Philippe Le Guillou
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Note moyenne : 6.5/10Nombre d'évaluations : 6
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Les derniers commentaires sur ses livres
Ce qui est bien quand on est inscrit dans une bibliothèque, c’est qu’on sort plus facilement de sa zone de confort de lecture. Mais là, je suis vraiment trop sortie de cette zone!
Les livres descriptifs à ce point, ce n’est vraiment pas pour moi mais je peux comprendre qu’il plaise à d’autre.
Le meilleur moyen de le savoir, c’est de l’essayer !!!
Afficher en entierJe n'ai pas réussi à accrocher. Cela tient surtout au fait que ne ne raffole pas de ce style d'écriture et que dans ma vie quotidienne les personnes qui y sont décrites (vu la description qui en est faite) ne sont pas le genre de personnes que j'aime fréquenter, dans le sens où je n'arrive pas à avoir la moindre affinité avec eux. Et ce n'est pas faute d'avoir essayé.
Ce livre est un bel hommage à une femme aujourd'hui décédée dont il ressort essentiellement toute l'affection que lui porte l'auteur.
Mais c'est aussi très personnel, trop, ce qui m'a donné l'impression de n'être qu'une simple spectatrice d'une vie, sans pouvoir entrer totalement dans cette histoire, de "faire miens" les personnages
Afficher en entierTruffé de références littéraires, - à Gracq, Saint-Pol-Roux, Xavier Grall, Georges Perros... mais aussi à la littérature classique (Louis Lambert) -, ce livre est à la fois un hymne à la musique, à la Bretagne et à la mer, et le portrait d'un homme qui n'a vécu qu'à la source de sa soeur, dont il ne se remet pas de la mort. Il nous fait ressentir les fulgurances de l'artiste et les mystères de la création, mais aussi la souffrance qui en est le corollaire. Via le personnage de Stéphane, il nous fait aussi revivre les années Mitterrand et Chirac, à travers le regard désabusé d'un familier des arcanes politiques. L'écriture, très classique, est à l'image du narrateur, qui n'arrive pas à exprimer ses sentiments, amoureux notamment, et garde toujours le contrôle de ses émotions. Je l'ai trouvé très belle mais je n'ai pas été bouleversée.
Afficher en entierL'homosexualité, la religion et la Mort.
Voilà la fresque que nous fait découvrir Philippe le Guillou. Avec ses mots. de beaux mots.
Je ne connaissais pas l'auteur. Un ami et son bon conseil me l'ont fait rencontrer. Je ne le regrette pas.
L'histoire qui nous est contée est captivante.
Les personnages sont vrais, bien remplis comme on le dit. Ils débordent de la page et viennent nous prendre la main.
Une belle ouvre, pour l'histoire d'un peintre immaginaire !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Philippe Le Guillou
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 35 livres
Mercure de France : 5 livres
Editions dialogues : 4 livres
Pierre-Guillaume de Roux Editions : 1 livre
Pygmalion : 1 livre
Editions de La Table Ronde : 1 livre
Robert Laffont : 1 livre
Biographie
Philippe le Guillou est né au Faou, dans la maison de ses grands-parents maternels située au lieu-dit Kerrod, ce qui veut dire "maison de la mer"[1] (Les Marées du Faou, en 2002, sont consacrées à ce village et en célèbrent "la ferveur des commencements", à laquelle le reste de l'œuvre fait régulièrement écho). Après avoir passé son enfance dans les Côtes d'Armor jusqu'en 1968, il grandit à Morlaix. C'est cette ville qui sert de modèle à la cité où déambule le héros de son premier roman, L'Inventaire du vitrail (1983).
Il obtient le baccalauréat en 1977 et entre en classes préparatoires au lycée Chateaubriand de Rennes. Les épisodes les plus forts de son adolescence sont la matière du Passage de l'Aulne (1993), roman de formation autobiographique où est évoquée, notamment, la venue à l'écriture[2].
Son mémoire de maîtrise porte, en 1980-1, sur La Voie royale, roman dont Philippe Le Guillou reparlera dans L'Inventeur de royaumes (1996), publié à l'occasion de la translation au Panthéon des cendres d'André Malraux. Professeur de lettres, il enseigne jusqu'en 1995 à Brest puis à Rennes avant d'être nommé, au printemps de la même année, inspecteur pédagogique régional et affecté à l'académie de Versailles. Il s'installe alors à Paris, qui occupera désormais une place importante dans ses romans. Il publie d'ailleurs en 2001 un essai en forme de promenade consacré à ses lieux parisiens, Paris. Une porte derrière la Bretagne.
Devenu en 2002 inspecteur général, il partage son temps entre ses fonctions de Doyen du groupe des Lettres et son séminaire à Sciences Po, qui porte notamment sur le roman moderne et contemporain.
Il préside avec Claudine Glot l’association Centre de l’Imaginaire Arthurien basée au château de Comper-en-Brocéliande.
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