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Depuis que je connais ce rimeur sans pareil
Qui habite aux confins de Bordeaux et de Bègles,
Aller le rencontrer est devenu la règle
Quand je passe au pays du vin au teint vermeil.
D’abord, dans son séjour, j’ai posé mes orteils,
Aux murs des quantités de ses œuvres il épingle,
Lorsqu’il trouve une place au milieu d’une jungle
De bouquins qui de l’âme intensifient l’éveil.
Nous avons prolongé la passionnée parlote,
Au cours d’un déjeuner au sein d’une gargote,
Où se sont jointes à nous nos deux fois notre quart.
Lorsque hélas il fallu reprendre le voyage,
Je pris du quatuor rapidement l’image,
Dans mon cœur elle aura toujours sa place à part.
Bonjour Pierrette, J’ai changé la fin, « On ne la mettra pas dans le fond d’un placard. « , mais fait comme bon te semble. Bonne soirée
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Eh bien je garde la première version, elle me plaît bien. Merci
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