Sébastien Jallamion
Sébastien Jallamion était brigadier chef OPJ dans la police nationale où il a exercé pendant 20 ans. Militant patriote et souverainiste, il est contributeur sur Boulevard Voltaire et Riposte Laïque, et intervient régulièrement dans les médias libres. Il est également président de l’Association Nationale de Défense Egalitaire de la Liberté d’Expression (ANDELE), et membre du SIEL présidé par Karim Ouchikh. Actuellement en exil en Suisse, il dénonce les dérives liées à la répression de la Liberté d’Expression en France.
A mort le flic !
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Ce gouvernement, je le caractérise d’un mot: la police partout, la justice nulle part’ écrivait Victor Hugo en 1851. Et l’on pourrait compléter cet aphorisme à la lecture de la terrible aventure professionnelle, sociale et judiciaire de Sébastien Jallamion: ‘La justice nulle part, surtout pas dans la police…’. Derrière la Police de terrain, que l’on salue pour son travail immense, il y a une hiérarchie, souvent soutenue par des loges maçonniques et des partis politiques, qui se soucie plus volontiers de sa carrière et son statut social que du véritable Ordre public. Dans ce récit particulièrement précis et circonstancié, on assiste chronologiquement, en dix-neuf actes, à la mise a mort sociale méthodique d’un OPJ (Officier de Police Judiciaire), patriote au-dessus de tout soupçon et professionnellement irréprochable. La seule « faute » de ce policier, dénoncé par une collègue musulmane: avoir critiqué, sur un réseau social privé, les assassins islamistes de nos compatriotes. Rien d’autre. Ces pages se lisent comme un roman policier, jusqu’au dernier acte à peine croyable, a la lecture duquel on apprend qu’un choix dramatique s’impose à la raison…
Les policiers qui sont chargés de nous protéger sont dans le viseur non seulement des terroristes, mais aussi de ceux qui prétendent combattre les terroristes, à savoir nos autorités… et qui ne cessent de fournir des armes et de l’argent aux terroristes.
Certains de ces terroristes touchent toujours de l’argent de la sécurité sociale en France et ailleurs…. Lire la suite (avec le témoignage de Sébastien sur une vidéo)
