Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
717 421
Membres
1 025 857

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de José-Luis De Vilallonga

23 février 1981. Cinq ans après la mort de Franco, un pronunciamiento menace de précipiter l'Espagne dans la guerre civile... Ce jour-là, en sauvant la démocratie, Juan Carlos va définitivement conquérir le respect de son peuple et du monde entier.

Aujourd'hui, pour la toute première fois, Juan Carlos accepte de collaborer à sa biographie. Au cours de longs entretiens, il parle avec José Luis de Vilallonga de tous les moments qui ont marqué sa vie et son règne.

Au-delà de leur intérêt historique, ces entretiens décrivent une expérience unique: l'exercice du pouvoir à son plus haut niveau. Juan Carlos explique ses décisions, fait part de ses doutes, de ses moments de joie ou de solitude. Avec une étonnante liberté de ton, constamment soutenu par l'attention, l'humour et la mémoire de José Luis de Vilallonga, il raconte son métier de roi.

Au fur et à mesure qu'il se livre à son interlocuteur, un homme exceptionnel apparaît derrière celui qui a donné à la monarchie son visage moderne.

« On n'a pas de morale stricte à seize ans. Il faut être vieux, cynique et désabusé pour tenir très fortement à une certaine morale. »

Un adolescent, jusque-là bercé des sereines illusions françaises, retrouve soudain l'Espagne au coeur de la guerre civile. Il va y découvrir l'inutilité de la raison qu'on enseigne au collège; la mesquinerie de la mesure; la passion des hommes pour les débordements virils; la puissance du vin et l'honneur, bien sûr, de tuer sans rêver de mourir.

Ainsi - Chérubin fourvoyé dans une tragédie - Rafael de Los Cobos se voit-il enrôlé dans un peloton d'exécution, entouré d'hommes féroces, animés d'une toujours allègre barbarie, qui aiment d'amour la guerre et la pratiquent comme un sport.

Indira Gandhi, la Maharani de Jaipur, Sophia Loren, Jeanne Moreau, Grace de Monaco, Mary Russell, Régine… et Madame Claude.

Pourquoi ces femmes et non pas d’autres ? Parce que José Luis de Vilallonga les a rencontrées au fil des années et que ce qu’elles lui ont raconté l’ont souvent étonné. Une fois de plus, l’auteur constate combien « les personnages » sont sans commune mesure avec la légende que leur a tissé la célébrité. Ces femmes, il les a découvertes - à bâtons rompus - alors qu’il croyait tout savoir à leur propos.

Il était venu à pied de Moscou à Paris, traversant l'Europe comme un vagabond muet, et voici que, dans ce petit café espagnol au pied de Montmartre, il allait retrouver sa sœur, ses compagnons de l'armée républicaine et, peut être, vingt ans après, la trace d Soledad.

Il lui restait à découvrir que le passé était aboli, que l'amour et la gloire d'il y a vingt ans étaient une dérision. Mais comment oublier les rares instants pendants lesquels sa vie avait été enfin vécue, son orgueil satisfait, son cœur comblé?

Alors, vers le pays de sa propre légende, vers l'Espagne, le général Francisco Pizzaro s'en alla, offrant ses mains définitivement vides à la mort compatissante.

D’un crépuscule à l'autre, « sous le rouet du plaisir, ce bourreau sans merci », Marie Dragonara passe de bars en restaurants et de restaurants en boîtes de nuit. Cette route est jalonnée de femmes : Laure, Kate, Mafalda, Cora, Félicia... Mario se dit que « sa vie est faite d'une succession de chambres à coucher qu'il quitte sans l'envie d'y revenir ». Mais, pris entre les nouvelles ardeurs d'une ancienne maîtresse et la passion naissante d'une actrice célèbre, Mario, chasseur transformé en gibier, va prendre la fuite devant l'amour. D'ailleurs l'amour est-il compatible avec le plaisir appris, exercé comme un art ?

Fuyant une Afrique déchirée par des luttes sanglantes, Sor Luz del Amor Hermoso trouve refuge à Rome, auprès de Madre Maria, sa Mère supérieure. A Madre Maria elle va confesser qu'elle a été violée par un chef Noir et qu'un enfant bouge en elle... Elle va lui dire encore son enfance malheureuse à Grenade, son père, aristocrate débauché, héros dérisoire et tragique de l'armée franquiste, noyant dans l'alcool le souvenir du crime qu'il a commis l'exécution sommaire du grand poète Federico Garcia Lorca. Pour échapper à cet univers de sang et de fureur, Sor Luz est entrée dans les ordres. Une vocation où le dégoût du monde l'emportait peut-être sur l'amour de Dieu. Et maintenant, quel peut être son destin ?

Source : J'ai Lu

Gouvernée par un prince, père de deux enfants qui représentent l'avenir de la dynastie, l'île de Roccavecchia, joyau de la Méditerranée, coule des jours heureux et brillants sous un perpétuel soleil. Dans son port sont ancrés les yachts les plus luxueux du monde; dans ses casinos se perdent des fortunes, dans ses palais se donnent les fêtes les plus recherchées. Et pourtant, sous cette éblouissante façade bien des ombres sont dissimulées. Le sage prince n'est peut-être pas un veuf inconsolable et les affaires de son petit État sont en vérité entre les mains de financiers dont il est la proie. Le prince héritier se révèle un jeune homme assez nul, ce qui ne surprend personne, vue l'hérédité familiale. La princesse, elle, est déjà une femme de tête, mais ses coups de coeur fréquents et affichés causent le scandale. Dans ce monde clos où des intérêts énormes sont en jeu, la lutte pour le pouvoir se déchaîne alors que la santé du prince régnant décline. Qui sera le prochain maître de Roccavecchia ?

C'est avec un exceptionnel talent que Jose Luis de Vilallonga. a noué une intrigue surprenante où drames, rebondissements et coups de théâtre se succèdent autour de la famille princière.

Avec la souplesse et la pointe de cruauté qui donnent au portraitiste et au journaliste un style de grâce insolente, José-Luis de Vilallonga passe en revue un choix de célébrités dont la vie quotidienne fait traditionnellement les beaux jours de la presse à sensation. Mêlant rosserie et tendresse, il esquisse à travers le dialogue et l'anecdote la silhouette de personnages trop connus pour n'être pas aussi connus. Dans ce Gotha des célébrités du moment voisinent Brigitte Bardot, Karajan, Rainier de Monaco, Fellini, Franco... Art, politique, richesse, affaires découvrent leurs points communs forment l'arrière-fond sur lequel se détachent des êtres qui essaient de penser, de sourire, de rectifier leur image sous les « instantanés » désinvoltes de Vilallonga. Celui-ci se garde de tout commentaire et laisse, avec un malin plaisir, chacun se définir au mieux.

Pour le vicomte de Santa Paz, les "gens de bien" c'est d'abord une famille détestée qu'il a fuie dès l’adolescence - aristocrates bornés, avides de terres et d'or, confits en responsabilité et tarés dans l'âme. C'est aussi une caste dont l’égoïsme maintient l'Espagne dans la misère.

Mais voici qu'après une vie de passions et de scandales, Santa Paz est revenu sur ses terres. Flanqué de Cornelia, son étrange gouvernante, il s'est installé dans la belle demeure qu'il possède près de Barcelone. C'est désormais un vieil homme usé, mais dont la haine et l'insolence sont plus vivaces que jamais.

Entre lui et sa famille qui le guette et cherche à le circonvenir, la lutte reprend.

Dans cette bataille, seul Patricio, jeune homme irrespectueux, se range aux côtés de son oncle. Et si, au delà de la mort même, Santa Paz allait damer el pion aux gens de bien ?

Utilisant un subterfuge inédit - c'est le premier sabre acheté par Franco à sa sortie de l'École militaire qui raconte l'histoire -, José Luis de Vilallonga dévoile l'existence intime du dictateur soumis aux ambitions dévorantes de sa femme. De Franquito, élu en 1936 par ses compagnons d'armes pour diriger le sort des insurgés, à Franco, qui incarna l'âme de l’Espagne durant presque quarante ans, c'est le «règne long, triste et gris d'un homme mesquin aux ambitions médiocres» que l'auteur nous dévoile avec humour.

Franco, victime durant son enfance des sordides prises de bec entre une mère dévote, vouée aux tâches ménagères, et un père amateur de vin, de cartes et de femmes, ne s'intéressait qu'à sa carrière, avec ou sans monarchie, jusqu'à ce que sa future femme croise son chemin et sublime toutes ses frustrations : Carmen Polo, grande et maigre, avec des grands pieds et des dents de cheval, au regard froid et dur qui aurait dû inquiéter tout homme sensible aux femmes. Nouvelle lady Macbeth, elle insuffla à Franco, durant plus d'un demi-siècle, une ambition démesurée pour le pouvoir. «Toutes les dynasties ont un début et une fin, lui dit-elle. Lorsque se terminera celle des Bourbons, tu pourras en fonder une nouvelle.»

Écrit par un auteur qui s'autorise toutes les licences du romancier mais respecte scrupuleusement la rigueur historique, Le Sabre du Caudillo - véritable bistouri manié par les doigts experts de José Luis de Vilallonga - est fondamental pour comprendre les méandres d'une personnalité qui, pendant quarante ans, gouverna l'Espagne comme s'il s'agissait d'une ferme.

"C’est toujours à l’aube que les choses sales se passent, les choses qui blessent, les choses qui font mal..." dit un des personnages de ce livre. Et c’est à l’aube aussi, - à l’heure dangereuse du petit matin - que les hommes deviennent leur propre caricature, c’est-à-dire totalement vrais et sincères dans leurs violences, leurs faiblesses, leurs amours. C’est dans les premières clartés de l’aube qu’ils sont les plus secrets, les plus mystérieux, les plus légendaires. Presque des dieux. Dans ces six nouvelles issues de certains souvenirs de la guerre d’Espagne, et où l’atroce se mêle au ridicule, la cruauté à la tendresse, la mort à tout le reste... c’est à l’heure dangereuse du petit matin que chaque personnage dit son mot capital, accomplit son geste inexplicable, se met à rire ou à pleurer - où est la différence ? - tout juste avant que le jour ne se lève et que prenne fin le maléfice.

Choses vues, souvenirs, on retrouve dans ce nouveau livre les gens de cette "tribu" dont José Luis de Vilallonga s'est fait le peintre, ces représentants majestueux et pathétiques d'un monde aristocratique en pleine agonie. Tout, dans Le Gentilhomme européen, passe à travers le regard d'un enfant : les personnages et les évènements en prennent une dimension d'autant plus fascinante. C'est le dictateur Primo de Rivera marchant à quatre pattes et faisant sauter le narrateur sur son dos ; c'est le très élégant abbé de Rocaberti épris d'une cantatrice et fusillé par les anarchistes ; c'est la fureur érotique et révolutionnaire des bas-fonds de Madrid.

Avec Le Gentilhomme européen, José Luis de Vilallonga ajoute une touche essentielle à la fresque que, tout au long de son oeuvre, il a brossée de l'Espagne.

Grand d'Espagne, romancier, comédien, journaliste, José-Luis de Vilallonga, qui a 53 ans et ne s'en cache pas, n'a pas encore l'âge d'écrire ses mémoires. Mais parce qu'il a déjà vécu de multiples vies, connu de multiples gens et fréquenté tous les grands de ce monde, il a accepté la proposition de son ami Guy Monréal, journaliste et romancier, de se raconter. Au cours d'une longue et passionnante conversation, commencée il y a un an et demi à Acapulco, poursuivie depuis de Monte-Carlo à New York et de Paris à Mykonos, José-Luis de Vilallonga évoque avec insolence son passé, sa famille, la guerre d'Espagne, le dernier grand conseil fasciste, les fêtes de Persépolis, la vie à Hollywood, le Tout-Paris, ou du moins ce qu'il en reste à ses yeux.

De nombreux amis (Fellini, Porfirio Rubirosa, Jeanne Moreau) traversent ces pages. Et beaucoup d'autres qui ne le sont pas - malheureusement pour eux car Vilallonga raconte avec verve et mord avec vigueur... « à pleines dents ».

Le lieutenant Juan de Los Cobos est convoqué à Madrid : le roi Alphonse XIII le charge d'assister en qualité d'observateur au conseil de guerre devant lequel passent en jugement les capitaines Galan et Garcia Hernandez.

Est-ce pour connaître l'état d'esprit réel de l'Armée comme le dit le roi - ou le nom de ceux qui sympathisent avec les insurgés comme le précise le colonel de la Parga ? Juan n'a pas l'expérience des finesses du jeu politique. Son honneur d'homme se choque de ce rôle de mouchard qu'on lui impose, son honneur de Grand d'Espagne et de soldat qui a juré fidé-lité à la monarchie lui dicte l'obéissance - et aussi son point de vue sur les félons. Ils méritent la mort, bien sûr.

Il n'en sera bientôt plus aussi certain. En 1930, l'Espagne presque entière aspire à un changement de régime, sans être encore prête à se battre pour l'obtenir. Elle a besoin de mûrir, comme Juan. Quelques mois y suffiront. Fermin Galan a agi trop tôt - peut-être poussé par l'ambition qui est une des « gangrènes de l'honneur »... L'honneur dont l'analyse est au centre de ce roman aux résonances autobiographiques où José Luis de Vilallonga s'affirme à nouveau un grand écrivain.

Lui, c'est un grand bourgeois de Biarritz qui, lorsqu'il vient seul à Paris, fréquente les filles de Mme Claude et la brasserie Lipp.

Chez Lipp, précisément, à la table voisine : Elle. Un joli petit «monstre» d'aujourd'hui : corps d'adolescent, cuissardes et lunettes noires qui, soulevées, révèlent un regard bleu brouillé, indéchiffrable. Et parce qu'après ce déjeuner, il pleut... Marion monte dans la Lamborghini de Jean Forest. Courte drague ? Aventure d'un week-end ? Jean propose sa maison de campagne, proche de Paris. C'est simple et excitant, n'est-ce-pas ? Eh bien, non...

Elle l'entraîne d'abord dans une soirée étrangement «libre» ... Puis, en cours de route, dans une auberge, un bar, Marion téléphone... Une Marion tour à tour glaciale, insolente, provocante. Quand, enfin, la Lamborghini fonce vers Chevreuse, un mystérieux malaise envahit Jean Forest, une angoisse…

Si les ramblas finissent à la mer, c'est aussi par elles, célèbres avenues de Barcelone, que le grand vent du large monte et souffle sur la ville fiévreuse. Une ville où, en cette année 1945, le luxe arrogant des possédants contraste avec la faim du peuple, où des combattants de l'ombre tentent d'ébranler l'ordre franquiste tout puissant.

C'est à ce carrefour que le jeune aristocrate Rafael Puerto Real, écoeuré par l'hypocrisie des siens et la cruauté du pouvoir, cherche sa vérité. II la découvrira en rencontrant, en aimant aussitôt Fernanda, qui lutte contre la tyrannie avec toute la passion de ses vingt ans.

Mais n'est-ce pas seulement par amour que Rafael s'engage à ses côtés ? Jeté au coeur du combat, ira-t-il jusqu'à donner sa vie pour la liberté?

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode