Etoile

Blason de Meyrargues

Cette étoile diffuse une sérénité
Qui se teinte souvent d’un halo de gaîté
Autour d’elle gravitent de nombreux satellites
Lesquels au grand jamais ne quittent son orbite

Des nuées de planètes dans cette galaxie
En verdissent m’a-t-on dit de vaine jalousie
Ces malheureuses sont vouées par quelque sort funeste
A souffrir de l’ennui qui est comme une peste

Prospérant chez les êtres qui leur sont attachés
Qui préfèrent à leurs charmes des écrans connectés
Où nombre d’arnaqueurs, gourous omniprésents

Étalent sous leurs yeux des trésors illusoires
Déprimées, chaque nuit, elles tournent leurs regards
Vers l’étoile Prozac qui brille au firmament

Stahlder

Alpha Balaenae

image de l’auteur

La grande étoile émet diverses sortes d’ondes,
Ainsi que le ferait un quasar vigoureux :
Autour d’elle tu vois plusieurs planètes blondes,
La troisième a des fleurs et des fruits savoureux.

Rien ne vient perturber ces calmes petits mondes
Qui ont pour habitants des êtres fabuleux ;
Leurs poèmes sont beaux, leur sagesse est profonde,
Ils ignorent la guerre (et c’est miraculeux).

Les démons à ces lieux jamais ne s’intéressent,
Cela met le système à l’abri des ennuis ;
Ces gens sont exemptés de tout ce qui te stresse.

Trois lunes de saphir illuminent leurs nuits,
Le ciel au-dessus d’eux n’est pas d’un noir funèbre ;
Et leur âme, non plus, jamais ne s’enténèbre.

Cochonfucius

Planète Sadiracandra

image de l’auteur

Ici, jamais les gens n’auront l’air d’être vieux,
Comme un rêve est la vie dans ces heureux parages ;
Nul n’y verra jamais la fureur ni la rage,
Leurs coeurs sont aussi purs que leurs paisibles cieux.

Nulle nef ne pourra te conduire en ces lieux,
Tu n’atterriras point parmi leurs frais ombrages ;
D’ailleurs, ce paradis, c’est peut-être un mirage,
Une ruse du Diable, une farce de Dieu.

Or, rêvant d’un tel monde, on s’obstine, on espère,
On peut imaginer qu’un prodige s’opère ;
Nous sommes pourtant loin d’y croire, franchement.

Qu’importe ! Nous aimons ces fantasmes fragiles ;
Nous voulons oublier que la chair est argile,
Donc, nous nous languissons d’une vie sans tourments.

Cochonfucius

Héraldie, seconde fondation: 13 mars 2017. (Héraldique et Poésie)

Héraldie est né le 30 avril 2012, ceux qui l'ont fondé sont maintenant partis. Mais moi, Le Fringant Papillon, je reste dans ses jardins pour butiner ses fleurs. C'est là aussi que l'Enchanteur aux mille poèmes a un atelier.

Hortus Closus

Pour vivre heureux, vivons cachés

Parhal, poète....

Poésie musicale, rythmée, parlée ou chantée de sa voix vibrante sur la note de l'Univers.

Comme un cheveu sur la soupe

"On a le droit de le faire" Marguerite Duras, Écrire.

pour une seule note

écoutons à l'infini...

Le monde est dans tes yeux ...

... le premier matin du monde est aujourd'hui ...

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