Saint-Mézard

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Saint-Mézard
Saint-Mézard
La chapelle Notre-Dame-d'Esclaux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne gersoise
Maire
Mandat
Vincent ZAMBONINI
2020-2026
Code postal 32700
Code commune 32396
Démographie
Population
municipale
242 hab. (2021 en augmentation de 10 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 01′ 59″ nord, 0° 33′ 36″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 222 m
Superficie 15,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lectoure-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Mézard
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Saint-Mézard
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Saint-Mézard
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Saint-Mézard

Saint-Mézard (Sent Mesard (Canton de Leitora) en gascon) est une commune française située dans le nord du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens et par divers autres petits cours d'eau.

Saint-Mézard est une commune rurale qui compte 242 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 632 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Saint-Mézardais ou Saint-Mézardaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Mézard est une commune du canton de Lectoure au nord du département du Gers, située à 16 km de Lectoure, 21 km de Condom, 120 km de Toulouse et 25 km d'Agen. C'est une commune limitrophe du département de Lot-et-Garonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Lamontjoie, Berrac, Castéra-Lectourois, Pergain-Taillac, Pouy-Roquelaure, Saint-Martin-de-Goyne et Sempesserre.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Saint-Mézard se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Mézard.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par le Gers, le ruisseau de Cazaux, le ruisseau de Maurens, la Rigole, le ruisseau de Grave, le ruisseau de la montée, le ruisseau de la Pisse, le ruisseau de l'Arrouquet, le ruisseau de Révignan, le ruisseau des Combes et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[4],[Carte 1].

Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laplume à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 767,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[12],[13],[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Mézard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[15],[I 1],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), forêts (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Mézard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009[21],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Mézard.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 141 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , la répression des protestants reprend à Saint-Mézard : le gouverneur de Guyenne, le maréchal de Monluc, exécute quelques paysans[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 2001 Gilbert Blasco DVD  
mars 2001 2020 Serge Roux[25]    
2020 En cours Thierry Manissol    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 242 habitants[Note 2], en augmentation de 10 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
580627584631617613632609547
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
558558533549509506492464456
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
435447409403376366362344327
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
314251236238202202199213214
2019 2021 - - - - - - -
234242-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 91 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 205 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 340 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 5,6 % 5,7 % 5,5 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 124 personnes, parmi lesquelles on compte 79,5 % d'actifs (74 % ayant un emploi et 5,5 % de chômeurs) et 20,5 % d'inactifs[Note 4],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 44 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 98, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,5 %[I 10].

Sur ces 98 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

16 établissements[Note 5] sont implantés à Saint-Mézard au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 16 entreprises implantées à Saint-Mézard), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 41 25 20 23
SAU[Note 7] (ha) 1 369 1 292 1 228 1 549

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 25 en 2000 puis à 20 en 2010[32] et enfin à 23 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 44 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[33],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 369 ha en 1988 à 1 549 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 33 à 67 ha[32].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Notre-Dame-d'Esclaux
  • Église Saint-Côme-et-Saint-Damien. Elle date du 15e siècle comme en témoigne le portail sud richement sculpté. L'église est à nef unique terminée par un chevet à trois pans coupés. Une chapelle est accolée au nord et une sacristie au nord-est. Le clocher-mur occupe un emplacement original, sur le mur sud, au-dessus du portail. Le choeur, la sacristie et la chapelle nord semblent avoir été reconstruits au 19e siècle. L'église est à nef centrale et chœur pentagonal. Elégante porte sud Renaissance, retable en bois sculpté et doré du 17e siècle, cuve baptismale en pierre.
  • Chapelle Notre-Dame-d’Esclaux : La chapelle origine (chapelle de campagne dédiée aux pèlerinages) date du 16e siècle. Détruite par les protestants, elle fut reconstruite en 1662 puis à nouveau détruite en 1864. La chapelle actuelle, de type néo-gothique, date de 1869 avec un clocher édifié ultérieurement en 1875 par l'architecte Dubarry. L'ensemble a été restauré en 1969. Une légende raconte qu'un berger vit un jour un bœuf s'agenouillant obstinément près d'un taillis de la plaine d'Esclaux ou des Clos qui appartenait à M. d'Esparbès de Lussan, seigneur de Saint-Mézard. S’étant approché, il découvrit une petite statue de la Vierge. On fit édifier la chapelle de Notre-Dame-d’Esclaux à cet endroit et une source vint à sourdre à proximité. On ne connaît pas la date de l'origine de ce culte. le plus ancien texte sur la chapelle d'Esclaux date du quand, après la ruine due aux guerres de religion, la famille fondatrice décide de la restaurer. Les récits de miracles ont attiré de nombreux pèlerins du diocèse d'Auch. Le pèlerinage a repris après la Révolution française[34].
  • Fontaine et Vierge de la Chapelle : L’eau de la fontaine a la réputation de soigner les furoncles appelés aussi “clous”. Elle sourd sous la chapelle par une canalisation souterraine, amène l’eau à l’intérieur d’un bassin en pierre et en ressort par la face avant. En avant du bassin se trouve une colonne sur laquelle est posée une statue de la Vierge dont la couronne repose directement sur une longue chevelure ondulée.
  • Les meules de moulins : à côté de la chapelle sont entreposées sept meules percées, en calcaire blanc, qui auraient été déposées là par l'abbé Gauran, provenant peut-être de moulins à huile à manège.
  • Le Bois de cyprès de la Chapelle constitue un site inscrit aux Monuments Historiques (arrêté du 24/02/1943). Il abrite également de majestueux cèdres centenaires, un chemin de croix et un calvaire.
  • Château de Feuga : Vaste demeure du 18e siècle édifiée sur l'emplacement d'une ancienne construction féodale, reconstruite en 1818, élégamment restaurée en 2004, avec un parc et de superbes jardins. Corps de logis oblong à deux niveaux accolé de deux tours carrées et d'un donjon carré à mâchicoulis et créneaux et tourelles. Propriété privée.
  • Pont de L'Ourtiguet sur le Gers. Le Pont et ses abords constituent un site inscrit aux Monuments Historiques (arrêté du 09/03/1943).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Mézard » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Mézard » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Mézard » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Mézard » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Mézard » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Saint-Mézard », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « le Gers »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Saint-Mézard et Laplume », sur fr.distance.to (consulté le ).
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  10. « Station Météo-France « Laplume » (commune de Laplume) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Mézard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Mézard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Mézard », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Mézard », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Mézard », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p 226
  25. Site de la préfecture - Fiche de Saint-Mézard
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  31. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  32. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Mézard - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
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