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Événements contenant la ou les locutions cherchées



23 événements affichés, le premier en 1749 - le dernier en 1813


Françoise de Châlus Françoise de Chalus

Liaison de Louis XV avec Françoise de Châlus

Mariage de Jean-François de Narbonne-Lara avec Françoise de Châlus

Françoise de Chalus tient la charge de Dame d'honneur de Marie-Adélaïde de France, fille de Louis XV.

Elle est dans une situation privilégiée pour fréquenter Louis XV dès 1749.

Louis XV a une liaison avec Françoise de Châlus, Duchesse de Narbonne-Lara. Leur enfant est :

Françoise de Châlus a un autre enfant, fils soit de Louis XV soit de Jean-François de Narbonne-Lara :

Jean-François de Narbonne-Lara épouse en l'Hôtel de Toulouse à Paris le 13 juillet 1749 et à Louveciennes le 21 juillet 1749 Françoise de Chalus, Baronne de La Bove.

Jean-François de Narbonne-Lara n'est pas le père biologique de ses deux enfants.

Plusieurs auteurs récents considèrent que Louis-Marie de Narbonne-Lara, et peut-être Philippe de Narbonne-Lara également, sont des bâtards de Louis XV

Après son mariage, probablement comme dédommagement pour sa complaisance, Jean-François de Narbonne-Lara obtient satisfaction concernant sa blessure à Namur.

Jean-François de Narbonne-Lara se rend avec Françoise de Chalus à Parme au service Philippe Ier de Parme et de Marie-Louise-Élisabeth de France, fille de Louis XV.



Naissance de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara naît à Colorno dans le duché de Parme le 17 avril 1755. Il est :

Sa mère est Françoise de Châlus.

Il a une ressemblance physique frappante avec Louis XV.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara fait ses études chez les Oratoriens au collège de Juilly.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Capitaine

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara entre dans l'armée, d'abord dans l'artillerie puis chez les dragons.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara y brûle les étapes, devenant Capitaine en 1773.



Mariage de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara avec Marie-Adélaïde de Montholon

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara épouse à Paris le 16 avril 1782 Marie-Adélaïde de Montholon, fille de Nicolas de Montholon, premier président du parlement de Rouen et conseiller d'État. Leurs enfants sont :



Liaison de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara avec Jeanne Pitrot-Verteil

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara a une liaison avec Jeanne Pitrot-Verteil. Leur enfant est :



Liaison de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara avec Louise-Françoise Contat

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara a une liaison avec Louise-Françoise Contat. Leur enfant est :



Liaison de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara avec Louise-Françoise Contat

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara a une liaison avec Louise-Françoise Contat. Leur enfant est :



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Colonel

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara devient colonel en 1783.

Charles Gravier, Ministre des Affaires étrangères, le repère et en fait un de ses secrétaires.



Mort de Charles Gravier

Charles Gravier meurt à Versailles le 13 février 1787.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara reprend du service dans l'armée.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Colonel du régiment de Piémont

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara devient en 1789 colonel du régiment de Piémont.

Au début de la Révolution, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara embrasse les idées nouvelles et se lie à des nobles libéraux tels que le duc d'Aiguillon.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Commandant en chef de la garde nationale du Doubs

En 1790, alors qu'il se trouve en garnison à Besançon, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara parvient à maintenir l'ordre malgré des troubles et est nommé commandant en chef de la garde nationale du Doubs.



Liaison de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara avec Anne-Louise Germaine Necker

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara revient toutefois à Paris.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara a une liaison avec Anne-Louise Germaine Necker. Leurs enfants sont :



Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse à Rome

En 1791, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara accompagne à Rome les tantes de Louis XVI : Marie-Adélaïde de France et Victoire Louise Marie Thérèse.


Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara - par Lerminier ou Herminie Déhérain (1798-1839)

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Ministre de la guerre

Maréchal de camp nommé par Louis XVI, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara devient ministre de la guerre le 6 décembre 1791.

Ni Louis XVI ni Marie-Antoinette d'Autriche ne l'apprécient, mais sa nomination doit barrer la route à Gilbert Motier de La Fayette que la famille royale déteste.

En vue de la guerre prochaine, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara visite les frontières du royaume pendant son ministère, et fait, à la suite de ce voyage, un brillant rapport à l'Assemblée législative sur les ressources militaires de la France.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara organise 3 armées sous les ordres :


Adam Philippe de Custine

Nicolas de Luckner Commandant de l'armée du Nord

Adam Philippe de Custine Commandant de l'armée du Rhin

Le 26 février 1792, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara présente Nicolas de Luckner à l'assemblée nationale : Luckner a le cœur plus français que l'accent.

C'est à Nicolas de Luckner que Rouget de Lisle dédie, en avril 1792, son célèbre Chant de guerre pour l'armée du Rhin, autrement nommé, par la suite, la Marseillaise...

Nicolas de Luckner se voit confier le commandement de l'armée du Nord en mai 1792.

Adam Philippe de Custine reçoit en mai 1792 le commandement de l'armée du Rhin à la place de Nicolas de Luckner.

Jean-Baptiste Kléber s'engage dans l'armée du Rhin



Renvoi de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara comme Ministre de la guerre

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara ne cesse d'être attaqué par les brissotins et les députés cordeliers comme Chabot.

Au sein du ministère de la guerre, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara est la cible des royalistes comme Bertrand de Molleville. Celui-ci obtient son renvoi le 9 mars 1792.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara rejoint alors l'Armée de l'est puis l'état-major de Nicolas de Luckner à Strasbourg.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara à Paris

Gilbert Motier de La Fayette et Nicolas de Luckner à Paris

À l'été 1792, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara intrigue auprès du roi pour retrouver son ministère.

Nicolas de Luckner accompagne Gilbert Motier de La Fayette à Paris en juillet 1792 pour manifester sa sympathie à Louis XVI.


Louis XVI traversant les rangs des troupes défendant le palais des Tuileries avec Augustin-Joseph de Mailly avant les combats du 10 août 1792 - par Yan' Dargent Louis XVI et sa famille au temple - par Matthew Ward

Suspension de Louis XVI

Emprisonnement de la famille royale

Au manifeste de Brunswick, le peuple de Paris répond par l'assaut sur les Tuileries.

Le 9 août 1792, quand Augustin-Joseph de Mailly apprend les dangers qui environnent la famille royale, il se rend aux palais des Tuileries.

François-Athanase Charette de La Contrie revient en France pour défendre la famille royale aux Tuileries, le 10 août 1792.

Le 10 août 1792 le bataillon d'Henri Gatien Bertrand se porte aux Tuileries pour défendre la royauté constitutionnelle.

Augustin-Joseph de Mailly se voit confier par le roi le commandement des troupes devant défendre les Tuileries.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara, revenu à Paris, assiste au 10 août aux côtés de Louis XVI.

Le 10 août 1792, la foule envahit le palais des Tuileries.

La défense est balayée, et Augustin-Joseph de Mailly échappe au massacre et reçoit de l'aide pour s'enfuir.

François-Athanase Charette de La Contrie échappe au massacre.

La prise des Tuileries choque particulièrement Charles-François Lebrun qui reste royaliste.

Marie-Louise de Savoie-Carignan suit la famille royale qui se réfugie à l'Assemblée législative.

Louis XVI est suspendu par l'Assemblée législative. La déchéance du roi est prononcée.

Louis XVI confie à Aimar-Charles-Marie de Nicolaï les sceaux de France, en lui demandant de les remettre plus tard au dauphin.

Louis XVI, Marie-Antoinette d'Autriche et Louis XVII sont emprisonné à la Prison du Temple. Marie-Louise de Savoie-Carignan fait partie du convoi.

Louis XVII est confié à la garde de son père qui poursuit son éducation.

Nicolas de Luckner perd toute sa popularité et est regardé comme suspect après le 10 août 1792.

Augustin-Joseph de Mailly est dénoncé puis arrêté peu de jours après sa fuite et conduit devant la section, qui veut l'envoyer à la prison de l'Abbaye. Son passé, son âge et ses idées généreuses du temps des Lumières, font qu'un commissaire réussit à s'y opposer. Augustin-Joseph de Mailly échappe donc de peu aux massacres de Septembre dans cette prison.

Augustin-Joseph de Mailly se réfugie avec sa famille dans leur château de Mareuil-Caubert, près d'Abbeville.

Sur le chemin du retour, François-Athanase Charette de La Contrie est arrêté à Angers et relâché grâce à l'intervention de Charles François du Perrier du Mouriez.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara émigré

Décrété d'accusation le 14 août 1792, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara émigre à Londres avec l'aide de Anne-Louise Germaine Necker.

Catherine Jeanne Tavernier de Boullongne connaît l'émigration et vit en coquetterie avec Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara.

De Londres Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara écrit à la Convention pour lui demander un sauf-conduit afin de venir assumer sa part de responsabilité dans les actes du gouvernement de Louis XVI.

Cette dangereuse faveur lui est refusée.

L'Angleterre étant entrée en guerre contre la France, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara passe en Suisse puis en Allemagne, à Hambourg.



Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord Ministre des Affaires étrangères

Coup d'État du 18 fructidor an V

Déportation de Louis François Joseph de Bourbon-Conti

L'opposition des royalistes ne permet pas à Joseph Bonaparte de siéger au Conseil des Cinq-Cents avant le coup d'État du 18 fructidor an V.

En 1797, lors du renouvellement annuel du tiers des Conseils, les royalistes, se présentant en défenseurs de l'ordre, se retrouvent majoritaires dans le Conseil des Cinq-Cents et le Conseil des Anciens, formant le pouvoir législatif.

Jean-Charles Pichegru est député des Cinq-Cents et président de ce corps.

Ils réussissent à faire nommer Balthazar François de Barthélemy comme directeur.

Les Conseils suppriment alors les lois contre les émigrés et les prêtres réfractaires.

Le Directoire se retrouve alors divisé en 2 camps :

Entre les deux Paul Barras tergiverse.

Il finit par se ranger du côté des républicains après la découverte de documents suspects portés par Emmanuel Henri Louis Alexandre de Launay, un agent royaliste, arrêté par Napoléon Ier.

Paul Barras obtient l'accord des autres Directeurs, qui sont pourtant hostiles à Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord.

Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord remplace Charles-François Delacroix comme ministre des Relations extérieures le 16 juillet 1797.

Lors de sa nomination, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord aurait dit à Benjamin Constant : Nous tenons la place, il faut y faire une fortune immense, une immense fortune.

De fait, et dès cet instant, cet homme d'infiniment d'esprit, qui manquait toujours d'argent prend l'habitude de recevoir d'importantes sommes d'argent de l'ensemble des États étrangers avec lesquels il traite.

Pour assurer leur puissance, Paul Barras, Jean-François Reubell et Louis-Marie de La Révellière-Lépeaux qui forme une sorte de triumvirat, soutenus par l'armée, organisent le coup d'État du 18 fructidor an V soit le 4 septembre 1797 contre les modérés et les royalistes.

À l'aube, Pierre Augereau, envoyé d'Italie, fait occuper militairement Paris.

Le général Verdière arrête :

Ils sont incarcérés au Temple et déportés à Sinnamary en Guyane française.

Des affiches sont placardées dans Paris révélant, d'après les papiers d'Emmanuel Henri Louis Alexandre de Launay, la trahison de Jean-Charles Pichegru.

De nombreux députés, prêtres et journalistes sont eux aussi déportés en Guyane, et les élections de 49 départements sont annulées.

Lazare Nicolas Marguerite Carnot qui craint d'être arrêté, prend la fuite et s'exile en Allemagne.

Ce coup d'État marque un renforcement de l'exécutif au détriment du pouvoir législatif.

Une loi de déportation est votée qui frappe l'ensemble des membres de la maison de Bourbon.

Louis François Joseph de Bourbon-Conti est conduit sous escorte armée jusqu'à la frontière espagnole, non sans avoir obtenu du Directoire une provision annuelle de 50 000 francs sur le produit de ses biens, grâce à une réclamation du citoyen Desgraviers, institué son légataire universel.

En 1797, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara tente de faire rayer son nom de la liste des émigrés avec l'aide de ses amis royalistes comme Mathieu Dumas, mais le coup d'État de Fructidor lui ôte tout espoir.

Le sénat de Hambourg ordonne l'expulsion de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara.

Après ce coup d'État, Joseph Bonaparte peut enfin siéger au Conseil des Cinq-Cents.



Retour de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara en France

Enfin rayé de la liste des émigrés, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara rentre en France en 1801.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Général de division

Napoléon Ier réintègre Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara dans l'armée en 1809 avec le grade de général de division.



Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara Ambassadeur à Vienne

Mort de Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara

En 1813, Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara est envoyé comme ambassadeur à Vienne.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara s'arrête à Prague en compagnie de Joseph Fouché afin de mener des négociations avec Clément-Wenceslas de Metternich.

L'échec de la conférence entraîne son rappel par Napoléon Ier qui lui confie le commandement de la place de Torgau, en Saxe.

Louis-Marie-Jacques-Almeric de Narbonne-Lara meurt à Torgau le 17 novembre 1813 des suites d'une chute de cheval.


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