Catégorie : La gazette d’Héraldie
Voyage hivernal
Big-chef
Chocomaniaque
Les comportements et les thèmes
Ayant abandonné la grammaire normative, le barde accumula des fragments
d’images, que son miroir inverse (mais c’est un miroir déformant) ;
Il acheta des livres, puis acheva des litres. De bavarder
avec une licorne, ça lui bouleversa l’usage de son corps. Il n’avait
(autrefois) rien capté à de telles questions, car il vivait caché
dans un placard obscur. Mais il est toujours temps de découvrir la réalité.
Il voyagea, mais pas souvent. Il pouvait voir, mais pas bien loin.
Il croyait que sa vie était un labyrinthe. Jamais il ne craignit
les assonances, ni de vagabonder par des chemins ombreux.
Amoureux de la Voie et de quelques vestales, muni d’un verre pour la route,
ignorant la valeur des acquis scientifiques, il habitait un univers
dont il croyait détenir le langage.
Et l’armoire avait son soleil, l’angoisse n’avait pas de nom, les ossements
de quelques ancêtres reposaient en leurs cavernes froides. Mais les alphabets
finissaient par redevenir pictographiques.
La Gazette d’Héraldie, le Recueil
La Gazette d’Héraldie est née le 31 octobre 2019 en pleine fête de Samain.
Cochonfucius était parti se promener à Toulouse. Vincent prévint toute l’Héraldie que l’ L’Enchanteur aux mille poèmes faisait une pause. Ada eut alors une idée lumineuse : pourquoi ne pas créer une gazette qui permettrait aux Héraldiens de se donner des nouvelles? Aussitôt dit aussitôt fait. Toute l’Héraldie put prendre des nouvelles de Cochonfucius à Toulouse.
Les Héraldiens peuvent aussi y suivre le mystère des noix. La Gazette d’Héraldie publie également les nombreuses études de Cochonfucius sur divers sujets métaphysiques intitulés : MetPhys 1, ainsi qu’une aventure surprenante : Ada’s Life
Les comportements et les thèmes
Profitroll
Réclusions
Chroniques impubliables
Jury de soutenance
Où vont les noix?
Chansons préhistoriques
Enquête
Le quotidien de la métaphysique
Coupure de presse
Ada’s Life
Pause en écriture
Profitroll
Réclusions
Certains gastronomes nous impressionnent par leur originalité, au risque de sembler parfois délirants.
Tels sont les pouvoirs du rêve, mais notre science est loin des rêves de pouvoir.
C’est une manière de voyager gratuitement.
Les animaux voraces ne font jamais pleuvoir.
Chroniques impubliables
Avec trente ans d’ancienneté, les polytechniciens sont amnésiques, et ça ne fait que s’aggraver par la suite, même s’ils pensent avoir été heureux, das un passé lointain.
Le billard se sent obligé d’aller voir comment se porte le catalyseur, mais la brouette peut en profiter honteusement.
Travailler pour l’usine ArtsLivres, c’est découvrir la Russie, le monde lusophone, le principe de «Sila Naalagaavok», les langues imaginaires et la sagesse des bouquinistes.
Une compétition entre constructeurs de moulins à prière, c’est magique.
Mais c’est le CNRS qui détient la palme de l’expertise.
Un antique recueil traite successivement des mouches, de la fugacité consternante des fèves anthropomorphes, de la prolifération regrettable des muses inutiles, de la gloutonnerie bestiale des courges autochtones, de la grande falsification des coques imperceptibles, des bénéfices et maléfices de Marcel Gotlib et des pluvians, de la fécondité littéraire, des pantodromes socratiques, de marjolaine en branches, d’animaux anthropomorphes et virils, de la fin de la sémantique et de bien d’autres choses passionnantes.
C’est indescriptible.
Nous ne pouvons voir que la peau du monde.
Jury de soutenance
Inviter la grande licorne, ça m’aurait mis en conflit avec la reine barbare.
Les plaisanteries sont plus éclairantes, mais parfois on est réduit à citer l’oeuvre
«Syndoxique» et «Synnomique», c’est des mots du dénommé Baldwin, que je ne comprends toujours pas.
L’inconscient des poètes, on en en a parlé ici l’autre jour.