Soutenez la poésie contre la Bolloréisation de la littérature

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Pour ma part je n’en dirai pas un mot car j’ai déjà fait ma part du travail. Mais je ne m’interdis pas de relayer le travail des autres.

2 commentaires sur “Soutenez la poésie contre la Bolloréisation de la littérature

  1. Le Sage Précaire a une dent contre Sylvain Tesson, écrivain voyageur commercial. C’est de la haine confraternelle, au moins un peu. L’un voyage et se fabrique des aventures pour produire des livres, l’autre écrit quand il croit que ce qu’il a vécu est digne d’être raconté aux autres. « Je dirai : J’étais là ; telle chose m’avint ; vous y croirez être vous-même. » Je n’ai jamais réussi à lire en entier un livre de Sylvai Tesson.

    Quant à l’idée que mettre son texte sous la même reliure que celui de Jean Raspail (né en 1925, le livre criminel est de 1973) suffit à condamner un littérateur, c’est du stalinisme ou je n’y connais rien. L’article de Wikipedia consacré au « Camp des Saints » est, dans le même genre, un petit chef-d’oeuvre.

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    1. D’accord avec vous, il est absurde de lui reprocher de prefacer le livre de Raspail. D’ailleurs, moi, tous mes billets, articles et chapitres de livres critiques de cet auteur se basent strictement sur des citations et des lectures de ses livres. Jamais sur des accointances.
      En tout cas non, il n’y a chez moi aucune haine envers ceux que je critique. Ni amour envers ceux que je loue.

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