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Comment rendre les ruelles plus sécuritaires?

La rue est barrée par des cordons policiers et des voitures de police.
Un homme a été frappé mortellement par le conducteur d'un camion qui sortait de la ruelle coin 9e avenue et Beaubien.PHOTO : Radio-Canada / Kolya H. Guilbault
Publié le 5 avril 2022

En moins de deux semaines, deux accidents, dont l'un mortel, impliquant des véhicules et des piétons sont survenus aux abords de ruelles à Montréal. Ces collisions soulèvent de nouveau la question de la sécurité de ces espaces urbains qui servent à la fois de milieux de vie et de voies de circulation. Dos d'âne, barrières, limites de vitesse abaissées, ruelles vertes : le journaliste Philippe-Antoine Saulnier explore les différents moyens qui existent pour sécuriser les ruelles montréalaises.

Dans Outremont, 140 entrées de ruelles sont pourvues de dos d'âne, mais ceux-ci sont retirés pour la période hivernale afin de faciliter le déneigement. Certaines entrées sont également bloquées par des barrières amovibles ou des boîtes à fleurs en béton.

Dans Rosemont–La Petite-Patrie, on mise sur une limite de vitesse fixée à 10 km/h, l’installation de dos d’âne et l’aménagement de ruelles vertes.

Philippe-Antoine Saulnier a interrogé des experts pour savoir lesquelles de ces méthodes sont les plus efficaces.

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