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Les rongeurs, je les terrorise ;
Je ne mange point de cerises
Mais la chair de ces animaux,
Et tant pis, si ça te défrise.*
J’ai, sur eux, une grande emprise
Et j’avoue que cela me grise;
Je scrute leurs gestes anormaux,
Qu’ils sont drôles lors de leurs crises!
Pierrette