAPITAINE : N. LIEUTENANT : Le

Raminger (G.). Bizet (J. J. M.). Raoul-Duval (M. A.).

Chanoinedu Manoir de Juaye (C. P.). SOUS-LIEUTENANTS: Royer (C..E. G.). Charbonné (J. G. A.). Charpentier (L. A.).

2e RÉGIMENT. 6e brigade de dragons, 6e division de

à Auxonne.

cavalerie, 8e corps ; —

(L.).

COLONEL : Cuny LIEUTENANT-COLONEL: CHEFS D'ESCADRONS :

Caussade (J. P. M. M. L.).

Lardier (P. H. M.).

N. MAJOR : Isle de Beauchaine (M. C. A.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Laperrine (M.

Yvelin de Béville (A. A.-P. C.). Champion (A. M.-F.). De Faucigny Lucinge et Coligny (A. J. B. M.). 3e RÉGIMENT. 11e brigade de cavalerie, 11e corps; — à Nantes. COLONEL :

J. F. H.).

LIEUTENANTFAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER

: Bourlot (C.).

Delarue-Beaumarehais (R. A. E.).

LIEUTENANT-COLONEL: Papillon (L. B. CHEFS D'ESCADRONS Ameil (M. A. E. :

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Marillet (L.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLE-

Pellé de Quéral (P. M. A.). MAJOR : Le Brun (E. C. G.).

MENT : De Gauléjac (J. J.)., PORTE-ÉTENDARD : Bernard (C. J. L.

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

M.P.), sous-lieute-

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE, : Godet (A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR2e CLASSE : Giraud

De Tarragon (L. J. E.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER

:

Maître

(L. G.).

nant.

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

A.). R.).

Pader (J.

EN 2e : Clerc (J.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Lasserre (J.

M.).

F.).

(L. L.).

ADJOINT AU TRÉSORIER : N. CAPITAINE D'HABILLEMENT :

Beaubras (L. P.).

Vuibert (V. G.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Guégan J. F.).

PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE

:

Thérault (L. A. S. J.).


Poitevin (L. E.). EN 2e : Rousselot (F. J.). AIDE.VÉTÉRINAIRE : Laney (E.). CAPITAINES COMMANDANTS : De Bonnières de Wierre (A. VÉTÉRINAIRE EN 1er :

M. Y.).

Ricard (J. M. S. P.). Bridoux (M. J. E.). Savoye de Puineuf (L. M. A.). Jacquinet (A. C. J.).

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER CAPITAINE D'HABILLEMENT : PORTE-ÉTENDARD

: Savoyen (G. E.), sous-lieutenant.

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Yvelin de Béville (F. A. C. A.). :

De la Barre de Carroy (M.

P. X.).

EN 2e : Nain (C.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Galland (N. A.).

De Verchère (E. M. A. G.).

Mugney (J. C.). Bastien (J. A.).

Jullian (D.

Dufour (I. G.).

Fleuriot de Langle (J. C. R.). R. M.).

Hervouet de la Robrie (P. H. M.).

Dufilhol (A. M. E.). De Lataulade (M. F. L. J. R.). :

Chapelle de Jumilhac (A. M. O.). De Sesmaisons (D. L. M.). Aubert de Vincelles (A. SI. C.).

Gayard (C. G.). Faure (H. F. A.).

L.).

Levesque (P. M. R. A.).

Piednoir (E. L. F.). Rocheraux (L. A.).

M.).

De Béjarry (A. J. B. G.). De Fériet (E. L.). De Lambilly (C. R.).

De Lorgeril (A. P. M.). Rousse (L. A. M. V.). 4e RÉGIMENT. 14e brigade de cavalerie, 14ecorps ; — Chambéry. COLONEL :

Bouchy (N. S.).

LIEUTENANT-COLONEL:

Haillot (W. C. T. A.). N. N.

N.

Niel (L. G.).

:

De Waubert de Genlis (L. P.

P.).

Hanonnet de la Grange (L. D. A.). Alexandre (L. A. N.). De Pardieu (E. Gounin (J. L.).

SI.

P. E.).

Sauzey (J. C. A.F.).

Poulet (J.). Laperche (M. J. A. L.). De Lafont (L.

M.).

Perlat (L. A.

G.). Lemaître (C. E. L.).

De Guinebauld (M. J. Y.).

Lehr (P. E. A.).

Pute Cotte de Renéville (L. A. E.). Bodelot (A.). Berthollet (J.).

Dimoux-Dime (P. J. M.). De Chabannes (B. SI. E.). SOUS-LIEUTENANTS : Aubert(J. F.).

De Chevigné (A. A. M.). De la Broise (H. SI. J. B.). Bouetté (J. M.).

Déan de Saint-Martin (E. J. E. Trougnou (E. S. J. L.).

Claret (E. F.).

Colas des Francs (C. SI. L.).

LIEUTENANTS EN SECOND :

Chevallier-Chanlepie(R. SI. J.). SOUS-LIEUTENANTS: Poulet (R.). D'Alexandry d'Orengiani (M.). Silvestre de Ferron (E. E.). Bénier (A. L. J.). Officiers de réserve. CAPITAINE : N. SOUS-LIEUTENANTS: Beauté (P. A.).

:

Comble (E. F. R. H.).

CAPITAINES EN SECOND :

M.

Brach (C. J.). Poinçon de la Blanchardière,Jan de la Hamelinaye (A. SI.

Prieur de la

LIEUTENANTS EN PREMIER

Desassis (E. P. A.).

(G. H. N.).

Burck (A.).

CAPITAINES COMMANDANTS

LIEUTENANTS EN SECOND

Beaudevin

Fantozier (E. F.).

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Loup (J. C.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Michaud

Prévost (G. H.). De Tournebu : (R. M. A.). Jochaud du Plessix (J. C. M.). LIEUTENANTS EN PREMIER

:

(P. L.).

Bénet (H. C.).

CAPITAINES EN SECOND :

De Lavaur de Laboisse (L. F. L.). Lenormand (H. G.). MAJOR : Ogier d'Ivry (H. P. G. M.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR : De Kesling (A. SI. L. A.). CAPITAINE TRÉSORIER : Louviot (F. J.). CHEFS D'ESCADRONS :

Des Isnards (H. L. M.). Constans (J. A. R.). D'Hennezel (H. A. G.). Officiers de réserve. CAPITAINE

:

De Blonay (S. J. D.

SOUS-LIEUTENANTS:

M.

A. R. H).

Guichard (M. F. E. E.).

Meilheurat des Prureaux (P.). Séguin (P. J.).

Paquier (J. B. J.). Genin (J. J. C.). Boucher (R. S. Y. V C.).


Officiers de réserve.

Pallus (P. H. H. F.). Pothin (J. F. A. P.). Costa De Beauregard (F. F. M. P. V.).

CAPITAINE : De Girod de Resnes (C. E.). SOUS-LIEUTENANTS: Flandrin (M. E. E.).

Perrier (II.).

Le Mesre de Pas (J. J. J.). De Mornay-Montchevreuil(C. J. A. P.). De Villeneuve-Bargemont (A. G. G. H.).

Dubost (F. M. J.). Vibert (L. M.). De Gironde (P. Y A. J. P.).

Joubert (V. A. J.). Le Clerc de Bussy (H. M. F. J.). Balézeaux (L. H.). Baille (G. C.). Boullenger (F. T.). Gallé (A. E. L.). Maheux (G. R.). Baignol (M. F. A.). Duriez (F. P.M. J.). Le Marois (J. H. L.).

5e RÉGIMENT. 2e brigade de cavalerie, 2e corps ; — à Compiègne. COLONEL :

Laurens de Waru (P.).

LIEUTENANT-COLONEL : CHEFS D'ESCADRONS:

D'Aviau de Piolant (A. C. F.).

De Fry (O. A. H.).

Caillou (S. A.). MAJOR : Brochet (H. V.).

Perrot (A. A.). Bardou (A. J. A.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR : CAPITAINE TRÉSORIER :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Brunet (C. E.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Monnier (F. F.). PORTE-ÉTENDARD :

6e RÉGIMENT. 3e

Fournié (A.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR, 2e CLASSE : Boucher (H. M.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Spillmann (M.G.

Lefebvre (N. E.). EN 2e : Chomel (C.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Jacquin (A. J.). CAPITAINES COMMANDANTS : De Terves (P. Charlot (A. L. U. F.). Carré (J.). Rigaux (H. L. S. A. M.). Gerbenne (P.). CAPITAINES EN SECOND :

Brossier de Buros (A. J.). LIEUTENANT-COLONEL: Morel (J. F. L.). CHEFS D'ESCADRONS: De Villars (P. L. M. C.). Petit (P. M. E.). MAJOR : Nilot (E. F. J.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Maquairce (L. J.). COLONEL :

J.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

M.

brigade de cavalerie, 3e corps; — à Evreux.

E.).

Vienney (L.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Gay (A. F. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Lherminier (J. P. A.). PORTE-ÉTENDARD : Picandet (F. H.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Martin (S.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Despetit de La Salle (J. A. H.)

Chabaud (V. L.E.).

MÉDECIN AIDE-MAJORIre CLASSE : Donnadieu (J. A. VÉTÉRINAIRE EN 1er : Ribaud (L. C.).

Barbier (M. L. H.). Henniaux (A. E.).

EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE :

De Lizaranzu (J. V.).

LIEUTENANTS EN PREMIER

Dombey (E. H. L.). Kemlin (II.).

Du Cauzé de Nazelle (E. H.).

Barbier Saint-Hilaire (L. P.

M.).

J.). Jourdain de Thieulloy

Letonnelier de Breteuil (C. LIEUTENANTS EN SECOND :

Lemesle (E. C.). Gabeau (J. A. L.). CAPITAINES COMMANDANTS : Roederer (P. L. A. M.). Charlery de la Masselière (M. R.). Dussardier (H. A.). Alberge-Sermet (G. S. M.). De Broglie-Revel (A. E. M. G.). CAPITAINES EN SECOND : De Patouillet de Déservillers (M. —

:

M.

(M.

J.

:

C. A.).

B. C. R.).

De la Panouse (A. H. L.). Lesellier de Chézelles (E. F. L.). Parent du Chatelet (M. J. P. L.). Van Shalkwyck de Boisaubin (F. E. H.). Chauchard (L. A.). Parmentier (J. E.). De Champeaux (D. A. M.). Vanier (G. L. L. M. J.).

Roland-Gosselin (H.) : De Courson de la Villeneuve (G. F. M. R.). Jaubert (P. H. Costa de Beauregard (B. M. C.). SOUS-LIEUTENANTS: Hadot (J. A.). Berthelin (J. R. M. L.). Hoskier (H. C. F.).

J.).

T.).

De Pelleport-Burète (P. E.). Baron de Montbel (P. J. H.). Bayvel (S. G.). De la Bourdonnaye (H. C. E. M.). LIEUTENANTS EN PREMIER

:

Singer (G. M. E.).

Dodun de Kéroman (W. M. H.).

Perret (H. G. J. M.). Morgon (M. E. M.). De Colbert Turgis (A. C. M.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Debains (F. IL).

Le Cler (P. M. P. P.). Crétin (L. J. A.). De Sègur-d'Aguesseau (E. M. J. C. A.). De Chastenet Puységur (F. J. M. A.). De Prémonville de Maisonthou (J. R. M. V.).


Pougnet (M.). Tourot (E. L.). Minangoy-Pérignon(E. A.). De Beuverand de La Loyère (A. J. M.). Chevallier de

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Demange (M. A.). Faure (M. C. R.).

Prax (M. L. L.).

la Teillais (C. E. F.).

Touvet (P. L.).

Dreys (G. C. J. P. A.).

SOUS-LIEUTENANTS:

LIEUTENANTS EN SECOND :

De

De Girard de la Chaise (M. J. A. J.). De Montesquiou-Fezensac(L.L. M. A.). Le Myre de Vilers (M. J.).

Tinel (J. C. A.).,

Tardieu (M.).

Officiers de réserve.

N.

LIEUTENANTS :

Jouen (P. V. L.).

De Portes (R. A. F.). De Broglie (L. A. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Le Febvre (C. M.). De Lingua de Saint-Blanquatd'Esplas (J. M. M.). Aubé (P. M.).

De Reiset (M.J.F.H.F.). Marquès (L A.). Cheviron (J. A.). Baudrier (A. L.). Capron (R. A.). Laronce (L.).

CAPITAINE :

Varroquier (C.).

Sève (H. L.B. B.). MAJOR : De Montagu (L. M. S.).

8e RÉGIMENT. 2e brigade de dragons, 5e division de cavalerie; stationné dans la 5e région ; — à Meaux.

Leynia de la Jarrige (L. H.).

LIEUTENANT-COLONEL :

Bonjean

(J. L. L. E.).

Bijeard

(D. A. E.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : CAPITAINED'HABILLEMENT : Soulié (J.

Taillandier (L.). P.).

Gaudier (E. E.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Guillemot (C. F. E.).

PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE :

A.).

Mendès Bonito (G. M.

Lafuste (J. M. G.). : Brunet (L. V. A.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Bich (J. H. M.). CAPITAINES COMMANDANTS : Charles (H. N.).

Kraëtz (A.). Bertrou (P. R.).

De Morell d'Aubigny d'Assy (A.

J. M.). CHEFS D'ESCADRONS :

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER :

Michel-Walon (R. C. L.).

Koszutski(J. B.). MAJOR : Aubertin (C. F. I.). CAPITAINE INSTRUCTEUR: Tampé (F. M. A.). CAPITAINE TRÉSORIER : Rusch (P.). SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

F.).

:

Espanet (P.

CAPITAINED'HABILLEMENT : Munier (L. M. E.). PORTE-ÉTENDARD Pénard (N. A. E.), lieutenant. : MÉDECIN-MAJORDE 2e CLASSE : Dziewonski (C. I. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR DE 1re CLASSE : Collet (B.J. V. VÉTÉRINAIRE-EN 1er : Aubert (E. V.). EN 2e : Fournié de Lamartinie (P. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Meyraux (J.H.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

De Reinach de Foussemagne (M. R.). Soubeiran (C. M.). CAPITAINES EN SECOND De Lagarde (J. A. H. J.). De Pavin de Montilégier (M. L. R. H.). Terracol (D. P.).

N. N.

Audiat (A. J. F.).

Douvet (J. G.). François (J. B. A.). Germain (E.).

COLONEL :

LIEUTENANT FAISANTFONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Chalret du Rieu (G. M. R.).

SOUS-LIEUTENANTS :

LIEUTENANT-COLONEL: Canonge (A. H.). CHEFS D'ESCADRONS: Braccini (F. R.).

N.

LIEUTENANT :

brigade de dragons, 2e division de cavalerie ; stationnédans la 6e région ; — P. C. à Vitry-le-François; P. P. à Lunéville.

COLONEL :

Détroyat (C. E. A. P.). De Gail (H. D. P.). De Dampierre (G. F. R. M. G.). De Becdelièvre (L. M. E.). Sciaux (J.). Richard (F. X.). Pochet (C. C.). Berthe de Pommery (H. C.). SOUS-LIEUTENANTS: Blavier (E. H. J.). Arnoult (L. E. H.). Tartinville (G. L.). Officiers de réserve.

7e RÉGIMENT. 1re

De France (L. J. M.).

Lustrac (M. R. A.),

Buissol (L.).

CAPITAINE :

Lejay (E.).

Bodin (A. H.).

Colson (M. L. T.). De Touchet (G. F.). Léorat (A. H. J.). Boucheron (J. P. L.). CAPITAINES EN SECOND :

De l'Espée (E.).

Ménard (L. J. M.).

Cremieu Foa (E. J. A.).

S.).

A.).


Frentz (P.).

De Lacour (R. E. R.). Dupuch de Feletz (C. E.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Fouques-Duparc (C. F.).

4Harlé d'Ophove (E. P. C. M.). De Moustier (A. G. M.). De Dampierre (G. G. R.).

Lemaréchal (G. E.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Kuntz (M.).

Deschamps (M. J.). Chavane (M. V. C. E.). De la Tour du Pin Gouvernet (H. H. M.). LIEUTENANTS EN SECOND : Deschamps (L. A.). De Villemandyde Lamenière (M. L. R.). De Lambilly (G. J. R.). Cavenne (C.

Taloppe (H. G.).

Camusal de Riancey (H. M. T. C. F,). Roullet de la Bouillerie (M. P. A. J.).. Lebelin de Dionne (M. L.). Blay Le Bailly de la Falaise (L. V. G.). De Ludre (F. L. M. R.). Carré (G. E.). Trochu (H. J. A.). Beau (R. C.). Goor (A. L.). Landry (L. J F.).

(H.).

C.).

Rivérieulx de Varax (G. L. M. H.). Lesterpt de Beauvais (F. S. R.). Desvernine (J. A.). Chappe d'Auleroche(F. H. C.). Dagonet (A. E.). Kiener (L. C. E.). D'Andigné (M. J.R.). Vittini (P. B. G.). SOUS-LIEUTENANTS: Moulin (H. L.). Salles (M. A. E. G.).

Mouze (A. J. C.). SOUS-LIEUTENANTS: De Lécluse (H. P. M.). Waskiewicz (L.).

Carré (L. F. A. S. M.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

Beneset (E.). Luce de Trémont (J. A. A.). De Cugnac.(M. H. F.). Martinet (F. X.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Nessler. (T. A.). CAPITAINES EN SECOND :

N.

De Ségur-Lamoignon (L. M. F. G.). SOUS-LIEUTENANTS: Creton (E. G.). Esmangart de Bournanville (M. X. P.). Vanderheym (F. H.). Didelot (H. R.). Osiecki (H.L. A.).

Aguado (L. N.). Baratier (G. L. C.).

LIEUTENANT :

CAPITAINE :

N.

Poujade (C. E. L.). SOUS-LIEUTENANTS: Véroux (A. J.). LIEUTENANT :

Monjean (M.L.).

Renard (G. A.).

9e RÉGIMENT. 2e

Officiers de réserve.

brigade de dragons, 5e division de cavalerie ; stationné dans la 5e région ; — A Provins.

Briois (G. J.). LIEUTENANT-COLONEL: Petitgrand (C. L.).

Béjot (E. G. A.). Péronne (H. F.).

COLONEL :

CHEFS D'ESCADRONS :

10e RÉGIMENT. 17e brigade

Théry (E, A.).

N.

COLONEL :

Tristan de l'Hermite (M. J. P.). CAPITAINE INSTRUCTEUR: Lamy (M. J. V. V. E.). CAPITAINE TRÉSORIER : Pinnelli (D.).

MAJOR :

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Alaine (V.

A- G.).

De Laumière (E. T.). PORTE-ÉTENDARD : Roche (J. A.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Génin (C. M. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT:

MÉDECIN AIDE-MAJOR.Ire CLASSE : Goudal (A.). VÉTÉRINAIRE EN 1ER : Vérain (L.)., EN 2e : Bocquet (L. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Roux (A. G.

CAPITAINESCOMMANDANTS :

G. M.). Leflem

(F. M.).

Maréchal (S. H.). Coqueret (L. F. C. L.).

G.).

E.).

Le Moine de Sainte-Marie (H.

de cavalerie, 17e corps; — à Montauban

De Butler (J. R.).

N. De Fontenay (P. M. R.).

LIEUTENANT-COLONEL: CHEFS D'ESCADRONS:

Mournaud (E. F.). MAJOR :

Lavaivre (M. A ).

CAPITAINE INSTRUCTEUR: Beaudemoulin (A.). CAPITAINE TRÉSORIER : Thouvenin (A.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Aimon (M. P. J

A.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT : Grabias-Bagneris (L. C. M. F.). PORTE-ÉTENDARD : Senduc (A.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Pongis (B. P.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : De Casaubon (L.

Delbrcil (J. B. S.). EN 2e : Thollois (E. E.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE: Montazel (L.). CAPITAINES COMMANDANTS : Chaussard (L.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

P. S.).


SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER

Virvaire (P. T. J. B. A.). De Pousillat Duplessis (M. R. A.). Dupont (F. M. T.). Demaiche (C. M. J.). CAPITAINES EN SECOND :

CAPITAINE D'HABILLEMENT :

Roques de Borda (M. J. B. P.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Zeude (G. M. P. N.). De Lacoste de Belcastel (J. M.). Thédenat (L. M. C. R.). Bardon (V. S. C. A.). Roche (M. F.). LIEUTENANTS EN SECOND : Futin (G. A.). Geoffroy (L. C.). De Barrau de Muratel (A. R.). Barbarra de Labelotterie de Boisseson (J. M. M.). Bayonne (F. S.). Charoy (M. A. G. A.). D'Ollonne (C. A. M. G.). D'Ouvrier de Villegly de Bruniquel (R. R. G. A.). De Bazelaire (P.). De Mauléon de Bruyères (M.O.). Destremau (F. A.). SOUS-LIEUTENANTS : Audoy (R. M.). Barthomivat de La Besse (J. A. M. E.). Séatelli (L. E. C.). Chopin de la Bruyère (P. E. D. E.). Officiers de réserve.

N.

SOUS-LIEUTENANTS : De Beaumont (A. A. G. M.). Sans (C. F.). Mercier (A.). De Lingua de Saint Blanquat (G. M. M.).

Sarros (F.). Coste (M. J. G.). Klehe (C. J. A.).

Barbara de Labelotterie de Boissezon

(M. M. M.).

Biragnet (J. L. D.). Cairol-Caramaing(A. H.). Suarez d'Almeyda (B. L. G.).

LIEUTENANT-COLONEL :

corps ; — à Tarascon. M. M.).

Dalmas de Lapérouse (L. R.).

Lugan (J. M.).

De Jourdan (J. C. G.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR : Luce (A. J. M.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER

L.).

:

(P. N. E.).

Desprez (F. M. L.).

Labit (C. P. F.). Callaud (J. B.). Pesace (V. L.). Chaine (P. V. M.). CAPITAINES EN SECOND :

Choiset (L. E. E.).

Loze (L. E. P.).

Noël (L. E. L.). N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Labbé (R. M.).

Seigneur (L. A. J.). Du Tertre (C. R. E. F.). Griolet (J. B. S. R. G.).

Labat (L. E. F.). LIEUTENANTSEN SECOND :

Labat de Lapeyrière (E. G.).

Du Laurens d'Oiselay (H. G. M.). Mac Guckin de Slane (C.). Perret (L. P. S.). Marteau (J. J. G. A.). D'Arboussier (P. E. C. L.). Viollette (H. M.).

Audouard (P. A. L. E.). De Sonis (V. H. F.). De Vandière de Vitrac (J. A. H.). SOUS-LIEUTENANTS : De Fresse de Monval (J. M. A.). Le Masson (G. R.). Bondet de la Bernardie (H. M. E.). Albanel (C. IL).

Picaud (A. A. V.).

:

De Castéras-Villemartin (J. A. M. P. F. D. Hamon (M. A. L.).

Chauvet (J. P. L.). Brignan (J. E.).

N. MAJOR :

CAPITAINES COMMANDANTS

SOUS-LIEUTENANTS :

Marguier d'Aubonne (L. A.

CHEF D'ESCADRONS:

EN 2e : Bernard AIDE-VÉTÉRINAIRE : Gay (E.).

P.).

11e RÉGIMENT.

:

Busy (J. M. J.).

Officiers de réserve.

De Viguerie (P. J. C. M.). Gès (T. B. L.).

13e

:

CAPITAINE

brigade de cavalerie,

Nabona (E. E, M. A.

Rey (C. L. L.).

Vidal (P. J. B.).

COLONEL

PORTE-ÉTENDARD : Carrière (V. J. M.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Morer (E.).

P.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

15e

Paradis (F. X.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE :

Lespinasse (H.). Peillard (R. E. M. F.). Bugnon (A. A.).

:

Dodeur (F. E.

P. M.).

Barrière (P.).

CAPITAINE

:

:.Vial (P.

Nègre (E. P.). Pellat (G. J. P. E.). Feautrier (A. E. F.). Cachiardy de Montfleury (E. P. J.). Carenet-Lablaquière (E. P. G. J. A.). Guignon (A. M. A.). Gitillame (L. J.). Jaubert (F. L. A. P.). D'Espous de Paul (P. F. P.).


12e RÉGIMENT. 6e

brigade de cavalerie, 6e corps ; — P.

C.

à Troyes ; P. P. à Nancy.

COLONEL : Hénin (N.C. E.). LIEUTENANT-COLONEL: Marchal (H. C. CHEFS D'ESCADRONS :

Savoye (L. E.).

H.).

Bastien (J.).

N. MAJOR :

Sallé (E. P.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR : Simon (L. P. E.). CAPITAINETRÉSORIER : Carrichon (E. P. A.). SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Duret (M. O.).

Reinhart (M. C.).

CAPITAINED'HABILLEMENT:

PORTE-ÉTENDARD : Moussard. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Comte (H. M.

P. F.).

Maguin (P. M. J.). (J.). — EN 2e : Cazenave (H. P. M.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Bouchy (J. P.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : VÉTÉRINAIRE EN 1er : Woehrling

Pizard (C. A. A. S.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Lescot (A. L.). Vincent-Lefebvre de Champorin (C. M. J.). CAPITAINE EN SECOND : Baroux (J. B.). Boutaud de Lavilléon (H. R.). Boitel de Dienval (C.M.). Voelckel (P. V.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

De Gallier de Saint-Sauveur

J. G.). Minaux De la Ruelle (L. F.).

(T.).

Wimpffen (J. E. G.). Bourgeois (G. E. N.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Guise (A. V. H.).

Espenel (J. A. P. G. E.).

Parlange (G. J.). Carette (L. M. V. A.). Lardinois (J. F. J.). Calla (P. J. F. J.).

Le Maître (R. L. A. A.). Armand (M. F.). De Wangen de Géroldseck (H. G.). Caron (P. J.). De Burgat (A. D.). Merle du Bourg (L. J. F.). De Benoist (J. P. L. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Dutech (H. J. F.). Poignant (L. A. P.). Rampont (C. M. E.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

SOUS-LIEUTENANTS :

Horrie (F. H. R. H.).

Pierson (P. H.). Barbet (P. A. G.).

Lahaye (L.

M.

J.).

De Négroni (R.P. P. L.). Nivière (A. L. M. R.). Tricotet (J. A.) Letestu (M. A.).

Paul (A. J.). De Turckeim (F. A.). 13e RÉGIMENT. 5e brigade de cavalerie, 5e corps; — à Joigny.

De Ganay (J. H. J.). LIEUTENANT-COLONEL: De Monspey (M. G. L. H. E.). CHEFS D'ESCADRONS: Kronn (J. J. A.). Simon de la Mortière (G. E. C.). MAJOR : De Faucher de la Ligerie (E. P. L. F.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Guynet (P. F.). COLONEL :

CAPITAINE TRÉSORIER : Renard (A. E. A. ADJOINT AU TRÉSORIER : Brieu (J.).

Daubremont (P. A.), Hacquart (L. V.).

(A. M.

Le Grand (L. E.). Luc (P.P. M. J.).

F.).

Renet (M. L. E.). Noiret (J. B. E.), sous-lieut.

CAPITAINE D'HABILLEMENT: PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN-MAJOR: 2e CLASSE : N. MÉDECIN AIDE-MAJOR1RE CLASSE :

Rouffignac (J.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Valiton (F. L.). EN 2e : Ducloux (E. J. A.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Wimille (J. S.). CAPITAINES COMMANDANTS : Desfaudais (A. H.). Sainte-Chapelle(A. M. G.). Davagnier (F. S.). Miron (P. L. H. F.). De Loynes d'Autroche (J. C. E.). CAPITAINES EN SECOND : Schmidt (E. C.). De Villardi de Montlaur (P.R.). Hély d'Oissel (A. R.). De Poret (J. A.). Vialètes d'Aignan (M. L. A.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

.

Robert des Chevannes (F. A.)

Laurent (C. A.). Koenig Belliard de Vaubicourt (E. A. S.). Magnier (A. G. E.). Stocklen (L. A.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Droz des Villars (P.

Laferrière (H. C. E.). Bauthamy (H. P. M.). Macdonald de Clanranald (N. A. F.). De Poret (R.). Versein (A. A.D.). Marcot (L. .V. A.). ' Barlatier de Mas (P.). De Balathier-Lantage(M. H. J. R.). De Massol (J. O.). Lory (P. A. A. J.). SOUS-LIEUTENANTS:

Pauly (S.

H.).

Janet (P.). Maurin de Brignac (J. N. G.).

P.* J.)


Malenfant (J. M.). Desrousseaux (A. L. A. E.). De Moucheron (R. E. L. M.).

De Menthon (M. G. A. B.). D'Avon de Collongue (J. L. A. G.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

Stoéckel (H. C.).

N.

Thomas (L. M.). Hamon (E. J. R.). Uttenveiller (P. R.). Laurent (A. L. V.). . De Rohan-Chabot (S. M. G. H.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Leplus-Habeneck (L. C. H.). De Bodin de Boisrenard (M. G. E. F.).

LIEUTENANTS :

Chirac (G. F. P.). Michaux (G. A.).

Pallu de la Barrière (M. A.).

Blin (C. J. M.).

Bégé (A. C. R.). Frébault (L.).

Testart (C.

Bourguignon (L. L. J.). Brame (H. G.). Dollé (H. V.).

Officiers de réserve. CAPITAINE

Du Fvernet-Passa (P. C. V.). 14e RÉGIMENT.

brigade de dragons, 3e division de cavalerie; au camp de Châlons. COLONEL : D'Abel de Libran (L. G. M.).

6e

3e

CHEFS D'ESCADRONS :

corps d'armée;

Buffet (M. F. D.).

15e RÉGIMENT. 18e

LIEUTENANT FAISANTFONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Delorme

(O. H. F. L.).

Gérard (A.).

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER

COLONEL :

— à

Libourne.

De Raity de Villeneuvede Vittré (C. A.).

CHEFS D'ESCADRONS : :

Vigouroux (P.

R.). CAPITAINE D'HABILLEMENT :

Loutrel (D. E.).

Regad (H).

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Coste (M. L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : Sébillon

N. De Laforcade (M. C. B.).

:

(J. M. J. A.).

Jean (A. E.). Cossonnierd'Oyat (H. L. E.).

Husson (L. M.). Menuau (M. C.). Delavau (P. F.). Guerou (E. G. H.). CAPITAINES EN SECOND :

De la Villestreux (A. E. E.).

Bessonnaud (P.). Emé de Marcieu (H. M. T. A. H. G.). D'Arcangues (M. M. L. P.).

Lewden (F. H.).

Petit

(A.

G. L.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER

:

Durand (E. G.).

Prisse (P.

A. A.). PORTE-ÉTENDARD : Jourdan du Mazot (A. H.), lieut. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Bergounioux (J. F.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : Lescure (J. IL). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Rigollat (J. L.). EN 2e : Beugnot (T. E.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Choteau (A. P. J.). CAPITAINES COMMANDANTS : Surirey (A. A.). Vidal de Lausun (P. M. H.). Géneau (E. P. L.). CAPITAINE D'HABILLEMENT :

Cazalis (J. S.). Chêne(G. J.)..

Dureault (J. C. M.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Barthelet (J. N.).

Millard (P.). Maurer (E. J.). Colas (A. G. H.). Lacroix (J. B. H.). LIEUTENANTS EN SECOND :

(L. A. F.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER :

Boisse (C. H.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Le Noir de Carlan (C. M.). MAJOR : Lemercier de Maisoncelle Vertille de Richemont CAPITAINE INSTRUCTEUR :

Jeannot (P. F.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er : EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE :

brigade de cavalerie, 18e corp s;

LIEUTENANT-COLONEL:

CAPITAINE TRÉSORIER :

Lepesqueur (P. C.).

Garié (J. P. P.).

Portalis (C. P. R.).

PORTE-ÉTENDARD :

N.

Poisson (A. G. C.). SOUS-LIEUTENANTS: Charles (E.). Berteaux (G. V. A.). Baron-Larcanger (M. E. R. M. G.). De Neuchèze (F. H. E.). Bally (I.).

N. MAJOR :

:

LIEUTENANTS :

Lefebvre (J. A. F.).

LIEUTENANT-COLONEL:

H. M.).

Caffaro (C. A. V.).

De Villelume-Sombreuil(J.). De Froissard-Broissia (M. L. E. J.).

Charcelay de la Roberdière (A. L.).

Laverrière (V. M. A. V.).

CAPITAINES EN SECOND :

Portanier (J. B.).

De Gaalon (F. M.). De Vandière de Vitrac (P. E.). Fontano (L. L. E.). De Beaurepaire de Louvagny (M. R. G.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Aigoin du Rey (V. A. P. N.). Harmignies (G. A. C.).

Blanchy (M. M.). Tristan de L'Hermite (A. A. M. J.). Bignon (M. J. B.).


LIEUTENANTS EN SECOND :

Coyreau des Loges (P. C. R.).

Billioque (H. C. L.). Poute de Puybaudet (M. A.). Galand (J. B. M. P.). Cantillon de la Couture (J. C. G.). Dogny (H. P.F.). Bordier (E. L.). Vidal de Lausun (J. P. L.).

CAPITAINES EN SECOND :

Hubert (M. E. M.).

Prévot (J. A..G.). Rode (P. M.). Peyraud (J.).

De Cazes (E. R.). Lacombe de la Tour (A. E. E. E. X. J.). Aymé de La Chevrelière (J.. M. C.). LIEUTENANTS EN PREMIER : De Lallemand du Marais (V. J.F. G.). Gobert (C. T.). Noizet (T. S.). Lemant (H.). Dodelier (H. C.). LIEUTENANTS EN SECOND : Rozat de Mandres (C. N. L.). De Corday (V. J. P.). Pimont de Cécire de Honnaville (G. A.). Révy (M. C. J. P.). Tardif de Moidrey (E. M. J.). Blaize (L. M.). Stourm (M. C.). Siriez de Longeville (J. F. A.). De Le Gorgue de Rosny (J. J. B. R.).

Simon (M. L. F.). Communal (M.).

Potiron de Boisfleury (A. J. M. C.).

Degournay (J. M. A.L.). De Ploeüc (R. A. E. C.). Berneval-Francheville(M. J. E.). Fiévet (G. J. E.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Magnen (G. M.). Lamore de Lamirande (P. G.).

Crandin de l'Eprevier (A. V. M. E.). Froment dit Froment-Meurice (C. F. Lacroix (J. F. A.).

M.

J.).

Officiers de réserve.

N. LIEUTENANTS : Riffault (A. C. F.). Baudier (P.). CAPITAINE :

Lapelle-(J. G. C.). Lapèze (G. M. J.). Poydenot (J. M. R.). Miocque (G. T.).

SOUS-LIEUTENANTS:

16e RÉGIMENT. 3e

Marié (A.).

Marcotte (E. M.).

De Masfrand (J. M.D. A.). De Lussy (P. J. C. A. E.). Caud (P. E.). De la Taille (M. A. J. M.). SOUS-LIEUTENANTS : De Lespinasse de Bournazel (J. M. L.). Guiet (G.B.). De Calmels-Puntis (P. E.). réserve. Officiers de CAPITAINE : N. SOUS-LIEUTENANTS:

Rouy. (A.).

brigade de dragons, 3e division de cavalerie ; 6 e corps d'armée; au camp de Châlons.

Mouchoux (H. C. F.). 17e RÉGIMENT.

P.). CHEFS D'ESCADRONS :De Rochefort (L. P. H.). Allheily (X.).

16e brigade de cavalerie, 16e corps; — COLONEL : Cabrol (A. F. E.).

MAJOR : Oudiné (J. A.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

LIEUTENANT-COLONEL :

Blaise

CAPITAINE TRÉSORIER : Beauvais (D.). LIEUTENANT ADJOINTAU TRÉSORIER : Renaux (J.).

(P.). Verdierre (P. A. E. B.).

EN 2e : Montagner (J. B. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Paruit (C. J. B.). CAPITAINES COMMANDANTS :

A.).

De l'Espée (J.F. M.

Martelli-Chautard (J.F.). Chaminade (H. L. H.).

Halna du Frétay (R. C.).

Valicon (A. A. A.).

P.).

Legros (B. C.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Legagneur (H. A. E.).

Bernard (V. A.).

LIEUTENANT FAISANTFONCTIONSD'INSTRUCTEUR: Simon (M.

Renaud (J.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : VÉTÉRINAIRE EN 1er : Sambelle

CHEFS D'ESCADRONS:

à Carcassonne.

Hébert (F. E.). MAJOR : Ancenay (B. F.).

(D. P.).

PORTE-ÉTENDARD :

(J. C.).

De Montgomery (A. P. G. L.). Le Grand (L. M. J. H.). Simonis-Empis (H. L.).

COLONEL :Treymüller (L. A.). LIEUTENANT-COLONEL: Auvity (P.

CAPITAINE D'HABILLEMENT:

Pra

H.).

Hügel (G. A. J.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Riu (Z. J.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Dunoyer (A. H.). PORTE-ÉTENDARD : Doutre (J. M.), lieut.. MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Ferrié (J. P. M.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : Gary (P. A. A.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Garrouste (M.A. G.). EN 2e : Ferrand (J. B. P.). — CAPITAINE TRÉSORIER :

Berlan (C. P.). CAPITAINES COMMANDANTS : Barou (E. A. M.).

AIDE-VÉTÉRINAIRE :


De Ferluc (J. B. L. A. J.). Haury (E.).

CAPITAINE TRÉSORIER : Fricquegnon (N.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Schaal

Humbert (A. M.). Van Assche (C. E. A.).

CAPITAINE D'HABILLEMENT:

CAPITAINES EN SECOND :

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Lassale (C. J. S.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Pouy (J. F.).

De Guibert (M. P.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

EN 2e : Marchal (M. AL J. E.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Talin (H. R. J. B.). CAPITAINES COMMANDANTS :

Marion (C. L.).

Forjonnel (L. M. M.). De Buyer M. J. L. R.). Blanchet (H. M.). CAPITAINES EN SECOND :

Freund (A.).

Bullot (H.). Moreau (H. A.). Cuel (F. L. G.).

De Clermont-Tonnerre(A. C. H.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Gruet de Bacquencourt (M. P. M.).

De Vernou de Bonneuil (M. V. G. M.). De Lambilly (H. M. R.). Mauger (N. E. G.).

Peting de Vaulgrenant (A. E. M. M.). LIEUTENANTSEN SECOND : Kuntz (E. G.). De Perrinelle-Dumay (L. P.). Vacheron (A. J. A.). De Gondrecourt (H. L. M. R.). Boulard (G. L.). De Corday (P. H. M. A.). Lefèvre (A. A.). Poivret (L. M.). Philpin de Piépape (C. E. M. R.).

N.

Lalande (P. L. J.). SOUS-LIEUTENANTS: Bosch (M. J. X.). :

Bigou (J. A.). Salomon (F. P.). Tézenas (J. M. F.).

D'Hauteville (M. J. L.). SOUS-LIEUTENANTS: Simon (M. E.).

Boullaire (F. R.).

Guichenet (F.). Deville (L. J.).

De Tulle de Villefranche (E. H. R.).

Durand (V. E.).

De Cambourg (J. A. M. G.). Georges de Lemud (C. M. C.).

Perrot (M. E.).

Bessodes de Roquefeuil de Saint-Etienne (L. P. F.). Blay-Cahuzac (M. J. L.). De Martin de Viviès (M. O. X. J.). Tattet (J. L. E.).

Officiers de réserve. CAPITAINE N.

De Bourcier (P. L. G.). Murat (J. N.). SOUS-LIEUTENANTS: Moitessier (C.). Lecerf (J. G. V.). Camion (M. J. B. C.). Bourdon (L. A.). Mougin (L. A. S.).

LIEUTENANTS :

Arnaud (G. P. E.). 18e 1re

Du Fornel de Roure de Pau-

lin (G. A. R. J. M. J.).

Officiers de réserve. LIEUTENANT

Grosdemange (C. J.).

Souville (M. J. V.). De Royère (J. B. M. C.). Ollivier (Y. F. M.). Robillot (P. J.). De Martin de Viviès (M. X. C.). SOUS-LIEUTENANTS: De Fournas-Labrosse (D. E. J. M.R.). De Bonnefoy (H. A. J.). De Combarieu (P. L. J. F. S.). Lesueur (E. P. A.).

:

Lacour (C. J. B.).

Humbert (L. D.), lieut.

PORTE-ÉTENDARD :

Taufflieb (M. E. A.). Tastet (P. M. P. M. A.). Magnin (J. M.). N. LIEUTENANTSEN PREMIER : Lafon de Laduye (M. P. J.). De Lacger Camplong (A. H. M.). Rampon (L. J.). Dutrop (G. J. E.). D'André (M. E. M. B.). LIEUTENANTSEN SECOND : D'Yzarn de Freyssinet de Valady (M. J. L.). Fontaine de Cramayel (R. L.). Lombard de Servan (X. C. J.). Demougeot (F. E.). Lacassagne (J. A. G.). De Guibert (A. L.).

CAPITAINE

RÉGIMENT.

brigade de dragons, 2e division de cavalerie; stationné dans la 6e région ; — P. C. à Vitry-le-François ; P. P. à Lunéville.

Du Bois de Beauchesne (H. A.). LIEUTENANT-COLONEL: Fabre (J.). CHEFS D'ESCADRONS: De Merval (E. A. M.). COLONEL :

19e RÉGIMENT.

E.). Duroisel (C. V. N.).

Trameson (M.

H.

MAJOR : LIEUTENANTFAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

(E. L.).

(J.).

6e

Rousseau

.

brigade de dragons, 6e division de cavalerie, 7e corps ; — à Dôle.

COLONEL:De

Campou (J. A.). LIEUTENANT-COLONEL: De Pontac (J. L. A.).


Serve (C. J.). Lavit de Clausel (P.). MAJOR : Bros de Puechredon.

Desjoyeaux (N.).

CHEFS D'ESCADRONS:

De Suremain(E. D. A.).

LIEUTENANTFAISANTFONCTIONS D'INSTRUCTEUR : David (A.

D. G.). CAPITAINE TRÉSORIER : Conraux (A. E.). SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Hourse (E.

M. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT

:

Sénépart (N. D.).

PORTE-ÉTENDARD : Bouquet de Jolinière (E. A. H.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Zimmermann (J. B.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE VÉTÉRINAIRE EN 1er : Touvé (A.

(L.). :

Arnould (E. O. J.).

A.).

VÉTÉRINAIRE EN 2e : Mouraret AIDE-VÉTÉRINAIRE : Janin (P. V.). CAPITAINES-COMMANDANTS : De

Chamisso (G. A.).

Desenlis (L. J.). Chapuis (A.). Barny de Romanet (L. J. M.). De Pons (C. H. M.). CAPITAINES EN SECOND :

Lamy (G. C. J.).

Millot (J. A.). Dupont-Delporte (H. E. N.).

MAJOR : Hubault (M. A.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Ruffier

d'Epenoux (D. L. P.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Havard (A. E. G.).

SOUS-LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : Etienne (P. M.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Ménard (H. L. P.). PORTE-ÉTENDARD : Lambinet (P. M. T.), lieut. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Renard (L. C.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1RE CLASSE : Darbouet VÉTÉRINAIRE EN 1er : Barret (E. A.). EN 2e : Antoine (N. J.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Chaulet (J. B. E.

CAPITAINES COMMANDANTS :

(J.E.).

A.L.).

De Cabrières (M. G.L.A.H.).

Chatelin (G. J.).

Gaillard-Bournazel(H. L. A.). Poinçon.de la BlanchardièreJan de la Hamelinaye

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Jourda de Vaux de Foletier

J. A. A. R.). Reynaud (J. G. I.). (M.

Petit (A. H. L. V.). T.). De Rambert (D. E. M. C.). Keck (F.

De Milleville (O. M. G.). Becquet-Maraicherie (R. M. P.). Sérot (E. M.).

LIEUTENANTS EN SECOND :

Bayon (A. J. X.). Vezy de Beaufort (M. R.). Delmas (F.). De La Chapelle (C. C. R ). D'Uston de Villeréglan (M.- J.). Valentin (J. G.). Chapuis (E.). Perrin (C. M. L.). Bibet (L. A.). Chevalier du

20e RÉGIMENT. 12e brigade de cavalerie, 12e corps ; — à Limoges. COLONEL : De Montfort (S. A. P.). LIEUTENANT-COLONEL: De Sesmaisons (F. J. L. M.). CHEFS D'ESCADRONS : De Laitre (H. C. M. G.). Peyrusset (F. C. E.).

Fau (F.

A. M. C.).

Vachon (M. J. J. M.). De Pinet De Borde des Forest (J. E.). Legendre (E. F. C. M.). De Maistre (M. B. I. M.). Officiers de réserve. CAPITAINE : Neyrand (L. M. E.). LIEUTENANT : Magny (F.). SOUS-LIEUTENANTS : Mogenet (J. C. G.). Martinon (P..V. R.). Léglise (P. P. L.J.). De Seguin de La Tour de Reyniez de Prades (M. A. R.). Tassin de Montaigu (H. A.). Davet de Bénery (E. A.). SOUS-LIEUTENANTS:

(J. H. M.). De Salmon de Loiray (M. J. G.). CAPITAINES EN SECOND : Vuilquin (H. A.).

Dodard des Loges (C.H.). Lebrun (F. A.). Jaubert (L. F.). De Gélis (L. P. M.). LIEUTENANTSEN PREMIER : Collomb (L. G.). De Mas-Latrie (M. M.).

Dalmay (J.). Bellat (M. A. J.). Favin-Lévêque (C. J. P.). LIEUTENANTS EN SECOND : Alquier-Bouffard (H. E. E.).

Labat (E. A.) Torterue de Sazilly. (J. M.). Clouzet (J. G.E.). Bohrer de Kreuznach (B. I. J. W.). Sautereau (M. M. J. A.). De Pasquier de Franclieu (M. L. H.). Duponnois (A. A.). Chambon (L. C. J.). Duché (J. J. B. E.). Ihler (C. G. A.). SOUS-LIEUTENANTS : Prévost Sansac de Traversay (J. C. M.). Delafon (E. E. L.). Poucin (T. M.). Bérar (M. A. J. A. E.). De Boussiers (F. M. H.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.


OFFICIERS DE GUIDES ; SECOND EMPIRE.



SOUS-LIEUTENANTS:

Wanin (G. P. A.).

De Guiry (R. F. L.).

Corbin (P. L.).

Chollet (C. R. P.). De Le Gorgue de Rosny (R. M. L.). Van Robais (L. M. A. X.). De Gouvion Saint-Cyr (P. J. F.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Guitard (E.J.). De Chabannes LA PaliCe (J. C. P.). Tingaud (D.). Debect (J. M. J.). De Luppé (P. L. F.). Laroche (A. A.).

21e RÉGIMENT.

brigade de cavalerie, 1ercorps ; — à Saint-Omer.

COLONEL :

De Bermingham (A. E.).

Prère (M. O. F. X.). CHEFS D'ESCADRONS: Blondin de Saint-Hilaire (L.N. R.). Bolnot (J. B.). MAJOR : De Jacquelin Dulphé (M. C. R.).

LIEUTENANT-COLONEL:

CAPITAINE TRÉSORIER : Hugon

De Tournebu (L. M. H). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Martin (P. F.).

PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : VÉTÉRINAIRE EN 1er : Toutey (E.

Pouillaude (E.).

V.). EN 2e : Girard (P. F. J.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Duplat (J. E. P. M.). CAPITAINES COMMANDANTS :

De Touchet (G. V.).

Bartoli (C. J. C. F.). De Framond (A. M. V. A.). Nusbaumer (E.). Gaume (J. M. T. A.).

Marchal (F. J.).

Allenou (L. M. J. E.). Germot (L. B. L.). Bittard-Ducluzeau (P. M. A. L.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER

:

De Chastenet-Puységur(M. J.

A. A.).

Wanaverberque (A. A.). 22e RÉGIMENT. brigade de dragons, 4e division de cavalerie ; stationné dans la 6e région ; — P. C. au château de Villiers, P. P. a Sedan. 1 COLONEL : De Benoist (C. M. J.). 4e

Morris (P. L.). CHEFS D'ESCADRONS: D'Estrêmont de Maucroix(A. A. R.). N.

LIEUTENANT-COLONEL:

MAJOR :Lux

(L.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR:

Delestang (E. H.). Courcier (J. F. A.). Dugard (H. J.). :

Mathis (L.).

De Malet de Coupigny (S. M. J. B.). De Franqueville (M. J. G.). Plégé (J. A. G.). Bernard (P. L.). Donjon de Saint-Martin (G. H. J.). Mory (E.). De Salignac-Fénelon (H. M. R. P.).

Denevault

(L. P.).

Laurent (J. C.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Aubertin (C. N.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : François (C. V.).

CAPITAINE TRÉSORIER :

PORTE-ÉTENDARD : Leclerc (G. P.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Aubertin

(L. I. E.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR2e CLASSE : Mathis (C. VÉTÉRINAIRE EN 1er : François (L.).

E.).

EN 2e : Quiclet (R. P. C.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Prunier (J. L. A.).

CAPITAINES COMMANDANTS

De Joybert (J. F. J. M.).

Chamorin (A.). Oudart (E. R.).

Simon (C.). De Tinseau (C. A. H.).

de Villers (J.).

SOUS-LIEUTENANTADJOINTAU TRÉSORIER : Aubert (A. A. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT : Bouchez (A. A. T.).

LIEUTENANTS EN SECOND

De Polignac (A. H. M.). SOUS-LIEUTENANTS : Goisbault (C.). Delannoy (P. C.). De Contades (E. H. J. M.). Ovigneur (A. G. A.). Van de Weche (A. E.). D'Orléans (J. M. C.). De Romanet de Beaune (X. R.). Godde de Monthières (A. L.). Gérardin (H. G.). Salomé (J. A. N. M.)

Pochet (G. C. G.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

CAPITAINES EN SECOND :

Officiers de réserve. CAPITAINE :

Maurel (M. L. L.). Maurel (M. J. A.). Moureau (J. F. D.). Lamy de la Chapelle (M. J.).

1re

Decorio Saint-Clair (A.).

:

De Corbel Corbeau de Vaul-

serre (M. M. A. A.). Hache (E.). Hébert de Beauvoir du Boscol (M. C. F. R.). Mondain (A. P. E.).

Letourneur(M. L. M.). CAPITAINES EN SECOND :

Masquelier (E. P. A. J.).

N. N. N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER : Boissonnel (A. E. M ).

Mordacq (L. L.).

Jaulhac (J. J. M.).

Laigre de Granville (A. A. M.).


Merle de la Brugière de la Veaucoupet (M. R. F.). Wagner (E. M.). Hébert de Beauvoir du Boscol (M. C. L. H.). Renson d'Allois d'Herculais (E. H. A. J.). LIEUTENANTS EN SECOND : Darodes de Tailly (M. F. G.).

Mangin (G. S.). Chaput (C.).

LIEUTENANTS EN SECOND :

Renault (C. H. G. F.).

Parquet (C. C.R.). Bourrée de Corberon (M. A. J. P. Vuillier (J. J.).

M.).

Berthe (J.).

Renon (A.). Le Chanteur (R.). Monin (C. V. G.). Balaresque (P. C. R.).

Baillière (A. C. L.). Harscouët de Saint-Georges (L. J. J.). Valder (L. A. H). Delecourt (F. L.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Dommanget (R. J.). Vidalin (A. G.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

LIEUTENANT : De Vallombrosa(A. A. SOUS-LIEUTENANTS : Ravenet (L. P.).

V.

M. M.

A.).

Marot (M. A.). Audubert (M. E. H.). Bastien (P. A. H). Burdin (J.).

De Contades (A. G. R.). 24e RÉGIMENT.

N.

10e

Barotte (F. E.).

brigade de cavalerie, 10e corps ;

— à Dinan.

De Cléric (A. L. E.). LIEUTENANT-COLONEL: Cuny (O. A. A.). CHEFS D'ESCADRONS: De Noüe (J. G.). COLONEL :

Pébernard de Langaulier (F. M. L. P. A.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Eon (H.

N.

J.). CAPITAINE TRÉSORIER : Vautrin (I.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

MAJOR :

Boüault (M. A. B.). CAPITAINED'HABILLEMENT: Lusardy (E. F. X.). PORTE-ÉTENDARD : Caron (C. L. P.), lieut. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Brégi (J. E.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Fradet VÉTÉRINAIRE EN 1er : Wagner (J. E.).

De Bourgoing (C. F. M.).

Picquefeu (F. V.). Reau (L. H. R. L.). Catherin (R. F.). Henrion (L. M.).

brigade de dragons, 4e division de cavalerie ; stationné dans la 6e région ; — P. C. au château de Villiers, P. P. à Sedan. COLONEL : De Taffanel de la Jonquière (M. G. A.).

MAJOR :

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

4e

CHEFS D'ESCADRONS: AL

Officiers de réserve. CAPITAINE :

23e RÉGIMENT.

LIEUTENANT-COLONEL:

Chevillot (J.). Guilbert de Latour (P. M. J.). De la Bourdonnaye (B. E. M.). De Laage de Chaillou (C. E ). D'Arcizas (P. G. C.). De Platel du Plateau (C. A. N.). Sollner (R. F. M. A.). Mauche (C. J. M.). Lagallarde (J. J. A. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Noizet (L. P.). Lepage (L.). Adam (E. E.). De Vallois (C. C. H).

EN 2e :

AIDE-VÉTÉRINAIRE

:

(P. J. H.).

N.

Bernard (J. C. E.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Le Boucher d'Hérouville (M.

J. R.). Chevalot (J. C.). Delaruelle (L. A.). De Blarer (J. E. A.). De Carné Trécesson (A. C. E. M.). CAPITAINES EN SECOND : Christ (J. F. L.). Dieterich (P. J.). D'Isoard de Chénerilles (C. R.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

AL :

Deslandes (A. G. A.).

Durand de Monestrol d'Es-

quille (A. L. L.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Rincent (M. A.).

SOUS-LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : CAPITAINE D'HABILLEMENT : Tochon (C.). PORTE-ÉTENDARD :

Naudinat (N.),

Weil (C. J.).

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Morand (J. S. L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CIASSE : Lejeune (R. R.).

Voinier (J. P.). EN 2e : Peyruc (E. A. E.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Gillet (L. J.). CAPITAINESCOMMANDANTS: Picot de Lapeyrouse (M. A. H). Sabry de Monpoly (M. A. L. R.). Amiel (C. M.). Willemin (G. P. H.). De la Bigne de Villeneuve (A. M.). VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

CAPITAINES EN SECOND

Gérardin (E.). Lorson (M. J. B.).

AL

LIEUTENANTS EN PREMIER

Bellet de Tavernost (J. P.).

Foret (A. A. G.).

:

Descars (F. M.).


Haentjens (G. G. H).

VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

Finet (H. B.).

Fontaine (M. H. R.).

EN 2e : Pichard (J. M.). AIDE-VÉTÉRINAIIIE : Buffard (M.).

Marcetteau de Brem (M. A. R.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Audebert (F.

Cannel (M.).

E).

Ducheyron de Beaumont (E. P. J.). LIEUTENANTS EN SECOND : Duplessis de Grénedan (J. H. E. M.). De Guéheneuc (M. M. A.). H.

Michaux (L. E.). De Boutaud de Lavilléon (J. J. G.). Ruffier (M. E.). D'Aviau de Ternay (G. M. C. P.). Nicolas (E. M. G.). De Mauduit-Duplessis (G. P. F. M.). Aulas (P. G. L.), Haouisée de la Villeaucomte (H. M.). De la Bintinaye (R. M. J. E.).

Grivart (G.

LIEUTENANTS EN PREMIER

Charil de Ruillé (L. E.). De La Tour (J. A.). Jauffreau de Lagérie (G. H. R.).

Officiers de réserve.

Claudot (A. F. E.).

Mordant (C. E.). De Boutray (P. M. J. V.). Collet (J. M.). De Querohënl (B. X. A.). Normant de la Ville Helleuc (E. C. M.)

Trumet de Fontarce (C. M.). De Sommervogel (M. J. F. C.).

E.). De Biencourt (A. F.). Leps (P. G.

Tomas de Closmadeuc (J. A.). De Chevigné (H. M.F.). De Gaalon (G. E. M. F.). De Laage de la Rocheterie (H. F. M. J. F. de P.). De Gontaut-Biron (A. M. F. H.). Lepeletier de Rosanbo (M. R. L. H. A.). De Maussabré Beufvier (R. G.). Desaulses de Freycinet (A. J. R.). De la Croix de Ravignan (C. M. G.). De Simard de Pitray (F. M. C. E.). De Cossé de Brissac (A. M. T. F.).

Martin de Marolles (M. J. F.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

brigade de cavalerie, 9e corps ;

N.

LIEUTENANT :

25e RÉGIMENT.

Longuet de la Giraudière (R.

SOUS-LIEUTENANTS:

L.). Hurault de Vibraye (J. L. M. R.). M.

Yvonneau (D. J. A.).

— à Tours.

Massing (C. A.). Van Schalkwyck de Boisaubin

(E.).

Escudier (G. F.).

Hérissant (A. C. L.). MAJOR : Du Cor de Duprat (M. A. I. A. X.). Hervé-Dupenher (G. P. M.). FONCTIONSDE TRÉSORIER : Cassaigne

CAPITAINE INSTRUCTEUR : LIEUTENANT FAISANT

De Cassin de Kainlis (A. C. A.).

Bruley (C. P.). Laurens de Waru (R. A. A. J. G.).

Vieillard (E. M.). Frémont (V. E.). D'Haucour (M. T. J. X.). Lecoeur (P. C. M.)

CHEFS D'ESCADRONS:

LIEUTENANTS EN SECOND:

SOUS-LIEUTENANTS :

Trippier de Lagrange (L. H. I. M.).

LIEUTENANT-COLONEL :

Nivelleau de la Brunière (V.

Costet (C. M. J. H.).

Buirette de Verrières (M. R. R. G.). Le Beschu de Champsavin (L. M. J.). Brunet (A. L. F.). De Taisne (S. F. U.).

COLONEL :

:

M. C.).

SOUS-LIEUTENANTS:

9e

Pecqueur (P. L. V.) De Scourion de Beaufort (C. V. H.). Bourgeois (M G. V. E.). De Boisgelin (M. J. G. C.). CAPITAINESEN SECOND : De Bourqueney (M. V. C.). De Jessé (M. J. E. A.). D'Arcangues (L. M. N.). Taupinart de Tillière (M. J. L.).

N.

H. L. M.).

CAPITAINE : N. SOUS-LIEUTENANTS:

Gagnebin (S. A.).

Charavay (N.). Gombault (M R.). De Chérade de Montbron (A. A. J. E.). Courier (H. J.). De Romans (G. C. M. H). Conty (J. E.). Mame (A. G. E.). Thomas (C. J. M. A.). Tourron (E. M.).

(G.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Surirey (A. CAPITAINED'HABILLEMENT: Centieu (J. E. A.).

De Boissard (J. C. L.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Perrin (P. V.). PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN AIDE-MAJOR

1re CLASSE

:

N.

26e RÉGIMENT.

J.). 8e

COLONEL :

brigade de cavalerie, 8e corps ; — à Dijon.

Lesne (J. E. F.).

LIEUTENANT-COLONEL :

N.


Audéoud (M. L. M.). Le Secq de Crépy (J. G.). MAJOR : Dufort-Rousseau (U. L. P.).

Vinceneux (P. H.).

CHEFS D'ESCADRONS :

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

Vingtain (M. M. J.). De Vauzelles (G.). Rougeot (L. F. A.). Lacroix (L. G.).

Ferrant

(A. A.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Jacquinot (C.).

ADJOINT AU TRÉSORIER

:

Clady (L. C.).

Maîtrehenry (F. H.). PORTE-ÉTENDARD : Méglin (G. P.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Gazin (J. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Zipfel (G. L.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Boëllmann (J.). EN 2e : Coulon (P. D.). — CAPITAINE D'HABILLEMENT:

Fraimbault (U. L. A.).

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Blanqué (R. F. A.). Gaudin de Saint-Remy (M. M. F.). Du Courthial de Lassuchette (J. M. J. V.). Schneider (A.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Nazaret (A.). CAPITAINES EN SECOND

:

Mithaine (P. A.).

Vasseur (C. H. J.). Réquichot (H. L. M. J.). Sloecklé (J.).

Pavillon (C. F. L.). Tiollier (A. M.). Clarac (J. V.). Blanc (C. J. G.). LIEUTENANTS EN SECOND

:

Beckir (J. C.).

Barroy (E. J. E.). Monnier (J. B. H.). Euller (C. E.). Baconnière de Salverte (C. M. J.). Teillard Rancilhac de Chazelles (J. M. R.). De Chantillon (G. J. A.). Démorey (M.

H. M.).

Dubreton (H. J. L. A.). Doyen (P. G. A.). De Maistre (X. I. B. J. M.). De Girval (F. M. J. H.). SOUS-LIEUTENANTS: De Froissant de Broissia (M. R. E. R.).

Roux (A.). De Chomereau de Saint-André (M. C.). De Masson d'Autume (L. I.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

brigade de dragons, 1re division de cavalerie ; gouvernement militaire de Paris ; — à Paris.

Ollivier (M. G.). LIEUTENANT-COLONEL: De Vivès (F. E.). CHEFS D'ESCADRONS: De Keryariou (P. G. A. M.). COLONEL :

Montaudon (L. F.). MAJOR :

Bellenguez (A. E. V. P.).

Caillot (H. M. J.).

Grousselle (P. L.). Jolivet (P. E. F.). Mathieu (P. L. N. C.). Guyot (J.). De Treil de Pardailhan (H. F. R.). Lemaire de Marne (E.). Mayet (J. C.)

Depret

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

(P. B. C.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Bertaud (E.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Péboscq (A. CAPITAINE D'HABILLEMENT: Meissonnier (E. F.). PORTE-ÉTENDARD : Côte (L.

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Barbarat (P. E.).

:

5e

:

L.).

S.), lieutenant. Petit (A. L.).

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE

N. LIEUTENANTSEN PREMIER

27e RÉGIMENT.

:

Krauss (A. J.).

François (A. M.).

Graillot (A.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Esclauze (A.). CAPITAINES COMMANDANTS : De Brémond d'Ars (G. J. R.). Darget (L.). —

EN 2e :

Foucault (A. A.). De Girardin (A. L. S. L.). Des Réaulx (A. M.). De l'Isle de Falcon de Saint-

CAPITAINES EN SECOND :

Geniès (J. E. R.). Herrnenberger (J. J. E.). Houard (E. J. F.).

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER

Le Porquier de Vaux (L.

:

R.).

Ameil (M. M. A. E. N.). Schmitt (F. A.).

Trutat (A. A. J.). De la Ville de Baugé (M. P. G.).

LIEUTENANTS

EN SECOND

:

De Messey (M. F. L.).

Daireaux (C. E. L.). De Keranflech (H. C. M. R.). Ramey de Sugny (M. F.). De Grammont (A. P. M. J. G. T.). Blacque-Belair (H. L. P. R.). Roussel de Courcy (H. A. A.). Lecourt d'Hauterive (F. A. E.). De Chérisey (H. J. G.). Boré-Verrier (R. E. A.). Chambrun d'Uxeloup de Rosemont (M. G.).

Durrieu (A.

H. M.). De Sesmaisons (G. A. M.). Viette de la Rivagerie (G. M. A.).

M.


Lavigne (P. L. A.). D'Arjuzon (L. N. M.).

Crinon (J. B. E.). SOUS-LIEUTENANTS: Huyot (E. J.). Bacquet (H. J.).

Clolus (G.).

Guérin (A. C. E.). Molitor (P. A. A.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

De Pierres (C. S.

Pineau de Viennay (R.

SOUS-LIEUTENANTS:

Guyard de Changey (G.

M.

A. M. M.).

H.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

28e RÉGIMENT. brigade de dragons, 1re division de cavalerie ; gouvernement militaire de Paris ; — à Paris.

De Valentin de Latour (A. H. M.). LIEUTENANT-COLONEL : Burnez (P. M.). CHEFS D'ESCADRONS : Guimet de Juzaucourt (G.). Joannès (A. J. L.). MAJOR : Lefèvre (S. V. F.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Dilschneider (J. A. R.). COLONEL :

Passet (A. E. F.). ADJOINT AU TRÉSORIER : N. CAPITAINED'HABILLEMENT : Renard (E. A. A.).

Pibrac (F. C.), lieutenant.

MÉDECIN-.MAJOR2e CLASSE : Vuillemin (J. E.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Fuzerot (A. A. M.).

Rancoule (J. C. L.).

EN 2e : Bertrand (G. L. M. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Montmartin (A. M.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

E.).

Bouchard (C. A. S.).

Mouth (L. A.).

Perrot (E. R.). Pierson de Brabois (F. G.).

.

29e RÉGIMENT.

Abonneau (P. C. A.).

brigade de cavalerie, 4e corps ; — à Alençon.

De Salignac Fénelon (M. B. H. A.). LIEUTENANT-COLONEL : De Clauzade de Mazieux (M. P.). CHEFS D'ESCADRONS : Ledochowski (J. C. C. E.). De Fontanges (C. R. M. H.). MAJOR : De la Monneraye (A. A. M.). CAPITAINE INSTRUCTEUR: Collin (J. G.). CAPITAINE TRÉSORIER : Dupont-Dusaussoy (C. H.). ADJOINT AU TRÉSORIER : Momy (A. M. L.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Lombard (E. L.). COLONEL :

Ferrié (P.), sous-lieutenant. MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Lebastard (R. F. V. V.).

PORTE-ÉTENDARD :

Gaborit de Montjou (M. L. R.). Jousselin (J. E.). Le Roy (F.).

Branca (N.). Darde (St. A.). Delpech (E. P. C.). Caillault (M. L.). LIEUTENANTS EN SECOND :

:

Pierre (J. A. L.).

(H.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Delahousse (A. P. C.).

EN 2e : Morel (C. P. B. M.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Cormier (C. L. M.).

Waroquier (O.). Heck

4e

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE :

Labruyère (E. A.). CAPITAINES EN SECOND :

De Sanoit (G.).

De Langle (C. A. J.). Rolet (L. M. A.). Douce (J. H.). Maurence (F. A. C.). Béclard (L. J. A.). Ginoux (J.). Petit (L. F.). Braouézec (F. J. F.). Cahen (E. J.). De Pourtalès (H. L. E.). Dorémieux (P. F.).

CAPITAINE TRÉSORIER :

:

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

Coste (P. R. G.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er

O.).

Gallois (H. A.). Philpin de Piépape (M. A. F. J.).

Harouard de Suarez d'Aulan (F. M. P. G. F. Q.). Guérillot ( F. J. N.).

PORTE-ÉTENDARD :

M.

SOUS-LIEUTENANTS:

Le Roy (J. C. A.). Pierson (P. L.). Giraudeau (A. A.). Chevallier (R. E. J.). Letourneur (J. A. L. E.).

5e

F.). Tresvaux de Berleux (A. J. M.

CAPITAINESCOMMANDANTS :

Minot (A. L. E.).

Petiet,(G. A. A.). Gudin de Vallerin (A. F. A.). Thierry d'Argenlieu (G. M.). De Bouillé (A. F. A.). CAPITAINES EN SECOND :

De Barthon de Montbas (L. M.

F. E.).

Géraud (A. D.).

Picard (A.).

Dufaud (H. L.).

Echard (L. A.).

De Tessières de Blanzac (M. A. J.). Le Poittevin de Lacroix de Vaubois (L. A. A.). Fallet (E. A.). Poussineau (G.). Compain (P. G. E.).

N.

N. LIEUTENANTS EN PREMIER

:

De Ponton d'Amécourt (M.

J. M.). Bordas-Larribe (P. P. C.).


AIDE-VÉTÉRINAIRE : Puissigur (R. J. M.). CAPITAINES COMMANDANTS : Boutal (P. P. M.).

Delagenesle (M. C. E.).

Préaud (H. M.). De la Fleuriaye (P. M.). LIEUTENANTS EN SECOND

:

Panot (A.).

Roederer (P. L. C. J.).

Galle (E. L.). D'Urbal (V. L. L.). Cordier (E. G.).

De Royère (A. G.).

Gondallier de Tugny (P. J.).

Serciron (S.).

De Comminges (M. A.).

CAPITAINES EN SECOND :

Bernot de Charant (H. L. A.).

Thévenin de Tanlay (P.). Lemoine (N. E.). Gilles de Fontenailles (H. M. F.). Taste (A. J.). LIEUTENANTS EN PREMIER : De Fontaines (E. M. G.). Michiels (E. P. J.). Hérouart (A. J. G. E.). De Bry d'Arcy (M. G.). Galbrüner (J. M. E.). LIEUTENANTS EN SECOND : Jobard (D. C.). De Lacoste de Laval (J. B. M. G.). De Thiollaz (F. M. J.). Lucas (P. J. M. J.). Tison-Desarnaud (J. B. F.). Labil (J. E.).

Porquier (A. M.). Schneider (P. F.). Grody (P. L.). Lechalas (J. F. M.). Fourrier (M.R. J.). Drouhard (R. T.). Calernault (R. A. O.). Desgrange (H. A.). Gay (A. M. G.). Tassin de Montaigu (L. C.). Le Couteux (E. T. C. H.). De Banville (R. M. C. A.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

SOUS-LIEUTENANTS :

Bincaz (A. E.). Thiollière (A. E. M. J. A.).

Guilleray (E. L.).

Hubert (A. E.). Pichou (A. A.). Lemierre (M. V. C.).

Hoppenot (E. A.). Weygand (M.). Delafond (J. J. M.).

Thomas des Chesnes (H.). Leroy (C. L. J.). Le Hech (T. F. M.).

Le Féron de Longcamp (M. J.

De Bridieu (Y. M. H. L.). Maulbon d'Abraumont (M. C. L. M.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Boussaton (A. J.). Carrère (A. M." G.). Auvillain (E. J. A.).

A. H.).

De Brévedent d'Ablon (L. F. X.). Defrance (L. A.). Dillon-Corneck (T. P. J.). F. A.). Gotz Moreau (A.). De Pontoi Camus de Pontcarré (L. C. C.).

Officiers de réserve.

(.

CAPITAINE :

SOUS-LIEUTENANTS:

brigade de cavalerie,

COLONEL :

13e

Bouet-Willaumez (E. C. C. P.). Guillaumin (P. A. R.).

Balay (M. C. G.).

corps d'armée ; —à Saint-Étienne.

Baudoin (R. J.). Dufournet (J. A. E.). Salvaige de Lamargé (E. M. J. P.). Astier (G. P. V.). Rachou (A. C. P. E.). Thomas (G. J. M. P. T.).

Lacombe (J. M. A.).

Branchet (T. A. A.). CHEFS D'ESCADRONS: Dupré (E. P. F.). Delacour (L. A. J. M.).

LIEUTENANT-COLONEL :

MAJOR

:

Vezain (G.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Breton

(P. L. G.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSDE TRÉSORIER :

§

Roullaud

(C. J. B.).

Scharenberger (L. P.). 2e : Grenier (J.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

EN

1re

(F.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Olivier (G. A. M. J. E. MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Althoffer (A. C.).

III. CHASSEURS. 1er RÉGIMENT.

ADJOINT AU TRÉSORIER : Josse (H. E. F.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Laurent (E. E.). PORTE-ÉTENDARD : Coque

Des Georges (M. F. A.).

Coste (P. B.).

30e RÉGIMENT. 13e

N.

L.).

brigadede chasseurs; 3e division de cavalerie ; stationne dans la 6e région ; — à Châlons.

Mouchet (C.). LIEUTENANT-COLONEL : De Froissard de Broissia (M. C. E. A.). CHEFS D'ESCADRONS : De Léautaud (L. E. A.). COLONEL

:


De Villeneuve-Bargemon (M. R. A.). MAJOR : De la Chaise (H. E. E. M.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Des Monstiers-Mérinville (J. M.

F.).

Cardinet (J. B.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Sicol (A. M.). CAPITAINE TRÉSORIER

:

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT :

Lemius (L.).

Delermoy (F. A.). MÉDECIN-MAJOR 2e CI.ASSE : Troché (J. B. D. C.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Mignon (M. G. R. H). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Gailleur (P. P.). EN 2e : Legendre (F. H.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Fraisse (J. E.). CAPITAINES COMMANDANTS : Lacroix (A. A.). Fauvart Bastoul (F. R. L.). De Lur Saluces (L. H. M.). PORTE-ÉTENDARD :

Fourcade (P. A. J.). Gadrat (G. H. A.). CAPITAINES EN SECOND

:

Edel (G.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

De Séganville (L. J. M.).

Vanacker (H. A.).

Hébert de la Pleignière (R. G.). Salins de Vignières (G. E. T.). De Gimel (P. M. J.). LIEUTENANTS EN SECOND : Mainguet (M. A.).

DeVasselot de Régné (M. A. De Lenfant (E.H. C. M.).

C. Y.).

Dauvé (P. C. H. C.). Lenormand (M. F. G. E.). Durand (H. J.). . Rethoré (H.). Maurice (C. A.). Beaury (L. C.). De Vaugrigneuse(A. A. M.). Piole (M. M. E. J.). De Bardon de Segonzac (E. M. R.).

Féray (L. L. G.). Varin d'Ainvelle (C. J. E. A.). Des Vallières (P. E.).

Pontet (O. L.). Dumont (G. A.L.). Officiers de réserve.

Boulard de Vaucelles (E.

SOUS-LIEUTENANTS :

Picard (J.).

Pechverty (A. E.). Gigot (J. M. J.). Lhorte (C. G.).

Fournier (A. G.). Salles (J. A. A.). Grouvelle (L. C.).

COLONEL : De la Forgue de Bellegarde (M. C. A.). LIEUTENANT-COLONEL: Geslin de Bourgogne (Y. M. CHEFS D'ESCADRONS :

C.).

L'Huillier (F.. L. E. H.).

Longuet(P.). MAJOR :

De Becdelièvre (G. M.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR

:

Mas de

Saint-Maurice (M. A. P. H.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER :

Gabrielli

(C.). ADJOINT AU TRÉSORIER : Carré (P. M. M.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Féret (E. E.). PORTE-ÉTENDARD

:

Cornillac (J. B. M. L.F.), sous-lieute-

nant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Brindel (L. N. O.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Vialaneix (F. C.

E.).

Mongin (E. L. M.). EN 2e : Dériot (G. A.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Morel (G. G. E.). CAPITAINES COMMANDANTS : Maître (M. C. F.).

A".

CAPITAINE :

11e brigade de cavalerie, 11e corps ; — à Pontivy.

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Pelelin (M. F. J.). Coudor (C. A. H).

SOUS-LIEUTENANTS :

2e RÉGIMENT.

H.

R.).

:

Grellet (B. C.). Jochaux du Plessix (F. L. Y. M.). Cobée (C. L.). Dragon de Gomiecourt (L.). CAPITAINES EN SECOND : Audibert (J. A. N. E.).

Tournouër (L. M. M.). De Failly (N. E.). De Bouvroy de Saint-Simon (E. L. A.). Robiou (L. M.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Bédaton (J.). Mesnard (F. X.). Leonard (M. C.). Bouthillon de la Serve (M. V.). Renault (G.). LIEUTENANTS EN SECOND : De Lestrange (M. C. G.). Féline (L.). Le Gouvello (E. C..A.). Lalande (P.). Lacroix (J. A.). Bacque (J. F. L.). De Talhouët de Bois-Orhan (R. M. H). Roussel de Courcy (E. M. P.). Lempereur de Saint-Pierre (F. A. M.). Roussel (M. L. J. P.). Lecointre (L.). SOUS-LIEUTENANTS : Thévenet (G. M.). D'Ozouville (R. G. M. J.). De Barbançois (C. X.). De Lustrac (M. P. A. G. J.). De Castillon de Saint-Victor (F. L. J.). Officiers de réserve. CAPITAINE : N. LIEUTENANTS : De

Clermont-Tonnerre(A. A. M. R. S.). Périgois (M. F. E. M.).


Raffard de Marcilly (G.

SOUS-LIEUTENANTS :

De Guillebon (P. M. A.). Delattre (M. J. E. F. E.). De Froissard-Broissia (M. P. X. C. P.).

A. C. E.).

Cotillard (L. J.). Guilbot (E. E.).

Lamart (A. A. M.).

Officiers de réserve.

De Chabot (J. M.). Bouguereau (A. P.). Delvigne (A. L. J). Véron (C. J. M.). Berthier (F. A.).

CAPITAINE :

F. J.). SOUS-LIEUTENANTS : Daillie (J. H. E.). Carpentier (R. H. J.). Labouret (A. A. A.). Legrand des Cloizeaux(A. H. R.). Carpentier (G. J.). Question Maniez de la Hennerie (C. A. M. C.). Boullet (M. E. H.).

LIEUTENANT :

3e RÉGIMENT. 2e

brigade de cavalerie,

2e corps ;

—à Abbeville.

De Roquefeuil (A. Y.). LIEUTENANT-COLONEL : De Forsanz (R. C. S. M.). COLONEL :

Faure

CHEFS D'ESCADRONS :

(M.

De Vienne (C.

J.).

De Séroux(P. M. A.).

Pagniez (A. A. J.). Du Bos

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Dehestin (M. A. G.).

(L. R.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER

:

4e RÉGIMENT.

Barthe

(J.).

2e

ADJOINT AU TRÉSORIER :

M.

Chalot (S. M. A.). Gaffet (M. A.). Louvet (J. L.).

D'Auberjon (E.). MAJOR :

N.

N.

brigade de chasseurs, 1re division de cavalerie; gouvernement militairede Paris ; — à Saint-Germain.

De Brem (P. G.). LIEUTENANT-COLONEL : Baudens (M.

Richard (F. J.). Morand (J. J.), lieutenant.

CAPITAINED'HABILLEMENT :

COLONEL :

PORTE-ÉTENDARD :

L.). CHEFS D'ESCADRONS : D'Andurain (M. E. J. J.). Caillard d'Aillières (A. E.). MAJOR : Du Bahuno du Liscoët (E. S.).

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Darde (F. E.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Chambaud(A. A.

E.).

Fumet (N.) EN 2e : Graux (C. D.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Cadix (L.). VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

CAPITAINES COMMANDANTS :

Larriu (H. J.).

Combret (G. E. O.). Chrestien de Poly (M. L. C.). De Mory de Neuflieux (F. C. V.). De Lagonde (A. M. A.).

Gondallier de Tugny (C. A.). Leez Cotty de Brécourt (P. H.).

CAPITAINES EN SECOND :

Hamant (E. G. C.). De Billeheust d'Argenton (C. M. C.). De Maistre (M. J. R. P. C. L.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Anisson du Péron (G.).

Bernard-Derosne (G.). Destresse de Lanzac de Laborie (M. J. L.). De Mandell d'Écosse (F. G. J. S.). Devouges (L. C. F.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Danglade (F. M. G.).

LIEUTENANT FAISANT-FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Noble-

maire (J. J. V.). Poucet (J. U.). LIEUTENANT ADJOINTAU TRÉSORIER : Piquemal (A. P.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Jacque (L. F. E.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Cacatte (P. G. C.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Poigné (P. L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Lévy (M. P.). . VÉTÉRINAIRE EN 1er : Bouret (J.). EN 2e : Druille (J. P. J.). — PORTE-ÉTENDARD :

Calas (G. J.). CAPITAINES COMMANDANTS : Lyautey (L. H. G.).

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

De Robien (T. C. A. M.). De Lapoix de Fréminville (A. IL). Costa de Saint-Génix de Beauregard (S. M. V. C.). Féraud-Giraud (M. J.). CAPITAINESEN SECOND : Bonnin de la Bonninière de Beaumont (J. M. A.).

De Villeneuve-Bargemont (J. H. A. G.).

D'Huningue (M.).

Herreng (E. L. M.). Ethis de Corny (E.). Bourrée de Corberon (E. D. E. H.). Gossart (G. E.).

Perrier (G. P.

M.

C.).

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Bégé (A. J. A.).

Audéoud (C. M. F. E.).

Ruinart de Brimont (P.

Esnol (A. E. H.).

H. R.). Baguenault de Viéville (M. E. G. P.). Lippmann (I. H.). SOUS-LIEUTENANTS : De Cherisey (G. E. S. L. R.). Tillette de Mautorl (A. R. A.).

M. A.

Des Michels (H.O.).

Augier de Moussac (M. J. A.). Baille (M. A. A.), détaché officier d'ordonnance. LIEUTENANTS EN SECOND : Arrault (P. I.). De Mascureau (M. F. P.).


Chauveau de Quercize (E. A. C.), détaché officier

Lebée (J. H. C.). Magnin (L. J.).

d'ordonnance.

Brécard (C. T.).

LIEUTENANTS EN PREMIER

Couniotl (M. C. E.). Loos (A. A. J.).

Huot de Charmoille de Frasnois (S. L. E.). Anselin (E. F. A.), détaché École de guerre. Larroque (M. H. L. F.). LIEUTENANTEN SECOND : De Thézillat-Chalusset(C. F. R). Broët (T. P.V.) Masson (A. P. J.).

Barthélemy (A. A. M.). De Sainte-Marie d'Agneaux (A. C. E.). De Metz-Noblat (A. F. A.). Du Buat (J. R.). Baron (H. A.). Gouzil (M. A. E. F. M.).

Officiers de réserve. Delpech (P. C. E.). SOUS-LIEUTENANTS : Vasseur (E. A. X.). Gautrot (M. C. L. H.). Bouchet (F. A. C.). Maraud (J. P.). Du Peloux (A. F. M. A.). Ballay (L.). De Bastard (J. D. E.). CAPITAINE :

Lelasseux (M. L. M.). Nivière (M. SI. J. H.). De Kiss de Nemesker (M. E. M.). De Maleville (J. L. C.). Du Cos de la Hitte (R. H. R.). De Galliffet (M. G. H. L.). Duprat de Mézailles (H. G.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Officiers de réserve.

Leroy (M.). Charvet (L. E.).

N. LIEUTENANT : Prévost de la Bouletière (J. A.). SOUS-LIEUTENANTS: Presseq (R. C. M.). Leroy (A. A.). Gandillot (J. P. A.). Quiéney (M. J. A.). CAPITAINE

5e RÉGIMENT.

brigade de chasseurs ; 1re division de cavalerie; gouvernement militaire de Paris ; — à Rambouillet.

COLONEL :

Poulleau (E. J. C.).

la Celle (A. L.). CHEFS D'ESCADRONS: Hubert de Saint-Didier (A. G. F.). Fougeroux de Champigneulles (M. C.). MAJOR : Fredy de Coubertin (M. A.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Poinçon de la Blanchardière Jan de la Hamelinaye (L. J.). CAPITAINE TRÉSORIER : Bouteille (H. F.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Guerrif de Launay

(E. SI. C.).

Gronnier (C. E. A.). PORTE-ÉTENDARD: Meyrieux(E.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOK 2e CLASSE : Maupetit (E. G.). CAPITAINE D'HABILLEMENT :

MÉDECINAIDE-MAJOR 2e CLASSE :

Foureur (L. A. N.).

Chapplain (A. R. G.). EN 2e : Galzin (J. A.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Grandmougin (F. A.). CAPITAINES COMMANDANTS : Mathieu (C. J.). Bordier (L. F.). Buisson (C. H. J.). :

Lechevrel (A. A.). De Peyronny (H. SI. A.). CAPITAINES EN SECOND

:

Croisé (L.).

Renaudeau d'Arc (G. SI. A.). De Bagtion de la Dufferie (C. J. R.).

Riffault (E. H.).

:

Dargent (E. A. J.).

LIEUTENANT-COLONEL: De

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Salez (P. C.).

Choury de Lavigerie (H. C. M.).

Le Lorgne d'Ideville (A. E. A. E.). Guyot de Villeneuve (C. F. G.). Vaniékaut (G. P.). SOUS-LIEUTENANTS : Lecoeuvre(F. J.). Pleuchot (E. D.). De Gourden (L. M.). Delaunay (J. B. E. J.). De Guirard de Montarnal (E. A. J. E.). Noël du Payrat (A. E. M. A.).

2e

:

Guérin (A. F. H). Thuilleux (A. L. H. M.). 6e RÉGIMENT. 6e

brigade bis de cavalerie,

6e corps ; — P. C. à Sézanne ; P. P.

à

Saint-Mihiel.

De Ville (A. C. P. G.). LIEUTENANT-COLONEL : Duhesme (L. G. E.). CHEFS D'ESCADRON : Beauvarlet de Moismont (F. A. L.). Des Vosseaux (G. A. X.). MAJOR : Lemasne (D. A.). COLONEL :

CAPITAINE INSTRUCTEUR : CAPITAINE TRÉSORIER

:

Romazzolli (A.).

Bosselut (N.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Capitaine (A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Labbé (H. A.). PORTE-ÉTENDARD : MÉDECIN-MAJOR2e

Siméon (L. P. G.), lieutenant. CLASSE : Lecomte (G. E.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE

VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

:

Pierron (P. A.).

Ingrand (B. B. A.).

EN 2e : Seurot (J. A.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Lemire (A. L.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

D'Augerot (E. J.). De Mitry (M. A. H.).

Dufort-Rousseau (U.

SI.

L.).


Ballu (A. P.).

Boucherot (L. J. A.).

AIDE-VÉTERINAIRE :

Merlin (M. G.C.).

CAPITAINESCOMMANDANTS

Duboys des Termes (A. V. E.). Serpette de Bersaucourt (L. C. M. L.). Morel (J. M. P.).

Poirier (E.).

Tyssandier d'Escout (L. A. P.), détaché à la remonte.

CAPITAINES EN SECOND :

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Koszutski (T. E.).

Lian (C. T. R.). Clarisse (A. J. F.).

Vissière (L. O.). De Fontaines de Logères (J. L. M.). De Lassus (L. J. H.). Dupont du Chambon (J. L. R.).

Chenu de Mangou (L. C.). Thibaut de Ménonville (A. J. A.).

Lefébure (H. E.). Chavanne (M. P. J.), détaché École de cavalerie.. Du Port de Loriol (G. D.).

LIEUTENANTS EN SECOND :

Bernheim (A. G.). Thibaut de Ménonville (A. C. M.). Chassoux (J. A. M. F.). De Longeaux (M. E. A. X. J.). Picard (R. P. E.).

LIEUTENANTSEN PREMIER : De

Châteauneuf-Randon(F. O. Girard de Saint-Gérand (M. C. C. F.).

De la Rocque (R. M.). De Belenet (L. C. M. G.). Begouen (M. P. H).

Tartignon (A. A. E.). Rousseau (P. O. D.), détaché officier d'ordonnance. Mangin d'Ouince (J. M. J.).

LIEUTENANTS EN SECOND

Torrollion (J. G.). Berger (M.). Bedoin (V. E.).

Huguet (M. L. A. G.). Barbet (L. J. G.). SOUS-LIEUTENANTS:

De l'Escaille (M. L. H.).

Frénais de Coulard (L.

M.

E.).

Guilhot de Lagarde (E. J. M.). Bouchet-Rivière d'Arc (A. L. E.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

De Romanet de Beaune (L. M. R. A.). Lefèvre-Pontalis (C. J. G.). De Bréda (M. J. F. P.). Bonnin de la Bonninière de Beaumont (P. Ollivier (P. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Muller (L. E. A. V.). Bayard de la Vingtrie (R. C. M.).

Brahy (L. G.).

LIEUTENANT :

Bouissou (M. E. J.). Husson de Sampigny (M. J.

Vezy de Beaufort (M. A. C. E.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Supot (L. E. J.).

Martel (A.).

CAPITAINE

Champenois (L. E.). D'Émiéville (G. A.).

LIEUTENANTS :

7e RÉGIMENT.

brigade de cavalerie.— 5e corps d'armée; :

Moreau (R.

M.).

— à Vendôme.

D'Arey (M. D.). CHEFS D'ESCADRONS : Hurault de Vibraye (L. M. M.). Marette de Lagarenne (R. C. G.). MAJOR : De Lestapis (L. R.). Gueswiller (E. M. A.). Desjardins (A. F.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR : :

Sous-LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER

:

Dupont (J. L.

F.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT :

Salin (C. G.).

Roques (A. M. O.), sous-lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Bayvel (E. C. E.).

PORTE-ÉTENDARD

:

MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : N. VÉTÉRINAIRE EN 1er : Lauraint (F.).

EN 2e :

IL).

E.).

Grosjean (V. A. C. G.).

: De

Lichy de Lichy (P.). De Cazejux (L. L. M. P.).

De Marcé (M. H.). SOUS-LIEUTENANTS : De Fontanges (H. F. A.). Le Bris-Durest (E. M R.). De Tarragon (P. L. M. C.). Chenu (M. P. A. H.).

Lahaye (M. E. A.)

LIEUTENANT-COLONEL:

CAPITAINE TRÉSORIER

A.

M."

Officiers de réserve.

Jaët (G. G. G.).

COLONEL

:

Caillaux (P. E. A.).

Bouchard (C. E. P.). Lateulère (J. L.). Goupy (L. P. E.).

5e

Poncelet (L. J.).

Coutant (J. C.).

Comont (N. H.). Lamy de La Chapelle (H. M. R.), stag. d'état-major. De Chivré (A. M. F.).

CAPITAINES EN SECOND :

N.

:

8e REGIMENT. 3e

brigade de chasseurs; 4e division de cavalerie ; stationné dans la 6e région. — P. C. à Reims ; P. P. à Verdun.

Du Hamel de Chanchy (A. E. L. F.), commandant par intérim la brigade de cavalerie du 7e corps d'armée.

COLONEL

:

LIEUTENANT-COLONEL: Heysch (A.).

Le Moine de Margon (G. M. J. R.). Malhorty (G. C. C.). MAJOR : Chevillard (P.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR: Lemut (J. M. L. E.). CAPITAINE TRÉSORIER : Mondin (J. E.). CHEFS D'ESCADRONS:


LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Hervé (J. M. CAPITAINE D'HABILLEMENT: Coppin (C. A.). PORTE-ÉTENDARD

F.)

MAJOR :

: Saint-André (J. M.), sous-lieutenant.

MEDECIN-MAJOR2e CLASSE : Mackiewiez (H. M. MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Louet (P. A.).

H.).

Haiblet (A. D. A.). EN 2e : Poirson (E. J. E.).

Ducasse (M.). CAPITAINES COMMANDANTS : Bey (E.

Bidau (J.

M.

M.

C.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Degros (E. M.).

H. M.).

Godeau (V. L. G.). Chambert (M. L. A. C.).

Albert-Roulhac(F. E.). Daviaud (G. R.). Mégret d'Étigny de Serilly de Chapelaine (H. C. L. A. E. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Mynard (C. M. F. N.). De Bazelaire de Lesseux (H. M.). Dupuy (N. L. J.). Rey (M. A. L.). Capitrel (P. M. A.). Deschamps (M. P. J. C.). Officiers de réserve.

N. LIEUTENANT : Desrousseauxde Médrano (A. M. E.). SOUS-LIEUTENANTS: Malval (T. IL). Jacquemart (A. E.). Demathieu (E. L.). CAPITAINE :

9e RÉGIMENT. brigade de cavalerie, 17e corps d'armée ; —à Auch.

N.

Fourrier d'Hincourt (P.).

N.

Prodhon

:

Froissard (R. C.).

:

Devert (P. A.).

J. L).

remonte. Bastien (C. A.), détaché à la remonte. Prost (F.), cap. de rés. Schuh (J.). Lavaud (E. H.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Druilhet (J. M. P. A.). Peypenin (J.). Le Poittevin de Lacroix de Vaubois (L.H . C.). Louvel (A. S.), Huguet (J. M. J.). LIEUTENANTS EN SECOND : Tinel (H. ,T. G.), De Ricard (C. P. V.). Maissiat (J. B. A.). Lardenois (H. F. M.). De Rolland (G.).

Réginensi (A. P.).

Carrère (J. G.). Rambourg (J. M.). Des Michels (A. B.). Machenaud (E. J. E.). Lasies (M. L. J.).

Beau (F.). De Sonis (M. F.). SOUS-LIEUTENANTS : Lefrou (N.). Soulé (F. P.). Pichon-Vendeuil (P. F. J. A.). Officiers de réserve.

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

CHEFS D'ESCADRONS:

TRÉSORIER :

Dellis (D. L.). CAPITAINES COMMANDANTS : Escot (A. A.). De Valicourt (G. E. E.). Dupont (F. L.). Martinie (E. L. M. P.). Boubée de Gramont (M. L. H.). CAPITAINES EN SECOND : Girard (J. P. R.), détaché à la

CAPITAINE :

Lanternat (L. A.). Greff (L.).

:

AU

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Courtot (A. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Drely (E. M.

S.).

LIEUTENANT COLONEL

Guy (A. A.).

Bonnaud (G. I.). Cavaignac (P. M. E. F. A), lieutenant.

PORTE-ÉTENDARD :

stagiaire d'état-major. N. LIEUTENANTSEN PREMIER : Beauvieux (M.). Delacroix (C. C.), détaché École de guerre. Giraud (J. A. P.), détaché École de cavalerie. Chabaille d'Auvigny (M. F. A.), détaché officier d'ordonnance. Rioult de Neuville (H. A. M.). LIEUTENANTSEN SECOND : Jonte (P. A.). Aubertin (L. E.). De Broglie (A. P. M. J.). Galopin (P. E.).

COLONEL :

(T. A. C.).

CAPITAINE D'HABILLEMENT:

Doncoeur (G.). De Rarécourt de la Vallée de Pimodan (C. E.

17e

De Foix

(F. E.).

Dérognat (A. F. M.). Roux (T. L. M.). Jacquot (V. A.). De Charbonel (A. F. M.). :

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

CAPITAINES EN SECOND

Fouraux (V.).

CAPITAINE TRÉSORIER :

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Beauvarlet de Moismont (C. R.).

Marès (A. L. G.).

Uzac (G.J. A. G.). Dupoy (E. V. H.). Sabarthès (E. J. L.). Amouroux (J. E.). Lajousse (M. C. P. H.).

Despax (L. J. M.). Lacomme (J. A.).


L'Héritier (J. L. D.).

Officiers de réserve.

Montfort-Lafage (B. A.

M.

R.).

N.

CAPITAINE :

Sainte-Marie (A. J. L.). Paris (Y. G. F.). Mouton (J.). De Luret de Feix (P. L. M. J.).

SOUS-LIEUTENANTS: 10e 13e

COLONEL :

RÉGIMENT.

brigade de cavalerie, 13e corps ;

— à Moulins.

Permet (E. E.).

11e RÉGIMENT.

Buirette de Verrières (R. M. F.). Duchassaing de Ratevoult (M. S J.

LIEUTENANT-COLONEL: CHEFS D'ESCADRONS :

J. L.). Masson (P. II. M. J.). MAJOR : Lemau de Talancé (J. L. M.). CAPITAINE INSTRUCTEUR: Du Bourget (C. C. M. J.). CAPITAINE TRÉSORIER : Strohéker (A. A.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Pellet (J. L. M.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT :

Grandjean (P. A.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Surugues (L. E.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : Couturier (E.

P.).

:

Midrié (L. A. E.). Fargin-Fayolle (H. S.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

De Vernety (M. P. H).

Couriet (P. L. R. S.). De Pommereau (G. M. W.). Baudran (L. J.). Mesnet de la Cour (M. C. J.). LIEUTENANTS EN SECOND : Langlois (P. L.), détaché à la remonte. Nouvellet (A. J.). Law de Lauriston de Bouliers (O. C.). De Villardi de Montlaur (P. H. G.). Milcent (A. E. G.).

Forqueray (L.). De la Chaise (P. R.). Serieyx (F. A. E. W.). Charvet (J. M.). Desgeorge (M. E. A.). De Sampigny (A. M. H.).

Beynaguet (A. A. A. A.). Tassin de Sainte-Péreuse (J. B. A. R.). Parran (J. A. A. P.). Gérin (C. A. F.). Henrion-Staal de Magnoncourt de Tracy (V. L. E.).

SOUS-LIEUTENANTS:

D'Esclaibes d'Hust (R. F. M.).

LIEUTENANT-COLONEL : CHEFS D'ESCADRONS :

N.

De Lamolère (A. E. E.).

D'Hombres (C. M. V.). MAJOR : Prot (E. N.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Dollfus

(J.).

Mérat (M. O. L. I.). AU TRÉSORIER : Hervé (E. G. II.

LIEUTENANT ADJOINT

B.).

Gendrot (L. H. A. H.). EN 2e : Bouleux (J. F.), détaché en Algérie. — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Boitelle (A. E.). CAPITAINES COMMANDANTS : Simon de la Mortière (R. E.). Guiot de la Rochère (M. J. H.). De Lestapis (P. IL). De Lochner (P.). Pfadt (M.). CAPITAINES EN SECOND : Dumalle (P. L. A.), détaché à la remonte. Hardouin (J. A.), détaché à la remonte. D'Huleau (E.). VÉTÉRINAIRE EN 1er

COLONEL :

brigade de cavalerie, 7e corps ; —à Vesoul.

CAPITAINE TRÉSORIER :

Royer (P. P. M.).

PORTE-ÉTENDARD :

7e

Guihot (A. J. G.). Picart (P. S.), lieulerant.

CAPITAINE D'HABILLEMENT: PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Jacquey (V. E.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Grémillon (H. VÉTÉRINAIRE EN 1er :

E.).

Lauprêtre (C.).

Gautier (H. C.). AIDE-VÉTÉRINAIRE:Gatinaud (J. IL). —

EN 2e

:

CAPITAINES COMMANDANTS :

Perrier (F. G.

C. E.).

De la Ruelle (M. L.). Lambrecht (L. F. M.). Putinier (L. H. L.). Demougeot (J. A.). CAPITAINES EN SECOND :

Beauchot (L.), détaché à la re-

monte. Ledoyen (A. J.).

Boffard-Coquat (E. A. L.). Gloria (A. O. R.). N. LIEUTENANTS EN PREMIER : Du Laurens d'Oiselay (P. E. II. M.)

Henry (A. J.). Roux (J. C. F. J.). De Waubert de Genlis (H. major.

M.

L. L.), stagiaire d'état-

Rousselot de Saint-Céran (C. B. A.). LIEUTENANTS EN SECOND : Carlevan (J. B.), détaché à la

remonte. Dutrey (P.). Rey (M. A. J.).

Baron (A.

M. V.). Ganier (M. A. A.).

Lecomte (G. L. M.). De Lalande d'Olee (M. P. E.).

Maréchal (M. J. E. J.), détaché officier d'ordon-

nance. Dubezin (G. E.). SOUS-LIEUTENANTS: Boucly (P. A. S.).


Ethis de Corny. (R.). Coudere de Saint-Chamant (M. J. H.). Baratier (A. E. A.), détaché au Soudan.

Verneret (A. M.). Berge (H.). De Magy (H. F.).,

LIEUTENANTS EN SECOND :

O'Kerrins (G. M. J.).

Clicquot de Mentque (C. E. E. H.). De Loynes d'Auteroche (M. A. A. R.). De Hauteclocque (W. M. A.). De Loynes d'Auteroche (J. R. F. G.). De Mayol de Lupé (A. B. G. M. L.). De Meaussé (E. C. M.). Waddington (W. F. C.). Guérard (P. H. R.). SOUS-LIEUTENANTS: Zentz d'Alnois (A. H. R.).

De Boysson (J. M. J. F. A.). De Bigot (L. V.). Officiers de réserve.

N. LIEUTENANT : Fleury (E. M. V.). SOUS-LIEUTENANTS : Euzières de la Vallette (L. G. A.). Hougue (P. J.). CAPITAINE :

Millot (J. B. V.). Réalier-Dumas (M. J. R.). Gibert (E. B.).

Dorange (A. T. M. M.). Hue de Mathan (M. C.). Loche (C. E. E. II.). Le Guay (P.). Lefrançois (M. M. J.).

Guillemin (M. A. A.). Lescot (M. E.). Chéron (M. J. A. G.).

Officiers de réserve.

12e RÉGIMENT. 3e

brigade de cavalerie, 3e corps ;

N. LIEUTENANT : Vauquelin (J. L. N.). SOUS-LIEUTENANTS: Gueury (N.). Duval (J. G.). Le Roy (J. E. E.). CAPITAINE :

— à Rouen.

COLONEL : N. LIEUTENANT-COLONEL:

De Pommayrac (P. A.). CHEFS D'ESCADRONS : Shitzer (E. F. R.). Huard du Plessis de Lamotte (F. S. A.).

MAJOR :

Annet (C. E.). Lane (L. R.).

Biraud (M. A.).

Gosselain (E.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

Lemonnier de Lorière (M. F. E.

E.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER

:

Pousset

(E. A.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Mauduyt (L. CAPITAINE D'HABILLEMENT: Lemerdy (V. H. G.). PORTE-ÉTENDARD :

E.).

Loutrel (G. J. M. J.). Chouard (J. A.). Desvaux (L. IL). Duparc (J. M. A.). Le Maire de Sars-le-Comte(F. M. A. M.). Sauvaire de Barthélemy (F. P.).

Sommeiller (L. J. B.), sous-lieute13e RÉGIMENT. d'armée ;

nant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : André (E. L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Gauillard (J.

16e

H.).

Bernard (C. E.). EN 2e : Isnard (J. J. B.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Pierre (C. I.). Ecarnot (J. M. J.), à la suite. VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

Wolf-Oberlin (L. G.). Du Pré de Saint-Maur (M. E. H.). De Jeanson (C. A. R.). De la Bourdonnaye (T. C. E. M.). Decazes (E. L. F.). CAPITAINES EN SECOND : Manchon (R. A. E.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Perrier (L.

G. L.

E.).

Levylier (A. R.). Aubier (L. D. A.). Hébert (C. E.). Chrestien de Treveneue (R. F. A. M.), stagiaire d'état-major. Schmidt (F. M.). Varanguien de Villepin (H. M. A.).

Planhol (J.

COLONEL

:Tiret

(J. M.), commandant

- à Béziers. par intérim la

brigade de chasseurs. LIEUTENANT-COLONEL : Lianas (A. CHEFS D'ESCADRONS : De Préval (M. C. D. P.).

I.).

4e

Davach de Thèze (M. M. A. A.). MAJOR : De Chaléon (L. E. F. M.), CAPITAINE INSTRUCTEUR : Descaves (A. P.). CAPITAINE TRÉSORIER : Marchal (F. C.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Chanet CAPITAINE D'HABILLEMENT: Petitjean (L.).

M. R.).

De Perrinelle-Dumay (L. L. M.).

(J. C. J.).

PORTE-ÉTENDARD : Du Peyrat (P. L. H. R.), MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Cristau (C. A. J. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Baillé (G. VÉTÉRINAIRE EN 1er : Lentheric (J. E. J.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Genestet de

brigade de cavalerie, 16e corps

Mourot (R. A.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Duquet (L. L. J.). CAPITAINES COMMANDANTS : Gillot (E.). —

EN 2e :

De Gerus (L. M. O.). Breuillac (P. H.). Hézard (C. A.).

lieutenant. X.).

J. M. P.).


Humblot (M.

PORTE-ÉTENDARD

CAPITAINES EN SECOND

:

De Thieffries de Layens (H. A.

L. D.), officier d'ordonnance. Gez (J. A.). Bertran (H. J. M. J.). De Peytes de Montcabrié (C. M. H. E.). De Peytes de Montcabrié (H. P. A. X.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

CAPITAINES EN SECOND

:

Gontier (F. E. A.), détaché à la

remonte. Moreau de Bellaing (R. X. monte.

Officiers de réserve.

N.

Corbon (J. E.). Colomiès (J. SI. L. G.). SOUS-LIEUTENANTS : Pélissier (E. A. C.). Dode (A. M.). Rabot (J. E.). De Magallon (X. J. F. G.). Final (C.). LIEUTENANTS :

M.

J.), détaché à la re-

Van Merlen (L. SI. C.). Cardonne (C. F. E.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Jourdain de Thieulloy

(M.

B. S. G.).

De la Bonninière de Beaumont (M.). De Narbonne-Lara(J. A. M. H. A.). Dommanget (P. O.). Ledoux (J. J. P. A.). LIEUTENANTS ET SECOND : Tournyer (A. G.). Damotte (M.). Mesple (H. A.), détaché à l'École de cavalerie. De Robert d'Aquéria de Rochegude (M. J. E. F.). Armand (E. T.). De Reboul (L. B.). Boireaux (A. V. de P. V.). Mathieu (F. E.).

Martineau (M.). Dommangel (J. J. H.). Flatters (E. P. J.). Gatelet (A. L. C.). De Costard de Saint-Léger (R. SI. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Riou (L. A.).

M.).

Fuchet (G. SI. J.). Magnier (A. L.).

Dupeyré (J. P. A.). De Niort (J. J.). Oberkampf (E. J. F.). Thomas (P. J. P.).

Officiers de réserve. Courte (L. A.). LIEUTENANT : Goubier (J. B. F. E.). CAPITAINE :

14e RÉGIMENT.

Chambrelan (V. A. E.). Bourotte (J. B. E.). Gaillard (J. E. O.). Bague (J. J.).

SOUS-LIEUTENANTS:

brigadede chasseurs;

4e division de cavalerie, stationné la 6e région ; — P. C. à Reims, P. P. à Verdun.

dans

De Girardin (J. SI. E.).

LIEUTENANT-COLONEL: N. CHEFS D'ESCADRONS: De Vassinhac

Saverot (E. M.).

De Bousquet (E. L.).

Desvignes de Surigny (L. SI. P.).

COLONEL :

Serrat (A. H.).

Deffand (L. M.). Maulbon d'Arbaumont (M. E. L.). De Bodinat (M. H. E.).

Mussalli (A. M. E.). Fourquet (J.). Du Bourg (M. F. G.). Potin (J. N.R. D.). Pagès (A.). D'Aux de Lescourt (R. R. M. J. G.). Bosc (E. J. L. A.). Lefrançois (M. P. O.). Boudène (G. A. D. F.). SOUS-LIEUTENANTS: De Peytes de Montcabrier (M. F. X.). Porcher (P. E.). Périer (M. A. P.).

3e

:

CAPITAINES COMMANDANTS :

Talbot (F. T.).

(J. A.).

Courteaud (J. G. J.). EN 2e : Poy (G. J. A.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er

De Boissy-Dubois (J. L.). Gonin (J. F.). D'Albis de Gissac (H. F. M. C.). LIEUTENANTS EN SECOND : Legras (E. A.). Quignard (G.). De Barry (J. M.).

Ichard (R. L. J.

Pérat (P. E.), sous-lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Legrand MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : N.

Darrieutort (B.).

CAPITAINE :

:

Portallier (H.). d'Imécourt (C. E. M. 15e

J.). Sémont (J. B.). MAJOR : Desmousseaux de Givré (F. A. L. M. E.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Cassin de la Loge (M. F. R.). CAPITAINE TRÉSORIER : Loubigniac (F. H.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Gérald (D. CAPITAINE D'HABILLEMENT : Vilhès (H. A.).

J.).

1re

RÉGIMENT.

brigadede chasseurs; 3e division de cavalerie ; stationné dans la 6e région ; — P. C. à Vitry-le-François ; P. P. à Sampigny.

Thibault de la Rochethulon (M. L. F.), commandant par intérim la 4e brigade de dragons. LIEUTENANT-COLONEL: Joannès (A. V. D.). CHEFS D'ESCADRONS : Neuiller-Nogueira (P.J. E.). COLONEL :


Magon de la Giclais (H. G. M.). MAJOR :

CHEFS D'ESCADRONS:

Muller de Saint-Gervais (L.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR : CAPITAINE TRÉSORIER :

De Gain (D. L.

M.

Sordet (J. F. A.). MAJOR : Marchal (E. A.).

A.).

Burck (A.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : Lachaux (C. CAPITAINE D'HABILLEMENT : Picard (A. F.). PORTE-ÉTENDARD :

N. G.).

Boucher (A. P.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE: Védel (P. L.L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR2e CLASSE : Morigny (E.). VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

EN 2e :

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Fournier (E A.). Clerc (D. S.).

Delacroix(F. J. F.). Conneau (L. N. E. J.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Renard (J. L.). De Peyronnet (R. E. D. E.).

Trafford (J. L. L.), détaché à

l'École de guerre.

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Clauzel (J.). PORTE-ÉTENDARD : Rapin (J. E. C.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Veillon (F. T.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Lucy (P. M.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Rouillart (T. A.). EN 2e : Sauvageot (E. L.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Cordonnier (J. A. E.).

N. Bardet (C. A.).

De Porcard (E. M.).

Gillois (A. M.). De Lignières (M. J. T. H.). De Lavison de Garnerans (P. C. M. L. R.). LIEUTENANTS EN SECOND : Maillard (V. E.). Sanson (M. A.), détaché à l'École de cavalerie. De la Rué (H. A. L. M.), détaché à l'École de cava-

lerie.

Fresson (P. J. A. A.).

Poirson (E. V.). Dupuy (J. M. A.). Officiers de réserve.

Pagano (E. N. L.). LIEUTENANTS EN PREMIER

:

Beuvain de Beauséjour (L.

E.). Rousseau-Dumarcet(H. F.). Laneyrie (L. A. F.). De la Grange (F. E. G.). Arnoulx de Pirey (C. L. M. P.). LIEUTENANTS EN SECOND : De Rolland (F. J.). Goutelle (L. A. A.).

N. LIEUTENANT : Blanchard (G. H.).

De Montzey (C. M.). Guillet de Chatellus (P. J. R.). De la Taille (M. E. H. R.). Du Bay (M. L. H. E. N.). Officiers de réserve.

CAPITAINE :

CAPITAINE :

Pont (H. L.).

N.

Souesme (J. E.). Martel (C. A. G.). Michel (A.), Petitjean de Marcilly (F. A.). Arthaud (P. E. R.). Trux (A. J. F. S.). Burnot de Laboulay (H. A.). Duthu (A. L.). Wéber (J. C. F. E.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Poisson (A. L. A.). Debray (C. E.). RÉGIMENT. —

Demont de Lavalette (C. P.). LIEUTENANT-COLONEL: Got (P. E.). COLONEL :

Amyot (C. A.).

Figuières (A. F.). Mathet (E.). SOUS-LIEUTENANTS: Delatte (C. A.).

Chautard (G. A.).

brigade de cavalerie, 8e corps ;

E.)

Boucher (P. E. U.). De Marion (R. J.).

Gachot (A.). Jacob (G. P. A.). De Truchis de Lays (J. R. M.). De Buretel de Chassey (F. M. H.). Dupuy (J. C. M. J.).

Dinet (P. F. X.). De Loppinot (M. C. H.). Lucas (A. R.). Titremann (E. C.). Thureau (L. F. E.). Le Dret (Y. M.).

8e

M.

Frelin (G. H.).

De Boissard (F. A. J.). Rozey (R. M. J. L.).

16e

Harduin (P. C.

Chevillotte (P. A.), stagiaire d'état-major. De la Rochefoucauld(F. A. G.). Benois (H. IL).

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

Charmoille.

CAPITAINED'HABILLEMENT:

CAPITAINESEN SECOND :

Le Taillandier de Gabory (M. C. A.). Besset (P. J. L. G.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Diéras (J.).

Hibert (J. B. C.). De Pinteville de Cernon (F. H.).

Du Bourblanc (M. G. M.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

CAPITAINE TRÉSORIER :

Astruc (J. M. E.).

CAPITAINESCOMMANDANTS :

Arnauld de Praneuf (C. R.). CAPITAINES EN SECOND :

Meneust (H.).

Beaune.


17e RÉGIMENT. 4e

brigade de chasseurs, 2e division de cavalerie,

Sentou (P. A.). 6e

Neufchâteau. COLONEL

:

De Maillard de Landre (II. M. J. E.). Coucher (L. C.).

corps ; — à

Farny (C. A.), commandant par intérim la

Chartres. LIEUTENANT-COLONEL : Richard (J. C. F.). 3e brigade de

CHEFS D'ESCADRONS : De

18e RÉGIMENT. 4e

la Chaise (J. L. M.).

Pèrez (C. A. M.). MAJOR :

De Penfentenio de Cheffon-

taines (A. M. S. H.). Delhomme (A. E. N.). ADJOINT AU TRÉSORIER : De la Porte (M. J.

CAPITAINE TRÉSORIER : LIEUTENANT

C.).

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Oriou (A. B. M.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Sonrier (J. M. VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

CAPITAINES COMMANDANTS :

A.).

Martin (E. A.).

Heisel (E.).

Le Bègue de Girmont (C. A. F.).

Varenard de Billy (H. M.). Delécluse (H. E. A.). CAPITAINESEN SECOND : Gruet de Bacquencourt (M.L.G.),

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Delamaire (E. J.).

De Vésian (F. O. P. H.). De Loisy (J. V. E.). Boos (F. B. G.). Vernière (A. L. N.). LIEUTENANTS EN SECOND : Roôyer (E. M. J.). Galène (A. N. M.). Mercier (P. L. A.).

Aubert (L. H.). Vinoy (P. P.). Bresson (J. R. L.). D'Anglejan (M. R. F.). Guillemot (G. S. A.). Payu (R. C. L.).

Roland (L.). SOUS-LIEUTENANTS:

Chanoine (C. P. J.).

Causse (C. P. P.). Piettre (R. A.).

Aubépin de Lamothe-Dreuzy (J. F. L. M.). Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

SOUS-LIEUTENANTS :

Daigremont (G. P. J.).

Breysse (A. L. M.). Rollet (P. L.).

(E.).

De Seroux (L. N.). MAJOR : Delort (L. F.).

Mansuy (V. C. E.).

CAPITAINETRÉSORIER :

E.).

stagiaire d'état-major. Lamy de la Chapelle (M. J. B. X.). Barbier (E. G.).

CHEFS D'ESCADRONS : Husson

(S. A.).

Guillobey (L. E.). Decoly (L.).

EN 2e : AIDE-VÉTÉRINAIRE : Herbinet (N.

remonte.

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR : De Redon

Prunier (L. A.). Viard (E. R.), lieutenant.

CAPITAINE D'HABILLEMENT: PORTE-ÉTENDARD :

De la Moussaye (G. M. O. M.). LIEUTENANT-COLONEL: De Colonjon (H. G.), détaché à la

COLONEL :

Parenty (J. O.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

brigade de chasseurs, 2e division de cavalerie ; stationné dans la 6e région ; — à Épinal.

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Epp

(A. F. A.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT :

Grillot (L. J. A.). PORTE-ÉTENDARD : Vidal (E.A.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Riff (M. T. C.). MÉDECIN AIDE-MAJOR1re classe : Galland (C. VÉTÉRINAIRE EN 1er :

P.).

Hurpez (L. C.).

EN 2e : N. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Pradelle (L. M.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Le Saulnier de Saint-Jouan

(A. M.).

Hardouin (L.). Delmas (H. J.). Heily (L.). Duclos (R. J. T.).

D'Espinay Saint-Luc Gaumet (C.), détaché à la remonte.

CAPITAINES EN SECOND :

(A. M. F.).

Aubry (P.), détaché à la remonte. Dosse (M. C.).

Chaindé (M. E.), détaché à la remonte. Meyer (N. P. G.). De Cugnac (G. M. J. R.).

LIEUTENANTS EN PREMIER

Abrard (M.

A.

:

E.).

Mury (J.). De Gaultier de Languionie (A. H. P.), détaché officier d'ordonnance. LIEUTENANTS EN SECOND : Martres (J. G.).

Fix

(A. L. A.).

De Boigne (C. A. B. M. E.).

D'Arlot de Saint-Saud (A. J. G.).

Massiani (B.). Normand (E. L.G.). Cazaubon (J. M. C. H.). SOUS-LIEUTENANTS :

Baretti (P. H.).

Honoré (G. E.). Thoreau la Salle (L. A. M.). De Ravinel (F. C. D.). Nougué (J. M. E. A.). Foucher (E. L. D.).

Léridon (J. P. R.).


SOUS-OFFICIER DE CHASSEURS D'AFRIQUE.



Bouchez (J. E. O.).

Officiers de réserve.

Durosoy (M. A. J.). SOUS-LIEUTENANTS: Desgranges(J. J. E. A.). Babinet (A. J.). De Tilière (A. M. R. M.). Robitaille (A. C. A.). Le Danois (L. H.).

CAPITAINE : N.

De Morny (S. A. N. S.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Gillet (H. C.).

Boussard (V. E.). Leloup (D. E. J.). Itasse (G. M.). Renault (H. D.).

Philippe (P. A.).

De Vaucouleurs de Lanjamet (G. H. M.). Véry (M.

Officiers de réserve.

E. V.). 19e RÉGIMENT.

1re

COLONEL :

brigadede cavalerie,1er corps ; — à Lille.

De Benoist (A.

P.). Moreau de Bellaing (G. A. J.

LIEUTENANT-COLONEL : M.

M.

De Cardevac d'Havrincourt(P. M. L.). Gendre (C. E.).

Liènard (J. V. J.). Lejeune (J. A. C. L. C.).

J.).

Bruyant (H. E. M.).

De Maistre (M. E. H.). Arrighi de Casanova (J. P. E. E.).

CHEFS D'ESCADRONS : MAJOR :

Jacquelin Duval (L. J. B.). LIEUTENANT : De Partz (C. G. M.). SOUS-LIEUTENANTS: Béasse (V. E.). CAPITAINE :

Adam (A. F. J.). Laurent (F. D.).

Wallon (M. J. J.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

De Lanusse Boulémont (M. R. 20e RÉGIMENT.

T.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Lepage (P. J.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : H.). CAPITAINED'HABILLEMENT:

M.

Lardinois (J. C.

MÉDECIN-MAJOR2E

De Bodin de Galembert (C.

Duchâteau (F. T.), lieutenant. CLASSE : Carton (L. B. C.).

MÉDECIN AIDE-MAJOR

1RE

CLASSE :

Legrain (L.

C. E.).

Lecohier (E. D. A.). EN 2E : Simonin (C. G. J.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Haan (P. F. H.). CAPITAINES COMMANDANTS: Levillain (G. E.). De Vassal (H. R. E.). Danglade (F.). Verne (J. B.). Nercy (G. H.). CAPITAINES EN SECOND : Mazel (O. C. A. A.), stagiaire VÉTÉRINAIRE EN

1ER

:

d'état-major.

De Geffrier (E. V.). LIEUTENANT-COLONEL: Lageon (L. E.). CHEFS D'ESCADRONS : Mesnage (L. E.). Sanson de Sansal (A. C.). MAJOR : Le Chanoine du Manoir de Juaye (G- G.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Dinaux des Arsis (C. J. M. A.). CAPITAINE TRÉSORIER : Grandineau (H. L. A.). SOUS-LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : V'araire (H. J.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Dolis (H.). PORTE-ÉTENDARD : Moisson (R. E.), sous-lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2E CLASSE : Hornus (H. P. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Laporte (J. E.). VÉTÉRINAIRE EN

1ER :

Barrier (A.).

EN 2e : Le Thao (C. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Gin (F.).

F. M.).

Langevin (E. J. B.). Gentil de la Breuille (E. P. E. E.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Angenost (A. D.). Marx (L. J. L.).

Hugé (G.).

N.

Rossignol (F. J. H.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

cavalerie,4e corps ; —à Châteaudun.

COLONEL :

J.).

PORTE-ÉTENDARD :

4e brigadede

Fressanges-Dubost (M. A. A.

P.). Bregi (L. J.), détaché officier d'ordonnance. Azier (M. R. F.). Le Bachellé (J. E.). Delabie (J. L. P. E.). LIEUTENANTS EN SECOND : Parrot (R. P. M.). De Peyronny (H. M. G.). Herreman (R. P. F.). Majonenc (J. B. J.). Richard (J. J.). Ricour (J. J. A.). Fouan (E. F. G.).

De Gressot (L. M.). CAPITAINES EN SECOND

:

Doublet de Persan (G. A. A. X.),

détaché à la remonte. Lanxade de Bondy (P. A. G. G.). Ponchon de Saint-André(A. M. J.). Lyautey (R. A.). Le Bas du Plessis (M. H. G.). LIEUTENANTS EN PREMIER : De Montaudion (R.). De Batz (A. A. E. M.). Garnier des Hières (P. C. M.). Goussot (J. B. A.). Gourmel (P. A.), détaché à l'école de cavalerie. LIEUTENANTS EN SECOND : De Forceville (J. A.).


D'Aymard de Chateaurenard (N. H.). Poitou (M. R.). Tillion (A. M. J. R. A.). Migeot (C. V.). De Laporte (J. C. R.). Le Compasseur Créquy Montfort de Courtivron (H. N. M.). Mouchet de Ballefort de Laubespin (P. M. J.). SOUS-LIEUTENANTS:

Charil de Ruillé (G. M.).

LIEUTENANTS EN PREMIER : Gimet de

Sainctyon (J. L. H.

E.). Caubert (J. B. C. M.). Beneyton (M. L.). Dumas de Champvallier (L. L.), détaché au Soudan. Chalanqui-Beuret (L. M. V.). LIEUTENANTS EN SECOND

Mathieu (B. M. J.).

:

Moineville (L. C. M.). Pinelli (C. P. J. B.).

Thiébaut (A. L. N.).

Bardi de Fourtou (J.

Prère (M. L. M. O.). Blandin de Chalain (P. M. G.). Brassel Joly de Morey (J. J. M.). De la Goublaye de Ménorval (Y.).

De Reboul (L. A.). Rigaud (M. C. L.). Oré (D. C.). Taraud (J. B. A.).

Richaud (C. E. E.). De Clermont-Gallerande(A. L.

Fougeras-Lavergnolle(L.). Brabet (L. A. M.). De Coral (J. P. M.). De Bouët du Portal (M. J. C. F.). De Lespinasse de Bournazel (P. C. M. J.).

M.

E.).

Officiers de réserve. De Valon (J. A. R.). LIEUTENANTS : De Laage de Meux (J. M. F.). Roland (E. H. A.). SOUS-LIEUTENANTS: Bidois (C. J. A.). Bodard de la Jacopière (L. D. M. J. R.). Caplat (E. E. L.). Fraysse (L. P. H.). Halbout (O. A.). Homo (A. E.). CAPITAINE :

Morry (R. F. C. C. M.). 21e RÉGIMENT. 12e brigade de cavalerie, 12e corps ; — à Limoges. COLONEL : Carriè (A.). LIEUTENANT-COLONEL: De Colleville (G. F. J.). CHEF D'ESCADRONS : Marion (C. L. R.). MAJOR :

Labat (F. L.).

De Goma (H. H. A.). CAPITAINE TRÉSORIER : Escoffres (J. B.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Husson (F. E.).

Fouillac de Padirac (M. M. J.

C.). PORTE-ÉTENDARD :

Caillet (L. A.), lieutenant.

Périer (G.

Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

LIEUTENANT :

De Braquilanges (M. F. H.).

Barbe (J.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Brunet (L. A.). Boileau (J.). De Lafabrie de Cassagnes de Peybonnenq(M. J.

H. A.

L.). Toumeyragues (J. B. A.). De la Tour (D. M. J. P. S. G.). De Beaumont (C. F.).

Fournet deVaux (M. D. J. C.). De Vandière de Vitrac (J. R. E.). Du Boys (M. P. J. E.). Godet (L. A.).

Nouvion (H. F.).

HUSSARDS.

Puthoste (A. F.). EN 2e : Bossu (J. B. L. J.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Ansonneau (P. L.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

De la Vergne de Tressan (H.

A. G.). Cabany (A.). Eblé (E. M.).

1er

brigade de cavalerie

15e

RÉGIMENT. ;

15e

corps d'armée ; — à Marseille.

Buffet (C. L.A. G.). LIEUTENANT-COLONEL: Bassac (A. J.). COLONEL:

Denis (F. J. E.). De Tonnac (J.).

CHEFS D'ESCADRONS:

Legrand (F.E. P.). Hagniel (A. A.), détaché officier d'ordonnance. Reybaud (J. V.). Cintrat (C. L. P.). N.

MAJOR :

CAPITAINES EN SECOND :

H. A.).

Du Moustier de Canchy (J. C. F.). Fougeras-Lavergnolle (P. F.). Simon (G. F.).

MÉDECIN-MAJOR 2e CLASSE : Stouff (J. B. M.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Manoha (E. A.).

CAPITAINES COMMANDANTS:

F. A.), détaché à la remonte.

Frichou (F.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR:

CAPITAINE D'HABILLEMENT:

SOUS-LIEUTENANTS:

M.

Ogier d'Ivry (E. L. M.).

N. Célinet (C. E. E.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Moine (R.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER :

Pivron (P.

R. A.). LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER :

Capitaine (J.).


LIEUTENANT FAISANT FONCTIOND'OFFICIERSD'HABILLEMENT:

Fournet (E. P.). PORTE-ÉTENDARD :

2e Brigade de

Plantier (W. A. M. J.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Mary (P. L.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Bergasse (G. L. VÉTÉRINAIRE EN 1er :

EN 2e : Steullet (P. A. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Ball (G. D.). CAPITAINES COMMANDANTS :

A.).

De Pontevès de Sabran (J. B.

Tissier (P.). Santucchi (L. A. J. F.). Baudouin (L.). De Pourcet de Sahune (S. M. H. R.). CAPITAINESEN SECOND : Meyer (L. T.). Gras (L. V. A.). Vidal (P. M. F. J. A. N.). N. N. LIEUTENANTS EN PRLMIER : D'Orivalde Miserey (R. C. E.). De Francolini (V. A. L.). Ducrot (H. A. A). Thierry (P.). De Tournadre (C. L. J.). LIEUTENANTSEN SECOND : Chanvey (C. E.). Magnin (G. H. L.). Clarke (J. A.). Villette (M. A.). Ricaud (J. M.). Resuche (G. A.). Caune de Puisage (H. E. M.). De Chasteigner (L. H. M. C.). Rostan d'Ancezune (P. P. M. J. P.). Hesse (M. E. R.). Resuge (H.. De Meslon (J. B. I. G.). Lagarde (F. M. J. A), mis à la disposition du Minis-

tre du commerce, et de l'industrie et des colonies. Maurel (J. M. L.). SOUS-LIEUTENANT: Labrouche (J. E. M.).

Guigues de Moreton de Chabrillan (P. J.

R.). Gresse (P. A.).

Gautier (F. P.).

Isnard (M.

D'Hébrail (L. M. L.). Lapeyre (T. A. F.). Penther (A. C. J. V.). Nicolas (L. F.). Paget (J. M. R.). Baude (F. M. B. G.). Deblesson (J. F. E.).

Buisson

(E.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Fério (J. E.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Royet (V. CAPITAINE D'HABILLEMENT: Mony (A. P. U.).

A.).

Lubègue (C. T.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Lelong (P. E. J.). PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN AIDE-MAJOR VÉTÉRINAIRE EN 1er :

1RE

CLASSE :

Douillet (J.P.).

Morisot (F. L.).

EN 2e : Fichel (L. H.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Chauvain (M. L.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Champenois(A. J.).

Cousté (H. J. P.).

Lacroix (M. P.). Hairon (J. B. E.).

Baudesson de Poinchy de Richebourg (A. A. D. E.). CAPITAINES EN SECOND : Martin du Nord (J. G. L.), dé-

taché officier d'ordonnance.

A. A. D.).

Blasselle (A. A. A. M.). Lefebvre des Noëttes (R. J. E. C.). N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Desbaines(L. L. C.).

De Bracelongne (M. J. J.). Boissot (D. E.). De Fadate de Saint-Georges (H. J. L. A.). De Maussion (D. E. R. T.), détaché de l'École de ca-

valerie. D'Amade (B. G. J. L. P.), détaché de l'École de cavalerie. De Gontaut-Biron (M. A. G.), détaché de l'École de

LIEUTENANTS EN SECOND

:

cavalerie. De la Rochefoucauld(J. C. J.). Du Bouëxic de la Driennais (A. L. M. L.).

Officiers de réserve.

SOUS-LIEUTENANTS:

De Bellegarde (M. L.). LIEUTENANT-COLONEL: De Lestapis (A. G.). CHEFS D'ESCADRONS: Devezeaux de Raneougne (J. C.). De Rougé (F. A.). MAJOR : Mouret (F. A.).

Rohr (J. E.).

Brincourt (H. L. E.).

LIEUTENANTS:

hussards, 5e division de cavalerie ; stationné dans la 5e région ; —a Melun.

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

E. M. C.).

CAPITAINE :

RÉGIMENT.

COLONEL :

E. E.).

Carrère (P. A.).

2e

Vallet de Villeneuve-Guibert (A. C. M.). M.

Duffour (L. J. G. C.). Galouin Patrie de Tréville (B. A. J.). De Reinach (L. J.). De Baudel (C.). Richemond (E. M. J.). Boulard de Gatellier (M. J. C.). Hector (G. E.). Le Coat de Saint-Haouen (A.). De Saint Phalle (J. F. M. J.). SOUS-LIEUTENANTS: De Ligniville (M. H.). Roux Joffrenot de Montlebert (H. M. F. L.). Choupot (P. M. J. E.).


Peyrieux (C. C.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

De Virieu (M. G. F. H.). Caille (F. A ). Greyfié de Bellecombe (C. J. M.). Paris de Treffond d'Avancour (L. J.). Baudinot (G. P. A. P.). SOUS-LIEUTENANTS: Jouvet des Marands (P. H.). Boudet de la Bernardie (J. J. A. H. X.). Georgette du Buisson de la Boulaye (C. A. H.).

N.

Langlois (R.). Oberkampf(A. E. F.). Biage (P. A ). Biguet (L. E.). De Mauduil-Duplessix(O.C. M.). Séguin de la Salle (J. M. G.). Boch (P. L.).

SOUS-LIEUTENANTS :

Officiers de réserve.

3e RÉGIMENT. 3e

brigade de hussards, 6e division de cavalerie ; stationne dans la 14e région ; — à Lyon.

Donop (R. M.). LIEUTENANT-COLONEL: Boulliès (E. F. H.). CHEFS D'ESCADRONS: Darcy (G. L.). De Chabot (J. M. E.). MAJOR : Nussard (C. A. F.).

CAPITAINE :

SOUS-LIEUTENANTS:

:

CAPITAINE TRÉSORIER :

2e

Blavignac (F.).

SOUS-LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : CAPITAINE D'HABILLEMENT: Jacquot (G.). PORTE-ÉTENDARD :

Milliat (L. J.).

Castor (P. H.), sous-lieutenant.

I.I.

P.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Labit (H. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Gaillard (P.

G.).

Graindorge (D. I.). EN 2e : Querruau (A. C. M.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Tondeur (H. E.). CAPITAINESCOMMANDANTS : Larive (E.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

D'Anselme (G. J.). Meynieux (M. J. B. C). Arnoux de Maison-Rouge (G. M. V.).

Tardieu (A. L.). Peter (J. A.), détaché de remonte. Caillibeau (J.), détaché de remonte. Corvisart (C. P. R. V.), stagiaire d'état-major. Libert (G.). Prévost de Sansac de Lavauzelle (T. F. G. H.), détaché, officier d'ordonnance. LIEUTENANTS EN PREMIER : De Crousnilhon (A. M. J. R.), détaché auprès du Gouvernement civil de l'AlgéCAPITAINESEN SECOND

:

rie. De Palma (D. M. H.). Jacquier (E. A.).

brigadede hussards,3e division de cavalerie ; stationné dans 5e région ; — à Fontainebleau.

Gandin (G. A.). LIEUTENANT-COLONEL: Révérard (E. C. L.). CHEFS D'ESCADRONS: Baudot (E. M. B.). Aubin (P. J.). MAJOR : Urdy (F.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Tenaille d'Estais (F. E. E.). COLONEL :

CAPITAINE TRÉSORIER : Hügel (L.

A.).

Roux (L. M. S. E.). CAPITAINED'HABILLEMENT : Hügel (F. J. G.). PORTE-ÉTENDARD : De Baucourt (E. V. L.). MÉDECIN-MAJOR2E CLASSE : Boutry (C. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Papon (F. M.). VÉTÉRINAIRE EN 1ER : Bourgès (J.). EN 2e : Theis (C- J.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Ingueneau (L. F.). ADJOINT AU TRÉSORIER :

CAPITAINES COMMANDANTS:

D'Assailly (A. C. C. O.).

Guérin (E.). Bosc (II. T.). Legrand (A.). De Dampierre (R. M. S.). CAPITAINES EN SECOND : Marchand (G. T. B.). Petit (H. T. D.).

D'Harcourt (L. M. G.). De Pourtalès (P. C. E.). Brezet (L. G.).

D'Ussel (M. A. M.).

Dauphin de Verna

4e RÉGIMENT.

Cor-

d'homme (L. H. J.).

Pacaud (T. L. G.).

Delageneste (J. P.). Mandrillon (L. A.). Du Crozet (M. J. F. O.). Viguier (J. G. L. M.). Albertin (J. R.).

COLONEL :

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR

N.

(A. M.).

Molère (T.). De Calouin de Tréville (H. H. M. E. E.).

LIEUTENANTS EN SECOND

:

Sordet (J. P.). Souton (A. L.). Nicol de la Belleissue (H. A. M.).

Chassot (M. T. A.). De Bouillé du Chariol (A. L. G. B.). De Burgues de Missiessy (M. P. M. J.).

LIEUTENANTSEN PREMIER :

Démoulin (A. J.). Gudin de Vallerin (L. J. H.). LIEUTENANTSEN SECOND :

Pierga (M. M.).

De Saint-Hillier (H. M. L.).

Codou (J. A.).

Balay (L.). Pascal (A. J. J. H.).

Dauphin de Verna (A. M. L.). Sauvage de Brantes (P. M. J.). Delor (J. M. C.).

Gérard (F. M.).

la


Lombard d'Espérel (M. C. A.).

Lecucq (V. L. B.).

Nivière (F. M. E.). Faidy (J. P.). De Lastic (A. C. A.).

LIEUTENANTS EN SECOND

De France (F. M. R ). Herbillon (E. E.).

Varaidne (C. L. A.).

Flury (J. L. M.).

Laprun (E. E. N. F.). Rastoin (J. E.). De Joybert (F. M. J. B. L.).

Delattre (A. L. C.). SOUS-LIEUTENANTS: Cabarrus (J. A. C. L. M. H.). Brice (E. H. T.). Baugy (A.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

Liotard

Laffite (F. G. E.). Lereuil (L. J. L.). SOUS-LIEUTENANTS: Phily (F. M.). Bussery (J. M.). Catalo (P. L. E.). Lefront (A. E. G.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

N.

SOUS-LIEUTENANTS :

5e RÉGIMENT. brigade de cavalerie ; 6e corps ; — P. à-Mousson.

(M. J. G.).

Vergne(E. P. J.). Thibaut de la Rochethulon (J. M. E. G.).

LIEUTENANTS :

6e

C.

à Troyes ; P. P. à Pont-

COLONEL : Roy de Vaquières (F. C. E.). LIEUTENANT-COLONEL : Heurtault de Lammerville (J. L.

M.).

Canaux de Bonfils (P. M. A.). Bonhomme (E. N.). Davy de Chavigné (M. E. G.). Boilaive (G. J.). De Bazelaire de Lesseux (W. M.). Chabot (M.).

De Renouard de Sainte-Croix (L. F

18e

Rossert (J. M.). Germain (C. A. P.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR: CAPITAINE TRÉSORIER :

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER H.).

:

Lacouture (E.

Trouvenin (E. L. C. P.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Briot (J. E. F.). PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : VÉTÉRINAIRE EN 1er : Choisi (A.

:

Leclercq (A. A.). H.).

Galles (G. L.). Tonner (M. J. G.).

Bertonière (L. F.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Grillet de Serry (P. A. G.). De Ferron (L.). Ducret (C. H.). Vallois (N. L. E.). CAPITAINESEN SECOND : Moreau (F. J. G.). Le Porquier de Vaux (C. P.). Joyeux (A.). Clavel (A.).

Trouilhet (A. A. L.). Collin (E. M. J.), détaché à l'École militaire d'Autun.

LIEUTENANTS EN PREMIER

Lecomte (L. L. A.). Bounoure (P. V. A.).

Jacques (M. C. M.).

:

Brigade de cavalerie, 18e corps ; — à Bordeaux.

Aoust de Rouvèze(G.). LIEUTENANT-COLONEL: De Brécey (J. E. A. M.). CHEFS D'ESCADRONS: Courtès-Lapeyrat (J. P. E.), attaché COLONEL :

Kuntz (H.).

CAPITAINE D'HABILLEMENT:

:

L.).

6e RÉGIMENT.

Fleuret (R. M.).

EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE

M. C.

Véron (C. L. E.).

R.). Ménétret (J. P.).

Loir (H. Z.).

Tardif d'Hamonville (H.

CHEFS D'ESCADRONS:

MAJOR :

Boyer (X. M. H.).

Grenoilleau (J. J. M.). Bénard (A. F. C.). Beaudesson(A. L.). Couderc de Fonlongue (C. H.). Marchal de Corny (P. F. R.). Bourseul (C. A. E.).

Renn (M. G. G.).

SOUS-LIEUTENANTS:

:

à la personnede M. le Président de la République. Dupuy (J. R.). MAJOR : De Ducla (M. E.). CAPITAINE INSTRUCTEUR.: Biltioque (M. F.). CAPITAINETRÉSORIER : Pasquet (L.). SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Ryckmans (H.

G.) CAPITAINE D'HABILLEMENT: PORTE-ÉTENDARD :

Rochet (C. F.).

Fournier (S. J.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Sommeillier(D. F. MÉDECIN AIDE-MAJOR1re CLASSE : Sudre (P.).

E.).

Canu (L.). EN 2e : Dupuy (E.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Nicolas (E.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

CAPITAINESCOMMANDANTS:

Péchin (F. R.).

Domenech (A. M. A.). Bellettre (J. E.). Sesbre (J. P. N.). Leberger (P. J. L. D. L.). CAPITAINES EN SECOND :

Morand-Dupuch (G. E. A.).

Baillet (B. E.). Lempereur de Saint-Pierre (G. J. M.).


VÉTÉRINAIRE EN 2e : Goubaux (P. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Belleverge (G.

Schlincker (F.). Noubel (F. E. R.). LIEUTENANTS EN PREMIER

:

De Maud'huy (C. A.).

Paris de Mondonville (L. J. D.).

:Hoquétis (J. F. E. M.). De Ponton d'Amécourt (M. J. A. R.). . Le Bret (J. E. H.). Le Mordan de Langourian (R. E. G. O. M.).

LIEUTENANTS EN SECOND

Gelbert (J. A. F. M.).

Boutaud-Lacombe(A. M. A.). Séverac (J. M. A. C.).

C.H.).

De Vassal-Montviel (M. E.)..

Girault de Mimorin (C.

M.

J.).

Audoy (F.). Trumet de Fontarce (J. R.). De Joybert (M. E. J. M.). Vidalin (M. F.). Rousseau (M. J. L. A.). De Simard de Pitray (A. L. P. J.). SOUS-LIEUTENANTS: Bréart de Boisanger (A. M. G.). Devaltz (B. S. P. A.). Condemine (J.), dét. remonte. Couturier (P. C. O.).

Laclaverie (C. F. A.). Lagarde (J. A.).

Officiers de réserve.

RÉGIMENT.

CAPITAINE :

brigade de cavalerie, 9e corps ; — à Tours.

Mulotte (A.). LIEUTENANT-COLONEL : Ramotowski (L. T.). COLONEL :

Delplanque (H. F.).

N. De Dampierre (L. H. R.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSDE TRÉSORIER :

Robert (E.

H). Sous LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Bruneau (A. E. J. L. N. P.), CAPITAINE D'HABILLEMENT : Genevès (J. J.). PORTE-ÉTENDARD : Hiblot (F.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Jouanno (F. B. M.). MÉDECIN AIDE-MAJOR2E CLASSE : Maré (L.).

Adrian (L. E.).

N.

D'Aliney d'Elva (A. C. M. J.). SOUS-LIEUTENANTS: Bernellon (J. B.). LIEUTENANT :

Hérissé (Z. I. C.). Mame (E. D. A.). Loyzeau de Grandmaison (H. A. M.). De Lamothe (M. A. P. M. M.).

De Luppé (G. E. M. G.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

M.).

guerre.

R.). De Beaumont de Beynac (S. P. L. A.). Montariol (M. E. A.). Barrière (M. M. A.). SOUS-LIEUTENANTS: Veyrier (C. P. M.). De Vathaire (H. M. A.). Chabosseau (A. M.). De Larralde-Diustéguy(A. J. C.). Crétu (G. J. P.). Guyel (J.). Igusquiza (P. L. V. E.).

CAPITAINE INSTRUCTEUR :

Des Monstiers Mérinville (A.

Moreau de Callac (Y. L. J.). De la Goublaye de Nantois (H. P. A. L. M.). De Montarby (P. A. Y.). Couderc de Saint-Chamant (M. J.). De Mullenheim-Rosenbourg(M. J. L. C.), dét. Éc.

CAPITAINE : N. LIEUTENANTS : Alary (H.

MAJOR :

:

LIEUTENANTS EN SECOND :

Officiers de réserve.

CHEFS D'ESCADRONS :

Brun (E. L. M.). Barassé (G.). Le Sauter (G. A.). Lamy de la Chapelle (M. J. A.). De Masson d'Autume (J. C.), dét. Ecole cavalerie. Le Febvre (P. A. L.), dét. officier d'ordonnance. Cesbron-Lavau (C. E. J. M.), dét. École de cavalerie. Olry de Labry (C. G.).

Thorel (V. E.). Matteï (T. R.). De Cardenau de Borda (J. M. S. G.). De Bachère de l'Épinois (P. P. A. E.).

9e

M.).

H.

Pauc (J. B. J. A. H).

7e

De Montarby (G. A.). CAPITAINES EN SECOND : De Bermond d'Auriac (J. E. L.

LIEUTENANTS EN PREMIER

Depret (C. J.). Marcel (J. R. G.). Broussaud (M. J.). SOUS-LIEUTENANTS:

M.

J.). Baillot (L. E.). Galissard (J. M.).

Cousteix (J. J.). Pouydebat (J. J. H.). Archinard (L.). Duvignau (L. E. A. F.).

Verdelhan des Motles (M.

CAPITAINES COMMANDANTS :

A.). J. A.). Moreau de Bellaing (J. E.

Alliou (F. P.).

Arnault (J. R. G.). Brouillet (A. F. R.). Weiller (J. V. M. C.).

Roullet (P. C.). 8e RÉGIMENT. 3e brigade de hussards, 6e division de cavalerie ; stationné dans la 14e région ; — à Vienne. COLONEL :

Reverony (A.).

LIEUTENANT-COLONEL: De

Villers (L.

M.

F.).


Zylof de Steenbourg (E.

CHEFS D'ESCADRONS :

M.

Gillain (O. V. E.). MAJOR :

14e

Chamot (L. E.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

Girier

(L.).

Anfray (L. A.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Bourdillat (V. H.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Pierron (J.). CAPITAINE TRÉSORIER :

PORTE-ÉTENDARD :

Amat (J. L. A.), lieut.

MÉDECIN-MAJOR: 2e CLASSE : Badin (M. L. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR IRE CLASSE : Gilles (M. P. M.). VÉTÉRINAIRE EN

Wira (E.). 2e : Bergougnan (F. C.).

1ER :

EN AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Roynard (J. A.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

9e RÉGIMENT.

F.).

Farine (C. J. G.).

COLONEL :

Brigade de cavalerie,

14e

corps ; —à Valence.

Ozenne (L. H. M.).

Sarrailh (A. L. C.).

LIEUTENANT-COLONEL:

Bourdes (C. F. A.).

CHEFS D'ESCADRONS :

Des Isnards (M. S.). MAJOR : De Nolet de Malvoüe (L. G.). CAPITAINE INSTRUCTEUR :

Duffault de Sainl-Étienne (R.

C.).

F. A,). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Gaudiot (M. E.). Bel (P.

CAPITAINE TRÉSORIER :

M.

Vachon (G.). PORTE-ÉTENDARD : Falentin (J. A.), lieut. MÉDECIN-MAJOR2E CLASSE : De Tastes (M. M- M.). CAPITAINE D'HABILLEMENT:

MÉDECIN AIDE-MAJOR

1RE

CLASSE :

Baptiste (A. E. J. B.).

Portier (H. C. M.).

De Bazignan (F. A. O.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Moreau (J.).

EN 2e: Guénot (P. V. AIDE-VÉTÉRINAIRE : Gacon (L. V.).

Carrichon (A. P. L. J.). Dutertre (L. J. H. O.). CAPITAINES EN SECOND : Legardeur de Montclar (L. A. J.).

Serré (E. J.), dét. remonte. Vellay (E. S.), dét. remonte.

CAPITAINES COMMANDANTS :

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Testot-Ferry (E. G. V.).

Balay (F. C. E.). De Bonniol du Trémont (E. J.). Du Peloux (L. J. A. M.). Aupècle (G. L.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Brivet (C. M.). Schultz (L.). Clémençon (F. J. L.).

Éc. cavalerie. Limal (E. A.). Carrade (P. L. R.).

Leforestier de Villeneuve (C. M.). Guillemot (P. J.). Sisteron (J. C. E.). Lalande (A.). Gasson Bugeaud d'Isly (J. A. A.). Angeletti (L. E.). Meillon (J. M.). SOUS-LIEUTENANTS:

Garnier (L. M.).

Lau (A. P.). D'Espinay Saint-Luc (A. A.). Bouquet des Chaux (C. J. J.). Meyssonnier (P. J. J.). De Laurens de Saint-Martin (A.

De Carné (L. A. P.), dét. remonte.

Bagnéris (J. A. M.), dét. remonte. Lefournier d'Yauville (E.). Le Roy de Boiscaumarié (N. T. J.). Pimpel (C. L.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

De Chabannes (M. A.), dét.

C. A.).

Officiers de réserve. CAPITAINE : N. SOUS-LIEUTENANTS:

Pasquier (G. F. A.).

Prévost (F. N. V.), dét. Éc. cavalerie. Bocquet (C. E.). Du Laurens d'Oiselay (G. S. M.). Droz des Villars (F. H. H.). LIEUTENANTS EN SECOND : Husson (J. E.). Camerlin (G. A. D.), dét. remonte. Lardinois (L. E.).

Burlat (J.). Hache (R. M. J.). Maria (G. E.). De Gombert (M. M. O.). Pavin de Lafarge (C. J. A. L.). Moullard (L. M. A.). Novo (M. L. M. C. E. F.). SOUS-LIEUTENANTS : Binet (P. J. N. B.). Morel (M. P. M. M.). Sandoz (H. M. A. G.). David de Beaufort (P. P. H. A.).

Mounier (G. J.). D'Arcy (R. M. E.). Officiers de réserve.

N.

De la Faire (A. F. J.). De Bruchard (C. P. H.).

CAPITAINE :

Matras (L. F.). Autrand (F. G. T.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Vincent de Saint-Bonnet (J. O. M.).

Breton (C. M.).

De Fontanges (O. H. M. J.).

CAPITAINESEN SECOND :

Heintz (J.).

O.).

LIEUTENANT :

May (F.).

Larmier (C. L. A.).

Lacaze (J. A.). Pierri (J. F. C. A.).


Bernardini (D. G.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Audier (A. B.). Veyron (J. A. F.). Aguillon (C. M. V.). Bardon (J. B. P. M.).

6e

Officiers de réserve.

N.

CAPITAINE :

Méry (A. M. J. V.).

SOUS-LIEUTENANTS :

RÉGIMENT.

brigade bis de cavalerie,

6e corps. — P. à Commercy.

C.

à Sézanne; P.

P.

Brossonneau (A. P.). De la Boche de Fontenilles (H. J. O.). Richard (E.). Sègue (J. E. A.). Legroux (G.). Magnan (M. V. M.).

Raimond (G.). LIEUTENANT-COLONEL : Mayniel (R. E. M.), dét. serv. COLONEL :

d'état-major. Lagroy de Croutte de Saint-Martin

(L. J. A.). De Sillègue (M. F. N.). MAJOR : Du Plessis de Grenedan (G. G. R.). CAPITAINE INSTRUCTEUR: Keller (C. A. H.). CAPITAINE TRÉSORIER : Froelicher (J. E.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER: Monguille (J.

F. O.).

Pascal (A. A.). Étienne (J. H.), lieut.

MÉDECIN MAJOR 2e CLASSE : Vilmain (G.P. F.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Villiers (J. H.).

Becker (L.). EN 2e : Jeslaz (M. A.).

1ER

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

:

Barthélémy (D. F. E.).

CAPITAINES COMMANDANTS :

Martineau (H. A. R.).

Machon (G. C.).

Thiébault (A. N.). D'Ast (E. M. B. E. J. F. de P. A.). Grasset (P. A.). CAPITAINES EN SECOND :

Norès (W.).

Delaine (E. M.). Chrestien de Beauminy (R. L. C. M.). Lefèvre-Sory(E.).

N. Billot (P. E.). Sollier (R. M.). Goüin d'Ambrière (M. R. A.). Bastien (M. A. G.), dét. remonte.

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Cavrois (A. A. F.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Picandel (M.).

Larzillière (J. J.). Marge de Marigny (A. E. C.), dét. Éc. cavalerie. Bastien (J. E. C.), dét. officier d'ordonnance.

Poirel (L. R.). Philbert (J.). De Palma (P. D. F. M.). Génin (A. L.). D'Apchier le Maugin (I. L. G.). Letixerant (P.).

Lang (E.). L'Eleu de la Simone (E. Donop (L. J. F.).

M. H.

J.).

hussards, 6e division de cavalerie, stationné dans la 7e région ; — à Belfort. COLONEL : Lenormand de Kergrè (A. L. P.). LIEUTENANT-COLONEL: De Witte (A. R. A. M.). CHEFS D'ESCADRONS : D'Hombres (A. A. L. M.).

De Pérignon (M. E. F.). MAJOR : Gamel (E. M. H.).

CAPITAINE D'HABILLEMENT:

VÉTÉRINAIRE EN

11e RÉGIMENT. 1re brigade de

CHEFS D'ESCADRONS:

PORTE-ÉTENDARD :

C. R.).

Guédon (H. G. A.). Barrot (F. F. J.).

Combet (F. M. G.).

10e

Paris (M.

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

Durand

(L. P. E. A.).

Lunel (A. J. C.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Pagès (A. G. J. A.) CAPITAINE D'HABILLEMENT: Gilbert (C. O.). PORTE-ÉTENDARD : N. CAPITAINETRÉSORIER :

MÉDECIN-MAJOR 2E CLASSE : Gross (J. A.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Habert (J.

E.).

Mériguet (J.). EN 2e : Allarousse (J.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Bernard (P. H. P.). CAPITAINESCOMMANDANTS : Bédaton (P.). Carles de Carbonnières (F.). Henriet (J. F. F. J.). Arthuis (P. E.). Poty (N. E.). CAPITAINES EN SECOND : Tartenson (C. V.), dét. remonte. Tropel (L.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Habert (J. V. R.).

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER

:

Théron (A. M. G.).

Sestac (N. F. A. V.). Couturier (C. E. J.). Vieillard (F. P. E. L.). Boutan (F. L. H. J.), dét. officier d'ordonnance. LIEUTENANTS EN SECOND : Flamen d'Assigny (F.), dét. Éc. cavalerie. Bèzard (M. J.), dét. Éc. cavalerie. Didelot (L. A.). Nassoy (J. P.).

Bertaud (M. J. L.). Fouquey (J. A.). Bobinot de la Pichardais (G. A. M. R.). Pacoret de Saint-Bon (J. P.). Fornas (C. G.).


SOUS-LIEUTENANTS:

Prévost Sansac de Traversay (C. G.). Camusat de Riancey (R. C. L. M. M.).

Brady (J.).

Leinenger (P. E.). Germain de Montauzan (J. I. E. S.). Haas (M. T. F. J.). Nicolas (A. M. J.). De Parseval (C. P.).

Robinet de Cléry (J. G. C. M.). Delacroix (M. C. P. O.). Chenu de Mangou (F. E.). SOUS-LIEUTENANTS : Mieutet de Ricaumont (H. A. E. M.). Roux de la Plagne (M. E. G.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

Fugil (G. A.).

N.

Officiers de réserve.

Rousselet (L. M. E.). SOUS-LIEUTENANTS: Collin (J.).

A.).

LIEUTENANT :

Cosnac (O. E. SOUS-LIEUTENANTS : D'Ayguesvives (P. A.). Imhaus (E. P. G.). Pinta (G. A.).

CAPITAINE : De

Bourricant (J.). Hugon (C. J. B. H). Rivière (G. D.). Sahler (E. L.). 12e 1re

RÉGIMENT.

10e

brigadede hussards, 6e division de cavalerie,stationné dans la 7e région ; — à Gray.

Allaire (E. A.). LIEUTENANT-COLONEL : Wolff (F. S. A.). CHEFS D'ESCADRONS : Escande (M. J. G. L. J.). N. MAJOR : N. COLONEL

MAJOR :

:

Dulac

(R. E. E.).

De Ker-

:

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Fournot (J. M. J.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 2e CLASSE : Cadet (E. A. M.). :

Péringué (F. E.). Rolland (J. F.).

Belhomme (P. A.). CAPITAINES COMMANDANTS : De Roujoux (E.). Libault de la Chevasnerie (A. M. P. J. C. A.). Courte (J. C. A.). Lucas (A. L. E.).

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Roustlic

Verschneider (M. G.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR

Sellier (E. H.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : André (H. A.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Brémant (G.). PORTE-ÉTENDARD : Depasse (H. E. E. M.), lieut.

EN 2E :

Choquet (F. N.). Marochetti (F. A.).

LIEUTENANT-COLONEL:

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSDE TRÉSORIER :

Mahieux

(H. P. P. E.).

CAPITAINE TRÉSORIER

M.).

Dorizon (A.).

mel (R. L. M.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Patard de la Vieuville (G.

CHEFS D'ESCADRONS :

:

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

COLONEL :

13e RÉGIMENT. corps d'armée ; — à Dinan.

(T. L. M.).

Dopf (E.), dét. serv. d'état-major. Ritleng (L. M. A.), dét. officier d'ordonnance.

CAPITAINESEN SECOND :

Vauthier (A. F.). Saunac (G. J. L. P.).

N. Bolotte (P.). De Scilivauxde Greische (M. L. L.), dét. Éc. cavalerie. Hillereau (E. H.). De Laage (M. F. L. R. P.). De Lyée de Belleau (A. T. A.). LIEUTENANTS EN SECOND : Labbé (F. F.). Dumalle (J. F. A.). Lesage (L. G.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Bertheault de Noiron (M. J. M.). Aubrée (P. P.). Cavelier de Cuverville (A. M. A.). De Pasquier de Franclieu (M. P. J. H.).

SOUS-LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER

:

Sival-Laserve

(H.C.L.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT : Limal (M. L.). PORTE-ÉTENDARD : Quétil de

la Poterie (J. G. H.), lieut.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Belhomme (E. J. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Pettier (L.

E.). E.).

Solonne (E. F.). EN 2e : N. — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Dufour (E.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

CAPITAINES COMMANDANTS :

Senez (G. E. A. H.).

Brenne (C. F.).

Jullien le Picquier (M. A. C. V.). Gouyon de Beaufort (X. L. M .F.). De Bouillé (L. P. A. M. H.). CAPITAINES EN SECOND : De Boërio (M. J. A. H.). Vacquier (J. V. H.). De Poret (C. M. M.), dét. off. d'ordonn. Rey (A. J. X.). De Courchant de Sablon (F. J. A.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Collin de Laminière (L.

F.). De Massol de Rebetz (A. C. M.).

Arbola (H. C. E. H.).

Parise (P. L. A.). De la Motte de la Motterouge (H. L. M.). LIEUTENANTS EN SECOND : Joyeux (M. D. F.). De Billeheustd'Argenton (H. M. M.). Le Monnier de Gouville (A. M. J.). Grosjean (J. L.). Perrin (J. P. J.).

M.


Doudement (J. H.).

Chaudron (C. P. F. G.).

Bailly (M. M.).

Boyé (P. G. S. M.).

Martin de Bouillon (A. M. G-). LIEUTENANTSEN PREMEIR : Blot (L..E. E.). De Malherbe (A. P. M. G.). Beyler (P. A. L.), détaché à la remonte.

Chauveau (P. G. R.). SOUS-LIEUTENANTS : Ruellan (C. M.). Pavillon (H. L. D.). Tillelle de Mautort (R. H. J. A.).

Ségerand (M.). De Pétigny de Saint-Romain (X.). Gasser (I. M. J. P.).,

.

Hennocque (E. C. A,). Jeannin (J. E. M. M.).

.

LIEUTENANTS EN SECOND

Rainal (C. A. M.), détaché à la remonte, Dogny (E. A.), dét. Éc. de cav.

Officiers de réserve.

Corhumel (E. J.).

SOUS-LIEUTENANTS : Bréart de Boisanger (H. A. V. M.). Le Saulnier de Saint-Jouan (G. M.). Gautier (G. M. J.). Hennebert (E. E.). Manchon (E. A.). De Bérenger (H. L. M.). De la Goublaye de Nantois (A. F. N. M. S.). Le Petit (J. I. J.). D'Aliney d'Elva (R. M. J. G.). Desclos de la Fouchais (R. J. M.).

Dérivaux (P.). Carrez (E. M. J.).

Bertrand (J. A.). L'Huilier (P. C.). Carbillet (A. A. J.). De Veye (G. M. C. H.). Bernard (P. J. G.). SOUS-LIEUTENANTS:

Morestin (C. E. M. P.). Officiers de réserve.

V. CHASSEURS D'AFRIQUE.

CAPITAINE :

N.

Debiève (L. A. A.). SOUS-LIEUTENANTS: Sureau (E. L.). Biscarrat (G. P. I.). Creugnet LIEUTENANT

1er RÉGIMENT & (1).

:

(H.).

Division d'Alger; — à Blidah.

Bonnefous (J. L.). LIEUTENANT-COLONEL : De Chalendar (F.). CHEFS D'ESCADRONS : Billet (L. A.). Bouvier (L. A.). MAJOR : Base (D. V. D.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Gallois (R. M. F. A.). COLONEL :

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER :

2e RÉGIMENT. Division d'Oran ; — à Tlemcen. COLONEL :

De Mou-

T.).

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Grand-Conseil (L.

M. F.).

Sannajust (J. B.). Voillemin (M. H. H.), lieutenant.

CAPITAINE D'HABILLEMENT: PORTE-ÉTENDARD :

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : De Casabianca (D.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Augias (J. M. C.).

Michel (M. N. G.).

.

Cavalin (E. J. M.). — EN 2e : Mégnin (J. L. T.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Bonin (V. L.). VÉTÉRINAIRE EN 1er

:

CAPITAINESCOMMANDANTS : Roesch (A.).

De Terrier-Santans (M.C. J.). Louvel (C. A. V.). Winckler (J. A.). Gossein (P. A.). . CAPITAINES EN SECOND : Gachel (H. G. C.), détaché à la

remonte. (1) Étendard décoré en commémorationde la prise d'un drapeau

au combat de San-Pablo del Monte (Mexique).

Richelberger (M. J. G.).

Joullié (H. A.).

Benaiste-Desvalettes (J. C.).

(M.

Bernadou (E. J. M. J.).

Alleau (J. A. A.).

De Palys (R. B. M. G.). De Sèze (A. P. M. V.).

linard

:

O'Connor (P. M.).

Lagarde (J. G.). Flahaut (A. T.).

LIEUTENANT-COLONEL: CHEFS D'ESCADRONS:

De Mallet (F. G.). MAJOR : Gellis (J. B. Q.). CAPITAINE INSTRUCTEUR :

Raymond (C. F. X.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS DE TRÉSORIER :

Peller

(J. M.). Desbouis (F. A.). (E. C.). PORTE-ÉTENDARD : Champenois (T. L.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2E CLASSE : Redon (H. G.). MÉDECINS AIDES-MAJORS 1RE CLASSE : Puig (J. H. F. J). Ferrand (G. A.). VÉTÉRINAIRE EN 1ER: Gervais (A.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : CAPITAINE D'HABILLEMENT: Guéncau

Rochard (D. F.). Camus (A. P. C.). CAPITAINES COMMANDANTS : Chassery (P. E.). Gallois (E. D.). Varnoux (J.). De Fleurans (A. T.). Burette (F. E.). CAPITAINES EN SECOND : D'Oilliamson (F. M. G.).

EN 2e AIDE-VÉTÉRINAIRE :

:


Lambert (J. C.), détaché officier d'ordonnance. Bunel (H. V.). De Miribel (M. G. A. W.). Brunet (F. A. J. P.). LIEUTENANTS EN PREMIER : Bergé (E. P. F.). Pailler (A. J.). Douville (F. A. L). Michel (F. G. V.), détaché à la remonte. Schmidt (A. G.). LIEUTENANTS EN SECOND :

J. L.

C.

De Gestas de l'Esperoux (G. M.

P. P.).

Cressier (P. J. G.).

Petit (V.).

De Lagarde Montlezun (M. P. A. H). Richon (D. L. E.). Michelon (J. B. L. A.). Losiaux (P. Q. L.). Descoins (H. V.). Grangier de la Marinière (L. R. J.). SOUS-LIEUTENANTS: Jacquin (N.). de Belabre (R. J. O.). Constantin de Chanay (J. M.E.). De Gail (J. F. H. G.).

Fradin

Officiers de réserve.

N.

SOUS-LIEUTENANTS:

Pillioud (J. D.), détaché à la remonte. Barry (E.). Boucon (F. C. F.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Marican

Division de Constantine ; — a Constantine.

L.).

De Forsanz (H. F. M.). . LIEUTENANT COLONEL : De Liedekerke-Beaufort (A. M. F.). CHEFS D'ESCADRONS: De Tricornot de Rose (J. B. C. E.). Delanneau (P. MAJOR : Lancelot (H. G.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR : Merle des Isles (J. A. E.). CAPITAINE TRÉSORIER : Naudy (L.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Josse (J. E.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Manuelli (J. M.).

Ritter (E.), lieutenant. :

Ribes (J.).

MÉDECINS AIDES MAJORS 1RE CLASSE

:

Trédos (M. G. E.).

Cuvier (G. V.).

Brandis (L. L. M.). EN 2e : Fayel (P. A.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Thiriet (C. E.). CAPITAINES COMMANDANTS: Martineau Deschesnez (H. E.). Granier de Cassagnac (L. E. E.). Saski (C. G. L.). Jalabert (G.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Ferru (J.

M. C.).

F. A.). Mercier de Sainte Croix (L. H. J.). D'Auderic (M. A.). Covillion (P. M. J. M.). LIEUTENANTS EN SECOND : Wertz (F. H). (A.

Païn (R. F.). Aubertel (M. A. E.). Dinand (C. J.). Mougenot (N. C. R.). Vidal (F. P. E.). Fillodeau (J. A. E.). De Cointet (E. E.). Lambert (P. P.). Sous LIEUTENANTS: Moreau (P. L.). Canrobert-Certain (N. E. M. A,), détaché au Soudan.

Reynard-Lespinasse (L. J.). Avon (J. A. M. C.).

CAPITAINE :

3e RÉGIMENT.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE

Mantrand (F.), détaché à la re-

Officiers de réserve.

De Suffren (P. M. J.). Couderc (M. J.).

PORTE-ÉTENDARD :

:

monte.

Godard (F.).

Brousse (L. J. B.).

COLONEL :

CAPITAINES EN SECOND

Bessières (M. G.). Chauveau (G. E.), détaché École de cavalerie. Martinie (J. M. A.), détaché au Soudan.

Labauve (J. C. E.). Risch (L.). Carbonnier (M. G. R.).

CAPITAINE :

De Rascas (J. M. R.).

N.

Sous LIEUTENANTS : Lebeaud (C. A. J.). Béchu (G. A. M.). De Tournadre (J. C. L. M.). Gaillard (L. V. R). Boutleux (L. A.). Kellermann (C.). De Borély (E. A.). 4e

RÉGIMENT.

Tunisie ; — à Tunis.

Courtiel (H.). LIEUTENANT-COLONEL: N. CHEFS D'ESCADRONS : Du Puch (E. T. A.).

COLONEL :

Beuve (A.).

Gaillard (H. F.). CAPITAINE INSTRUCTEUR : Epailly (L. A.). CAPITAINE TRÉSORIER : Guignard (C. C.). MAJOR :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Joly (L.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Vernhes (M. F. A. PORTE-ÉTENDARD :

E.).

Benoît (J. B.), lieutenant.

MÉDECIN-MAJOR2E CLASSE : Dufaud (J. G.). MÉDECINS AIDES MAJORS 1RE CLASSE : Robelin (M. E. A.).

Danjou (F. J. G.). Henry (J. E.). EN 2e : Pellotier (E. L.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Debanne (C. V.).

VÉTÉRINAIRE EN 1er :


CAPITAINES COMMANDANTS:

Butler O'madden (E. M. G. L.).

Caron (A. J. A.). Bourguet (F. T.). Carbillet (C. G.). Du Fornel du Roure de Paulin (J. J. E. H.). CAPITAINES EN SECOND : Corniot (J. L.) Bonavita (J. A. J. C. F.). Simon (G.).

M.).

Gosswiller (J B. L. J.). De Klopstein (J.). Chollat-Traquet (E.). Crozet (J. M.). CAPITAINES EN SECOND : Gonnet (A. F.).

N. N. N. N.

Chauvin (A.).

Roussel (L.).

Maladry (G. C. C.).

remonte. Gasser (P. P. A.). Mauguin (L. G. R. M.). Bastien (M. C. A.), détaché officier d'ordonnance. Walch (F. A.). LIEUTENANTS EN SECOND : Courtois (E. J. A. A.). Félix (J.), détaché à la remonte. Parisot (L. J. E.).

(M. J. R.).

Ducreux (M. A. R.), détaché à la remonte. Aldebert (G. A.). Girardin (L. E.), détaché officier d'ordonnance. Girette (P. A.). Du Hamel de Canchy (G. F. J.). Hanier (A. L. E.).

LIEUTENANTS EN SECOND :

Carrière (L. M.).

De Colonjon (R. G. U.). Courcenet (F. E.). Duvernoy (G. C.). Legrand (P. G. St-R. E.). De Panafieu (J. R.), détaché à l'école de cavalerie.

Fuchet (L. M. B.). Kirschlèger (C. P. A.). Pierre (H. C. P.). Lallé (J. B. J.). Emmery (E. P.). Matrod (G.).

Merlin (A. F.). Dangeville (C. A.). Magne (A. P. E. L. N.). Boccas (A. J. J.).

Vacher (A. Y. J. F.). Christophe (C. A.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Officiers de réserve. CAPITAINE :

Reynaud (J. E.), détaché à la

LIEUTENANTS EN PREMIER :

Palais

De Digoine du

Blasselle (R. M.).

Marthe (G.

Bancal (R. V.).

LIEUTENANT : Pin (F. F. P.). SOUS-LIEUTENANTS: Borromeï (J.

Scourion de Beaufort (C. J.

CAPITAINES COMMANDANTS :

N. N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

.

Mourot (C. G. F.).

AIDE-VÉTÉRINAIRE:

H. M.).

Lacombe (J. M. L.). SOUS-LIEUTENANT : De Cools (G. A. E. M.).

F.).

Galtier (J. L. F.). Cuillé (J. J. C.).

Officiers de réserve.

Lion (A. L.). Millière (O. M. V.).

CAPITAINE :

Arney (J. C. A.).

SOUS-LIEUTENANTS:

Bellissen (J. F. M.).

Rubin (J. M.).

Faure (L. M.).

Kah (G. G. A.). 5e

RÉGIMENT.

Orenga (A. P. A.). De Leusse (M. L. F. H).

Division d'Alger ; — à Alger. COLONEL :

Kirgener de Planta (A.

LIEUTENANT-COLONEL:

N.

6e RÉGIMENT.

Cuny (F. P. A.).

CHEF D'ESCADRONS; MAJOR :

Lebailly (L. E.).

F. J.).

Division d'Oran ; — à Mascara.

Dimier de la Brunetière (L. G.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSD'INSTRUCTEUR :

Violand

(M. C. A. R.). CAPITAINE TRÉSORIER

PORTE-ÉTENDARD :

Jonnard (J. B. L.).

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Beylier (Y. C. A. H.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : Licht (A. E.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

EN 2e

:

D'Haranguier de Quincerot (F. A.).

N. CHEFS D'ESCADRONS: Orfaure de Tantaloup (C. P. A. L.). N. MAJOR : D'Adhémar (C. A. R.).

LIEUTENANT-COLONEL :

: Laurent (J. A.).

LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER : Maufras (L. E. C. CAPITAINE D'HABILLEMENT: Lassala (A.), lieutenant.

COLONEL :

F.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'INSTRUCTEUR :

(P. P.). CAPITAINE TRÉSORIER :

Chauffart (L. A.). Ragot (P. A.). Pierrot (J. E.).

Burck (I.).

LIEUTENANTADJOINT AU TRÉSORIER :

Boeschlin (L. T. A.).

CAPITAINE D'HABILLEMENT

:

Henrys


Ancelet (C. J.), lieutenant. MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Woirhaye (E. P.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : De Guenin (L. A. P.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Berque (J. J.). PORTE-ÉTENDARD :

EN 2e : Milon (J.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Brondy (A. C.

CAPITAINES COMMANDANTS :

A.). Poch (J. A. F.).

Michel (E. J. M. C.). Depied (T. J. M.). Haillot (C. W. R. H.). Houillon (A. C.). CAPITAINES EN SECOND : Mourey (P. M. E.), détaché à la

remonte. N. N. N. N.

MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Béchard (A. E.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE : Vallois (F.

P.).

Beno (C. J.). VÉTÉRINAIRE EN

1ER :

Bourdal (E.).

Boiret (L. A. L.). Schelameur (E. F.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Bernasconi (A. J. F.). —

EN 2e

:

CAPITAINES COMMANDANTS

:

Sajournin (V.).

D'Huteau (L.) (Sénégal). Jourdan (E.). . Lompré (J. V.). Barthélemy (O. C. G.). Malhomé (A. M. V.). CAPITAINES EN SECOND

:

Faudhil (B.).

Essaharaoui ben Laboudie.

Lemaitre (J. M. L.). Terras (J. A.), détaché à la remonte. Isman (J. P. M.), détaché à la remonte. Caillette de l'Hervilliers (E. H. J.). Lecoq (E. L.).

LIEUTENANTS EN PREMIER :

LIEUTENANTS EN SECOND :

Plantier (A.).

Uchan (A.). Botreau-RousselBonneterre (G. T. J.), détaché à l'école de cavalerie.

Largemain (H. E. M. R.). Camus (G.). Merle de la Brudière de la Veaucoupet (M. F. L. R.),

détaché à l'école de cavalerie.

Isman (H). Hue (M. L. C.). Cadet de Vaux (R. E.). Robillot (F. A.).

Innocenti (N. E.). Ourson (A. F. M.).

Bréant (P. L. M.). SOUS-LIEUTENANT :

Charton (G.).

Officiers de réserve. CAPITAINE :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Noël (D. M.). CAPITAINE D'HABILLEMEET : Berthélemy (F. E.).

Schemel (F. M.). Ollivier (H. A. L.). Besset (C. M. F. F.) (Sénégal).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER :

Saïd ben Lamara.

Compagnon (E. E.) (Sénégal). Meyer (F. T.), détaché au Soudan. Bellet de Tavernost (A. L.) (Sénégal). Rocas (A. C. A.). Deschamps (J. A.). LIEUTENANTS EN SECOND :

Fleury (H. A.).

Mohamed ben bel Kassem. Leroy (H. F. J.). Gervaise (A. M. L. F.). Belkassem ben Mortar. Abdelkader ben Abdelkader si Aly. De Pourcet de Sahune (P. M. J.) (Sénégal). Basset (M. R.) (Sénégal). Si Mohamed ben Bel kassem, dét. aff. ind. Ben Yussef ben Ramoun. Manier (E. T.). Brisson (R. H. C.). Perrier (G. J. V.) (Sénégal).

Grandin de Rambouville (M. C. P.).

N.

SOUS-LIEUTENANTS :

Gariot (C. A.).

Amayon (F. J. J.). Duminy (P. E.). D'Arnal de Serres (M. F.). Amiel (L. C. R.).

§ VI. SPAHIS. 1er

RÉGIMENT.

Dejussieu (E. M.). De Champeaux (G C. A.).

Audrain (G. J. C.). Mohamed ben Mahalli. Abdallah ben Mohammed. Mohamed ben Tabti.

SOUS-LIEUTENANTS :

El Amri ben Sekouan. Mahaud ben Mohamed Tahar. Hassen ben Ahmed.

Division d'Alger ; — à Médéah.

Gravier de Vergennes (H. J. P.). CHEFS D'ESCADRONS : De la Panouse (H. C. A.). Ducuing (J. M. dit Marchand). MAJOR : De Vialar (H. E.). CAPITAINE TRÉSORIER : Villy (J. E.).

2e RÉGIMENT.

COLONEL :

Division d'Oran ; — à Sidi-bel-Abbès. COLONEL :

Blanc (H.).

CHEFS D'ESCADRONS : Noël (E. A.).

De Balthazar de Gachéo (G. P.).

.


MAJOR

:

3e RÉGIMENT.

Gauthier (E. F. M.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONSDE TRÉSORIER :

Lassibille

(C.).

De Mandat de Grancey (G. G. C.). CHEFS D'ESCADRONS: Boutavy (H. H.). Foule (E. P.). MAJOR : Dulrey (J. F.). CAPITAINE TRÉSORIER : Noël (J. N.). LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER : Daget (I. J. B.). CAPITAINE D'HABILLEMENT: Montey (F.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Chenet (J.). MÉDECIN AIDE-MAJOR 1RE CLASSE : De Vernejoul (J. L. G.). Blanc (J. H. R.). COLONEL :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Maillard (A.).

LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT

Division de Constantine ; — à Batna.

:

Lafaille (L.

M. P.).

MÉDECIN-MAJOR 2E CLASSE :

Grognot (P. A.).

Chauzeix (L. A.). VÉTÉRINAIRE EN 1er : Pénaux (A. F.). EN 2E : Lacarde (F. J. E. F.). — AIDE-VÉTÉRINAIRE : Plouvier (J. J. B. J.). CAPITAINES COMMANDANTS : Baudouin (J. A.). Baudry-Lacantinerie (M. J. C. T.). Lambert (J. B.). Vallet (A. E.). Versigny (C. L. E.). Bressel (E. F. N.). CAPITAINES EN SECOND : Penet (J. A.), détaché à la remonte. Bourdin (L. A.), détaché à la remonte. De Fayolle (J. B. A. R.). Talmant (T.). N. MÉDECIN AIDE-MAJOR 1re CLASSE :

:

EN 2e :

Chauvrat (J. J.).

Griffault (H).

Machcnaud (D.). CAPITAINES COMMANDANTS Delaporte (J. H. E.). :

AIDE-VÉTÉRINAIRE :

Carré (E. A. E.). D'Auribeau (A. A. E. L. G.). Maurer (J. B.). Momamed ben Amar. Buron (E.). CAPITAINES EN SECOND

:

Doudiès (J.), détaché à la re-

monte. Manière (C.). Genvot (J. V. C.).

N. LIEUTENANTS EN PREMIER

Brahmi Elhachemi ben Mos-

:

tefa ben Abdallah. Mohamed ben Khouty ben Ez Eddin.

Mamar ould ben Aïssa. Desbaines (F. L. A.). Baron (F. E. N.). Wamet (J.). LIEUTENANTS EN SECOND

:

Mohamed ould Ahmed.

Bru (J.). Mohamed ben Moussa.

Maamar ben Manoun. Rolle (L. II. IL). Sisson (M. A. V.).

Qada. Deschamps (Y. M. G. R.). Mohamed ben Atafi. Meyer (E. V.). Friol (M. J. A.).

Brouard (C. E.). Cailleteau (A.). Toulat (A. M.). Bayon (A. M. S. H.). De Langlois (M. J. B.). SOUS-LIEUTENANTS:

VÉTÉRINAIRE EN 1er

Mohamed ould el Habib.

Mohamed ben Taïeb. Abdelkader ould el Milhoud bel Hadj Aly. Taïeb ben el Hadj. Ibrahim ben Ahmed. Khaznadar (B.). Barbara de Labelotterie de Boissezon (C. M. I.).

Sm'aïn ben Abdrackman. De Fitz-James (J- G. S.). Noël (L. A.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Saïri

Ali ben Mohamed ou Zenati.

ben Mustapha.

Imbert (F.). Taïeb ben Lakhal. Groussel (F. L. J. Q.). Bobinot de la Pichardais (L.). LIEUTENANTS EN SECOND : Rahal ben Ahmed. Muller (G. J.). Humann (A. J. R.), officier d'ordonnance. Martenot de Cordoue (C. G. E.). Lemenouar ben si Hamou. El Khediri ben Brahim. Boidron (C. G.), détaché à la remonte. Trapes (J. L.). Chassaigne (P. M. J.). Colson (J.).

Durand (A. H. V.). Trial (M. A. P. L.).

Avet (C. P. E.).

Mohamed ben Messaoud ben Salem. Larby ben Ahmed ben el Hadj Ali. Si el Khatib ben M'Hammed ben Saïd.

SOUS-LIEUTENANTS:

Si Ali ben Omar. Ben Hena ben Kouïder ben Laïd.

El Oucif ben Maamar. Saïd ben el Arbi ben el Maouch. Marcel (A. J.). Mustapha ben Abdallah ben Abdelkader ben Daoud.


Ahmed ben Medjaad ben Sliman ben Haouas el

Mohamed ben Moussa. Ahmed ben Aïssa.

Ouzeghari.

4e RÉGIMENT. Brigade d'occupationde Tunisie, à Sfax. LIEUTENANT-COLONEL :

Gaillard de Saint-Germain (C.

De Pindray d'Ambelle (P. E. O.). Charvet (M. J. H.). Cotton d'Englesqueville (R.). ' Mohamed ben el Hadj Bou Zid ben Abdelkader el

Mokrani.

M. R.).

Decobert (V. E. J.). De Beauquesne (A. H. R. A.).

CHEFS D'ESCADRONS : MAJOR :

OFFICIERS GÉNÉRAUX DE CAVALERIE.

Droulin (S.).

CAPITAINE TRÉSORIER :

LIEUTENANT ADJOINT AU TRÉSORIER :

Germond (C.. E.

J. L.). LIEUTENANT FAISANT FONCTIONS D'OFFICIER D'HABILLEMENT : Toulouse (J. F.). MÉDECIN-MAJOR2e CLASSE : Mons (A. MÉDECIN AIDE-MAJOR

1RE

CLASSE :

J. B. L.).

Maison (T. P.).

Rivière (G.). VÉTÉRINAIRE EN 1er :

Borel (J. C.).

EN 2e : Fray (J.). AIDE-VÉTÉRINAIRE : Groslambert (H. C.

CAPITAINES COMMANDANTS :

E. J.). Rochebillard (J. N.).

Pellegrin (V.). Méniolle de Cizancourt (C. M. E.). Noirel (J. F. A. G.). Moulinas (J. M. I.). CAPITAINES EN SECOND : Boulanger (F. A.), détaché à la remonte. Norlain (A. T. A.), détaché à la remonte. Piogey (P.), détaché à la remonte. Gaillard-Bournazel (J. B. F. P.), détaché à la remonte. De Jourdan (M. A.). LIEUTENANTS EN PREMIER :

Guillaud (M.P. A.).

Dumas (A. I.). Remoussenard (C. F. L.). Rivart (G. C. E.). Guilhamat (J. A.), détaché à la remonte. Crouseilles (B. M. M. P.). Van Cauwenberghe (E. E. M.), détaché à l'École de

LIEUTENANTS EN SECOND :

cavalerie. Arago (F. J. R.). Martin (T.).

Jullien (A. F. M. J.). Moussouri (J. P.). Rubino de Barazia (A H. J.). Giuntini (A. J.). Bossuot (L. V.). Courtois (L. A.). Gersbach (V.). Hunebelle (L. P. A.).

Durand (F.). Ruffier (G. L.). SOUS-LIEUTENANTS :

Mohammed ben Abdallah ben el Hadj

Ahmed el Mokrani.

MM. de Gallifet (3 mai 1875), membre du Conseil supérieur de la guerre. Ins-

GÉNÉRAUX DE DIVISION :

Vallet (G. J.).

pecteur d'armée. De Viel d'Espeuilles (25 septembre 1877), comman-

dant la 4e division de cavalerie. Cramezel de Kerhué (25 septembre 1881), commandant le 8e corps d'armée. Despetit de la Salle (11 janvier 1887), inspecteur général du 1er arrondissementde cavalerie. Grandin (11 janv. 1887), inspecteur générait du 4e arrondissement de cavalerie. Bonie (12 octobre 1887), commandantla 1re division, de cavalerie. Baillod (7 juillet 1888), inspecteur général des remontes. Des Roys (29 mars 1889), inspecteur général du

arrondissement de cavalerie. Bignon (6 mai 1889), inspecteur général du 5e arrondissement de cavalerie. De Jessé (5 octobre. 1889), commandant la 5e divi3e

sion de cavalerie.

Baron de Cointet (15 avril 1890), commandant la 2e division de cavalerie. Lafouge (22 décembre 1890),

commandant la 3e di-

vision de cavalerie. Laveuve (28 octobre 1891), commandantla cavalerie d'Algérie. Lenfumé de Lignières (29 décembre 1891), commandant la 6e division de cavalerie. GÉNÉRAUX DE BRIGADE :

Prince Murat (14 juillet 1870),

disponible. Comte Duhesme (12 juillet 1884), inspecteur général (intérim) du 2e arrondissement de cavalerie. Jacquemin (27 décembre 1884), inspecteur général (intérim) du 6e arrondissement de cavalerie. Danloux (24 octobre 1885), commandantla brigade de cavalerie du 9e corps d'armée. Braun (2 février 1886), commandant la 6e brigade de cuirassiers. Le Guern (20 mars 1886), commandant la brigade de cavalerie du 11e corps d'armée. Renault-Morlière (6 juillet 1886), commandant la brigade de cavalerie du 2e corps d'armée. Baron Faverot de Kerbrech (14 octobre 1886), adjoint à l'inspecteur général des remontes.


Rapp (11 janvier 1887), commandant la 2e brigade de chasseurs. Baron Gosse de Sarlay (23 février 1887), commandant la 1re brigade de dragons. Rothwiller (21 octobre 1887), commandant la 5e brigade de dragons. De Sesmaisons (5 novembre 1887), commandant la 2e brigade de dragons. Roullet (7 février 1888), commandant la 1re brigade de cuirassiers. Lyonnard de la Girennerie (7 juillet 1888), commandant la 1re brigade de hussards. Le Lorrain (7 juillet 1888), commandant la brigade de cavaleriedu 15e corps d'armée. Noellat (21 décembre 1888), commandant la subdivision de Bone et les troupes de cavalerie stationnées dans la division de Constantine. Henry de Kermartin (21 décembre 1888), directeur de la cavalerie au ministère de la guerre. Bidot (29 mars 1889), commandant la brigade de cavalerie du 1er corps d'armée. Moreau-Revel (6 mai 1889), commandant la 2e brigade de hussards. Plessis (11 juillet 1889), commandant la brigade de cavalerie du 10e corps d'armée. Mennessier de la Lance (5 octobre 1889), commandant la brigade de cavalerie du 6e corps d'armée. De Lavigne (5 octobre 1889), commandant la subdivision de Medeah et les troupes de cavalerie stationnées dans la division d'Alger. De Briey (28 décembre, 1889), commandant la cavalerie du 12e corps d'armée. Colbert (15 avril 1890), commandant la 3e brigade de dragons. Besaucèle (15 avril 1890), commandant la brigade de cavalerie du 14e corps. Guerrier (15 avril 1890), commandant la 1re brigade de chasseurs. Aragonnès d'Orcel (12 juillet 1890), commandant la 5e brigade de cuirassiers. Dulac (26 octobre 1890), commandant la 3e brigade

de hussards. Haubt (26 octobre 1890), commandantla 3e brigade

de cuirassiers. De Salles (26 octobre 1890), commandant la brigade bis du 6e corps d'armée. Lacoste de l'Isle (22 décembre 1890), commandant la 4e brigade de cuirassiers. Guerin d'Agon (21 mars 1891), commandantla brigade de cavalerie du 5e corps d'armée. De Boysson (11 juillet 1891), commandant la brigade de cavalerie du 17e corps d'armée. Massiet (11 juillet 1891), commandant l'École d'application de cavalerie.

Marin (11 juillet 1891), commandant la brigade de cavalerie du 3e corps d'armée. Bousson (28 octobre 1891), commandant la brigade

de cavalerie du 13e corps d'armée. De Benoist (28 octobre 1891), commandant la brigade de cavalerie du 16e corps d'armée. Metsinger (28 octobre 1891), commandant la subdivision d'Oran et la cavalerie stationnée dans la division d'Oran. Descharmes (29 décembre. 1891), commandant la 2e brigade de cuirassiers. Jeantet (29 décembre 1891), commandant la brigade de cavalerie du 4e corps d'armée.

COMITÉ TECHNIQUE DE LA CAVALERIE.

le général de division Loizillon, commandant le 1er corps d'armée. MEMBRES : MM. Bonie, général de division. PRÉSIDENT : M.

Baillod,

— —

De Jessé,

Bruyère, — Renault-Morlière, général de brigade, Baron Faverot de Kerbrech, — Rothwiller, — Lebrun. — SECRÉTAIRE: De Lestapis, lieutenant-colonel du 2e hus-

sards.

SECTION TECHNIQUE DE LA CAVALERIE. CHEF :

De Lestapis, lieutenant-colonel.

capitaine au 6e cuirassiers. Bonnin de la Bonnimère de Beaumont, capitaine au

MEMBRES : Heck,

cuirassiers. Maurice, vétérinaireprincipal de 12e

Charon, Foucher,

1re

— —

François, vétérinairee en

1er

au

227e

classe.

dragons.

Courtès-Lapeyrat, officier d'ordon, nance du Président de la République. De La Motte Ango de Flers, capitaine au 3e cuirassiers, officier d'ordonnance du Ministre de la Guerre.

CHEF D'ESCADRONS :


CHAPITRE VIII HOLLANDE


1°L'armée régulière, STAANDE 2° La

LÉGER

;

MILICI-SCHUTTERIJ (réserve) ;

La LANDSTORM. En principe, chaque citoyen doit le service militaire pendant cinq ans, à partir de l'âge dedix-neuf ans, le remplacement et la substitution étant admis jusqu'à ces derniers temps. Une nouvelle loi est proposée qui créerait le service personnel avec une durée de vingt ans, huit dans l'armée active, cinq dans la landwehr et sept dans la réserve. Avec l'ancien régime, l'armée permanente se compose des cadres et de volontaires. Lorsque le nombre de volontaires est insuffisant, le tirage au sort vient y suppléer. Dans la cavalerie, la durée du service est de deux ans, après lesquels les hommes ne sont plus astreints qu'à une période de manoeuvres d'une durée d'un mois, dans la troisième année. Le cadre de caporaux et de sous-officiers est recruté parmi des jeunes gens qui peuvent justifier d'une certaine instruction,et qui bénéficient alors d'une réduction de trois mois, s'ils le désirent. Ils peuvent, d'un autre côté, contracter des rengagements variant de un à douze ans. Les diverses écoles militaires destinées à assurer l'instruction et le recrutement des sous-officiers et des officiers sont : 1° L'École des pupilles, pour les fils de militaires ; 2° Les Écoles de Kampen et de Bois-le-Duc, où sont envoyés les sous-officiers qui aspirent au grade d'officier. L'École de Bois-le-Duc est affectée à la cavalerie ; 3° L'École militaire à Haarlem, d'où les élèves sortent sous-lieutenants ; 4° L'Académie militaire, à Breda, d'où les élèves sortent lieutenants en second; 5° L'École de guerre, à la Haye, qui fournit les officiers de l'état-major ; 7° L'École vétérinaire à Utrecht ; 8e Les écoles de tir. La cavalerie néerlandaise compte : 1° 3 régiments de hussards, chaque régiment a 5 escadrons de guerre et 1 escadron. de dépôt ; 2° escadron d'ordonnances ; 3° l'école d'équitation et de maréchalerie, à Amersfoort ; 4° un dépôt de remonte à 3°

Miligen.

l

Chaque escadron de hussards compte : 1 capitaine, 4 lieutenants, 1 sergent-major, 8 sergents, 1 fourrier, 16 caporaux, 4 trompettes, 2 maréchaux ferrants ; 1 sellier, 190 cavaliers et 130 chevaux. Ce qui fait, pour les 3 régiments, en comptant les 14 officiers, 42 hommes et 20 chevaux de l'état-major, 132 officiers, 3.825 hommes, 2.469 chevaux, 24 voitures. L'escadron d'ordonnances destiné à fournir, en campagne, des cavaliers d'ordonnances aux quartiers généraux, comprend : 1 capitaine, 4 lieutenants, 1 sergent-major, 8 sergents, 1 fourrier,


hussards

trompettes, 2 maréchaux ferrants, caporaux, 4 et 130 chevaux. 1 sellier, 100 tation, commandée par un capitaine, L'école d'équicomprend : 1 lieutenant instructeur, 1 capitaine 1 fourrier, 1 sergent 1 adjudant, 1 seret 25 hussards volontaires. maréchal ferrant est armée de la carabine RemingLa cavalerie ton-Vitelli et du sabre. Les sousofficiers et les trompettes ont le revolver. La cavalerie coloniale régulière se compose d'un seul régiment qui comprend : un état-major, 4 escadrons de guerre et 1 de dépôt, plus un détachement stationné à Makassar. L'état-major compte : 1 colonel ou lieutenant-colonel, 1 major, 2 lieutenants-adjudants, 2 adjudants sous-officiers, 1 fourrier, 1 trompette, 2 caporaux maîtres-ouvriers. Les escadrons sont composés de 7 capitaines, 21 lieutenants, 56 sous-officiers, 57 caporaux, 10 trompettes, 4 maréchaux ferrants, 3 selliers, 44 cavaliers de 1re classe, 263 cavaliers de 2e classe, tous Européens; et, comme indigènes, 13 sergents, 36 caporaux, 11 trompettes, 2 maréchaux ferrants, 3 selliers, 47 cavaliers de 1re classe et 310 de 2e classe. L'effectif en chevaux est de 66 pour les officiers et 700 pour la troupe. 16

ins¬tracteur, gent-major,



CHAPITRE IX ITALIE

jeune armée italienne brûle du désir de cueillir quelques lauriers ; légitime et louable ambition ! À ceux qui leur citent les noms de Marignan, Marengo, Rivoli, Magenta, Solferino, et celui de Napoléon, comme ayant peut-être quelque notoriété, les Italiens répondent qu'en effet ces noms ne leur sont pas inconnus, mais que d'autres : Aspromonte, Garibaldi et Bixio sont au moins aussi illustres. Simple affaire d'optique. Leurs alliances leur permettent, du reste, d'avoir constamment comme point de direction une nation où les qualités militaires passent aussi pour être assez sérieuses, et, nul doute que, le temps et le bon exemple aidant, ils n'arrivent à acquérir et les aptitudes et l'aldure guerrière qu'ils sont très excusables de ne pas posséder encore. Comme importance numérique, la cavalerie italienne marche après l'Espagne et la Turquie, mais avant la Suisse, la Belgique et le Danemark. Elle ne compte en effet que 24 régiments. Ces régiments, numérotés de 1 à 24, se répartissent en 3 subdivisions d'armes qui sont : 4 régiments de lanciers lourds, de 1 à 4 ; 6 régiments de lanciers légers, de 5 à 10 ; 14 régiments de CAVALLEGIERI (chevau-légers), de 11 à 24. Ces régiments, sur le pied de guerre, peuvent donner un total de : 1.080 officiers, 25.752 hommes, 20.880 chevaux. (Loi du 8 mars 1888.) A


Voici ; du

reste, les noms particuliers de chacun de ces régiments

Nos DES RÉGIMENTS.

1er

régiment.

2° 3e 4e 5e 6e

— — — — —

7e 8e 9e 10e

NOMS DES RÉGIMENTS

NOS

Nice.

13e 14e 15e 16e

Piémont. Savoie.

17e

Gênes.

Aoste. Milan. Montebello.

19e

20e 21e

Florence.

— —

Victor-Emmanuel.

12e

11e

Foggia. Saluces.

22e 23e

24e

NOMS DES RÉGIMENTS.

régiment. — — —

18e

Novare.

DES RÉGIMENTS.

:

— —

— — — —

Montferrat. Alexandrie. Lodi. Lucques. Caserte. Plaisance. Guides. Rome.

Padoue. Catane. Umberto. Vicence.

Les 24 régiments sont groupés en brigades comprenant 2, 3 et même 4 régiments,

ainsi que le montre le tableau suivant : BRIGADES DE CAVALERIE. Nos DES

BRIGADES.

SIÈGES

DES COMts

DES BRIGADES.

NOMBRE

RÉGIMENTS.

GARNISONS DES RÉGIMENTS.

DE

Nos DES RÉGIMENTS.

un

1e

Turin.

2e 3e

Alexandrie.

2 3

Milan.

4

4e 5e

Vérone. Padoue.

6e 7e

Bologne.

2 2 3 3 3 2

8e

9e

Florence. Caserte. Naples.

10e,

Turin, Verceil. Voghera, Saluces. Milan, Lodi, Brescia. Vérone, Vicence. Padoue, Udine. Bologne, Faenza, Parme.

Florence, Lucques, Rome.

Naples.

Caserte, Capoue, Aversa. Nola,

15e. 7e,

2,

12e. 1er, 8e, 4e, 5e. 3e, 13e. 16e.

20e, 22e, 14e, 17e. 6e, 23e, 11e. 24e, 18e, 19e. 9e, 21e.

Le régiment italien compté 6 escadrons actifs, plus une fraction de dépôt. Chaque escadron se divise en 4 pelotons. L'effectif réglementaire de l'escadron en temps de paix est de : 4 officiers, 165 hommes; 5 chevaux d'officiers, 145 chevaux de troupe. Sur le pied de guerre, chaque escadron doit donner 150 sabres en chiffres ronds.


Les cadres d'un régiment sur le pied de paix sont ainsi décomposés COLONEL. 1 LIEUTENANT-COLONEL.

2

MAJORS.

8

CAPITAINES.

24 1

LIEUTENANTS ET SOUS-LIEUTENANTS.

CAPITAINE MÉDECIN.

LIEUTENANT 1 CAPITAINE

ou

SOUS-LIEUTENANT

médecin.

vétérinaire. vétérinaires.

2 2 2

LIEUTENANTS ou SOUS-LIEUTENANTS comptables.

3

FOURRIERS-MAJORS.

8

FOURRIERS

LIEUTENANTS OU SOUS-LIEUTENANTS CAPITAINES

comptables.

d'escadron et de comptabilité. 3 SOUS-OFFICIERS de majorité. 1 SOUS-OFFICIER trompette. 1 Sous-OFFICIER sapeur. CHEF ARMURIER.

1

32

SERGENTS

d'escadron et de comptabilité.

15 CAPORAUX-MAJORS.

12

CAPORAUX-FOURRIERS d'escadron

et de comp-

tabilité. 2 CAPORAUX TROMPETTES. 6

CAPORAUX SAPEURS.

54 CAPORAUX de majorité et d'escadron. 6 CAPORAUX ferrants. 72 CAVALIERS de 1er classe. 26 48

TROMPETTES. SAPEURS.

En général, les aspirants au grade de sousofficier s'engagent dès l'âge de dix-sept ans, ou au moment de l'appel de leur classe, dans des pelotons spéciaux créés dans différents corps (au

:


nombre de 8) de cavalerie. Les engagés doivent rester au moins cinq ans sous les drapeaux. La durée de leur instruction est de vingt mois. Au bout des six premiers mois, ceux qui satisfont aux examens sont nommés caporaux-majors; ceux dont les notes ne sont pas suffisantes sont renvoyés dans des régiments de cavalerie comme simples soldats. Au bout des vingt mois de cours, ceux dont les notes sont satisfaisantes sont nommés sergents et répartis dans les corps de l'armée. Le corps des officiers se recrute pour un tiers parmi les sous-officiers, après que ceux-ci, proposés pour l'épaulette, ont suivi le cours de l'école des sous-officiers de Caserte. Les deux autres tiers proviennent de l'ECOLE MILITAIRE DE MODÈNE. Après avoir suivi les cours de l'école et subi avec succès les examens de sortie, les officiers de cavalerie vont perfectionner leur instruction spéciale à l'ÉCOLE

DE CAVALERIE DE PIGNEROL.

L'avancement a lieu exclusivement au choix pour les grades supérieurs, à partir de celui de major; pour les grades inférieurs, l'avancement a lieu partie au choix et partie à l'ancienneté. L'ancienneté ne confère pas, du reste, le droit absolu à l'avancement, car des commissions, composées d'officiers d'un grade supérieur, notent annuellement chaque officier; et, si ces notes déclarent que l'intéressé n'est pas digne de l'avancement, il reste maintenu dans son grade. Chaque échelon de la hiérarchie, jusqu'au grade de capitaine inclusivement, n'est franchi qu'après avoir passé un examen réglementaire. En outre, les capitaines qui ont passé à l'école supérieure de guerre, et ont subi avec succès les examens de sortie, ont droit à l'avancement au choix pour le grade de major.


GUIDES DE MURAT ; ROYAUME DE NAPLES, 1812.



TROUPE.

La loi de recrutement qui régit l'Italie, au point de vue militaire, date du 8 mars 1888. Elle stipule que tout homme valide doit le service militaire depuis l'âge de vingt ans révolus jusqu'au 31 décembre de l'année où il atteint l'âge de trente-neuf ans révolus. Il n'existe aucune exemption de service, même pour le clergé. Les contingents affectés à la cavalerie sont formés avec les numéros les plus bas du tirage au sort, jusqu'à concurrence du chiffre nécessaire, et sans tenir compte des aptitudes physiques des conscrits. Les hommes appelés à servir dans la cavalerie restent quatre ans (1) sous les drapeaux, puis sont mis en congé jusqu'àl'expiration de neuf années et demie de service. Les hommes ainsi mis en congé demeurent, pendant tout le temps de leur séjour dans cette réserve, à la disposition du ministre de la guerre, qui peut les convoquer,pour des exercices ou manoeuvres périodiques, à des dates et pendant des laps de temps variables et limités surtout par l'état des finances du pays. Les étudiants des universités peuvent obtenir des sursis jusqu'à l'âge de vingt-six ans, mais ils doivent alors verser une somme de 600 francs au Trésor, à titre de garantie. Les jeunes gens qui sont admis à faire leur volontariat d'un an doivent verser, pour la cavalerie, une. somme de 1.600 francs. Les rengagements sont de deux sortes : de un, an sans prime et de trois ans avec prime. La prime se compose d'une rente annuelle de 150 francs. REMONTE.

Les chevaux destinés

à l'armée

sont achetés par les soins du service des Remontes et sont conservés dans (1)

L'infanterie ne fait que trois ans de présence.


les DÉPÔTS jusqu'à ce qu'ils soient en état d'être utilisés par les corps de troupe. Il existe actuellement six dépôts de remonte : Bonorva en Sardaigne, Scordia en

Sicile, Grosseto, Persano, Palmanova, Porto-Vecchio, dans la Péninsule. On compte généralement que l'effectif de la cavalerie sur le pied de paix est de 22.000 chevaux.

Les officiers, jusqu'au grade de capitaine inclusivement, reçoivent un cheval de l'État ; les autres officiers doivent se pourvoir à leurs frais, avec la faculté de choisir un cheval dans le corps de troupe. La durée moyenne du cheval de guerre étant évaluée à dix ans, la remonte annuelle varie entre 4 et 5.000 chevaux. La production chevaline du pays est si faible qu'il faut presque chaque année, pour atteindre le chiffre des animaux nécessaires, en acheter une grande partie à l'étranger. L'Italie est un des pays les plus pauvres de l'Europe en fait de chevaux, et les races qu'elle produit sont fort peu estimées. Il est juste cependant d'ajouter que depuis quelques années il est fait de louables efforts pour régénérer les races au moyen de croisements et de soins plus judicieux admis à l'élevage. En cas de mobilisation, les chevaux seraient procurés à la cavalerie par voie de réquisition. On compte qu'il faudrait trouver environ 120.000 chevaux pour mettre les régiments sur le pied de guerre. La loi de conscription des chevaux est du 30 juin 1889 ; elle stipule que les communes, par les soins du maire, tiendront à jour un contrôle des animaux existants, l'autorité militaire pouvant, chaque fois qu'elle le juge nécessaire, se rendre compte des ressources du pays, au moyen de revues. C'est, du reste, le ministre de la guerre qui


fixe tous les ans le nombre de chevaux que la commune devrait fournir en cas de mobilisation.

En outre de la réquisition générale, pour laquelle l'Italie est divisée en 261 circonscriptions, il existe encore ce qu'on appelle la PRE-

CETTAZIONE.

Cette dernière est la réquisition dont certains corps désignés de-

vraient faire usage, dans une zone assignée, autour de la garnison, pour se procurer le complet en chevaux. A cet effet, une commission composée d'officiers du corps, choisit ceux qui devraient être immédiatementlivrés par les propriétaires, auxquels on remet, dès le temps de paix, des ordres personnels de réquisition valables pour un an, mais pouvant être renouvelés. Cette hypothèse se réalisant, il serait remis à chaque propriétaire dépossédé une somme de 100 francs, en plus du prix auquel l'animal livré est estimé. En cas de guerre, les pelotons d'escorte ne seraient pas, comme dans les autres nations, fournis par la cavalerie. C'est au corps des carabiniers (gendarmerie) qu'incomberait ce service, auquel il pourvoirait par des détachements intitulés GUIDES.

MOBILISATION GÉNÉRALE.

Il est probable qu'en cas de mobilisation, chacun des douze corps d'armée aurait un régiment de cavalerie, devenantainsi cavalerie divisionnaire. Les douze régiments restant groupés par divisions de quatre régiments et auxquelles seraient attachées deux batteries à cheval, de sept, formeraient trois divisions de cavalerie indépendantes. Les équipages régimentaires se composent : de six fourragères à quatre chevaux, quatre forges, huit voitures pour les bagages, une voiture pour le service de l'ambulance régimentaire et une voiture de cantinier. En outre des deux jours de vivres transportés par les convois de subsistances, chaque cavalier porte dans son paquetage deux rations d'avoine, deux jours de bis¬


cuits et de conserve de viande et trois jours de sel, de sucre et de café. Comme armement, les dix premiers régiments ont une lance du poids de 2k,55 et de 2m,95 de longueur, un mousqueton à magasin Wetterli-Vitali, à baïonnette rentrant dans le fût de l'arme comme lune baguette, et le sabre suspendu à la selle. Les autres régiments n'ont pas la lance. En campagne, les régiments qui ont le talpak le recouvrent d'un manchon blanc. Le signe du service pour les officiers de tout grade et de toutes armes est une écharpe de soie bleue à franges d'argent portée en bandoulière sur l'épaule droite, et sur d'épaule gauche pour les officiers attachés à l'état-major. Terminons cette rapide esquisse de la cavalerie italienne en disant que, malgré le goût contestable qui a présidé à la coupe de leur uniforme, beaucoup d'officiers italiens ont une assez bonne prestance; ils n'en ont évidemment que plus de mérite.


PRINCIPAUX OFFICIERS

DE LA CAVALERIE ITALIENNE EN 1892

INSPECTEUR GÉNÉRAL DE LA CAVALERIE. MAJOR GÉNÉRAL :

F. Longhi.

F. Carta-Mantiglia.

COLONEL : S. Majnoni d'Inlignano. CAPITAINES-ADJOINTS: O. Ponza di S. Martino.

G.

Avogadro di Collobiano. G. Baldoni. V.

L. Quarti.

Scarcia.

3e RÉGIMENT « SAVOIE »,

1er RÉGIMENT DE CAVALERIE

«

NICE », à

MILAN.

F. Constantin.,

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONEL

LIEUTENANT-COLONEL : MAJORS :

E. Oberty.

E. Fossati Reyneri

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONEL

LIEUTENANT-COLONEL: C. MAJORS :

A. Olea.

V. Visetti.

Prati.

G. Benzoni.

R. Viti. E. Mazza. O. Garducci.

G. CengiaBevilacqua. C. Parrochetti.

F. Focchessatti.

F. Bianchini. F. Rosaglio.

L. Bazzoli. D. Lecca.

C. Gemelli.

C. Omati. G. Buronzo.

J. Guidi.

A. Traversan, A. Sacchetto.

G. Alessio.

A. Cattani.

2e RÉGIMENT

«

ROYAL-PIÉMONT

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONEL G.

»,

à

4e RÉGIMENT « GÊNES »,

TURIN.

Gennari.

L. Serra. V. Coardi-Bagnasco di Carpenelo. F. Magliano. V. Cavigliani.

CAPITAINES :

Ferrutti.

A. Fecia dei conti di Cossato.

à LODI.

F. Vicino Pallavi

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONEL

cino.

P. Patriarcha.

G. Ricchetta di Val Gloria. C. SanminiatelliLabarella.

G.

Cerrina.

F. Mangano.

CAPITAINES :

L. Greppi.

MAJORS :

VÉRONE.

G. Castelli.

M. Tarantino.

CAPITAINES : C.

à

LIEUTENANT-COLONEL :

F. Bottini.

N. Giaconia. Morra di Carpenea.

MAJORS :

V.

CAPITAINES :

S. Molinari.

I. Ferrari. G. Spada. G. Felissent.

L. Fracassi.


M. Terriera.

F. Orsatti.

Durini.

T. Eula.

G.

L. Bianco di S. Secondo. V. Litta Modignani. D. Nocelli. G. Galbiati. P. Marchetti. A. Togneri. 5e RÉGIMENT

B. Pronolto.

P. Degiorgis. G. Tison. 8e RÉGIMENT « MONTEBELLO », COMMANDANT

NOVARE », à BRESCIA.

«

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONELL.

LIEUTENANT-COLONEL:

Beria.

A. Matioli Alessandrini.

M. Mollea.

MAJORS :

F. Micchieli.

CAPITAINES :

C.

:

LIEUTENANT-COLONELA.

LIEUTENANT-COLONEL:

Garrino. A. Framarin. E. Dias.

CAPITAINES : G.

P. Nanizzi.

N. Pirozzi.

G.

Târhassi,

C. Bellofatto. A. De Betta.

B.

Fabi.

G.

Perassi.

A. Sarti. A. Piazza.

G. Bernabei. 9e RÉGIMENT « FLORENCE »,

Scaldara.

P. Narra.

E. Sapelli di Capri-

glio.

*6e RÉGIMENT « AOSTE », à FLORENCE. COMMANDANT : COLONEL

E. Frigerio.

Corradini.

: C. Nunziante di Mignano.

G. Ruspoli.

E. Bogianchino. de Corné.

L. Meschieri.

Rossi.

L. de Feo.

G. Guaragua. G.i Giganle. G. Lucio. U. Raspi.

A. Matoli. A. Fimiani.

D. Paoletti. G. Dainesi.

C. Mazzotla.

P. Tocci. o. Cherubini Giammaroni. B. Rondo. F. Faccio, M. Rabbaglietti.

COMMANDANT : COLONEL L.

L. Gorga. E. de Merich.

RÉGIMENT « MILAN

10e RÉGIMENT « VICTOR-EMMANUEL », COLONEL : »,

à

Colomberi.

M. Oddenino.

VOGHERA.

MAJORS

A. Sucisa di Camerana.

: G. Desderi.

C. Guglielminetti. G.

Santi.

CAPITAINES :

A. Incisa di

De Gennaro.

L. Viale.

P. Barattieridi San Petro.

L. Rinaldi. I. Scoria di Calliano.

CAPITAINES : G.

Bianchi d'Adda.

E. Migiarra. P. Pace.

S. Orsi-Bertolini.

MAJORS :

MAJORS :

CAPITAINES :

A. Brancaccio.

7E

LIEUTENANT COLONEL : M. M.

LIEUTENANT-COLONELG. Gallo.

P.

à NOLA.

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONEL

S. Constanza.

CAPITAINES

F. Grimain.

M. Quercia.

G. De Pinedo.

G.

Frigerio.

A. Lazzoni.

G. Solina.

Cerri Gambarelli.

MAJORS :

MARIA.

R. Pugi.

MAJORS :

T. Mibelli,

G.

à S.

Masseangeli.

R. Dapoli. L. Clivio. A. Aria.

F. Masi.

L. Binetti. T. Caviglia.

V. Bertola.

Camerana.

V. Ricca di Castelvecchio.

G. Cempini.

.

O. Rosso.

à

SALUCES.


CAPITAINE DU RÉG. DE GÈNES ; 4e DE CAVALERIE.



P. Alessandrini.

14e RÉGIMENT « ALEXANDRIE »,

L. Castelli. G. Cortona. 11e

a

FOGGIA », à ROME.

V.

Paldi.

Sangiust di Teulada.

F. Razzetti.

Pallavicino.

Lualdi. B. Leonardi. G.

R. Della-Croce.

Palieri.

S. Casetti. E. Cornellini.

L. Barbieri. A. Bozzi. G. Drago. R. Calcagno. L. Buonomo. C. G.

F. Stella.

A. Ricci. A. Losack.

G. Napodano.

C.

Parporassu.

E. Coardi Bagnasco di Carpeneto.

A. Fiore.

V.

G.

CAPITAINES :

Jaraczewski. LIEUTENANT-COLONEL: E. Lucini.

F.

Lomaglio. A. Bartolomei.

MAJORS : G.

RÉGIMENT

CAPITAINES : O.

G. Piccaluga. 15e RÉGIMENT « LODI », COLONEL : G.

Barsotti.

Crotti-Derossi di Costigliole. C. Gerbaix de Sonnaz. E. Rosina. CAPITAINES : F. Angeli. L. Sibilia. F. Marchetti.

à

SAVIGLIANO.

S. Del Frate.

LIEUTENANT-COLONEL: MAJORS :

A. Bonelli.

C. Ricci.

G. Bobbio.

A. Romani. CAPITAINES : G.

Valfri di Bonzo.

MAJORS :

12e RÉGIMENT « SALUZZO »,

L. Bernardi. G. Dalbuond. M. Lude di Cortemiglia.

Parvopasser.

T. Viola. A. Radicati di Marmonto. A Ré.

A. Marta. G.

E. AmatiSanchez. F. Tempesti. Turinetti di Priero. A. Jannon.

U.

13e RÉGIMENT « MONTFERRAT »,

G. Vivaldi-Pasqua.

F. Langoseo di Langosco.

à VICENCE.

de

Santis.

A. Padovani. B. SelvaticoEstense.

P. Pironti. A. Serra. V. de Raimondi.

Negri. G. Caraciotti. E. Ricciardi. G. Merli Miglietti.

E. Segreto.

G. Cerqua. G. Giunta.

L. Knoller.

B. Romanelli. A. Marrocco. N. Corte.

F. Monaco.

A. Rovere.

Gerundo. C. Boselli. M. Cerroni.

UDINE.

Gerbaix de Sonnaz. LIEUTENANT-COLONEL: B. Guglielminetti. MAJORS : S. Negro.

CAPITAINES : P.

F. Martin di MontuBeccaria.

à

COLONEL : G.

L. Drago.

P.

Baldini. 16° RÉGIMENT « LUCQUES »,

A. Maddaloni. F. Cacchione.

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONELC. MAJORS : Bondioli.

Fattori.

L. Morandi. G. Berio.

C.

G.

à VERCELLI.

Furlani.

COLONEL :

FAENZ,

Badicatidi Marmorito.

COLONEL : O.

COLONEL : G.

MAJORS :

à

17E

COLONEL : MAJORS :

RÉGIMENT

«

CASERTE », à

Crivelli Visconti.

A. Venkamin.

G. Cais

di Pierlas.

PARME.


E. Quercia.

F. Rossi.

G. Sansone.

G. Corapi. A. de Ligno.

L. de Capitani d'Arzago. L. Rizzotti.

O. G.

CAPITAINES : G.

Valle.

Willain. C. Belfante. E. Maggetta. M. Stragapede. C. Riberi.

E. Pedrazzoli. C.

Borsarelli di Riffredo.

L. Pontoglio. F. Messina. F. Gassi.

21e RÉGIMENT

G. Mastellone. 18e COLONEL : MAJORS :

Salvi.

RÉGIMENT « PIACENZA », à

MILAN.

E. Fornasini.

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONEL: MAJORS : A. Alvisi.

CAPITAINES :

A.

R. Falletti. CAPITAINES : Borron. C. Guidi. B. Premoli.

Cantamessa.

L. Leoni.

Fabri.

G. Langer.

A. Jonas. G. Veglio.

E. Longo. F. Vafri di Bonzo. F. Eydallin. P. Philippini.

E. Cerillo.

R. Strozzi.

A. Tripi.

G. Bernucci.

G. Lattes.

P. Coha.

G.

C. Botto.

G.

Pareti.

E. Riviello.

G. Cicerone. C. Ughi.

Laffuto. 22e RÉGIMENT

19e RÉGIMENT « GUIDES »,

à

NAPLES.

Dinda. E. Campanelli.

COLONEL :

«

CATANE », à LUCQUES.

L. Tosi.

LIEUTENANT-COLONEL : C. MAJORS : C.

COLONEL :

C.

PADOUE », à AVERSA.

G. Grillo. G. Palieri.

S. Giacomelli.

A. Viscini.

MAJORS :

«

Perelli.

Garino.

E. Toselli. CAPITAINES : G.

Luzzi.

Icard.

C. Costa Reghini.

Farina. CAPITAINES : E. Buono. D. Pironti. A.

P. Melloni. A. Giacometti.

A. del Re.

E. Appiotti.

G.

Cavalchini-Gorofoli. P. Gurgo di Castelmenardo.

E. da Barberino. E. Satta.

G. Mele.

G. Cappa Bava.

C.

Ciriaco. N. Vercellana.

E. Monelli. C. Pantasso.

M. Taglialatella.

G.

D. Giampa.

C. Michelangeli.

Ghisolfi.

A. Battaglia. V.

23e RÉGIMENT

Crespi. 20E RÉGIMENT « ROME »,

COLONEL : C. MAJORS : O.

Bosellini.

Lugli.

L. Libri. C. Sabbioni. CAPITAINES: C. V.

Cassata.

Guerra.

à

PADOUE.

COLONEL :

«

HUMBERT 1er

à

Asinari di Bernezzo.

LIEUTENANT-COLONEL: G. MAJORS :

»,

Dogliotti.

S. Neri Serneri.

L. Salvati. CAPITAINES : L. Valfre dei conti di Bonzo. C. Bosco. F. de Lieto.

A. Giolo.

ROME.


G. de Navasques.

A. Martelli. A. Blanchetti. A. Beneventano del Bosco. R. de Virgiliis. A. Ferri.

E. Bersetti. 24e RÉGIMENT COLONEL :

:

«

ESCADRON DE CAVALERIE

VICENCE », à CASERTE.

N. Ardito. Acerbo.

CAPITAINE :

Virgillii.

E. Pascale V. Lo Spoto.

«

KEREN ».

d'Antonio. ESCADRON

P. Salvadori.

N. Cappuccio. CAPITAINES : M. Morelli di popolo. C. de

Troupes d'Afrique.

CAPITAINE : G.

LIEUTENANT-COLONEL : G. MAJORS

Pinto. F. Ricciardi. G.

«

ASMARA ».

Stevenson.

ÉCOLE DE CAVALERIE DE PIGNEROL.

F.

COMMANDANT : COLONEL Avogadro di Quinto. COMMANDANT EN 2e : LIEUTENANT-COLONEL E. Pesenti. MAJOR :

F. Prinetti.

CAPITAINES : G.

G. Raspo.

G. Belleri.

L. Cocchiglia. A. Mascioli.

G.

A. Ratazzi.

F. Cougnet.

F. Medugno. F. Nasta.

G. Tinozzi. C. Tursini.

Nasi.

Bianchi-Mina.

G. Bosio.



CHAPITRE

X

Et le puissant souverain qui adresse à ses troupes ce salut familier, n'a qu'à faire un signe, à tirer< son sabre du fourreau, pour que demain, plus de 200.000. cavaliers galopent derrière leur empereur en criant :


«

légende pareille chevaliers-gardes,

Nous sommes heureux de faire bien pour Votre Majesté

»

!

Et quelle magnifique cavalcade, quelle fantastique chevauchée! Quel poème, quelle chanterontjamais le prestige de bravoure! Voici, les cuirassés et casqués d'or ; voilà les sards rouges et voici des dragonsverts ; ici des à la tunique bleue, là des grenadiers avec à chenille ! Et des ! Et encore cosaques! plus de 800 d'autres cavaliers, la d'Irkoutsk et celle de Krasnoïarsk, celles l'Oussouri et celles du Terek ! Les cavaliers du Daghestan et ceux de ! Les Turkmènes, Kars, de Batoum, de les Circassiens et les Et celuiqui les tous, celui qui dépasse l'armée de toute la le Tzar !

hushulans lecasque escadrons sotnia

de Soukhoum Les-ghines.

domine tête, c'est

la

dit Péters-bourg,

miaussi

D'autres États, M. de Vogüé, à propos d'une revue à peuvent s'enorlitaire qui vaut celle-ci : gueillir d'une force sienne sous des deaucune ne peut montrer hors aussi fastueux, pittoresques. » hussards de l'Empereur ; De tout temps, il faut Officier du régiment le dire, la cavalerie ruscités avec les éloges qu'ils se, les cosaques, ont été méritent, et si M. G. von Dewall, alors capitaine du 16e hulans, professeur à Potsdam, a écrit un peu témérairement peut-être ; « Nous saurons balayer ces hordes qui rappelleraient celles de Gengis-Khan » (1), le général de Brack, qui, lui, les avait combattus, les dépeint d'une tout autre façon dans ses Souvenirs : « Je vous ai cité les cosaques et vous les ai présentés comme des modèles parfaits ; j'appuie de nouveau sur ce que j'ai dit à cet égard. Quelques officiers qui n'ont pas fait la guerre, ou qui l'ont faite ailleurs qu'aux avant«

des

(1) Was haben wir von

der RussichenKavallerie zu erwarten ? brochure parue à Hanovre en 1884. — Helwing, éd.


TROMPETTES DES GARDES

A

CHEVAL.



postes, ont pris à tâche de ne parler de ces cavaliers qu'avec mépris : ne les croyez pas. « Demandezl'opinion que conservent des cosaques nos illustrations militaires, les maréchaux Soult, Gérard, Clauzel, Maison, les généraux Morand, Lallemand, Pajol, Colbert, Corbineau, Lamarque, Preval ; nos intrépides chefs, lés généraux Daumesnil et Farine, etc., tous les vrais officiers enfin : ils vous diront que des cavaliers légers qui, comme les cosaques, entourent l'armée d'un réseau de vigilance et de défense impénétrable, qui harassent l'ennemi, qui donnent presque toujours des coups et n'en reçoivent que fort peu, atteignent complètement et parfaitement le but que doit se proposer toute cavalerie légère. » Et le général Morand qui, lui aussi, était assez bien placé pour les approuver : «... C'est ainsi que la plus belle et la plus valeureuse cavalerie s'épuisa et se consuma devant des hommes qu'elle jugeait indignes de sa valeur, et qui cependant suffirent pour sauver l'empire, dont ils sont les vrais soutiens et les seuls libérateurs. » (L'Armée selon la charte.) Veut-on une appréciation, plus récente, sur ces hordes si facilement balayables, appréciation émanant encore d'un officier qui avait combattu les cosaques : « Pendant l'hiver de 1855-56, en Crimée, raconte un témoin oculaire (le colonel Guichard), nos troupes établies à Eupatoria voyaient constamment, en avant de leurs lignes d'avant-postes, un cosaque observant tous leurs mouvements, et plus loin une misérable petite tente abritant le poste qui le fournissait. Quand le corps d'armée se mit en marche, à peine nos têtes de colonne arrivaient-elles sur la ligne des grand'gardes, que de petit poste mon tait à cheval et se retirait, mais en se maintenant à portée de pistolet de la cavalerie turque, qui éclairaitla marche. Nous avancions, et la force de ce poste s'augmentait à mesure qu'il se repliait ; à un ou deux kilomètres, c'était déjà une sotnia ; plus loin trois ou quatre ; à huit ou dix kilomètres on trouvait onze escadrons de co-


saques et de l'artillerie en batterie, et les Russes se retirèrent en dehors de la portée de nos pièces. On reprit la marche, et le soir on bivouaquait en face de plusieurs brigades d'infanterie et de quarante escadrons de cavalerie. On se remit en mouvement le lendemain; vers la fin du jour on se heurta à une position hérissée de batteries et gardée par l'armée russe d'observation, laquelle, prévenue à temps, avait pu quitter le cantonnement et s'y déployer. Cette position parut tellement forte qu'elle ne fut pas attaquée ; le manque d'eau nous commandait d'ailleurs de faire retraite. Les Russes escortèrent notre départ de salves d'artillerie, puis, au fur et à mesure que nous nous éloignions, il semblait que leur armée, tout entière en mouvement au début, fondait insensiblement; de sorte qu'après être rentrés dans nos lignes, à Eupatoria, nous n'étions plus en présence que du petit poste, lequel avait dressé de nouveau sa misérable tente, et de l'éternel cosaque qui continuait à nous observer, à portée de fusil de nos sentinelles, comme s'il n'eût jamais bougé de place. » (Général Pierron, Méthodes de guerre, t. Il, p. 1628.) Nous avons parlé plus haut de plus de 200.000 cavaliers. En effet, la cavalerie russe, sans compter ni les dépôts, ni les troupes irrégulières, peutmettre sur le pied de guerre : 357 286

582

escadrons, garde et dragons; de cosaques du 1er tour, soit environ 96.000 hommes ; — — 2e et du 3e tour, soit environ 87.000 — —

1.225 escadrons.

183.000 hommes.

déjà assez respectables, puisque l'Allemagne n'en peut amener qu'environ 103.000, et l'Autriche 58.000, viendraient s'ajouter les troupes irrégulières, à cheA ces 183.000 hommes, forces

val : Les 2

l'Oussouri ; 1 SOTNIA d'Irkoutsk; Krasnoïarsk ; et toutes les milices locales 1 — de dont l'énumération serait longue : Du Terek, du Kouban, de Batoum, de Soukhoum, du Daghestan, etc., etc. Si, à l'aide d'une simple hypothèse, on ajoute aux 161.000 hommes que possèdent l'Allemagne et l'Autriche réunies, les 22.000 hommes que réunirait péniblement l'Italie, on trouve par SOTNIAS de


une très curieuse coïncidence un total de 183.000 cavaliers, d'ordre et de mérite très divers. Si encore poussant la fantaisie et continuant l'hypothèse, on veut bien se souvenir que la France pourrait peut-être, elle aussi, mettre quelques escadrons en ligne, on conclut mais tout cela n'est qu'hypothèse. que Pour rentrer dans la réalité, voyons comment se subdivise la cavalerie russe. En temps de paix, elle comprend : 22 divisions, 3 brigades indépendantes et 15 régiments non embrigadés. Les 22 divisions sont : 2 de la Garde, 15 de la ligne, 1 de Cosaques du Don, 1 mixte de Cosaques, 1 de Dragons du Caucase, 2 de Cosaques du Caucase. Les deux divisions de la Garde sont à 3 brigades chacune. La 1re division comprend : Chevaliers-gardes et Gardes à cheval formant la 1re brigade ; Cuirassiers de l'Empereur et Cuirassiers de l'Impératrice, 2e brigade ; Cosaques du Don de la Garde : régiment de l'Empereur et régiment de l'Ataman, plus 1 escadron de Cosaques de l'Oural de la Garde : formant la 3e brigade. La 2e division se compose de : 1re brigade : Grenadiers à cheval et hulans de la Garde ; 2e brigade : Dragons de la Garde et Hussards de l'Empereur; 3e brigade : Hulans de l'Empereur et Hussards de Grodno. A ces 2 divisions régulièrement constituées se rattachent : les 4 sotnias de Cosaques du Kouban et du Terek formant l'ESCORTE de l'Empereur ; les 2 sotnias du Kouban formant l'escorte du gouverneur de la Pologne.


Sur le pied de guerre, ces divisions subissent les changements suivants : La 1re division devient : division de Cuirassiers ; Les régiments de Cosaques du Don de l'Empereur et de l'Ataman passent à la 2e division : L'escadron de Cosaques de l'Oural passe à la division de Cuirassiers. La 2e division se dédouble et devient : 1re division : 1re brigade : Grenadiers à cheval et Hulans de la Garde ; 2e brigade : Hussards de l'Empereur et Cosaques de l'Empereur. 2e division : 1re brigade : Dragons de la Garde et Hulans de l'Empereur ; 2e brigade : Hussards de Grodno et Cosaques de l'Ataman. Dans la ligne, les 15 divisions sont numérotées de 1 à 15. Chaque division comprend 2 brigades de 2 régiments chacune, ainsi répartis : 2 régiments de Dragons formant la 1re brigade; 1 régiment de Dragons et 1 de Cosaques composant la 2e brigade. 44 régimentsde Dragons (1 à 42, 47-48), entrent dans la formation des 15 divisions de la ligne. L'ordre adopté est le suivant : Les 1er, 2e et 3e régiments entrent dans la 1re division; les 4°, 5°, 6° régiments font partie de la 2e division, et ainsi de suite. Les Cosaques sont ainsi divisés : 14 régiments, savoir : 1 régiment de l'Oural comptant à ha 9e division ; =: 3 régiments d'Orenbourg, nos 1, 2, 3, faisant partie des 10°, 12° et 13e divisions; 10 régiments du Don comptant dans les 10 autres divisions et portant chacun le numéro de la division à laquelle il appartient. La division mixte de Cosaques du Don comprend 2 régiments du Don, le 16e et le 17e, 1 régiment du Kouban, 1 régiment du Terek. Les 3 divisions du Caucase, formées à 2 brigades, sont ainsi composées : Divisions de Dragons comptant les régiments de dragons nos 43, 44, 45, ;

46


division de Cosaques, comprenant 3 régiments du Kouban et 1 du Terek : 2e division de Cosaques, formée par 4 régiments du Kouban. 1re

Les 3 brigades indépendantes de Cosaques sont : Une brigade transcaspienne, composée de 2 régiments du Kouban ; Une brigade du Caucase, formée de 2 régiments du Terek ; Une seconde brigade du Caucase, comprenant 2 régiments du Kouban. Des 14 régiments non embrigadés, 2 régiments sont : 1 régiment de Dragons finnois, spécialement affecté à la Finlande ; 1 régiment de Tatares spécialement affecté à la Crimée. Les 12 autres régiments sont de Cosaques, savoir :

du Don (le 12e régiment), 1 d'Astrakan, 3 d'Orenbourg (détachés au Turkestan), 1 de l'Oural, 3 de Sibérie, 1 de Semiriétchié, 1 du Transbaïkal, 1 de l'Amour. Plus deux escadrons de l'Oussouri. Si nous résumons, nous trouvons que la cavalerie russe peut se grouper ainsi : GROSSE CAVALERIE : 4 régiments de Cuirassiers de la Garde. 1

CAVALERIE DE LIGNE :

1régiment de Grenadiers de la Garde, le régiment de Dragons de la Garde, 2 régiments de Hulans de la Garde, 2 régiments de Hussards de la garde, 48 régiments de Dragons de

la ligne, 1 à 48,

régimentde Dragonsde Finlandenon numéroté. CAVALERIE LÉGÈRE : 50 régiments de Cosaques dont : 1


ligne, numérotés de 1 à du Terek),

19 du Don (2 de la Garde et 17 de la

17) ;

du Caucase (12 du Kouban et 4 6 d'Orenbourg, 3 de l'Oural, 1* d'Astrakan, 6 de la Russie d'Asie (plus deux escadrons de l'Oussouri), de Tatares do Crimée. Toutes ces troupes sont aujourd'hui armées en dragons, c'està-dire avec le sabre et la carabine à baïonnette. Les régiments de Cosaques du Caucase ont la carabine qu'ils portent dans un étui de cuir, le sabre (chachka), et le poignard. Les autres régiments ont, en outre, la lance pour les hommes du 1er rang. De longues discussions ont été entamées ces temps derniers au sujet du maintien ou de la suppression de la lance, et, chose assez curieuse, c'est presque au moment même où tous les régiments allemands prenaient la lance qu'une partie dés régiments russes l'abandonnaient. La cavalerie russe, du reste, préconise singulièrement le combat à pied. Il faut bien noter que c'est la seule cavalerie qui ait eu, de tout temps, une préférence aussi marquée pour ce genre de tactique, qui ainsi développée, risquerait fort, pour les autres pays, d'affaiblir singulièrement l'élan de la cavalerie. Après la campagne de 1877, le combat à pied ayant donné aux Russes quelques résultats, nos généraux se prirent, eux aussi, d'un véritable engouement pour ce mode de combat. Il n'y eut pendant quelques années, au moins dans la division de Lunéville dont je faisais partie, de bon service en campagne sans combat à pied. Heureusement, une satutaire réaction s'est produite ; on ne considère plus le combat à pied comme un des moyens de défense dont peut se servir la cavalerie, mais dont il ne faut plus abuser sous peine d'ôter toute confiance au soldat dans ses armes de cavalier et de voir se produire des faits de ce genre auxquels je me souviens d'avoir assisté : deux corps de dragons, dont l'un représentait d'ennemi, se rencontrèrent, et mirent tous les deux pied à terre pour se combattre. Il est certain qu'en pareille occasion, le parti qui aurait eû seulement quelques vrais cavaliers, à cheval, et conduit par un officier déterminé aurait" 16


«

MLADCHII-VAKHMISTRE », SOUS-OFFICIER DE COSAQUES DE L'ESCORTE DE L'EMPEREUR.




gné une grande méfiance pour l'emploi du combat à pied, notamment sous le premier Empire, où l'expériencetentée sur les dragons, en exécution de l'ordonnance du 23 septembre 1804 (prescrivant pour ces derniers les manoeuvres de l'école de bataillon) fut rien moins que satisfaisante et même amena la décadence de cette arme, si on en croit le général de Brack : « Au commencementde notre campagne de Pologne (1807), dit-il, nos dragons eurent du désavantage avec les cosaques : cela tint aux fatales théories d'un général célèbre. Les cosaques, enhardis de leurs succès, attaquèrent avec furie et confiance ces cavaliers. Nos cuirassiers portaient des manteaux blancs comme nos dragons ; on les leur fit revêtir, et l'on porta ces cuirassiers en première ligne. Les cosaques, croyant avoir affaire aux dragons, les chargèrent impétueusement; ils eurent cruellement à se repentir de leur confiance. Les dragonsréorganisésrationnellement, fidèles à leur ancienne « et brillante réputation, illustrèrent nos armes en Espagne, et dans des campagnes suivantes, reprirent dans toutes les affaires la plus terrible et la plus glorieuse des revanches. » (Souvenirs, p. 271.) Cependant, et la transformation assez récente des hussards et des hulans, de la ligne, le prouve, la plupart des officiers russes sont partisans fanatiques du combat à pied. Comme nous l'avons dit plus haut, : quelques brillants résultats obtenus par, cette manière de combattre pendant la campagne des Balkans les ont confirmés dans cette manière de voir. C'est ainsi qu'après la prise de Tirnowa, le 7 juillet 1877, cinq escadrons mettent pied à terre et poursuivent l'ennemi, à pied, pendant près de 15 kilomètres. Mais cet emploi de leur cavalerie a fait juger les Russes très sévèrement par les étrangers, Prussiens ou Autrichiens. C'est un peu dans cet ordre d'idées, que l'on a reproché au général Krylov d'avoir employé sa magnihommes et 30 canons, fique division de cavalerie, « comme si elle était de ». (Lire les critides majors alleques du colonel russe et du capitaine aumands von Widdern ; ainsi que la très intétrichien Horsetzky von PROCÉDÉS TACTIQUES DE LA ressante étudeintitulée « REVUE MILITAIRE DE L'ÉGUERRE D'ORIENT » parue

7.000 l'infanterie Soukhotine, vonTrotha

Hornthal, LES

dansla

Toutefois, malgré la pré-

Trompette des

chevaliers-gardes.

férence marquée donnée au


cadanstoutes

combat à pied dans la cavalerie russe, l'entraînement et la préparation aux grandes marches de cavalerie sont loin d'être négligés. L'équitation équestre des officiers est fort développée. C'est ainsi que le général Stroukov, commandantla 4e division de valerie sur la frontière de Galicie, a décidé en prenant le commandement de cette division : que les officiers étaient autorisés à monter tous les chevaux de troupe ; que, les épreuves de fond (marches forcées, raids, etc.), cavaliers seraient envoyés à l'avance pour faire le aux gites d'étapes, y faire le logement et soigner ; que des officiers supérieurs d'une notoriété et compétence reconnue seraient désignés pour des épreuves de marches de fond et en surveiller bonne exécution ; que toute espèce de communication avec fractions en la division, par 75 verstes (1), dont quelques-unes sont séparées toute espèce de service en un mot, devait être fait à cheval.

des fourrage leschevaux

la les

d'une préparer

En

plus rallye-paper,

outre, dans toute la cavalerie,

laisser aux officiers la aux chasses à courre, Un ordre du

il est recommandé de

grande latitude pour assister drags, courses, etc.,

6/18

grand-duc

Nicolas,

inspecteur général les de la cavalerie, daté du prescrit 1881, à tous mars officiers de cavalerie de pren- Officier du 2e régiment des Cosaques dre part aux courses militaires. Chaque année, et dans les rapports annuels où il est rendu compte de ceux qui ont manqué à ces courses, on ne trouve que des causes absolument involontaires,l'indisponibilité des chevaux ou des cavaliers par la maladie ou le service de garde. Dans les régiments de la Garde impériale notamment, il est presque extraordinaire que des officiers y manquent. Le commandement supérieur a, du reste, rendu ces courses obligatoires. Quant à la troupe, de fréquentes et importantes « marches de résistance » la tiennent constamment en haleine. Telle fut la marche effectuée en juillet 1883 par le commandant de l'école de cavalerie Nicolas : 10 officiers, 9 cavaliers, 3 chevaux de main et 2 chevaux de bât, partent le 31 juillet à 5 heures du matin de Krasnoé et arrivent le 1er août à Tzarskoé, après avoir parcouru 240 verstes en 40 heures, sur lesquelles il faut compter environ 13 heures 1/2 de repos. Le lendemain de leur arrivée, les chevaux prennent part à une manoeuvre qui dure 1 heure 1/2. (1) Une

verste équivaut à 1.077 mètres.


étapes letemps les vigou-reux année, commandement

En décembre 1883 eut lieu une nouvelle épreuve Il s'agissait d'aller en 4 gorod, et d'en revenir, soit 370

de Saint-Pétersbourgà Novverstes par une température

La marche effectuée dans voulu, on ne constate ni blessures ni boiteries ; mangent de bon appétit et paraissent plus qu'au départ. et Le 20 mars de la même 13 officiers, 7 cavaliers du colonel Meinander, 22 chevaux, sous le de Saint-Pétersbourg à parcourent 563 verstes, en Pskov et retour. « Les officiers et cavaliers ont parfaitement Cosaque du Don. La revue des chevaux par supporté les fatigues de la le vétérinaire, au retour du détachement, fit constater qu'ils étaient tous en bonne condition, à l'exception d'un seul. Le général inspecteur exprima également sa satisfaction après les avoir examinés. La marche avait influé, naturellement, sur leur aspect extérieur ; car les chevaux avaient notablement maigri, même par comparaison avec leur état au départ de Saint-Pétersbourg (la marche avait été préparée dès le 12 janvier) ; mais tous étaient dispos, et leur appétit témoignait que l'effort réclamé d'eux n'avait eu rien de nuisible et ne dépassait pas la limite de leurs forces. Aucun cheval n'était blessé. D'ailleurs, la distance à parcourir n'a, sous ce rapport, qu'une importance relative, si les chevaux sont bien soignés, sellés avec attention, et si fies cavaliers ne se départissent jamais des précautions voulues. » Le 22 novembre 1883, par ordre de S. A. I. le grand-duc Nicolas, le colonel von Morenschild, 3 officiers et 14 cavaliers volontaires du 2e cosaques d'Orenbourg, partent de Nijni-Novgorod pour se rendre à Moscou, soit 410 verstes qui furent franchies en 5 étapes. Arrivés à Moscou le 26 novembre, le gouverneur les autorise à continuer : jusqu'à Saint-Pétersbourg. Ils quittent donc Moscou le 29 décembre et arrivent à Saint-Pétersbourg le 7 janvier, après avoir franchi 685 verstes, soit une moyenne de 76 kilomètres par jour (1). Le grandduc Nicolas passe lui-même l'inspection du détachement, ne trouve pas un seul cheval blessé et en est tellement satisfait qu'il témoigne son conten-

chevaux

6 marche.

jours,

détachement eut successivement à endurer de la neige, du verglas, de la houe, des ouragans de neiges et de la pluie. (1) Le



quelle la 1re sotnia parcourt 84 verstes dans une seule journée sur des chemins couverts de neige. Et tout récemment, le lieutenant de dragons Asséev, qui vint à Paris, en compagnie de ses deux chevaux DIANA et VLAGA, les montant à tour de rôle, selon la méthode turcomane, accomplit une course exceptionnelle. Asséev avait parié d'aller de Saint-Pétersbourg à Paris en six semaines ; il gagna son pari, après avoir fait 2.633 kilomètres et être resté 332 heures 3/4 en selle. A son retour, le hardi lieutenant fut décoré par ordre de l'Empereur. En mars 1891, les cosaques de Tchita, ville située, dans l'est de la Sibérie, au delà du lac Baïkal, délèguent le sous-officier Chestakov et le canonnier Rogalev pour assister à la grande fête que donnaient, à Ouralsk, les cosaques de l'Oural, en l'honneur du grand-duc héritier. Il s'agissait de franchir, en plein hiver d'abord, puis au moment d'un dégel qui dura plusieurs semaines, les 5.200 verstes qui séparent Tchita d'Ouralsk, par des chemins détestables, la plupart à peine frayés, sans changer de cheval, et cela du 21 mars au 20 juillet, jour fixé pour la fête. A Irkoutsk, le cosaque Nazimov se joint à eux, et le 8 juillet ils arrivent à Zlato-Oust, après avoir fait 4.200 verstes en 108 jours, soit 40 verstes (42 kil. 1/2) par jour; et si l'on compte qu'ils ont perdu dix jours par suite des inondations du printemps, l'étape moyenne a été de 45 verstes (48 kilomètres). Le peu de temps qui leur restait les obligea à terminer le voyage en chemin de fer, la fête ayant été avancée. Enfin, pour terminer l'énumération de ces marches si intéressantes, citons la chevauchée du lieutenant des Cosaques de l'Amour, Dmitri Pechkov.


TIMBALIER DES CUIRASSIERS DE L'IMPÉRATRICE.



J'en emprunte le récit à une correspondance qui fut adressée de Pétersbourg à l'un de nos grands journaux quotidiens, « L'AUTORITÉ ». Saint-Pétersbourg, le 18-30 juillet.

8.829

KILOMÈTRES A CHEVAL.

Avant d'entreprendre son voyage en Terre Sainte, le lieutenant des Cosaques à cheval de l'Amour, Dmitri Pechkov, a bien voulu me faire parvenir un opuscule contenant le récit détaillé de sa chevauchée fantastique à travers la Sibérie et la Russie d'Europe, jusqu'à Saint-Pétersbourg. Parti de Blagovechtchensk,ville de la Sibérie « orientale, le 7 novembre (v. s.) 1889, il est arrivé à destination le 19 mai passé, ayant parcouru à cheval 8.283 verstes, ou 8.829 kilomètres, en 1.109 heures. gris, âgé de quinze ans, de la race des chevaux cosa« Sa monture était un hongre ques du pays et dont il se servait habituellementdans son régiment, sans lui faire subir un entraînement préalable. officier de cavalerie, on reste frappé de « En lisant les notes de voyage de cet intrépide stupeur devant la somme extraordinaire de force de caractère, d'énergie, d'endurance dont il a fait preuve pour mener à bien cette entreprise périlleuse que tous ses camarades et amis lui déconseillaient, la considérant comme une folie irréalisable. « Sibérie » donne un frisson glacial. On pense involontairementaux « Le seul mot de rigueurs terribles de cette région arctique, aux bouranes (tourbillons de neige) aussi dangereux que le simoun d'Afrique, aux routes impraticables, aux privations de toute sorte auxquelles s'expose le voyageur téméraire qui ose entreprendre un pareil voyage en plein hiver, et, enfin, à l'influence morbide d'une mélancolie mortelle suscitée par l'aspect désolant des steppes incommensurables, couvertes de neige et sans autres hôtes que des loups affamés ou des troupeaux de chèvres sauvages apparaissant dans le lointain. 40° Réaumur (50 centi« Le lieutenant Pechkov voyageait souvent par un froid de grades). Se sentant trop vivement saisi par le froid et redoutant l'immobilité prolongée pour ses jambes, il descendait de cheval et poursuivait sa marche à pied, suivi de sa fidèle monture. Il lui arrivait aussi de se frayer un passage avec son sabre à travers des massés de neiges durcies ou de rouler avec son « gris » dans quelques ravins masqués par une mince couche de neige. «


Enfin, souvent aussi, il eut à lutter avec des privations matérielles, telles que absence de gîte, nourriture insuffisante, manque d'eau potable qu'il fallait remplacer etc. Les journées où il ne troupar celle de la neige fondue, vait pour se réconforter blé avec une miche de pain citées dans son journal ! noir sont très fréquemment terribles épreuves ont fin du jour où Pechkov « Ces a mis pied sur, le territoire de Russie d'Europe. Depuis Perm jusqu'à Pétersbourg, n'a été qu'une marche d'ovations chaleutriomphante et une suite société, depuis les gouverreuses où toutes les classes humbles paysans, se conneurs de provinces, fondaienf dans le même d'admiration patriotisibérien. C'est dans la que pour le brave et capitale que l'attendait Le jeune officier, arrilégendaire, se vit l'obvant des confins d'un monde jet des prévenances les plus flatteuses dans les milieux les plus élévés de la société. Son Trompette de cosaquesdu exploit, unique dans les annales du sport hippique, sa ténacité et la modestie de son attitude lui ont conquis toutes les sympathies. « Le lieutenant Pechkov a eu l'honneur d'être présenté à tous les membres de la famille-impériale, et Sa Majesté l'Empereur, après lui avoir conféré la croix de l'ordre de Sainte-Anne de troisième classe, a daigné l'interroger sur les incidents de son voyagé et examiner son compagnon de route, le vaillant petit cheval cosaque, qui a pu fournir ce trajet colossal sans avoir été une seule fois malade. Le « gris » n'a pas été oublié non plus et il reçut sa part de récompense. L'auguste ataman de toutes les troupes cosaques, le grand-duc héritier. Nicolas Alexandrovitch, a bien voulu le recevoir en présent de Pechkov et l'a fait placer dans ses propres écuries où la brave bête a trouvé un asile sûr pour le reste de sa vie. de ce jeune Sibérien a eu le mérite d'affirmer une fois de plus « L'heureuse odyssée l'énergie et la résistance de fer du soldat russe et l'endurance de son cheval, capable de fournir un raid de 8.829 kilomètres dans des conditions sanitaires excellentes, par des routes presque impraticables, pendant la saison la plus rigoureuse de l'année, où le froid atteignait 50° centigrades et franchissant quelquefois des étapes de 93 kilomètres en 9 heures 30 minutes. « Le lieutenant Pechkov est devenu, pour le moment, le mortel le plus populaire de toutes les Russies. Son photographe attitré, un très habile artiste, M. Dazziaro, ne sait où donner de la tête pour satisfaire à toutes les demandes du portrait du. favori « national », qu'on lui adresse de tous les coins de l'empire. C'est par ballots de milliers d'exemplaires qu'il expédie ses photographies. Enfin M. Svertchkov, notre grand peintre

que

du pris

sonvoyage ininterrompue

la plus sentiment

de jusqu'aux

courageuxofficier

l'apo-théose. presque


OFFICIERS DES HUSSARDS DE L'EMPEUEUR.



d'animaux, s'est mis également de la partie et a exposé un magnifique portrait de Pechkov à cheval, en tenue de voyage, dans la salle des concerts de la gare de Pavlovsky, qui est le lieu de rendez-vous d'un grand nombre de Pétersbourgeoispendant la saison d'été. » Combien de semblablesexemples, et je ne cite que les principaux, devraient trouver chez nous des imitateurs et surtout des encouragements, car les imitateurs ne manqueraient pas. Mais hélas ! il y a le budget, il y a les Chambres, ces fameuses Chambres, qui jonglent si habilement avec les grands mots, patriotisme, devoir, nation armée, etc., et qui au fond sont toujours demeurées les mêmes que celles dont parlait M. J. Richard : « On voulait lier les mains si fortement au pouvoir, pour qu'il ne pût répondre à la guerre menaçante et presque inévitable, que M. Thiers, « alors que ses opi« nions étaient assises sur les bancs des ministres s, demanda et obtint de M. É. Olivier que le contingent annuel fût réduit de 10.000 hommes. » (Jules Richard, l'Armée française, Cavalerie, p. 117.) Je me souviens qu'il y a de cela quelques années, j'étais encore au service, le capitaine Conneau, un des plus remarquables cavaliers de notre armée, obtint de conduire d'une seule étape, de Béziers à Montpellier, le peloton des volontaires d'un an du 9e régiment de chasseurs. L'aller et le retour se firent dans des conditions excellentes ; mais quelques jours après, un ordre émanant de haut lieu défendit expressément de renouveler de semblables tentatives !... Nous sommes loin des 8.829 kilomètres du lieutenant Pechkov, décoré par l'Empereur. Un autre genre d'instruction et qui semble jusqu'ici n'être sérieusement pratiqué qu'en Russie, c'est le passage des cours d'eau à la nage. Le général Skobélev a beaucoup contribué, et par ses instructions et par son exemple, à développer cette partie si utile et si négligée de l'instruction militaire. Pendant la guerre des Balkans n'avait-il pas traversé le Danube à cheval, à la nage ! Et le 12 juin 1882, lors de sa dernière inspection du 18e corps, le fameux et si regretté général, après avoir amené le 4e régiment de dragons près de la rivière Souprasl à Bialystok, fit une sorte de conférence sur le terrain, puis se faisant amener un cheval de troupe quelconque, il se déshabilla, sauta sur le cheval à cru et le fit entrer dans la rivière. Le passage, aller et retour, ne se fit pas facilement, l'animal y mettant la plus mauvaise volonté. « Cela ira mieux la seconde fois! » s'écrie l'intrépide général et il recommence avec plein succès. Le général Stroukow ne pouvait manquer de suivre le bon exemple de son illustre devancier, aussi le voyons-nous faire traverser cette même rivière, le Souprasl, à toute la 4e division de cavalerie.


Le 4e régiment des Cosaques du Don, formant l'avant-garde, entre dans l'eau par peloton à 6 mètres de distance suivant le général Stroukow qui passe le premier. En 27 minutes les Cosaques ont passé la rivière large de 32 mètres avec une profondeur de 8 mètres au milieu, et se sont établis de manière à protéger le passage du reste de la division. Les harnachements et tous les effets des hommes ont été passés sur un radeau. » (Invalide russe, n°190, 1883.)

Entrons maintenant plus intimement dans l'organisation de cette admirable cavalerie : Le Tzar est le chef de l'armée. Le ministre de la guerre, général Vannovsky, sert d'intermédiaire entre le chef et ses soldats ; le ministre n'est responsable qu'envers l'Empereur; La loi de recrutement qui régit l'armée russe date du 1er janvier 1874. Elle a été modifiée et complétée par la loi du 11 novembre 1876 et par l'ukase du 26 juin 1888. Sont exceptés de ces lois : 1°. Les Cosaques pour lesquels à été rendu l'ukase du 20 avril 1875 réglant leurs obligations militaires ; 2° Les Musulmans qui moyennant le paiement d'une taxe militaire peuvent se racheter du service. 3e Les Tchèques, Rusniaques, Mennonites auxquels on accorde, suivant les conditions de leur immigration, l'exemption du service militaire pour un temps plus du moins long ; D'après l'ukase de 1888, tout Russe doit le service militaire depuis l'âge de vingt ans jusqu'à celui de quarante-trois ans révolus. Il n'existe d'exception qu'en faveur du clèrgé chrétien. Pendant le temps de paix, les jeunes gens ne sont appelés qu'après leur vingt et unième année révolue. Le nombre de ces jeunes gens est d'environ 850.000, mais on calcule qu'environ 50.000 sont insoumis. Les ajournés pour faiblesse de constitution étant remplacés par un nombre à peu près égal d'ajournés de la classe ou des classes qui précèdent, il reste environ 800.000 jeunes hommes ayant de vingt et un à vingt-trois ans. Les causes d'exemptions comme soutiens de famille étant assez nombreuses, oh compte environ 400.000 hommes dispensés du service actif, c'estdonc 400.000 hommes qui restent pour former le contingent. Sur ces 400.000 conscrits, 15.000 environ sont destinés au service des douanes et de la marine. On évalue en outre à 10.000 le nombre des engagés volontaires. Mais ces derniers comptent dans le contingent fixé chaque année suivant les besoins par un ukase impérial. C'est vers le 1er janvier qui suit les opérations du recrutement qu'est incorporé le contingent,


contingent est formé avec tous les hommes reconnus bons pour le service, pris dans l'ordre des numéros du tirage au sort. Le chiffre a beaucoup varié depuis l'entrée en vigueur de la loi actuelle ; il n'était que de 145.000 hommes en 1874, et s'est élevé à 230.000 en 1889, déduction faite des hommes destinés à la marine et au service des douanes. En moyenne, il peut être évalué à 210.000 hommes. «

Ce

Les hommes compris dans le contingent de l'armée active doivent généralement cinq ans de présence sous les drapeaux; mais cette règle subit de nombreuses excep«

tions. « D'une part, « les hommes de recrue incorporés dans les troupes du Turkestan, du Sémiriétchié, de Yakoutsk et du littoral du Pacifique sont maintenus sous les drapeaux pendant sept années. « D'autre part, les nationaux de la Finlande, du Kouban, du Terek et du Transcaucase, ne sont astreints qu'à trois années de présence. « De plus, afin de favoriser le développementde l'instruction publique, la loi russe accorde d'importantes réductions dans la durée du service actif aux jeunes gens qui ont passé par les divers établissements d'instruction. Suivant le degré de l'instruction générale qu'ils y ont acquise, le service actif est réduit pour eux à quatre ans, à trois ans, et même à deux ans, quand il s'agit d'établissements d'instruction supérieure. « Les jeunes gens qui s'engagentvolontairement avant le tirage au sort gagnent encore une année de plus, et peuvent ainsi n'avoir à faire qu'un an de service actif. « Enfin, suivant les nécessités budgétaires, le ministre de la guerre peut renvoyer, par anticipation, dans leurs foyers, le nombre d'hommes nécessaires pour maintenir l'effectif de paix au pied convenable. Cette latitude légale conduit généralement à libérer la plus grande partie du contingent au bout de quatre ans de service. « Une petite partie, désignée par voie du tirage au sort dans les corps de troupe, est même renvoyée au bout d'une seule année de présence. » (Colonel Rau, État militaire des principales puissances étrangères au printemps de 1891.). Le service dans la réserve est ensuite d'une durée de treize ans pendant lesquels les hommes qui en font partie peuvent être rappelés deux fois pour des manoeuvres ou des exercices dont la durée ne doit pas excéder six semaines chaque fois.


Ces dix-huit années de service accomplies, il reste à faire quatre ans dans le

1er

ban

de l'OPOLTCHÉNIE (milice), après lesquels le service militaire est terminé. ; L'OPOLTCHÉNIE est divisée en 2 BANS. Le 1er ban est formé par les hommes bons pour le service mais que leur bon numéro au tirage au sort a exemptés du service actif, et du reste par tous les dispensés en général ; il n'est admis d'exception à cette dernière catégorie que pour ceux qui sont reconnus comme absolument nécessaires au soutien de leur famille. Ce 1er ban est surtout destiné à aider à compléter les effectifs pour la mobilisation, soit au moment môme de la mobilisation, soit au fur et à mesure des besoins. Le 2e ban reçoit* tous les autres individus, soutiens de famille reconnus indispensables, etc., et en outre les hommes qui n'ont pas été incorporés comme n'atteignant pas la taille réglementaire de 1m,53. COSAQUES.

Les Cosaques sont groupés en VOISKOS ou ARMÉES. En Russie d'Euro pe : voïskos du Don. —

d'Astrakhan.

d'Orenbourg. de l'Oural.

Dans le Caucase : voïskos du Kouban. du Terek. Dans la Sibérie : voïskos du Transbaïkal. — du Sémiriétchié. de — Nous avons dit que tous ces Cosaques étaient régis au point de vue militaire par la loi de 1875. Aux termes de cette loi, tout Cosaque doit le service militaire de dix-huit trentehuit ans ; il s'habille, s'équipe et se remonte à ses frais, l'État lui fournissant les armes et les munitions. Le service des Cosaques est divisé en trois CATÉGORIES : 1°Celle dite de PRÉPARATION pendant laquelle ils sont soumis, dans leurs foyers, à certains exercices destinés à les débourrer ; on leur inculque pour cela les premiers éléments de l'instruction militaire. Cette période va de dix-huit à

l'Amour.

à

vingt et un ans. 2° De vingt et un à trente-trois ans, ils font partie de la catégorie ACTIVE. 3° De trente-trois à trente-huit ans, ils font partie de la RÉSERVE.


Pendant le 2e tour, il est dans ses foyers, mais il doit être prêt à répondre au premier appel en tenant ses effets constamment prêts et en entretenant sa monture. Pendant cette période l'homme qui en fait partie peut être appelé tous les ans pour des exercices ou manoeuvres d'une durée de trois semaines. Pendant le 3e tour, le Cosaque est tenu également d'entretenir ses effets, mais il n'est pas forcé d'avoir un cheval. Il peut aussi être convoqué pendant cette période, pour des manoeuvres, mais une fois seulement. Passés dans la réserve, les Cosaques ne peuvent plus être appelés qu'en temps de guerre. Et, comme obligation générale, tout homme valide, de quelque âge qu'il soit, doit prendre les armes si le Tzar décrète la LEVÉE EN MASSE. Sur le pied de paix, la généralité des troupes cosaques du premier tour représente un effectif d'à peu près 2.000 officiers et 55.000 hommes. L'ensemble des hommes complètement instruits (active et réserve) monte à environ 256.000 hommes.


Les ATAMANS, chefs militaires et politiques des voïskos, réunissant dans leurs mains toute l'autorité,- sont chargés du recrutement et de la levée des différents contingents dé Cosaques.

Examinons maintenant en quelques mots ce qui est relatif à la remonte et à la conscription des chevaux. La population chevaline de la Russie est considérable, puisqu'on l'évalue à plus de 25.000.000 d'animaux. Les pays du sud et du sud-ouest de la Russie d'Europe sont le moins riches en chevaux. Au contraire, l'est et le sud-est (Russie d'Europe) sont fort productifs, et c'est dans ces provinces que résident là plupart des dépôts des régiments de cavalerie. Mais le pays le plus riche en chevaux est la Sibérie où l'on compte presque un cheval par habitant. Les différentes races de chevaux que produit la Russie descendent toutes du cheval tartare, modifié plus ou moins profondément par les croisements subis. Dans l'armée, les chevaux sont classés par robe. Les régiments de la Garde, par exemple, sont remontés chacun avec des chevaux de la même robe. C'est ainsi que les hussards de l'Empereur n'ont que des chevaux gris pommelés. On admet 10 années comme durée moyenne du cheval dans l'armée russe, et on estime que la remonte annuelle varie entre 10.000 et 11.000 chevaux. Dans les corps de cavalerie de la Garde, les officiers de tout grade se remontent euxmêmes et à leurs frais. Dans la ligne et dans les régiments de Cosaques, tous les officiers sont tenus d'avoir un cheval à eux, mais l'Etat leur en fournit un autre à titre gratuit. Pour la troupe, les chevaux nécessaires sont achetés par des officiers choisis parmi ceux qui comptent dans les cadres du dépôt des différents corps de troupe à cheval. A certaines époques de l'année, ces-officiers se mettent en route pour parcourir les pays d'élevage ; ils achètent et paient sur place les* animaux qu'ils ramènent, leur tournée finie, à leurs corps respectifs. En cas de mobilisationgénérale, les Cosaqueset les troupes irrégulières devraient se procurer eux-mêmes les chevaux qui leur seraient nécessaires pour compléter leurs effectifs. Pour ce qui est des troupes régulières, les chevaux nécessaires au complément de l'effectif de guerre devraient être fournis par la Ces réquisitionssont réglées par les décrets du 11 mai 1884 et du 20 février 1888. Aux termes de ces règlements l'Empire est divisé en cir¬

réquisition.


COSAQUES SURVEILLANT UNE LIGNE TÉLÉGRAPHIQUE.



conscription de remonte, et l'étendue de ces circonscriptions est déterminée de façon : 1° Que les chevaux de toute la circonscription puissent être rendus dans la même journée au lieu désigné pour le rassemblement ; 2° Qu'il ne soit pas présenté plus de chevaux qu'il ne serait possible d'en examiner en une seule journée. Les opérations du classement et du recensement des animaux ont lieu tous les six ans ; il y est procédé par une commission composée de membres civils dont le mandat est de trois ans, et qui est nommée par les autorités provinciales. Cette commission est en outre chargée, en cas de mobilisation, de réunir le nombre d'animaux désignés et de les faire diriger sur le lieu de concentration. La fixation du nombre d'animaux à réunir dans chaque centre de réquisition est faite par le ministre de la guerre, de concert avec le ministre de l'intérieur, et cela d'après les résultats fournis par les listes de recensement. Ces deux ministres fixent également l'endroit qui doit servir de lieu de concentration. Quant à la répartition de ces contingents entre les différentes localités, elle est laissée aux soins de l'autorité provinciale administrative. Réunis dans les différents centres de réquisition, les animaux sont alors.présentés à une commission composée de membres civils et de deux officiers, l'un nommé par l'autorité militaire territoriale, l'autre par le corps de troupe dans lequel les animaux seront envoyés. Les sujets requis sont alors désignés par le tirage au sort, à moins que les propriétaires n'offrent de traiter de gré à gré sur les bases d'un tarif déterminé à l'avance. Chaque propriétaire ne peut être dépossédé de plus de la moitié de ses chevaux et chaque cheval qu'il cède volontairement en exempte deux autres. Les opérations terminées, les chevaux désignés sont remis aux officiers faisant partie

des corps de troupe dont nous avons parlé, et ceux-ci les emmènent au moyen d'hommes de la réserve envoyés à cet effet.


HIÉRARCHIE, MARQUES DISTINCTIVES, RECRUTEMENT DES CADRES.

La hiérarchie russe est la suivante dans la cavalerie : Troupes : SOLDAT, EFREITOR, soldat de 1re classe. Sous-officiers : MLADCHII OUNTEROFITZER (du nom allemand Unter-Offizier), de 2e CLASSE OU JEUNE, équivalant au grade de brigadier. MLADCHII VAKHMISTRE, DE 1re CLASSE

STARCHII VAKHMISTRÉ, maréchal

Officiers :

ou

ANCIEN SERGENT.

des logis chef.

ÉTENDARD-YOUNKER.

CORNETTE. LIEUTENANT. ROTMISTRE EN SECOND

ou SCHTABSROTMISTRE.

ROTMISTRE. LIEUTENANT-COLONEL. COLONEL. GÉNÉRAL-MAJOR. GÉNÉRAL-LIEUTENANT. GÉNÉRAL DE CAVALERIE

ou de corps d'armée.

FELD-MARÉCHAL (1).

Sous-officiers. — Les sous-officiers se divisent en deux catégories très distinctes : ceux qui aspirent à l'épaulette et les sous-officiers proprement dits. Nous avons vu plus haut que les jeunes gens qui s'engag ent volontairement avant le tirage au sort ne doivent qu'une ou deux années de service actif, suivant leur degré d'instruction. Ce sont eux qui généralement fournissent les sous-officiers de la 1re catégorie. En outre, ceux de ces volontaires qui possèdent des brevets supérieurs sont, sur la proposition du chef de corps, et sans distinction de grade ni de service, envoyés dans une école de Younkers. Ceux dont d'instruction est inférieure ne peuvent être envoyés dans les écoles qu'au bout d'un an de service, et lorsqu'ils ont obtenu le grade de sous-officier. Les sous-officiers proprement dits sont comme ailleurs fournis par le contingent ordinaire, et au moyen de l'école de sous-officiersde Riga, dont nous parlerons tout à l'heure. C'est seulement au bout de deux ans de service que (1)

Il n'y a actuellement qu'un seul feld-maréchal,S. A. I. le grand-

duo Michel.


dont l'instruction est inférieure à celle des volontaires de la 1er catégorie, peuvent être nommés sous-officiers. Avant leurs nominations, ils doivent avoir suivi les cours régimentaires les

APPELÉS

L'école des sous-officiers de Riga a été créée en 1887. Chaque corps de troupe y envoie un certain nombre d'hommes ayant au moins huit mois de service et choisis

parmi les meilleurs sujets. Les élèves passent deux années à l'école et sont ensuite nommés sous-officiers dans les différents corps de troupe, après s'être au préalable engagés à rester au moins quatre années au delà du temps prescrit pour leur service légal sous les drapeaux. Officiers. Le recrutement des officiers de cavalerie est assuré : 1° PAR LES CORPS DES PAGES DE L'EMPEREUR, 2° Par L'ECOLE DE CAVALERIE NICOLAS, 3°Par les écoles de YOUNKERS de cavalerie D'ÉLISAVETGRAD ET DE TVER. Les pages sont en général des fils ou des des hauts gradés de

petits-fils l'empire militaires,

gymnases

les deux

à ceux des écoles Pendant les sept premières Trompette de cavalerie. années,ils ne sont que PAGES DE LA COUR. A la fin de ce stage, ils passent après examen dans la classe supérieure et sont alors nommés PAGES DE L'EMPEREUR. A la fin de ces neuf années, ils ont à subir de nouveaux examens qui décident de leur nomination au grade d'officiers.


L'école de cavalerie Nicolas fait partie de ce qu'on appelleles écoles militaires d'armes. L'admission à l'école adieu à partir de l'âge de seize ans et à la suite d'un examen. Les jeunes gens de toutes les classes sont admis à s'y présenter, même les sous-officiers et cavaliers

dans les conditions indiquées plus haut, pour les différentes catégories auxquelles ils appartiennent par leur instruction. Les jeunes gens qui sortent des gymnases civils ou militaires (1) et jouissent d'un diplôme de bonnes études sont admis sans examen. Les élèves admis à l'école suivent des cours d'une durée de deux années pendant lesquels ils portent également le nom de Younkers. Ces cours terminés, et après avoir satisfait aux examens de sortie, ils sont nommés, suivant le numéro obtenu au classement : dans la Garde, dans la ligne, avec ou sans majoration d'ancienneté, cornette ou Étendard-Younker. Les écoles de Younkers (Élisavetgrad et Tver pour la cavalerie) sont destinées, ainsi que nous l'avons dit, aux volontaires et aux appelés possédant une instruction suffisante pour prétendre à l'épaulette. Les élèves admis suivent des cours d'une durée de deux ans. Ces deux années ne comptant pas comme temps de service. Leurs années de cours terminées, les Younkers subissent un. examen dé sortie, et suivant le numéro, obtenu à cet examen, ils sont divisés en deux catégories. Les élèves de la 1re catégorie, nommés étendard-younkers, sont dirigés sur leurs régiments et sont promus cornettes dans l'année même de la, sortie. Ceux de la 2e catégorie sont également nommés étendard-younkers, mais ne sont promus au grade de cornette que l'année qui suit celle de leur sortie de l'école. Les étendard-younkers remplissent les mêmes fonctions que les cornettes, ils ont rang d'officier, mais ils n'en portent pas les insignes ; -ils portent ceux de sous-officier. militaires, dont les élèves portent la dénomination de cadets, sont au nombre de 22. Ces établissements comportent 7 classes, correspondant chacune à une année d'études. On y reçoit des élèves de 10 à (1) « Les gymnases

ans, principalement des fils d'officiers ou de fonctionnaires; le régime est militaire ; le personnel de direction, d'administration et de surveillance se compose presque exclusivement d'officiers ; les professeurs sont généralement civils. Il y a lieu de remarquer que les cadets ne se destinent pas tous à l'état militaire; un certain nombre d'entre eux embrassent des carrières civiles ; mais ils sont naturellement tenus de remplir, en sortant des gymnases, les obligations imposéespar la loi de recrutement, obligations qui sont d'ailleurs adoucies par le fait même qu'ils ont acquis, comme cadets, une instruction générale plus ou moins étendue. » (ColonelRau, État militaire des principalespuissancesétrangères.) 18


Depuis 1883 le gracie de major n'existe plus.

L'avancement a lieu, pour les grades inférieurs, partie au choix et partie à l'ancienneté, et exclusivement au choix pour les grades supérieurs. La nomination au grade d'officier confère la noblesse, chose supérieuremententendue pour augmenter le prestige de l'armée. Cette noblesse est personnelle jusqu'au grade de lieutenant-colonel, elle devient héréditaire à partir du grade de" colonel. Toutefois, les officiers qui proviennent des volontaires et des appelés ne peuvent, acquérir les droits de la noblesse qu'après trois années de grade, à moins, naturellement, qu'ils ne soient nobles de. naissance. En temps de paix, et conformément à d'anciens usages, les officiers peuvent obtenir des congés qui durent quelquefois plusieurs années. En outre, ceux qui proviennent des VOLONTAIRES peuvent quitter l'armée lorsqu'ils le désirent, à condition, naturellement, d'avoir accompli le temps de service actif pour lequel ils se sont engagés, restant cependant soumis aux obligations du service en temps de guerre, avec leur ancien grade. Les cadres de la réserve sont remplis soit au moyen des deux catégories d'officiers dont nous venons de parler, soit au moyens d'un grade particulier à la réserve, celui d'ENSEIGNE. Sont nommés ENSEIGNES : 1° Les militaires qui, à la fin de leur service actif, quittent l'armée avec de grade de sous-officier, après toutefois avoir subi un examen réglementaire ; Les sous-officiers qui, leur service actit terminé, consentent a subir un examen et à faire un stage d'épreuve d'une durée variable, mais de six semaines au minimum. Les marques distinctives des différents grades sont les suivantes : les sous-officiers, un galon d'or ou. d'argent suivant le corps, travers de la patte d'épaule ; es sergents-majors, un galon d'or ou d'argent circulaire autour ments des manches ; Pour les volontaires, un passepoil hoir, orange et blanc, autour des pattes d'épaules. En grande tenue, tous les officiers, sauf ceux de hussards, portent les épaulettes, sans franges pour des officiers subalternes, à frangés pour les officiers supérieurs, à torsades pour les officiers généraux. Des étoiles placées


sur le corps d'épaulette différencient chaque grade. En petite tenue, les épaulettes sont remplacées par des pattes d'épaules. Les décorations militaires sont : Saint-Stanislas, Sainte-Anne, Aigle blanc, SaintAlexandre Nevsky, Saint-André, Saint-Vladimir, Saint-Georges. Chaque ordre est divisé en différentes classes. En outre, comme récompense de faits de guerre, les officiers reçoivent des sabres ou des épées d'or enrichis de pierres précieuses, des dons de terre, le droit de porter en dragonne le cordon d'un ordre militaire. Les sous-officiers reçoivent des médailles en or ou en argent avec l'inscription za oucerdie (pour le zèle), portées au cou avec les rubans de Vladimir ou d'Alexandre Nevsky. Ils peuvent obtenir de porter cette médaille d'or avec le ruban de Saint-André qui est le plus élevé dès ordres russes ; mais il faut pour cette dernière distinction, avoir fait cinq années de service de plus que le temps prescrit pour obtenir les autres récompenses. En Russie, les dépôts de régiments n'existent pas. Tout au moins, il n'y a pas de dépôt particulier pour chaque régiment. Il existe ce qu'on appelle les DÉPOTS DE DIVISION DE CAVALERIE.

Ces dépôts sont ainsi

répartis : 1 dépôt pour les 4 régiments de cuirassiers de la Garde : il — pour les grenadiers à cheval,hulans de la Garde et hussards de l'Empereur ; 1 — pour les dragons de la Garde, hulans de l'Empereur et hussards de Grodno : 15 — pour lès 15 divisions de la ligne, savoir : 1 dépôt pour lès régiments de dragons de chaque division ; 1 —pour les 4 régiments de dragons de la division du Caucase. Ces dépôts sont en outre réunis pour former des BRIGADESDE DÉPÔT, savoir : Les 3 dépôts de la Garde forment 1 brigade Les 14 dépôts de la ligne, groupés deux à deux, forment 7 brigades de dépôts numérotées de 1 à 7, et sont établies : 1 brigade à Riajsk, 1 brigade àRiazan, 5 brigades dans le gouvernement de Voronéje. Le dépôt des 4 régiments de Caucase forment le dépôt du Caucase. Les dépôts de brigade qui réunissent les dépôts de 3 régiments sont composés de 288 hommes et de 12 officiers. Ceux qui réunissent 4 régiments comprennent14 officiers et 386 hommes.

Comme dans presque toutes les armées, ces dépôts sont destinés à dresser les chevaux qui doivent former la remonte.


des régiments et, en temps de guerre, à fournir des hommes au fur et à mesure des besoins de leurs corps. Pour pouvoir fournir aux remplacements nécessaires, les dépôts, au moment d'une mobilisation, formeraient des escadrons à l'effectif de 175 hommes, et au nombre de 2 ou 3 escadrons par régiment, de façon à pouvoir les diriger, suivant

de besoin, en totalité ou en partie, sur leurs corps respectifs. Cette organisation des dépôts n'a du reste lieu que pour la cavalerie proprement dite, les cosaques ne formant pas de dépôts. Camps. — L'armée russe possède trois camps permanents : à Krasnoïé-Sélo, à Moscou et à Varsovie. Le camp de Krasnoïé-Sélo est situé au sud-est de Gatchina, entre Pétersbourg et Gatchina. Il se sépare en deux parties tranchées par de lac Douderhof ; la partie Est porte le nom de GRAND CAMP, la partie Ouest celui de CAMP D'AVANT-GARDE, les deux camps communiquant au moyen de nombreux passages ménagés autour du lac et sur le lac même. Le chemin de fer qui se dirige sur Pétersbourg longe le lac. La voie en est gardée militairement, les troupes qui en forment les postes établis dans des zemlankis en terre, sont reliées entre elles par des patrouilles de cavalerie. Krasnoïé-Sélo sert de camp d'instruction aux régiments de la Garde et aux écoles militaires de Pétersbourg, auxquels sont" généralementadjointes une ou deux divisions de la ligne. « Chaque année, le mois d'avril y ramène une période de bruit et de fêtes militaires, lorsque l'Empereur vient" s'établir pour les grandes manoeuvres au camp de Krasnoïé-Sélo. « Les journées sont remplies par des marches, des simulacres de bataille, des bivouacs improvisés; on déjeune sous la tente; le soir, vainqueurs: et vaincus fusionnent au spectacle de gala, dans le théâtre de Tzarskoïé (1). Aucun civil n'y est admis. C'est un coup d'oeil, unique, ce parterre de casques, d'épaulettes, de cordons, sous un double rang de loges où les femmes font assaut d'élégance. « Aux manoeuvres de Krasnoïé, livrées devant les équipages des damés, on peut se représenter ce qu'étaient lès campagnes du grand Roi, quand il assiégeait les villes de Flandre au son des violons. Ici, comme au palais d'Hiver, comme partout dans la capitale russe, le curieux se plaît à retrouver des formes historiques, des moeurs, des sentiments, des spectacles que les livres seuls lui avaient fait connaître dans nos pays. » — (M. de Vogüé, Saint-Pétersbourg.) Les hussards de l'Empereur sont cantonnés à Tzarskoïé, et, selon l'expression de M. de Vogüé, laissent pas approcher l'ennui ». (1)

«

ils n'en


Au camp ont lieu des courses et des concours de tir. L'Empereur, l'Impératrice ou

Tzarévitch remettent eux-mêmes les prix aux vainqueurs. Ces prix, pour les simples soldats, consistent en montre d'or ou d'argent que le lauréat est autorisé à porter d'une manière apparente. Le camp de Moscou est situé au nord-ouest de cette ville. L'infanterie et l'artillerie y sont campés sous la tente ; la cavalerie est cantonnée avecl'artillerie à cheval, dans les villages voisins. Entre autres établissements,le camp, comme celui de Krasnoïé, possède des bains de vapeur qui sont obligatoires, au moins une fois par semaine pour chaque soldat. Le mess des officiers ainsi que les réfectoires sont établis dans des baraques: Le camp de Varsovie est semblable aux deux précédents et se divise en CAMP DE MOKOTOW pour la Garde, et CAMP DE POVONSKI pour la ligne. La cavalerie et l'artillerie a chevai sont, comme au camp de Moscou, cantonnées aux environs. C'est à une de ces réunions au camp de Krasnoïé-Sélo, que M. E. Detaille fut invité personnellement par l'Empereur. On sait quelles belles études de Maître en a rapportées. Detaille connaît du reste d'armée russe comme il connaît toutes les armées de l'Europe. On se souvient du beau tableau qui figurait à l'exposition de 1889 : « Les Cosaques du régiment de l'Ataman rentrant au cantonnement., » Au premier plan et arrivant sur le spectateur, les musiciens chanteurs, puis la longue file des cosaques dont les derniers cavaliers, à l'horizon, étaient dorés par le soleil couchant. Un jour que j'admirais ce Beau tableau, à l'exposition de 1889, je vis un enfant, petit bonhomme de trois ou quatre ans, pleurer et faire une scène parce qu'il voulait qu'on lui donnât « les soldats ». Voilà, certes, une admiration qui n'était pas de commande ! En dehors des séjours au camp, le Tzar est journellementen rapport avec ses troupes qui ont pour lui une « adoration fanatique », le mot n'est pas exagéré. « C'est dans des solennités militaires qu'ont a le plus souvent l'occasion de voir et d'approcher l'empereur... Quand le Tzar reçoit le rapport le dimanche, devant le front des : deux bataillons qui échangentle service de semaine, il est entouré de sa* nombreuse maison militaire: les vieux généraux reprennent pour un instant leur place dans le régiment des gardes où ils ont débuté, ils tiennent à honneur de défiler avec lui. sous les yeux de leur chef. Les AMBASSADEURS ÉTRANGERS POURVUS D'UN GRADE MILITAIRE SUIVENT ASSIDUMENT CES EXERCICES; ils y trouvent un accès commode auprès de l'empereur. Le soldat diplomate chevauche un moment botte à botte à côté de lui ; on échange quelques mots sur les événements du jour. Les paroles qui ont le plus influé sur l'histoire *le


COSAQUE DE LA GARDE.



contemporaine sont, tombées des lèvres impériales dans

le

manège Michel,

murmurées

à une oreille attentive entre deux commandements de « Portez armes » ! Ces manèges des corps de la Garde sont d'immenses vaisseaux, parfaitement clos et chauffés, où un régiment de cavalerie peut manoeuvrer à l'aise au coeur de l'hiver ; après les églises, ces monuments attirent tout d'abord l'attention, dans la capitale d'une nation religieuse et militaire. Les officiers y donnent de brillants carrousels; ils organisent des quadrilles équestres avec de hardies amazones, sous les tribunes bondées de monde select. En plus de la parade du dimanche, ne se passe guère de semaine sans que l'Empereur vienne présider dans un de ces manèges la fête du régiment dont on célèbre le saint patron, ou un des nombreux jubilés destinés à entretenir l'esprit militaire (1) : anniversaire d'une victoire, d'un événement historique, cinquantenaire d'un chef illustre dans l'armée par de longs services. » Les revues du champ de Mars sont légendaires; on a souvent décrit avec quelle pittoresque variété les Russes savent faire défiler leurs troupes pour éviter la monotonie : le régiment PAVLOVSKY, par exemple, celui qui est composé d'hommes ayant le nez camard et la moustache rousse, défilant au pas de charge en croisant la baïonnette pour rappeler la charge qu'il exécuta au siècle dernier afin de dégager l'armée de Souvarov des mains des Turcs ; les régiments de cavalerie défilant au pas, au trot, au galop avec des escadrons à pied ; fies chevaux tenus par les escadrons qui suivent ; les Cosaques défilant à bride abattue, et tournant court devant la tribune impériale, sans une chute ! Des Cosaques debout sur la selle, couchés en travers, ramassant la lance ou le pistolet qu'ils ont jeté devant eux ; l'artillerie défilant à fond de train, etc., etc. En toutes choses d'ailleurs, chaque arme, chaque régiment conservent avec fidélité les traditions; l'esprit de corps est entretenu avec soin par les hauts chefs, qui savent ce qu'on peut faire d'une troupe qui a la conviction de sa supériorité. « Je voudrais que les Cosaques ne perdissentjamais le souvenir du vieux dicton de leurs pères : « QUAND JE SUIS SUR MON CHEVAL, DIEU SEUL EST « PLUS HAUT QUE MOI ! » (Instruction du général Koulgatchev.) Et n'est-ce pas dans une STANITSA des Cosaques du Don que l'on conserve religieusementfia lance du Cosaque Palouline, qui, pendant la guerre de Turquie, entouré par un grand nombre dennemis, tua trois de ses adversaires et se fit jour au travers des autres ? Dix-sept entailles sont restées marquées sur le bois de sa lance ! Et pour terminer cette rapide étude de la cavalerie d'un peuple dont le dicton populaire est : CHAPKAMI ZABRAÇAIÈME !

il

l'interdiction de la belle fête militaire que plusieurs régiments de cavalerie se proposaient de donner dans le manège de la galerie des machines il y a quelque temps. (1) A opposer, chez nous,


Nous sommes si nombreux qu'il nous suffira de jeter nos chapeaux sur l'étranger pour l'étouffer », racontons un des plus brillants faits d'armes exécutés par la cavalerie «

russe pendant la campagne de 1877-78. Le 14 janvier 1878, le général Stroukov quitte Eski-Sagra à la tête de 9 escadrons, après avoir fait à ses officiers le petit speech suivant : « Messieurs, vous avez l'honneur de servir d'avant-garde à l'armée. Les regards de toute la Russie seront fixés sur vous. N'ou« exige de la cavalerie : une grande audace jointe à la plus grande « bliez pas ce qu'on prévoyance. Il nous faut obtenir les plus grands résultats avec le. moins de pertes « « possible. Nous faisons un raid qui doit avoir le caractère d'une reconnaissance géininterrompue. Nous avons devant nous l'inconnu, et il nous faudra agir selon « nérale « les circonstances. « FAISONS LE SIGNE

DE LA CROIX, ET EN

AVANT

!

»

Éclairant l'infanterie de Skobélev qu'il précède, le général Stroukov, lancé au milieu des troupes turques en retraite, marche, autant que possible, pendant la nuit, pour mieux dissimuler le petit nombre de ses cavaliers. Il avance prudemment, mais avec vigueur et décision ; et ses petits détachements, apparaissant à la fois inopinément sur des points différents, sèment la terreur parmi les colonnes turques au milieu desquelles il se meut, sans prendre souci de ses communications. Achmed-Eyoub-Pacha, qui a sous ses ordres 8.000 nizams, 60 canons et un grand nombre de bachi-bouzouks, n'ose pas défendre Andrinople et ses 120.000 habitants, et s'enfuit devant l'audacieuse petite troupe. Hassan-Pacha et Abdoul-Kerim-Pacha qui rétrogradaient, à la tête de forces imposantes, de Yamboli sur Andrinople, changent aussitôt de direction et se rejettent du côté de l'Est. Le 1er février, Stroukov arrive à Tchataldja, aux portes de Constantinople, où il est arrêté par la nouvelle de l'armistice. Il faudrait encore citer la remarquable marche du général Lazarev, du 9 au 16 octobre 1877. A la tête de 23 bataillons, 28 escadrons et 78 pièces, le général fait un mouvement tournant qui, par la sûreté et la vigueur avec lesquelles il est mené, cause la destruction d'une partie de l'armée de Mouktar-Pacha, la prise de 7 généraux turcs, de 20 bataillons et de 30 canons... Quant au mot de la fin, c'est Pierre le Grand qui nous le dira en nous donnant le secret de la grandeur et de la vaillance de l'armée russe : « Encore qu'officiers sont à soldats comme père à enfants, pour icelle cause, il leur appartient mêmement de les traicter comme pères enfants. Et encore qu'enfants sont muets devant pères en toute soumission, reposant leurs espérances en pères pour chaque objet; pour icelle cause, pères ont cure vigilamment de leur instruisance, de leur subsistance et de toute pourvoyance d'iceulx, notamment à cette fin qu'ils n'éprouvent aulcuns besoins, ni manquements. D'icelle façon doivent des officiers (et les nostres plus qu'aulcuns autres, à cause que


point n'est peuple au monde aussi soumis comme le Russe), pour l'avantage du soldat, faire ce qui est dans leur puissance (et ce qu'ils n'ont pas, en faire rapport à plus haut qu'eux) et non pas que de les (fatiguer) en vaines cérémonies, gardes et aultres et notamment dans le tems d'une campaigne. »



PRINCIPAUX OFFICIERS

DE LA CAVALERIE RUSSE EN 1892 (1)

INSPECTEUR GÉNÉRAL DE LA CAVALERIE :

S. A. I. le

1re

Brigade (Chevaliers-Gardes et Gardes du corps

Grand-Duc Nicolas. GÉNÉRAUX DE CAVALERIE,AIDES DE CAMP DE S. M. L'EMPEREUR :

COMMANDANT :

Prince Mélikov.

2e

Timachev.

Prince Menchikov.

COMMANDANT :

Gourko. Volkov.

3e

Merder. Prince Dondoukov-Korsakov. Tchertkov.

Sturler. Chamchev.

Prince Sviatopolk-Mirsky 2e. Comte Moussine-Pouchkine. Baron Driesen. Comte Vorontzov-Dachkov. Gall.

Bloch, général-major.

Brigade (Cosaques de

COMMANDANT :

la Garde).

Khrechtchatitzky,général-major.

( 2e

DIVISION.

S. A. I. le Grand-Duc Nicolas Nicolaiévitch, général-major. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Préjentzov, colonel. 1re

Brigade (Grenadiers à

COMMANDANT :

2e

Chérémétiev.

cheval et Hussards).

N.

Brigade (Dragons et Hussards de S.M. l'Empereur).

GARDE IMPÉRIALE. Manzéï, général de cavalerie. Skougarevsky, général-major.

COMMANDANT DU CORPS :

CHEF D'ÉTAT-MAJOR :

1re DIVISION.

N.

CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Mikhniévitch, colonel.

COMMANDANT :

3e

COMMANDANT :

Grodno).

Baron Offenberg.

CHEVALIERS-GARDES DE S. M. L'IMPÉRATRICE. CHEF : S. M. l'Impératrice. SECOND CHEF : S. M. l'Empereur.

Timiriazev,général-major.

ROTMISTRES :

Il n'existe pas pour l'armée russe d'Annuaire militaire, général, comme dans d'autres pays, et la présente liste a été rédigée d'après des listes d'ancienneté publiées séparément pour chaque grade et d'après d'autres documents.

Tchervonny, général-major.

Brigade (Hulans de S. M. et Hussardsde

COLONEL : (1)

Brigade (Cuirassiers).

COMMANDANT :

Manzéï.

COMMANDANT :

à cheval). Timiriazev, général-major.

Dachkov. Bernov. Brümmer.

Kaznakov.


GARDES DU CORPS

A

CHEVAL.

S. M. l'Empereur. : S. A. I. le Grand-Duc Paul Alexandrovitch. ROTMISTRES : Hartung. Baron Meyendorf. Niépokoïtchitzky. Comte Steinbock. Comte Benkendorf. S. A. I. le Grand-Duc Dimitr Konstantinovitch. Prince Bagration-Moukhransky. CHEF :

COLONEL

Ap. Alymov. An. Alymov. Baron Delingshausen. Egorov. HUSSARDS DE S. M. L'EMPEREUR. COLONEL

:

Prince Vassiltchikov, général-major.

Mouromtzev. Talichtchev.

ROTMISTRES :

Voronov.

Khrapovitzky. CUIRASSIERS DE S. M. L'EMPEREUR. COLONEL

Tal, général-major.

:

Michine. Jivkovitch. Paléologue.

ROTMISTHES :

HULANS DE S. M. L'EMPEREUR.

Khroulev, général-major.

Eropkine. Feldmann. :

COLONEL : Alexiéev, général-major. ROTMISTRES : Kolomnine.

Gorlchakov. Comte Fersen.

Tchernota de Boïary-Boïarsky. Iankovilch. Lazarev.

Avenarius. Troussiévitch. GRENADIERS A CHEVAL.

S. A. I. le Grand-Duc Michel Nicolaiévitch. COLONEL : Maximovitch, général-major. ROTMISTRES : Batalzi. Ivanov. Sipiaguine. Baron Budberg. Démor. CHEF

Baron Slanderscheld.

Prince Chakhovskoï. Prince Chervachidzè.

CUIRASSIERS DE S. M. L'IMPÉRATRICE.

ROTMISTRES

Prince Gagarine. Volkov.

Katzourik. Meïnard. Tirane.

COLONEL :

Kroupiensky.

Trambilzky. Von Remer.

:

Annenkov. Ouchakov.

HUSSARDS DE GRODNO.

S. A. I. le Grand-Duc Paul Alexandrovitch. COLONEL : Ostrogradsky, général-major. ROTMISTRES : Likhalchev. Simachko. CHEF

:

Heimann.

Charpentier. HULANS.

Lerkhé. Gritzenko. Vassianov.

COLONEL : Baranov, général-major. ROTMISTRES Von Lüder.

:

Destrem. Baron Driesen. Derfelden.

COSAQUES DE S. M. L'EMPEREUR. COLONEL :

Korotchentzov, général-major.

COSAQUES DU GRAND-DUC HÉRITIER.

Pétrov.

COLONEL :

Medviédiev.

ESCADRON DE COSAQUES DE L'OURAL.

Baron Staël von Holstein. Hertik.

Grékov, général-major.

COMMANDANT :

Martinov, colonel.

DRAGONS. CHEF

:

A.I. le Grand-Duc Vladimir Alexandrovitch.

S.

Zykov, général-major. ROTMISTRES : Baron Nettel-Horst. Zdroievsky. Zienkiévitch. COLONEL

ESCORTE PERSONNELLE DE S. M. L'EMPEREUR (4 sotnias de Cosaques, deux du Kouban, deux du

:

Terek.) S. M. l'Empereur. COMMANDANT : Cherémétiev, général-major. CHEF

:


CAVALERIE DE LIGNE. DIVISION (1er

1re

CORPS D'ARMÉE, ARRONDISSEMENT MILITAIRE DE MOSCOU).

COMMANDANT :

6E

DIVISION (6E

CHEF D'ÉTAT-MAJOR: Smirnov, colonel.

1re Brigade (1er et 2e Dragons).

Vintoulov, général-major.

2e Brigade (3e Dragons, 1er Cosaques du Don). COMMANDANT : Gardénine, général-major.

Brigade (16e et

1re

CHEF D'ÉTAT-MAJOR: Vyttek, colonel.

COMMANDANT :

Parensov, général-lieutenant.

COMMANDANT :

der Launitz, général-lieutenant.

Von

CORPS, ARRONDISSEMENTMILITAIRE DE VARSOVIE).

Bogouchevitch, général-major.

COMMANDANT :

2e

Brigade

COMMANDANT :

7e

17e Dragons).

du Don). Vonliarliarsky,général-major. (18e Dragons, 6e Cosaques

DIVISION (7e

CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE

D'ODESSA).

DIVISION (2e

2e

CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE DE VILNA).

Baron Meyendorf, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Bobyr, colonel.

Bodisko, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR: Bezradetzky, colonel. COMMANDANT :

COMMANDANT :

1re

Dragons).

5e

Hiine, général-major.

COMMANDANT :

2e

Brigade (4e et

Brigade

COMMANDANT :

(6e

Dragons, 2e Cosaques du Don).

1re Brigade (19e et 20e Dragons). Von Brevern,

COMMANDANT :

2e

Brigade

COMMANDANT :

Palitzyne, général-major.

général-major.

Dragons, 7e Cosaques du Don). Tchernozoubov, général-major. (21e

8e DIVISION (8e CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE D'ODESSA).

DIVISION (3e CORPS, ARRONDISSEMENTMILITAIRE

3E

Kraievsky, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Garnak, colonel. COMMANDANT :

1re COMMANDANT :

Brigade (7e et

8e Dragons).

Jelloukhine, général-major.

Brigade

Dragons, 3e Cosaques du Don). COMMANDANT : Ilovaïsky, général-major. 2e

(9e

4e DIVISION (4e CORPS, ARRONDISSEMENTMILITAIRE DE VILNA).

Stroukov, général-lieutenant. D'ÉTAT-MAJOR: Von Essen, colonel.

COMMANDANT :

CHEF

1re

Brigade (10e et

COMMANDANT :

2e

COMMANDANT : 5E

11e

Dragons).

Pilsoudsky, général-major.

Brigade (12e Dragons, 4e

Cosaques du Don).

Baroutch, général-major.

DIVISION (5E

CORPS, ARRONDISSEMENTMILITAIRE DE VARSOVIE).

Riesenkampf, général-lieutenant. D'ÉTAT-MAJOR: Volochinov, colonel.

COMMANDANT :

CHEF

1re Brigade (13e et 14e Dragons). COMMANDANT :

2e

Brigade

COMMANDANT :

Borozdine, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Selivanov, colonel.

COMMANDANT :

DE VILNA).

Bogovsky, général-major.

Dragons, 5e Cosaques du Don). Grékov, général-major.

Brigade

1re COMMANDANT :

2e

et 23e Dragons).

Khrouchtchev, général-major.

Brigade (24e Dragons, 8e Cosaques du Don).

COMMANDANT :

Kvitnitzky, général-major.

DIVISION (9e

9E

(22e

CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE DE KIEV).

Novitzky, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR: Morozov, colonel. COMMANDANT :

1re

Brigade (25e. et

COMSLANDANT :

26e Dragons).

Korévo, général-major.

2e Brigade (27e Dragons, 1er Cosaques de l'Oural). COMMANDANT :

10e

Merkling, général-major.

DIVISION (10e

CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE DE KIEV).

Rebinder, général-lieutenant. D'ÉTAT-MAJOR : Leiming, colonel.

COMMANDANT :

CHEF

1re COMMANDANT :

2e

Brigade (28e et 29e Dragons). Glavatzky, général-major.

Brigade

(15e

COMMANDANT :

Dragons, 1er Cosaques d'Orenbourg).

(30e

Sannikov, général-major.


11e

DIVISION, (11E

DE KIEV).

Ter-Assatourov, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Arbouzov, colonel.

Brigade (31e et

2e

32e Dragons).

CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Odyntzov,

Brigade

(33e Dragons, 11e Cosaques

du Don).

Etter, général-major.

COMMANDANT :

2e

colonel.

Brigade (43e et 44e Dragons).

1re

Leslie, général-major.

COMMANDANT :

Prince Amilokhvarov, général-lieutenant.

COMMANDANT :

COMMANDANT :

1re

DIVISION DE CAVALERIE DU CAUCASE.

CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE

Brigade (45e et 46e Dragons). Arcichevsky, général-major.

COMMANDANT :

Gomolitzky, général-major.

COMMANDANT :

1re DIVISION DE COSAQUES DU DON.

12e DIVISION (12e CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE DE KIEV).

Lermantov, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Tchétyrkine, colonel. COMMANDANT :

1re

Brigade (34° et

Brigade (36e Dragons,

3e Cosaques

d'Orenbourg). Skalone, général-major.

COMMANDANT :

13e

Dragons).

DE

CHEF D'ÉTAT-MAJOR:Vassiliev, colonel.

1re

VARSOVIE).

Baron Meyendorf, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Ekk, colonel.

Brigade

et 38e Dragons). COMMANDANT : Likhtansky, général-major. 2e

(37e

Brigade (39e Dragons, 2e Cosaques d'Orenbourg). Prince Eristov, général-major.

COMMANDANT :

Brigade

COMMANDANT :

2e

et 10e Cosaques du Don). Tourtchaninov,général-major. (9e

Brigade (13e et 15e

COMMANDANT :

Cosaques du Don).

Iagadine, général-major.

2°DIVISION DE COSAQUES DU DON. Korochentzov,général-major. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Nazarov,colonel. COMMANDANT :

COMMANDANT :

1re

Andrianov, général-lieutenant.

(ARR. MILIT. DE KIEV.)

DIVISION (13e CORPS, ARRONDISSEMENTMILITAIRE

COMMANDANT :

Adamovitch, général-major.

COMMANDANT :

2e

35e

(ARR. MILIT. DE VARSOVIE.)

1re

Brigade (16e et

COMMANDANT :

17e Cosaques

du Don).

Dénissov, général-major.

Brigade (1er rég. d'Ouroup, Cosaques du

2e

Kouban, et 2e rég. du Volga, Cosaques du Terek). COMMANDANT :

1re

Pientioukhov,général-major.

DIVISION DE COSAQUES DU CAUCASE. (AU CAUCASE.)

14e DIVISION (14e CORPS, ARRONDISSEMENTMILITAIRE DE VARSOVIE).

Comte Mengden, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Von Rennenkampf, colonel. COMMANDANT :

1re

Brigade

COMMANDANT :

2e

(40e

et 41e Dragons).

Véliaminov-Zernov,général-major.

Brigade (42e Dragons,

COMMANDANT :

14e

Cosaques du Don).

Baron von Kriedener, général-major.

15e (DIVISION (15e CORPS, ARRONDISSEMENT MILITAIRE DE VARSOVIE).

Baron Kaulbars, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Grigoriév, colonel.

COMMANDANT :

1re COMMANDANT :

2e

Brigade (47e Dragons).

N...

Brigade (48e Dragons, 3e Cosaques de l'Oural).

COMMANDANT :

Bajenov, général-major.

Toumolmine, général-lieutenant. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Lissovsky, colonel.

COMMANDANT :

Cosaques du Kouban, et 1er rég. de Mozdoksk,Cosaques du 1re

Brigade (1er rég. du Kouban,

COMMANDANT :

2e

Térek). Prosorkiévitch, général major.

Brigade (1er rég. d'Human, et Cosaques du Kouban

COMMANDANT :

1er

de Khoper,

.

Piédine, général-major.

2e DIVISION DE COSAQUES DU CAUCASE.

Léonov, général-major. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : Goukov, colonel. COMMANDANT :

1re Brigade (1er rég. de Poltava, 1er rég.

de Caucase). COMMANDANT :

major.

Mirza-Hadji-Bek-Navrouzov, général-


LIEUTENANT DE COSAQUES.



2e

Brigade (1er rég. d'Iéï ; 1er rég.

de Labine).

Iessaoulov, général-major.

COMMANDANT :

BRIGADE TRANSCASPIENNE DE COSAQUES.

Baron von Stachelberg, général-major.

COMMANDANT :

Baron Stachelberg.

ROTMISTRES :

Ivanov. Falkovsky, Sokolov. Zololoukhine. Von Kek. 5e DRAGONS, DU CORPS, de COURLANDE.

RÉGIMENTS DE DRAGONS. 1er

CHEF :

DRAGONS, DU CORPS, dit DE MOSCOU.

S.

COLONEL :

M.

l'Empereur.

Riesenkampf.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Skoryno.

Adamenko. Obolianinov. ROTMISTRES : Komotsky. Zagoskine.

l'Empereur. COLONEL : Kanchine. CHEF :

S.

M.

LIEUTENANTS-COLONELS: Prince

Nakachidzé.

Chantarine. Baumgarlen. Kharnsky. ROTMISTRES : Kounitzky. Verth. Krioukov.

Gordiéiev.

Tarelkine.

Kamsarakane. Sliépantzov. Rautsmann.

6e DRAGONS, DU CORPS, de PAvLOGRAD.

l'Empereur. COLONEL : Bader.

Tchernikov. Lohn.

CHEF :

S.

M.

LIEUTENANTS-COLONELS: Poklewsky-Koziello.

de

2e DRAGONS, CHEF NOMINAL : Prince COLONEL : Batorsky.

SAINT-PÉTERSBOURG.

Menchikov, feldmaréchal.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Séménov. Matviéiev.

ROTMISTRES :

Ivanov.

Von Sieger-Korn.

Vassiliev.

Kazarinov.

Lissowsky. Tchevakinsky. Dournovo.

7e DRAGONS,

Fédorov. 3e DRAGONS, CHEF : S. A. R. le prince COLONEL : Prjévolotsky. LIEUTENANTS-COLONELS:

Kondratov. Comte Rebinder.

Zakharov.

Goubine.

Slavine. ROTMISTRES :

Paiewsky.

de

SOUMY.

héritier de Danemark.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Konkov.

Kostienko. Weichler. Khodoliéi.

Sterligov. Danilov. Polschau.

8e DRAGONS, DU CORPS,

4e DRAGONS, DU CORPS,

de

CHEF : S. M. l'Empereur. COLONEL : Nikolaiev. LIEUTENANTS-COLONELS:

Nikitine. Voïnitch.

Smirnov.

Liésniak.

Lepiékha. Tabartovsky.

Tichéninov.

Vladimir Alexandrovitch.

Von Reese. Korolenko.

Sérébrakov. Prince Tchkhéidzé. ROTMISTRES :

NOUVELLE-RUSSIE.

CHEF : S. A. I. le Grand-Duc COLONEL : Tchernychev.

ROTMISTRES :

Kamiensky.

de

Liachkiévitch.

PSKOV.

CHEF : S. COLONEL :

de

SMOLENSK.

M. l'Empereur.

Pakhalone.

LIEUTENANT-COLONEL: G.

Koudriavtzev.

N. Koudriavtzev. ROTMISTRES : J. Kounitzky. Afanassiev. Sokolovsky.


Ogranovitch.

Malama.

F. Kounitzky. Feldmann.

Tratsevsky.

9e DRAGONS, d'ÉLISAVETGRAD.

S. M. le Roi de Wurtemberg. COLONEL : Nordh Ier.

CHEF :

LIEUTENANTS-COLONELS:

Leichtfeld.

CHEF NOMINAL :

S. A. I. le Grand-Duc Constantin Nico-

laiévitch. COLONEL :

Dobromyslov.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Matrozov.

Tsiekhanovsky. Tyménietzky.

Térentiev. Leman. Loupondine. De Téils. Baron von Meidel.

ROTMISTRES :

Bouroundoukov. Chimanovsky. Von Wagner.

10e DRAGONS, d'ÉKATERINOSLAV.

Prince Potemkine-Tavritchesky,feldma-

réchal.

14e DRAGONS,

Golovatchev.

LIEUTENANTS COLONELS :

Pouchechnikov.

Nartzov.

de LITHUANIE.

S. A. I. l'Archiduc Albert d'Autriche.

CHEF NOMINAL : COLONEL :

COLONEL : Kariéev. LIEUTENANTS-COLONELS :

KARGOPOL.

Korchoune. Pokorsky. Prince Khimchyiev.

Tzitzo- Tokaiev. Tchetchott. ROTMISTRES : Boulytchev.

CHEF NOMINAL :

de

13e DRAGONS,

Bitnyi-Chliakhto.

Mouratov. Argamakov.

Jiline.

Lissetzky. Pokorsky-Joravko. ROTMISTRES : Pastchenko.

Tomilov Boukhvostov. Rembousky.

ROTMISTRES :

Ozersky.

Kourjénietzky. Niedzvietzky.

Dounaiev. Tomachevsky.

Ivanov. 15e DRAGONS, D'ALEXANDROVSK. 11e DRAGONS,

de KHARKOV.

S. A. I. la Grande-Duchesse AlexandraPavlovna. COLONEL : Véïmarn. CHEF :

LIEUTENANTS-COLONELS :

Rostkowsky.

Samoriadov. Soulkiévitch.

COLONEL : Boborykine. LIEUTENANTS-COLONELS:

Lermantov. Von

der Launitz. Vinguer.

ROTMISTRES :

Svirsky.

Iznoskov.

Kraïter.

Nadervel. Kazatchenko. Savoïsky.

Baron Tornau.

ROTMISTRES :

Tomachevsky.

Bronsky.

Roop.

16e DRAGONS,

Fastchevsky. 12e DRAGONS, CHEF NOMINAL :

de

MARIOUPOL.

Prince Wittgenstein, général feldmaré

chal. COLONEL :

CHEF NOMINAL :

Iossifovna. COLONEL : Fomine.

Prince Gagarine. Miézenlzov. Ivanovsky.

Loukine.

A. Loukachev.

Domoratzky. Malychévitch. Focht.

ROTMISTRES :

Rubinstein. Laskiévitch.

Dobrovolsky.

Roggué.

Listovsky.

ROTMISTRES :

Davydov.

N. Loukachev.

Plévié.

de GLOUKHOV.

S. A. I. la Grande-DuchesseAlexandra

LIEUTENANTS-COLONELS:

LIEUTENANTS-COLONELS :

Pavlov.

Dragol.


17e DRAGONS,

de

VOLHYNIE.

S. A. I. le Grand-Duc Constantin Nico-

CHEF NOMINAL :

laiévitch. COLONEL : Klavèr. Zaboussov.

Henkhusen.

Nikitine. Lébédintzev.

Nordman. Kardachevsky. Tzégué von Manleuffel. Prokopovitch. Iasievitch.

ROTMISTRES :

18e DRAGONS,

Abramov. Rogovsky.

Rakchanine. Von Ziegler. Kourdimanov. Tilitchev.

S. A. I. le Grand-DucNicolas Nicolaiévitch COLONEL : Karganov. LIEUTENANTS-COLONELS: Filonov.

de

KLIASTITZA.

Aurenius.

Vislotzky. ROTMISTRES :

De Viri.

CHEF :

Borodaïevsky.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Rokka-Fouchs.

22e DRAGONS, D'ASTRAKHAN.

S. A. R. Ernest-Louis, Grand-Duc de Hesse.

COLONEL :

Koupenko.

Zololarev. Zagorsky, ROTMISTRES : Gontcharov. Touloubiev.

Chatov. Basnine. Kartachev.

Savitzky.

Nadikt-Riézounov.

Lindberg-Kohl.

Ebergardt. Narboult.

23e DRAGONS, de VOZNIÉSIENSK.

19e DRAGONS, de KINBURN. CHEF : S. A. I. le Grand-DucMichel-Nicolaiévitch. COLONEL : Olkhine. LIEUTENANTS-COLONELS:

Lamartinière.

Loupall.

De Witte.

COLONEL :

LIEUTENANTS COLONELS :

Boutchinsky.

De Pollini.

Lalévitch. ROTMISTRES :

Roudenko.

Sinitzyne. Bogouslavsky.

Drogalev. ROTMISTRES : Radzévitch. Comte Keller.

Safonov. Réchélilov. Soukharev.

Zaïkovsky.

Huber.

24e DRAGONS, de LOUBIENSK.

Obrazkov.

Serboull.

CHEF : S.

Pokrassa.

A. I. l'Archiduc Charles-Louis d'Autriche.

COLONEL :

20e DRAGONS, d'OLVIOPOL. COLONEL :

Filonov.

ROTMISTRES :

LIEUTENANTS-COLONELS:

CHEF :

LIEUTENANTS-COLONELS:

LIEUTENANTS-COLONELS :

Kanatov.

Daragane. Kharitonov. ROTMISTRES : Iampolsky. Markiévitch. Pouhalsky. Radkiévitch.

Kartachev. Boulovitch. ROTMISTRES: Massalitinov. Kvachnine-Samarine.

Erdéli. Sargani. Sirbou. Dolinsky.

Engelhardt.

25e DRAGONS, de KAZAN.

Tarnovsky. Andréev.

21e

Grigoriev.

Bobé.

Iaguéllo.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Iannaou.

CHEF : DRAGONS,

de

RUSSIE BLANCHE.

CHEF : S. A. I. le Grand-Duc Michel Nicolaiévitch. COLONEL : Zander.

S. A. I. l'Archiduc Léopold d'Autriche.

COLONEL : Kozlovsky. LIEUTENANTS-COLONELS:

Boukriéev. ROTMISTRES :

Baer.

Aristov.


30e DRAGONS, D'INGERMANLAND.

Kartachevsky. Pougovitchnikov.

CHEF :

Von Meyer.

COLONEL

Zroudelsky. Prince Chahovskoï.

Von Grienwald.

Korniéenko.

Kamensky.

I. l'Archiduc François-Ferdinand d'Au-

triche. COLONEL : Schmidt. LIEUTENANTS-COLONELS:

:

LIEUTENANTS-COLONELS :

26e DRAGONS, de BOUG. CHEF : S. A.

S. A. le Grand-Duc de Saxe-Weimar.

Baron von Stachelberg.

Kononov.

Maliuchitzky-Oulane. Miétchnikov.

ROTMISTRES :

Iazykov. Westmann. Rieznikov.

Tchébotarev. 31e

Likhtansky. ROTMISTRES : Filonov. Biélogroudov.

DRAGONS, DE RIGA.

Chéréméliev.

Glavatzky. Liachenko. Popov.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Tzivinsky. 27e DRAGONS, de KIEV.

COLONEL

:

Iguelstrom.

Benkendorf.

LIEUTENANTS-COLONELS :

Kourachinsky.

Matzievsky. Chimanovsky. Leïkovsky.

ROTMISTRES :

Jiromsky. Kolesnikov.

Gribsky. Afanassiev.

Trounine.

ROTMISTRES : Von Meyer.

Sorokine. Boukriéev. Baron Krüdener. Bondyrev.

32e DRAGONS, DE TCHOUGOUIEV. CHEF :

S. M. l'Empereur.

COLONEL : Ambrazantziev. LIEUTENANTS-COLONELS : Guénichta.

Roslein.

Tomkovitch. 28e DRAGONS, de NOVGOROD.

S. M. le Roi de Wurtemberg. COLONEL : Zander.

CHEF :

LIEUTENANTS-COLONELS:

Joukov.

De Roberty.

Otto.

Tarnovsky.

Zander. Debière.

Dobrohotov. Khersonsky. Koslienko.

ROTMISTRES :

Vikgorst.

Fridoun-Beg-Ki-Az-Vizirov. ROTMISTRES : Baron von Medem. Bohomoletz.

CHEF : S. A. R. le Prince Henri de COLONEL : Slarodoubtzev.

Popov.

Prince Avalov.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Makoukhine.

Prusse.

Damé.

Debière.

29e DRAGONS, d'ODESSA. CHEF : S. A. le Duc COLONEL : Barte.

33e DRAGONS, D'IZIOUM.

de Nassau.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Baron Witte.

Ekh. Kolvzane. Tougane-Mirza-Baranovsky. Tchehovsky. Tchoumatchkov. Tolpygo.

ROTMISTRES :

Mostovoï. Khareth-Ahmeth-Ogly.

ROTMISTRES :

Adabache.

.

Sokolsky.

Belgardt. Rjandkovsky. Tihomirov. Modestov. 34e DRAGONS, DE STARODOUB.

Znatchko-Iavorsky.

Rozalione-Sochalsky.

COLONEL

Miezetzky.

LIEUTENANTS-COLONELS : Von

:

Ziegler.


Beïl.

Poznansky.

Ivanov.

Groholsky. ROTMISTRES : Beneskoull.

Konradi. Vinogradsky.

Brioussov. Bandrovsky. Ianikovsky. Kreminsky. Novatzky.

39e DRAGONS,

S. A. I. le Grand-Duc Constantin Nicolaiévitch. COLONEL : Baron von Stempel.

CHEF NOMINAL :

35e DRAGONS, DE BIELGOROD.

S. M. l'Empereur d'Autriche. COLONEL : Korf. CHEF :

LIEUTENANTS-COLONELS:

Bogdanovitch.

Tolkounov. Tchernotzky.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Préjentzev. Montchinsky. Obraztzov.

ROTMISTRES :

Iakovlev.

Kissiélev.

Boulatov.

Koch.

40E DRAGONS, de PETITE-RUSSIE.

Guéitzigue. Kouzmine.

Bolioubache.

Plachinsky. Nazimov.

Gniédenko. ROTMISTRES : Maltzov.

Baranovsky. Mirovitch.

Andréev. ROTMISTRES:

Pouchtchine. Koslyrev.

Nazimov.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Av-Meynander. LIEUTENANTS-COLONELS: Oldéroggué. COLONEL :

36e DRAGONS, D'AKHTYR. COLONEL :

Vistchinsky. Chabelsky.

Frolov.

Ignatiev. Dmitriev.

41e DRAGONS,

Viéliachéev.

Reichwald.

CHEF NOMINAL : Le Général-FeldmaréchalComte Minikh. COLONEL : Vierba.

Proffen.

Soultanov. Manleuffel. Soundstrem. Radvilovitch. de VLADIMIR.

S. A. I. le Grand-Duc Michel Nicolaiévitch. COLONEL : Herschelmann.

CHEF :

Robouk.

Danilov. Fliaksberguer.

Ivanov:

CHEF : S. COLONEL :

de MITAVA.

A. R. le Prince Albert de Prusse.

Iermoline.

LIEUTENANTS-COLONELS: Nordstein.

Elkan.

.

Kondyrev.

Miassoiédov. ROTMISTRES : Dombrovsky. A. Zaharov.

Zaharov. Prince Chahovskoï. Lobane. G.

Nélidov.

Davydov.

42e DRAGONS,

38e DRAGONS,

ROTMISTRES :

LIEUTENANTS-COLONELS:

Narboult.

Koupstz.

Azariev.

Kozlovsky.

Frankovsky. Sidorov.

Trambitzky.

Klevezal. Von Renne.

COLONEL :

Vassilevsky. Kokhanovitch.

Okonev.

LIEUTENANTS-COLONELS:

S. A. I. la Grande-Duchesse Marie Alexandrovna.

ROTMISTRES :

Khelminsky. ROTMISTRES :

de YAMBOURG.

CHEF :

37E DRAGONS, DE L'ORDRE GUERRIER.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Baïkov.

Iguelstrom. Mazaraki.

Schwind. ROTMISTRES:

de NARVA.


43e DRAGONS, de TVER. COLONEL : Diével. LIEUTENANTS-COLONELS:

Bong. Mélik-Schah-Nazarov. Kritchinsky.

Materno. 47e DRAGONS, des TATARS.

Prince Vatchnadzé. Voïnilovitch. ROTMISTRES : A. Vékilov.

COLONEL :

Prince Tzitzianov. Prince Tchavtchavadzé.

LIEUTENANTS-COLONELS:

Gorlenko. ROTMISTRES :

Terpilovsky. Zinzerling. 48e DRAGONS, de l'UKRAÏNE.

Deboroguii-Mokriévitch.

Pychnenko. Karangozov.

Prince Louis-NapoléonBonaparte. ROTMISTRES : Prince Tchkhéïdzé. Fourdouiev. Tanoutrov.

B. Kouzmine-Korovaiev.

Staritzky. K. Kouzmine-Karavaiev.

44e DRAGONS, de NIJNY-NOVGOROD. COLONEL : Bibikov. LIEUTENANTS-COLONELS :

Vérevkine.

Piéounov. Lévinsky.

D. Vékilov. Prince Tarkhane-Moouravov.

Prince persan Khan-Baba-Khan. Prince persan Chafi-Khan.

Kolcsnikov.

COLONEL :

Tchéliustkine.

LIEUTENANTS-COLONELS :

Wagner.

Piatnitzky. ROTMISTRES :

Efrémov.

Siémiéka. Lopatine.

Prince persan Emir-Kazym-Mirza. Prince Tzérétéli.

Vorobiev. Oussienko.

Pantchoulidzev. Evstafiev. Jdanko.

Ardjévanidzé. Danilov.

Goursky. 45e DRAGONS, de SIEVIERSK. CHEF :

DÉTACHEMENTS DE CAVALERIE NE FAISANT PARTIE D'AUCUNE DIVISION.

S. M. le Roi de Danemark.

Prince Tchavtchavadzé. LIEUTENANTS-COLONELS: Prince Barnaba-Mikéladze. Arséniev.

RÉGIMENT DE DRAGONS DE FINLANDE.

COLONEL :

Tkatchenko. Aksentiev. ROTMISTRES :

COLONEL :

Schaumann.

DÉTACHEMENT DE CRIMÉE (dans l'arr. militaire

d'Odessa).

Prince K. Mikéladzé.

Sokolovsky. Serdakovsky.

Koltchine.

COMMANDANT : COLONEL

Von Tranzègué.

DÉTACHEMENT D'OSSÉTINE (dans l'arr. militaire du

Caucase).

Prince persan Abdoul-Samed-Mirza.

COMMANDANT: LIEUTENANT-COLONEL VON Krusenstern.

46e DRAGONS, de PÉRÉIASLAV.

ROTMISTRES : Von Kube.

Schmidt. CHEF

:

Kozine.

S. M. l'Empereur.

COLONEL :

Noudjevsky.

Hias-Chanaiev. Mekhti-Aga-Ali-Akper-Krym-Soultanov.

ESCADRONSDU SUD DE L'OUSSOURI.

LIEUTENANTS-COLONELS: ROTMISTRES :

Siétzitzky.

Ivanov. Lychtehinsky. Ter-Assatourov.

COMMANDANT : LIEUTENANT-COLONELBernov.

SOTNIA : COMMANDANT : ROTMISTRE Pavlenko. 2e — LIEUTENANT-COLONELSokolovsky. — 1RE


RÉGIMENTS DE COSAQUES DE LIGNE (1).

1er

régiment d'ÉKATÉRJNODAR *.

I. COSAQUES DU DON. ATAMAN : GÉNÉRAL DE CAVALERIE

Prince Sviatopolk.

Mirsky 2e.

9e 10e 11e

COLONEL :

[textemanquant]

2.

: GÉNÉRAL-LIEUTENANTKohanov. ADJOINTS : GÉNÉRAL-MAJORChépélev. COLONEL Pissarev.

COLONEL :

Rykovsky.

COLONEL :

Andro.

2e

COLONEL :

Smirnov.

COLONEL :

— —

COLONEL : COLONEL :

Avraamov.

COLONEL :

Louizov.

COLONEL :

Iagodine.

rég. de la VOLGA. COLONEL : Prince Djambakou-Orbéliani.

III. COSAQUES D'ASTRAKHAN. ATAMAN : GÉNÉRAL-MAJORTéviachev.

1er

rég. de cavalerie

COLONEL:

Kouzniétzov. COLONEL : Tiéliéchov.

— —

COLONEL :

Sliussarev.

COLONEL :

Sazonov.

— —

COLONEL :

Kaiountchine.

COLONEL :

Doukmassov.

H.

COSAQUES DU CAUCASE.

ATAMAN : GÉNÉRAL DE CAVALERIE

Chérémétiev.

ATAMAN : GÉNÉRAL-LIEUTENANTLéonov.

:

ADJOINTS GÉNÉRAL-MAJORIatzkiévitch.

CHEF D'ÉTAT-MAJOR: GÉNÉRAL-MAJORTcharkovsky. 1er régiment d'OUROUP. COLONEL : Vycheslautzev.

de

KOUBAN. COLONEL:

ATAMAN : GÉNÉRAL-LIEUTENANTMaslakovetz. CHEF D'ÉTAT-MAJOR : GÉNÉRAL-MAJOR Birk.

régiment. COLONEL : Spitzberg.

1er

2e

3E

4e

Iakovlev. de KHOPER (du nom de S. A. I. la GrandeDuchesse Anastasie Mikhaïlovna). Co-

de Darkine. de CAUCASE. COLONEL : Kovalev.

ATAMAN : GÉNÉRAL-MAJORChipov.

régiment. COLONEL : Mikhaïlov, COLONEL : Jigaline. 2e — 3e

COLONEL :

Liubavine.

VI. COSAQUES DE SIBÉRIE.

: GENERAL DE CAVALERIE Baron Taube. 1er régiment, dit d'ERMAK. COLONEL : Chaïtanov. 2e — COLONEL : Sarandinaki.

ATAMAN

3e

d'IÉi. COLONEL : Joukov.

ATAMAN : GÉNÉRAL-MAJORIvanov.

1er

régiment de cavalerie.

COLONEL :

Chtcher-

bakov.

VIII. COSAQUES DE LA PROVINCE D'AMOUR. ATAMAN : GÉNÉRAL-LIEUTENANTBaron

est bien entendu que DOUS ne nous occupons ici que de

régiments de cavalerie, car les troupes cosaques comprennent aussi des régiments d'infanterie et d'artillerie. (2) Les régiments marqués d'une astérique ne font partie d'aucune division de cavalerie.

COLONEL : Vologodsky.

(TURKESTAN RUSSE).

Boulhakov.

COMMANDANT : GÉNÉRAL-MAJORRoubachevsky.

VII. COSAQUES DU SÉMIRIÉTCHIÉ

de LABINE. COLONEL : Tourguiev. de TAMAN. COLONEL : Koukharenko.

BRIGADE DE COSAQUES DU KOUBAN.

(1) Il

V. COSAQUES DE L'OURAL.

d'HUMAN. COLONEL :

DÉTACHEMENT EN GARNISON A VARSOVIE. COLONEL :

Ali-Chéikh-Ali. COLONEL : Kazantzev. COLONEL : Avdiéev. COLONEL : Kholmsky.

COLONEL :

— — —

5e 6e

COLONEL : Grékov.

Kossiakine.

LONEL : Pychkine. POLTAVA. COLONEL :

Chtcherbakov.

1er

GÉNÉRAL-MAJORAvérine.

— —

: COLONEL :

IV. COSAQUES D'ORENBOURG.

1. COSAQUESDU KOUBAN.

COSAQUESDU TÉREK.

CHEF D'ÉTAT-MAJOR: GÉNÉRAL-MAJORNéviérovsky. 1er rég. de GORSKO-MOZDOKSK.COLONEL : Domantovitch.

Doutkine. Maximov.

doukov-Korsakov. de la MER NOIRE. COLONEL : Vyroubov.

Pazdiéiev.

COLONEL : Grékov.

12e (2) —

13e 14e 15e 16e 17e

Prince Don-

— — — —

8e

:

ATAMAN

CHEF D'ÉTAT-MAJOR: GÉNÉRAL-LIEUTENANTMartynov. 1er régiment. COLONEL : Ilovaïsky. 2e 3e 4e 5e 6e 7e

COLONEL

Korf.

1. COSAQUESDU TRANSBAÏKAL. ATAMAN : GÉNÉRAL-MAJOR

1er

Khorochkine.

régiment de cavalerie. COLONEL : Pétrov.


2.

COSAQUESDE L'AMOUR.

ATAMAN : GÉNÉRAL-MAJORBénevsky.

Régiment de cavalerie COLONEL : Vinnikov.

3. COSAQUES DE L'OUSSOURI. ATAMAN : GÉNÉRAL-MAJOR Unterberger.

Régiment de cavalerie.

COLONEL : Von Glen.

ÉCOLE DE CAVALERIE NICOLAS. DIRECTEUR : GÉNÉRAL-MAJORRynkiévitch. PRINCIPAL PROFESSEUR D'ÉQUITATION ET DE DRESSAGE DE L'ÉCOLE DES OFFICIERS : LIEUTENANT-COLONEL Brousilov

(à la suite du rég. des Grenadiers à cheval de la Garde). COMMANDANT L'ESCADRON-DES YOUNKERS: LIEUTENANT-COLONELSoukhomlinov

(à la suite des Hulans de la Garde).


CHAPITRE XI SUÈDE

active suédoise compte 8 régiments ou plûtôt 8 corps de cavalerie ; elle est divisée en VARFADE, troupe volontaire, et en INDELTA, troupe cantonnée. La VARFADE, qui se recrute avec des engagés volontaires, com-

ARMÉE

prend

:

régiment de cavalerie de gardes du corps à 4 escadrons, régiment de hussards de la ligne (Prince-Royal) à 6 escadrons; 1

1

soit environ 1.100 hommes. Les engagements sont contractés par des jeunes gens ayant de dix-sept à vingt-six ans, pour une durée de trois ans. La prime d'engagement est de 41 fr. 40 (30 couronnes). Son engagement terminé, le volontaire peut contracter un rengagement qui lui donne droit à une prime de 27 fr. 60 (20 couron nes) pour chaque année de service. L'INDELTA, dont les soldats sont procurés par les grands propriétaires, et entretenus à leurs frais, se compose de : 3 régiments de hussards (gardes du corps et Scanie) de 5 à 10 escadrons, 1 régiment de dragons (gardes du corps) à 5 escadrons, 1 corps de dragons à 10 escadrons, 1 régiment de chasseurs à cheval à 2

esoadrons, formant un total d'environ 3.560 hommes. En principe, tout Suédois doit le service militaire, de conscription, pendant douze ans : six années dans l'armée active et six dans la MILICE, soit de vingt et un à trentedeux ans. Durantla première année, le conscrit est appelé sous les drapeaux pendant quarante-


deux jours, dans la cavalerie. La deuxième année, il doit servir vingt-sept jours, et quinze jours pendant la troi-

sième année. La duré légale et maxima du service est de trente ans. Arrivé à cinquante ans d'âge et trente ans de service, le soldat a droit à une pension de retraite. Après neuf années consécutives de service dans la troupe permanente, le soldat peut obtenir un des emplois réservés dans les grandes administrations ou dans la police. Quant aux pensions de retraite, elles sont de quatre classes, variant de 15 couronnes (la couronne est de 1 fr. 38 c.) à 72 couronnes. En plus, la retraite donne droit à une part prélevée sur la caisse du régiment. Ces caisses, alimentées par des dons volontaires et des retenues sur la solde, disposent souvent de fonds considérables s'élevant jusqu'à 200 ou 250.000 francs, ce qui peut porter la part de chaque retraite à 560 ou 650 francs. La hiérarchie des grades est la suivante : VICE-CAPORAL, un galon de laine au collet. SERGENT, ne porte pas de marques distinctives, mais a une tenue intermédiaire entre celle de la troupe et celle de sergent-major. SERGENT-MAJOR, la tenue d'officier, mais sans marques distinctives. SOUS-LIEUTENANTS, LIEUTENANTS, CAPITAINES. Les officiers subalternes portent, en grande tenue, des contre épaulettes en or ou en argent, sur les brides desquelles sont brodées une, deux ou trois étoiles. En petite tenue, le grade se marque au képi, avec un, deux ou trois galons, et les étoiles brodées sur le turban du MAJOR, LIEUTENANT-COLONELET COLONEL. En grande tenue, épaulettes à franges, avec, sur les brides, une, deux ou (trois étoiles doubles. GÉNÉRAL-MAJOR, GÉNÉRAL-LIEUTENANT,GÉNÉRAL. Tenue du corps d'état-major, avec une, deux ou trois grandes étoiles sur le corps des épaulettes et sur les attaches.

képi.

L'insigne du service est une ceinture de soie jaune et or. Chaque corps ou régiment de cavalerie compte 1 état-major et un nombre d'escadrons «variant de 5 à 10.


GARDE DU CORPS.



Le régiment de hussards et celui de dragons ont chacun 10 escadrons ; 5 de ces escadrons forment 1 bataillon. Chaque escadron se compose de 1 chef d'escadrons, 1 capitaine, 2 ou 3 lieutenants et sous-lieutenants, 1 porte-drapeau, 3 ou 4 sergents, 6 caporaux et Vice-caporaux, 3 trompettes, de 83 à 87 cavaliers volontaires, de 96 à 107 hommes de troupe et 89 à 97 chevaux. Les vé-

térinaires sont en nombre variable. Deux écoles, à Stockholm et à Alnarp, reçoivent des élèves maréchaux qui suivent un cours de deux années. Ces élèves, au nombre de 26, sont pris à tour de rôle dans les régiments de cavalerie. Le travail des recrues commence à leur arrivée au corps, eh septembre ou octobre, et se termine l'année suivante à la même époque. Chaque régiment possède une école d'équitation dirigée par un officier écuyer. Les EXERCICES MILITAIRES se font du 1er avril- au 1er juillet. Dans l'Indelta, ce qu'on rappelle les exercices de recrues et de remonte se font chaque année et ont une durée de 100 jours. Le roi fixe la date de cette période d'instruction. On convoque alors toutes les recrues et toutes les remontes, et l'on garde sous les armes le nombre jugé utile d'hommes et de chevaux. Les exercices de commandement pour fies officiers, ont une durée de 10 jours, précédant les exercices pendant desquels officiers et sous-officiers sont exercés avec un groupe de 14 cavaliers par escadron. Les MANOEUVRES DE RÉGIMENT durent de 20 à 26 jours, pendant lesquels le régiment est surtout exercé au service en campagne. Dans chaque escadron les six plus mauvais tireurs font une période d'instruction supplémentaire de 8 jours. Les exercices du SERVICE EN CAMPAGNE ont lieu généralement tous les ans. Enfin, tous les deux ans, s'exécutent les grandes manoeuvres, qui réunissent sous le commandement supérieur fia moitié ou lé quart des troupes suédoises. Il est établi à Stockholm, dans la caserne de Ladugardsgarde, une école de gradés pour la cavalerie. Chaque escadron de cavalerie y envoie un soldat ayant passé par l'école préparatoire du régiment et ayant moins de trente ans. Les cours commencent au 1er juillet pour finir au 30 septembre. Lés élevés passent ensuite des examens de sortie et reçoivent un insigne variant avec la mention obtenue. Ceux qui ont là mention « accepté » portent un galon de laine sur la manche gauche pour la 1re classe, deux galons pour fia 2e ; ceux qui ont été acceptés avec


éloge, un galon simple ou double en or ou en argent, suivant le métal du bouton. Il existe en outre une autre école dite ÉCOLE DE VOLONTAIRES, celle-ci destinée à fournir des sous-officiers qui peuvent ensuite entrer à l'École militaire. Les élèves de ces deux écoles, des gradés et des volontaires, rentrent à leur corpsaprès la fin de leurs cours et peuvent ensuite concourir pour les grades subalternes. Les sous-officiers suédois jouissent d'une grande considération et d'une grandEliberté, ils peuvent être autorisés à loger en ville, liberté justifiée par leur instruction et leur bonne conduite. Le recrutement des officiers est assuré par l'école militaire de Karlberg. Nul ne peut aspirer au grade d'officier s'il n'est sous-officier, et s'il n'a obtenu son diplôme de maturité, qui équivaut à notre baccalauréat. Le nombre annuel des élèves est de 80, qui sont nourris, logés et instruits gratuitement pendant les quinze mois que durent les cours. Les cours terminés et les examens de sortie subis, les aspirants officiers rejoignent leurs corps ; ils sont classés d'après leur numéro de sortie qui devient leur numéro d'ancienneté pour leur promotion au grade de sous-lieutenant. Ceux qui, ayant satisfait aux examens de sortie, n'ont obtenu que la note passable, pour leur conduite, subissent un retard de six mois ou un an, suivant l'avis du chef de. corps, pour le classement. Les sous-lieutenants de cavalerie ne peuvent aspirer au grade de lieutenant qu'après avoir suivi un cours d'une année à L'ÉCOLE D'ÉQUITATION de Stromsholm. Ce cours est interrompu pendant deux mois, durant lesquels l'officier retourne faire son service à son corps. Les officiers de cavalerie peuvent également être envoyés, à L'ÉCOLE DE TIR de Rosersberg, pour y suivre uni cours de deux mois. Les officiers qui veulent entrer dansl'état-major général doivent passer par l'école de guerre de Stockholm.

NORVÈGE

Distincte de l'armée suédoise, l'armée norvégienne compte, comme cavalerie, une brigade de trois corps de chasseurs à cheval. Ces 3 corps sont celui D'AKERHUSEN, composé de 5 escadrons dont 1 de volontaires et permanent à Christiania ; le CORPS D'OPLAND, de 4 escadrons, et celui de TRONDHJEM, de 2 escadrons. Chaque escadron comprend : 1 capitaine-commandant, 1 premier lieutenant, 1 second


lieutenant (l'escadron permanent en a 2), 8 sous-officiers, 1 caporal à solde fixe et 7 autres, 2 trompettes, 91 cavaliers et 111 chevaux. Au point de vue du recrutement et des obligations militaires, l'armée se compose de trois bans : L'ARMÉE ACTIVE, formée de contingents annuels et de volontaires dans une proportion variable ; L'ARMÉE TERRITORIALE, landwoern, qui ne peut servir en dehors du royaume ; LA RÉSERVE DE L'ARMÉE TERRITORIALE, landstorm, destinée à la défense locale ; Auxquels il convient d'ajouter le RENFORT DU LANDSTORM qui comprend, en temps de guerre, tous les Norvégiens de dix-huit à cinquante ans, en état de porter les armes. En principe, tout Norvégien est tenu de satisfaire successivement aux obligations militaires des trois bans de l'armée. A partir de sa vingt-deuxième année, chaque citoyen doit à l'État un temps de service de treize ans, dont cinq dans l'armée active, quatre dans l'armée territoriale et quatre dans la réserve de l'armée territoriale. En temps de paix, toute obligation militaire cesse après quarante-cinq ans d'âge. La période d'instruction des recrues est de 70 jours pour la cavalerie. En outre, chaque année, les 2e, 3e et 4e classes d'âge, dans la cavalerie, sont soumises à des exercices qui portent à 154 le nombre de jours d'exercices annuels de cette arme. Toutes les classes et tous les hommes non appelés pour les exercices ci-dessus restent dans leurs foyers en temps de paix, et le service est assuré par les volontaires enrôlés. Les gradés et leurs signes distinctifs sont les mêmes que dans la cavalerie suédoise. Les gradés se divisent en deux classes : ceux qui touchent la solde fixe, au titre permanent ; ceux qui ne touchent la solde que pendant la durée de leur présence sous les drapeaux au moment des appels. Le recrutement des cadres est à peu près semblable à celui-de la Suède. L'école destinée à fournir les cadres inférieurs porte le nom D'ÉCOLE DE SOUS-COMMANDEMENT ; elle est organisée à l'escadron permanent de chasseurs à cheval résidant à Christiania, où est également organisé, pour les lieutenants en second, les sous-officiers et les élèves de l'école de sous-commandement, un cours d'équitation d'une durée de sept mois. C'est à L'ÉCOLE MILITAIRE de Christiania que se formentdes officiers à toutes les armes. Elle est divisée en. deux sections, inférieure et supérieure. La SECTION INFÉRIEURE, dont les cours durent onze mois et qui reçoit chaque année 105 élèves environ, fournit des officiers au titre non permanent ; LA SECTION SUPÉRIEURE est réservée aux jeunes gens qui veulent servir au titre permanent. Les candidats doivent être âgés au moins de vingt-cinq ans, avoir leurs deux


baccalauréats, avoir suivi le cours de la SECTION INFÉRIEURE ou passer avec succès l'examen de la classe des sergents de l'école de sous-commandement, et avoir rempli les fonctions de sergent pendant les exercices d'une année. Cette section, qui compte environ 40 élèves, suit des cours d'une durée de deux ans. En temps de paix, les officiers doivent se remonter à leurs frais et entretenir leur monture; ils reçoiventà titre d'indemnité annuelle 1.049 francs, s'ils sont au service permanent, et 662 francs, s'ils sont au titre non permanent, comme dans la cavalerie suédoise.


TABLE DES PLANCHES EN COULEURS

P ages.

1. —

Garde du corps Hongrois ; officiers Allemands, Anglais, Russes, etc

COUVERTURE,

ALLEMAGNE. Officiers de cavalerie de la Garde en tenue de gala N° 3. — Princesse, colonel honoraire d'un régiment de Hussards

N° 2.

FRONTS

N° 5. — Officiers des Dragons de Neumärk (rég. n° 3) et des Hussards de Brunswick(rég. n° 17) .

la

Garde 7. — Officiers de Hussards (rég. n° 4) et des Cuirassiers de N° 8. — Colonel du rég. de Dragons n° 8 ; lieutenant de Dragons n° 22

Prusse.

N° 10. — Officier des Gardes du corps ; tenue de gala. Sous-officier des Hussards de (Blücher (rég. n° 5) N°

11.

13. — Tableau synoptique des uniformes de la cavalerie

SPICE.

.

5 9 13

17

21. 25 29 33 37

41 45 46

ANGLETERRE. N° 15. — Officier supérieur du 15e Hussards (1832) N° 16. — Timbalier du 2e Dragoons-Guards (Bais de la Reine) N° 17. — Officier du Royal Scots-Greys; 2nd Dragoons

49

N° 19. — Au Zululand; 17e Lanciers (duc de Cambridge)

65 69

N° 22. — Officier indigène ; cavalerie légère de Madras N° 23. de campagne ; 3e Bengale — Officier indigène en tenue

53

57 61

73 77 81 85


AUTRICHE. Pages. N°

89 93 97 101 105 108

25. — Général de" cavalerie ; petite tenue

27. — Archer de la Garde du corps N° 28. — « Leib-Garde-Reiter » N° 29. —.Officiers de Hussards ; petite tenue N° 30. — Officier de Dragons ; 1838 N°

.

113

N° 32. — Tableau synoptique des uniformes de la cavalerie

117

BELGIQUE. 121

N° 33. — Officier de Guides

ESPAGNE. N°

34.

—Officier de Chasseurs; petite tenue

137

FRANCE.

Dragons.

— Officier de Cuirassiers de Hussards — Au concours hippique ; officiers de Chasseurs et" — Service en Campagne ; Hussards, élève-officier à Saumur. — Sous-officier de N°39. — Officiers de Guides ; second Empire 40. — Sous-officier de Chasseurs d'Afrique 35. 36. N° 37. N° 38.

153. 161 169

177 193 209

ITALIE. N° 41. — Guides de Murat ; Royaume de Naples, 1812 N°

42.

Capitaine du rég. de Gênes ; 4e de cavalerie

233 237

RUSSIE. N° 43. — Trompette des Gardes à cheval en tenue de gala N° 44. — « Mladchii Vakhmistre » des Cosaquesde l'Escorte de l'Empereur N° 45. — Officier des Hussards de l'Empereur. N° 46. — Timbalier des Cuirassiers de l'Impératrice N° 47. — Cosaques surveillant une ligne télégraphique N° 48..— Cosaque de la Garde 49. —Lieutenant de Cosaques

245 249 253 257 265 273 281

SUÈDE. N° 50. — Garde du corps

289


TABLE DES ILLUSTRATIONS DANS LE TEXTE

AVANT-PROPOS. N° 1. — France ; lettre ornée N° 2. — Armes d'exercice; Angleterre N° 3. — Coiffuresindigènes ; cavalerie des Indes anglaises.

Pages. N° 34. — Trompette des dragons d'Oldenbourg, régiment n° 19 ; tenue de parade N° 35. — Officier supérieur des cuirassiersde la reine (Poméranie), régiment n° 2 ; tenue de cérémonie..... N° 36. — Dragon mecklembourgeois,régiment n° 18 N° 37. — Étendards des gardes du corps, de la cavalerie de la Garde et de la ligne N° 38. — Timbalesdu régiment des cuirassiersde la Garde ;

Pages. VII

N° 4. — Cavalier roumain ; tenue d'hiver N° 5. — Hussard ; Roumanie N° 6. — Bonnet de police ; Autriche

VIII

IX

XI XI

XII

Prusse

ALLEMAGNE. N° 7. —Hussard de Brunswick, 1825 ; lettre ornée N° 8. —Casquette d'officier de la landwehr ; 1890 N° 9. — Casque de M. de Bismarckpendant la campagne de N° 10. — Coiffures de cavalerie N° 11. — Officiers de dragons, régiments nos 6 et 9 ; petite

1870

tenue N° 12. — Officier des dragons de la reine Olga, régiment n° 5 N° 13. — Shako des hussardsde la landwehr; 1868 N° 14. — Colbach du régiment de hussards n° 2 ; Prusse.. N° 15. —Régiment des hussards de Hanovre n° 15 ; offi-

cier en tenue de parade N° 16. — Trompette de cavalerie N° 17. — Éperon d'officier de hulans N° 18. — Officiers des 1er et 2e régiments de hulans de la Garde ; Prusse N° 19. — Sur la frontière : hussard prussien N° 20. — Cuirasse de la Garde N° 21. — Casque de chevau-légers bavarois ; 1812 N° 22. —Lances et fanions N° 23. — Casque de chevau-légersbavarois avant 1887... N° 24. — Officier des gardes du corps avec la cuirasse noire N° 25. —En vedette ; cuirassier N° 26.— Carabinierssaxons; casquette d'officier N° 27. — Officier de cuirassiers ; petite tenue N° 28. — Equipement de hussards; Prusse N° 29. — Officier de dragons de la landwehr N° 30. — Sabretache de hussards; régiment de la Garde ; Prusse N° 31. — Prusse ; officier de cuirassiers, petite tenue de service N° 32. — Cuirassier, régiment n° 8 ; tenue d'ordonnance... N°33. Silésie, régiment n° 1 ; — Officier de cuirassiers de petite tenue de service d'hiver

N° 1

2

39.

3

16 17

...

régiment de cuirassiers N° 40. — Officier du régiment des dragons de Kurmarck N° 41. — Casque du « poker », timbalier, des gardes du corps ; Prusse N° 42. — Timbales du régiment des gardes du corps ;

Prusse

3

16 16

Patte d'épaules des engagés volontaires du 1er

n° 14 2

15

17 17 18 18

N° 43. — Officier de dragons, régiment n° 14 ; grandetenue 4 5 5 5 6 6

6 7

pied N° 44. — Très curieuse caricature montranten « schema » les cinqgrades de l'armée allemande à

N° 46. — Officier de hussards ; Prusse N° 47. — Officier prussien ; tenue de ville N° 48. — Sabre de hulan prussien N° 49. — Bavière ; casque des cuirassiers Saxe ; 1835 N° 50. N° 51. — « Wachmeister » des leib-cuirassiers; régiment n° 1 ; petite tenue

8

8

N° 52. — Casquetted'officier du régimentde cuirassiersn° 6 ;

9 9

N° 53.

10 11 12 12 13 13 13 14 15 15

1870

Épaulettes d'Oberstlieutenant N° 54. — Grades sur les pattes d'épaules N° 55. — Hanovre ; rég. de dragons n° 16 ; capitaine-adjudant, attaché à la personne du prince ; tenue de gala. N° 56. — Épaulettes d'officiers prussiens N° 57. — Sous-officier des dragons de Brandebourg; régiment n° 2 ; « Hausanzug », tenue ordinaire N° 58. — Marques distinctivesdes attachés aux grands quartiers généraux en 1866 et en 1870-71 N° 59.— Patte d'épaules des volontairesd'un an N° 60. — Dragon badois; régiment n° 22 N° 61. — Saxe ; officier de hussards; régiment n° 18 N° 62. — Types d'officiers ; aujourd'hui et avant 1870.... N° 63. — Colonel du régiment n° 1 des leib-cuirassiersdu grand Électeur; tenue de bal —

19 19 20 20 21

21 21

22 22 22

23 23 23 24 25

25 25 26 28 29 30


N° 64. — Paquetage de campagne ; cuirassiers, Prusse.... N° 65. — Pattes d'épaules des régiments de cuirassiers et de dragons

Pages.

32

46

ANGLETERRE. N° 66. — 1er Life-guards; lettre ornée N° 67. — Officier de hussarde ; 1851 N° 68. — Officier du 4e dragons-gardes N° 69. — Sous-officier de dragons ; tenue de ville N° 70. — Marques distinctives des pattes d'épaules N° 71. — Coiffure des gardes du corps ; 1840 N° 72. — Officier en petite tenue N° 73. — Dragons lourds ; 1803 Dragoon-guard ; 1826 N° 75. — Casque du 6e dragons ; 1815 N° 76. — Officier du 13e dragons (« light dragoons

1840.

»)

;

N° 77. — 12e Dragons légers ; 1811 N° 78. — Officier et cavalier du 17e lanciers N° 79. — Camp

Lanciers

N° 82. — Czapska et lance N° 83. — 13e Dragons légers ; 1840 N° 84. — Officier du 2e dragons ; Royal Scots grey N°85. — Colbach d'officier de hussards ; 1891 N° 86. — Officier du 1er life-guards N° 87. — « Busbies », coiffures de hussards N° 88. — Officier du 2e dragoons-guards N° 89. — A Sandhurst ; l'escrimedu sabre N° 90. — 1er Régiment de cavalerie du Bengale N° 91. 17e Lanciers N° 92. « Sowar » (cavalier) du 10e lanciers

an-

N° 96. — Lancier en tenue de sortie N° 97. — 17e Lanciers; petite tenue.

Trompette de cavalerie. N°100, — Sous-officier de life-guards; petite tenue de serN° 101.

N° 102.

N°103. N° 104. N° 105. N° 106.

vice — Coiffure portée par le 8e hussardspendant la révolte des Indes ; 1857 — 2e Dragoons-guards — 6e Dragoons-guards (carabiniers) — 1er Régiment de cavalerie du Pendjab. — Officier du corps des guides (Bengale), — Major-général D. C. Drury Lowe, commandant de la cavalerie anglaise pendant la campagne d'É-

gypte en N° 107. N° 108. N° 109. N° 110. N° 111.

1882

— 1er Dragons ; tenue de garde à pied. — Carabine et étui de carabine — 5° Régiment de cavaleriede Bombay — Cavalier du 3e régiment du Bengale — Officier anglais du 10e lanciers, Bengale ; tenue

gale

63 63 63

64

glaise

99.

55 66 56 57 58 58 59 59 60 61 61 62

62

N° 93. — « Tent pegging » N° 94. Officier des gardes du corps du gouverneur de —-

53 54

N° 80. — 16e N° 81. — Officier de hussards ; tenue de « field day » ; 1891.

Bombay N° 95. — Casque porté aux colonies par la cavalerie

47 48 49 50 51 51 51 52 53 53

de campagne

64 65 65 65 66 66 67 67 67 68 68

69 69 69

Pages. N° 113. — 16e lanciers ; petite tenue de service à pied 72 N° 114. —- Casquette d'officier du 13e dragons (light-dragoons); 1840 72 N° 115. — Gardes du corps du vice-roi 73 N° 116. 5th Bombay cavalry. 73 — N° 117. — 1er Lanciers de Madras 74 N° 118. 74 — 15e Lanciers du Bengale N° 119. — Casque de life-guards 84

....

AUTRICHE. N° 120. — Archerde la garde du corps ; 1836 (lettre ornée). N° 121. — Cuirasse; 1840. N° 122. — Coiffure de hussard ; 1770..

Sabre d'officier de la garde royale ; Hongrie.... Shako de général de cavalerie Tirailleur du Tyrol Officier du régiment de dragons, n° 2 ; petite tenue N° 127. — Marques distinctives au collet N° 128. — Archer de la Garde en petite tenue N° 129. — Carabine à répétition. 130.— Coiffure des tirailleurs à cheval du Voralberg. N°131. — Dragon N°132. — Officier de cavalerie ; petite tenue N° 133.— Officier de hulans ; régiment n° 4 N°134. Czapska des hulans de la landwher... — N° 123. — N° 124. — N° 125. -— N° 126. —

N° 135. — Colbach des gardes de la couronne ; Hongrie.. N° 136. — Officier de cavalerie, petite tenue N° 137. — Vétérinaires ; marques distinctives N° 138. — Hussard N° 139. — Officier de hussards-honved N° 140. — Officier de chasseurs à cheval du Tyrol........ N° 141. — Officierde la gardehongroise N° 142. — Chasseur à cheval du Tyrol N° 143. — Dragon en blouse N° 144. — En Bosnie N° 145.— Colbachde vétérinaire N° 146. —Dragon ; régiment n° 8 N° 147. — Hussards N°, 148. — Marques distinctives; collet N° 149. — Volontaires d'un an N° 150. — Invalide N° 151. — Gardes de la couronne de Hongrie

85 86 86 86 87 87 88 89 89 90 90 91 92 93 93 93

94 94 95 96

97 97 97 98 99 100 100 101 101

102 103

104

BELGIQUE. N° N° N° N°

152. — Officier de guides;

lettre ornée

153. — Lancier 154. — Képi de capitainedes guides ; petite tenue 155. — Ronde d'officier N° 156. — Czapskas de lanciers

117 119 120 121 123

DANEMARK.

70 70 71

N° 112. — Officier indigène des guides de la Reine ; Ben72

N° 157. — N° 158.— N°159.— N° 160. —

Dragon (lettre ornée) Dragons au combat à pied Hussards de la Garde ; officier en petite tenue. Hussardsde la Garde ; bonnet de police

127 129 131

134


HOLLANDE.

ESPAGNE P ages. N° 161. — Hussard (lettre ornée) N° 162. — Escorte royale N° 163. — Ordonnance N°. 164. — Chasseur ; tenue d'hiver N° 165. — Lanciers

N° 166. — Hussard de la princesse ; 1864 N° 167. — « Ros » des carabiniers à cheval N° 168. — Bonnet d'écurie des lanciers N° 169. — Officier de chasseurs ; petite tenue N° 170. — Officier des hussards de la princesse ; petite

tenue N° 171. — Officiers ; marques distinctives N° 172. — Troupes ; marques distinctives

N° 173. — Hussard de la princesse ; petite tenue N° 174. — Képi d'alférez de chasseurs

135 136 136 137 138 138

139

N°217. — Cavalerie de ligne ; casque d'officier N° 218. — Officiers ; marques distinctives au képi.

141 141

148

180.—

1890

192.— Corvée de fourrage N°193. — Différentes coiffures de la cavalerie française ; N°

1892

N° 194. Bonnet d'écurie N° 195. — Cuirassiers N° 196. — Les prévôts à Saumur N°197. — Sapeur de cavalerie N° 198. — Grades ; marques distinctives sur la manche.. N° 199. — Les rengagés N 200. — Colbach de chasseursà cheval ; 1870 N° 201. — Guides ; 2e Empire N° 202. — Sabre de cavalerielégère; 1er Empire N° 203. — Trompette de cavalerie; 1892 N° 204. — Chasseurs ; 1873 N° 205. — Id. ; 1812 N° 206. 1er Em— Colbach de hussards, compagnie d'élite ; N° N° N°

N° N°

pire 207. — Fanion 208. — Sabre de l'époqne du Cousulat 209. — Hussards ; 1840 210. — Spahis 211. — Hussards; 1er Empire

149 150

150

151 151 151 152 153 153

154 154 155

156

157 158 159 160 161

162. 162 163

164 164 165 165

166 166 166 167 167

167 168 169 170 170 171 173

227 227

Hussard. du Pape, 1867 ; petite tenue (lettre

N° 216. —

140 140

226

ITALIE.

139 139

FRANCE N° 175. — Spahis ; lettre ornée N° 176. — Carabiniers ; 1832 N° 177. — Quelques types de cavaliers. N° 178. — A l'essai aux hussards en 1881 N° 179. — Passage d'un gué ; cuirassiers. Idem N° N° 181. — De semaine N° 182. — De 1765 à 1892 ; cuirasses N° 183. — La nouvellecarabine de cavalerie N° 184. — Bonnet de police d'off. dedragons,modèle 1891. N° 185. — Képis ; marques distinctives N° 186. — Dragons N° 187. — Officier de cuirassiers ; tenue du jour N° 188. — Étendard de cavalerie N° 189. — Casques de dragons ; 1820, 1830, 1850 N° 190. Cuirassier — N° 191. —- Chapeaux et casques de cuirassiers ; de 1772 à

N° 212. — Hussard (lettre ornée) N° 213. — Casquette d'officier du 3e hussards N° 214. — Hussard en vedette ...... N° 215. — Colbach de hussards

Pages. 225

Vétérinaire

an.

N° 219. — N° 220. — Élève de l'École de cavalerie de Pignerol N° 221. — Collet des volontaires d'un N° 222. — Capitainedu régimentde Savoie ; 3e de cavalerie. N° 23. — Lanciers de Novare ; 5e de cavalerie ; officier.... „ N° 224. — Colbach des guides de Murat Nice ; 1er de cavalerie. N° 225. — Sergent du régiment de N° 226. — Marques distinctives des grades sur la manche. N° 227. — Casque des gardes-nobles du Pape N° 228. — Sabretache des hussards de Murat ; 1812 — N° 229. Officier de cavalerie en petite tenue N° 230. — Lanciers de Novare ; 5e de N° 231. — Officier du régiment de Rome N° 232. — Officier de cavalerie N°233. — Casque de trompette des Gardie d'Onore » du «

cavalerie.

229 230 231 231 231

232 232 233 233 233

234 234 235 235 235 236 236

prince Eugène

RUSSIE. 243 N° 234. — Grenadiersà cheval (lettre ornée) N° 235. — Officier du 1er régiment des hussards de l'Empe244 reur ; tenue d'hiver 244 N° 236. — Grenadiersà cheval de la Garde N° 237. — Officier du 3e régiment des hussards de la Garde 244 de Grodno N° 238. — Off. des hussardsde l'Empereur; petite tenue (1). 245 246 ; N° 239. — Cuirasse ; 1835 N°240.— Sous-officier des Cosaques de la Garde ; 2e régi246 ment 247 N° 241. — Cosaque de l'Amour 248 N° 242. — 3e régimentde dragons ; grande tenue 248 N° 243. —Officier des hussards de Grodno N° 244. — Pattes d'épaules; marques distinctives des gra-

des

249 « Essaoul » (capitaine) des Cosaques de l'Amour. 249

N° 245. — N° 246. — 2e régiment des Cosaques de la Garde; officier N° N° N° N° N° N° N° N°

en petite tenue 247. — Chevaliers-gardes ; bonnet de petite tenue 248. — Casquette de toile blanche portée par la cavalerie en Asie 249, — Cosaque 250. — Étendards des cuirassiersde la Garde 251.— Trompettes des chevaliers-gardes 252. — Officier du 2e régiment des Cosaquesde la Garde. 253. — Cosaque du Don 254. — Sous-officier des chevaliers-gardesà pied ; tenue d'exercice

250 250 250 251

252 252 253 254

254

(1) La legende porte par erreur « hussards de Grodno » : il faut lire « off. des hussards de l'Empereur.


Pages. 271 271 272

Pages.

N° N° N° N° N° N° N° N° N°

255. — Officier de hulans .' 256. — Le lieutenant Dmitri Peshkov 257. — Sous-officierde chevaliers-gardes ; tenue d'hiver. 258. — Selle tcherkesse 259. — Trompette des Cosaques du Caucase de la Garde. 260. — Colbach des hussards de Grodno 261. — Étrier de Cosaques .. . 262. — Cosaque; tenue de campagne 263. — Chevalier-garde en faction dans l'intérieur du

254

255

256 257 258 259 260

261 Palais d'Hiver 262 N° 264. — Casque de chevalier-garde 263 N° 265. — En Asie N° 266. tenue de ma— Officier de chevaliers-gardes en

264

noeuvres N° N° N° N° N° N° N° N° N° N° N°

267. — Ordre de Saint-Georges 268. — Bonnets de cavalerie 269. — Hussard de Slobotzki (1756-1761) 270. — Sabre de cavalerie ; dix-huitièmesiècle 271. — Sabretache des hussards de Grodno ; 1835 272. — Grenadiersà 273. — Trompette de cavalerie

cheval

274. — Bonnets de cavalerie

275. — Officiers de grenadiersà cheval ; 1758 276. — Sabretache de hussards ; dix-huitièmesiècle.... 277. — Épaulettes d'officiers subalternes; chevaliersgardes, 1820 N° 278. — Ceinturesd'officier de cuirassiers ; 1820 N° 279. — Czapka ; 1840 N° 280. — Chevaliers-gardes ; 1820

265

265 266 266

266 267 267 268 268 268 269 269 269 279

281. — Cosaques ; 1856 282. — Sabre de chevaliers-gardes ; 1882 283. — Czapka ; 1815 284. — Cosaques de l'Oural; garde inpériale., 285. — Sabre porté en campagnepar toute la cavalerie. 286. — Cuirasse des cuirassiers de la Garde, en 1760.. 287. — En tirailleur ! N°288. — Coiffure d'officier des cuirassiers de Lomza ; 1762. N° N° N° N° N° N° N°

272 273 273 275 288

SUÈDE-NORWÈGE. N° N° N° N° N° N° N°

289. — Garde du corps ;

lettre ornée

290. — Sabre d'officier de cavalerie 291. — Dragons de Scanie. 292. — Marques distinctives des grades 293. — Chasseurs à cheval.. 294. — Bidon de cavalerie ; 1700 295. — Chasseurs à cheval N° 296. — Fin ; cul-de-lampe. N° 297. — Épaulettes; Allemagne

EXPLICATIFS.

289

290 290 290 291 291 293

294 300


TABLE DES MATIÈRES

Pages,

AVANT-PROPOS

IX

AVIS AU LECTEUR CHAPITRE

XV

1

Ier. — ALLEMAGNE

Principaux officiers de la cavalerie allemande en 1892 II. — ANGLETERRE Principaux officiers de la cavalerie anglaise en 1892 CHAPITRE III. — AUTRICHE Principaux officiers de la cavalerie austro-hongroise en 1892 CHAPITRE IV. — BELGIQUE Principaux officiers de la* cavalerie belge en 1892 CHAPITRE

CHAPITRE

V. — DANEMARK

VI. — ESPAGNE Principaux officiers de

la cavalerie espagnole en

1892

Noms des officiers de la cavalerie française en 1892 — HOLLANDE

ITALIE

CHAPITRE

Principaux officiers dé la cavalerie italienne en 1892 CHAPITRE

X. —

75 85 105 117 125

135

— FRANCE

CHAPITRE. VIII.

47

127

CHAPITRE

CHAPITRÉ VII.

33

RUSSIE

143 149 175

225 229 237 243

Principaux officiers de la cavalerie russe en 1892 SUÈDE-NORWÈGE CHAPITRE XI. —

277

TABLE DES PLANCHES EN-COULEURS

295 297

TABLE DES ILLUSTRATIONS DANS LE TEXTE

289



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