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ha ces minous ...petit coucou d'un mercredi pluvieux.j'esp ère que tu vas bien.passe une douce journée malgrés
Par koukla, le 19.12.2018
bonjour de rouen
bien vue bravo net sans bavure pas de superflue
ami tiés josé http://plaisir photos.centerb
Par plaisirphotos, le 01.04.2017
je passe te faire un petit coucou pour te souhaiter une bonne fin de journée. amitiés de koukla.tro belles pho
Par koukla, le 08.03.2017
grand peintre trop peu connu , zingg est de cette catégorie d' homme qui comme vincent van gogh cezanne et g
Par Anonyme, le 20.02.2017
â toi aussi, une belle année.
amica lement. http://le-temp s-d-une-photo. centerblog.net
Par le-temps-d-une-pho, le 27.01.2017
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Date de création : 27.12.2014
Dernière mise à jour :
17.01.2017
189 articles
Sa femme l'a quitté en ne lui laissant que le chien
Quand votre femme vous quitte en ne vous laissant rien de plus qu’un appartement vide et un bull terrier, que faites-vous ?
Pourquoi ne pas dessiner des situations cocasses avec le chien avec un marqueur et ne pas prendre des photos ! Voilà ce que Rafael Mantesso a fait quand sa femme l’a quitté lors de son trentième anniversaire. Avec son bull terrier Jimmy Choo, ils regardaient Mad Men, ont fait du tir au canon, tout en rejoignant KISS … le tout dans un dessin, bien sûr!
« Après mon divorce tout ce que je possédais était Jimmy, et les murs vides. Je me rendis compte qu’ils faisaient une grande toile de fond blanche pour les photos avec Jimmy « , a déclaré dans une interview Montesso. Prendre des photos est une excellente façon de passer du temps avec son chien.
Le Grand Stabile Rouge ou l'Araignée Rouge
de Calder
Le quartier des affaires de la Défense musée à ciel ouvert accessible à tous gratuitement regroupe plus de 70 œuvres imaginées par 50 artistes de 14 nationalités différentes. La politique de commandes publiques auprès de plasticiens contemporains a permis de rassembler une exceptionnelle collection dont la symbiose parfaite avec le travail des architectes et des urbanistes donne à ce site une dimension singulière empreinte de poésie.
Les créations apportent un sentiment d’émotion pure, d’humanité sensible à ce décor urbain minéral et glacé lui conférant un équilibre inspirant. Ponctuant les espaces, elles offrent aux promeneurs, aux salariés travaillant dans les grandes tours de verre et de béton ainsi qu’aux riverains des parenthèses enchantées, des moments suspendus de grâce.
Calder a choisi avec soin l’emplacement de son Grand Stabile dans l’espace public urbain. Cette présence animale et cybernétique au milieu des tours relève d’une mise en scène longuement mûrie. L’Araignée rouge semble à la même échelle que les buildings gigantesques qui l’entourent. A la fois bien ancrée dans le sol de place, très terrienne en ce sens et constituée de lignes aériennes, d’arêtes effilées qui s’élancent dans le ciel évoquant la gracilité des membres des arachnides, cette œuvre autonome et vivante joue avec le paysage urbain, les courbes du volume renvoyant à la géométrie des bâtiments.
La finesse de la suspension s’oppose à la pesanteur du métal, un peu comme si Calder était parvenu à défier les lois de la physique ainsi que celle de la nature en donnant du mouvement à une matière inerte. Mouvement qu’il transcrit en utilisant les oppositions entre plein et vide.
L’air devient un matériau à part entière de cette sculpture. Ses formes incorporent l’espace environnant et sa structure volumineuse englobe le spectateur, le kidnappe dans sa propre dynamique. Il doit se déplacer autour, la traverser pour en appréhender toutes les facettes. C’est le passant contournant le Grand Stabile pour l’observer tout à son aise qui l’anime réellement.
" L'étape la plus longue et la plus importante est invisible, celle qui consiste à créer le tableau " dans sa tête". Certains tableaux murissent pendant des années.
J'avais vu une magnifique photo de coulée de lave du Tolbachik. Un autre cliché de l'Avachinski et du Koriakski m'est alors revenu en tête alors que je lisais le livre de Guy de St Cyr et l'un de ses chapitre au Kamchatka, et cela a été le déclic qui m’a décidé de jumeler ces différentes vues avec ce chasseur de lave qui admire le spectacle sur une paroi elle aussi imaginaire.
Pourtant nous sommes bien au Kamchatka, et ce chasseur de lave ressemble peut être à Guy de St Cyr ... "
" Chasseur de lave au Kamchatka " – par Jocelyn Lardy - détails du personnage.- un clic pour ouvrir.
Le dessin est l’étape première, où interviennent la concrétisation de la pensée, et des principes fondamentaux en peinture, tels que ligne d’horizon, point de fuite … pour arriver à un équilibre esthétique général.
" Chasseur de lave au Kamchatka ". - Etapes 1 et 2 : le crayonné (on devine le personnage à gauche) et l’acrylique.
Ensuite vient l’étape « acrylique » : un médium qui sèche très vite et permet une étude d’harmonie des couleurs, avec des corrections plus faciles. Puis le tableau est recouvert d’un vernis dilué …avant de le reprendre cette fois à l’huile.
" Chasseur de lave au Kamchatka" - l'ombre du personnage et les projections au sommet ne sontpas encore abouties (comparez cette photo au tableau fini ci-dessous))
Jocelyn recommence alors tout le tableau " en ajoutant des couches de peintures de plus en plus grasses, c'est à dire que la peinture est de plus en plus mélangée à de l'huile de lin par exemple, ce qui permet de faire des glacis – de fines couches étirées sur certaines parties de la toile -, mais nécessite des temps de séchages plus longs ..." , et d’arriver à cet effet magique.
Perfectionniste dans l’âme, il ne lui reste qu’à peaufiner certains détails, comme le commentait Boileau dans « L’art poétique » :
Hâtez-vous lentement, et sans perdre courage,
Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage,
Polissez-le sans cesse, et le repolissez,
Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
A partir des années 1900
Au centre des Corbières à LAGRASSE, sur les rives de l'Orbieu, est née et s'est développée l'abbaye bénédictine Sainte-Marie. Au moyen-âge les Corbières étaient un pays sauvage qui devait séduire les hommes de Dieu, qui recherchaient la solitude pour prier. La localité de la Lagrasse est classée parmi les plus beaux villages de France. Voici donc l'histoire du plus important établissement bénédictin des pays d'Aude.
On commence par une vue aérienne Sud, cela permet de voir l'importance du monastère Sainte-Marie d'Orbieu que vous apercevez à gauche de la rivière, par rapport au village médiéval de Lagrasse, à droite
Le pont Vieux datant du XIIème siècle était le seul accès entre le village médiéval et l'abbaye. L'Orbieu en été n'est qu'un mince filet d'eau comme vous pouvez le voir ici.
Une vue générale de Lagrasse
De nombreux monastères bénédictins sont bâtis en territoire Audois entre le VIIIème et le IXème siècle. Mais, l'abbaye Sainte-Marie d'Orbieu, à Lagrasse était la plus prestigieuse, son origine historiquement attestée remonte au VIIIème siècle. En effet, Lagrasse (la fertile, en occitan) est née grâce à l'empereur Charlemagne, une charte rédigée en son nom en 779 est considéré comme l'acte fondateur de l'abbaye. L'histoire est confortée par la légende du romanPhilomena du nom du scribe, présenté comme le chroniqueur de Charlemagne et comme transcripteur de la version latine, manuscrit médiéval datant du XIIIème siècle, où Charlemagne en personne est décrit comme le fondateur de Lagrasse et il aurait été consacré par le Christ lui-même, extrait du texte en occitan, traduction : " ...le comte de Flandres vit que toute la vallée était remplie de victuailles et de ce dont l'armée avait besoin, il dit à Charles : Seigneur, puisque nous sommes ici tellement bien pourvus, il convient de changer la nom de cette vallée ; il n'est pas convenable qu'elle porte aujourd'hui le nom Maigre. Et Charlemagne dit à l'archevêque Turpin : Dorénavant, qu'elle soit appelée Vallée Grasse". Charlemagne était dans la région car il était en route à cette époque, pour l'Espagne afin de combattre les Sarrasins, il était accompagné du pape Léon III, d'archevêques, d'évêques, ducs et comtes.
La tour clocher de l'abbaye datant du XVIème siècle
Voici une belle photo de l'abbaye Sainte-Marie d'Orbieu, côté cour d'honneur, photo prise des coteaux situés à l'Ouest, il ne manque plus que le chant des cigales ...
Le monastère fut restauré à l'époque carolingienne, entre le IXème et le Xème siècle le rayonnement de Lagrasse ne cesse d'augmenter. Au moyen-âge en effet, les abbayes ne sont pas uniquement des lieux de recueillement et de prière. Ce sont de véritables fiefs qui rivalisent, en termes de richesses, avec les territoires détenus par les féodaux. Les possessions de l'abbaye Sainte-Marie d'Orbieu seront innombrables, s'étendant du pays Toulousain jusqu'à la Catalogne et faisant de son abbé un seigneur très influent. Cette puissance politique sera de premier ordre au XIIème siècle, pendant la croisade contre les Albigeois. Par exemple, c'est l'abbé Benoît d'Alignan qui, jouant les intermédiaires entre les occupants et les assiégés, obtiendra la soumission de Carcassonne en 1226 à la couronne de France.
Les moines de Lagrasse n'hésitent pas à s'adresser au pape Hadrien III en 885 afin d'obtenir la confirmation de leur patrimoine. Un document nous renseigne sur l'importance de la communauté bénédictine entre 915 et 959, en effet, une charte de l'abbé Suniaire est soussignée par trente moines.
Le cloître de l'abbaye Sainte-Marie d'Orbieu
Les vergers et oliviers au Sud du monastère
La basilique ST JULIEN de Brioude 2
L’intérieur de l’église se caractérise par une belle polychromie de pierres grises, rouges, blanches et noires qui proviennent de carrières voisines : le grès rouge vient d’Allevier (Azérat), le grès calcaire de Beaumont, le basalte de La Vergueur (Saint-Just-près-Brioude) et le marbre de Lauriat (Enval). Ils s’harmonisent avec le pavement, en galets de l’Allier noirs et blancs, aux motifs géométriques d’arabesques.
La nef, longue de 74 mètres, est composée de cinq travées. Elle est supportée par des colonnes à base carrée, surmontées de chapiteaux ornés de motifs divers : chimères, sirènes, palmettes stylisées, feuilles d’acanthe, génies ailés, un minotaure ou encore Hermès criophores.
D’autres évoquent des scènes de la vie quotidienne : un dompteur de singes, un avare tenant son livre de comptes, un combat de cavaliers. Trois chapiteaux historiés représentent le Christ en majesté, un ange en prière et les Saintes femmes au tombeau.
Certaines colonnes présentent encore des traces de fresques.
À l’entrée de la nef, l’avant-nef est surmontée d’une tribune qui accueille la chapelle Saint-Michel, accessible par un petit escalier en colimaçon. Il supporte le clocher carré. Sous la lanterne du chœur se trouve la « crypte » abritant les restes de saint Julien : les vestiges du martyrium initial se sont retrouvés en sous-sol par surélévation du sol à l’époque moderne. Les vaisseaux latéraux débouchent sur un large déambulatoire flanqué de cinq chapelles rayonnantes.
L’intérieur de l’église se caractérise par une belle polychromie de pierres grises, rouges, blanches et noires qui proviennent de carrières voisines : le grès rouge vient d’Allevier (Azérat), le grès calcaire de Beaumont, le basalte de La Vergueur (Saint-Just-près-Brioude) et le marbre de Lauriat (Enval).
Ils s’harmonisent avec le pavement, en galets de l’Allier noirs et blancs, aux motifs géométriques d’arabesques.
La nef, longue de 74 mètres, est composée de cinq travées.
Elle est supportée par des colonnes à base carrée, surmontées de chapiteaux ornés de motifs divers : chimères, sirènes, palmettes stylisées, feuilles d’acanthe, génies ailés, un minotaure ou encore Hermès criophores.
D’autres évoquent des scènes de la vie quotidienne : un dompteur de singes, un avare tenant son livre de comptes, un combat de cavaliers.
Trois chapiteaux historiés représentent le Christ en majesté, un ange en prière et les Saintes femmes au tombeau. Certaines colonnes présentent encore des traces de fresques.
À l’entrée de la nef, l’avant-nef est surmontée d’une tribune qui accueille la chapelle Saint-Michel, accessible par un petit escalier en colimaçon. Il supporte le clocher carré.
Sous la lanterne du chœur se trouve la « crypte » abritant les restes de saint Julien : les vestiges du martyrium initial se sont retrouvés en sous-sol par surélévation du sol à l’époque moderne.
La basilique ST JULIEN de Brioude
Dédiée à Saint-Julien de Brioude, qui y aurait été martyrisé en 304, la basilique est la plus vaste église romane d’Auvergne.
Le premier sanctuaire dédié à Saint-Julien remonte à la fin du IVème siècle : il est construit sur l’emplacement du tombeau présumé du saint par une dame espagnole, en remerciement de l’accomplissement de son vœu.
Grégoire de Tours rapporte que la renommée du saint se répand, attirant les pèlerins. Une première église est alors bâtie. Le duc Victorius, gouverneur wisigoth de l’Auvergne, l’orne de colonnes de marbre provenant de monuments antiques ; les restes de colonne cannelée qui se trouvent aujourd’hui dans la crypte en font peut-être partie.
Cette église mérovingienne est peut-être détruite par un incendie. Une église carolingienne bâtie aux VIIIème et IXème siècles lui succède dont témoigne aujourd’hui la mosaïque du chœur.
En 825, un édit lui confère une large autonomie et l’« immunité », c’est-à-dire l’exemption de taxes. Un acte de 874 évoque un chapitre de chanoines, fort de 21 maisons, à qui est confiée la garde du tombeau du saint.
Brioude passe ensuite aux mains des comtes de Gévaudan, puis des comtes d’Auvergne. Le chapitre de Saint-Julien compte alors en son sein les rejetons des plus grandes familles d’Auvergne. Il accueille notamment Odilon de Mercœur et Robert de Turlande, qui lui préfèrent, néanmoins, l’un l’abbaye de Cluny, l’autre la vie d’ermite, puis la fondation de l’abbaye de la Chaise-Dieu.
La construction de l’église romane actuelle remonte à la deuxième moitié du IXème siècle. Elle est favorisée par le développement de Brioude devenue un lieu de pèlerinage et une étape sur le chemin de saint Jacques de Compostelle, de Rome et de Jérusalem. Le chapitre cherche alors à s’affranchir de la tutelle des comtes d’Auvergne.
Le pape Urbain II, venu prêcher la première croisade à Clermont en 1095, place Saint-Julien sous sa responsabilité directe, et son successeur Pascal II confirme le droit du chapitre à nommer son abbé et son prévôt.
Le roi Louis VII affirme de même que le chapitre dépend de lui. Parallèlement, des dissensions se font jour à l’intérieur même du chapitre, reflet de la rivalité entre les famille de Mercœur et d’Auvergne.
En 1223, après le rattachement de l’Auvergne au domaine royal, le chapitre rachète aux comtes d’Auvergne leurs droits féodaux sur Brioude. Le chapitre de Saint-Julien maintient sa mainmise sur Brioude jusqu’à la Révolution, qui voit sa suppression.
L’église, réaffectée à l’usage de la paroisse en 1794, voit l’un de ses clochers abattus et l’autre décapité.
En 1837, Prosper Mérimée visite Saint-Julien et le décrit comme une « église byzantine d’un grand caractère, qui malgré tout ce qu’elle a souffert, peut être encore rangée parmi les édifices les plus remarquables que compte l’Auvergne. » Il obtient son classement au titre des monuments historiques dans la liste de 1840.
La restauration de l’église est confiée à l’architecte diocésain Aymon Mallet, qui mène les travaux en s’inspirant des autres grands édifices romans auvergnats, gommant au passage les disparités de style dues à une construction assez longue.
Enfin, l’église est érigée en basilique mineure par Pie XII le 26 avril 1957.
Le peintre Gérard GOUVRANT
Gérard GOUVRANT est né en 1946 à Paris ; attiré très jeune par le dessin, ses œuvres se caractérisent à l’origine par une expression linéaire très poussée où le graphisme domine souvent la couleur.
L’artiste passe ensuite à l’acrylique puis son cheminement le conduit à utiliser l’huile, les traits à l’encre de chine qui surlignent paysages et personnages sont remplacés par des traits noirs, à l’huile, grâce à l’utilisation de « traînards » ; les toiles sont mieux charpentées, les sujets mieux accomplis, le spectateur a l’impression d’une œuvre finie et mature.
Gérard GOUVRANT peint des animaux, des paysages , des ports bretons et varois, des clowns, des scènes de vie animées ; ses personnages reflètent la joie de vivre et bougent dans un monde en perpétuel mouvement…
La fête de la République
Il expose un peu partout dans le monde, notamment aux Etats-Unis et en Europe (Suisse, Belgique, Autriche) et certaines toiles commencent à atteindre, en salle des ventes, une côte intéressante…