L’odeur des châtaigniers en fleurs

Parc des châtaignier, Le Vigan, juin 2023.

Ce ne sont pas des images qu’il faudrait pour illustrer ce billet, mais des trucs odorants. Ce que je voudrais partager avec vous n’est ni visuel ni conceptuel. J’aimerais vous faire sentir ce que l’air embaume quand les châtaigniers fleurissent. Une fragrance entêtante et sucrée qui fait mal à la tête. On a l’impression de respirer dans un pot de miel.

Fleurs de châtaignier

Quand je vivais à la montagne, en 2012-2013, j’avais la sensation que cette odeur avait quelque chose de sexuel, mais je ne le pense plus. Cette notation est purement documentaire. Pour mémoire.

Le fait est que beaucoup de femmes sont indisposées par ce parfum puissant. Je ne sais si ces informations sont liées entre elles. Elles ne sont là que pour documenter le réel.

À suivre.

7 commentaires sur “L’odeur des châtaigniers en fleurs

  1. « Le fait est que beaucoup de femmes sont indisposées par ce parfum puissant. » Je trouve cette affirmation peu scientifique. Ce « le fait est » me semble abusif et mériterait d’être étayé par des statistiques. Combien de femmes le SP a-t-il « entrevistée » ( de l’esp. entrevista, entretien) pour affirmer ainsi? Du subjectif, pourquoi pas, mais sans ce type de formule toute faite qui colonise la pensée.

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    1. J’ai interrogé personnellement 1068 femmes et ai recueilli les études de trois revues scientifiques. Les résultats son sans appel : 67 % des femmes de 16 à 61 ans déclarent avoir mal à la tête dès que les châtaigniers sont en fleurs. Parmi elles, 34 % décident même de déménager ou de partir en vacances dans des pays arides à ce moment précis de l’année.

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  2. « Parc des châtaignier, Le Vigan, juin 2023. »
    D’abord, il y a une fôte dans cette légende, ce qui m’autorise à la signalisation. Celle-ci faite je trouve très belle cette image avec cette composition 2/3-1/3 le ciel entièrement occupé par ces fleurs et feuilles de châtaigners, le bas de l’image ménageant à l’oeil un chemin entre les troncs jusqu’à une trouée plus lumineuse. La femme au premier plan à gauche est bien sûr l’amoureuse du SP, parfois désignée en ce blog comme  » l’épouse » et dont la présence justifie manifestement à elle seule la prise de vue et l’article. Le centre de ce troisième tiers de la photo est occupé par deux tourteraux (enfin, deux pigeons, mais c’est tout comme, ça roucoule), métaphore de l’amour. Un freudien bon teint et quelque peu obsédé textuel pourrait alors interroger cette puissance de la fleur qui indispose la/les femmes. Sous la fleur, le fruit et la bogue.

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