Date de création : 20.08.2012
Dernière mise à jour :
21.10.2012
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jeremy lipking
Par NARJAOU, le 24.02.2018
on ne peut le copier coller
Par sedou, le 05.06.2014
bonjour je voudrai savoir de qui est le tableau ?
Par ******, le 10.10.2013
il jouait avec l’infini,
i l transcendait la petitesse,
il ne draguait point les comtesses,
le poète paso
Par Cochonfucius, le 22.04.2013
victor hugo a_comme lamartine_ su faire fi des exigences que transmet la littérature, cependant, les tableaux
Par armand espartero, le 19.11.2012
Le violon brisé
Aux soupirs de l'archet béni,
Il s'est brisé, plein de tristesse,
Le soir que vous jouiez, comtesse,
Un thème de Paganini.
Comme tout choit avec prestesse !
J'avais un amour infini,
Ce soir que vous jouiez, comtesse,
Un thème de Paganini.
L'instrument dort sous l'étroitesse
De son étui de bois verni,
Depuis le soir où, blonde hôtesse,
Vous jouâtes Paganini.
Mon cœur repose avec tristesse
Au trou de notre amour fini.
Il s'est brisé le soir, comtesse,
Que vous jouiez Paganini.
Emile NELLIGAN
Il jouait avec l’infini,
Il transcendait la petitesse,
Il ne draguait point les comtesses,
Le poète Pasolini.
Il écrivait avec justesse,
Sans le moindre embrouillamini,
Des vers pleins de délicatesse,
Des vers du grand Pasolini.
Et dans sa robuste sveltesse,
Par l’âge il semblait rajeuni
Et désirable à mainte hôtesse,
Le beau garçon Pasolini.
Mais moi, je suis dans la tristesse,
Voyant comme il a mal fini.
Pourquoi tant de scélératesse
Contre le doux Pasolini ?
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