Miradoux

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Miradoux
Miradoux
Le bourg de Miradoux en 2021.
Blason de Miradoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes de la Lomagne gersoise
Maire
Mandat
Jérémy Lagarde
2020-2026
Code postal 32340
Code commune 32253
Démographie
Gentilé Miradouzains
Population
municipale
535 hab. (2021 en augmentation de 5,31 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 56″ nord, 0° 45′ 24″ est
Altitude Min. 79 m
Max. 227 m
Superficie 34,58 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lectoure-Lomagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Miradoux
Géolocalisation sur la carte : France
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Miradoux
Géolocalisation sur la carte : Gers
Voir sur la carte topographique du Gers
Miradoux
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Miradoux
Liens
Site web http://www.miradoux.org/

Miradoux (Miradors en gascon) est une commune française située dans le nord-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Lomagne, une ancienne circonscription de la province de Gascogne ayant titre de vicomté, surnommée « Toscane française ».

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, l'Auroue, le ruisseau de Rioucot et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Miradoux est une commune rurale qui compte 535 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 778 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Miradouzains ou Miradouzaines.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Orens-et-Saint-Louis, classée en 1978.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Miradoux est le chef-lieu du canton du même nom. C'est le moins peuplé du Gers et le plus agricole. C'est une commune limitrophe du département de Tarn-et-Garonne, proche de celui de Lot-et-Garonne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Gramont, Lachapelle, Marsac, Poupas, Sistels, Castet-Arrouy, Flamarens, Gimbrède, Peyrecave, Plieux et Sainte-Mère.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Miradoux se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Miradoux.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Arrats, l'Auroue, le ruisseau de Rioucot, un bras de l'Arrats, le ruisseau de Brétoux, le ruisseau de Caussiac, le ruisseau de houchac, le ruisseau de Moneton, le ruisseau de Montret, le ruisseau de Pitoulens, le ruisseau de Sallebœuf, le ruisseau d'Escaneqat et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[4],[Carte 1].

L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[5].

L'Auroue, d'une longueur totale de 62,4 km, prend sa source dans la commune de Crastes et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Romain-le-Noble, après avoir traversé 26 communes[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mauroux à 10 km à vol d'oiseau[9], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,6 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 1] est recensée sur la commune[13] : le « cours de l'Arrats » (815 ha), couvrant 30 communes dont 22 dans le Gers et huit dans le Tarn-et-Garonne[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Point de vue en hiver depuis la bastide. La commune s'inscrit dans un cadre rural.

Typologie[modifier | modifier le code]

Miradoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[I 1],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (99,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (96 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %), forêts (1,5 %), zones urbanisées (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Entrée de Miradoux sur la D953.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Miradoux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arrats et l'Auroue. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999, 2009 et 2018[21],[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Miradoux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 318 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 318 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 1998, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Du gascon Miradors, témoigne de la présence d'une ou de plusieurs tours de guer (miradors est un pluriel et peut être un gentilice appliqué à l'ensemble des habitants).

Histoire[modifier | modifier le code]

Extrémité ouest de la bastide donnant sur la porte d'Uzan.

L'ancienne bastide, fondée en 1253, est la plus ancienne du département. Au XVIIe siècle, un épisode important de la Fronde s'y déroula : en février-, une rude bataille opposa les soldats du prince de Condé, frondeur, aux troupes loyalistes commandées par le comte d'Harcourt. Après plusieurs jours de siège, Miradoux est prise par les troupes de Condé. Refusant de renseigner l'occupant, les habitants sont malmenés et enfermés dans l'église. Leurs maisons sont pillées. Toutefois, profitant de ce répit, les troupes du comte d'Harcourt contre-attaquent et délogent les frondeurs qui se replient sur l'Agenais. Cet épisode est rappelé par des boulets de canon conservés dans l'église et par une procession qui a lieu chaque année.

Les Templiers et les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

L'hôpital Sainte-Marie-Madeleine était tenu par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem et, sur une hauteur, le lieu-dit le Temple atteste le souvenir des Templiers.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie située entre l'église et la halle.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2020 Suzanne Macabiau PS  
juin 2020 En cours Jéremy Lagarde LR  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 535 habitants[Note 3], en augmentation de 5,31 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 5821 6781 7291 7561 7781 6921 7361 6881 586
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 5621 5661 4871 4341 3901 3161 2491 1841 154
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 1331 092943935937978943901837
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
728654647594497519515533508
2020 2021 - - - - - - -
537535-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La crèche de Miradoux en décembre 2021.

Miradoux fait partie des huit communes qui participent à la Ronde des Crèches, une manifestation hivernale où chaque village expose une crèche d'après un thème commun qui diffère chaque année[28].

Santé[modifier | modifier le code]

Social[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 217 ménages fiscaux[Note 4], regroupant 487 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 470 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 9,2 % 10,3 % 10,9 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 262 personnes, parmi lesquelles on compte 78,8 % d'actifs (67,9 % ayant un emploi et 10,9 % de chômeurs) et 21,2 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 119 emplois en 2018, contre 150 en 2013 et 196 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 182, soit un indicateur de concentration d'emploi de 65,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 10].

Sur ces 182 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 54 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 7,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

54 établissements[Note 6] sont implantés à Miradoux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 7],[I 13].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 54
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
7 13 % (12,3 %)
Construction 6 11,1 % (14,6 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
15 27,8 % (27,7 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,7 % (3,5 %)
Activités immobilières 3 5,6 % (5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 16,7 % (14,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
10 18,5 % (12,3 %)
Autres activités de services 2 3,7 % (8,3 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,8 % du nombre total d'établissements de la commune (15 sur les 54 entreprises implantées à Miradoux), contre 27,7 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[29] :

  • Juillet Snma Societe Nogentaise Metallerie Aluminium, fabrication d'autres articles métalliques (112 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la Lomagne, une petite région agricole occupant le nord-est du département du Gers[30]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 63 50 38 37
SAU[Note 9] (ha) 3 196 3 421 3 040 3 343

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 63 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 50 en 2000 puis à 38 en 2010[32] et enfin à 37 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[33],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 3 196 ha en 1988 à 3 343 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 51 à 90 ha[32].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Fieux est situé non loin de Miradoux.
  • La halle de Miradoux, accolée à la mairie et située au centre de la bastide.
  • Plusieurs puits au sein du bourg ont été conservés.
Pèlerinage de Compostelle

Miradoux est située sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. On vient de Flamarens, la prochaine commune est Castet-Arrouy.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Écartelé : au premier et au quatrième de gueules à la croix cléchée et pommetée de douze pièces d'or remplie de sable, au deuxième et au troisième d'azur à la cloche d'or[35].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[31].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Miradoux » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Miradoux » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Miradoux » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Miradoux » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Miradoux » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Miradoux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. Sandre, « l'Arrats »
  6. Sandre, « l'Auroue »
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Miradoux et Mauroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Mauroux » (commune de Mauroux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Mauroux » (commune de Mauroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des ZNIEFF de la commune de Miradoux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF le « cours de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Miradoux », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Miradoux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
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  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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