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Non, je ne te dis pas d’aimer la mort cruelle,
Ni, non plus, d’adresser une prière aux cieux ;
Sitôt que ton visage aura fermé ses yeux,
Ton âme cessera de se croire immortelle.
Nous sommes en été. Que la lumière est belle !
Je ne vois dans le ciel qu’un astre glorieux ;
S’il achève le cours de son vol gracieux,
Il brille, au lendemain, d’une splendeur nouvelle.
Hadès et Dionysos, dois-je vous adorer ?
En vous, des malheureux jadis ont espéré ;
Hadès, non Dionysos, a leur soif assouvie.
Sur un lit d’hôpital, des maux peuvent guérir,
En dépit de cela, le patient doit mourir ;
Quand un poète meurt, il sourit à la vie.
Et puis ?
C’était hier..
Demain le puits
Même à l’envers..
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Merci dernierendormi pour cette jolie chanson qui nous rappelle que « les cons ça repose c’est comme le feuillage au milieu des roses. »
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Merci de ton intelligence
Toute acception du teme
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Terme..
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